Par Admin (Admin) le lundi 01 juillet 2002 - 03h17:

Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 30 juin 2002 - 13h09:

Ma chére YAEL,
Les précisions que vous apportez sont appropièes afin d 'oter le doute qui peut parfois induire en erreur certains internautes, peut être prets à vous aider dans ce sens.
Je suppose que vous restez à la disposition de ces bonnes gens afin de leur fournir quelques élèments apprèciables.
Mettez vous en rapport avec YAEL DIETZ.
ET AIDONS LA DANS SA TRAGEDIE.
ALBERT.

Par Mexico (Mexico) le dimanche 30 juin 2002 - 13h00:

JUSTICE POUR RAFEL DEITZ
Chers amis Harissiens,
Je desire eclairer certaines questions que vous me posez concernant l'affaire de mon mari.
Mon mari n'a pas de secret.
Il n'a jamais passe de drogues.
Il est tombe dans un traquenard d'un "type" qu'il avait connu superficiellement au gymnase de San Diego, CA.
Ce "type", on ne le savait pas, etait un grand criminel qui avait plusieurs fausses identifications.
Il faisait du trafic avec la police d'un petit bled, Elyria, banlieue de Cleveland, Ohio.
La police suivait clandestinement ses traces.
Il lui fut confisque un chargement.
Les flics lui ont demande de lui livrer "un mexicain naif" pour pouvoir disposer eux-memes de la drogue et la revendre, et ainsi liberer ce "type" de toutes ses charges.
C'est quelque chose de courrant dans ce repugnant crime organise.
La raison pour laquelle on a torture mon mari, etait pour arriver a qu'il se declare coupable et ainsi eviter un proces ou il est obligatoire d'apporter des preuves, ce que le gouvernement n'a pas.
SI VRAIMENT LE GOUVERNEMENT D'OHIO AVAIT EN MON MARI UN COUPABLE, POUR QUELLE RAISON ALORS, S'AURAIT-IL ACHARNE A NE PAS LUI DONNER LE DROIT A UN PROCES DEPUIS PLUS DE 6 ANS?
Je ne peux me permettre de donner a n'importe qui les coordonnees de l'avocat. Il est paye pour lutter par la voie judiciaire et prie mon mari de ne pas perdre l'espoir.
Je vous remercie de votre confiance et de votre comprehension.
Yael Deitz

Par Albert Simeoni (Albert) le dimanche 30 juin 2002 - 12h48:

LES MEMOIRES D’UN GOULETTOIS
L’ENFANT DE LA GOULETTE
PAR ALBERT SIMEONI (BEBERT)


10/6/2001
Dans la série des aventures....


‘...DEVINES QUI VIENT DINER CE SOIR….. ?’
‘..Y’A SAM QUI DORT DANS LE SALON…’


