Par Maxiton (Maxiton) le mercredi 23 février 2005 - 13h35:

dieudionné doit aussi avoir farrakhan comme modèle

Par Bekhor (Bekhor) le mercredi 23 février 2005 - 13h15:

Au sujet de l'écrivain "MORAD EL HATTAB":

En effet, j’avais assisté un dimanche après midi, dans le première quinzaine du mois de novembre 2004 a la salle « WAGRAM » à Paris à un coloque de l’association des patrons juifs de France.

J’étais très étonné de voir a la tribune un jeune écrivain maghrébin d’origine marocaine, il a environ trente ans,il etait installé aux cotés de François Zimeray ex député européen, de julien Dray, de Charles Pasqua, du psychologue Siboni, du philosophe shmuel Trigano, et encore d’autres personnalité de la vie politique française.

Ce monsieur avait été invité pour présenter son livre, et parler de sa réflexion au sujet du conflit judéo arabe, vue par la lorgnette d’un maghrebin non aligné à l'islamisme arabe.

Pendant les poses, vu ma passion pour le retour à la fraternité entre nos deux peuples arabes & juifs, j’ai discuté avec Monsieur Morad El Hattab, ce dernier m’a convaincu et m’a épaté par son point de vue passionné et de par sa réflexion originale sur ce sujet brûlant.

Je lui avait même demandé si il ne craignait pas pour sa vie, lui le musulman presque pro juif, j’avais obtenu un sourire en guise de réponse.

J’avais acheté son livre et sincèrement il mérite d’être lu, sa lecture m’a beaucoup apporté dans ma réflexion sur ce sujet brûlant qui nous concerne tous au plus haut niveau.

Non seulement ce livre exceptionnel mérite une promotion, mais je pense que tout juif et que tout musulman se devrait de lire.

Ce n’est pas pour rien que le jury à été unanime a l’attribution de ce prix.

VICTOR COHEN.

CHRONIQUES D’UN BUVEUR DE LUNE
Essais sur le Mal et l’Amour
Préface du livre par le Pr. Raphaël Draï
En annexe du livre : un essai sur l’Anti-judaïsme
Et un hommage à la culture japonaise.
Communiqué de presse
Le Prix littéraire Lucien CAROUBI, Prix pour la Paix et la Tolérance, géré par la Fondation CASIP-COJASOR, 8, rue de Pali Kao 75020 Paris, a pour but de récompenser un auteur ayant écrit un ouvrage inspirant la paix et la tolérance entre les hommes.








A l’unanimité, le jury a attribué le 9ème prix Lucien CAROUBI à Morad EL HATTAB pour son livre « Chroniques d’un buveur de lune – Essais sur le Mal et l’Amour », préfacé par le Pr. Raphaël Draï, aux éditions Jacques-Marie Laffont.

Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 23 février 2005 - 10h51:

Voila surement d'ou Dieudonne tire son "inspiration".

Intégration
Malcolm X n'est pas le héros des Afro-Américains

Quarante ans après son assassinat, sa violence ne fait plus recette.
Par Pascal RICHE

mardi 22 février 2005 (Liberation - 06:00)
Washington de notre correspondant

C'est sans grande publicité qu'a été célébré, hier aux Etats-Unis, le 40e anniversaire de la mort d'El Hajj Malik El Shabazz, né Malcolm Little, mais connu sous le nom de Malcolm X. Ses trois filles, Ilyasah, Gamilah et Malaak, devaient participer à une célébration, hier soir dans la salle de bal de l'hôtel Audubon, à Harlem, ou il a été assassiné.

Aux Etats-Unis, Malcolm X ne fait pas vraiment partie du panthéon des «héros africains-américains», que l'on présente chaque année dans les écoles, pendant le «mois de l'histoire noire». Martin Luther King, pasteur chrétien et non violent, est adulé. Mais pas Malcolm X, cet ex-délinquant qui s'est converti à l'islam en prison, et qui se demandait si, pour obtenir justice, les balles («bullets») ne seraient pas plus efficaces que les bulletins de vote («ballots»).

