Par Admin (Admin) le dimanche 05 mai 2002 - 06h21: |
Par Victoria (Victoria) le vendredi 03 mai 2002 - 22h57: |
Merci Nao de nous avoir signalé ce site. C'est une vraie trouvaille!
c'est génial de pouvoir leur témoigner notre affection de cette façon si directe et marrante à la fois. Et le petit mot qu'on peut joindre c'est vraiment cool.
Par Nao (Nao) le vendredi 03 mai 2002 - 22h20: |
IMPORTANT:
Voila une excellente maniere d'aider nos soldats sur le front.
Sur le site internet de Tsahal, il y a un programme appele http://www.pizzaidf.org/ qui delivre des pizzas (casher le mehadrin) et du Pepsi pour des prix vraiment raisonnables (Ex: Pizza & Pepsi pour une patrouille de 5 soldats pour $16.95 et $31.95 pour 10 soldats).
Sur le site tout est explique ainsi que les methodes de payement. Vous pouvez faxer votre commande au 972.2.625.9050 et meme rajouter un mot de soutien. Le site dit que les soldats sont toujours tres touches par cette aide qui vient du monde entier.
SVP aidez et offrez un ou plusieurs repas a nos hayalim. C'est une grande mitsvah.
Merci
ITM alias Nao
Par Albert Simeoni (Albert) le vendredi 03 mai 2002 - 20h28: |
Nous voila à quelques heures J ACQUES
CHIRAC CHR'AC .Bon ce n'est pas la panacè ni du panachè mais un panarie qu'il faut nous supporter pour cinq ans. Comme remède arabe, je vous conseille du BSAL OU MELH pour le TEFKIE( la sortie du pue)
-FERNAND, je suis heureux que tu ai fais la paix avec ami NAO.
PIGNOUF j 'ai la cassette, mais vu que tu as traitè mon ami MOKA d'espion arabe et que tu as refusè mon pardon, je ne te la donne pas, à moins que tu reviennes à de meilleurs sentiments envers moi et là je reconsidererai ma position.
Ne m 'insultes pas PIGNOUF, je t'ai fais danser à ma RBAIBIA et même dans mon théâtre où tu as lancè la aussi un ' VIENS JOUER AVEC MES CITRONS '
A ma copine JANET.
ALBERT RABBI MYAK.
en attendant je vous invite tous à la...
Caverne de L'ILE DU DIABLE……
Dans la caverne de L'ILE DU DIABLE……
LE MARQUIS
LE GEUX DIT LE BORGNE
LA GUEUSE.
LE CROCHET le PATRON.
RAPHAEL LE PROSCRIT.
ALBERT LE BENI
LE FER LE VOLEUR.
LE JEX LA BEQUILLE.
LE GUEUX… ' E t….Toi…...! La gueuse…Ah..Ah..Ah…vient goûter à mon bel hameçon….,'
Le MARQUIS ' Soit plus défèrent le gueux envers la dame et pas de mauvaise intention…….'
LE FER…………..' Ah…! Le marquis de La Fourmilière qui nous tiens un langage…….!
LA GUEUSE 'Laisse Marquis…..! Toi le gueux….. c'est d ' quoi que tu enrages………?
LE JEX…………..' La gueuse viens plutôt vers moi, j 'ai , ah….ah…..une béquille……...!
ALBERT ………..' Haj ve challom….?.Je vais mettre mes tèfs vous êtes si bien vils……..!
LE MARQUI…….' Vous avez raison le Beni, priez donc pour ces âmes égarées..;;!
LE GEUX……….' Est ce bien l'endroit le Béni….Ahhh…! Ahhhh….! Pour prier………..!
LE GUEUX…… .'Alors la gueuse vient donc que je te mette mon bon crépon…….!'
RAPHAEL……….'.Mesures tes paroles le gueux sinon je t'éjecte de la maison……!
LE GEUX……….' Ah…..! Ah…..Tu te crois près de D. ieu l'ange gardien de mes deux…..!
LE CROCHET…..' Ici….C 'est moi qui commande et le gueux est mon ami en ces lieux……!
LE FER………….' Vos dialogues ne sont point courtois et même très discourtois…….!
LE GUEUX…….' Toi le FER…. ! Tu bégayes le français comme je pète sur ton roi………!'
LE MARQUIS……' Vous êtes un mécréant rempli de vin de Madère le gueux, tu pues……!
LE GUEUX……..' Et toi le MARQUIS… !.Ta gueuse de femme s 'est bien repue….!
LE MARQUIS…..' O je te couperai la langue un jour, le gueux pour cet infâme médisance…..!
ALBERT………..' Beni soit mon D ieu qui êtes aux cieux pardonnez à votre indécent…..!
LE GUEUX…….' T a gueule le Beni….! Qu'on me sert à boire…Tavernier du Diable………!
RAPHAEL………' L e gueux ….! Tu as dépassé les bornes, je vais t'avertir à l'amiable……….!
LE GUEUX……..' E t la Gueuse……! Alors tu viens goûter à mon vin…Ahhh…! Il est si chaud….!'
