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Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Fevrier 2005: Archive jusqu'au 19/février/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le vendredi 18 février 2005 - 08h45:

Israël accuse

Selon le Yediot Aharonot, les Renseignements militaires israéliens sont convaincus que « C’est le Hezbollah qui a liquidé Rafic Hariri ». 24 heures après que tout le monde ait accusé la Syrie d’être l’instigatrice de l’assassinat de l’ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri, poursuit le journal, les Renseignements militaires israéliens sont parvenus pour leur part à la conclusion que c’est le Hezbollah qui a « fait ce coup ». Les raisons : Hariri préconisait de limiter les capacités militaires de cette organisation chiite, qui ne voulait pas non plus de son projet de « révolution civique » libérale dans le pays. Le Hezbollah n’aimait guère non plus les efforts de Hariri pour relancer l’économie libanaise, la renaissance du tourisme étranger et l’ouverture du pays aux « influences étrangères ».
Les Renseignements militaires estiment en outre que le Hezbollah, qui avait parfaitement les moyens de monter et de mener à bien l’attentat de lundi, avait intérêt à « piéger » le président syrien Bachar Assad, pour couper court à ses tentatives de rapprochement avec les Etats-Unis. Dans le même moment, cela sert ses intérêts, parce qu’il veut lui aussi voir la Syrie retirer ses forces d’une partie du Liban. Le Hezbollah voulait peut-être aller plus loin encore et exercer la dissuasion et la menace envers le jeune Bachar Assad, en insinuant que sa propre existence est en danger.
On a remarqué notamment que le chef du Hezbollah, le cheikh Nasrallah, s’est abstenu ces jours-ci d’incriminer publiquement qui que ce soit dans cet assassinat et il n’a même pas accusé Israël.

http://www.ambafrance-il.org/diplomatie/revuepresse.php?id=2867

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le vendredi 18 février 2005 - 04h52:

Le mauvais calcul d'une dictature aux abois (info # 011702/5) [analyse]

Par Michaël Béhé à Beyrouth © Metula News Agency



Pauvre peuple libanais, qui, dans son désarroi, se raccroche à tous ceux qui semblent comprendre sa peine ! Comme à Jacques Chirac, le seul chef d'Etat occidental à avoir participé aux événements marquant les obsèques de son ami, l'ancien Premier ministre Rafik Hariri.



La confusion des genres et des perceptions a marqué ces formidables funérailles populaires, auxquelles ont participé des centaines de milliers de Libanais. Réunion de tristesse et de rage, où ces sentiments avaient pris le dessus sur toute rationalité, qu'il n'était pas le moment de rappeler. Ils étaient tous là, les ennemis irréconciliables d'hier, les ex-collabos syriens, les Druzes, les chiites, les sunnites et les chrétiens, à accompagner à sa dernière demeure celui qui, dans sa mort brutale, a réussi à cristalliser la volonté de tous d'en finir avec l'occupation de la barbarie syrienne. Tous là, sauf les actuelles marionnettes de Damas, qui avaient été priées par la famille Hariri de ne pas assister aux obsèques et, certainement, de ne pas en faire des obsèques nationales.



On avait oublié, hier, que Rafik Hariri avait été l'un des plus actifs "syrianisants" jamais engendrés par notre pays. Que c'est sous l'ombrelle de l'occupation des al-Assad qu'il avait encore augmenté son extraordinaire fortune et qu'il n'avait cessé de les remercier de leurs grâces, en les laissant piller le Liban à leur guise et l'envahir par un million de travailleurs émigrés imposés, qui, dans une étrange transfusion sanguine, enrichissent leur pays et appauvrissent le nôtre. Hariri, qui avait construit un palace à Damas pour la famille al-Assad, digne des Omeyyades, sur sa cassette personnelle, en vases communicants avec l'endettement national qui pèse d'un poids insupportable sur toutes nos personnes.



Ainsi, lorsque Jacques Chirac, face à la terre fraîchement retournée de la tombe de son ami, faisait l’éloge de l'humaniste Hariri, nous ne nous y retrouvions pas. Et nous sommes à penser que, si Damas n'avait pas décidé d'éloigner le défunt des rênes du pouvoir et de l'argent public voici quelques mois, il serait encore à augmenter sa richesse, à l'ombre des sentinelles de Damas, qui ont assassiné sans état d'âme leur ancien allié.