La première fois que j’invitais une copine chez nous à la Goulette, ma maman s’est taguée d’une grimace, en 1973. J’eus droit à ses foudres. Son traditionalisme ne permettait aucune dérive. Pas de filles chez nous sans être fiancé, et, même en l’étant, sa simagrée était faite à mon insu.
Aujourd’hui les mentalités ont èvolué dans le bon sens. En bien. D’avoir vécu ces interdits, j’ai balayé d’un revers de manche méprisable cette situation ridicule. Les copines et copains de mes filles sont les bienvenus chez moi.
Doris, ma seconde fille, fréquente depuis quelques mois un gentil garçon bien éduqué et bien élevé du nom de Sam, que je surnomme mon ‘bof ’ pour plaisanter, ri sous cape de mes conneries. Mais le problème est ailleurs.
Sami vient de temps à autre déjeuner chez nous. Ma fille est au petit soin pour lui. Ce qui n’est pas le cas pour moi quand je lui demande un verre d’eau ou une petite pâtisserie. L’amour est partisan.
Mon ‘bof’, quelquefois, vient dormir dans le salon, sur mon canapé en cuir quand il rate son dernier métro qui, est à 10 minutes de chez moi à pieds. Et là mes amis, je reçois des ordres péremptoires, des directives et des commandements dès qu’il franchit le seuil de la porte de la part de ma cadette
‘Papa…….Sam dort chez nous ce soir… ! ’ en chuchotant.
‘Eye… ! mnih …échtyâb nàymel… ?’
(‘Bon… ! d’accord….que veux tu que je fasse.. ?’)
Ce qui veut dire, que je dois me comporter comme il faut. Ne pas roter, ne pas élever la voix. Si par hasard, je me lève pour aller aux toilettes vers les 2, 3 ou 6 heures du matin, Doris est derrière moi comme mon ombre….
‘Papa…..Sam est dans le salon…il dort….’
Traduisez en clair. L’écho de mon vent dans la cuvette ou l’éclat de mon bronze ne doit en aucune manière parvenir à ses oreilles feutrées. Alors je compresse mes fesses afin que ma petite partie intime, indisciplinée, retienne son souffle et restreigne au maximum son rôt anal. C’est une gymnastique que je me suis imposée par politesse pour faire plaisir à ma fille au détriment de mon grand soulagement.
A table, Doris me surveille du coin de l’œil. Mon œil surveille le sien en symbiose. Je n’ai qu’à bien me tenir avec la serviette collée au cou. Je dois user des bonnes manières pour ne pas choquer mon invité de marque. Faire bonne impression et ne pas le traumatiser, comme par exemple, me curer les dents, m’abstenir de manger avec mes orteils, renifler ma morve pleine de ‘Neffè' ( tabac à chiquer) qui dégouline sur mon tricot et sur le plat ou encore éviter de vidanger mes narines et les oreilles en sa présence. 4 EN 1.
Vous vous imaginer si Sam, qui dort paisiblement du sommeil des anges dans le salon, se rend compte de toutes mes facéties… ? que va t’il penser de moi… ? que je suis un sauvage… ? ..un barbare… ?…un homme de la préhistoire… ? Hein… ?.. Monsieur Halfon … !..et vous tous mes amis… ?
Je ne sais si vous vivez ou vécu pareilles situations…mais…. si par hasard, il s’en trouve un harissien expérimenté sur ce domaine, son témoignage me sera précieux , et cela afin que je ne me sente pas trop isolé.

‘Quand Sam est là, tout est ordre et discipline.
Quand Sam, n’est pas là, tout est désordre et spleen.
Quand Sam dort au salon sur le fauteuil
Albert se rétrécit un moment, et ronfle de l’œil.’

Pour que Doris soit fière de son papa gâteux !

Par Rahelina (Rahelina) le dimanche 30 juin 2002 - 12h44:

mr Henry Bueno,
bien parle,j'habite en Israel et il est clair que depuis que Sharon a envoye tsahal dans les territoires pour faire du nettoyage il y a beaucoup moins d'attentats.La paix ne peut exister avec un homme qui joue double jeu.
Bien a vous
rahelina

Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 30 juin 2002 - 09h53:

TUNES CELEBRES

Voici le champion de tunis de tiro tournoi 67-68
Claude Cohen

pour plus d'infos

cerem@noos.fr

Par Mexico (Mexico) le dimanche 30 juin 2002 - 09h41:

JUSTICE POUR RAFAEL DEITZ
Chers amis Harissiens,
Alors que je suis restee plus de 6 ans dans l'epouvantable desespoir de faire ecouter ma voix, mais en vain, votre temoignage de soutien me donne le courage de me permettre de continuer mon histoire et ma lutte.
Ravagee par la tourmente, il m'est bien penible de decoincer ces mots qui me dechirent...

