Commentaires du 8-10 Juin 2002

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires de Juin 2002: Commentaires du 8-10 Juin 2002
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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le mardi 11 juin 2002 - 07h23:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 09 juin 2002 - 19h05:

Bonjour,

Je voudrais vous signaler un excellent livre qui vient de paraître, écrit par une sfaxienne : Un Amour Amer, de Jacqueline Raoul-Duval (née Khayat), aux ed. M. Laffont. C'est un roman bouleversant : l'histoire d'une mère et de sa fille, mais cette mère-là, très loin des clichés habituels, c'était quelqu'un!
Passionnant.

Bramly

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 09 juin 2002 - 18h43:

Le 7 Juin 2002

Cher Monsieur,

Je vous ecris de Jerusalem, ou j'habite. Je suis avocat et j'ai avec d'autres avocats depose au nom de 19 victimes d'actes de terrorisme la seconde plainte contre Arafat et consorts en Belgique, pour incitation a commettre le crime de genocide, crimes de genocide, crimes contre l'humanite, traitements inhumains et degradants, etc...

Cette plainte a ete deposee le 20 decembre 2002 a Bruxelles.

Il faut absolument que l'on parle en France, dans des articles et a la radio et a la television que Arafat est un criminel et qu'il doit etre juge. Il faut deja que d'ici au mois d'octobre le public francais soit instruit sur ce que sont le crime d' incitation a commettre le crime de genocide, le crime de genocide, les crimes contre l'humanite, traitements inhumains et degradants, etc... Pour cela nous avons les exemples des crimes commis en Ex Yougoslavie.

Il faut que lorsque l'on fait reference a des actes terroristes que l'on ne dise pas "tue par un terroriste" mais par un criminel du Fatah ou de FPLP ou du Jihad Islamiste. Tout le monde pense ces jours ci que les terroristes ne sont pas des criminels mais des gens desesperes ou des resistants ou des combattants. Si l'on emploit le mot combattant il faut rajouter le mot "illegaux". C'est ainsi que le droit international les definit.

Si vous connaissez Finkelkraut, BHL et Glucksman, merci de leur en parler et de leur dire de me contacter par E mail ou par telephone en Israel.

Bien reconnaissant

Dr. Michel A. CALVO

zenouda@noos.fr

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 09 juin 2002 - 16h26:

LES MÉMOIRES D 'UN GOULETTOIS
L'ENFANT DE LA GOULETTE
PAR ALBERT SIMEONI (BEBERT )

LE BALOUTJI….l’affabulateur….Celui qui raconte n’importe quoi avec force et conviction….En somme nous faire avaler des couleuvres et faire croire que des ‘ vessies ressemblent à des lanternes’. Ce genre de personnage est fort sympathique parfois ennuyeux. La règle veut qu’il ne faut pas le contredire et surtout essayer de ‘rentrer dans son jeu ‘ afin de donner à sa narration une certaine consistance et crédibilité. Sa réalité n’existe que dans son esprit. Le Balouteur n’aime pas être contredit. Ce personnage vit avec son délire qu’il essaye de communiquer. En général, l’affabulateur expose son sujet, non pas en public, mais à un ami. Sachant par-là que son récit n’aura aucune chance de ‘passer’ parmi une bonne compagnie de gens avertis. Voici donc un récit de mon cru…

21/03/89 =PRINTEMPS.

'.........BALLOUT....'
'....AFFABULATION...'
ou addra ta matèo......paroles en l' air.....

Qu'est ce que le ballout....? les anciens goulettois et même les jeunes.....étaient de grands balouteurs.....affabulateurs......Ils racontaient des histoires .....des fanfaronnades dont ils étaient les victimes ou les auteurs imaginaires ….virtuelles rien que pour épater la galerie......et collectionnaient le vice jusqu'à la limite de leur désir.....au point de ne plus être conscients de la véracité de leurs propos......
Mon père fût de celui là......son fils.....?

Bichi , loueur de barque à rame , coté Casino, voit venir vers lui.....moi.....en short et tricot....

' …Bonjour....Monsieur Bichi....je voudrai louer une barque.....?'
Bichi '... 250 millimes la demi heure.....500 ...l'heure.....'
'....Pour un quart d'heure.....combien.....?'
Bichi '...Un quart d'heure , ya ouldi.....c'est rien....tu n'a même le temps de mettre la barque à l'eau que la demi heure est passée....!'
'..Bon ....une demi alors.....'
Je paye.. et mets à l'eau ZAIRA 239......
Quelques 'ramées ' plus loin ....à 20 mètres , mes amis ...ils sont quatre montent en ‘BARQUO STOP '.....on s'amuse .....on rit.....on s'éclate.....tant et si bien que la rame se détache et va reposer à 20 mètres de profondeur.....Comment allons nous faire pour avancer avec une 'floukè' manchot..... ?…à 400 mètres du rivage. Nous commencions à paniquer d'autant plus que la demi heure de Bichi était largement dépassée de 3 heures.......L'un de nous , D.ieu bénisse pour lui...un hakhèm...propose que deux d'entre nous , à tour de rôle , descendent, s'agrippent au cul de la barque.....et font avancer notre 'bus aquatique à trois roues...par quelques battements. Au bout de deux heures de fatigue , nous accostons....j'accoste...les autres sont déja partis.....