Mais c'est le peuple libanais qui m'importe, après tout, et pas qu'il se montre oublieux de son passé récent. Hier, dans les rues de Beyrouth, on entendait crier contre les Syriens des slogans, du genre de ceux qui préparent à la guerre. Dont le fameux "Lahilaa hila Allah, Suria adoua Allah !", réservé d'habitude aux Israéliens et qui a été expurgé des comptes rendus journalistiques, tant à l'usage domestique que pour l'exportation. Cette malédiction en arabe signifie : "Il n'y a qu'un seul dieu, c'est Allah, et la Syrie est l'ennemie de dieu !".



Nous de nous poser des questions quant à l'objectif recherché par Béchar al-Assad, lorsqu'il a fait sauter 350 kilos d'explosif militaire C4 sous la voiture de l'ex-Premier ministre. Il n'y a, à cet égard, plus guère que la radio d'Etat française RFI pour faire croire que ce pouvaient être les Israéliens qui auraient perpétré cet assassinat. Dans une pseudo analyse extravagante, le chef du service international de la radio à vocation internationale du Quai d'Orsay, jugeait l'hypothèse de la responsabilité syrienne comme n'étant pas "la plus crédible". Partout au Proche-Orient, cette déclaration semi-officielle a généré la colère, puis la risée de la France, tant la signature syrienne sur ce meurtre ne fait pas l'ombre d'un doute.



350 kilos d'explosifs, pour les non libanais, c'est trois fois et demi la charge nécessaire à projeter un char de soixante tonnes à une hauteur de sept mètres. C'est une charge énorme. Mais que cherchaient donc les stratèges syriens en éliminant Hariri ?



Plusieurs hypothèses ont été envisagées. Mais, avant d'en parler, je veux mentionner que tous les analystes stratégiques de la Ména, que j'ai consultés, sont d'accord avec moi pour avancer qu'il s'est agi d'un acte provenant d'un régime aux abois, faisant suite à une évaluation stratégique bâclée et issue du think tank alaouite, qui peine à intégrer les principes d'interactivité entre les décisions (exactions) syriennes et les intérêts et réactions prévisibles dans le reste du monde. Suite à l'attentat, les Etats-Unis ont haussé de deux crans l'intensité de leurs menaces contre la junte de Damas. Washington a ainsi rappelé son ambassadrice en Amérique et "exige" désormais, le retrait "total et immédiat" des forces d'occupation syriennes du Liban. Jusqu'au conseiller diplomatique de Chirac, Maurice Gourdault-Montagne, qui discutait hier avec Walid Joumblatt d'un éventuel déploiement d'une force d'intervention internationale au Liban, comme moyen possible de "mettre fin à la barbarie qui décime les Libanais depuis plusieurs années déjà", à laquelle le président français faisait allusion lors d'une allocution parallèle.



Damas comptait-elle créer la zizanie entre les Libanais, en détachant les sunnites, dont Hariri faisait partie, du reste du consensus national, chaque jour plus décidé à obtenir l'indépendance et la souveraineté de notre pays ? Franchement, nous n'y croyons pas… L'effet inverse, de renforcement de l'unité de tous les Libanais contre l'occupation et son gouvernement fantoche, était trop évidemment prévisible pour que les Syriens l'aient mal évaluée.



Il me semble plutôt qu'une autre théorie prenne le dessus, dût-elle décevoir nombre de mes compatriotes qui veulent voir en Jacques Chirac leur ami providentiel. Selon l'analyse des Syriens, le président français était le partenaire de Rafik Hariri et en aucune façon celui des Libanais. J'en veux pour preuve que du temps de la symbiose parfaite entre le défunt et les al-Assad, l'Elysée était le seul soutien occidental de la dictature damascène et que Chirac fut le seul chef d'Etat étranger à assister aux funérailles de Hafez al-Assad. Allant dans le même sens, nous avons observé que la France n'a révisé sa position à l'égard de Damas que lorsque Hariri est tombé en disgrâce dans la cour des al-Assad. A ce moment, la diplomatie française a engagé un virage à 180 degrés et s'est soudain montrée plus exigeante que les Etats-Unis lors de l'élaboration de la résolution 1559 au Conseil de Sécurité.