Il avait rejoint la Nation of Islam, dont il était devenu le principal orateur. A l'époque, les militants noirs étaient facilement frappés, emprisonnés, tués. Malcolm X prône la lutte radicale, et le séparatisme noir. Il raillait Luther King : «Je ne vois pas le rêve américain, seulement le cauchemar américain.» En 1964, il rompt avec la Nation of Islam et mue en musulman sunnite et pacifiste.

Aujourd'hui, les radicaux noirs américains, qu'ils soient chanteurs de hip-hop ou militants politiques, ne prônent plus la violence, mais continuent d'être regardés de travers par la société américaine. Louis Farrakhan, le leader de la Nation de l'Islam (ancien protégé de Malcolm X qui avait fini par le détester à tel point qu'on l'a soupçonné d'avoir commandité son assassinat), a tenu à plusieurs reprises des propos ouvertement antisémites, qualifiant les juifs de «vils trompeurs du peuple américain», ou les accusant d'avoir «financé l'esclavage». Cet antisémitisme est répandu chez les Noirs qui ont opté pour un islamisme radical (Malcolm X lui-même n'y avait pas échappé), mais il a des racines plus profondes, et chrétiennes celles-là. Ainsi, dans le Sud, les églises fondamentalistes noires ont longtemps présenté les juifs comme un peuple déicide refusant la vérité du christianisme.

Par Albert (Albert) le mercredi 23 février 2005 - 09h01:

'...Une belle photo vaut mieux qu'un livre de politique... fade...! Et si on en plus on va avoir mille alors la politique ferait mieux de se rhabiller... en polo....!'

A vos albums messieurs,la course aux clichès anciens des 'siécles antétèrieurs' est ouverte.

Bravo Hai.

Meyer peux tu me répèter qd commence le 20 ième siécle et surtout où il fini...? ..
C'est une question perso, j'en ai besoin pour mes archives...Merci

Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 23 février 2005 - 08h52:

CHRONIQUES D’UN BUVEUR DE LUNE
Essais sur le Mal et l’Amour
Préface du livre par le Pr. Raphaël Draï
En annexe du livre : un essai sur l’Anti-judaïsme
Et un hommage à la culture japonaise.


Communiqué de presse


Le Prix littéraire Lucien CAROUBI, Prix pour la Paix et la Tolérance, géré par la Fondation CASIP-COJASOR, 8, rue de Pali Kao 75020 Paris, a pour but de récompenser un auteur ayant écrit un ouvrage inspirant la paix et la tolérance entre les hommes.

A l’unanimité, le jury a attribué le 9ème prix Lucien CAROUBI à Morad EL HATTAB pour son livre « Chroniques d’un buveur de lune – Essais sur le Mal et l’Amour », préfacé par le Pr. Raphaël Draï, aux éditions Jacques-Marie Laffont.

A la remise du prix présidée par M Eric de ROTHSCHILD, Mercredi 26 janvier 2005, assistait une foule dense parmi laquelle de nombreuses personnalités de toutes origines et religions, du monde littéraire et politique, venues exprimer leur amitié chaleureuse et leur joie de voir le livre et l’auteur récompensés.

« Chroniques d’un buveur de Lune » traite du Mal à la lumière de la Shoah, d’Auschwitz et de la perversité du nazisme, et de l’Amour dont l’analyse révèle l’empreinte d’Emmanuel LEVINAS. Une brève partie est consacrée à une analyse de l’anti-judaïsme et un hommage est rendu aux écrivains japonais Kawabata et Mishima.

Le jury a salué le courage de l’action qu’il poursuit depuis 3 ans dans ses articles et ses conférences à travers la France. Morad El Hattab publie un livre courageux, une analyse lucide étayée, qui apporte une bouffée d’oxygène, à tous ceux qui veulent comprendre la situation face à l’intégrisme des religions, il serait judicieux, de légitimer publiquement cette voix du courage et de l’intelligence éclairée, qui tente d’exprimer les tensions et les espérances de notre époque, contribuant ainsi à édifier un monde meilleur.

Dans une société en pleine effervescence, troublée par les différentes affaires de xénophobie et d’antisémitisme, face à la montée des tensions et aux réveils des vieux démons, face aux attaques insipides et massives des fondamentalistes.

Enfin des intellectuels et universitaires français de confession musulmane courageux et déterminés prennent la parole, pour s’engager dans un combat pour la République et la défense de la laïcité.