Bichi.......' Yè ouldi.....kôbbarra âllik.....rèhte? '
(Mon fils....que je parte en sacrifice ....tu t'es perdu....?)
'Non......Bichi...' .
Je recule de 10 mètres .
' Il y avait un requin au fond qui m'empêchait d'avancer.....'
Bichi.......'Chnouè......un requin.....? mnih affelou ... y'avais un requin..... wèynié l'yèd...ta Zaira...?'
(Quoi........................... ? a supposer ....................où est la rame….de Zaira... ?’..

Je recule de 20 mètres........
'Mais oncle Bichi.....ce n'est pas Zaira 239 que tu m'as louée....c'est Taita Dourouatou 69....'
Bichi 'Emmè Taita... ? .nèmchi fèl gbar......mè yendich.....Taita fèl flayèk.... ? .chouff entti byèdék….yandi tlètéh fleyèk idarboù……ou ouèhdéh mènnèm yandâ fasma… ?’'
(Quelle Taita....que je parte dans la tombe......je n'ai pas Taita dans mes barques....regardes par toi même ….je n’ai que trois barques qui se battent en duel…dont une possède une rustine… ?)
Je recule de 50 mètres ....je suis près de la maison.... et lui sur le sable......il s'enfonce par la rage comme dans de la vase......
Bichi 'Mnich.....chaddi mchoum.......et l'argent......ça fait 30 dinars . ?.'
(‘Bon......ma chance est mauvaise..................................................)

Je suis rentré dans ma maison et ferme la porte à double tour.....Il est sous mon balcon a me réclamer 30 dinars...avec les intérêts.
Je dois à Bichi.....50 dinars à ce jour......mais comme il n'est plus là....je ne peux les lui rembourser..
Désolé Bichi.......mè tèrkhèdch alliè kent sghir èl ..ouakt èddhéq (…… ne tiens pas compte de ma forfaiture ..j'étais enfant à cette époque là..) .
Voilà du ballout pur et .....mou......
L’article repassera dans six mois….pour les abonnés

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le dimanche 09 juin 2002 - 15h29:

Chronique des Lotophages 4.

Très tôt, l'île de Djerba connut le développement de plusieurs activités qui faisaient non seulement la richesse de sa population, mais aussi sa renommée. Ainsi, au 3eme siècle av. J.C., les Carthaginois qui connaissaient, comme leurs ancêtres les Tyriens, le murex, surent-ils utiliser ce coquillage à la chair rouge, très abondant jadis sur l'île, afin d'en extraire le pourpre.

D'ailleurs, la cape de pourpre de Djerba, symbole de la dignité, fut longtemps réservée et portée uniquement par les empereurs et les hauts dignitaires théocrates et aristocrates.

Certes, sous les Carthaginois, l'île connut un sort heureux; mais avec la fin des guerres puniques et la destruction en 146 av. J.C. de la splendide citée de Carthage, l'île fut abandonnée momentanément par les Romains.

Il fallut attendre le 1er siècle pour que cette île connaisse un nouvel essor et retrouve son rôle économique d'antan. En effet, des le 2eme siècle ap. J.C., des commerçants et des colons romains s'installèrent sur l'île qui devint rapidement une importante place de négoce et de commerce et un vaste entrepôt d'huile d'olive et d'autres produits: ivoire, plumes d'autruche, or, peaux en provenance des pays du sud du Sahara...

Nœud de commercialisation entre l'Afrique et l'Europe, Djerba vit sous les Romains ses activités s'accroître. Et ce fut, jusqu'a la fin de la domination des Byzantins, l'époque d'une extraordinaire apogée. Car, dans ses ports de Meninx, de Ghizen, de Tipasa, d’ Hadrien s'entreposaient les marchandises les plus diverses et, en particulier, les fameuses pommes de l'île, avant d'être redistribuées et vendues sur les places de grandes métropoles : Carthage, Rome, Alexandrie, Constantinople...

Cette formidable prospérité permit alors d'édifier de grandes citées et d'urbaniser même la campagne de l'île, afin de loger et de distraire une population en croissance constante, d'autant que Djerba était déjà devenue le siège d'un évéché. Partout des basiliques, des temples, des thermes et des demeures se pressaient, luxueux ou modestes selon les lieux.

Propos Recueillis

Berdah

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 09 juin 2002 - 15h22:

FERNAAAAAAAAN.......

