Par Braham (Braham) le mardi 15 février 2005 - 17h24: |
Emile, ya H’bibi !
Encore une fois je t’écris au lieu de régler cela par téléphone parce que je juge que cela pourrait avoir un intérêt pour les autres aussi.
J’ai assez voyagé et fréquenté longtemps des Yordim (ceux qui ont fait le contraire de la Allia), pour avoir vu parmi eux, que ce soit à la Valley de Los Angeles, à New York, à Paris ou ailleurs, plusieurs qui jugeaient Israël à travers le prisme de leurs opinions politiques.
Ceux de gauche ont eu les termes les plus chaleureux quand le parti travailliste était au pouvoir et critiquaient âprement le pays (pas les partis) quand le Likoud a pris la barre, et inversement avec ceux de droite.
Il faut donc du courage à ceux qui, indépendamment de la couleur que nous donnons à notre gouvernement, gardent une amitié inconditionnelle et une solidarité fraternelle pour Israël.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 15 février 2005 - 17h39: |
Ya Si Mustapha Chelbi, le proverbe usé par Bekhor est très exact. L'expression usée par les Musulmans est encore une preuve irréfutable. Mon arrière-grand-père et mon arrière-grand-mère qui avaient vécu, l'un jusqu'en 1942 et l'autre jusqu'en 1943 et qui j'ai eu la grâce de connaître et même de vivre avec eux, m'on explicitement raconté l'histoire de Sidi Mahrez telle qu'elle est décrite dans les écrits de Bekhor et les miens. Les deux écrits se complètent avec une petite nuance d'interprétation et de style, mais ils sont tout à fait exacts dans leur substance. Il n'empêche que malgré que cette histoire vous déplaise, elle ne diminue en rien la mémoire de la bonne entente que les Juifs et les Musulmans avaient ensemble en Tunisie.
Ma foi si vous avez d'autres preuves, nous sommes prêts à les écouter. Quant au proverbe Yehrez Mahrez (Grâce à Mahrez) celui-ci confirme nos dires, c'est à dire que grâce à Sidi Mahrez les Juifs avaient une protection. Mais si Sidi Mahrez était un saint respecté par les Musulmans, pourquoi le guetto Juif "La Hara" aurait était détruit, alors que son nom de la "Hara Juive" était lié à Sidi Mahrez. Un fait est certain que Sidi Mahrez avait fait du bien avec les Juifs et personne ne saura les vraies causes. En sa mémoire je trouve que tous les arguments sont valables pour faire vivre la bonne entente entre Musulmans et Juifs tunisiens. Emile@tubiana.net
Par Meyer (Meyer) le mardi 15 février 2005 - 14h46: |
Mamili merci d'avoir corrigé mon erreur.
Si ce n'est lui.... ?
Par Bazooka (Bazooka) le mardi 15 février 2005 - 14h12: |
N'en deplaise à Mr. Mustapha Chelbi (post de 7h43), l' "organe" Harissa est le site des Juifs d'origine tunisienne vivant dans le monde entier, et pas seulement en France ...
Nous sommes un "organe" tout ce qu'il y a de plus ample / répandu / spacieux / volumineux / déployé
A vous de choisir, 5 sur nous !
Par Mamili (Mamili) le mardi 15 février 2005 - 13h09: |
Meyer je crois que c'était PAUL CAMBON le fameux collége prés du petit jardin.
Par Soleil (Soleil) le mardi 15 février 2005 - 11h54: |
soleil1. Terrorist Attack Thwarted in Hebron
At about 11:20 this morning an Arab terrorist ran with a knife at an Israeli soldier at the "Beit Merkachat" junction in Hebron. When the Arab refused to halt, the soldier shot and killed him.
http://www.hebron.com/news/terrorbtmrkch.htm
A Hebron spokesman issued the following response:
Several days ago, Hebron's leadership sent a letter to Mufaz, Ya'alon and Company (see below). The writing is on the wall, yet our 'leadership' is illiterate. Not only can't they read and write. They are also blind.
They have also lost their memory. They have forgotten the past 10 years, with over 1,700 Jews dead, killed by Arab terrorists. They seem to be asking for 'more.'
We demand an end to capitulation and a return to true Jewish leadership, in Hebron, in Gush Katif, in the Shomron and throughout all the Land of Israel.
