Par Maurice (Maurice) le vendredi 21 janvier 2005 - 11h46: |
EXELLENT ARTICLE DE CHRISTINE CLERC DANS LE FIGARO Extrait de l'Article sur l'affaire Baudis: Dès 1997, l'héritier régional du Parti radical socialiste, Jean-Michel Baylet, ulcéré par une affaire d'abus de biens sociaux, ne donnait-il pas «pour consigne aux plus fins limiers de son journal de dénicher des affaires touchant la municipalité de Toulouse» ? Or ce journal, La Dépêche, sera le premier à accorder autant de crédit aux mensonges de la prostituée Patricia. Les noms de La Dépêche et de Baylet reviennent donc pas moins d'une trentaine de fois dans le livre. Mais l'on devine que si la famille ennemie a joué un rôle d'amplificateur de la calomnie, elle n'en est peut-être pas à l'origine. De même Baudis ne peut-il rien reprocher d'autre à son successeur au Capitole et, croyait-il, à son ami Philippe Douste-Blazy, que sa faiblesse. Informé, Douste aurait dû lui parler. Il n'aurait pas dû, surtout, laisser l'un de ses collaborateurs répandre dans les dîners en ville des fables nauséabondes. Mais que dire du substitut Heinish qui, à propos de l'emploi du temps de Baudis le 20 novembre 1990, ose écrire : «Il apparaît qu'il était présent dans une commission parlementaire entre 16 et 19 heures, alors qu'il déclare avoir reçu à 18 heures, dans son bureau de l'Assemblée nationale une délégation libanaise» ? Pauvre justice ! Pauvre presse ! Et pauvre France où, comme à Outreau, des innocents sont persécutés, tandis que des criminels comme Émile Louis sévissent durant des années ! La seule conclusion que puisse, hélas, en tirer l'auteur, c'est que ce qui lui est arrivé «peut frapper n'importe qui». En Belgique, au Portugal ou en Grande-Bretagne comme en France. Mais le moyen, alors, de se défendre contre la calomnie ? Un procès ? «Il faut deux ans au minimum et beaucoup de frais de justice, écrit Dominique Baudis, revenu de tout sauf de l'amour de sa famille et de l'attachement de ses chers Toulousains. En attendant, il faut subir l'insupportable.»
Face à la calomnie, Dominique Baudis, Fixot Editions, 318 pages, 19,90 €
Cette image de la lacheté ,les Juifs Français la subissent avec la meme perversité quand on voit le deballage de Dieudonné avec ses textes ecrits par un Gauchiste
PAUVRE FRANCE LES ECURIES D'AUGIAS NE sont pas loin
Par Maurice (Maurice) le vendredi 21 janvier 2005 - 10h37: |
Nous Juifs Tunisiens avant d'attendre les Americains nous devons nous battre pour que soit retabli laverité Historique Les judéens n'ont jamais quitté l'Orient Notre Pays avant l'arrivée de la France nos lois dependaient du Bey representant le Diwan Turque et dans cet Empire qui succedait à differents Empires dont les Arabes ces meme arabes qui occupaient la Judée comme les Bretons sont restaurateurs en Corse Le Corse de Paris malgre la Nation republicaine est chez lui en Corse Le Judeen de Tunis continuait à allé vivre en Judée .Ceci etait possible parce que les Empires donnaient la liberté culurelle à chaque Nation La disparition de l'entité OTTOMANE a obligé les independanceq de chaque Etat c'est ce que n'a pas compris nos concitoyens musulmans qui se sont identifies é l'Arabie c'est leur droit et sans haine accepter la notre Israel decoule de ce droit et non de la Shoa qui a precipité ce droit mais ne l'a pas cree.La Oumma est une Utopie car comment accepter d'etre Palestinien sans etre Arabe responsable de la Politique de la Ligue Arabe et de la disparition de l'Empire et la creation des Nations arabomusulmanes L'omma est est une Utopie car comment comprendre la Haine des Shiites et des Sunites C'est pire que entre juifs et Arabes EX : Six morts dans un attentat contre une mosquée chiite à Bagdad
BAGDAD, 21 jan (AFP) © 2005 AFP Irak-violences-chiites-attentat LEAD
Six personnes ont été tuées et 29 autres blessées vendredi par l'explosion d'une voiture piégée devant une mosquée chiite du sud-ouest de Bagdad, selon la police.
"A 09h00 (06h00 GMT), une voiture piégée a explosé devant la mosquée chiite de Chouhada al-Taf, dans le quartier de Rissala, tuant six personnes et en blessant 29, selon un premier bilan", a affirmé le colonel Adnane Abdel Rahmane, porte-parole du ministère de l'Intérieur.