T(ERREUR) A OHIO suite No1

En Mai 1996, quand mon mari est parti a Ohio pour un soit-disant week-end, il n'avait pour bagage qu'un petit sac a mains, contenant ses effets personnels et peu de medicament pour controler sa haute tension arterielle chronique, que lui avait prescrit son cardiologue, Dr. Stewart Frank, a San Diego, CA.
Dans la prison de prevention, en attendant son jugement qui n'a jamais eu lieu, le medicament vital s'epuisait. Une brusque interruption resulterait fatale... On lui refusa toute assistance medicale.
Moi, a d'enormes distances, eprise d'une folle terreur, ne cessais d'implorer le gardien qu'un docteur prescrive l'ordonnance.
C'est avec sarcasme, tyranie et sadisme qu'il persistait a refuser.
Apres maintes insistances et demarches, je reussi a obtenir l'autorisation de fournir moi-meme le medicament a la prison.
COMMENT POURRAIS-JE ACHETER AUX USA UN MEDICAMENT DE STRICT CONTROLE, SANS PRESCRIPTION MEDICALE, DONC ILLEGALEMENT, LEQUEL POUR COMBLE SERAIT ILLEGALEMENT ADMINISTRE SANS PRESCRIPTION ET SANS AUCUNE SURVEILLANCE?
Dr. Frank m'a refuse le renouvellement de l'ordonnance en l'absence de son patient.
La pharmacie SAVON de San Diego, CA conservait un dossier des achats anterieurs.
Sans autre alternative, j'ai du expliquer au directeur de la pharmacie la situation et par miracle, pu reuissir a le convaincre de me fournir le medicament.
A PRESENT, LA PHARMACIE ET MOI, NOUS VOYIONS FORCES DE COMMETTRE UN TRES GRAVE DELIT DANS LE BUT DE SAUVER UNE VIE!
Je garde comme preuve ma correspondance avec le gardien ainsi que les factures et fax de la pharmacie SAVON.
Cette situation a dure 9 mois.
Quand mon mari fut assigne a sa prison definitve, Mansfield Correctional Institution, "MANCI",la situation s'est empiree...
On ne lui donnait pas encore acces a un docteur. Il n'arretait pas d'envoyer des plaintes a la gardienne et au Deptartement Medical. N'obtenant aucune resolution, il devait poursuivre ses procedures aupres des Chefs Inspecteurs. Il n'aboutissait a rien. Il s'epuisait et perdait son temps avec les memes gens.
COMMENT POUVAIENT-ILS ETRE A LA FOIS PARTIE DU PROBLEME ET DE LA SOLUTION?
Le 12 decembre 1998, mon mari a souffert une forte chute dans la neige, causee par la negligence de nettoyage pour frayer le passage commun des prisonniers.
Il fut grievement blesse du poignet et du dos. Pendant 7 jours, on lui refusa toute assistance medicale. Ensuite, on lui donna un traitement errone...
Afin de bien s'assurer encore de mieux le provoquer, il fut assigne au travail le plus ardu: la cuisine.
Dans la liste de travail dont je garde une copie, on le designe de race negre: "BlACK".
Je dois preciser que mon mari est blond aux yeux bleus.
Le 2 septembre 1999, c'etait la 4eme fois que Jackson, l'infirmiere lui refusait une visite, sous pretexte que son dossier etait egare.
Depuis son emprisonnement en MAI 1996, ce ne fut que jusqu'a NOVEMBRE 1999, que mon mari fut finalement examine par un cardiologue, au Correctional Medical Center, "CMC", a Columbus.
Le docteur etait furieux. Il prescrit de suite le changement de traitement qui non seulement etait errone, mais pour comble, avait ete administre illegalement, sans prescription, ni surveillance medicale, ET CECI PENDANT TROIS ANS ET DEMI!
Le personnel medical de MANCI s'est conforme d'ignorer les prescriptions du cardiologue...
Le 15 decembre 1999, mon mari s'est engage dans sa nouvelle plainte sous ces termes:
"QUEL EST LE BUT DE ME PROGRAMMER ET DE M'ENVOYER EN VOYAGES SPECIAUX ALLER-RETOUR, TORTURE PAR DES CHAINES DE LA TAILLE AUX PIEDS ET POIGNETS DERRIERE LE DOS PENDANT 8-10 HEURES, AFIN DE PREVENIR QU'UN PRISONNIER N'AILLE JAMAIS DEMANDER DE NOUVEAU UN TRAITEMENT MEDICAL, SI SON PERSONNEL N'OBEIT MEME PAS AUX PRESCRIPTIONS/ORDRES DU DOCTEUR?"
Cette chronique s'aggrave, je vous en prie, restez a l'ecoute!
Yael Deitz

