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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2007: Commentaires Fevrier 2007: Archive jusqu'au 05/février/2007-1
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le dimanche 04 février 2007 - 23h46:

CACOU, mon ami

Essaie de ne pas faire trop souvent usage du Judeo-arabe, parce tu prouves que tu es beaucoup plus competant dans d'autres matieres.
Peut etre que notre ami TUN, que tu defends si bien, veuille bien te donner quelques lecons.
Je crois que Breitou n'est tellement libre, ces derniers temps, pour le faire.

Quand on s'adresse a une Dame (Viviane) on dit H'abibti, et non H'abibi qui s'adresserait plutot a un Monsieur.

Avec toutes mes amities

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Viviane (Viviane) le dimanche 04 février 2007 - 23h35:

Chère Girelle,
Il est vrai que les régimes de Salazar et de Franco ont permis de sauver beaucoup de Juifs. Mais il y a deux choses qui doivent rester à l'esprit: n'oublions pas que le régime nazi s'est essayé bien avant la guerre sur le territoire espagnol. En ce qui concerne De Gaulle, il reste son attachement "viscéral" envers ce peuple d'élite, sûr de lui et dominateur. Le même De Gaulle qui recevait à Londres Maurice Schumann Juif converti,et qui dit en apparté, à peu près, la phrase suivante: "je demande des représentants de la France libre et on m'envoie un Juif".
Retour au temps présent. Qui du peuple Juif empêchera celui qui dit: " voir une deuxième bombe...", d'aller faire un tour en Perse et admirer les miniatures persannes en compagnie de qui vous savez. Cela le changera des estampes japonaises. Je fais un petit signe à mon cher ami Cacouboulou. Croit-il vraiment que la dhimmitude se soit arrêtée en 1860? Les ghettos, les lois de Nuremberg, la conférence de Wansee, les camps de concentration c'était quoi? C'est vrai que, nous tunisiens, n'avons pas la traduction du mot "dhimmi" en Yiddish...Viviane

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le dimanche 04 février 2007 - 23h33:

Un nouveau site pour écouter des piyoutim à la tune.

http://piyoutunes.centerblog.net/rub-accueil.html

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le dimanche 04 février 2007 - 21h45:

Viviane ya Habibi,

A côté de ce que reprochent les Israéliens, à leur propre classe Boulitique, scandales en tous genres, et autres concussions,,, Chirac fait vraiment pale figure, en ressemblant au petit agneau qui vient de naître.

Alors, si tu veux balayer chez les français, commence par le faire dans ta propre maison,,,
rappelles toi qu'il a dit qu'à la première menace de tirer sa bombe, Téhéran sera rasée !

Serais tu la première à t'en plaindre ?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le dimanche 04 février 2007 - 21h32:

Tirè du récit qui passe sur le PTB.

WALI LA LIONNE. FIN.

'...Les années passent comme passent les cigognes au-dessus des chaumières, comme les avions au- dessus de Koussanar et de Casamance comme passent les mauvaises années au- dessus des têtes des malheureux et les feuilles mortes que le vent emporte dans des charniers inconnus, à l'abri des regards, comme la mort passe sous les hou hou des pleureuses et la vie qui renaît sous les you-you des femmes voilées ou pas. Comme les saisons succèdent aux solstices d'été ou d'hiver tout comme les blés qui mûrissent sous des médailles dorées et éclatantes et que l'on fauche avant la saison des pluies ! Et les nuages qui filent sous les vents du nord sans but vers leur destin. Un destin que l'on ignore, tout comme on ignore sa chance qui passe un jour devant nous sans savoir qu'elle est celle là. Et devant nos yeux voilés, elle s'arrête un instant, à notre insu, puis repart déçue par trop d'attente. Et qu'on l'a tienne par surprise et la voilà qui pénètre l'âme du chanceux qui a su la retenir. Qui peut clamer, haut et fort, n'avoir pas eu de chance au moins une seule fois dans sa vie…? Qui peut prétendre, sans mentir, 'Ne pas l'avoir vue ..?' Alors qu'il suffisait de la titiller un peu. La chance serait-elle liée au destin…? Où alors le destin, chez certains, serait-il sans chance …Allez le savoir…?'