LA GUEUSE……' Ton vin plein de lie, mets-toi là où je pense espèce de rustre, d 'artichaut….
LE GUEUX…….' Je veux goûter à ta croupe, La Gueuse, j 'ai du bon levain pour elle……!
LA GUEUSE……' Tu n'est qu'une cruche, pleine de mauvais vin et tu n'es qu' une selle ………! ( crotte)
LE GUEUX……..' Bon…..! Allons faisons la paix, euhh…euh…..!
ALBERT………..' Mais vous roter le GUEUX….! Vous n'avez pas honte, que Dieu vous pardonne…..!
LE MARQUIS… ' Quelle horreur, cette haleine, vous avez empesté l'air, le GUEUX ….!
LE FER…………' On ne dit pas 'empesté' mais plutôt parfume l'air ambiant mon vieux……!
LE JEX………….' Monsieur le FER…..Votre vocabulaire est choisi, comme mon appareillage constipé…..!
LE GUEUX……..' Et toi…..! La gueuse mon vin commence à fermenter…..?Alors viens faisons une virée.…!
LA GUEUSE……' C 'est ça mon Chevalier, il faut la mériter ma cruche, mon baveux aux yeux chassieux ( il m 'a plus ce mot
Le GUEUX…….' Je t'allongerai sur mon lit de RECAMIER, ma gueuse et je heu….!heu….! en chaire……!
LA GUEUSE…..' Tu connais des mots savants à ce que je vois….LE GUEUX…….Ne serait tu pas le ….
LE GUEUX……' ….LE BELEBOU YATTIKOM YAKREB……MNEHTOU……!.
RAPHAEL MON ANGE, tu as toujours le beau rôle…..? rendez- vous ce soir à loa TAVERNE DE MES DATTES.
LES RELIGIEUS ET EUSES SACHEZ QUE JE SUIS CACHER COMME UN PAIN DU VENDREDI.
PAS BETH DIN.
ALBERT
Par Nao (Nao) le vendredi 03 mai 2002 - 17h44: |
Fernand, ne m'attrribuez pas des defauts que je n'ai pas!
Merci
Par Lilo Sion (Pignouf) le vendredi 03 mai 2002 - 16h51: |
Chabat chalom a vous tous
et que D nous garde
amicalement sion lilo
Par Albert Simeoni (Albert) le vendredi 03 mai 2002 - 13h12: |
Mon cher ami,
Et quelles réponses t 'attends tu a avoir...? au sujet de ces passations de texte sans te faire insulter, alors il faut mettre en bas de page ' Je vous pris de ne pas m insulter'.Comme ca au moins on s 'évitera quelques termes savants sortis tout droit du DICTIONNAIRE DU JGUELEF ( vulgaritè).
Il faut que je tourne ma langue cent fois quelque part afin de ne pas m 'attirer des insannitès.
ALBERT.RABBI MYAK
Par Deb (Deb) le vendredi 03 mai 2002 - 12h32: |
Il faut arrêter de dire que nous ne somme pas accepté, le malheur existe aujourd'hui et pas que pour nous....
Par Boulomiel (Boulomiel) le vendredi 03 mai 2002 - 10h53: |
PRO ARABE OU ANTISEMISTE??
TEL SERA LE CHOIX DIMANCHE PROCHAIN
Par Fernand (Fernand) le vendredi 03 mai 2002 - 10h06: |
Deux interventions produites hier n’ont suscité aucune réaction.
Je sais qu’elle ne supporte pas la contradiction.
Je sais qu’elle m’insulterait si je m’adressais directement à elle.
Aussi je ne lui demande rien.
Les questions que je vais poser n’ont, en fait, pas besoin de réponse :
Quelle est la nationalité de la compagnie Yahoo ?
Quelle est la nationalité de l’agence Reuter ?
Depuis quand Yasser Arafat était il confiné dans son QG de Ramallah par l’armée Israélienne ?
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 03 mai 2002 - 06h12: |
Le calme après la tempête ou le calme avant la tempête? Si notre président ressuscitera Arafat et sa bande, cela prouvera que l’usage du terrorisme était justifié comme outil pour avancer la cause politique. Mais cela ira en même temps à l’encontre de la politique américaine qui justifie tous les moyens pour détruire justement le terrorisme. Il est clair que si le président Bush à un but final, celui-ci est inconnu au publique. Dans les circonstances actuelles Israël n’a aucun choix que de jouer la carte américaine en attendant que la tempête passe.
L’Europe, les pays arabes et l’ONU avaient tous essayé de jouer un rôle, adroit ou maladroit, mais chacun voulait montrer qu’il avait son mot à dire et que sa place contribuait à la stabilité du Moyen Orient. En réalité tout le monde jouait un jeu dont personne ne connaissait l’envergure ni les règles.
