Par Henri (Henri) le jeudi 27 janvier 2005 - 11h15:

Maurice chalom.
Tu penses que les rabins cherchent des complications, et moi je pense qu'ils accomplissent leur devoir de nous proteger en nous guidant vers ce qui est permis et de nous eloigner des erreurs provoquees par l'ignorance des preceptes de la torah.
En general ils feront tout pour nous faciliter la vie, mais ce qui est interdit ne peut-etre autorise meme si ce n'est pas facile de l'accepter.
Certains rabins deformé "plient" la torah a leur convenance,et autorisent par exemple la profanation du chabbat, et ce qu'ils font ne rend pas service a celui qui recherche reelement la verite,mais tout au contraire lui causent prejudice.
Qu'Achem nous éclaire et nous aide a prendre le bon chemin.

Par Maurice (Maurice) le jeudi 27 janvier 2005 - 10h13:

Henri il est vrai que les Français juifs "mort pour la France" continuent à avoir leur respect de leur identité dans leur carré.Ceux pour qui impliqués dans le desir d'un interrement Juifs les Rabins cherchent des complications,Je dis comme Ben Gourion "est Juif celui qui se declare tel de pere ou de mere ou de sentiment" notre histoire est" en marche" et non arretée c'est notre particularisme

Par Henri (Henri) le jeudi 27 janvier 2005 - 09h12:

Emile,
Le plus grand des heros,ne deviendra pas juif meme s'il a combatu pour Erets-Israel.
Mes camarades Druzes et Bedoins de la police des frontiere,avec qui nous partagions tout comme des freres,voulaient et veulent qu'on les respectent et preferent etre enterres parmis les leurs.
Le respect des morts aussi est important.
Ausi bien celui des nons juifs que des juifs.
En Israel, per exemple, il y a des carres a part pour les chomrei chabbat,et l'on veille a ne pas les deranger.
Qui y t'il d'inhumain a veiller que chacun soit enterre a la place qui lui revient.
Au lui de faire tant de bruit pour rien, il suffit de reserver un carre a part pour chaque religion.C'est ce qu'on fait aujourdhui en Israel pour resoudre le probleme de la grande quantite de non juifs arrives en masse avec les russes.
Je te rappelle que le sujet etait la circoncision des morts, et qu'en fin de compte celui qui veut le fait, et celui qui ne veut pas ne le fait pas.
Chalom et brahka

Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 27 janvier 2005 - 07h12:

Hier soir, la 2eme chaine de TV israelienne nous a gratifies d'un programme exceptionnel, un documentaire relatant comment s'est deroule, a l'initiative d'un officier de l'armee de l'air isralien, le survol symbolique du camp d'Auschwitz, par 6 avions de Tsahal.
En parallele a ce "fil rouge", le presentateur de l'emission a interviewe des temoins/acteurs des evenements de 1944, en Pologne, aux Etats-Unis et en Israel.
Au vu des temoignages et des documents produits, il est clair que les Etats-Unis de Roosevelt ont sciamment opte pour le "laissez-faire". On peut meme constater sur un cliche aerien pris en 1944, que les bombes americaines evitent de cibler le camp d'Auschwitz.
Cela, tout simplement parce que les Juifs n'ayant pas eu d'Etat pour les abriter, "Washington n'aurait pas su ou mettre tout ces Juifs ..."

Le serment scelle par les pilotes israliens en survolant les cendres de leurs pairs eparpillees a Auschwitz est particulierement emouvant, et se termine par " plus jamais ".

ihie zichram barouch

Par Email (Email) le jeudi 27 janvier 2005 - 06h57:

Hi there,

I am writing from the BBC World Service. We are looking for some young Jews from around the world for a discussion on our World Today programme, to talk about modern Jewish identity and the legacy of the holocaust.

We would love to include a Tunisian Jew - so I was wondering whether you could put in contact with someone who could help.

If so, please send me your telephone number and I will give you a ring.

With many thanks,
Heather Sharp
+44 20 7557 2782


http://www.bbc.co.uk/

Par Francois (Francois) le jeudi 27 janvier 2005 - 06h39:

Le monde n'a pas bougé le petit doigt

JERUSALEM (AP) - Dans un discours marquant le 60e anniversaire de la libération du camp d'extermination d'Auschwitz, le Premier ministre israélien Ariel Sharon a estimé mercredi que le monde "n'a pas bougé le petit doigt" pour arrêter l'Holocauste.

S'exprimant devant la Knesset, réunie en séance spéciale, Ariel Sharon a souligné que les juifs avait retenu du génocide qu'ils ne pouvaient compter que sur eux-mêmes.