To:
Defense Minister Shaul Mufaz
Chief of Staff General Moshe 'Bugi' Ya'alon
Chief of Central Command, General Yair Naveh
Commander of Judea and Samaria, General Gadi Eisenkott
Commander of Hebron Region and Judea, Col. Moti Baruch
Knesset Members Others
Shalom.
We were shocked to learn that, despite the fact that this has not yet been made public, a critical change has taken place in the IDF's presence in Hebron: The army has already effectively pulled out of the H-1 "Arab-controlled" side of the city and has abandoned it to the Arab terror organizations, including so-called 'palestinian police.'
Unfortunately, we are forced to remind you that the last time the Israel Defense Forces were withdrawn from that side of the city the results were horrific: a massive terror attack occurred on 'worshipers way' leaving 12 officers, soldiers and civilians dead, including the Commander of the Hebron region, Col. Dror Weinberg.
Isn't it enough to learn that these 'trials' lead to bloodshed? Isn't it clear that the withdrawl of the IDF from most of Hebron is a giant terrorist time-bomb, whose explosion is only a matter of time?
Why must we continue to bury our heads in the sand, living in a land of false illusions?
We turn to you, warning and demanding: Do not continue to make the same fateful mistakes! Do not abandon Hebron to terrorists!
We hope that you will hear our plea, before we all have reason to again be sorry, due to another tragedy that could have been prevented!
There is only one answer: Return the IDF to all of Hebron.
Sincerely,
The Jewish Community of Hebron Committee
Par Meyer (Meyer) le mardi 15 février 2005 - 11h50: |
'' La France et Israël partagent une histoire merveilleuse. La France a précédé la déclaration Balfour par la lettre de Jules Cambon le 4 juin 1917 à Nahum Sokolow sur '', a déclaré Sylvain Shalom lors de l'inauguration des locaux réaménagés de l'ambassade d'Israël à Paris. (Guysen.Israël.News)
Document à découvrir sur
http://www.upjf.org/documents/showthread.php?s=4ce2a96912e4a55d46b2f3f1a19b9592&postid=9297#post9297
A Tunis Jules Cambon avait donné son nom à un établissement scolaire féminin de formation professionnelle : le Collége Jules Cambon. Il était situé à l'angle rue de Marseille-rue de Nice, près du "Petit Jardin" avec sa statue de poilu de la guerre 1914-1918.
Par Maurice (Maurice) le mardi 15 février 2005 - 10h08: |
Cher Mustapha Chelbi
les histoires populaires sont faites de rire et et de larmes C'est ce qu'on appelle à Marseille les galejades .Les mediterranneens en particulier
Tunisiens ont toujours transformes les Histoires
avec un grand H en petite histoire avec un petit h pour les rendre croustillantes et rire de l'amie du Bey et non de Sidi Mahrez qui a l'image chez les Juifs du Juste et qui a permis la Liberté des Juifs Ce qui est aussi important c'est votre intervention qui montre le capital de Fraternité qui existe malgré ces temps de souffrance pour les Juifs et les Arabes pris dans un conflit geopolitique . L'espoir que ce capital de sympathie aidera le retour de la complementarité historique des JUIFS ET DES ARABES ENTRE ITZAAC ET ISMAEL CAR SI DIEU AVAIT VOULU UN FILS IL N'AURAIT PAS MIS LES DEUX DANS L'HISTOIRE Sidi Mahrez aura permis que les YOUDI conservent leur Identité pour reensemencer Israel librement et libre non en Ghetto protegé. Le Coran le lui dictait dans son interpretation d'Amour et non de Guerre Respects pour votre intervention et votre presence dans notre dialogue fraternel et affectieux comme nous avons
su le vivre ensemble . In CHALLAH notre Paix commune.Il y a tellement à faire pour l'Avenir de nos peuples.
Par Mailroom (Mailroom) le mardi 15 février 2005 - 07h43: |
Cher Monsieur Halfon,
Inutile de vous dire dans quelle déception je suis suite à une première, puis à une deuxième lettre envoyées et perdues sur wanadoo. J'en suis donc à ma troisième lettre, laquelle je l'espère, arrivera à destination, pour vous dire combien je suis attaché à l'organe "Harissa" qui est à mes yeux un espace de liberté et de mémoire. C'est au nom de cette liberté et de cette mémoire que l'on doit transformer cet organe en lieu ardent de la mémoire collective des juifs d'origine tunisienne vivant en France. De toute façon, cette mémoire particulière appartient à la mémoire universelle de l'humanité.