Israël n’a pas à s’inquiéter de ce que dira le monde ou les nations, car tôt ou tard la vérité émergera. Il est certain que dans tout ce tumulte les pays européens et les alliés d’Israel avaient à nouveau pris note de la dicipline et de la capacité militaire israéliennes. Les Juifs et les Israéliens ne devraient pas s’inquiéter de l’attitude tendancieuse de certains pays arabes et de certains pays européens à leur égard. Israël aura encore un rôle déterminant à jouer après la tempête dans la société des nations. Les palestiniens constateront que l’usage de la force ne leur a pas avancé leur cause et a retardé leur rêve. Tôt ou tard il devront faire le bilan des choses s’ils veulent vivre en paix.
Par Email (Email) le vendredi 03 mai 2002 - 05h35: |
Votre site, beaucoup d'humour, très bien.
LB
Par Emma (Emma) le vendredi 03 mai 2002 - 04h48: |
Le caractère non physique et insaisissable de la différence juive cristallise le rejet.
L'antisémitisme, une haine spécifique
Par Alain POLICAR
Alain Policar est agrégé de sciences sociales de l'université de Limoges.
La montée des comportements antisémites (sur laquelle P.-A. Taguieff a opportunément attiré l'attention dans La Nouvelle Judéophobie , Mille et une Nuits, 2002) pourrait laisser penser que seuls les individus ou les bâtiments immédiatement repérables comme juifs sont victimes de dégradations ou de violences. Il me semble pourtant que si la tension au Proche-Orient devait durer (et tout paraît, hélas, indiquer qu'il en sera ainsi), on ne se contenterait sans doute pas de s'en prendre à ce qui est ostentatoirement juif. Il y a en effet une spécificité de la haine antijuive, aujourd'hui peu manifeste, mais extrêmement profonde. Peut-être n'est-il pas inutile d'en prendre conscience, même si je crois les institutions de la République et les mentalités de nos concitoyens (du moins de la majorité d'entre eux) capables de nous protéger contre les plus terribles dangers.
Le modèle dominant de lutte contre le racisme, développé à partir de 1945, établissait une équivalence structurelle entre colonisés et Juifs dans leur fonction de détournement de l'insatisfaction sociale. Dans cette stratégie argumentative, la spécificité du génocide des Juifs constituait une réelle difficulté. Il fallait donc que le racisme nazi soit une forme particulière de racisme colonial. Pourtant, la distinction entre ces deux formes de racisme avait été posée avec vigueur par Jeanne Hersch en 1967.
Dans une étude consacrée à la notion de race et à l'examen de deux textes établis sous l'égide de l'Unesco, elle montrait que dans le cas du racisme colonial, les différences physiques stigmatisées par les colonialistes étaient manifestes, alors que celles dénoncées par les nazis étaient extrêmement imprécises. Elle ajoutait, en outre, que les colonialistes justifiaient l'exploitation de leurs victimes à l'aide d'un préjugé raciste, celui de l'infériorité intellectuelle des exploités, tandis que les nazis usaient comme moteur de leur haine de l'envie qu'inspiraient les Juifs, auxquels le préjugé raciste prêtait une supériorité intellectuelle dangereuse. Aussi, pour les colonialistes fallait-il maintenir la présence de l'«autre race» en tant que source de profit ; alors que pour les nazis le but était son élimination et sa destruction.
Pour le racisme d'extermination, c'est donc le caractère incertain des différences physiques de l'autre qui entretient une suspicion diffuse, une hantise du mélange. Or si ce racisme a désigné le Juif comme l'ennemi absolu, c'est parce que la différence juive, hors du champ religieux, est insaisissable. Elle est, en conséquence, la plus dangereuse pour l'identité collective du groupe. Comme le notaient, il y a assez longtemps, P. H. Maucorps, A. Memmi et J. F. Held, «le Gitan est nomade et fait des paniers, l'Algérien parle arabe et se reconnaît plus ou moins, les étrangers ont des passeports et des accents, les noirs sont noirs. Au contraire, les Juifs représentent l'autre, camouflé en humain [...]. Les Juifs, minorité tellement fluide que très peu d'individus considérés comme tels réunissent toutes les déterminations réelles ou supposées de leur groupe, sont objet de racisme en tant que simple incarnation de l'Altérité» (in les Français et le Racisme , Payot, 1965, p. 107). On voit, à travers ces lignes, la particularité de l'antisémitisme qu'avait, à sa manière, évoquée Edouard Drumont lorsqu'il écrivait : «Le Juif dangereux, c'est le Juif vague.»
