Par Admin (Admin) le jeudi 27 juin 2002 - 05h28: |
Par Anonyme (Anonyme) le mercredi 26 juin 2002 - 17h24: |
La justice belge arrête les poursuites contre Sharon
BRUXELLES (AFP) - La justice belge a stoppé mercredi les poursuites engagées il y a un an en Belgique contre le Premier ministre israélien Ariel Sharon en déclarant irrecevable la plainte déposée contre lui par 23 victimes des massacres de Sabra et Chatila, en 1982 au Liban.
La décision a été aussitôt saluée par les autorités israéliennes, alors que les victimes et plusieurs associations de défense des droits de l'Homme faisaient part au contraire de leur vive déception. Les avocats des plaignants ont annoncé leur intention de se pourvoir en cassation.
La chambre des mises en accusation de la cour d'appel de Bruxelles a pris sa décision, qui était attendue, au motif que M. Sharon "n'a pas été trouvé en Belgique", restreignant du même coup la portée de la loi belge dite de "compétence universelle". Cette loi datant de 1993 permet en théorie aux tribunaux belges de juger les auteurs de crimes de guerre, crimes contre l'humanité et génocide, quel que soit le lieu de ces crimes, les nationalités et lieux de résidence des victimes et des accusés.
En juin 2001, 23 Palestiniens rescapés de la tuerie de Sabra et Chatila avaient porté plainte sur la base de ce texte contre M. Sharon, qui était à l'époque des faits ministre israélien de la Défense. Quelque 800 à 2.000 personnes, selon les sources, avaient été tuées en septembre 1982 par les milices chrétiennes libanaises dans les camps de Sabra et Chatila, près de Beyrouth, pendant l'offensive israélienne au Liban.
La justice belge avait suspendu la procédure en septembre, le juge d'instruction chargé de l'affaire s'interrogeant sur sa compétence à poursuivre un Premier ministre en exercice dans une affaire n'ayant en outre aucun "rattachement" territorial avec la Belgique. Après neuf mois de réflexion et plusieurs audiences des parties impliquées, la chambre des mises en accusation de la Cour d'appel de Bruxelles a rendu mercredi sa décision: elle a jugé la plainte irrecevable, sans se prononcer sur la question de l'immunité mais en arguant de l'article 12 du code belge d'instruction criminelle.
"Pour que les poursuites basées sur la compétence universelle puissent être intentées valablement relativement à des crimes qui n'ont pas été commis en Belgique, il est nécessaire que les auteurs présumés soient trouvés sur le territoire du Royaume", a expliqué la Cour. Se prévalant du même principe, elle a jugé impossibles les poursuites contre Amos Yaron, le général israélien responsable du secteur Beyrouth en 1982 et actuel directeur du ministère israélien de la Défense, également visé dans la plainte.
Les autorités israéliennes ont aussitôt salué la décision de la justice belge. "Cette affaire était au début plus politique que légale, et c'est heureux qu'à la fin cela devienne plus légal que politique", s'est félicité Daniel Shek, directeur des affaires européennes du ministère israélien des Affaires étrangères, venu pour l'occasion à Bruxelles.
Pour Shaul Amor, ambassadeur de l'Etat hébreu, cette décision va permettre de "dissiper le gros nuage qui planait sur les relations entre la Belgique et Israël". A l'inverse, une Palestinienne qui s'était associée à la plainte a assuré qu'elle aurait "préféré mourir" plutôt que d'entendre la décision la Cour.
La justice belge a également déclaré mercredi irrecevable la plainte pour crime contre l'humanité déposée en Belgique contre le président de la Côte d'Ivoire Laurent Gbagbo, son prédécesseur Robert Gueï et deux ministres ivoiriens, a-t-on annoncé de source judiciaire. La décision d'abandonner les poursuites a été prise par la chambre des mises en accusation de la Cour d'appel de Bruxelles en même temps que celle concernant le Premier ministre israelien Ariel Sharon.
"Aussi bien dans l'affaire Sharon que dans l'affaire dite Gbagbo", les personnes visées par la plainte "ne se trouvaient pas sur le territoire du royaume de Belgique" et celle-ci est donc irrecevable, a expliqué le porte-parole de la Cour d'appel de Bruxelles, Guy Delvoie.