Partant de ce raisonnement, j'ai été surpris et contrarié de lire un "conte de bazar" raconté par M. Victor Cohen et qui veut faire passer Sidi Mahrez pour un charlatan et un imposteur. De même que les juifs ont le droit de traquer leurs ennemis, de même ils ont le devoir d'honorer leurs amis. C'est une vérité historique que de considérer Sidi Mahres comme un JUSTE qui a dépensé de ses biens personnels pour louer les services des navires et aller ainsi jusqu'aux côtes espagnoles sauver de l'inquisition les juifs et les arabes d'Andalousie. A son retour en tunisie, Sidi Mahrez Ibn Khalaf a tenu à ce que le quartier juif soit construit à l'ombre protectrice de sa demeure princière qui devint plus tard son mausolée.
Que l'on revienne aussi à Fritna Darmon et à sa belle chanson: "Adala ya Adala" où elle chante les louanges de Sidi Mahrez, et qu'on revienne aussi à la magnifique chason: "Alla bab darek" de Louisa Tounisiya pour se rendre compte des liens artistiques et culturels qui ont lié pendant des siècles juifs et arabes pendant des siècles. On ne peut accepter cette falsification de l'histoire qui consiste à présenter sous de très mauvais jours un des plus grands amis du peuple juif.
Voilà ce que je voulais vous dire, cher Monsieur Halfon, en toute amitié et en toute sérénité. enfin, pour en finir avec cette malheureuse histoire, qui abîme notre Histoire, je tiens à préciser qu'on ne dit pas à Tunis: "La lumière de Sidi Mahrez n'éclaire que l'étra,ger", mais plutôt: "Le fnar de Bab Ménara n'éclaire que les étrangers". Quant à Sidi Mahrez, le seul proverbe le conserrnant et qui est répété à ce jour dans les rues de la médina, le voici: "Yehrez, Mahrez", en deux mots, la sagesse populaire a tout dit: c'est grâce à Sidi Mahrez qu'il existe à Tunis une entente aussi cordiale entre juifs et musulmans.
Je souhaite que Harissa rende justice à la mémoire de Sidi Mahrez et qu'on le considère comme un des plus grands amis du peuple d'Israël car la mémoire de sa foi a brillé sur les juifs et sur les musulmans.
très cordialement vôtre,
Mustapha Chelbi
http://www.harissa.com/D_Histoire/kandilsidimahrez.htm
Par A_Soued (A_Soued) le mardi 15 février 2005 - 05h29: |
Le point de vue qui suit semble "extrême", mais il est partagé par de nombreux Chrétiens d'Orient qui ont subi dans leur chair l'agression de l'Islam et qui ont dû s'expatrier en masse. Au Moyen Orient, en un demi-siècle le taux des Chrétiens est passé de 20% à 10%…. (voir www.nuitdorient.com/n228.htm )
L'ÉTAT PALESTINIEN "VIABLE" DE CONDY
Ou les frontières d'un Auschwitz israélien
Par Joseph Farah, journaliste américain, arabe chrétien, directeur de www.WorldNetDaily.com , publié le 11 février 2005 et traduit par Artus pour
www.nuitdorient.com
Note de la traduction. Nous avons à plusieurs reprises attirer l'attention du lecteur afin qu'il regarde une carte d'Israël et qu'il se rende compte que la création d'un état palestinien "viable" rendrait "non viable" l'état d'Israël. Jusqu'en 1967, la zone de Gaza était rattachée à l'Egypte et la Cisjordanie à la Jordanie, ce qui rendait ces 2 zones tout à fait viables, sans coupure de l'état d'Israël. Artus.
Condoleeza Rice en sait peut-être très long sur l'ex URSS, mais elle ne comprend sûrement pas grand chose au Moyen Orient. La Secrétaire d'Etat a expliqué récemment combien il était nécessaire pour Israël de céder encore du terrain, afin de permettre la création d'un état Palestinien "viable et contigu", de Gaza jusqu'en Judée-Samarie.