Selon une vision, stratégiquement discutable, mais qui a la cote à Damas, la Syrie pourrait éventuellement résister aux pressions lorsqu'elles proviennent des seuls Américains et lorsqu'ils sont isolés dans leur "lutte des civilisations". Lors, le pouvoir alaouite est persuadé que la France n'entretient aucun intérêt authentique pour le pays des cèdres, mais que toutes les décisions de Paris étaient dictées par les intérêts, communs et privés, liant Chirac et Hariri. En éliminant Hariri, les Syriens escompteraient, après une période d'irritation longue de quelques semaines, que la France et son président se remettent à se désintéresser de notre avenir et laissent, à nouveau, George Bush seul sur le front anti-al-Assad.



Il s'agit assurément d'un raisonnement stratégique très imparfait et qui, dans tout régime équilibré, n'aurait pas justifié les autres risques encourus par l'assassinat de Rafik Hariri. Mais, on l’a déjà écrit, les raisonnements qu'on tient à Damas sont singuliers et incomplets. Tant mieux peut-être pour les peuples qui souffrent du régime alaouite. Quoique, lorsque Jacques Chirac est venu présenter, mardi, ses premières condoléances à madame Nazek Hariri, dans son vaste appartement parisien, il y a croisé notre ex-Premier ministre, le général Michel Aoun. Le président l'a à peine salué, murmurant un "c'est vraiment ignoble…". Qui sait s'il a seulement reconnu l'homme qui porte aujourd'hui sur ses épaules les espoirs de tout notre peuple ? Il est vrai que, même s'ils demeurent dans la même ville, Chirac n'a jamais daigné rencontrer Aoun. Pendant les mêmes années syriennes, il rencontrait Hariri jusqu'à deux fois par mois. Cela, les Syriens l'avaient correctement observé. Pour le reste, espérons pour le Liban qu'ils se soient trompés.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le vendredi 18 février 2005 - 03h59:

« LES OULED-NAILS » sont une peuplade composée de plusieurs tribus disséminés dans toute l’Afrique du nord, ce sont les descendants des Beni-Hilal, Ces Hilaliens, grands pillards venus d’Egypte et d’Arabie il y a quelques siècles, qui avaient causé beaucoup de malheurs aux juifs et aux berbères qui peuplaient l’Afrique du nord à l’époque.

Ce peuple des Ouled-Nails est d’une rare beauté aux traits fins, les femmes sont d’une grâce sans égale.

Les marchands d’esclaves de l’époque achetaient les femmes des Ouled-Nails à prix d’or, car ces femmes étaient très recherchées, par une clientèle qui était prête à mettre le bon prix pour une de ces esclaves qui égaierait leurs vies.

Les souteneurs des quartiers de tolérance, étaient eux aussi très friands de ces grandes gagneuses d’une grande beauté, réputées très soumises.

Dans les deux « CARTES POSTALES » intitulées « LE SOUK DES FEMMES » qui était en réalité le « SOUK DES ESCLAVES » la première carte postale, très rare, représente une peinture du peintre Albert Charpentier, elle avait été exposée au salon des artistes peintres a Tunis en 1907.

La deuxième carte postale représente une vraie photo d’époque, du temps du marché aux esclaves à Tunis.
Ce marché était en activité jusqu'à, presque la fin du dix huitième siècle ; vous pouvez apercevoir le mot « ESCLAVES » sur une pancarte en français désignant l’enseigne de l’échoppe, je pense que cette carte postale est très rare et presque unique, il en est recensé trois cartes postales dans le monde.

La troisième « carte postale » intitulée « Femme des Ouled-Nails » représente certainement une des femmes de la peuplade citée ci-dessus, vendue comme esclave et prostituée dans le quartier de tolérance de Tunis par son propriétaire.


un


deux


trois

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le vendredi 18 février 2005 - 02h21:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Dr. Maurice,

Nous aimerions vous dire, quand vous faites la promotion du tabula raza sur le passé, que celui qui ignore son passé se condamne à le revivre !

Évidement et selon ce que l’on pourrait comprendre de vos écrits, on pourrait s’imaginer à propos des Tunes que leur croyance, serait plutôt destinée à des rituèlistes, et que les intellos seraient plutôt les autres, mais cela reste à prouver !

Car si nous les Tunes ne comprenions rien à rien de ce qui touche à la spiritualité, et bien les Brels que nous sommes, n’aurions certainement pas été capable d’apporter notre pierre cubique, à l’édifice du Temple à la gloire des Tunes, que représente Harissa.com !