La plainte contre les dirigeants ivoiriens avait été déposée fin juin 2001 en vertu de la loi belge dite de "compétence universelle", qui permet au tribunaux belges de juger les auteurs de crimes de guerre, crimes contre l'humanité et génocide, quel que soit le lieu de ces crimes, les nationalités et lieux de résidence des victimes et des accusés. Parmi les 150 plaignants, qui se présentaient comme des "victimes ou ayants droit de victimes de tortures, viols, assassinats commis par les force de l'ordre ivoiriennes", figure Brahima Touré, âgé d'une vingtaine d'années, arrêté à son domicile et qui affirme avoir été emmené dans un camp pour y être torturé parce qu'il appartient à l'ethnie Diouala. Réfugié en Belgique, il serait le seul survivant d'un groupe dont les autres membres ont été tués et enterrés dans le charnier de Yopougon, où 57 cadavres ont été retrouvés en octobre 2001.
Par Finzi (Finzi) le mercredi 26 juin 2002 - 14h15: |
Allez faire un tour dans ctte discussion, c'est terrible : http://www.magicmaman.com/cgi-bin/ultimate_v6/ultimatebb.cgi?ubb=get_topic&f=89&t=001302
Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 26 juin 2002 - 10h06: |
Si vous faites votre aliya, lisez cet article :
http://www.jpost.com/servlet/Satellite?pagename=JPost%2FP%2FSection%2FSectionIndex&cid=1021813215480
Supporter l’insupportable !
Par MEIR AZOULAY
Par Rachco (Rachco) le mercredi 26 juin 2002 - 09h00: |
Fraichement initiée je suis depuis peu vos chroniques - BRAVO- aux vétérans Albert (mazal tov)Nao - Michka - Victoria - Grace à vous j'ai pu découvrir de nouveau sites qui nous permettent de répondre avec références à l'appui à nos "amis" non juifs qui ont la mémoire bien courte et une mauvaise foi à compartiments...pas si secrets.
YAEL nous sommes dans l'attente de ton info.A bientot-
Par Mena (Mena) le mercredi 26 juin 2002 - 08h15: |
Bush, le porte-avions coulé, aucune bombe dans l’eau ! (info # 012506/2)
Par Stéphane Juffa © Metula News Agency
Ca n’est pas un plan de paix qu’a exposé hier le Président Bush, c’est la prospective de l’Amérique de la situation qu’elle entend voir s’instaurer au Moyen Orient. Le Président a choisi une approche très négativiste – très américaine – des vues de son administration. Ainsi, il a préféré énoncer les conditions minimales de ses attentes, précisant ce qui selon lui empêchait l’avènement de la paix, plutôt que de brosser la liste exhaustive de ses contours définitifs (positivisme).
Surtout, et c’est pour cela qu’on se rappellera le discours du 24 juin, il a coulé la stratégie du porte-avions, mise à l’eau par Yasser Arafat en août 2000. L’intervention d’hier constitue la mise à l’écart définitive du vieux leader palestinien, pas uniquement pour lui-même en tant que personne – c’est là une erreur de perception faite par beaucoup d’observateurs – mais pour les méthodes et les objectifs choisis par le reclus de la Moukata.
Hier, le chef de file de l’Occident a mis les points sur les i. Il a dit qu’Arafat ne combattait pas la terreur mais qu’il l’encourageait, il a dit que cette option tactique était "inacceptable !" Il a dit qu’Arafat était à la tête d’un régime corrompu, sans justice pour ses administrés et dénué d’option pacifique. Bush a d’autre part placé toute son intervention dans la dynamique absolue de la solution des "deux peuples, deux Etats", dont il a jugé l’avènement incompatible avec le maintien d’Arafat et de ses priorités stratégiques. Le projet porte-avions explose donc, avec lui l’objectif intermédiaire de la force internationale d’interposition, finalité tactique première du déclenchement de la seconde Intifada. Finalité qui devait conduire à l’édification d’un Etat-porte-avions de fait, obtenu par la violence et la ruse, sans compromis politiques et sans abandonner le principe fondamental de la poursuite – même différée de plusieurs décennies – de la guerre d’éradication contre Israël.