Pour celui qui ne connaît pas la géographie de la région cette demande peut paraître parfaitement raisonnable. Après tout, comment pouvons-nous nous attendre que cet état fonctionne normalement si les gens sont séparés par des barrières artificielles? En fait ce que Rice ne comprend pas – ou du moins je l'espère feint de ne pas comprendre,– c'est qu'Israël n'a plus de territoire à rendre. De plus Israël n'a aucune obligation morale de rendre quelque territoire que ce soit. En le faisant, cet état mettrait en péril sa propre sécurité.
Parlons clairement. Regardez une carte du Moyen Orient pendant quelques instants: est-ce quelqu'un peut me dire en toute honnêteté si les problèmes de violence et de terreur sont liés au fait qu'Israël occupe un trop grand territoire? C'est ce qu'on cherche à nous faire croire depuis déjà un demi-siècle. Le Moyen Orient est un territoire pratiquement vide; là où il est habité, il est parsemé de populations arabophones, qui n'ont rien de différent sur le plan culturel, linguistique ou religieux avec ces soit-disant Palestiniens, un peuple qui n'a jamais eu un pays à lui dans toute l'histoire de l'humanité. Alors pourquoi Israël devrait-il se sentir obligé de se mutiler pour créer ce pays?
Ce minuscule territoire qu'est l'état d'Israël représente seulement 10% du territoire d'origine mandaté par l'Onu pour devenir l'état juif en 1947.
Non! Je ne suis pas juif, mais un arabe chrétien, devenu un journaliste américain qui croit d'abord dans la liberté, et ensuite dans la paix. Tout ce que je peux vous dire aujourd'hui c'est que la demande faite à Israël est simplement un suicide politique, culturel et militaire. Savez-vous vraiment ce que signifient les nouvelles frontières qui dérivent du plan dressé pour un "état palestinien viable et contigu"? Moi je les appelle "les frontières d'Auschwitz" ! Comment les Juifs ne s'en rendent-ils pas compte ?
Ils sont en train d'aider à construire un camp national de concentration regroupant la moitié des Juifs du monde, entourés par des maniaques hostiles qui ne cherchent qu'à les éliminer.
Les nouvelles frontières dessinées par Rice ne peuvent pas être défendables. Un état palestinien "viable et contigu" rendrait non viable l'état d'Israël.
Si Hitler était un peu plus malin, il aurait aidé à créer un état d'Israël au milieu du Moyen Orient et il chercherait à le détruire comme le font actuellement les Arabes, les Européens et maintenant les Eats-Unis. La solution finale à portée de main. Je ne cherche pas à dire que Rice ou Bush cherche intentionnellement à détruire l'état d'Israël ou les Juifs. Ils ont le bénéfice du doute, et je suppose qu'ils manquent d'une bonne information, font une mauvaise analyse et prennent une mauvaise décision.
Mais ce n'est pas le cas de l'Autorité palestinienne, ni des états Arabes qui la soutiennent. Leur promotion d'un état palestinien ne vient pas d'un désir de liberté ou d'auto-détermination pour le peuple arabe qui vit là. Leur but est de créer une avancée territoriale à partir de laquelle ils reprendraient leur guerre d'usure contre les Juifs Infidèles qui ont eu l'audace de venir s'installer en plein Maison d'Islam.
C'est simple comme bonjour. J'espère que Rice, Bush et le gouvernement israélien le verront assez tôt.
C'est une honte nationale que donner 350 millions $ de l'argent du contribuable américain pour alimenter l'Autorité Palestinienne qui n'accepte pas qu'un seul Juif puisse vivre sur une portion de son territoire.
C'est une honte que le gouvernement américain se joigne au monde antisémite pour forcer Israël à abandonner ses propres besoins de sécurité, sa propre communauté, sa terre historique
C'est une honte que le gouvernement américain qui est supposé mener une lutte globale contre la terreur islamique donne dans l'apaisement quand il s'agit du conflit israélo-arabe!
ISRAEL'S AUSCHWITZ BORDERS
Joseph Farah is founder, editor and chief executive officer of WND and a nationally syndicated radio talk-show host. He is also the founder of WND Books. In addition to his daily column in WND, he writes a nationally syndicated weekly column available to U.S. newspapers through Creators Syndicate.