On vous l’a déjà dit que nous les Goulettois avons piraté le Site à Notre Vénéré Maître Jaco, pour le transporter dans notre Mère Patrie : La Goulette, histoire d’influencer l ‘Histoire, d’ailleurs demandez le à Jaco, il va confirmer nos dires, car rien ne résiste à un Goulettois dévoré par l’ambition, et à son avidité de vouloir tout confisquer !

Voyez vous, quand l’on parle de l’émigration de nos compatriotes de confession Israélite, il faut bien se dire que celle de nos compatriotes de confession Musulmane, est au moins dix fois supérieure, cela signifie qu’après avoir subit des dizaines d’invasions, et bien ce sont les Tunes qui ont formulé le projet de conquérir le Monde, et que rien ne pourra nous arrêter, même pas Charles Martel, le Pôvre !

1. On ne fait pas la Paix, car c’est la Paix qui finit par s’imposer, et pour un temps seulement, à moins que l’on commence à devenir intelligent.

2. Refaire la Géographie, c’est vouloir refaire l’Histoire, et c’est le contraire de vouloir faire la Paix.

3. Le temps presse, bien sure que là on est sur la même longueur d’onde, mais l’avenir économique lui ne se presse pas trop.

Quand au moteur à Hydrogène, il y a bien longtemps qu’on l’a inventé et créé, mais ce qui manque c’est précisément l’Hydrogène, alors celui là il faudra vite l’inventer avant qu’on ne manque cruellement d’Oxygène, et que l’on subisse les mutations pour devenir des anaérobies !

Mais comme tout le monde sait, les anaérobies au moins eux ils vivent en paix, car au dehors la vie est impossible.

J’ai dit ! Pardon ! nous avons dit !

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le vendredi 18 février 2005 - 02h16:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Cher Henri,

Désolé de répondre si tardivement, mais Douda était absent pour raisons de glandage professionnelle, ce que notre Ami Bébert a compris au quart de tour, et avec la verve et le panache qui le caractérise, il s’est précipité dans la brèche !

De ce fait il a répondu à ta question bien mieux que nous l’aurions fait, et encore avec beaucoup plus de Ftilage.

Salut à Toi Henri et à Toi aussi Bébert qui est de retour ! Zekch !

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 18 février 2005 - 02h28:

A Henri, à Maurice, à Albert, à Douda et à tous ceux qui se posent la question qu'est-qu'Emile voulait dire dans cette phrase :
"mais en aucun cas je n'accepterais d'y vivre dans ce merveilleux pays."
et dans un de ses commentaires en réponse à Braham qui indirectment l'avait qualifié de "Yored"
Pour mettre fin à toutes ces devinettes et parce qu'ils ne savaient pas pourquoi j'avais dit ces mots tout en soulignant "ce merveilleux pays", je veux bien préciser que Hass Vehalila, je n'ai rien à dire contre ce merveilleux pays, pour lequel je me suis battu depuis sa naissance et duquel je garde de merveilleux souvenirs et une profonde amitié humaine, mais ce n'est pas dans ce contexte que j'avais écrit cette phrase. Je m'explique, que je n'accepterais jamais de vivre dans ce merveilleux pays, si on qualifie encore des Juifs comme moi ou n'importe quels Juifs de Yored. Il me paraît malhonnête de dire autrement.

Pour ceux qui se sentent bléssés, ce n'était pas mon intention et je vous prie de prendre mes paroles comme un témoignage d'amour pour ce beau pays. Israël que je connais et que j'aime et un Israël où tous les Juifs sont haverim et ne blessent personne. Cet Israël est créé pour tous les Juifs, là ou ils se trouvent et non pas uniquement pour certains tunes qui vivent en Israël et se considèrent les UNIQUES défenseurs d'Israël et se prennent le droit de s'approprier Israël. Ces mêmes considèrent tous ce qui ne vivent pas en Israël comme étrangers et qui n'ont rien à dire. J'éspère que je me suis clairement expliqué.