En d'autres termes, le plus grand péril pour le raciste, c'est le péril indiscernable. Le Juif, trop semblable au point de ne pouvoir être distingué, exaspère chez l'antisémite l'horreur du métissage, la peur de la dégénérescence par l'effet du mélange. Ceci souligne le fait que les propositions xénophobes concernant les Juifs ne sont pas des efforts pour donner une explication causale de la menace sociale, mais des expressions d'une crainte face à un danger mal compris et de la conscience d'une fissure dans l'armature sociale de la communauté. Le psychanalyste hongrois Imre Hermann, dès 1943, avait souligné que le Juif, «élément étranger», remplit dans l'imaginaire le rôle d'un pou qu'il convient d'éliminer afin de préserver la peau (le corps social) de toute agression autodestructrice. Pourquoi remplit-il ce rôle-là ? Parce que détaché du sol, et ne produisant donc pas de denrées alimentaires, il est, pour beaucoup, un parasite et «parce que vivant dispersé et souvent soumis à la migration, il exaspère, chez les autres, l'instinct d'épouillage» (l'Instinct filial , Denoël, 1972, p. 177-184). Dans une société moderne où le changement brusque dans les conditions d'existence provoque une profonde incertitude vis-à-vis de soi-même, l'angoisse se transforme aisément en hostilité à l'égard des autres. Ce que l'on pourrait appeler une identité floue se construit ainsi par les moyens du désir de rejet, rejet de la différence de l'autre perçue comme portant atteinte à ma propre différence. Sentiment d'autant plus violent que la différence est insaisissable.
Il paraît, par conséquent, illusoire de penser aujourd'hui les tâches de l'antiracisme sans partir de cette réalité : l'antisémitisme appartient à un registre spécifique. La lutte contre lui ne peut en conséquence être efficace que si elle est distinguée de la lutte contre les autres formes de racisme. Est-il utile de préciser que l'accent mis ici sur la particularité du registre antisémite n'induit nullement une volonté de méconnaître les autres expressions de la haine ou de hiérarchiser celles-ci à l'aune de leur malfaisance ?.
Par Anonyme (Anonyme) le vendredi 03 mai 2002 - 04h36: |
GHRIBA DE DJERBA
Releve dans l'Orient le Jour de Beyrouth et qui n'est reprise ni par par le JPost ni par Maarvi, ni par Ha'aretz.
Il s'agit du pelerinage annuel a la Ghriba de Djerba.
Tunisie - Le pèlerinage de la Ghriba suivi avec ferveur par un millier de juifs
Les festivités du pèlerinage annuel de la Ghriba ont débuté hier, en présence d'un millier de juifs qui, dans la ferveur, ont entrepris leurs
rituels, deux semaines seulement après un attentat qui a fait 16 morts devant la plus ancienne synagogue d'Afrique.
Environ 200 juifs de l'étranger, venus principalement de France (Paris et Marseille), ont fait cette année le déplacement dans l'île, a indiqué Pérez Trabelsi, président de la Communauté juive de Djerba. Ils devaient être rejoints par deux couples venus d'Israël, a pour sa part indiqué Gabriel Kabla, représentant d'une association juive de France. Une participation certes limitée, mais qui n'en a pas moins valeur de symbole pour les membres de la communauté juive de Tunisie. Les rites du pèlerinage consistent à se recueillir dans la synagogue illuminée de nombreuses chandelles, face au rabbin, en faisant un voeu et en buvant une goutte de boukha, alcool de figue, spécialité tunisienne très prisée des juifs de Tunisie. Sont également prévues une procession, une kermesse et la visite de l'école talmudique annexe à la synagogue où garçons et filles appliqués, kippa sur la tête, accueillent les visiteurs, certains
découvrant pour la première fois la terre de leurs ancêtres.
Les juifs de Tunisie sont estimés à un peu plus de 2 000, répartis principalement à Djerba et dans l'agglomération tunisienne.
Outre les juifs de Djerba, des juifs de Tunis principalement de La Goulette, port situé à 10 km au nord de la capitale se sont mêlés aux
habitants de Djerba pour participer au pèlerinage. Une aide a été fournie par l'État tunisien à certains nécessiteux plusieurs résident dans un hospice de la Goulette afin qu'ils bénéficient du transport et de l'hébergement dans l'île de Djerba et puissent participer au pèlerinage de la synagogue de la Ghriba.
Une cinquantaine d'invités, sympathisants de la Tunisie ou natifs de ce pays, sont également arrivés dans l'île : parmi eux, Claude Cheysson,
ancien ministre français des Relations extérieures, l'homme politique français Philippe Séguin et le couturier Loris Azzaro, tous deux natifs de Tunis, qui ont participé à un dîner offert en leur honneur dimanche soir à Djerba.
Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 03 mai 2002 - 04h32: |
Bonjour,
je recherche des resto cacher Beth Din, pas spécifiquement tunes. Savez-vous où je peux en trouver pour compléter la liste qui est sur votre site?