Arafat voulait, en imputant à son ennemi des intentions génocidaires qu’il n’a jamais eues, et en provocant ses réactions violentes par l’utilisation systématique du terrorisme urbain, faire croire à l’Occident que lui et son peuple se trouvaient en danger existentiel. Il voulait qu’une mer de soldats internationaux d’interposition mette son territoire – son porte-avions – à l’abri des représailles israéliennes, pour qu’il puisse de son pont d’envol, préparer la mère de toutes les batailles, protégé des coups de son adversaire. Il aurait ainsi bénéficié d’un sanctuaire ancré à quinze kilomètres à peine de Tel Aviv et embrassant Jérusalem.
C’est pour ce dessein stratégique démentiel que les gens se battent ici depuis près de deux ans. C’est pour lui, tel un Minotaure, qu’Arafat éprouve un besoin continuel de Shahyds, qui constituent le carburant de sa folie prophétique. C’est encore pour lui, que le Président de l’Autonomie Palestinienne a rejeté le plan Clinton – même si, par la force des événements, il a déclaré cette semaine à un journaliste d’Haaretz qu’il avait eu tort et qu’il était désormais prêt à l’accepter (quelle gifle, en passant pour les thèses du tandem Védrine-Enderlin et pour les affirmations de branquignols proposées par leur Rêve brisé !) - .
Le peuple palestinien était à deux doigts d’obtenir un Etat, bâti sur la quasi-totalité des territoires jordaniens d’avant 67, avec la partie arabe de Jérusalem et ses lieux saints pour capitale. Mais la contrepartie réclamée par Barak et Clinton, c’était la fin de l’état de guerre et le renoncement à toute exigence ultérieure de la part des Palestiniens.
Le choix d’Arafat d’alors est terrible de signification pour son peuple et c’est maintenant que les Palestiniens vont payer le prix du coup de poker de leur leader. Echu le plan Clinton, même si Saeb Erikat, le chef négociateur d’Arafat, juge soudain et de manière très naïve, qu’on pourrait y revenir. Barak a déclaré hier sur CNN, que les dirigeants palestiniens ne perdent jamais une occasion de perdre une occasion. Comme il a raison, comme elles paraissent lointaines, derrière la colline de cadavres de la guerre inutile d’Arafat, les conditions décentes de la proposition de Camp David. Qu’il est long le détour, que les Palestiniens vont devoir parcourir, pour finalement obtenir beaucoup moins – et avec infiniment de souffrances en plus – que ce qui leurs était proposé voici deux ans !
"C’est une entité palestinienne combattant le terrorisme qui pourra négocier avec Israël la création d’un Etat !" a dit George Bush en substance, rangeant ainsi aux oubliettes la méthode Arafat. 50 chars de l’armée d’Israël ont réinvesti Ramallah. Ils stationnent à l’intérieur du périmètre du complexe d’Arafat et devant les maisons et les boutiques des habitants de la ville. Drôle de génocide, si on peut dire ! Un génocide sans morts, avec des soldats d’une autre dimension éthique que les légionnaires français ou que le contingent d’Algérie, qui se contentent de vérifier l’identité des suspects et de démolir les entrepôts contenants les armes et les munitions du porte-avions. Drôle de génocide, si on peut dire, qui ignore le général vaincu, le laissant s’adresser librement au monde, à vingt mètres à peine du premier soldat de Tsahal. Dans leur façon de faire et dans la rigueur de leurs actes, l’armée des Hébreux a démontré à George Bush qu’elle ne mettait pas en danger l’existence des Palestiniens innocents d’activités terroristes et partant, que la population palestinienne n’encourait aucun autre danger, que celui généré par la stratégie de ses chefs.
