Par Admin (Admin) le vendredi 07 juin 2002 - 04h54: |
Par Nao (Nao) le jeudi 06 juin 2002 - 15h59: |
Ca n'est pas tous les jours que l'on recoit le soutien d'un depute europeen.
Parlement Européen
Intervention de François Zimeray Député Européen
Membre de la Commission des Affaires Étrangères et de la Politique de défense
Manifestation européenne de solidarité avec Israël et pour la paix.
Place du Luxembourg
Bruxelles, le 29 mai 2002
Il y a des hommes portés par des rêves qui les rassemblent, mais aujourd'hui ce qui nous réunit c'est un même cauchemar qui dure depuis deux ans.
Un jour d'été comme un autre à Jérusalem : c'est les vacances, la famille.
L'homme est entré dans le restaurant avec un sac lourd. Plus de dix kilos d'explosifs, des clous des vis et des boulons. Il s'est approché, a regardé autour de lui les visages des enfants, des bébés aussi. Quand il était bien au milieu, il a déclenché sa bombe.
Haya, huit ans : "La dernière fois que j'ai vu mon frère de quatre ans, il était dans l'ambulance. On avait bien faim, alors maman a décidé de nous amener au restaurant. Elle est morte avec papa et aussi mon grand frère, et ma toute petite sœur. Elle était toujours heureuse. Je me souviens bien d'elle, elle riait tout le temps. Ce jour là, elle était très gaie. On a attendu papa, il revenait de la banque quant tout a explosé. J'adorais ce restaurant, il y avait une si bonne pizza".
En deux ans, depuis la deuxième Intifada, plus de 400 civils, des enfants et des bébés ont été massacrés parce qu'ils étaient juifs et vivaient en Israël. Plus de 1500 sont blessés à vie.
Depuis deux ans nous sommes les témoins d’un déchaînement de haine contre le cœur d’Israël, sa jeunesse son désir de vivre. Il plonge dans le malheur et la crainte ce pays auquel nous attachent tant de valeurs et aggrave les souffrances que les Palestiniens endurent du fait des conséquences de ces attentats comme de la corruption de leurs dirigeants et de leur absence totale de souci du bien public.
La haine se déchaîne par le feu mais aussi par les mots, et la responsabilité de l'Europe est immense pour avoir durant des années, et alors même que les accords d'Oslo s'appliquaient, fermé les yeux sur le système éducatif palestinien déversant une pédagogie de la haine raciale, et incitant au Jihad. Car, tous les jeunes qui se transforment en bombes humaines ont reçu cet enseignement, malheureusement financé par le contribuable européen.
Cet aveuglement est non seulement un crime contre les gens, un crime contre la paix, mais c'est aussi un crime contre nos propres valeurs, les valeurs européennes.
Car enfin, notre histoire devrait nous dicter de nous comporter autrement. Mais, nous voyons bien que de Conseil en Sommet, de Sommet en session, l'Europe ne manque jamais une occasion de caricaturer l'État d'Israël de le juger, de le condamner et même de le sanctionner, alors qu'il aura fallu deux ans pour qu'elle considère les attentats antisémites qui frappent en Europe synagogues comme les écoles juives, alors qu'elle avait omis de s'indigner du lynchage barbare de deux israéliens, et qu'elle continue à se taire devant les exécutions sommaires des palestiniens honteusement qualifiés de collaborateurs.
Depuis que Yasser Arafat a déclenché la seconde Intifada, les civils israéliens vivent chaque jour dans la peur du massacre et l'Europe se contente de déplorer verbalement les attentats sans agir de tout son poids politique et économique pour que soient arrêtés et punis leurs auteurs et leurs instigateurs. Au contraire, c'est Israël qu'il faut sanctionner, c'est les terroristes qu'il faut inviter sur notre sol !
Et quant à ceux qui ont voté cette résolution injuste demandant des sanctions économiques contre Israël, ce sont souvent les mêmes qui vous expliquent qu'il faut lever l'embargo sur l'Irak parce qu'on ne doit pas imputer à un peuple les actes de ses dirigeants !
Nous sommes venus ici affirmer avec force que rien, aucune cause, aucune raison ne peut justifier qu'il soit délibérément porté atteinte à des civils, qu'il est inadmissible de justifier le terrorisme par le désespoir, qu'il n'y a rien de grand, rien de beau, rien de noble dans cette forme de terrorisme que l'on appelle injustement martyre, que c'est la façon la plus lâche et la plus monstrueuse de défendre une cause.
Chers amis,
Israël a le droit de vivre ! Et nous n'assisterons pas passif au spectacle de la destruction de sa légitimité. Il faudra quand même nous expliquer pourquoi la défense d’Israël suscite l'indignation de ceux que toutes les violations des droits fondamentaux commises dans les dictatures arabes n'ont jamais ému.
Il faudra aussi nous expliquer pourquoi les mots qui qualifient ce conflit sont systématiquement déviés, pourquoi les images ne sont jamais mises en perspective, pourquoi désormais en Europe la compassion et la bonne conscience tiennent lieu de ligne politique.