February 11, 2005- 2005 WorldNetDaily.com
Condoleezza Rice may know a lot about the old Soviet Union, but she sure doesn't know squat about the Middle East.
The secretary of state recently explained how it is necessary for Israel to give up more land to help fashion a viable, contiguous Palestinian state – from Gaza through Judea and Samaria.
Perhaps if you don't understand the geography, this might seem like a perfectly reasonable demand. After all, how can we expect the new Palestinian state to function normally if its people are divided by artificial barriers?
What I trust Rice does not understand – in fact, what I hope she simply fails to comprehend – is that Israel has no more land to give. Israel has no moral obligation to give any land. Israel will be jeopardizing its own security in doing so.
Let me make this crystal clear. Look at a map of the Middle East. After glancing at it for a few minutes, can anyone honestly tell me they believe the problems of violence and terrorism there have to do with the fact that Israel has too much land?
This is apparently what we are to believe.
There's lots of land in the Middle East. Most of it is populated sparsely by Arabic-speaking people, culturally, linguistically, religiously and ethnically at one with the so-called "Palestinians," a people who have never had a country of their own in the history of the world. Why then is it Israel's obligation to carve itself up to create this Palestinian state?
The tiny sliver of land that represents the current state of Israel is only about one-tenth the size of the original United Nations mandate that created the Jewish state in 1947.
Now, I'm not a Jew. I'm a Christian Arab-American journalist who believes in freedom first, peace second. And I've got to tell you that the demands on Israel right now are demands for the nation to commit political, military and cultural suicide.
Do you know what the new borders of Israel would be under the plans being drawn up now for a "viable, contiguous Palestine"? I call them Auschwitz borders. I don't know why the Jews don't see it.
They are willingly helping to build a national concentration camp of half the world's Jewry surrounded by hostile maniacs who want to eradicate them. Israel's new borders under a Rice plan will be indefensible. Creating a new Palestinian state with contiguous borders and relying on Israel to come up with all the necessary real estate requires cutting Israel in half from north to south.
It might create a "viable" Palestinian state, but it will destroy the viability of Israel.
If Adolf Hitler had been a little smarter, he would have helped recreate a Jewish state in the Middle East and squeezed it the way the Arabs, the Europeans and now the United States are squeezing Israel. Hitler could never have dreamed of a more expedient "final solution."
Now I am not going to suggest that Rice or the Bush administration are intentionally trying to destroy Israel or the Jews. I will give them the benefit of the doubt and assume they are ill-informed, that they are making profoundly bad decisions based on bad data and bad analysis.
But I will make no such assumptions about the leadership of the Palestinian Authority and the Arab states that back it. They are not promoting a Palestinian state because they believe in freedom and self-determination for the Arab people who live there. Instead, they are doing so to create a permanent staging ground from which they will continue their war of attrition against the Jewish infidels who have the audacity to live in what they consider to be Dar al-Islam.
It's that simple. I wish Rice and Bush and even the Israeli government could see it.
It is a national disgrace that the U.S. government is spending $350 million more to subsidize the Palestinian Authority, which holds that no Jews are permitted to live within its territory or future nation. It is a national disgrace that the U.S. government would join with the rest of the anti-Semitic world to force Israel to abandon its own security needs and its own Jewish communities on historically Jewish lands. And it is a national disgrace that the U.S. government, while supposedly fighting a global war against Islamist terrorism, is appeasing them in the Arab-Israeli conflict.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 15 février 2005 - 05h11: |
Mon Cher Braham,
Malgré mon explication d'hier, tu qualifies encore mon texte de malentendu et ombre sur notre estime mutuelle. Je ne pense pas que notre estime dépend du fait que quelques uns de nos chers harissiens n'ont pas saisi les nuances de mes propos, parce que justement ils ne se sont pas approfondis dans mes écrits pour connaître ma façon de voir les choses. Mon cher Braham mon estime reste inchangée car nous apprenons l'un de l'autre.