Merci
Audrey Azoulay
Par Michka (Michka) le jeudi 02 mai 2002 - 22h44: |
LES JUIFS DE TUNISIE, TOUT LE MONDE EN PARLE. LISEZ CE QUI SUIT.MICHKA
__________________________________________________
La communauté juive de Tunisie note une continuité des actes antisémites
Lundi 29 avril 2002
(LE MONDE)
La synagogue de Ghriba n'est pas la première cible de violences
Houmt souk (île de Djerba) et Tunis de notre envoyée spéciale
Il n'a rien contre les juifs, il le jure ! D'ailleurs, insiste cet avocat de province, ceux qui restent "ne font pas de politique : il n'y a aucune raison de leur en vouloir." Aux yeux de ce notable, membre de la Ligue tunisienne des droits de l'homme (LTDH), l'attentat du 11 avril contre la synagogue de la Ghriba doit, "bien entendu", être officiellement dénoncé. Ce qu'a fini par faire la LTDH, en publiant, dix jours après le drame de l'île de Djerba, un communiqué exprimant sa "condamnation ferme et sans réserve" et son "rejet de tout amalgame entre l'entité sioniste en Palestine et les juifs - en particulier les juifs tunisiens, citoyens à part entière, ayant les mêmes droits et les mêmes devoirs que leurs compatriotes musulmans". Il n'empêche ! "La première réaction, chez beaucoup de Tunisiens, a é! ;té de se réjouir. Ce qui se passe au Moyen-Orient a un écho direct ici. Les gens ont fait tout de suite le lien entre la Ghriba et la Palestine", souligne l'avocat, la mine faussement contrite.
Ce n'est pas la première fois, en Tunisie, que des lieux de culte juifs sont la cible de violences. En 1967, au moment de la guerre de Six-Jours, la grande synagogue de Tunis avait été incendiée par des manifestants pro-palestiniens. "Il y a des formes de continuité : hier, comme aujourd'hui, on s'en prend à ce qui symbolise les juifs", remarque le professeur Habib Kazdaghli, du département Mémoire et histoire de la faculté des lettres de La Manouba, à Tunis. Une "continuité" profonde, à deux différences près. La première tient dans la taille de la communauté juive tunisienne : estimée, selon le professeur Kazdaghli, à 56 000 membres, en 1956, année de l'indépendance, elle ne compte plus, aujourd'hui, qu'à peine 12 000 membres, dont plus des deux tiers vivent sur l'île de Djerba.
"APPROBATION OFFICIEUSE"
La deuxième différence tient au contexte politique tunisien : "En 1967, devant ce type de violences, il ne pouvait pas y avoir d'approbation, ni officielle ni officieuse. Aujourd'hui, on condamne officiellement l'attentat de la Ghriba, mais, officieusement, on "comprend" et, parfois même, on applaudit", estime Gilbert Naccache, ex-militant du groupe d'opposition Perspectives et ancien détenu politique. "A l'époque, les copains de taule étaient les premiers à me défendre contre les insultes antisémites des gardiens. Aujourd'hui, ils sont silencieux. Tout le monde hurle quand Sharon bombarde Jenine, mais quand un camion explose devant la Ghriba, personne n'ouvre la bouche," s'indigne-t-il. Un dimanche, en rentrant chez lui dans le quartier tunisois du Bardo, Gilbert Naccache est apostrophé par un groupe de jeunes garçons, qui se mettent à crier "Sharon assassin&! #160;!" sur son passage. Quelques heures plus tard, il remarque que le même groupe s'est posté à l'entrée de l'impasse, où est situé son domicile, et comprend alors qu'il n'aura plus de paix. "J'ai fait ma valise, la mort dans l'âme", dit-il. Deux jours auparavant, son fils, âgé de quatre ans et demi, avait été la cible de jets de pierres et d'insultes, alors qu'il jouait dans le jardin de la maison. Parmi les assaillants, figurait "le fils de l'imam du quartier", précise-t-il.
CRI D'ALARME
Il est révolu le temps où le président Ben Ali accueillait en grande pompe, au palais de Carthage, le grand rabbin de France, Joseph Sitruk, et le président du consistoire israélite de France, Pierre Bansard... C'était en 1992. La synagogue de La Goulette venait de rouvrir. "Même si les derniers juifs tunisiens s'en vont, nous devons continuer à défendre l'identité plurielle de la Tunisie", plaide le professeur Kazdaghli. Parmi les associations, celle des femmes démocrates tunisiennes (ATFD) a été la première à condamner l'attentat de la Ghriba. Son ancienne présidente, l'avocate Bochra Bel Hadj Hmida, vient de lancer, à titre personnel, un cri d'alarme. Dans un texte intitulé "Touche pas à mon juif !", la militante démocrate juge "impardonnable" que l'on approuve "par la parole ou le silence" les atteintes à! la communauté juive. La défense des droits humains "ne souffre aucune exception", dit-elle. S'adressant à ses concitoyens juifs - "ici, c'est votre pays, et personne n'est plus tunisien que vous" - Mme Bel Hadj Hmida appelle aussi ses concitoyens musulmans à "ne pas se tromper de combat". Avant même d'être publié, son texte a été attaqué par la presse locale arabophone, qui a traité Mme Bel Hadj Hmida d'"immigrée de l'intérieur".
Catherine Simon
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Le pèlerinage annuel a été maintenu
Les festivités du pèlerinage annuel à la Ghriba ont été maintenues lundi 29 et mardi 30 avril dans le plus ancien lieu de culte juif d'Afrique. Les organisateurs s'attendent cette année, tout au plus, à quelque 300 pèlerins venus de France, de Belgique et des Etats-Unis, essentiellement. Le rite devrait rassembler au total un millier de pèlerins avec la participation de la communauté juive tunisienne, espère-t-on, contre 8 000 en 2000 et 1 500 en 2001.