VIOLONNNNNNNNNNNNNNNNNN…

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

El farh yendi ghraièb oul gu'alb hââââââââââââhrass ahroussa
El farh yendi ghraièb oul gu'alb hââââââââââââhrass ahroussa

Lemèt èl jmeyè èl ahbèyèèèèèyeb
Lemèt èl jmeyè èl ahbèèèèèèèèyeb

Lemèt èl jmeyè èl ahbèyeb
Alla farhet l arousse ou l 'aroooussâââ

OURRIRIRIRIRIRIRIRIRIIRIRIRIRI

Jinèèk yè arroussa frahnè ou ghèninè
Jinèèk yè arroussa frahnè ou hèninè

Jinèèk yè arroussa frahnè ou ghèninè
Yè raabi kèmèl farhnè ou hèninè

TEY TEY TEY TEY…………..

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Zarkhrèt èl âam zerkèht yè khèllè
Tahder lè bnet oul rajèllè
Arroussetna hlouè ou messwane
Arroussetna hlouè ou messwane

OURIRIRIRIIRIRIRI……………….

Jinèèk yè arroussa frahne ou hènine
Jinèèk yè arroussa frahne ou ghènine
Jinèèk yè arroussa frahne ou hènine
Yè raabi kèmèl farhnè ou hèninè

Refrain
Jinèèk yè arroussa frahne ou ghèn ine
Jinèèk yè arroussa frahne ou ghèn ine
Jinèèk yè arroussa frahne ou hèn ine
Yè raabi kèmèl farhnè ou enninè

!§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§


Yè arrouss yè ouldi yè ziz ou ghèyèb
Aayoun èl sewè ââlli le tètkayèd
Oun challa tbekèr bewlayid…
Tbekèr bewlayid…

Jinèèk yè arroussa frahnè ou ghèn ine
Jinèèk yè arroussa frahnè ou ghèn ine
Jinèèk yè arroussa frahnèou hènine
Yè raabi kèmèl farhnè ou hèninè
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

refrain

Jinèèk yè arroussa frahnè ou ghèn ine
Jinèèk yè arroussa frahnè ou ghèn ine
Jinèèk yè arroussa frahnè ou hèn ine
Yè raabi kèmèl farhnè ou heninè

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Yè aroussa hènti yè mèhlèhè dèyèk
En challah kèl khir ou doum hyètèk
Rabbi en châllâ i kawi saddèk i kawi sadek
Jinèèk yè arroussa frahne ou hènine
Jinèèk yè arroussa frahnè ou ghènine
Jinèèk yè arroussa frahnè ou hènine
Yè raabi kèmèl farhnè ou enninè

Refrain

Jinèèk yè arroussa frahnèou ghèn ine
Jinèèk yè arroussa frahnè ou ghèn ine
Jinèèk yè arroussa frahnè ou hèn ine
Yè raabi kèmèl farhnè ou enninè

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le dimanche 09 juin 2002 - 08h10:

L’Hum, l’Huma, l’Humanité ! (info # 010806/2)

Par Salomon Pardess © Metula News Agency

Erratum publié par L’Humanité :

« L'agence Metula News Agency attire notre attention sur le fait que nous avions comme d'autres publications cité dans notre édition du 9 avril dernier un entretien d'Ariel Sharon prétendument réalisé par l'écrivain israélien Amos Oz en 1982 pour le quotidien Davazÿ (Non, "Davar", ndlr, c’est presque pareil !) : " Même aujourd'hui, disait Sharon, je me porte volontaire pour faire ce sale travail, de tuer autant d'Arabes qu'il est nécessaire, de les déporter, de les expulser, de les brûler... " Or, interrogé maintenant sur ce thème, Amos Oz déclarerait n'avoir jamais interviewé Ariel Sharon. Nous l'enregistrons et regrettons donc d'avoir diffusé ces propos non sans faire remarquer que les actes les plus récents du Premier ministre israélien ont pu donner beaucoup de crédit à ce que l'agence Metula qualifie de « rumeur calomniatrice. »

Depuis quelques jours, il y avait déjà une première victoire de La Ména. Lorsque vous faisiez une recherche sur le site électronique de L’Humanité avec « Sharon » comme mot-clé, vous ne pouviez plus voir s’afficher l’éditorial du 9 avril 2002 : « PALESTINE - Sharon continue sa sale guerre » dans lequel se trouvait le passage contesté, sujet de l’erratum.

Et puis est venu le texte du « regret » officiel du quotidien communiste, publié le 3 juin, que vous venez de lire.

Et là, nous devons dire que cela nous fait très plaisir, à La Ména, de marquer un point dans la lutte, non contre L’Humanité comme telle, cela va sans dire, mais contre la désinformation qui se déchaîne en France, en Europe et dans le monde à propos du conflit israélo-palestinien.

Petit rappel des faits : La Ména avait fait savoir à Monsieur Bruno Odent, responsable de la rubrique « International » de L’Humanité , que non seulement Amos Oz, un des leaders de la gauche pacifiste israélienne, avait officiellement déclaré qu'il n'avait jamais interviewé Ariel Sharon, mais que le journaliste américain, Holger Jensen, qui était l'auteur de l'article où a puisé le correspondant de L’Humanité, et qui avait prétendu qu'Ariel Sharon avait dit cela s'était lui-même rétracté le 16 avril dernier en ces termes : "Ceci est mon mea culpa. J'ai fait une erreur gravissime en ne vérifiant pas l'authenticité d'un article vieux de 20 ans, attribué à Ariel Sharon, que j'ai utilisé dans un de mes articles de samedi à propos du leader israélien. Après vérification, cette déclaration n'était pas de Sharon mais d'un soldat israélien inconnu, mort il y a 11 ans".