Puis je ne trouve aucun rapport entre les mots très flatteurs et le côté patriotisme exagéré. Toi qui me connais un peu plus que d'autres je ne saisis pas pourquoi tu trouves qu'il faut du courage pour ceux qui ne vivent plus en Israel et qui ne le critique pas. Non, mon cher, il ne faut pas du courage lorsqu'on a accumulé de belles expériences, que ce soit en Israel, en Tunisie, en France ou en Allemagne où j'ai passé de merveilleuses années. Je suis au contraire très reconnaissant et je me sens enrichi par ces séjours. En général chaque jour et n'importe quel lieu nous enrichit d'expériences qui élargissent notre horizon.
Par Suggest1 (Suggest1) le lundi 14 février 2005 - 23h09: |
L'amitié Judéo/Noire
http://suggest1.free.fr/amiti%e9%20jud%e9o%20noire.doc
suggest1
Par Mailroom (Mailroom) le lundi 14 février 2005 - 22h59: |
Message à M. Roger Cukierman,
Président du CRIF
Monsieur le Président,
J'ai eu la joie hier d'écouter sur la fréquence 94,8 hier vers 12 h 30, votre discours annuel traditionnel donné lors du dîner du CRIF.
En présence du Premier Ministre, et de dix des ses ministres, vous avez su tenir un langage de vérité, à la fois ferme et courtois, sur la perception qu'a la communauté juive en France dans son ensemble, de la politique gouvernementale, aussi bien sur le plan intérieur que diplomatique.
Permettez-moi M. le Président de vous féliciter pour votre courage et votre discours dénué de la langue de bois.
Vous m'avez donné le sentiment de vraiment tous nous représenter.
J'espère que votre discours connaîtra la très large diffusion qu'il mérite.
Merci M. le Président : comme on dit chez nous, vous êtes un Mensch !
Simon Pilczer
Eléments de l'intervention de Roger Cukierman dans L'Express du 14 février, repris sur Arutz 7 :
Le Crif ressent un "malaise" face à la politique étrangère de la France
Le président du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) Roger Cukierman a fait part samedi de son "malaise" devant l'"incompatibilité entre la politique étrangère de la France et la politique intérieure de lutte contre l'antisémitisme".
S'adressant au Premier ministre Jean-Pierre Raffarin au dîner annuel du Crif, M. Cukierman a lancé: "je dois vous faire part du malaise que je ressens. Malaise devant ce qui me paraît être une incompatibilité entre la politique étrangère de la France et la politique intérieure de lutte contre l'antisémitisme".
Il a cité l'affaire Al Manar, rappelant à M. Raffarin ses propres déclarations "l'an dernier dans ce même dîner" condamnant des programmes antisémites diffusés par la télévision du parti chiite libanais Hezbollah.
Il lui a reproché son silence après l'autorisation d'Al Manar en novembre 2004. Malgré son annulation un mois plus tard, après une campagne massive du Crif, "j'ai réalisé combien la politique étrangère de la France était importante. Au point de risquer de fragiliser la lutte contre l'antisémitisme", a dit M. Cukierman en s'interrogeant également sur les honneurs réservés à Yasser Arafat lors de son décès à Paris en novembre dernier.
Il a néanmoins reconnu "la sincérité et les efforts réels de notre nouveau ministre des Affaires étrangères (Michel Barnier) en vue d'un meilleur équilibre" et a noté "des signes nouveaux et encourageants" de la part du gouvernement français.
"Nous voulons tous la paix au Proche-Orient. Cette paix est peut être aujourd'hui très proche. La France peut, la France doit y contribuer", a-t-il poursuivi en souhaitant "quelques gestes politiques judicieux en direction d'Israël".
Il a remercié le gouvernement de l'importance donnée au 60e anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz et de sa "détermination" à combattre l'antisémitisme.
Mais cela n'a "pas permis d'éradiquer ce fléau", avec quinze fois plus de violences ou menaces antisémites en 2004 qu'il y a six ans alors que la justice "donne parfois le sentiment de mal apprécier la gravité du phénomène antisémite". Et selon lui, l'éditeur Flammarion "récidive" en publiant un nouveau livre antisémite ("Pogrom").
"Les sanctions seules, de toute façon, ne suffisent pas", a-t-il souligné, demandant que l'antisémitisme et le racisme soient réprimés selon le droit commun et non plus la loi sur la presse et que l'Etat ne finance pas "des oeuvres de propagande filmées telles +La Porte du Soleil+" et favorise une harmonisation européenne des dispositifs de régulation de l'audiovisuel.