Cette fois, le Président américain, en reconnaissant à Israël le droit de se défendre, a donné son blanc seing à la poursuite des opérations en cours. Pour les officiels de l’Autorité Palestinienne, il n’est pas de plus grand désaveu, l’Amérique soulignant, outre le degré de leur corruption officielle, leur illégitimité à conduire le destin de leurs concitoyens. C’est une assemblée constituante démocratique, qui devra assumer le pouvoir suprême de l’organisation politique menant à un Etat indépendant. Sous-entendu que, comme dans une démocratie digne de ce nom, le pouvoir exécutif devra être soumis au législatif et le pouvoir absolu ne pourra plus être confié à la vision d’un seul homme.
L’Administration US a placé la barre très haut, hors de portée peut-être des représentants futurs d’un Etat arabe en gestation. Je ne dis pas que la condition que l’Etat palestinien soit d’essence authentiquement démocratique ne constitue pas une condition sine qua none des possibilités de cohabitation harmonieuses entre les belligérants d’aujourd’hui, je relève simplement qu’il n’existe aucun Etat arabe qui embrasse présentement ce critère. C’est peut-être sur ce point que Bush a fait hier un discours terriblement occidental et humaniste. Son acception de l’ordre du monde est plus manichéenne que jamais, il ne se contente plus d’affirmer que ceux qui ne sont pas avec nous sont contre nous, il établit désormais que ceux qui n’évoluent pas sur notre modèle d’organisation politique sont nos ennemis, citant nommément la Syrie au titre de ces ennemis, ainsi que tous les pays qui s’accommodent ou qui entretiennent le terrorisme.
Le discours d’hier n’est pas diplomate, battant en brèche la vision française des choses, selon laquelle il convient de composer avec les acteurs politiques en place. Le Président déclare quant à lui son refus de ce genre de statuts quo. La prise de position de la Maison blanche consacre la victoire définitive du clan Rumsfeld-Cheney sur le clan Powell, pour ce qui concerne le différend israélo-palestinien. Le Président a en outre parlé d’une Syrie qui démantèle les camps d’entraînement des organisations terroristes et qui en expulse les membres. Il a fait allusion à une Syrie en recherche de paix et donc, pas forcément à la Syrie dirigée par la junte actuelle. Bush a cité nommément les organisations terroristes auxquelles il a fait allusion. Le Hezbollah est bien entendu au nombre d’icelles, Bush établissant la nullité de l’affirmation de résistance pour les barbus frénétiques qui font le Sieg Heil sous les fenêtres de la Ména, dans un désaveu frontal de la position tenue par Chirac et par son sponsor Hariri.
Côté israélien, la dernière chose à faire serait d’avoir la victoire euphorique ! Je vois à cela deux raisons : D’abord parce qu’on reste avec trois millions et demi de Palestiniens désespérés dans notre cour et qu’aucun magicien ne pourrait les faire disparaître, ni neutraliser les accès de leur rage – et peu importe pour nous qu’ils soient la résultante des plans et des errements de leurs leaders - qui coûtent la vie aux habitants de nos villes. Ensuite, parce que les choix qu’a fait l’Amérique ne sont pas là pour plaire à Israël mais pour défendre la civilisation des Etats-Unis et de l’Europe contre la menace islamique et du nationalisme arabe qui s’en sert. Bien sûr que le discours d’hier permettrait, en théorie, d’agir afin de torpiller l’émergence d’un leadership alternatif chez les Palestiniens. Bien sûr que les Livnat, Livné, Hanegbi, Rivlin et Dany Naveh et leurs amis du Mafdal dansent la farandole sur les perspectives de l’émancipation politique des Palestiniens mais leur vue est à court terme et elle ne résout rien. Plus que la poursuite de la violence, à laquelle leur absence absolue de perspective politique nous condamne, leur aveuglement est de nature à faire sortir Israël des consensus humanistes de la civilisation que l’Amérique entend protéger. Et si, d’aventure, à cause d’eux, Israël perdait la confiance de l’Amérique, en multipliant par exemple les faits accomplis dans les implantations, nous deviendrions à l’instar d’Arafat les spectateurs de notre propre destin. En Israël même, s’il existe un consensus pour s’opposer à la croisière du porte-avions d’Arafat, le gros de la population n’est pas prêt à poursuivre une guerre infinie derrière ceux dont la finalité consiste à empêcher nos voisins de respirer.