Je répète Israël a besoin de toute assistance et de chaque Juif de par le monde là où il se trouvent et selon "La Declaration d'Independance d'Israel du 14 May 1948" Il est dit dans la charte entre autres: "NOUS LANÇONS UN APPEL au peuple juif de par le monde à se rallier à nous dans la tâche d'immigration et de mise en valeur, et à nous assister dans le grand combat que nous livrons pour réaliser le rêve poursuivi de génération en génération, la rédemption d'Israël. "

Voici le Lien pour ceux qui n'avaient jamais lu La Déclaration d'Indépendance d'Israël:
http://www.mfa.gov.il/MFAFR/MFAArchive/1900_1949/La%20Declaration%20d-Independence %20d-Israel

Je précise que je ne tiens rancune à personne pour tout ce qu'ils avaient écrit intentionnellement ou non et je remercie Albert et je te dis Baroukh Haba et à notre Douda le Juste et quant à Henri pour son aimable Emile, chalom lehka. Je vous dis de même chalom ou vrakha. A Maurice votre premier paraghaphe me paraît compliquer et je préfère vous répondre en privé si vous le désirez. Voici mon adresse électroniques emile@tubiana.net.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le vendredi 18 février 2005 - 00h53:

Maurice, ton clavier ne comporte pas de signes de ponctuation ?

Ca rendrait plus facile à lire et plus clair ce que tu écris.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le jeudi 17 février 2005 - 23h57:

DJERBIEN YA DJERBI ECHMANI je suis d'accord avec toi Endouk hak mais tu dis que par la force on obtient rien et qu'il reste du ressentiment MAIS Reflechis qui a employé la force pour convertir les peuples à l'ISLAM ET LES AVOIR MIS DANS la Dimmhitude car avant l'arrivée des Lois modernes avec la colonisation les minorités coptes en Egyptes maronites et chaldeenes chretiennes etaient ecrasees les Kabyles et les Kurdes bien que musulmans aussi parce qu'ils voulaient leur culture et les Juifs aussi dans tous les Pays parce que des qu'il y avait une famine les dirigeants arabes et egalement en Occident c'etait de leur faute et c'est pour cela qu'on retrouve maintenant la meme Maladie ce meme Cancer voyez Dieudonné comme il fait recette dans les foules surtout qu'il est teleguidé par un extremiste gauchiste Donc la force a presque fait fuir les Juifs des Pays Musulmans et avec des Juifs d'Occident ils retournent chez eux d'ou les invasions les ont delogé SOYEZ HONNETE FAITES PARLER VOTRE CONSCIENCE et on trouvera les arrangements pour la PAIX Ne vous fachez pas de mon raisonnement moi qui a du quitter avec mon pere de 74 ans la Tunisie en laissant tout Il n y a pas que les Palestiniens qui les pauvres ont supporté les egoismes des Etats Arabes envers les Juifs qui sont leurs cousins mais pas les Russes

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 17 février 2005 - 21h42:

Ya Si Marouen, On ne peut pas tout avoir dans la vie "YA MENOU OUELLA KOLOU"? (Une part ou tout)
Oui Monsieur, le journal "La Presse" a tort. Pour un journal tunisien, qui est loin du Moyen Orient de répéter des vieilles nouvelles et qui ne peuvent que semer de la haine chez les jeunes Tunisiens qui en réalité ne sont que 5% Arabes, et ceci au moment où les deux peuples essayent de naviguer, et que votre président essaye d'attirer le tourisme juif du monde avec des belles paroles données au Grand Rabin de Paris, Sitruk, ça c'est pour le "MENOU."

Et maintenant pour le deuxième mot "OUELLA KOLOU," Sharon va libérer Gaza pour les beaux yeux de qui? Je dis bien que les armées arabes avaient perdu à plusieurs reprises la guerre qu'ils avaient eux-mêmes provoqué ou commencé contre Israël. Montrez-moi un pays au monde qui retourne les territoires perdus par un aggresseur. Puis la resolution de l'ONU 242 et 338 dit clairement:

"Le Conseil de sécurité, rappelant toutes ses résolutions antérieures, et en particulier les résolutions 242 (1967) et 338 (1973), professant l'idée d'une région où deux États, Israël et la Palestine, vivraient côte à côte dans des frontières sûres et reconnues (...), exige la cessation immédiate de tout acte de violence, et notamment de toute forme de terrorisme, de provocation, d'incitation (à la violence) et de destruction. "