Il faut rendre hommage au quotidien communiste d’avoir accepté de passer une information qui vient contredire en direct, en live, devrais-je dire, l’image consciente et inconsciente d’Ariel Sharon qui fait l’objet des nuits d’effroi et des haines du petit matin de ses journalistes spécialisés. On les imagine désormais désorientés, ces journalistes, désorientés et contraints de faire avec des modifications de cette imago politique qui les arrangeait bien depuis 20 ans. Et l’on imagine qu’il va leur falloir dorénavant raturer plusieurs fois leurs copies pour éviter que se retrouve cette phobie de Sharon dont, comme d’autres journaux effectivement (je pense ici au Courrier International qui avait profité de l’absence d’une semaine d’Alexandre Adler pour faire figurer dans son dos la photo de Sharon comme criminel parmi les portraits de Milosevic et autres bourreaux) L’Humanité se défendait, en s’efforçant de se convaincre qu’elle l’avait terrassée par un flot de calomnies.

Pour autant, le combat pour une information équitable est loin d’être terminé. Nous savons bien que ce quotidien, menacé dans son existence en raison d’une désaffection croissante de ses lecteurs, ne brille pas par son esprit scientifique. Si, sur le Proche-Orient, ses journalistes ignorent le subtil masochisme de ceux du Monde qui – la récente publication du brûlot de Morin, Naïr et Sallenave le démontre amplement - martyrisent leurs convictions originaires profondes, ils n’en continuent pas moins à participer du même « entonnoir messianique à l’envers », qui consiste à croire que l’on va pouvoir faire basculer le monde vers des lendemains qui chantent, si l’on met Israël à genoux.

C’est pourquoi, L’Humanité se croit autorisée et encouragée à atténuer les termes de son « regret », au moment même où elle le publie. « Nous regrettons donc, dit le journal, d'avoir diffusé ces propos non sans faire remarquer que les actes les plus récents du Premier ministre israélien ont pu donner beaucoup de crédit à ce que l'agence Metula qualifie de « rumeur calomniatrice. ». Ainsi, au lieu d’aller jusqu’au bout du démenti de la rumeur, au lieu de ne pas se contenter de « regretter » de l’avoir publiée, L’Humanité confirme que non seulement elle avait de bonnes raisons d’y croire, mais que les faits démontrent que, bien que Sharon n’ait pas dit ce qui lui est reproché, le Premier ministre israélien fait ce qu’on a faussement reproché à Sharon d’avoir fait. En termes clairs, cela signifie que c’est l’Etat d’Israël et plus seulement Sharon que L’Humanité soupçonne (sinon accuse) de commettre délibérément des massacres de Palestiniens.

J’en veux pour preuve qu’au moment même où nous exigions ce démenti, L’Humanité – et c’est son droit le plus absolu- publiait un nouvel appel (le 27 mai) de personnalités « d’origine juive ou arabe », celles du CAPJPO, qui, au nom de la « bonne volonté » réduit le conflit israélo-palestinien à une opposition entre une « puissance occupante, spoliatrice et répressive », d’une part, et des « Palestiniens, qui réclament leur indépendance » et qui « ont le droit et la justice de leur côté ».

Nous savons bien que ce quotidien préfère donner la parole à ceux qui s’auto-félicitent des pétitions qu’ils lancent pour obtenir la rupture entre l’Europe et Israël, à un moment où seul le renforcement de leurs liens complèterait la perspective politique ouverte par les Etats-Unis et l’Arabie Saoudite. Nous savons également qu’il apporte un soutien sans faille au Chef de l’Autorité Palestinienne, en fermant les yeux sur les exactions, les discriminations et les corruptions qui participent de sa vision politique de l’Etat. Nous savons aussi, que nombre de militants communistes qui n’ont pas ménagé leurs efforts (puis leurs enfants spirituels) en viennent aujourd’hui à renier le sens profond qu’en 1947-48, aux côtés de l’Union Soviétique, notamment, ils avaient trouvé dans la création d'Israël, au prétexte que ce seraient « les Palestiniens qui en feraient les frais ». Depuis quelques mois, nous voyons, en effet, le fiel d’un nouvel antijudaïsme se constituer sur la base du reniement du sentiment de réparation que le monde non-juif a vécu vis-à-vis du désastre historique mondial qui a frappé le peuple juif d’extermination et que l’on appelle improprement l’Holocauste, mais que l’on peut appeler Shoah, si l’on veut le nommer d’un mot hébreu. Que le CAPJPO soit dirigé par une militante trotskiste et alimentée par des juifs nés en Israël en dit d’ailleurs long sur un tel reniement. Nous savons, enfin, que, « afin de ne pas désespérer Billancourt », L’Humanité n’hésite jamais à faire croire aux lendemains qui chantent sur la base d’un faux rapport à la réalité, au point qu’enjoliver la lutte des démocrates dans les pays arabes, comme le fait le CAPJPO, ne lui paraisse pas digne de critique.