Par Bazooka (Bazooka) le vendredi 21 janvier 2005 - 10h45: |
5 breves de l'ambassade d'Israel a Paris
Aide israélienne au plus grand pays musulman au monde
Yediot Aharonot, 13 janvier
Histoire aérienne : un avion Jumbo 747 de la compagnie El-Al a atterri le samedi 12 janvier 2005 sur l’île Bataam en Indonésie, le pays musulman le plus grand au monde et qui n’entretient pas de relations diplomatiques avec Israël. Pour la première fois depuis 10 ans (en 1994 le Premier ministre Ytshak Rabin s’y était posé lors de son retour du Japon et avait rencontré les dirigeants indonésiens), les autorités indonésiennes ont accepté qu’un avion israélien atterrisse en Indonésie pour aider les victimes du Tsunami. L’avion transportant 75 tonnes d’équipement humanitaire devait voler sans aucun signe de reconnaissance.
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Hausse du tourisme de 41 pour cent en 2004
Jérusalem Post, 19 janvier
Près d'1,5 millions de touristes se sont rendus en Israël en 2004, soit une hausse de 41 pour cent par rapport à 2003, et de 74 pour cent par rapport à 2002, où seuls 861 900 étrangers avaient visité le pays, ont annoncé mardi 18 janvier le Bureau Central des Statistiques et le ministère du Tourisme.
Le ministre du Tourisme, Avraham Hirschson, a déclaré que son ministère s'était donné pour objectif 1,7 million d'entrées en 2005.
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47 brevets israéliens pour IBM en 2004
Jerusalem Post, 17 janvier
Les scientifiques israéliens travaillant pour IBM ont déposé au nom de la compagnie américaine 47 brevets en 2004. Les laboratoires de la société en Israël se trouvent à la septième place sur la liste internationale des dépôts de brevets au nom d'IBM, après les Etats-Unis, le Japon, l'Allemagne, la France, la Grande-Bretagne et la Suisse. IBM est depuis 12 années consécutives le leader américain pour le dépôt de brevets, avec 3248 inventions répertoriées en 2004.
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Une petite partie du savoir-faire israélien sur Titan
source: Infoweb-J.net
La principale contribution de l'Europe à la mission Cassini-Huygens, c'est-à-dire la sonde Huygens, a été fabriquée pour le compte de l'Agence spatiale européenne par un consortium industriel dirigé par Alcatel Space. Ce véhicule spatial de 320 kg transporte six instruments destinés principalement à étudier l'atmosphère de Titan pendant sa descente.
Cette charge utile scientifique a été développée avec la participation de laboratoires et de centres de recherches appartenant à tous les États membres de l'ESA mais aussi aux États-Unis, à la Pologne et à Israël.
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Rita en concert
La carrière de Rita est une histoire magique et extraordinaire. Nouvelle immigrante d’Iran, Rita est devenue en quelques années, la plus grande chanteuse israélienne. Une voix magique, étincelante, envoûtante, une présence sur scène hors du commun, Rita sait communier avec le public. Sa voix est connue dans le monde entier.
Elle revient en France pour le KKL à l’occasion de Tou Bichvat 5765, pour 2 concerts uniques.
Marseille : concert le samedi 22 janvier
Palais des Congrès – Parc Chanot – 2, Bd Rabatau 13008 Marseille
Renseignements et réservations au KKL : 04.91.53.39.74. ou kkl.psarfati@wanadoo.fr
Paris : concert le lundi 24 janvier
Casino de Paris – 16 rue de Clichy – 75009 Paris
Renseignements et réservations au KKL : 01.42.86.88.88. - info@kkl-france.org
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Shabbath Shalom a tous
Par Pauline (Pauline) le vendredi 21 janvier 2005 - 08h45: |
Article de réflexion de Salomon Benzimra récemment paru sur le site de l'IHC.
En document joint également, en français suivi de l'original en anglais.
Bonne lecture,
Simon Pilczer
Les Mythes Palestiniens excluent une Paix Durable
Par Salomon Benzimra
Traduction française de Simon Pilczer, volontaire de l’IHC
Résumé de l’IHC
Il serait bon que, quand une personne cruelle meurt, la propagande qu’il a répandue puisse disparaître aussi. La mort de Yasser Arafat n’a pas encore éteint les falsifications qu’il a contribué à créer. Déclarant que les Juifs ont volé la terre des Palestiniens, qu’il n’y avait jamais eu de Temple juif à Jérusalem, et que Jésus était un Palestinien, sont seulement quelques-uns de ces mythes.
Les leaders mondiaux tels que le président français Jacques Chirac, le président russe Vladimir Poutine, et le secrétaire général des Nations Unies Kofi Annan continuent de faire l’éloge d’Arafat et de maintenir ces contre-vérités, perpétuant l’idée qu’Israël n’a pas le droit à l’existence en tant qu’Etat juif. Mahmoud Abbas, le successeur d’Arafat, ne fait aucune tentative pour réfuter ces idées, ce qui provoque un obstacle supplémentaire à la paix. Konrad Adenauer, le Premier dirigeant allemand après la seconde guerre mondiale, fut un ferme opposant à l’idéologie nazie et il prit des mesures drastiques pour la détruire. S’il ne l’avait pas fait, être appelé antisémite aujourd’hui ne recouvrirait pas un sens honteux.