Par Henri Bueno (Henri) le dimanche 30 juin 2002 - 08h01:

Ben Debba Slim
Cher monsieur , je comprends bien vos sentiments pour Eric Sharon.
Je vous cite « Aucune sympathie,.. je ne peux le piffrer,…une simple election le fera sauter !!!!
Je suis sur que vous ne vouliez pas dire exploser par un courageux kamikaze.
Mais moi je suis sur qu’une seul election le fera “sauter » au moins a 75% des voix
Le passe nous a montre que cet homme saura apporter la paix entre les deux peuples , des qu’il aura termine de nettoyer la region des terroristes qui ne cherchent qu’a nous jeter a la mer ou a nous faire sauter.
Le jour ou le peuple palestinien comprendra qu’arafat est leur plus grand ennemi, ily aura peut-etre un espoir de paix.

Par Anonyme (Anonyme) le dimanche 30 juin 2002 - 06h27:

SENS DE L'HUMOUR DE CERTAINS PALESTINIENS

La photo du bébé palestinien déguisé en kamikaze est une plaisanterie, selon le grand-père de l'enfant

HEBRON, Cisjordanie (AP) - Le grand-père du bébé palestinien photographié en tenue de kamikaze et dont le cliché a été largement diffusé vendredi par la presse israélienne a déclaré samedi lors d'une interview accordée à l'Associated Press qu'il s'agissait d'une plaisanterie.

Après avoir nié que l'enfant était son petit-fils, Redwan Abu Turki a finalement avoué son lien de parenté avec le bébé avant d'expliquer les circonstances dans lesquelles l'enfant avait été photographié.

"C'était lors d'un rassemblement à l'université. La photo a été prise seulement parce qu'elle avait un côté amusant", a déclaré le grand-père à l'Associated Press.

Sur la photo, l'enfant porte une ceinture de munitions autour de la taille, des explosifs attachés sur son corps ainsi qu'un bandeau affichant le nom du Hamas.

D'après Redwan Abu Turki, le père du bébé travesti n'est autre que Nader Abu Turki, recherché activement par l'armée israélienne. La photo a été découverte mardi dans l'album de famille de cet important membre du Hamas recherché par Tsahal lors de la fouille de sa maison à Hébron, en Cisjordanie.

Lors de cette perquisition, l'armée israélienne avait photographié le cliché et l'avait communiqué ensuite aux médias pour diffusion vendredi. Une façon "de dire au monde que les Palestiniens apprennent à leurs enfants comment haïr Israël et comment agir contre l'Etat hébreu", selon M. Abu Turki.

Si la photo a notamment déchaîné le journal israélien "Maariv" titrant "Terrorisme en couches" ainsi que le quotidien "Yediot Ahronot" évoquant "Un déguisement terrifiant", Redwan Abu Turki a rappelé samedi à l'AP qu'il était contre les attentats-suicides, au même titre que l'Autorité palestinienne de Yasser Arafat. AP

Par Mena (Mena) le dimanche 30 juin 2002 - 06h09:

Aggravation de l’état de santé de Yasser Arafat ! (info # 012906/2)

Par Ilan Tsadik © Metula News Agency


On apprend ce matin l’existence d’un rapport secret américain relatant une aggravation significative de l’état de santé du Président de l’Autorité Palestinienne M. Yasser Arafat. Notre correspondant permanent dans les territoires, Sami El-Soudi, a été en mesure de nous confirmer l’authenticité de cette information. D’autre part, le magazine italien Panorama, propriété de Silvio Berlusconi, a également fait état de ces nouvelles.

Selon nos sources, la prise de connaissance du rapport en question par George Bush a contribué à sa décision d’appeler au remplacement de Yasser Arafat.

Ce dernier traverse désormais de longues périodes d’amnésie, durant lesquelles il ne reconnaît même plus ses plus proches collaborateurs. En outre, il est fréquemment sujet à de terribles accès de rage, qui lui font mélanger des visions prophétiques sur l’avenir du peuple palestinien avec des invectives adressées à son entourage, aux leaders de la planète et aux dirigeants arabes.