Jacques-Marie Laffont Editeur
Diffusion distribution : Diffedit (Groupe Lamartinière)
Péniche Evasion, 55 Quai Michelet – 92300 Levallois-Perret – Tél : 01 55 62 06 30

Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 23 février 2005 - 08h50:

Grands hommes et petites femmes ...de Salomon à Zoubeida

Contes juifs tunisiens
et autres nouveautés
Sonia Koskas, contes
Maurice Delaistier, guitare et violon


le vendredi 25 février à 21 heures 30 à la

Villa Borghèse, chez Driss
(ancien patron des Uns et les Autres)
19, rue des boulets 75011 Paris
Métro Nation ou Boulets-Montreuil
réservations : 01 43 71 00 52


Restaurant spectacle : on peut dîner avant ou après le spectacle

Sonia Koskas, conteuse
Mail : koskas.sonia@wanadoo.fr
site : www.zanzibart.com/soniakoskas

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 23 février 2005 - 05h12:

Bekhor jusqu'a present je ne savais pas ce que j'etais. Enfin grace a vous, vous m'avez fait decouvrir mon vrai metier "le conteur". "Pas Le conteur electrique" Maintenant je peux repondre a ma femme care depuis que je l'ai connu je n'avais jamais repondu a sa question quel metier j'avais.

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 23 février 2005 - 05h08:

Meyer merci vous etes le meilleur. Une reponse precise en vaut 100 qui clochent.

Maintenent et grace a vous je sais quel age que j'ai. El Hamdoula Ya Rabbi El Ala min.

Par Bekhor (Bekhor) le mercredi 23 février 2005 - 04h23:

Monsieur Tubiana, quand j’ai choisi cette carte postale du conteur d’histoire j’ai pensé a vous.
Car, je vous aurai bien vu comme l’acteur principal de cette scène plus que centenaire. Vous le meilleur conteur d’histoire d’Harissa.

En effet, à l’époque, où il n’y avait pas de TV, pas d’Internet et que les médias étaient quasiment inexistants, ces conteurs d’histoires faisaient rêver les habitants des villages et des villes.
Pour ce, il fallait avoir beaucoup d’imagination comme notre Breitou national, et le talent de conteur d’Emile Tubiana.






Comme vous pouvez le constater, le thème choisi aujourd’hui nous montre, les petits métiers d’antan, malheureusement disparus de nos jours.
Ces petits métiers étaient vecteurs de nombreuses créations d’emplois, et demandait une grande période d’apprentissage, souvent c’étaient les parents qui payaient les artisans pour enseigner et faire travailler leurs enfants afin qu’ils apprennent un métier.
Pour être un bon artisan, il fallait être très habile de ses mains et avoir beaucoup de conscience professionnelle.

J’ai craqué pour cette CPA, je la dédie à notre ami Slim, qui aime l’authenticité typique de notre Tunisie ; elle me fait rêver de cette époque que j’ai presque connu. Je trouve que l’authenticité et l’archaïsme de la scène de ces deux cordonniers dans leur échoppe est très typique et reflète la singularité de notre Tunisie natale.
Les métiers du cuir tenaient une grande place dans la vie économique à l’époque en Tunisie,
A part les cordonniers qui étaient très nombreux, il y avait les bourreliers qui fabriquaient les selles des chevaux, des mulets et des ânes, ainsi que tout l’harnachement des montures des moyens mobiles de l’époque. (Calèches, charrettes, chariot etc. etc.)





Cette dernière CPA m’intrigue, un marchand de graisse, apparemment de la graisse animale de mouton, si je ne me trompe pas.

Ce marchand qui a certainement existé, a un métier que je n’ai pas connu dans les années 50/60 en Tunisie, est ce quelqu’un peut nous dire, si il a connu ce genre de marchand et a quoi servait cette graisse ? Vraisemblablement, elle devait servir, pour des besoins alimentaires.

Par Meyer (Meyer) le mardi 22 février 2005 - 23h57:

Non Emile, le 15 janvier 2000 appartient au 20ème siècle.