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Des comparaisons à Adolf Hitler et aux nazis ont été diffusées dans le discours politique récent, quoique largement infondées, et toujours disproportionnées. Ces analogies sont utilisées pour un personnage d’assassin, dirigées contre toute personne estimée dictatoriale, raciste, antisémite, ou génocidaire. Plutôt que de tirer des parallèles futiles entre le nazisme et des mouvements politiques contemporains, nous devrions réfléchir sur la période post-hitlérienne : comment une paix durable fut-elle obtenue en Europe, et que pouvons-nous en apprendre dans l’ère post-Arafat du conflit du Moyen-Orient.
L’ascension d’Hitler vers le pouvoir fut en grande partie rendue possible par les mythes qu’il créa et alimenta en maître : l’Allemagne, disait-il, a perdu la première guerre mondiale parce qu’elle « fut poignardée dans le dos » ; le peuple aryen supérieur était légitimé à diriger le monde et à étendre les valeurs de la race maîtresse « au-dessus » de toutes ; les Juifs devenaient les ennemis du genre humain et ils devaient être dépossédés, déportés ou pire ; l’Allemagne avait le droit d’étendre son territoire et de réclamer son espace vital légitime (‘lebenraum’).
Hitler exposa ces mythes dans Mein Kampf bien avant d’être appelé à diriger l’Allemagne lors de sa première et dernière élection. Mais ces menaces claires furent soit ignorées, soit commodément écartées par les pacifistes européens jusqu’à ce que la deuxième guerre mondiale éclate. Seuls quelques hommes de grande vision, tels que le président français Poincaré en 1921, et plus tard Winston Churchill – virent clairement poindre l’orage.
Après la mort d’Hitler en 1945, l’immense tache de reconstruction de l’Allemagne et du reste de l’Europe commença avec un programme de dénazification. Non seulement on arrêta les chefs au sommet du régime nazi, qui furent jugés, et dans certains cas exécutés, mais toute l’idéologie nazie dut être détruite, en commençant par ses mythes fondateurs. Plus jamais de suprématie du peuple aryen, après la reddition inconditionnelle de l’Allemagne ; plus jamais de guerres d’agression tolérées par la communauté internationale, plus jamais de victimisation de l’Allemagne pour tolérer son agression. Konrad Adenauer, le premier dirigeant de l’après-guerre et un ardent opposant à l’idéologie nazie, compris la nécessité de ces mesures drastiques, aussi douloureuses qu’elles puissent être à la psyché allemande. L’éradication de ces mythes était, dans une certaine mesure, consacrée dans la charte de l’ONU et dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. De même pour l’antisémitisme, quand l’horreur complète de l’Holocauste avait été dévoilée, il fut condamné de manière écrasante.
Même les antisémites irréductibles au sein de la soi-disant « intelligentsia » européenne durent se calmer, peut-être avec un zeste de déception nostalgique. L’écrivain français Georges Bernanos écrivit que, peut-être prématurément, « le nazisme avait discrédité l’antisémitisme ». La mort d’Hitler n’était pas, en elle-même, suffisante pour donner le signal de la fin du nazisme et de la renaissance d’une Europe pacifique. Tous les mythes qu’Hitler avait créés et encouragés devaient être minutieusement détruits avant d’introduire une nouvelle ère de paix et de reconstruction.
En novembre 2004, Yasser Arafat est mort à Paris après une longue carrière de violence, de corruption, de double langage, d’incitation à la haine, de terrorisme, et de mensonges éhontés. De nouveau, tout parallèle entre Arafat et Hitler est au mieux, fragile. Le Raïs n’avait pas la puissance militaire, la base de connaissance, ou la portée globale du Führer. Mais il avait le charisme, la ruse, l’instinct machiavélique, et le sens profond de la propagande qui attirait des millions de gens de gens parmi les ‘idiots utiles’ pour être propulsé des terroristes vers les personnalités respectables du monde dans les années 1970.
Il créa aussi les mythes les moins plausibles : le peuple palestinien antique, disait-il, peut remonter aux Cananéens, et a vécu en Terre Sainte depuis des temps immémoriaux ; Jérusalem est le troisième lieu saint de l’Islam et ne doit pas être « judaïsé » ; Il n’y a jamais eu de Temple juif ici ; les Juifs ont volé la terre palestinienne et continuent de l’occuper ; Jésus était un Palestinien. Et bien sûr, les sentiments anti-juifs étaient ravivés dans les institutions palestiniennes, soit sous le nouveau cloaque à la mode « d’antisionisme », ou simplement en tant que vieil antisémitisme, cette fois avec des connotations coraniques . Le mouvement d’Arafat est devenu un aliment de base de l’idéologie gauchiste à travers le monde – qui se précipite toujours aveuglément au secours de toute prétendue victime – et probablement le principal obstacle à la paix au Moyen-Orient.