Il faudra aussi s'interroger sur les conséquences désastreuses des positions systématiquement critiques adoptées ici même depuis des années et dont le seul effet a été d'aggraver la solitude d'Israël, de radicaliser ses positions alors même que le soutien inconditionnel – et irresponsable - de l'Europe à l’Autorité Palestinienne a infantilisé ses dirigeants, les a déterminé à refuser les offres de paix, et à surenchérir par la violence.
Pourtant, je persiste à penser que l'Europe pourrait être utile et apporter une contribution décisive à la paix ; il faudrait pour cela qu'elle cesse d’utiliser le Moyen-Orient pour solder les comptes de sa propre histoire, qu'elle cesse de se faire le procureur d'Israël et devienne un guide pour toutes les parties, en aidant à un vrai développement des territoires palestiniens dont les occupants méritent mieux que le sort que leur inflige leur dictateur narcissique.
Il y a quelques semaines - comme malheureusement chaque jour - les soldats israéliens ont arrêté un kamikaze. Mais celui-là était différent des autres. C'était un enfant et il avait été endoctriné. Il était en larmes. Il suppliait les soldats de lui retirer sa ceinture d'explosifs.
Il voulait vivre, et vivre en paix.
C'est aussi pour lui que nous manifestons.
Vous pouvez ecrire et remercier Francois Zimeray par e-mail a l'adresse suivante: fzimeray@europarl.eu.int
Par Michka (Michka) le jeudi 06 juin 2002 - 13h54: |
SOURCE AMISRAELHAI. Michka
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Voilà ce que l'on trouve, après l'attentat de Méguido, sur un site FRANCAIS!
Les Renseignements généraux ne trouvent-ils pas matière à agir ?
Attention prenez une bonne dose de Primperan avant de lire.
http://www.oumma.com/forum/showthread.php?s=fcf9425a4ef4cff9d4ee3bc8366cad0d&threadid=59175
20 soldats sionistes ont été tués ce matin
SALAM
[qui seme le vent recolte la tempete]
Les sionistes doivent savoir que dorenavent aucun de leurs crimes ne restera impuni.
Cette opperation martyr revendiqué par jihad islamique et qui est venu juste apres qu'une fille palestinienne de 12 ans ait été blessé par balle réel a fait selon les sionistes:
- 19 morts.
- 10 blessés tres graves. (??)
Devinez qui a été accusé par Sharon??
Cette opperation selon un membre du jihad a été fait pour venger le chef des brigades al aqsa en cis-jordanie tué par les sionistes il y'a 15 jours.
Les premieres images:
Selon les sionistes il y'aurait des survivants !!!
PS: Cette opperation a pu etre suivi en direct par les detenus hamas et jihad dans la prison qu'on peut voir en arriere plan.
al hamdoulillah
VIVE HAMAS ET ... JIHAD
http://www.qassam.net/tabaro3.htm
http://www.islamic-relief.com
http://www.101days.org
Par Michka (Michka) le jeudi 06 juin 2002 - 13h43: |
LU SUR AIPJ.NET. Michka
L'internationalisme islamiste
Je voudrais protester contre l'emploi fréquent dans les médias de l'expression "fascisme islamique". Tout réduire au fascisme, c'est faire l'impasse sur les crimes des autres formes du totalitarisme, et en particulier sur le communisme, qui fut responsable au siècle dernier de la mort de 100 000 000 de personnes (en temps de paix).
C'est aussi assimiler fascisme et national-socialisme et les gens sérieux et cultivés savent ce que cet amalgame reposant sur une analyse très superficielle de ces deux idéologies a été une des armes du communisme mondial pour stigmatiser et culpabilser ceux qui, partout dans le monde, ont essayé de lui oppposer une résistance un peu énergique et déterminée (le philosophe libéral Jean-François Revel a récemment dit des choses très pertinentes à ce sujet).
En l'occurence, l'islamisme est bien plus proche du communisme que du national-socialisme. L'islamisme est une doctrine politique dont l'internationalisme est une composante essentielle et irréductible.
Pour l'Islam, le concept de nation ne signifie rien. Il n'y a que l'"Ouma islamiya" et ceux qui n'en sont pas doivent se soumettre et sont appelés à devenir des êtres inférieurs, des citoyens de seconde zone au sein de la Cité islamique.
Les islamistes comme Ben Laden rêvent d'une restauration du califat. L'Islam doit s'étendre au monde entier, le gouvernement du futur calife est appelé à devenir un gouvernement mondial.
Dans les bandes de Ben Laden, les arabes égyptiens et algériens côtyent les noirs soudanais et les européens bosniaques ou convertis. Des alliances sont contractées entre les différentes familles sans tenir compte de la race ou de la nationalité.
Au passage, il faut remarquer que l'universalisme catholique n'a rien à voir avec le mondialisme islamique dans la mesure où dans le christianisme il y a séparartion entre spirituel et temporel ; l'universalisme chrétien ne débouche donc pas nécessairement sur des conceptions politiques internationalistes. Dans l'islam au contraire, la confusion entre spirituel et temporel, associée à l'universalisme conduit inéluctablement à la formation de doctrines internationalistes.