Sur toutes les affiches et les écrans des Télés du monde, on ne parlait que du mannequin et chanteuse Wali, d'une grande beauté. Des States et des quatre coins du monde Wali était adulée. Les interviews se succédaient aux interviews. Son galbe s'étalait sur tous les magazines de mode. Une africaine issue d'un petit village du Sénégal faisait la une des grands tirages de mode. Wali était devenu la coqueluche du continent africain noire. Sa renommée était si grande que son pays d'origine la vénérait tant elle apportait charme, modestie et douceur dans les demeures sénégalaises. Le président du Sénégal l'accueillit et lui décerna la médaille de la meilleure ambassadrice de charme du pays à travers les états du monde. On l'a surnomma Wali la Lionne. On la courtisait de partout. On la voulait. On s'honorait de sa présence sur tous les plateaux de télé.
Mademoiselle Wali, et vous l'avez compris était en fait Waraba, la toute jeune fille qui fut martyrisée, il y a fort longtemps. Son père, quelque temps après la séparation d'avec la famille d'Adam, à cette époque l'avait confié à son frère vivant à New-York. Elle reprit ses études dans une School célèbre et un jour elle fut remarquée sur l'esplanade par un photographe de renom qui tomba en arrêt sur sa beauté, sa finesse et sa stature. La célébrité fit le reste.

Wali multiplia les œuvres de charité et un grand nombre d'établissement portait le nom W'ahlaï. Ces maisons s'occupaient de l'enfance maltraitée.
Wali n'avait jamais cessé de penser à son ami Adam, resté au pays. Il avait gravi les échelons dans les armes et fut nommé par la suite conseiller auprès du Président Ould Lamine Meta. Adam suivait avec sérénité et grande joie le parcours de Wali. Leurs échanges étaient toujours emprunts de respect. Ils se confiaient leurs impressions. Adam était très amoureux de Waraba mais il doutait que Wali soit toujours restée la même jeune fille, qu'il avait connu autrefois. Il s'était interdit de dévoiler ses sentiments. Par pudeur surtout, ne voulant pas embarrasser une jeune fille marquée par les affres de sa vie d'enfance. Et ainsi être un frein à sa belle carrière qui durait depuis 10 ans. Mais Wali, se sentait lasse de tous ces gens qui ne lui portaient tant d'intérêt sachant que cela ne serait qu'éphémère et qu'un jour, elle tomberait en désuète, comme la plupart des idoles qu'on adule un temps et qu'on oublie.

Lors de ses missions, à l'intérieur du pays, Adam ne manquait jamais d'aller voir ses frères et sœurs dans le village de Koussanar. La famille était toujours restée humble. Et unie.

Et il vous arrive parfois de ces matins de bonheur, qui ne ressemblent à aucun matin des mondes.

'…Adam…..! Mon fils… !'

Lui dit un jour sa maman, alors qu'il venait de se lever vers midi.

'..Va à la rivière Lérèyè….! Le rayon du soleil t'attend…!'

Il s'habilla correctement et sans rien demander, écouta les bonnes paroles de sa maman vieillissante.

Il se rendit à son endroit préfère et là, il vit l'impensable. Son rêve, assis en boubou les pieds dans l'onde si claire et si pure.

'…Wali…? Wali….?'

S'écria t'il.

'…Non Adam, c'est Waraba….!' Au début D ieu créa la terre….Les cieux…etc….Le vent…puis l'homme et enfin la femme…Il n'a pas créé l'argent, ni la fortune au départ, ni la gloire ni le succès…Et tu m'as dit un jour, sur une place de marché aux chameaux…….. Il arrive souvent que la vie commence par le mal pour qu'elle trouve une fin bien heureuse. Tu es encore jeune et belle..!'