Que fait le monde dans la période post-Arafat immédiate ? A l’exception bienvenue du Premier Ministre australien John Howard qui n’a jamais manqué de reconnaître en Arafat le terroriste qu’il avait toujours été, Arafat reçut l’éloge du président français Jacques Chirac comme un « homme de courage et de conviction » ; par le président russe Vladimir Poutine, qui le caractérisa comme « un grand dirigeant politique ayant une importance internationale … qui dédia toute sa vie à la cause légitime des Palestiniens » ; par le secrétaire général des Nations Unie Kofi Annan, qui fit mettre le drapeau des Nations Unies en berne, et observa une minute de silence à l’assemblée Générale ; et par d’autres innombrables qui saluèrent en lui un honorable homme d’état pour « avoir mis la Palestine sur la carte ». Il n’y eu pas de reconnaissance de ce qu’ils l’honoraient pour les mythes qu’il créa, plutôt que pour tout autre réalisation digne d’éloge. Aucun de ces dirigeants ne tenta jamais de remettre en cause les mythes d’Arafat. Au contraire, soit ils les tolérèrent tacitement, ou ils les soutinrent activement.
Et ce sont quelques uns des dirigeants proéminents du Quartette qui soutiennent la « carte routière » pour la paix au Proche-Orient ! Les Etats-Unis adoptent une attitude plus exigeante dans l’approche de la période post-Arafat en insistant sur les institutions démocratiques et de nouveaux dirigeants « non compromis dans la terreur ». Mais ce n’est pas assez : ce n’est pas la forme du gouvernement ou la transparence de ses opérations financières qui peuvent établir une paix durable dans la région. Ce sont les mythes et des symboles destructeurs de la narration palestinienne qui sont un obstacle à la paix. Ils doivent être profondément détruits à moins de s’embarquer de nouveau sur une route vers nulle part comme celle d’Oslo.
Que font les dirigeants palestiniens à la veille de leur prochaine élection ? Ils honorent tous Arafat (au moins en public) et pressent les dirigeants en visite de déposer un couronne sur sa tombe à Ramallah ; ils soutiennent ouvertement le ‘droit au retour’, qui revient à dénier le droit à l’existence pour un Etat Juif ; ils tiennent des pourparlers avec le Hamas, le Jihad islamique et d’autres organisations terroristes palestiniennes ayant leurs quartiers généraux à Damas. Et déclarent publiquement qu’il n’y a pas de « différences sur leurs objectifs ».
Et Mahmoud Abbas, le dirigeant récemment élu de l’Autorité Palestinienne, se prélasse au milieu des terroristes et s’engage à les protéger. Abbas n’est pas Adenauer et ses positions ne sont pas compatibles avec la paix au Moyen-Orient. Les mythes palestiniens doivent être démantelés avant que les négociations ne reprennent. Il faut en finir avec l’inclination démontrée par les diplomates à se précipiter dans une salle de conférence avant de saisir le plein impact des principes sous-jacents.
Dans un discours donné à l’Institut Américain de la Paix le 19 août 2004, Condoleeza Rice, la future secrétaire d’état, a fait les commentaires suivants sur la guerre au terrorisme : « La vraie victoire viendra non seulement quand les terroristes seront défaits par la force, mais quand l’idéologie de la mort et de la haine sera vaincue par l’appel à la vie et à l’espoir, et quand les mensonges seront remplacés la vérité ». Israël a été empêché – par les USA entre autres – d’infliger une défaite totale au terrorisme palestinien par la force, en renonçant ainsi à une vraie victoire et en conservant très vivante la terreur et la haine palestiniennes. Mais il demeure un espoir qu’une politique de la direction américaine plus éclairée puisse démanteler la toile palestinienne de mensonges et d’instiller quelque vérité dans le processus, de façon à donner à la paix une sérieuse chance d’émerger.
Source :
le texte original a été soumis par l’auteur, Salomon Benzimra, le 6 janvier 2005.
Résumé en anglais rédigé par Marilyn Solmon, volontaire de l’IHC
Publié par le bureau de l’IHC www.infoisrael.net.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 21 janvier 2005 - 00h21: |
Les menaces contre le président de l'Allemagne Fédérale, Horst Köhler, de ne pas le laisser s'exprimer dans sa langue allemande à la Knesset lors de sa visite en Israël, démontre que ceux qui menacent n'ont pas encore passé les 40 années du désert et que le mal est toujours là.
La langue allemande est une des plus belles langues du monde. Elle n'est pas la langue de Horst Köhler seulement mais aussi la langue de Goethe, de Schiller,de Heine, de Mozart, de Bethoveen, de Schubert, de Bach, de Händel,et ne pas oublier Konrad Adenauer qui n'a rien à avoir avec les nazis et qu'il a eu le courage de reconnaître le crime allemand. Il est le premier allemand à serrer la main à Ben Gurion au Waldorf Astoria et de faire l'accord pour le dédommagement à Israël.
A retenir que le peuple juif en Europe à usé de la langue allemande pendant des siècles et s'en est servi comme base pour le Yiddish. Par contre dans l'intérêt du peuple juif, la visite dans le Yad Vachem et autres lieux se rapportant à l'histoire et la souffrance du peuple juif le rapprochera d'Israël. Déja les menaces créent un écho négatif dans les média allemands.