Les similitudes entre islamisme et communisme sont donc nombreuses. Il s'agit de deux doctrines à la fois messianiques, internationalistes et révolutionnaires. Pour paraphraser Jules Monnerot on peut dire qu'il y a un véritable risque que l'islamisme soit le communisme du XXI ème siècle.
Par ailleurs, l'institutionnalisation de l'islam pour le rendre moins dangereux relève de la politique de Gribouille. L'islam sunnite n'a pas de clergé. L'islam est mouvant, il se fait souple quand il est minoritaire et devient impitoyable devenu majoritaire. Il faut lire les analyses si pénétrantes d'Alexandre del Valle. Les sourates du Coran sont explicites. De plus, il y a les sourates abrogées et les sourates abrogeantes..."Baise la main que tu ne peux pas couper"...Le véritable problème est celui de l'installation massive de populations inassimilables en France. Là est le véritable problème. L'Etat ne pourra pas maîtriser une religion soutenue par une dynamique démographique et migratoire puissante. Celle-ci n'a rien d'inéluctable mais seules font défaut la lucidité et la volonté politique.
L'islam en poition de faiblesse est modéré et tolérant. Devenu majoritaire, il montre son véritable visage.
Je plains beaucoup nos petits-enfants qui devront vivre à la fin du siècle dans un pays tiers-mondisé et islamisé par la faute de l'angélisme des français actuels qui dorment sur un volcan. Plus dure sera la chute !
Non toutes les religions ne se valent pas. Ceux qui le prétendent au nom d'un faux humanisme sont des naïfs ou des imposteurs. Les principes du Coran ne sont pas, ne seront jamais ceux des Evangiles. Ne soyons pas les idiots utiles et les complices de l'islamisation du monde
Laurent Reno
Par Michka (Michka) le jeudi 06 juin 2002 - 13h30: |
RENDEZ-VOUS MEDIAS:
Jeudi 6 juin 2002:
Planète diffuse le premier volet d'un documentaire britannique réalisé en 1997, "Nazisme, un avertissement de l'histoire ", à 20h45
France Culture, du 3 au 7 juin 2002
France Culture diffuse des entretiens avec Beate Klarsfeld du 3 au 7 juin, à 17h30, dans une émission intitulée, " A voix nue ".
Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 06 juin 2002 - 04h27: |
Merci de l'interet que vous portez a notre emission "Courage !"
Vous pouvez desormais suivre notre emission sur le site http://www.isratv.com
(rubrique religion).
Nous vous serions reconnaissant si vous pourriez faire un link sur votre site.
Merci de votre cooperation.
N'hesitez pas a me contacter pour plus de details.
Yaakov Revah.
Par Email (Email) le jeudi 06 juin 2002 - 04h21: |
Est-ce qu'il existe toujours une adresse e-mail où écrire à Oriana Fallaci? Je désire la feliciter pour son livre "la Rage et l'Orgueil" car après toutes les calomnies dont on l'abreuve dans la presse, elle merite vraiment d'avoir aussi des témoignages de gratitude...
Is there still an email address to write Oriana fallaci? I would like to thank her for her book "Rage and Pride": she deserves thanks at a time when too many media insult her.
Certainement: cette adresse est toujours
Certainly: this address is still
ThankYouOriana@yahoo.it
Oriana Fallaci n'est pas elle-même sur Internet, mais son éditeur imprime les emails au fur et à mesure et les lui fait parvenir.
Oriana Fallaci is not herself online, but her publishers print out the messages and transmits them to her.
Par Mena (Mena) le jeudi 06 juin 2002 - 04h09: |
Karachi, New York, Méguido ! (info # 010506/2)
Par Albert Capino © Metula News Agency
L'ombre des méthodes d’Al-Qaïda plane sur le dernier attentat de Méguido.
Le modèle opérationnel et la technologie utilisés aujourd’hui font appel à ces techniques sophistiquées, fort éloignées des bombes artisanales.
Ce nouvel assassinat collectif intervient, et c’est un fait exprès, au moment où le Premier Ministre israélien projetait de se rendre aux Etats-Unis.
Un parallèle frappant existe avec l'attentat de Karachi qui avait tué 11 ingénieurs français le 8 mai dernier. La méthode utilisée à Méguido est identique à celle de l'attentat anti-français.
Gardons les yeux ouverts : l'islamisme violent, revendiqué tour à tour par Al-Qaïda, le Hamas, le Jihad islamique et toutes les factions annexes procède d’une seule stratégie ! Elle se nourrit de buts similaires : non pas la défense du peuple palestinien - prétexte inepte aux fins de massacres de civils - même plus la lutte contre les Juifs en général et contre les Israéliens en particulier. Cette stratégie est autrement plus ambitieuse, puisqu’elle dirigée contre la civilisation et les modèles de vie de tous les occidentaux.
Il faut comprendre que ces esprits – ivres-malades d’hégémonisme – livrent un combat sans merci dédié à l'éradication de nos modes de vie, dans l’espoir d’atteindre l'instauration sur la terre de la loi islamique.
