Par Maurice (Maurice) le mardi 06 février 2007 - 20h21: |
Cher Cacou nous sommes tous en vie donc il faut vivre mais il y a un degre; ou l'individu fait ce qu'il pense" bien faire "et non penser qu'a sa panse Ainsi Blum depassait la carriere Mendes De Gaulle tandis qu'il en a qui courre pour des voyages de plus en plus lointain des metres carres toujours plus des bouffes et vins de plus en plus cheres ect ESPERONS E,,,,, ,,,,, que des hommes seront sinceres
Par Braham (Braham) le mardi 06 février 2007 - 20h26: |
Cactus en Fleur, Passadena
Par Maurice (Maurice) le mardi 06 février 2007 - 20h21: |
Cher Cacou nous sommes tous en vie donc il faut vivre mais il y a un degre; ou l'individu fait ce qu'il pense" bien faire "et non penser qu'a sa panse Ainsi Blum depassait la carriere Mendes De Gaulle tandis qu'il en a qui courre pour des voyages de plus en plus lointain des metres carres toujours plus des bouffes et vins de plus en plus cheres ect ESPERONS E,,,,, ,,,,, que des hommes seront sinceres
Par Braham (Braham) le mardi 06 février 2007 - 18h29: |
Cher Toufiq
Ayant vecu quelques annees a Passadena (dans les annees 90), elle reste pour moi la plus belle et la plus interessante ville des environs de Los Angeles.
A propos de Cactus la-bas, voici une photo prise dans les jardins de la Huntington Library ou on les voit en fleur.
Pense a moi quand tu entres un soir dans un de ces cafes ou on joue sans arret de la musique de Jazz.
Par Bazooka (Bazooka) le mardi 06 février 2007 - 20h06: |
Girelle,
Je crois que vous parlez hebreu, n'est-ce pas ?
Eh bien l'expression consacree en hebreu qui sied idealement a Dumas c'est (vous la connaissez sans doute):
" Ha dag mazriach min haroch "
Traduction litterale:
Le poisson pue de la tete
Tant il est vrai que contre les mauvaises odeurs des pieds on peut toujours investir dans des pompes a une brique (cf post de Cacouboulou), et contre les mauvaises odeurs du seant, on peut toujours "peter dans la soie", mais, malheureusement, contre les mauvaises odeurs de la tete, on n'a pas encore trouve la solution (meme pour ceux qui ont de l'or en barre) !
;-)
Par Girelle (Girelle) le mardi 06 février 2007 - 17h17: |
Bazooka,
Roland Dumas correspond assez bien à la définition que Napoléon donnait de Talleyrand: "De la ***** dans un bas de soie".
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mardi 06 février 2007 - 17h04: |
Cher Maurice,
Pourrais tu dresser une liste de ceux qui ne sont pas carriéristes, mise à la Viéjan,,, avec ses pompes à une brique, je ne vois pas qui soutiendrait Dumas.
Par Albert (Albert) le mardi 06 février 2007 - 16h41: |
Par Victor (Victor) le mardi 06 février 2007 - 15h39: |
Chronique
Le grand écart de Jacques Chirac, par Daniel Vernet
LE MONDE | 06.02.07
Les Etats-Unis sont le seul pays à avoir utilisé l'arme nucléaire. Deux fois : à Hiroshima et à Nagasaki, à la fin de la seconde guerre mondiale. Ils avaient alors le monopole de sa détention. La situation internationale a radicalement changé quand l'Union soviétique s'est trouvée en possession de la bombe atomique. La destruction mutuelle assurée - dans l'acronyme anglais : MAD, qui veut dire aussi "fou" - a débouché sur la théorie de la dissuasion. L'arme nucléaire était considérée comme une arme "pas comme les autres", une arme de non-emploi, destinée à convaincre l'adversaire de ne pas s'en servir et à le dissuader également de déclencher une guerre avec des moyens classiques.
M. Chirac avait certainement à l'esprit cette théorie de la dissuasion, systématisée, dans les années 1960, par les concepteurs de la force de frappe française, quand il a répondu, la semaine dernière, aux journalistes du New York Times, de l'International Herald Tribune et du Nouvel Observateur à propos du nucléaire iranien : "Je dirais que ce n'est pas tellement dangereux par le fait d'avoir une bombe nucléaire - peut-être une deuxième un peu plus tard..." Le chef de l'Etat a ajouté en substance que l'Iran y regarderait à deux fois avant de les utiliser par crainte des représailles massives. C'est la base de la dissuasion nucléaire.