J'ai expliqué comment compter les siècles à partir de l'an 1 (l'an 0 n'existe pas):
- de 1 à 100 compris : 1er siècle
- de 101 à 200 compris : 2ème siécle
.
.
- de 1901 à 2000 compris : 20ème siècle
- de 2001 à 2100 compris : 21ème siècle

Pour répondre à ta question, à ma connaissance il n'y a pas de différence dans la façon de compter entre les USA et la France.
Si la personne est née le 21 janvier 1945 à 12 heures (midi), elle a 59 ans jusqu'au 21 janvier 2005 à 11h 59min 59s. A 12h elle atteint 60 ans.
Cela n'empêche pas de lui souhaiter bon anniversaire dès le 21 janvier au matin.

Par Michka (Michka) le mardi 22 février 2005 - 23h38:

Complot pour assassiner Bush: un Américain d'origine arabe inculpé
ATTENTION - Avec changement de mots-clés /// WASHINGTON, 22 fév (AFP) © 2005 AFP USA-justice-Bush-terrorisme LEAD

Un Américain d'origine arabe, Ahmed Abou Ali, a été inculpé mardi pour avoir projeté d'assassiner le président américain George W. Bush et soutenu le réseau terroriste Al-Qaïda, a-t-on appris de source judiciaire.

Au total six chefs d'inculpation ont été retenus contre Ahmed Abou Ali, 24 ans, qui a passé sa jeunesse dans la banlieue de Washington. Il risque jusqu'à 80 ans de prison.

Le jeune homme a été arrêté en Arabie Saoudite en juin 2003, où il est resté détenu avant d'être renvoyé aux Etats-Unis lundi, a précisé le ministère américain de la Justice.

Lors d'une audience mardi devant un tribunal fédéral de Virginie (est), près de Washington, il a affirmé avoir été torturé lors de son séjour dans une prison saoudienne. Il a expliqué qu'il était étudiant à l'université de Médine (Arabie Saoudite) au moment de son arrestation, et n'avoir pas été informé d'une quelconque inculpation en Arabie Saoudite.

L'acte d'inculpation en Virginie accuse M. Ali d'avoir voulu, avec un complice, tuer le président américain soit en s'approchant suffisamment près de lui pour lui tirer dessus dans la rue, soit en actionnant un véhicule piégé.

Certaines informations ayant conduit à son inculpation par la justice américaine ont été fournies par deux autres suspects arrêtés en Arabie Saoudite dans le cadre des attentats du 12 mai 2003 à Ryad, précise le texte.

A partir de septembre 2002, M. Ali aurait avisé l'un de ses complices, rencontré lors de précédents voyages à Médine, qu'il voulait rejoindre le réseau Al-Qaïda.

Il souhaitait devenir chef de projet d'opérations terroristes et avait reçu de l'argent d'une personne liée à Al-Qaïda pour acheter un ordinateur, un téléphone portable et des livres afin d'aider le réseau terroriste d'Oussama ben Laden. Il aurait également été entraîné en Arabie Saoudite à manier armes et explosifs, et à fabriquer de faux papiers, toujours selon la justice américaine.

Le procureur Paul McNulty -- qui poursuit par ailleurs le Français Zacarias Moussaoui pour ses liens avec les attentats du 11 septembre 2001 -- a affirmé mardi que l'accusé avait "tourné le dos à l'Amérique" après ces attentats pour "rejoindre la cause d'Al-Qaïda".

"Il est maintenant accusé des crimes les plus sérieux que notre Nation puisse retenir contre des partisans du terrorisme", a-t-il ajouté.

Les parents d'Ahmed Abou Ali, d'origine jordanienne, ont porté plainte contre le gouvernement américain à la mi-2004 accusant Washington d'avoir insisté auprès de Ryad pour que leur fils soit arrêté et emprisonné, en sachant qu'il risquait d'être torturé, selon la presse américaine.

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 22 février 2005 - 23h37:

Braham, les fleurs sont belles et tres etonnant qu'au mois de fevrier vous avez de telle fleurs.
Avez-vous des narcisses?

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 22 février 2005 - 23h35:

Bekhor, je me dois de te dire un grand merci pour toutes les photos que tu affiches. Elle sont merveilleuses et elle enrichissent notre patrimoine dans ce site.