Il est temps de se rendre compte aussi, qu’au Proche-Orient, plus que la présence juive, les intégristes islamistes combattent la personnification, l’ambassade (ce que dans leur propre langage, ils appellent la "tête de pont") du monde occidental, représentée, à leurs yeux, par la présence d’Israël dans la région.
New York, Karachi, Meguido ne sont rien d’autre que les différents points d'impact de la violence organisée pour cette stratégie unique. Elle est instrumentée par certains Etats : l'Iran, l'Irak et la Syrie et elle est relayée par le Soudan, la Somalie, le Yemen, ainsi que par les mouvances favorables, qui travaillent en sous-main en Egypte et en Arabie Saoudite.
Combattre les factions terroristes et les Etats voyous qui prônent cette stratégie, par tous les moyens et de manière concertée, c’est ce que Bush préconise, que Blair avalise et que la France - une fois de plus – rejette. C’est pourtant la seule attitude intelligente, sinon la seule solution, face à une gangrène de cette ampleur.
La différence essentielle réside dans la façon de s’opposer au dessein islamiste. Alors que les terroristes exploitent les faiblesses des démocraties occidentales, qui refusent encore de reconnaître le conflit des civilisations qu’on leur impose, en Israël, par nécessité existentialiste, les terroristes de l’Islam rencontrent une résistance farouche sur le terrain. Israël - seule démocratie de la région – n’a d’autre choix que de relever le défi et de lutter pour la défense des valeurs démocratiques, en assumant la sécurité indispensable à la vie de ses citoyens.
Hormis les Etats-Unis, le monde occidental prend étrangement ombrage de la résistance israélienne et soigne ses complexes - liés à son inaction et ses compromissions - plutôt que d’en prendre exemple.
Les signes de terrain et les services de renseignement occidentaux nous en avertissent, nous sommes à la veille d’événements dramatiques majeurs, programmés par ceux qui ont fomenté ceux du 11 septembre.
Cette fois ci les Etats sont prévenus et il se sont placés en état d’alerte.
Il leur manque toutefois un élément prépondérant : la détermination.
Si des voix s’élèvent pour condamner les attentats, il est toutefois devenu indispensable que les actes politiques suivent - et rapidement - afin que ceux qui en sont à l’origine reçoivent un message fort et clair.
Les atermoiements de la diplomatie et les compromissions politico-économiques doivent céder le pas à ce qui est devenu le nouveau défi du siècle : éliminer les forces qui ont décidé de nous anéantir avant qu’elles détruisent notre monde et ses modèles.
C’est d’une course de vitesse qu’il s’agit, d’intelligence et d’intégrité, qui passe – entre autres - par la mise au ban des nations-terroristes qui n’ont de cesse - ouvertement ou non - de s’équiper de toute une panoplie d’armes de destruction de masse, nucléaires, chimiques et biologiques.
Je suis persuadé que nos politiques savent parfaitement de quoi je parle et qu’ils connaissent les mesures à prendre. La question demeure : en auront-ils le courage ?
Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 06 juin 2002 - 04h06: |
Madame, Monsieur,
Les mots manquent pour dénoncer et condamner l'attentat monstrueux perpétré ce matin, à Haïfa, par le mouvement terroriste du Djihad Islamique. Un sentiment de stupeur et d'horreur nous gagne devant le terrible bilan de cet acte barbare, 18 morts et 37 blessés, dont 10 dans un état grave !
Nous présentons nos sincères condoléances au peuple d'Israël et lui réaffirmons notre solidarité et notre soutien dans le combat qu'il mène, au nom de la civilisation, contre le terrorisme et le fanatisme.
La nation turque a longtemps été confrontée, elle-aussi, au terrorisme le plus sauvage et aveugle. Elle ne peut que comprendre ce que vous ressentez aujourd'hui.
Amis Juifs, nous partageons votre douleur et sommes à vos côtés !
Vive l'amitié turco-juive !
L'équipe de Tête de Turc
http://www.tetedeturc.com
Le site francophone des Amis de la Turquie
Par Djlachem (Djlachem) le jeudi 06 juin 2002 - 02h28: |
Ma réponse à l'article de Morin et consorts envoyée au monde ce soir
J’ai lu avec attention votre article « Israël-Palestine : le cancer », paru dans Le Monde du 3 juin 2002.
Au delà du parti pris manifestement anti-israélien qui s’y exprime, j’y remarque surtout une addition d’occultations de faits et d’évènements historiques. Certaines amnésies s’expliquent par l’ignorance, d’autres, plus graves, sont volontaires. Les omissions dont je vais vous parler concernent des éléments indispensables à la bonne compréhension du conflit qui n’ont pu échapper aux observateurs avertis que vous êtes. La mémoire est donc un devoir : je ne parle pas seulement de la Shoah qui n’est niée que par quelques négationnistes marginaux, certes de plus en plus nombreux, holocauste dont, curieusement, vous semblez refuser la singularité et pour laquelle, pourtant, on a longtemps expliqué à travers de nombreux ouvrages, essais ou thèses les aspects spécifiques retrouvés dans ce plan d’extermination et dans aucun autre.