Le bon choix d’Israël consiste à s’inscrire dans la prospective énoncée par George W. Bush et à tendre la main à ceux d’en face qui, comme Nusseibah et Sami El-Soudi, peuvent construire une alternative décente à la stratégie arafatienne. Pour que les enfants des deux peuples aient une chance de connaître la sécurité et la prospérité, il faut maintenant travailler à construire la paix, en toute bonne foi et en cessant de raisonner de minute en minute tels des bourricots !
Par Mexico (Mexico) le mercredi 26 juin 2002 - 06h36: |
Chers amis Harissiens,
C'est dans le but de sauver une vie juive que je fais appel a vous afin de m'aider a reussir la diffusion d'une histoire extremement poignante a radio, television, presse, etc...aux Etats Unis d'Amerique.
Les personnes en mesure d'acceder a cette noble cause sont priees de bien vouloir rester a l'ecoute.
Merci de tout coeur.
Yael
Par Nao (Nao) le mardi 25 juin 2002 - 21h41: |
Contrairement a ce que qques irreductibles pensent, je pense que ces menaces sont a prendre au serieux.
• LE MONDE | 24.06.02 | 12h37
•Al-Qaida se dit déterminée à frapper à nouveau l'Amérique
Le porte-parole de l'organisation terroriste annonce le prochain retour de son chef, Oussama Ben Laden, assurant que celui-ci est vivant. Dans un enregistrement sonore diffusé par la chaîne de télévision Al-Jazira, le groupe revendique pour la première fois l'attentat de Djerba, en Tunisie
Oussama ben laden, le chef du réseau Al-Qaida, serait vivant et en bonne santé, tout comme son adjoint l'Egyptien Ayman Al-Zawahri et leur ancien protecteur afghan, le mollah Omar, "contrairement aux rumeurs ayant affirmé qu'ils avaient été touchés à Tora Bora".
Ces affirmations contenues dans le dernier enregistrement audio diffusé par la société Assihab (Les Nuages), la cellule de propagande du réseau Al-Qaida, sont données sous forme d'une "interview avec Abou Ghaïth". Koweïtien déchu de sa nationalité, Soulaiman Abou Ghaïth est, depuis les attaques du 11 septembre 2001, présenté comme le porte-parole de l'organisation terroriste.
La chaîne d'information en continu Al-Jazira, basée au Qatar, a décidé de diffuser, dans la nuit du samedi 22 juin, quelques extraits de cette interview de 25 minutes où des menaces contre les intérêts américains ont été réitérées, ainsi que les classiques appels au djihad. "La guerre contre les Etats-Unis d'Amérique n'a pas cessé et ne cessera pas. Notre guerre contre les Américains n'est pas une guerre d'intérêts ou une guerre personnelle, mais bel et bien une guerre sainte du bien contre le mal, et du juste contre l'injuste (...)", lance Abou Ghaïth. "Si l'Amérique pense qu'elle a gagné la bataille en faisant tomber le régime des talibans, c'est qu'elle n'a rien compris au peuple afghan (...). L'Amérique peut d'ores et déjà se préparer à de nouvelles attaques surprises et serrer les ceintures de sécurité. Nous allons frapper là où ils ne nous attendent pas", ajoute-t-il.
Au siège d'Al-Jazira, on concède que "l'information n'est pas un scoop, car elle courait déjà depuis quelques jours". Selon Ibrahim Heelal, contacté par téléphone dimanche 23 juin, "nos contacts au Pakistan nous avaient alertés depuis une semaine sur ce document sonore. Selon nos correspondants, la cassette de l'interview de Soulaiman Abou Ghaïth circule ces derniers jours dans les milieux islamistes. Le quotidien Al-Hayat [privé, publié à Londres] en avait fait état dans son édition du vendredi. La chaîne satellitaire MBC [privée et saoudienne] l'avait évoquée samedi matin. Nous avons pris le temps d'identifier formellement la voix d'Abou Ghaïth, en la comparant aux anciennes vidéos d'Al-Qaida obtenues par Al-Jazira, avant de diffuser quelques extraits de cet enregistrement sonore."