Sur tous ces points, nous ne nous faisons aucune illusion, puisqu’ils mettent en jeu le respect des acteurs de l’histoire (peuples, dirigeants…) et la restitution fidèle de ce qu’ils pensent, de ce qu’ils disent et de ce qu’ils font, quitte à reconnaître que l’on a fait une erreur, lorsqu’on les a fait parler à tort et à travers.

Bref, nous savons bien qu’un gigantesque entonnoir est en train de se mettre en place pour y engouffrer l’Etat d’Israël, et nous ne sommes pas dupes. Nous voyons bien que nombre d’hommes de culture de la civilisation occidentale ont largué les amarres, qu’ils ont fait sauter des clivages et franchi des bornes de la conscience. Nous savons aussi que ces franchissements vont laisser des traces durables dans la transmission consciente et inconsciente des images dans lesquelles on enserrera désormais les Juifs d’Israël, mais les autres également.

Mais, c’est justement pourquoi, nous ne nous satisfaisons pas d’un simple « regret » de L’Humanité. Pour La Ména, il faut entraver ces franchissements intellectuels et affectifs dès leur stade de l’œuf. Dans L’œuf du serpent, Ingmar Bergman, qui a su faire un courageux travail sur la honte qu’il a éprouvée vis-à-vis de ce qu’il vivait et pensait à l’époque de la domination nazie en Europe, nous explique que si nous laissons l’œuf éclore, nous intervenons trop tard. Or, l’œuf de la nouvelle discrimination anti-juive est en train d’éclore. Et c’est contre elle, que ceux qui appréhendent l’éclosion de ce genre d’œufs, et de ce qu’elle a de terminal pour la culture démocratique, saisissent aussi la nécessité de riposter sans attendre.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le dimanche 09 juin 2002 - 07h52:

ICQ: 161598068
"Kibbutz in New Zealand" in "Other Social Organizations"
http://communities.msn.fr/polynesien
Shahar Ha Golan, Afiqim, Beit Zera, Givat Yoav

yvesheraud@paradise.net.nz

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le dimanche 09 juin 2002 - 01h19:

Chronique des Lotophages 3.

Entre le 8eme siècle av. J.C. et l'ère chrétienne, l'île des Lotophages fut fréquente par une multitude de visiteurs.

Parmi les plus connus, on peut citer le navigateur Pseudo-Scylax qui explora au 5eme siècle "le golfe de Syrte et l'île - jardin des hauts fonds". Au 4eme siècle, l'historien grec Hérodote, qui séjourna chez Garmantes et les Libons, parla dans ses récits des Lotophages de l'île de Phla...

Au 3eme siècle av. J.C., l'observateur Polybe donna des détails précis sur cette île qu'il désigna, cette fois-ci, par le nom Meninx que les Carthaginois donnèrent a cette île dépourvue de sources et de rivières.

D'origine phénicienne, ce toponyme Meninx, qui dérive du mot "me-nages" - signifie "manque d'eau". L'île garda cette appellation punique, Meninx, jusqu'au 3eme siecle ap. J.C.

A cette époque, romaine, elle prit le nom de DJERBA, vocable qui dérive de Girba, un lieu-dit antique situe prés de la forteresse et du port de Houmt-Souk.

Propos Recueillis

Berdah

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le samedi 08 juin 2002 - 21h06:

Manifestation de soutien a Israel a Madrid demain.

Para nos amigos de Harissa en Espana :

MANIFESTACION EN SOLIDARIDAD CON ISRAEL

CONVOCAN : INSTITUCIONES JUDIAS DE ESPANA

FECHA : Domingo 9 de JUNIO 2002 a las 12 horas

LEMA : SOLIDARIDAD CON ISRAEL, POR LA PAZ

LUGAR : MADRID CALLE VELAZQUEZ 150 frente a Embajada ISRAEL

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Davideden (Davideden) le samedi 08 juin 2002 - 18h08:

Toufiq, notre Naqba date de 1956 et pas de 1967.
La creation d'un pays avec un drapeau rouge, un croissant et une constitution raciste est la naqba de tout non musulman qui vivait sur la terre qui est aujourd'hui la Tunisie.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le samedi 08 juin 2002 - 13h17:

Chronique des Lotophages 2.

Depuis la haute antiquité, notre île de Djerba était une terre d'accueil connue. Elle avait reçu moult visiteurs : Grecs, Phéniciens et autres.

Mais le plus célèbre fut le roi d'Ithaque, Ulysse. Celui-ci, ballotté par la tempête, découvrit au 8ème siècle av. J.C., fortuitement, l'île enchanteresse des Lotophages.

Cette histoire est longuement et savoureusement contée dans l'Odyssée par le grec Homère:
"Poussé par les forces du dieu Eole, Ulysse tira les nefs fatiguées sur le sable fin de l'île des Lotophages. A peine arrivé et débarqué, et après avoir satisfait faim et soif, Ulysse envoie des hommes reconnaître les lieux.