Bref, tel n’est pas mon sujet. Le devoir de mémoire exige d’abord le rappel de faits et de situations très simples qui sont pourtant absents de votre article :
1) Les arabes « chassés » en 1948 ont surtout été rappelés par les pays arabes voisins d’Israël avec promesse d’un retour une fois que les juifs eussent été « jetés à la mer ».
2) Israël est peuplé en grande partie de juifs séfarades eux-mêmes chassés de leurs pays arabes d’origine et qui n’ont jamais réclamé de droit au retour.
3) L’identité palestinienne est apparue vers 1967 lorsque les pays arabes défaits avaient décidé de changer de stratégie et avaient compris l’impact médiatique que pouvait représenter l’émergence d’un « mouvement de libération ».
4) Le roi Hussein de Jordanie, peu enclin à se lancer dans une nouvelle guerre vers 1969-1970 et désireux de désamorcer le conflit à cette nouvelle racine que représentaient les revendications palestiniennes, proposa à Y. Arafat de devenir le premier ministre d’un nouvel état jordano-palestinien qui était d’ailleurs déjà peuplé d’une majorité palestinienne (70%). Abu Amar, tout exalté qu’il était alors de sa nouvelle aura de combattant libérateur refusa, persuadé que seule la victoire par la guerre avait un sens. On sait ce qu’il en suivit : en Septembre 1970, l’armée jordanienne devint la plus grande massacreuse de palestiniens de l’ Histoire. Ce massacre est bien sûr sans commune mesure avec ce qui a pu se passer à Jénine.
5) « Le retour des juifs qui[eux] n’ont jamais vécu en Palestine » est sans doute une « coquille » indépendante de votre volonté-du moins, je l’espère !- et je ne m’attarderai pas davantage là dessus.
6) La deuxième Intifada avait commencé la veille de la visite de Sharon sur l’esplanade des Mosquées : c’est curieusement et involontairement bien sûr l’AFP, par les dépêches qu’on peut retrouver qui l’atteste ! Tels les moutons de Panurge, tout le monde s’est engouffré dans cette évidence du geste provocateur de Sharon alors qu’il ne fait aucun doute que cette Intifada était parfaitement planifiée par l’Autorité palestinienne et qu’il fallait bien trouver un prétexte à son déclenchement : un simple accident de la circulation aurait sans doute suffi.
7) Il est aisé de vérifier que les principaux dirigeants de l’Autorité Palestinienne avaient toujours considéré les accords d’Oslo comme un cheval de Troie. Leurs déclarations foisonnent encore d’une Palestine allant « du Jourdain à la mer ».
Une fois ces rappels insérés dans votre argumentation où la plus grande subjectivité suspecte domine, votre discours fait, comment dirais-je : « Pschiiiit… ». Les discussions sur terrorisme individuel et terrorisme d‘état deviennent quelque peu décalées et une fois ces choses dites la relecture de votre « cancer » perd quelque peu de sa saveur.
Ceci étant dit et si la mémoire reste un devoir, je sais aussi ce qu’est le pragmatisme.
Il serait bien entendu irréaliste pour un juif d’origine tunisienne comme moi de réclamer un droit au retour dans ce pays où pourtant mes ancêtres vivaient bien avant la présence arabe. Il serait absurde de contester l’arabisation du Maghreb sous prétexte qu’elle ne serait que le fruit de la conquête.
De même, loin de moi l’idée de remettre en cause cette toute fraîche identité palestinienne même, et c’est mon droit, si je pense qu’elle est le fruit d’ un énorme mensonge gobé par la communauté internationale.
Si le pragmatisme intègre donc cette notion du fait accompli, il veut aussi qu’on donne au terrorisme la réponse qu’il mérite, que l’on fasse comprendre une bonne fois pour toutes que le retour de trois millions de réfugiés en Israël est une utopie à abandonner, que l’on mette en lumière le caractère maffieux d’Arafat ( et là, je pense à l’irresponsabilité de l’UE dans son soutien inconditionnel à ce médiocre belliqueux), qu’en effet l’on définisse clairement les lignes principales d’un accord de paix avec, je le concède, un démantèlement des colonies de Gaza et de Cisjordanie.
J’ai un vrai souhait de tout cela, ne fut-ce que pour être débarrassé de votre prose.
Jean-Pierre CHEMLA
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 06 juin 2002 - 00h19: |
Edgar Morin, Sami Naïr et Danièle Sallenave rêvent et ils peuvent continuer à rêver. Ils n'ont encore pas compris ce que c'est que le terrorisme de la manière que pratiquent les extrémistes musulmans. Nous l'avons vu ici à New York, nous l'avons lu en Israël et à Karachi. Il n'y a pas de différence lorsqu'on s'attaque aux innocents. Du reste ce n'est pas nouveau, les mêmes fanatiques, dans les siècles passés, avaient bien exercé la prise en hôtage et la force de l'épée et le chantage contre des innocents pour accomplir des buts religieux, territoriaux et monétaires. C'est ainsi que l'Islam a gagné du terrain. Avant c'était pour convertir les non-Musulmans par l'épée (Meslem Besef). Aujourd'hui, pour détruire, tuer et déstabiliser le reste du monde pour que la loi de l'Islam l'emporte. Aucune excuse n'est valable quand on se sert de la vie humaine pour accomplir des buts politiques ou autres. Mais cette fois-ci, ils finiront par réveiller le monde contre eux. Quant aux trois personnes cités ci-dessus, il viendra le moment quand le terrorisme atteignera le sol où ils demeurent. Mais alors je crains fort qu'il sera tard.