Elle se leva, lui prit ses mains qu'elle porta à ses lèvres et les lui baisa comme elle avait fait ce jour là, alors qu'elle était assise sur la terre battue, sur la place du marché. Elle lui prit ses lèvres et les embrassa.

Adam laissait couler ses larmes sur sa joue tandis que Waraba, les lui essuyait tendrement.
Ils s'enlacèrent debout les pieds dans l'eau de la Lérèyè.

'..C'est ci que je veux vivre avec toi….Adam….!'

Fin.

Waraba veut dire Lionne en sénégalais.


La vérité.

Waraba existe, elle 23 ans, célibataire, vit auprès de sa maman Oumi, très grande et belle. Elle travaille dans un magasin de fringue, en jean, basket et débardeur. Elle est mon amie. Elle m'a fait part d'une partie de sa vie, le reste est romancé comme vous l'avez compris.

§§§§§…Sé megen tegui maniIIIIIIIIIIIIIIII nièm. Degbi médjèm dafassari sakhar gofodjèm délsinè …..Africa…AfricaAAAAAAAAAAAAA…..§§§§§…..Nenniou lèn myounNNNNNNNNNNNNNNNNNN sitè siè..§§§§§…Mounièm lola dal yallah bourbi dey natou diaman….§§§……
Le pays là où je vais est très loin. Le train qui m'a emmené est reparti. J'essaye de supporter la souffrance de la séparation. Je supporte tout, c'est D ieu qui l'a voulu car c'est mon destin


La Wali s’en est enfouie
Dans la brousse, elle est partie
Vêtue de sa robe blanche d’hyménée.
Par les ronces et les buissons déchirés.
Et le brouillard enveloppe son beau regard
Inondé par les larmes amères et noires.

Elle marche hagarde dans la forêt
Là où son destin l’attend.

Un vieux sorcier l’attendait.
Un sage dans sa hutte délabrée.
Il lui dit de ne pas désespérer.
Elle est écoutait la Wali
Les paroles du vieux sorcier.
Confiante et rassurée
Elle s’en repartait sur les chemins
Guidée par son destin.
La Wali.


La Wali dans la rivière Lérèyè.
A plongé son regard bien fait
Dans l’onde clair apaisée.

Un frisson a ridé
La surface de l’eau de Lérèyè.

Le reflet de son destin a brillé
Comme une étoile sacrée
Traversant l’immensité
Il s’est réfléchi à ses pieds

Un océan d’espoir
S’est inscrit dans son destin.


Cent mille voix étrangères ondulent l’air
Par delà l’océan.
Cent milles et mille cœurs l’adulent en secret.
Par delà le monde.

La manne bien drue est tombée
Sur la jeune fille noire mannequin.
Qui n’a pas oubliée son pays où elle née.

La Wali forte de son succès
Mais fidèle à son cœur sacré
N’a pas reniée l’amour de son ami
Et sa contrée.

Gloire, paillettes et fortune n’ont pas brisées
Ce noble sentiment pour l’homme de son pays.

La Wali s’en est revenue
Vers ses plates prairies
Humble mais plus jolie
Au pays de ses ancêtres, le Mali
Epouser l’homme de sa vie
Grâce au p’tit conteur de récit
Celui qui se dit le Breitou, ici.
Il le doit par la grâce de Albert.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Girelle (Girelle) le dimanche 04 février 2007 - 21h19:

Viviane, voici ce que dit Wikipédia de Franco:

"Mais surtout Franco fait délivrer par ses consulats, notamment en France, en Hongrie et en Grèce, des passeports espagnols aux Juifs descendants de ceux qui ont fui l'Espagne après 1492. Ainsi Franco aurait évité la déportation de 70 000 Juifs, en s'interposant auprès de Hitler. C'est à ce titre qu'il fut reconnu comme un "Juste" par l'Etat d'Israël."

Pas sure que ce dirigeant iranien sera un jour reconnu comme "Juste", je n'ajouterai pas un commentaire à ce que vous avancez...curieusement.