Mais à peine en chemin, ses envoyés se lient avec des Lotophages qui, loin de méditer le meurtre de ces étrangers, leur servent du lotos. Et aussitôt qu'ils eurent mangé de ce fruit, quelques uns oublièrent tout ce qui n'était pas cette île.

Ulysse eut du mal à rassembler ses marins mêlés à la population de l'île car, sitôt que l'un d'eux gouttait à ces fruits de miel, il ne voulait plus rentrer ni donner de nouvelles. Ulysse dut les ramener de force, tous en pleurs, et les mettre aux chaînes, allonéges sous les bancs au fond de leur vaisseaux.

Puis il fit rembarquer ses marins fidèles. Pas de retard! A bord! s'écria Ulysse, le rusé, qui craignait qu'à manger de ces fruits, les autres - les fidèles - n'oubliassent aussi le jour du retour".

Propos Recueillis

Berdah

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le samedi 08 juin 2002 - 02h31:

Ce seraient les juifs qui ont shooté le ballon dans les rosiers ! (info # 010706/2)

Par Denis Elkoubi © Metula News Agency



Revenir sur l’article du trio Morin, Naïr, Sallenave ?

Salomon Pardess l’a fort bien analysé. Et consacrer du temps au-dit article, tend certes à donner une importance irraisonnable à la démarche de ses auteurs.

Cet article est cependant caractéristique du franchissement d’un seuil nouveau dans les médias français. On connaissait depuis deux ans les fleurs d’Inculture, les bourgeons grossiers du Manipulateur et les pousses grimpeuses de l’Antijuif. J’avoue ne pas m’accoutumer à trouver régulièrement cette herbe folle dans la pépinière du Monde et ça me fait toujours aussi mal de vivre parmi les ronces de méninges. Sous l’influence de la Coupe du monde de foot, comme nombre de nos lecteurs, j’avais envisagé de rouler en boule un certain nombre de journaux et par un tir mieux inspiré que ceux de notre équipe nationale, de les envoyer directement dans les poubelles. J’avoue. J’ai songé à me mettre au vert !

Mais le pamphlet du trio Morin, Naïr, Sallenave est trop porteur de haine et de contrevérités premières pour ne justifier que d’un simple coup franc en enfer. Il franchit donc un nouveau seuil, tant les registres dont ont joué les auteurs de cette diatribe étaient insidieux et particulièrement préoccupants.

Notre ami Salomon Pardess a fort bien démontré comment tout l’article tourne autour d’une ambiguïté basée sur la « rumeur-fausse rumeur/vraie rumeur ».

Le Monde a donné à Naïr et Sallenave la licence d’écrire n’importe quoi sur ce sujet, aussi n’ont-ils trouvé dans leur inspiration propre aucune bonne raison de se priver de cette largesse.

Par contre, quel engrais a donc poussé Edgar Morin à ajouter sa signature sur un tel texte, qui se complait en énormités intellectuelles et qui n’hésite pas, en particulier, et sans l’accompagner de la moindre réserve, ni de la moindre condamnation, à colporter « la rumeur planétaire qui attribue même la destruction des deux tours de Manhattan à une ruse judéo-américaine » ?

Pourquoi, me direz-vous, fais-je cette différence entre Morin et ses camarades ?

Parce qu’il est juif ?

Euh…non ! Evidemment non. C’est parce qu’Edgar Morin est sociologue et qu’il s’est spécialisé dans l’étude des… rumeurs !

Parce que je me suis souvenu de la rumeur d’Orléans en 1969, lorsque les commerçants juifs de cette ville étaient accusés de pratiquer la traite des blanches. C’était lui, Edgar Morin, qui m’avait expliqué comment les rumeurs naissaient, comment, infondées, elles visaient à polluer les âmes !

Voir, alors, le grand spécialiste du sujet ne pas reconnaître les méfaits d’une rumeur-base, le massacre de Jenine par exemple, quand bien même le Quai d’Orsay s’est trouvé contraint d’avouer qu’il n’y a pas eu de massacre dans cette ville, constitue un acte inacceptable.

Deux hypothèses ont alors traversé mon esprit :

- ou Edgar Morin est atteint du mal de l’oubli, et ses études ne lui servent plus à analyser les événements du présent.

- Soit Edgar est habité d’une telle haine de son identité, que cette haine l’aveugle, au point que même le sujet auquel il a consacré sa vie a sombré dans l’obscurité de sa mémoire. C’est un peu comme si Einstein avait décidé que les lois de la physique, qui affectent l’entièreté de l’univers, excluaient soudain le cas des juifs.

À la Ména, on retient les deux hypothèses.

Comment expliquerais-je autrement l’incitation à la haine raciale véhiculée par ce texte ?