"L'ESPRIT DU DJIHAD"
La Maison Blanche n'a pas réagi dans l'immédiat à ces déclarations. Jusqu'à présent, Washington se gardait de se prononcer sur le sort d'Oussama Ben Laden et du mollah Omar, portés disparus quelque part entre l'Afghanistan et le Pakistan.
Si la date et le lieu de ce nouvel enregistrement n'ont pas été clarifiés, il comporte une indication certaine dans sa revendication de l'attentat contre la synagogue de Djerba, en Tunisie, perpétré le 11 avril. "Cette opération a été exécutée par le réseau Al-Qaida. Un jeune n'a pu voir massacrer et assassiner ses frères en Palestine (...) tout en voyant des juifs prendre du bon temps à Djerba (...) Alors l'esprit du djihad s'est manifesté et il [le membre d'Al-Qaida] a exécuté cette opération avec succès, que Dieu l'accepte", dit la voix. C'est la première fois qu'Al-Qaida revendique cette explosion terroriste à la synagogue de la Ghriba, qui a causé la mort de 21 personnes dont 14 Allemands.
Il est étonnant que l'organisation d'Oussama Ben Laden, qui communiquait jusqu'alors par messages vidéo, ait eu recours, cette fois, à un enregistrement audio. Al-Jazira précise avoir téléchargé l'enregistrement depuis le site Internet d'Al-Qaida.
Tewfik Hakem
Par Nao (Nao) le mardi 25 juin 2002 - 20h22: |
Quel playdoyer emouvant que celui d'Albert a sa fille desormais envolee du cocon familial!
Cher Albert, tu as ce don de pouvoir nous faire rire et nous faire pleurer! Nous te souhaitons beaucoup de petits enfants qui auront cette chance d'avoir un papi conteur et talentueux!
Un grand MAZAL TOV a la Kalah et au Hatan, a leurs parents et a leurs familles!
Par Boulomiel (Boulomiel) le mardi 25 juin 2002 - 16h09: |
D... bénisse les Etats unis nos freres et d... bénisse Israel
Enfin Yasser arafat va pouvoir prendre sa retraite
Bézrat achem ,le peuple d'Israel pourra dormir tranquille et avoir leurs enfants , tous leurs enfants autour de leur table de Chabat!!!
la patience est notre meilleur arme
Nous on ne tue pas nos enfants on tue le temps!!
Par Victoria (Victoria) le mardi 25 juin 2002 - 15h24: |
Une précision : il s'agit de Maison des avocats de ...Bobigny (pas de celle de Paris). Allongez-vous et associez librement...
Par Victoria (Victoria) le mardi 25 juin 2002 - 13h26: |
Je viens de relire l'appel à manifestation de ce soir devant le Monde sur desinfos.com. Il est bien mentionné 18h. et non 20h.
Pour la manif de jeudi voir également les détails sur desinfos.com. Le lieu de la conférence de Gresh est la Maison des avocats.
On est très gâtés en sorties cette semaine !!!
Par Bazooka (Bazooka) le mardi 25 juin 2002 - 13h12: |
Michka,
ou souhaitez-vous que nous intervenions contre la mise en place de cette conference biaisee ?
Veuillez nous communiquer plus de details.
Merci.
Par Victoria (Victoria) le mardi 25 juin 2002 - 13h05: |
Michka j'ai lu hier sur desinfos que la manifestation devant le journal Le Monde était à 18h. et non pas à 20h. Aurais-tu une info plus fraîche ?
Merci
Par Victoria (Victoria) le mardi 25 juin 2002 - 13h01: |
VENEZ NOMBREUX CE SOIR devant le journal LE MONDE. Nous n'étions pas assez nombreux devant l'AFP. Notre présence n'est pas du tout anodine. Plus nous serons nombreux plus les médias seront obligés d'en parler et notre lutte à nous juifs de la diaspora se situe ce plan ! C'est notre seule arme pour aider Israël.
Par Admin (Admin) le mercredi 26 juin 2002 - 08h19: |