Par Edmond (Edmond) le jeudi 20 janvier 2005 - 20h54: |
Enderlin bientôt évincé
Mise en scène d’Enderlin : Arlette Chabot devrait lâcher son falsificateur
Il apparaît de plus en plus clairement que France 2 va bientôt se séparer de son correspondant à Jérusalem maintenant qu’il a été prouvé qu’il a menti : mutation, retraite, renvoi… ?
Les preuves s’accumulent semaine après semaine et Charles Enderlin se défend de plus en plus mal.
Il reconnaît que diffuser une mise en scène, et faire croire que c’est la réalité, est un « crime ».
Il reconnaît implicitement qu’il ne détient pas les images de l’agonie de l’enfant. Il n’est d’ailleurs pas le seul à reconnaître ce mensonge puisqu’à France 2, on convient que ces images n’existent pas.
Enfin, lorsque Charles Enderlin se retrouve acculé par des questions qui le mettent en difficulté, il prétend ne pas pouvoir s’exprimer sur ce sujet et renvoie systématiquement vers Mme Chabot, qui n’est ici qu’une victime qui n’a fait que récupérer un dossier dont elle a hérité malgré elle.
En tout état de cause, de nombreux responsables de la chaîne ont compris qu’il y a eu bidonnage - il paraîtrait même que Mme Chabot en convienne – et savent qu’il va bientôt falloir révéler la réalité de la mise en scène sans que cela ne provoque trop de dégâts.
Il ne reste plus qu’à la directrice de l’information de France 2 de se saisir sérieusement du dossier, d’écouter, d’observer sereinement les éléments et de tirer les conclusions qui s’imposent si elle ne souhaite pas être prochainement balayée par la vague qui emportera tous ceux qui ont trempé dans cette mystification audiovisuelle.
Le Wall Street Journal a consacré à cette affaire un éditorial accablant pour France 2 et Charles Enderlin le 10 décembre 2004.
Front Page Magazine a publié, le 28 décembre 2004, un article d’Alyssa Lappen fort bien argumenté - The Israeli Crime That Wasn’t - dans lequel Media-Ratings est plusieurs fois cité.
Ajout du 20 janvier 2005
Comme nous l’annoncions précédemment, les médias américains continuent à enquêter sur l’affaire Enderlin et arrivent tous à la même conclusion : France 2 a présenté un faux le 30 septembre 2000 et cherche à dissimuler sa faute depuis.
Nous vous invitons à découvrir deux articles qui ont été publiés le 13 janvier 2005 (où Media-Ratings est cité) :
French TV Allegedly Using Threats to Avert Fraud Probe par CSNnews.com
Are French media covering an hoax par l’Association Mondiale des Journaux.
D’autres articles, encore plus accablants pour France 2, devraient être bientôt publiés dans des médias de renommée internationale.
Mme Arlette Chabot, qui n’était pas en poste au moment où la mise en scène a été diffusée par France 2, continue à couvrir Charles Enderlin.
Elle n’a donc aucune responsabilité dans la diffusion initiale de ce faux historique.
Toutefois, si Mme Chabot continuait à couvrir le fraudeur, elle pourra être tenue responsable d’avoir, en connaissance de cause, continué à le soutenir au delà du raisonnable.
Ajoutons que le vent est en train de tourner et que la campagne de presse (et de pressions) qui a été lancée pour « sauver le soldat Enderlin » s’essouffle. En effet, de nombreux intellectuels, responsables médiatiques et politiques ont compris que la mort de Mohamed Al Doura était un faux.
Bien évidemment, certains de ceux qui dépendent économiquement, du groupe Francetélévisions préfèrent prendre la défense de Charles Enderlin.
Notons le cas de M. Daniel Schneidermann – Arrêt Sur Images sur France 5 et chronique médias dans Libération - qui détient les preuves de la falsification d’Enderlin mais qui préfère taire ce qu’il sait.
Est-ce parce que la société de production de Daniel Schneidermann dépend de contrats signés avec Francetélévisions ?
Nous n’osons y croire mais il nous semble troublant de constater que ce grand pourfendeur des dérives des télévisions privées et autres médias ait tant de mal à révéler la supercherie d’Enderlin.
Pour mieux comprendre pourquoi seuls les médias étrangers parlent librement de cette affaire et arrivent aux mêmes conclusions que nous, nous avons interrogé le dirigeant d’un grand média français qui s’est exprimé confidentiellement, donc librement.
Voici ce qu’il nous a affirmé : « Aucun quotidien français ne vous suivra dans votre lutte pour faire sortir la vérité dans l’affaire Enderlin, même si vous avez raison et je crois que vous avez raison. »
Pourquoi ?