"Quel que soit le nombre de pèlerins qui feront le déplacement, organiser le pèlerinage moins de trois semaines après ce qui s'est passé est déjà une victoire en soi", a estimé le président de la synagogue et de la communauté juive de Djerba, Pérez Trabelsi. - (AFP)
Par Lilo Sion (Pignouf) le jeudi 02 mai 2002 - 21h57: |
salut,
j'ai eu m fille au telephone en israel; il parait qu'aujourdhui aux infos de 20 heure il ont passé un reportage ou on voyait un mort palestinien tombé d'un branquard et se relever pour se recoucher dessus.
pourriez vous enregistrer la scène au plus vite pour me l'envoyer; en effet je voudrais la diffuser sur internet pour combattre la désinformation qui sévit dans notre pays.
merci d'avance,
lilo
Par Meyer (Meyer) le jeudi 02 mai 2002 - 21h05: |
Copie d'un mail envoye a desinfos.com suite a la nouvelle sur une chanson "inedite" de Serge Gainsbourg :
"J'ai entendu la séquence de RCJ dans laquelle était diffusee une chanson de Serge Gainsbourg sur Israel. Elle a été présentée comme inedite.
Je vous ecris pour vous faire savoir que j'ai entendu cette chanson a plusieurs reprises a la radio apres la guerre des Six jours, en 1967. Puis elle a disparu des ondes. Je ne me souviens pas sur quelle antenne elle etait diffusee (EUROPE 1 ?).
J'en ai a plusieurs reprises parle dans mon entourage pour m'etonner qu'on ne puisse plus l'ecouter ni se la procurer en disque ou en cassette.
Je suis heureux qu'elle puisse être diffusee a nouveau.
J'ai télephone a RCJ pour les informer de ces faits."
Par Albert Simeoni (Albert) le jeudi 02 mai 2002 - 20h42: |
Excusez, Madame, de m'introduire
De pénétrer sa ns vous avertir
De violer, par instant vos idées
Vos pensées qu'il me plait à lire.
Excusez, Madame, d'agresser sans fracas
Votre âme innocente et pure sans tracas.
De vous tenir un langage puéril que voilà
Fait de rires, sans chichi et ni de tralalas..
Pardonnez, Madame, mon outrecuidance
Ceux ne sont que jeux de mots qui dansent
Comme des lucioles autour d'un feu de joie
Tant il est vrai que ma langue n'est de bois.
Je vous parle, Madame, sans contrevenir aux bonnes règles
De la politesse, de la bienséance, de ce parler non espiègle
D'un âge mental, m'a t 'on dit de huit ans, d'un petit enfant
Que l'on m'a qualifiè, toujours là bas en cet endroit charmant.
Et vous savez ce qui ce dit dans cette ambiance feutrée….,
En privé, dans ces boudoirs anodins et bien enfumés
Que des confidences, si anonymes et si bêtes
Que j'en perds mon latin, mon grec, et ma tête.
J'en ris, Madame, aux larmes et sans armes,
Je ne sais pas faire la guerre est -ce un drame….?
Je ne suis pas un guerrier de ces temps modernes
Juste quelqu'un qui veut distraire sans être terne.
ALBERT DANS EXCISEZ MADAME...
Par Nao (Nao) le jeudi 02 mai 2002 - 18h44: |
Reuters encore: la c'est le pompon!
A la faveur du retrait des chars de Tsahal qui le tenaient en joue depuis un mois, Yasser Arafat a émergé jeudi matin de son réduit de Ramallah pour se rendre compte de l'étendue des dégâts causés en ville par cinq mois d'occupation israélienne.
Ah bon? ca fait 5 mois que Israel occupe la Cisjordanie?? on compte differement certainement!
Sans compter que les degats causes le sont aussi par leurs propres combattants saccageurs qui apres accusent Israel d'avoir tt detruit!
Le mensonge n'en finit pas....
Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 02 mai 2002 - 18h24: |
Ne refusez pas à l'Etat juif la légitime défense, par Arno Klarsfeld
La France agit et se comporte comme si les menaces à l'encontre d'Israël étaient insignifiantes ou ne portaient pas à conséquence. Comme si Israël était Goliath et les Palestiniens David.
Durant des siècles, les juifs ont été persécutés en raison de leur religion, ce qui a entraîné une suite quasi ininterrompue de mesures vexatoires et humiliantes, d'expulsions et de pogroms. Puis, au XIXe siècle, la race prit la relève de la religion, suscitant la Shoah et la disparition des deux tiers des juifs d'Europe. Aujourd'hui, l'antisémitisme trouve ses racines dans l'existence de l'Etat d'Israël et de l'attachement des juifs de la diaspora à cet Etat.