Par Davideden (Davideden) le mercredi 05 juin 2002 - 23h41: |
En se rapellant de notre Naqba, voila un passage du meme site...
Mes amis Juifs de la terre de Tunisie, faites connaitre a tous et a toutes l'epuration ethnique d'on nous avons ete les victimes. Parlez a vos amis, collegues etc etc..dites leur comment la Tunisie s'est debarrasse de 99.9% des Juifs.
Faites leur savoir que nos biens, notre dignite, notre securite et notre terre a ete baffouee.
Ne laissez pas les perpetrateurs du crime ecrire notre histoire.
"So unknown and undisclosed are these Arab-born Jews and the plight they have faced-the camps, squalor, uprooting, loss of property and security, discontent, unemployment, and what they sensed to be neglect of their problems in Isael -- that in countless conversations outside the Middle East with academics or professionals, from university graduates to blue-collar workers, including Jews as well as non-Jews, when the question of the "Middle East refugees" is raised, almost without exception the response is, "You mean the Palestinians-the Aabs, of course." It is as though the sad and painful story of the Arab-born Jewish refugees had been erased, their struggle covered over by a revision of the pages of history."
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 05 juin 2002 - 23h40: |
Mon cher Toufik, je pense qu'il faut etre un peu plus sensible aux sentiments des humains, qu'ils soient Juifs ou Musulmans. Quand ils parlent de la Naqba ils pensent a autre chose que tous tes trous et tous tes NOQBA, tu ne penses pas?
Par Davideden (Davideden) le mercredi 05 juin 2002 - 23h20: |
Victoria,
http://www.eretzyisroel.org/~peters/arabjew.html
Par Victoria (Victoria) le mercredi 05 juin 2002 - 21h48: |
Davideden, pouvez-vous donner les références de l'ouvrage dont vous citez des passages ?
Puisqu'il faut constamment remettre les pendules à l'heure je trouve que la commémoration de notre naqba le 5 juin de chaque année en serait l'occasion serait très appropriée.
Par Nao (Nao) le mercredi 05 juin 2002 - 19h23: |
Il y a des coincidences qui sont vraiment glacantes/troublantes: une des jeunes soldates qui a peri tragiquement ds l'attentat de Meguiddo s'appelle Sivan Viner. Or savez-vous quelle date nous sommes ds le calendrier hebraique? 25 Sivan!
Ca donne froid ds le dos.
Par Nao (Nao) le mercredi 05 juin 2002 - 19h17: |
par Marek HALTER Ecrivain
Lettre au roi Abdallah :
Majesté, voilà plus de dix ans, angoissé par l'interminable guerre israélo-palestinienne, j'adressai une lettre publique à votre père, le roi Hussein de Jordanie. Je lui rappelai mais il le savait bien lui-même que la Jordanie était coresponsable du conflit et qu'elle devait en conséquence participer elle aussi à la recherche d'une solution.
Le pays sur lequel vous régnez depuis la mort de votre père, Sire, a porté le nom de Palestine sur toutes les cartes du monde par une décision de l'empereur Hadrien en 312 de notre ère. Il n'est donc pas étonnant que sur les quelque trois millions d'habitants que compte votre pays 72 % sont des Palestiniens. Votre famille n'est venue dans la région que récemment. (...)
Il existe pourtant une solution, solution que nous étions quelques-uns à préconiser dès le lendemain de la guerre des Six Jours et qui dépend beaucoup de vous, de votre courage politique et de votre vision de l'avenir. Il s'agit d'une fédération jordano-palestinienne, en Transjordanie et en Cisjordanie, à côté d'Israël et en paix avec lui, dans un cadre économique et politique régional, réalisée grâce à vous. Cela ne vaut-il pas la peine d'essayer ? (...)
Face à pareille initiative, le monde ne pourra que se réjouir et les intéressés retrouver un peu d'espoir . Sire, cette décision vous appartient.
Le 04 Juin 2002 Libération
Bravo a Marek Halter! Il a le courage de dire a ces Jordaniens trop frileux qu'ils ne se sont jamais impliques a 100% dans la recherche d'une solution a une situation qu'ils ont en partie creee! Vive l'entraide entre freres arabes!
Par Davideden (Davideden) le mercredi 05 juin 2002 - 18h43: |
Dans cette journee de commemoration de notre Naqba qu'a ete la creation d'un etat musulman raciste sur la terre de Tunisie je vous invite a lire cette perspective historique sur l"entente fraternelle" entre Juifs et Arabes sur la terre de Tunisie.