Le Premier ministre a tenu à rappeler que lorsque les nazis ont commencé à déporter les juifs de Hongrie vers Auschwitz en grand nombre en 1944, les forces alliées n'ont pas bombardé les voies ferrées conduisant au camp de la mort en Pologne occupée. Il a souligné qu'en l'espace de plusieurs semaines, plus de 600.000 juifs de Hongrie ont été tués à Auschwitz.

"La triste et terrible conclusion est que personne ne s'est soucié du fait que des juifs étaient assassinés", a-t-il ajouté.

"A l'heure du plus terrible des tests, amis et bienfaiteurs n'ont pas bougé le petit doigt. C'est cela la leçon juive de l'Holocauste. L'Etat d'Israël a retenu la leçon et, depuis sa création, s'est défendu et a défendu ses habitants, et a fourni la sécurité aux juifs partout. Nous savons que nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes", a encore dit Ariel Sharon. AP

Source: http://fr.news.yahoo.com/050126/5/48jaa.html

Par Mena (Mena) le jeudi 27 janvier 2005 - 06h43:

Trop loin ou pas assez 1ère partie (info # 012601/5) [analyse]
Par Stéphane Juffa © Metula News Agency



Denis Jeambar et Daniel Leconte n’appartiennent certainement pas à la catégorie de chroniqueurs dont la manière de débattre renvoie à celle des maurassiens ou des anti-dreyfusards. A l’entame de cet article, j’insiste sur la nécessité de trier les torchons et les serviettes dans le pressing douteux qu’est devenue la presse française. Ces confrères s’expriment dans une langue propre, libre de tout artifice tendant à diaboliser leurs contradicteurs, libre des insultes et des invectives personnelles dont nous ont habitués les dizaines de Delesalle et de Szafran dans le traitement de la controverse de Nétzarim. La chose est devenue suffisamment rare pour qu’il faille la mettre en exergue et associer cette qualité à la couverture mesurée de la dispute, dont ont fait également preuve l’AFP parisienne et le Nouvel Observateur. Savoir reconnaître ce type de nuances n’est pas seulement fair-play, cela sert également à clarifier le débat civilisé, ou, plus simplement encore, à lui permettre d’exister.



Là ne s’arrêtent pas les mérites de Jeambar et de Leconte dans l’article qu’ils consacraient, hier, à la Controverse, dans la tribune des libres opinions du Figaro [accéder à l’article]. Ils y énoncent, également et enfin, un certain nombre de vérités premières, qui n’avaient encore jamais été dites par des journalistes français institutionnels. Ils y dénoncent, même si c’est par l’extrémité de la fourchette, "l’état d’une certaine presse française". Ils y témoignent aussi - ce qui n’est pas sans rappeler nombre d’éditoriaux à rebrousse-unanimisme de Jeambar dans l’Express – que l’affirmation fondamentale d’Enderlin, selon laquelle il détiendrait des images "insupportables" non diffusées de "l’agonie" de Mohamed A-Dura, est apocryphe. Face aux tentatives redondantes des medias bleu blanc rouge d’obtenir la béatification du correspondant de France 2 à Jérusalem, cette simple attestation prend immédiatement des allures de contre-tsunami téméraire. Dans un autre monde que dans le quotidien chiraquien, cette mise au point justifierait, à elle seule, la mise à pied immédiate du Jérusalémite indélicat ; l’"erreur" d’Enderlin étant assurément plus significative que celle relative à Juppé, ayant déclenché la grande purge que l’on sait dans la télévision publique.



Le rédacteur en chef de l’Express et son camarade grand reporter révèlent également que la directrice de l’information de France 2 ainsi que les autres journalistes présents lors de la fameuse rencontre du 22 octobre dernier ont explicitement admis que "rien effectivement ne permettait de dire que l’enfant a été touché par des tirs israéliens". Sachons souligner l’importance considérable de cette conclusion dans la compréhension globale de l’affaire et sachons apprécier le fait qu’elle ait été induite par la perspicacité de nos deux camarades. Cette reconnaissance, de la part des journalistes de la chaîne publique, s’érige, en effet, en porte-à-faux absolu avec le commentaire d’Enderlin sur le reportage de l’"assassinat". Enderlin y déclarait que les tirs infanticides "venaient de la position israélienne" et persiste, d’ailleurs, aujourd’hui encore, à revendiquer cette thèse. C’est sur la base de la conclusion de l’impossibilité logique d’accuser les soldats israéliens de la responsabilité de la mort de Mohamed que Leconte et Jeambar émettent un questionnement, lourd de signification, quant aux motivations du correspondant de Jérusalem, lui permettant de "privilégier cette interprétation". Et c’est encore sur ce choix d’Enderlin et sur l’impossibilité de fonder l’accusation anti-israélienne, que la réflexion de nos deux confrères aboutit à la nécessité de "revisiter toute cette affaire de fond en comble pour trier le vrai du faux". Réflexion qui laisse augurer d’un certain retard dans le processus de béatification dans les alcôves du Vatican…