Cet antisémitisme est entretenu par les pays arabes et les groupes terroristes palestiniens. Souvenons-nous des attentats contre les synagogues de Vienne, Budapest, Istanbul, Paris, rue Copernic, du massacre de la rue des Rosiers, au restaurant Goldenberg et de tant d'autres symboles juifs qui furent la cible des extrémistes palestiniens soutenus par l'infrastructure de pays arabes qui les finançaient, les entraînaient, leur fournissaient armes, positions de repli et d'impunité.
L'Europe a déjà voulu oublier comment furent célébrés comme des héros dans les pays arabes ceux qui assassinaient les athlètes israéliens lors des Jeux olympiques de Munich ou les enfants en bas âge de tant de crèches dans tant de kibboutzim en Israël.
La Révolution française a libéré les juifs mais, dans l'inconscient collectif de l'Europe chrétienne, le peuple juif n'a pas encore gagné le droit d'être considéré à l'égal des autres peuples. Les juifs, oui ; Israël, non. Paradoxe : les nations accordent au peuple juif de se reconstituer en tant qu'Etat et lui refusent le droit de se défendre en tant que tel.
Ce droit, on le lui refusait déjà en 1967. Le message du général de Gaulle était alors : "Ne vous défendez qu'une fois attaqués. Pas d'initiative d'autodéfense." Quand la victoire fut acquise, cela donna la formule célèbre : "Peuple sûr de lui et dominateur."
En 1973, Israël, pourtant attaqué par surprise sur trois fronts - dans le sud par l'Egypte, dans le nord par la Syrie et à l'est par la Jordanie et l'Irak -, ne trouva pas non plus grâce auprès de la diplomatie et du gouvernement français. Ce dernier décréta un embargo à son encontre, refusa aux avions américains chargés des éléments nécessaires à sa défense le droit de se poser sur son territoire et résuma, par la bouche de Michel Jobert, alors ministre des affaires étrangères, la politique extérieure de la France quant à la guerre menée contre Israël : "Je ne trouve rien d'étonnant, pour les pays arabes, de vouloir rentrer chez eux."
La politique de la France n'a pas changé aujourd'hui, refusant toujours à Israël le droit de se défendre et de protéger ses citoyens. Les bombes humaines et leurs cortèges de victimes israéliennes innocentes, dont tant de rescapés de la Shoah, ne sont pour la France que la conséquence de l'occupation du territoire palestinien. Ceux qui raisonnent ainsi oublient ou plutôt veulent oublier que ceux qui commettent ces attentats génocidaires ne veulent à aucun prix d'un Etat juif.
"Retirez-vous de Cisjordanie et les attentats cesseront" : voilà à quoi se résume le message de la diplomatie française, qui refuse de voir l'évidence. Tout endroit duquel Israël s'est retiré a aussitôt été transformé en base pour des attaques terroristes à l'encontre de la population israélienne.
La France agit et se comporte comme si les menaces à l'encontre d'Israël étaient insignifiantes ou ne portaient pas à conséquence. Comme si Israël était Goliath et les Palestiniens David, alors qu'aujourd'hui David est toujours juif et les pays arabes le véritable Goliath. Goliath, des pays comme l'Irak ou l'Iran, riches du pétrole, de dizaines de millions d'hommes fanatisés par des dirigeants qui n'ont cure du bonheur de leur peuple mais cherchent avant tout à assurer la pérennité de leur pouvoir personnel.
Oui, les menaces existentielles perdurent à l'encontre d'Israël. L'Irak cherche à se doter de l'arme nucléaire tout comme l'Iran. Ils n'hésiteront pas à l'utiliser. Mais la France veut rester aveugle.
Je me souviens, lors du procès de Maurice Papon, des représentants des associations comme le MRAP ou la Ligue de défense des droits de l'homme qui aujourd'hui condamnent avec tant de vigueur et de mauvaise foi lsraël : ils apostrophaient injustement Papon en lui citant tel ou tel article des années 1930 qui témoignait de l'antisémitisme des nazis : "Mais comment, vous ne saviez pas ? Vous ne lisiez donc pas la presse ? La volonté de génocide se devine dans ces lignes... !"
L'antisémitisme déclaré des nazis dans les années 1930 est bien moins vigoureux que l'antisémitisme déclaré dans la plupart des pays arabes où l'on appelle au meurtre des juifs. Aujourd'hui, tout est disponible sur Internet pour ceux qui désirent s'informer : les discours dans les mosquées, les thèses universitaires sur les "mensonges du génocide", les appels des dirigeants arabes comme le ministre de la défense syrien, qui affirme qu'il "est du devoir des Arabes de tuer un juif par jour"ou les déclarations de l'ex-président iranien souhaitant que l'Iran se dote de l'arme nucléaire pour l'utiliser contre Israël.
On répond qu'il ne faut pas prendre ces menaces au sérieux. Comment ne pas les prendre au sérieux alors qu'elles sont suivies d'actes ? Israël a le droit et la responsabilité de se défendre. D'affirmer son droit d'être là.