De toute façon tout sera réglé par des négociations qui commenceront dès que les Palestiniens performeront les conditions prescrites dans les articles 242 et 338. De ma part je ne vois pas pourquoi Israël devrait retourner n'importe quel territoire alors que les Palestiniens n'ont rien donné comme contre part. Vous dites "Quand une chose se fait par la force ça ne peut aboutir a rien". Je ne suis pas d'accord avec vous non plus sur ce point, car si les Palestiniens et les Arabes avaient appliqué les articles 242 et 338 des résolutions de l'ONU ils auraient évités 50 années de souffrance pour les pauvres Palestiniens que les Pays Arabes n'ont pas voulu les absorber dans leurs pays, comme l'ont fait les Juifs et les Israéliens qui avaient absorbé tous les réfugiés d'Europe et des Pays Arabes, y compris ceux de la Tunisie.

Je me joins à Maurice, qu'il faudrair refaçonner tout l'ancien empire ottoman à nouveau, ou même de ma part refaçonner la Palestine telle qu'elle était avant, qui comprenait La Jordanie et partie de la Syrie.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Djerbien (Djerbien) le jeudi 17 février 2005 - 18h31:

Je suis desole monsieur EMILE mais je ne pense pas que le journal tunisien "la presse" a completement tort sur ce sujet ,quand on realise la strategie qu`emploie l`etat israeliens pour installer ses habitants on realise que c la meme tactique qu`utilisaient les colons qu´ils soient francais ou anglais.
Cette strategie employee et la parfaite traduction de l`isolement contrairement a ce que pensent d`autres qui croient que c le seul chemin pour le rapprochement des deux peuples.
Quand une chose se fait par la force ca ne peut aboutir a rien.
J`espere que ceux qui liseront ce message ne seront pas vexes et que je ne serai pas incompri.
Amicalement MAROUEN.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le jeudi 17 février 2005 - 17h37:

HOMMAGE A MARC CADOCH, MON AMI PERDU. ZAL.


Presque cinq ans d’amitié, je t’avais connu en vacance, en Tunisie, toi, le médecin du village

L’amitié scellée, on se voyait, au début dans les joies, puis plus souvent pendant ton naufrage

Le destin s’est acharné sur toi, cette même année ou tu devais célébrer à ton aîné son mariage

Hier à tes obsèques, cinq cents personnes, venus te dire Adieu, te rendre un dernier hommage

Pendant ta maladie, tu es resté digne, lucide de laisser des orphelins et une femme en veuvage

Ton diagnostic, tu le connaissais, tu savais que tes jours étaient comptés, malgré ton jeune age

Hier, les sanglots, les larmes, la tristesse de tout ton entourage, trahissait le chagrin et la rage

Cette tristesse qui vous empare lorsque le père, fait le « Kadich » à un fils, il faut du courage !

A ta famille, aux amis, que tu laisses derrière, il ne reste que ton bon souvenir en témoignage

Va en paix, mon ami, Dieu t’a certainement réservé une place au Gan Eden sous son ombrage


Victor Cohen.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le jeudi 17 février 2005 - 16h50:

Économie
Développement / Recherche / Environnement


8/04/2003 • 00h00


Le moteur à hydrogène, une solution miracle contre la pollution ?


Une porte pour sortir des hydrocarbures, dont la clef est au fond d'un puits de pétrole...

Dossier : "L'impasse énergétique"
Dossier : "L'hydrogène, une énergie (presque) propre"
Le moteur à hydrogène, une technologie non polluante qui pourrait remplacer le moteur à essence, trouve de plus en plus de partisans dans les milieux politiques et économiques de pays industrialisés, à commencer par les Etats-Unis. Mais à bien y regarder, recourir massivement à l'hydrogène pour dépolluer le parc automobile a tout d'une mission impossible.

Le 28 février dernier, tandis que le monde attendait de savoir si l'Irak allait être envahi ou non, un revirement majeur dans la politique énergétique américaine est passé pratiquement inaperçu. Ce jour-là, dans son discours sur l'état de l'Union, le président Bush s'est dit prêt à faire en sorte "que la première voiture conduite par un enfant qui naît aujourd'hui puisse être une voiture à l'hydrogène, inoffensive pour l'environnement". Cet engagement était assorti d'une première enveloppe de 1,1 milliard d'euros, destinée à soutenir les recherches de l'industrie automobile américaine en faveur de l'hydrogène.