« Parce que le groupe Francetélévisions est un gros annonceur dont ne peut se passer la presse quotidienne, surtout dans les moments difficiles qu’elle traverse actuellement. Si en plus vous tenez compte du fait que tout journaliste rêve de travailler un jour ou l’autre à la télévision, vous comprendrez qu’ils n’ont aucune envie d’insulter l’avenir et qu’ils se rangeront bien sagement dans le camp du plus fort, en l’occurrence aujourd’hui, le groupe Francetélévisions. Mais rassurez-vous le rapport de force peut changer. »
Enfin, toujours pour vous permettre de constater la situation absurde dans laquelle se trouvent les médias français, nous vous invitons à lire ces citations extraites du Figaro et du Monde des 11 et 12 janvier 2005 :
« Depuis lundi, la rédaction de la chaîne doit faire face aux conclusions des experts indépendants nommés pour faire la lumière sur cette affaire…
Très vite, la véracité des sources d'information est mise en cause… le présentateur vedette de l'émission et du JT de la chaîne, fait son mea culpa. Un geste insuffisant.
Par la suite, après vingt-trois ans de service, il est contraint d'annoncer son départ anticipé en mars prochain…
Ils déplorent l'obstination de l'équipe à défendre son reportage, la confiance excessive accordée à la productrice… mais, surtout, l'absence de procédures de vérification et de contrôle de l'information et des sources…
Première conséquence des conclusions des Sages, le renvoi de quatre journalistes chevronnés de la chaîne…
Toutefois, le président échappe de justesse au licenciement, au grand dam de nombreux reporters…Symbole oblige, il a immédiatement décidé de créer un nouveau poste, celui de vice-président en charge des principes éthiques. Une mesure destinée à rétablir la confiance du public…
Ces problèmes ont d'abord été causés par un zèle aveugle lié à la volonté de diffuser… »
Puis :
« La chaîne a annoncé, lundi 10 janvier, le licenciement de quatre de ses collaborateurs, sanctionnés après la diffusion le 8 septembre d'une enquête controversée…
Après plusieurs jours de polémique, l'équipe avait fini par reconnaître ses erreurs et présenter des excuses. Pour mettre fin au scandale…avait demandé à une commission composée de personnalités indépendantes de mettre en lumière les défaillances ayant conduit à la diffusion de l'émission.
Le rapport de 224 pages, rendu public lundi 10 janvier, est accablant.
Selon ses conclusions, … s'est précipité pour diffuser l'enquête afin de prendre de vitesse ses concurrents et a refusé de prendre en considération des informations contradictoires non seulement avant que l'émission soit diffusée mais, ensuite, pendant près de deux semaines.
La commission a rapidement identifié des erreurs considérables et fondamentales liées à l'enquête et à la production de l'émission, souligne le rapport. Il ajoute ne pas avoir de preuves que l'équipe a agi pour des raisons politiques, mais plutôt par excès d'enthousiasme et de pression compétitive.
…a trouvé le document contesté et en a caché à ses collaborateurs la source, qui était douteuse
…a apporté dans sa carrière de nombreux scoops à la chaîne…
a aussi demandé la démission de la vice-présidente responsable des programmes d'informations. »
Comme vous vous en doutez certainement, ces citations ne concernaient pas France 2, pas encore ! mais sont extraites d’articles consacrés au scandale qui a touché CBS et Dan Rather en septembre 2004 lorsque la chaîne américaine a présenté de fausses preuves mettant en cause le passé militaire du président Bush.
Il a donc fallu 4 mois à CBS pour réagir, dire la vérité et prendre les bonnes décisions.
Cela fait plus de quatre ans que cela dure et que France 2 continue toujours à couvrir le falsificateur Enderlin.
Précisons que l’ensemble des médias français reçoivent nos communiqués de presse.
Si vous êtes journaliste et que vous avez la curiosité de voir les preuves qui accablent Charles Enderlin et France 2 dans cette affaire, un collaborateur (ou une collaboratrice) de Media-Ratings se fera un plaisir de venir vous présenter les preuves de la mystification.
Par Citron (Citron) le jeudi 20 janvier 2005 - 19h09: |
le championnat du monde de handball débute cette semaine a tunis
Par Citron (Citron) le jeudi 20 janvier 2005 - 19h04: |
Chaouachi : portrait d’un métier
Le premier souk des chéchias daterait d’Abu Zakaria El Hafsi dont il a d’ailleurs gardé le nom depuis sa naissance : «Souk El Hafsi»…
L’embellie de ce couvre-chef traditionnel entre le XVIIe et le XVIIIe siècle a été couronnée par l’institution du souk Kébir, le grand souk de la chéchia. Véritable noyau de la Médina, ce nouveau souk a vite drainé la corporation, qui en a fait son fief. Mais les artisans étaient nombreux…
Résultat : il fallait s’emparer des lieux, quitte à fonder un autre souk. Ainsi a été créé le souk Séghir, que le café Chaouachine sépare aujourd’hui du grand souk.
Et qui sont-ils?
Reclus dans son arrière-boutique, le maître chaouachi (maâllem) passe au crible le travail, marchande la laine, la peinture, l’outillage. «Faire vite et bien», telle doit être la devise de qui veut se forger une carrière.
«Introduite par les Andalous à la fin du XVe siècle, cette industrie faisait la fierté de la Médina», confie Si Noureddine Ghariani, amine des chaouachia.