Israël se souvient des discours des dirigeants des pays arabes en 1948. Le secrétaire de la Ligue arabe déclarait juste avant l'offensive contre l'Etat hébreu et trois ans après la Shoah : "Nous exterminerons les juifs d'une telle façon que cela fera apparaître comme pâles les massacres perpétrés par les Mongols ou par les Croisades."
Israël n'a pas déclaré la guerre au peuple palestinien mais aux cellules terroristes. Doit-il y renoncer parce que ces terroristes trouvent refuge au milieu de la population civile, que ces groupes tiennent en otage, qu'ils fanatisent et dont ils se servent pour justifier de leurs actions ?
Ces dirigeants savent que, si les actes de terreur continuent, Israël boucle les territoires pour se protéger ; ils savent que si les actes de terreur redoublent, Israël n'a d'autre solution que d'essayer de les éradiquer, causant, hélas, des victimes civiles. Mais qui se réjouit de ces morts innocents ? Pas les Israéliens mais les dirigeants palestiniens, de la même façon qu'ils se réjouissaient de la mort des enfants qu'ils envoyaient en première ligne jeter des pierres tandis que, derrière eux, se dissimulaient les combattants armés de mitraillettes qui tiraient sur les soldats, espérant bien qu'une balle perdue atteindrait ces enfants.
Que reproche-t-on à Sharon ? D'avoir été opposé au processus d'Oslo ? Et alors ? L'avenir lui a donné raison. Remettre à plus tard les points essentiels comme le problème des réfugiés ou Jérusalem était inepte. Sharon a toujours dit : "On ne peut pas faire confiance à Arafat." Arafat avait tout intérêt au processus d'Oslo : de terroriste il est devenu "président" de l'Autorité palestinienne, a reçu de l'argent de la communauté internationale. Les Israéliens lui ont fourni les armes pour sa police (35 000 hommes, aucune entité ou Etat n'a autant de policiers au prorata de la population), armes que l'Autorité palestinienne a utilisées pour commettre des attentats en Israël. Tout cela sans jamais renoncer à son véritable dessein : faire disparaître l'Etat juif. II y a encore quinze ans, cette disparition signifiait jeter les juifs à la mer, aujourd'hui elle consiste à faire des juifs une minorité en Israël.
On dit de Sharon qu'il n'a pas de perspective, mais a-t-on besoin d'une perspective pour se défendre ? Barak avait une perspective, elle a été refusée par Arafat. Alors que reste-t-il à faire sinon à se défendre ? Se laisser exterminer, acte génocidaire après acte génocidaire ? Sans répondre ?
Qui se réjouit, sinon ceux qui sont hostiles à la paix ? Et quel est l'intérêt d'Israël à ne pas vouloir la paix ? Dans toute enquête criminelle, on cherche le motif. Israël a largement intérêt à la paix, d'un point de vue humain, économique et social. L'intérêt humain joue peu chez les dirigeants arabes.
Que disait Nasser durant la guerre d'usure qu'il menait à Israël à la fin des années 1960 : "Si on a 50 000 morts, on peut continuer à se battre parce que nous avons des réserves d'hommes. Mais si nous infligeons 10 000 morts aux ennemis sionistes, ils devront arrêter de se battre parce qu'ils ont trop peu d'hommes."
Les Israéliens chérissent la vie. Les dirigeants palestiniens le savent et ne s'en cachent pas : "Les Israéliens ont peur de la mort, pour nous c'est une bénédiction." Comment lutter contre de tels ennemis ?
On veut croire que c'est la politique de Sharon qui entraîne le terrorisme. On sait que c'est faux. Nul ne peut se laisser massacrer sans se défendre et chercher, sinon à se venger, du moins à éliminer ceux qui tentent de vous exterminer.
Les noms des juifs d'Israël ne doivent pas être lus et ne seront pas lus un jour comme ceux des juifs d'Europe assassinés le sont le jour de Yom Hashoah.
Arno Klarsfeld
Par Email (Email) le jeudi 02 mai 2002 - 18h19: |
je pense que vous avez atteint le summum de la Connerie en france, vous qui vous autorisez , avec votre arrogance habituelle, de donner des lecons au monde, en particulier a Israel! vous etes un peuple en pleine degenerescence, individualiste avec une mentalite de riches assistes, et vos politicards de droite, d'extreme droite et les abrutis de gauche vous manipulent depuis des decennies car ils savent ce qu'ils ont fait de vous!
Chirac sera de nouveau la avec tous ses complices, fous de pouvoir et des privileges qui en decoulent, la gauche a eu sa part, et vous peuple de Veaux, comme disait De Gaulle, vous allez, sous pretexte de sauver la Democratie,
dont vous ne savez rien, vous prosterner devant les combinards de tous ordres pour les implorer de continuer a vous assister et a vous nourrir des miettes dont ils ne savent que faire!
Bonne chance la france!
Votre image et votre identite ne valent plus rien!
Courage ,
je pense a vous,
pierre
p.guedj@synergers.com
Par Admin (Admin) le vendredi 03 mai 2002 - 04h25: |