Tout ce qui rend Israël mauvais y est inéluctable. C’est, à en lire les auteurs, directement lié à ce qui est historiquement le fait Israël : « Dans l'opprimé d'hier l'oppresseur de demain ». Israël est coupable par avance, par déterminisme ! « C'est la conscience d'avoir été victime qui permet à Israël de devenir oppresseur du peuple palestinien » (Les auteurs ne réalisent pas, que sur la base d’un tel raisonnement trivial, les Palestiniens deviendront à leur tour, un jour, des oppresseurs, à moins qu’ils ne réservent « logiquement » cet axiome « social » au peuple juif en exclusivité).

Le destin d’Israël appelé, ontologiquement, à devenir oppresseur, ayant été opprimé, ne suffit pas au trio, qui craint sûrement qu’un tel déterminisme, dans ce qu’il a de contre-naturel, rende difficile une condamnation sans appel d’Israël. Aussi, pour rendre Israël complice, en quelque sorte, du destin qui l’a appelé « à devenir à son tour agresseur, » les auteurs vont-ils préciser qu’Israël a été capable « de se transformer en deux générations de "peuple dominateur et sûr de lui" (…) en peuple méprisant ayant satisfaction à humilier. »

On quitte ici le domaine de la falsification des faits, pour la construction d’une histoire mythifiée ; on aborde carrément le domaine de la diffamation d’anthologie, celle qui consiste non plus à inventer des actes mais à leur coller une intention.

« Peuple méprisant ayant satisfaction à humilier ! » Où les auteurs se métamorphosent en sondeurs de l’inconscient d’une nation entière ! Où tous les juifs partagent le même inconscient collectif ! Les auteurs ne traitent même plus de l’armée d’Israël, dans ce qui serait déjà faire preuve d’un jugement de psychanalystes exceptionnels, ni même du gouvernement d’Israël, ce qui serait pareillement péremptoire, pas plus que des Israéliens, ce qui serait le comble de l’arrogance ! Ils qualifient l’esprit malveillant du peuple d’Israël, y incluant – de façon voulue ou par lapsus délirant, voire par emportement fielleux – Edgar Morin, participant de ce peuple méprisant et sadique, bien avant que d’être co-jardinier de cette ortie !

Où le trio, transmué en Sainte Trinité s’auto-arroge le pouvoir de sonder les cœurs et les reins des Israéliens. Elle SAIT, cette Sainte Trinité, que les juifs ne sont pas seulement des oppresseurs, mais qu’en plus, ils éprouvent de la satisfaction à humilier les palestiniens.

« Tsahal s'est livrée à des actes de pillage, destructions gratuites, homicides, exécutions où le peuple élu agit comme la race supérieure !» Parlant du « peuple » élu, il s’agit bien des juifs, là, n’est-ce pas, ou on me trompe encore ? Où les trois anges de la Justice, maîtres du subconscient collectif, les experts en comportements ataviques et déterminés, se font diffamateurs et ragotiers, repreneurs d’accusations aussi mensongères que terribles. Terribles, parce qu’elles ne se fondent QUE sur la propagation de rumeurs du type de celle d’Orléans. Mais cette fois, autrement plus englobantes, puisqu’elles ne montrent pas du doigt les commerçants de l’Orléanais mais un peuple tout entier et parce qu’elles ne l’accusent pas de la traite des femmes, mais de s’adonner à un génocide et encore de manière jubilatoire !

Il reste encore trois questions essentielles :

Se pourrait-il que les inexactitudes factuelles de cette grasseur soient passées inaperçues aux yeux du comité de rédaction du Monde ? Cela paraît fort peu crédible !

Que les rumeurs véhiculées par ce papier aient été négligées par le comité de rédaction du Monde ? Cela en deviendrait justiciable !

Mais, se pourrait-il, que les appels ouverts à la haine raciale, qui suent de chaque paragraphe de ce traité-du-déterminisme-juif, aient été ignorés par la rédaction du Monde ? C’est assurément inconcevable, dé-civil, dé-civilisé.

Que trois individus vomissent sur une table de bistro leur haine d’Israël, c’est leur problème mais qu’un quotidien de référence, de la France démocratique, reprenne ce document à son compte, sans exprimer le moindre avertissement, ou la plus délicate des notes critiques, ça ne saurait entrer dans la nouvelle normalité de la nouvelle expression. Cela procède certainement de complicité de message raciste.

J’ai peut-être un ballon de foot sous le bras et les chaussettes en berne. Je tiens à la main un bouquet de roses fanées, qui n’a pas résisté aux pluies de poison des arroseurs policés, mais je ne suis pas ivre ! Je vois bien le cancer des sentiments triviaux – de ceux qu’on ne se donne plus la peine d’expliquer, de vérifier, de comprendre et de justifier - qui s’est remis à tout bouffer sur son chemin. Entre le fait de m’accuser de crimes que je ne commets pas, de mépriser les hommes et de prendre du plaisir à tuer et la réaction « naturelle », qui est d’éliminer des individus malfaisants de mon engeance, il n’y a qu’un petit pas à franchir. Lorsque ce sont les élites de ce pays qui secouent les blés de la sorte, la société dans laquelle je vis va sûrement avaler l’ivraie.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le samedi 08 juin 2002 - 01h06:

a propos de "naqba" et autres "nqob" la vie etl'histoire de l'espece humaine sont une succession de petites,moyennes et grandes naqbas.on arrive par un petit trou et a la fin on se retrouve dans un grand trou et entretemps on essaye de faire son trou honnetement si possible pour eviter d'aller au trou.la naqba de l'un fait le benefice de l'autre.les dinosaures ont eu leur grande naqba sans ca nous autres humains ne serions peut etre pas la aujourd'hui.le big bang etait il une naqba?sans aucun doute les evenements de 67 representent une naqba a la mesure de l'amour porte a la tunisie par ceux qui en soufrent encore.dans chaque inconvenient il y a un avantage cache et vice versa.....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Davideden (Davideden) le vendredi 07 juin 2002 - 22h55:

"Le judaïsme tunisien...a conservé son identité malgré le passage des Phéniciens, des Romains, des Vandales, des Espagnols, des Turcs, des Arabes et des Français."
oui mais pas la Tunisie moderne de Bourguiba d'ou notre naqba.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Wnes (Wnes) le vendredi 07 juin 2002 - 22h51:

Chronique des Lotophages.

Le judaïsme tunisien, installé depuis vingt cinq siècles pour les Israélites de Djerba, et depuis vingt siècles pour le reste de la Tunisie, a conservé son identité malgré le passage des Phéniciens, des Romains, des Vandales, des Espagnols, des Turcs, des Arabes et des Français.

Pour cela, il a fait preuve de tolérance et a su discerner l'essentiel de l'accessoire, acceptant ou supportant le compromis pour ce qui est accessoire et se refusant à se compromettre sur l'essentiel.

Il suivait ainsi l'enseignement de Maimonide et l'exemple des Israélites espagnols et portugais qui, dans certains cas, ont adopté la foi imposée quitte à récupérer leur judaïsme en lieu sûr contrairement aux Israélites d'York qui ont préféré la mort, un choix qui a servi la politique de l'adversaire et affaibli d'autant le judaïsme vivant.

Cette tolérance du judaïsme tunisien a engendré, au contact avec les éléments ambiants, une joie de vivre intérieure et familiale qui se retrouve aujourd'hui dans les communautés tunisiennes.

Il est à craindre que le judaïsme tunisien ne finisse par se dissoudre dans les communautés d'accueil. Cependant, à Paris. Sarcelles, Strasbourg ou Marseille se sont formés des groupements attachés à l'héritage du passé.

À Marseille, notre communauté Keter Thora pratique le particularisme judéo-tunisien, enrichi de ce breuvage qui s'est imposé en France, la Boukha ; ne dit-on pas que le judaïsme tunisien, c'est Torah et Boukha ? Ce serait si dommage que la diversité construite dans des pays différents et à des siècles différents se termine dans l'optique feutrée des musées.

Propos Recueillis.

Berdah

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le vendredi 07 juin 2002 - 22h06:

shabbat shalom et bon vent a tous les petomanes,de quelque pays qu'ils soient.de toute facon,tel l'esperanto,le "petomanto"est compris par tous,sauf par ceux qui sont bouches,bien sur....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert Simeoni (Albert) le vendredi 07 juin 2002 - 21h56:

TAWFIK,
Ils peuvent toujours s'unir, ils n'auront rien à perdre pour plus tard. Sauf leur virginitè bien sur.
Bon, écoutes il y a des instruments comme 'Pètomanes' dans les instruMents indous...?

Ils doivent être francais ceux là déguisès en patchoun....Bon, ils feront les vents.
Avec trompette et hornas.Bizarre,la musique des Indes.La pièce sera finie MARDI OU MERCREDI.
ALBERT BREITOU.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le vendredi 07 juin 2002 - 21h08:

au gay,vive la rose....les gays palestos et israeliens ont deja defile ensemble l'an dernier.a l'inverse des heteros,ils n'ont aucun probleme a s'entre occuper,ils ne surveillent jamais leurs arrieres et ne se soucient guere du futur de leurs enfants.....

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudius (Claudius) le vendredi 07 juin 2002 - 21h00:

Je ne savais pas que les partisans du FN avaient des propagandistes sur le site Harissa.
En effet, l’un des liens du site évoqué par Michka renvoie directement à un article de Alain Dumait qui a voté Le Pen au 1er tour de La Présidentielle.
http://www.les4verites.com/les4verites/articles/339_02032002e.htm

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert Simeoni (Albert) le vendredi 07 juin 2002 - 20h16:

Oui,
Je propose pour l 'an prochain a JESRUSALEM, de faire défiler des homos israeliens assortis d 'homo palestiniens.Idem pour les lesbiennes.
Peut être que la paix viendra par leur dérrière.
On ne sait jamais , il faut tout essayer dans la vie, même les initiatives les plus farfelues.
Allez CHABBATH CHAL HOMME LES GAYS.
ALBERT

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le samedi 08 juin 2002 - 02h53:

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