Du temps des beys, elle était considérée comme un métier de noblesse : «Sans déprécier personne, il était rare qu’un maître chaouachi n’ait pas une carrure intellectuelle», affirme-t-il.
«Ce sont eux qui précèdent les autres corporations lors des cérémonies beylicales où l’amine chaouachi devait représenter l’ensemble des artisans», rappelle encore l’amine du souk.
L’intérêt porté à cette industrie tient aussi au fait qu’elle n’existe nulle part ailleurs qu’en Tunisie. Une raison fort suffisante pour comprendre les «prérogatives» historiques dont elle jouit.
«Bien des figures emblématiques de l’intelligentsia tunisienne avaient été également des maîtres chaouachis», ajoute l’amine du souk.
Par-delà les vocations de chacun, le métier traverse des difficultés. Payés à la tâche, les chaouachia connaissent, en effet, des périodes creuses, des moments difficiles qui font pâlir les plus stoïques d’entre eux : récession de la demande, flambée des prix des matériaux. «C’est une profession où l’on ne tient pas compte des questions d’horaire et de rentabilité», remarque si Ghariani.
«C’est de la pure laine», souligne notre interlocuteur. Une laine tissée dans les plus célèbres filatures françaises. Le travail effectué dans l’atelier ou l’arrière-boutique n’est ainsi qu’un maillon de la longue chaîne de cet artisanat. La filature prête, une autre étape est enclenchée. Encore une, qui s’opère ailleurs : il s’agit du tricolage à cinq aiguilles de la première forme de notre chéchia. Celle que les artisans s’accordent à appeler kabbous. Le maître chaouachi remet généralement la laine à des femmes. Celles-ci tricotent selon des mesures différentes un grand nombre de kabbous. Le foulage de ces couvre-chefs qui permet de les rendre souples, se faisait jadis à l’atelier. Aujourd’hui, toutes les étoffes de laine du pays sont foulées à La Manouba. Reste le cardage. Tout l’art est dans ce geste. En cardant la première mouture d’une chéchia, l’apprenti doit éviter qu’elle s’écorche. Soigneusement pliée dans ses mains, il passe dessus une brosse à pointes douces. Il peigne et peigne encore jusqu’à enlever toutes les filasses déchiquetées, coiffant le tissu unifié du couvre-chef.
N’est-ce pas là l’image à laquelle on reconnaît un chaouachi? S’il est évident que le cardage peut être moins compliqué que d’autres tâches, il n’en reste pas moins une phase délicate où patience doit rimer avec attention.
Les chaouchias préfèrent au sceau de l’artisan un sigle cousu. Ils reproduisent une ébauche griffonnée permettant de distinguer des autres leur produit dans le souk. Ainsi il est plus difficile d’imiter un produit appartenant à tel artisan.
L’étape d’après est celle de la teinture. «Et c’est ce qui fait la différence entre les régions», souligne l’amine des chaouachias. Le marché libyen étant important, on note que les Tripolitains préfèrent le noir et que les habitants de Benghazi portent plutôt une chéchia bordeaux. Les gens du Cap Bon choisissent le rouge. «Les goûts et les couleurs ne se discutent pas», fait remarquer un artisan du souk Séghir.
Le prix d’une chéchia varie entre 5 et 30D : «Le kermez et la cochenille reviennent cher», explique un chaouachi faisant référence au matériau. «La chachia stambouli provient d’Istanbul. Mais en Tunisie, c’est surtout la chéchia locale qui est la plus demandée», ajoute l’artisan.
Désormais, tout ce qui se fait au souk Chaouchia, c’est la finition: «Le souk a connu une régression. De 400 maâlem, ils ne sont plus aujourd’hui que 35».
Fatma RASSAA
www.lapresse.tn
Par Email (Email) le jeudi 20 janvier 2005 - 20h09: |
Bonjour,
Je vous ecris des Etats Unis ou je suis en train de preparer un doctorat en litterature franciase, mon sujet etant les ecrivaines juives d'origine maghrebine.
Nine Moati et Chochana Boukhobza sont deux auteurs qui figurent dans mon etude, et je cherche un moyen de me mettre en contact avec elles, pour pouvoir peut-etre les rencontrer quand je passe par Paris au mois de mars....
Pourriez-vous m'aider, ou au moins suggerer par ou commencer?
Je vous remercie d'avance!
b'shalom
Nina Lichtenstein
Par Emma (Emma) le jeudi 20 janvier 2005 - 19h02: |
ÉCLAIRAGE - "Une menace de boycott affligeante, honteuse et incompréhensible"
Invité en Israël, le président de la république fédérale d'Allemagne doit parler devant la Knesset. Mais certains députés refusent qu'il s'exprime en allemand.
A l’occasion du 40e anniversaire de l’établissement de relations diplomatiques entre Israël et l’Allemagne, le président de la République, Horst Köhler, doit se rendre en Israël début février et parler devant la Knesset. Lorsqu’ils en ont été informés, des députés israéliens ont menacé de boycotter l’événement si M. Köhler tenait son discours en allemand. Certains députés demandent qu’il s’exprime en anglais. Le vice-président de la Knesset, Hemi Doron, a annoncé qu’il déposerait une motion pour annuler l’invitation. Les réactions de Marcel Reich-Ranicki, critique littéraire célèbre pour ses émissions télévisées et l’un des derniers survivants du ghetto de Varsovie, dans les colonnes de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.