Le procès d'intention, il vaut mieux le faire en connaissance de cause.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le dimanche 04 février 2007 - 20h23:

Dialogues de sourds
Si l'islamophobie se renforce, il faut y voir un changement d'état d'esprit. Les Européens ont tourné le dos au relativisme culturel et ne veulent plus s'autoflageller, explique un intellectuel tunisien.
L'Europe de plus en plus exigeante avec ses immigrés
ISLAM-OCCIDENT : TOUS ISLAMOPHOBES ?

Dangereuse montée de l'intolérance
pourquoi cette haine de l'islam ?

PROSPECTIVE • La fin de l'Occident n'est pas pour demain
Les nouveaux slogans de l'extrême droite
"L'Europe bientôt en tchador"
Ces écrivains qui partent en croisade
Suspect comme une femme voilée à Londres
En couverture
ISLAM-OCCIDENT : AU COEUR DE L'OCCIDENT
Bientôt des taxis musulmans à Brooklyn ?


Ce sont les mêmes qui haïssent
ISLAM-OCCIDENT : LIEUX DE RENCONTRE

Aux réformateurs d'agir et de convaincre
Les Occidentaux, qui ont su séparer l'Eglise de l'Etat, comprennent mal l'intégrisme musulman et ses exigences, explique le journaliste égyptien Magdi Khalil.
Réflexions d'un religieux libéral
Un soupçon d'islam dans votre fair-play
La mosquée de Cordoue restera une église
En Allemagne, on se convertit en famille

LIRE COURRIER INTERNATIONAL

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Viviane (Viviane) le dimanche 04 février 2007 - 18h09:

Fin de règne. Verra t-on, comme le fit en 1969, à la surprise générale, le Général De Gaulle se déplaçant en Espagne à la rencontre du Général Franco, un Jacques Chirac se rendre à Téhéran à la rencontre de Mahmoud Ahmadinejad? That is the question! Viviane

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le dimanche 04 février 2007 - 18h37:

J'ai lu pendant mon absence, le ‘délirum’ de Bja.

Il a raison. Il n'a pas vécu en Tunisie pendant ces périodes ou par contingent et par périodes nous jufs tunes sont partis. Pas tous en Israël comme le dit Cacou mais un peu partout faisant archéologique notre patrimoine culinaire surtout.

Pour notre art archéologique, ils n'ont rien pu emporter avec eux et pour cause même les marmites de Mloukhiya ont été fouillées pendant la belle époque.

Bja, ça laisse des cicatrices tout cela dans la mémoire collective des juifs qui ont foutu le camp.

D'autre part, Henri a parlé de son cas.
Un cas qui ressemble à bcp d'autres.
Il fallait laisser la place à ceux qui ont acquis par la suite l'expérience administrative.

Une fois prête, une élite a prit les rênes.

Donc, il n'y avais plus de place pour les cadres 'étrangers juifs tunisiens' en Tunisie.
On ne s’en plaint plus aujourd’hui hamdou’allah.

Perso, j’ai quatre immeubles à Paris.
Huit studios et un yacht à Nice.
Plus un Blog. Blog blog….Glou Glou…
Alors qu’est ce que j’ai à me plaindre Bja Rabbi Bja… !

Le problème repose sur tout cela.

Et comme le dit aussi Henri, ce fut un bien.
Pas un mal au contraire, un jour où l'autre, démographie aidant les juifs n'auront plus trouver de débouché dans notre beau pays qui nous a fait comprendre que nos dés étaient jetés ailleurs.

Alors Bja rabbi Bja, réfléchi à ce qu’ils t’aient tous dit.
Ne croie pas aussi que nous cultivons la haine envers nos amis tunes mais seulement de l’amertume.

Les dattes Victoria, nous en avons ici en CAFE...! Sans noyaux.

Salut Bja Rabbi Bja.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Davideden (Davideden) le dimanche 04 février 2007 - 16h14:

Pourquoi y-a-t-il plus de Juifs en Allemagne aujourd'hui que dans tout les pays Arabes ensemble?

Fait il si mauvais en terre d'Islam que les Juifs preferent les Allemands descendants des Nazis a l'Islam-nazisme chronique?