Nous identifions un autre aspect positif de l’intervention de nos deux pairs, en ce qu’ils reconnaissent au reportage sur la sellette, sa portée symbolique et dévastatrice pour la paix. Pour la paix dans notre région et pour la paix intercommunautaire dans l’Hexagone. C’est en ces termes qu’ils expriment leur préoccupation : "Nous savons les ravages causés par cette image, la haine qu'elle a entretenue et développée sur place, chez nous, dans les banlieues dites sensibles, et partout ailleurs dans le monde, où elle a été présentée sur la base du commentaire fourni par Charles Enderlin comme un exemple de la barbarie israélienne." Icelle rejoint notre propre lecture de l’événement, à savoir que les éléments constituant la controverse de Nétzarim n’appartiennent pas encore à l’histoire, qu’ils ne sont pas solubles dans l’ordinaire du différend israélo-arabe et qu’il importe de les tirer au clair.



Outre ses côtés instructifs, l’article de Jeambar et Leconte recèle également une face plus sombre, comme s’il avait effectivement été écrit par deux plumes aux encres divergentes. On dirait que les deux compères s’attèlent à ménager la chèvre et le chou, voire à ne pas indisposer leurs partenaires commerciaux, à moins que ce ne soit leurs propres collaborateurs, bref, à se replacer dans la masse bien-pensante. Là, dans cet exercice pro domo nettement moins étincelant, ils oublient de faire état de faits majuscules qu’ils connaissent pourtant, ils s’arrêtent en cours de réflexions, ils "approximent" ; soudain, ils deviennent péremptoires, faute d’être informateurs, faute de partager les sources de leurs nouvelles convictions avec leurs lecteurs ; ils ont hâte de se mettre à l’abri, semble-t-il, perdent leur sens critique de grands journalistes. Comme si les pressions qu’ils ont subies, et qu’ils mentionnent par effleurement, leur faisaient perdre la faculté d’avoir un jugement serein.





A suivre…

Par Bekhor (Bekhor) le mercredi 26 janvier 2005 - 23h55:

Je suis entierrement d'accord avec Emile, je n'ai rien a ajouter.

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 26 janvier 2005 - 20h34:

A l'attention d'HENRI,

Monsieur Henri, votre réaction à mon commentaire d'hier me paraît très défensive et me montre que vous n'avez pas saisi la nuance entre un Bédouin et un Juif Héros de la Brigade Juive durant la deuxième guerre mondiale qui était en ce temps-là de la Palestine, qui marie une chrétienne avec laquelle il a un enfant. En ce temps-là les rabbins ne jouaient pas un rôle prépondérant dans la création de l'Etat d'Israël, encore moins dans les kiboutz. Cet enfant grandit dans une culture et une athmosphère juives, il se bat pour Israël et ne reçoit pas le moindre respect d'être enterré parmi ses collègues.
Vous voulez comparer ces deux cas, pourquoi pas. Ici aux Etats Unis et dans l'armée les morts reçoivent les mêmes conditions. Si les parents du Bédouin auraient voulu que leur enfant soit enterré dans un cimetière de TZAHAL, si tel il y en a, pourquoi pas? La France est loin de donner des exemples. Je n'ai fait que donner des faits. A mon avis tout manque de respect envers un mort est inhumain. Pour moi l'égalité est tant aux armes qu'à la mort.
Bevrakha!

Par Shira (Shira) le mercredi 26 janvier 2005 - 16h47:

A Madouche:
"En ces lieux sinistres ma pensée est allée d'abord à mes amis juifs de Tunisie et j'ai remercié Dieu qu'il aient échappé à cette horreur".
Si sur la terre meme de Tunisie, il n'y a pas eu de camps de la mort, les juifs originaires de Tunisie, mais vivant sur le sol Francais n'ont malheureusement pas tous echappe a leur sort sinistre. Je vous invite a lire cette etude tres partielle du convoi 52 en direction de Sobibor http://harissa.com/D_Histoire/shoah_par_shira_simhony.htm

Par Axelle (Axelle) le mercredi 26 janvier 2005 - 15h32:

Je lance un petit appel à mes amis et amies d'Harissa qui habitent en Israël.