Comprenez-vous les arguments des députés israéliens qui ne veulent pas entendre parler allemand à la Knesset aussi longtemps que des survivants de la Shoah sont encore en vie ?
Marcel Reich-Ranicki : Je trouve cette menace de boycott non seulement affligeante, mais aussi honteuse et finalement incompréhensible. Ceux qui veulent empêcher qu’il soit parlé allemand en Israël prétendent que la langue allemande a été discréditée par les crimes nazis, qu’elle profanerait la mémoire de l’Holocauste. C’est une absurdité. La vérité, c’est que la langue allemande a été dénaturée d’une manière effroyable par les nazis et par Hitler et nombre de ses proches collaborateurs. Les hommes politiques qui, en Israël, protestent contre l’allemand n’ont de toute évidence pas conscience du rôle des Juifs de langue allemande dans l’évolution de la pensée moderne. On ne peut pas imaginer la physique sans Einstein, la psychologie sans Freud, la sociologie sans Marx, la littérature sans Kafka et la musique contemporaine sans Mahler ni Schönberg – tous étaient des Juifs de langue allemande.
Theodor Herzl, le père du sionisme, n’avait-il pas prévu que l’allemand serait la langue officielle de la nouvelle patrie des Juifs ?
Absolument. Si on pense au rôle que cette langue a joué dans l’histoire des Juifs de l’époque moderne, cela n’a rien d’étonnant. On peut dire que le sionisme a été conçu dans la langue allemande. Herzl a lui-même évoqué l’impulsion décisive qui a conduit à la naissance du mouvement sioniste dans son livre Der Judenstaat [L’Etat juif], écrit en allemand et paru en 1896. Herzl n’est-il pas admiré en Israël comme le fondateur du mouvement sioniste et le prophète de l’Etat juif ?
Propos recueillis par Hubert Spiegel
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 20 janvier 2005 - 14h49: |
Pour ceux qui avaient apprecie le dessin qu'Ilan Ramon avait emporte avec lui dans l'espace ...
Le journal d'un garçon juif mort à Auschwitz bientôt publié à Prague
AFP | 20.01.05 | 12h59
Récemment découvert à Prague, le journal tenu en 1941-42 par un garçon juif mort en 1944 dans le camp d'Auschwitz, Petr Ginz, dont un dessin a été emporté en 2003 dans l'espace par l'astronaute israélien Ilan Ramon, sera bientôt publié dans la capitale tchèque, rapporte jeudi la presse."Il s'agit à mon avis d'un document historique intéressant, que les gens devraient lire. C'est un avertissement", a indiqué la soeur de Petr Ginz, Chava Pressburger, au journal Lidove Noviny."J'ai vu ce journal pour la première fois en 2003, auparavant je ne savais pas qu'il existait", a confié Mme Pressburger, qui a quant à elle survécu à l'Holocauste et qui vit depuis 1948 en Israël.En 2003, Mme Pressburger avait demandé au premier astronaute israélien, Ilan Ramon, d'emporter avec lui un dessin au crayon de Petr Ginz intitulé "Paysage lunaire" et représentant la planète Terre vue depuis la Lune, à bord de la navette spatiale américaine Columbia, qui s'est désintégrée lors de son retour sur Terre, le 1er février 2003.Après l'apparition dans les pages de la presse mondiale de ce dessin, prêté par le Mémorial Yad Vashem de Jérusalem, un Pragois a réalisé que des documents qu'il avait découverts dans le grenier de sa maison située en banlieue de la capitale tchèque, appartenaient justement à Petr Ginz. Il a ensuite contacté sa soeur."Il ne s'agissait pas uniquement du journal, mais aussi de six cahiers de contes, d'un roman inachevé et de gravures sur linoléum. Petr était encore un enfant, mais il enregistrait les événements historiques comme un journaliste", raconte Mme Pressburger. C'est elle qui a préparé la publication prévue en février de ce journal, rédigé en tchèque.Ecrit entre septembre 1941 et août 1942 à Prague sous l'occupation nazie, le journal de Petr Ginz s'ouvre par les phrases suivantes: "Le temps est brumeux. Le port de l'étoile juive est devenu obligatoire. En allant à l'école, j'ai compté 69 shérifs", (juifs).Petr Ginz a été déporté en 1942 dans le camp de concentration de Terezin (Terezienstadt) au nord de Prague, puis en 1944 dans le camp d'Auschwitz où il a été gazé à l'âge de 16 ans."Le journal de Petr est absolument véridique, montrant comment se comporte et vit un enfant dans ces conditions-là", a dit Mme Pressburger.
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 20 janvier 2005 - 12h57: |
Bon repos a notre ami Breitou qui nous manque quand meme un peu.
Par Anonyme (Anonyme) le jeudi 20 janvier 2005 - 08h46: |