Les evenements de ces derniers mois nous rapellent que presque toutes les generations de Juifs ont connus spoliation, meurtres et humiliation. L'antisemitisme est chronique et a des periode d'exacerbation (que nous vivons aujourd'hui). La difference est que nous avons un pays, que l'information se distribue rapidement et que cette fois ci si il le faut nous prendront la planete entiere avec nous.
L'article est long mais il est instructif et extremement interessant.
"Tunisian Jewry, along with the other Maghrebi Jewish communities, has been relegated to "a backwater of Jewish history"-mainly because of the comparatively meager supply of source material readily accessible until recently to Jewish historians, and also because, generally, the Arab historians understandably dwelt upon the Islamic chronicles, touching only peripherally the infidel communities. [192] Painstaking research by present-day scholars has closed the historical gap. The Jews of Tunisia "existed continuously for about 2300 years," numbering among them important intellectual and religious leaders, and, sporadically, prominent international traders.
An apparently paradoxical role as detested dhimmi was allotted to the Jews at the same time: it is important to understand the special "otherness" of the Jew even in what some historians have judged to be the periods of "splendour" for the Jews in Arab lands.
For example, perhaps the definitive historian on the North African Jews, H. Z. Hirschberg, notes that in fifteenth-century Tunis, several Jews held "positions of honor." To a Western-oriented reader, the "position of honor" would indicate freedom from persecution. Yet an authenticated and respected document of that period, written by a visiting Flemish nobleman, describes Tunisian Jews as "despised and hated." After noting the privileged positions of local Christians, the nobleman wrote:
The Jews, on the other hand, have no freedom. They must all pay a heavy ... tax. They wear special clothes, different from those of the Moors. If they did not do so, they would be stoned, and they therefore put a yellow cloth on their heads or necks; their women dare not even wear shoes. They are much despised and hated, more than even the Latin Christians.... [193]
When confronting the fact that the Flemish nobleman's observations contradicted his findings, the historian explained that the "special yellow headgear of the Jews" was a mark of "native-born [Jewish] residents and not foreign traders.... The contempt shown to the wearers of the yellow headgear, and their fear of transgressing the discriminatory regulations, likewise indicate that the reference is to people not enjoying the protection of a European state."[194] Those foreign Jewish traders wore a "round cape" to distinguish them.[195]
Yet the historian notes that even "wearers of round capes" were subject to similar "humiliations." The point is that, through the careful, even hair-splitting research that establishes fact, academic disputes can result in the spreading of erroneous assumptions, which have had important political consequences in the Middle East refugee matter. While one scholar might argue that the Arab Muslims' massacres of Jews were "not necessarily specifically anti-Semitic," and another might conclude, from a superficial look at the incomplete source material readily available, that Jews in Arab countries were "better off than Jews in Europe," their statements, out of context, are misleading, and when quoted often enough, can serve as a conduit to the misconception that "harmony" and "equality" existed for Jews in Arab lands. Such obviously was not the case.
From the seventh-century Arab conquest down through the Almohad atrocities, Tunisia fared little better than its neighbors.[196] The "complete expulsion" of Jews from Kairouan, near Tunis, occurred after years of hardship, in the thirteenth century, when Kairouan was anointed as a holy city of Islam.[197] In the sixteenth century, the "hated and despised" Jews of Tunis were periodically attacked by violence, and they were subjected to "vehement anti-Jewish policy" during the various political struggles of the period.[198]
An Arab historian offered insight into the enormous uncertainty of Jewish life in Tunisia at that time: in 1515, the "fanatically religious" founder of the Saad Dynasty in Morocco incited the Muslims to anti-Jewish hostilities as he was "passing through Tunis on a pilgrimage to Mecca" by delivering inflammatory speeches against the Jews. He even extorted "contributions" from the objects of his capricious chastisement.[199]
Tunisian Jews were somewhat better off than either their Algerian or Moroccan brothers at times throughout the last few centuries,[200] but the separate Jewish Quarter, or hara, of Tunisia was not much less squalid and miserable than were other North African ghettos before French rule began. Jews were permitted to live as dhimmis, and as such, they led an uncertain existence at the alternating inclinations of their overlords. The smaller community of Jewish elite in Tunisia was allowed by more moderate sovereigns to engage in commerce and, from earliest times, eminent scholars and rabbis emerged from the Tunisian ghettos.