En effet, mon mari et moi-même, avons l'intention de partir en Israël nous y installer définitivement. Ce ne serait pas dans les mois à venir, car mon Beau Père n'est pas bien en ce moment. Et, nous préférons rester auprès de lui pour l'entourer de tout notre amour et de notre affection.

Je m'adresse à vous, chers amis et amies d'Israël car j'aurais besoin de vos conseils en tous domaines pour que notre arrivée se fasse bien.
Nous envisageons de venir à ASHDOD. Car, comme vous devez vous en douter, j'aurais beaucoup de questions à vous poser.

Nous avons pris cette décision mon mari et moi-même pour de nombreuses raisons. Mais, en ce qui me concerne, cela fait longtemps que je veux venir vivre en Israël et je pense que spirituellement et à tout point de vue, c'est en Israël que je me sentirais le mieux et chez moi.

J'aime ce pays, ce peuple et toute son histoire.
Mais, cela vous le savez ...

Je vous laisse mon e-mail. Et merci de votre aide, de vos conseils etc ...

axelledamauray2002@yahoo.fr

Très cordialement. Axelle

Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 26 janvier 2005 - 14h58:

A propos de la Shoah dans les communautes sepharades:

Pour lire tout l'article et voir la photo du grand mufti de Jerusalem al-Husseini (grand copain d'Hitler et aieul de Leila Shahid):
http://www.jta.org/page_view_story.asp?intarticleid=14958&intcategoryid=4

[...]
According to recent studies, almost 200,000 Sephardi Jews perished at the hands of the Nazis, mainly in Greece, Yugoslavia and Bulgaria. Pogroms in Arab countries — many orchestrated, as in the Farhud, by the exiled Grand Mufti of Jerusalem, a Hitler ally — added to the toll.

To remedy the gap in the historical record, a small group of American Sephardi leaders met with Holocaust historians last week to launch the Farhud Recognition Project.

The main catalyst in the effort has been investigative reporter and author Edwin Black, whose new book “Banking on Baghdad,” published by John Wiley & Sons, surveys Iraq’s stormy history, its oil politics and the fate of its Jewish community.

In lectures, articles and television appearances in some 40 U.S. cities, Black has criticized the neglect of Sephardi suffering in the Holocaust, citing ignorance of the Farhud as the leading example.

Still in its formative stage, the Farhud Recognition Project seeks to have the fate of the Sephardi communities in Iraq, other Arab countries and in Europe included in study and teaching of the Holocaust in the United States, Israel and across the world.

More information can be obtained from Shelomo Alfassa, International Society for Sephardic Progress, PO Box 621719, Oviedo FL 32762 (407) 496-1125 or farhud@farhud.org. For more background, visit www.farhud.org or www.bankingonbaghdad.com.

Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 26 janvier 2005 - 14h47:

Pour les Harissiens/siennes d'Israel:

AGIR ENSEMBLE POUR L’IMAGE D’ISRAEL

Ministère des Affaires Etrangères
Jérusalem
Dimanche 30 janvier 2005
(8h00* – 16h00)

Programme

9h00 – Ouverture du séminaire par Juliana BOUBLIL
Accueil par Gideon MEIR, Directeur de la Hasbara du Ministère et Daniel KEDEM, Ambassadeur, responsable de la Hasbara Francophone

9h30 – « Israël, la Propagande et l’information »
par Daniel GAL, Ambassadeur, Conférencier,
et Yohanan MANOR, Directeur du CMIP.
« Une certaine image d’Israël », par Yitzhak ELDAN, Chef du Protocole du Ministère des Affaires Etrangères (sous réserve)

11 h 30 - Déjeuner à la cafétéria du Ministère

13 h 00 - Présentation de la Fondation Israël
par Maître Patrick BENZIMRA

14h 00 – « Témoignages »
Olivier RAFOWICZ, Délégué général de l’Agence juive à Paris, ancien porte-parole de Tsahal,
Jean-Marc PILLAS, Grand reporter, envoyé permanent de TF1 à Jérusalem,
Jean-Jacques CLERCKS, Vice Président pour l’Europe de la société MAGIC SOFTWARE

15h00 – Ethan LEVY et David WEIZMANN
Travailler ensemble au service d’Israël

* parce que les mesures de sécurité à l’entrée prennent beaucoup de temps !
Et n’oubliez pas votre carte d’identité ou votre passeport.