Il est cependant un autre danger sur lequel M. Chirac a également attiré l'attention : la prolifération. Les théoriciens de ce que, du temps de la guerre froide, on a appelé "l'équilibre de la terreur" y voient le point faible de leur raisonnement. La logique de la dissuasion fonctionne entre deux protagonistes surtout s'ils sont supposés jouer selon les mêmes règles. C'était le cas à l'époque du duopole américano-soviétique.
Cependant, certains s'inquiétaient déjà que les principes prévalant aux Etats-Unis ne s'appliquent pas en URSS. Surtout, ils pensaient que le jeu risquait d'être totalement faussé avec l'émergence de nouvelles puissances nucléaires, telles la France ou la Chine. A fortiori si le nombre de détenteurs de la bombe atomique se multipliait.
Le traité de non-prolifération de 1968 devait parer à ce danger. Il a partiellement réussi. Certains pays ont renoncé à l'arme nucléaire, mais il n'a pas empêché que d'autres - Inde, Pakistan, Corée du Nord, Israël - passent outre. Des théoriciens de la dissuasion considèrent toutefois que la possession de l'arme nucléaire a une vertu rationalisante. Ils soutiennent, par exemple, que le conflit du Cachemire n'a pas dégénéré en guerre généralisée entre l'Inde et le Pakistan parce que les deux pays ont la bombe. Le raisonnement s'applique-t-il avec le président iranien Mahmoud Ahmadinejad, qui promet de rayer Israël de la carte ?
Les déclarations de M. Chirac, ses hésitations et ses démentis montrent qu'il oscille entre la logique de la dissuasion et la crainte de la prolifération. La première est parfaitement défendable. Si l'on y croit - et après tout, la politique de défense française est fondée depuis près d'un demi-siècle sur ce postulat -, on peut permettre à Téhéran d'enrichir de l'uranium sous contrôle international. Ce qui est vrai aujourd'hui ne l'était pas moins il y a quatre ans, quand les Européens se sont lancés dans une négociation avec l'Iran pour l'empêcher d'accéder à l'arme nucléaire.
La crainte de la prolifération et d'une action militaire américaine l'avait alors emporté. Cette négociation ayant échoué, l'Iran détenant par ailleurs des moyens de pression sur les pays européens, dont la France, engagés au Liban, il n'est pas interdit de s'interroger sur la pertinence de la stratégie suivie jusqu'à maintenant. En revanche, le grand écart exposé publiquement entre l'analyse froide de la situation et le langage convenu de la diplomatie est dévastateur.
Daniel Vernet
Article paru dans l'édition du 07.02.07
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3232,36-864089,0.html
Par Victor (Victor) le mardi 06 février 2007 - 15h09: |
Ségolène Royal réaffirme son refus du nucléaire civil iranien
LEMONDE.FR avec Reuters | 23.01.07
Ségolène Royal a réitéré, mardi 23 janvier, sa position "très ferme" à l'égard de l'Iran en soulignant, comme elle l'avait déjà fait lors de la campagne interne au PS et à l'occasion de son voyage au Liban en décembre dernier, que le régime de Téhéran devait se voir interdire l'accès au nucléaire civil et militaire.
"Vous connaissez ma position très ferme contre l'accès de l'Iran au nucléaire. C'est une vraie menace sur la sécurité d'Israël compte tenu des déclarations qui ont été faites dans ce pays", a déclaré Mme Royal en arrivant au dîner annuel du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France). "Je pense que quand on maîtrise l'enrichissement de l'uranium civil, le pas peut être vite franchi sur la maîtrise de l'uranium à des fins militaires. Je pense que cette escalade est très dangereuse", a-t-elle ajouté.
En décembre dernier, au cours d'entretiens avec les principaux responsables israéliens, Mme Royal s'était targuée d'être "la seule responsable politique française" à défendre ce point de vue. Sa position, en contradiction avec le traité de non-prolifération des armes nucléaires (TNP), n'est officiellement défendue par aucun pays, pas même les Etats-Unis, ni Israël.
Mme Royal avait présenté pour la première fois cette position le 7 novembre, lors d'un débat avec les autres candidats à l'investiture socialiste, Laurent Fabius et Dominique Strauss-Kahn. La proposition avait alors provoqué de vives réactions dans le monde politique, la ministre de la défense, Michèle Alliot-Marie, fustigeant la "légèreté" de Mme Royal.
Ségolène Royal est arrivée peu après Nicolas Sarkozy, candidat de l'UMP, et a échangé quelques mots avec le premier ministre, Dominique de Villepin, invité d'honneur du dîner. Autre candidat présent : François Bayrou.