Yet, a historian reminds us,
The success that Tunisia's Jews achieved in the various trades and professions should not ... obscure the fact that there also existed ... a large group of Jews of the lowest social status-the Jew of the hara. This urban proletariat was only slightly less unfortunate than that of the Moroccan mellah and there were many thousands of people who were permanently unemployed, the . . . misfits .... [201]
An Italian observer described the hara of the mid-nineteenth century: "the ...hara appears as a labyrinth of muddy narrow alleys lined with ancient tumble-down buildings, at times frighteningly so, with middens of filth at the entry to the house. It lodges thousands of persons who live a life of hardship...."[202]
When Muhammad Bey ascended the throne in 1855, he abolished the special dhimma tax for Jews, the first real attempt at legal reform of the contemptible infidel status.[203] The reaction in the Muslim community was hostile and immediate: the old dhimma law-whereby the word of a Jew was unacceptable in defense of a Muslim's charge of blasphemy against Islam - was invoked against a Jew. The Bey refused to intervene, and the Jew was decapitated.[204]
The Muslim society had been unprepared for the Bey's attempt at uprooting its traditional persecution, and the revolution of 1864 sufficiently intimidated the Bey so that he was compelled to revoke the new liberal laws. Some ravages in the aftermath of that 1864 revolt are described among eyewitness reports.[205] One witness wrote:
Another disaster to report! Muslim fanaticism ... unleashed against our brethren on the island of Djerba.... Arab tribes ... turned upon ... the Jewish Quarters, which they sacked, destroying everything .... [On] Yom Kippur ... synagogues profaned and defiled. The Scrolls ... torn in pieces and burnt ... men injured and trampled ... all the women and girls raped .... My pen refuses to set down the terrifying ... atrocities ... in all [their] horror .... The governor of the island refused to intervene to re-establish order; ... the pillage did not cease for 5 days and nights ....[206]
Another complained of the Tunisian ruler's deviations:
The Sovereign of Tunis found nothing better to do to pass the ... Ramadan than to take by force -- on the pretext that he had become a Muslim -- a Jewish youth ... not yet 15! He had the victim shut up in the men's seraglio and obstinately refuses to give him up to his parents .... [207]
An outraged writer bitterly assailed the government's "protection":
Eighteen Jews have already fallen in a few months to the knives of fanatical [Muslim] murderers; and His Highness's Government, far from punishing the guilty, protects and apparently encourages them.
The Government's conduct toward us is macchiavellian beyond words. We are not directly persecuted but such is the scornful treatment we receive, when we ask for justice from the Bey or his ministers, that open persecution would be a hundred times better. Acknowledged persecution however, would expose the executioner and his victim to the world, and the Tunisian Government wishes to appear impartial whilst masking killers surreptitiously. * ... We do not seek an eye for an eye, blood for blood, but that the guilty should be . . . legally condemned.[208]
[* "The nineteenth-century complaint about the "government's wish to appear impartial" to the world while "masking" its persecution illustrates the sophisticated aptitude for image making that was practiced more than a hundred years ago. The "invitation" from the Arab world to its Jews (see Chapter 2 above) is one modem example of the continued tradition.]
A Jew from Tunis protested assassinations in a neighboring community:
Nabel is a town of fanatics, and we must unfortunately record six other murders of our co-religionists, the perpetrators of which have not been punished .... [209]
The violence spread in 1869 to the city of Tunis, where Muslims butchered many Jews in the defenseless ghetto. The French Protectorate was established in Tunisia in 1881, and life improved considerably for many Tunisian Jews. In 1910 they were allowed to become French citizens, though they were not fully accepted in Muslim and French societies.[210]
The subsequent Nazi occupation and Vichy regime did not improve conditions; the Great Synagogue in Tunis was put into use as a Nazi stable. When Tunisia became independent in 1956, a Jew was included in the Bourguiba cabinet, while at the same time, paradoxically, an authoritative report published in 1956 stressed that "the Jew in Tunisia has lost his position of middle man in the distributive industry-with commerce becoming more and more the privilege of a Moslem caste ... [211]
The Jews of Tunisia soon began to flee from the extremism that the "Arabization" policy of the government had fostered. Of 105,000 Jews in 1948, 50,000 emigrated tot Israel and roughly the same number have gone to France and elsewhere."
Par Wnes (Wnes) le mercredi 05 juin 2002 - 17h46: |
Message pour Claude.
Cher Claude.
La raison de ce site est clair comme la lumière, il procède de notre culture, qu'il faut préserver à tout prix.
Je pense commencer à percevoir ce qui te pose questions, et je partage également ta perplexité.
Les textes liturgiques des Hébreux ne peuvent pas contenir le mot Dieu, qui est d’origine grec dérivé du mot Théos, qui symbolise la Lumière ( voir Dios ou Dias en espagnol le jour signifiant la lumière ), ou les Dieux multiples de la mythologie des Grecs dont Zeus dérivé de Théos.
Mot qui sera d’ailleurs propagé au Moyen Orient et en Egypte, par les Grecs durant leur conquête de ces régions, soit ne nombreux siècles après l’apparition du monothéisme hébraïque.
En hébreux ce mot en tant que tel n’a jamais existé, les hébreux ont plutôt dit : El, Elohim, Adonaï (Seigneur en français) étant symbolisé par le tétragramme qui se prononce Yahweh, et « Yaohu « en hébreux ancien, dérivé en français par Jéhova qui ne veut pas dire Dieu et qui a été concocté à partir du tétragramme « YHWH « .
Tu peux donc sans te tromper, retirer ce mot des textes liturgiques, bien que certaines habitudes aient la vie dure.
Salut Claude et à bientôt.
Berdah
Par Admin (Admin) le jeudi 06 juin 2002 - 04h03: |