Par mesure de sécurité ses assistants ont retiré les balles de son revolver personnel, afin qu’il ne puisse pas se blesser ou tirer sur ses proches.

D’autre part, les pilules de calmants qui étaient censées apaiser le système nerveux du raïs palestinien lui font désormais l’effet contraire. D’après des personnes se trouvant avec Yasser Arafat à la Mukata, lesdites pilules augmentent désormais la gravité de ses tremblements, accentuent la fréquence et l’acuité de ses périodes d’amnésie et lui font fréquemment perdre le fil de ses pensées.

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 29 juin 2002 - 18h49:

Monsieur,(ediophilo@hotmail.com )
Comment pouvez vous imaginer une telle chose. Avant que les juifs etaient exiles de leur terre ( qui est aujourd'hui Israel La Jordanie et les territoires que l'on nomme palestiniens) Le peuple Juif ne comptait qu'une nation.

Le nom Ashkenaz vient de l'Hebreu qui veut dire Allemagne.
Le Nom Sepharad vient de l'Hebreu qui veut dire Espagne
Le reste consultez les livres d'histoire


Salutations

Par Djlachem (Djlachem) le samedi 29 juin 2002 - 15h33:

De : Jean-Pierre CHEMLA
À : France 2 Médiateur ; Libre Belgique ; COURRIER INTERNATIONAL ; LCI ; grand journal LCI ; L'EXPRESS ; L'HUMANITE ; Libération ; Le Monde ; NOUVEL OBSERVATEUR ; TF1 ; Thierry Thuillier
Envoyé : samedi 29 juin 2002 15:28
Objet : Lettre ouverte aux journalistes offusqués


Lettre ouverte aux journalistes offusqués


Depuis quelques jours, on assiste à une levée de boucliers de certains journalistes, notamment autour de l’affaire Mermet. Il y est question de liberté d’expression et il y est sous-entendu l’existence d’un terrorisme intellectuel interdisant à quiconque de critiquer la politique de Sharon sous peine d’être taxé d’antisémitisme. Un véritable collectif de défense s’est formé autour de Daniel Mermet et de bonnes âmes se drapent dans les oripeaux de la liberté démocratique pour tailler un costard à ceux qui, légitimement, se posent des questions sur le contenu et l’objectif de certaines émissions, articles de presse ou reportages télévisuels.

A y regarder de plus près, on a un peu de mal à trouver des voix qui aient cherché à bâillonner qui que ce soit et cette agitation visant à fustiger une éventuelle crispation communautariste des juifs autour de l’actualité proche-orientale cache en réalité une volonté de camoufler « les nouveaux visages de l’antisémitisme » dont parle Alexandre Del Valle au milieu du brouillard que constitue l’ensemble de ce qui est écrit ou dit sur ce sujet.

Actuellement, pour qui s’est mis en tête de rechercher quels sont ces nouveaux visages de l’antisémitisme, plusieurs voies s’offrent à lui :

Le Front National et l’extrême droite occidentale en général ? En fait, on y trouve le noyau dur de l’antisémitisme traditionnel, viscéral et somme toute plus très actif qu’ont déserté les théoriciens de la judéophobie pour ne laisser place qu’à de pathétiques buveurs de bière à la pensée aussi creuse que leurs borborygmes intestinaux. Pas grand-chose à craindre de ce côté.

La mouvance islamiste ? Existait-il il y a un siècle un antisémitisme musulman à aussi grande échelle que ce que l’on pouvait observer dans le monde chrétien et ce depuis 2000 ans ? Assurément non. La haine du juif proférée dans les mosquées est avant tout celle visant les chrétiens qui ont brisé le rêve islamique de conquête du monde. Israël ne représente pour ces gens là que le premier rempart de l’Occident impie. Il n’existe pas à proprement parler d’antisémitisme fondamental chez les musulmans mais la détermination de certains d’entre eux envers le monde chrétien passe par la haine du juif et par l’objectif de destruction de l’état d’Israël . Cette haine, pour qui prend un peu de recul historique, bien que très dangereuse et à combattre sans état d’âme, n’est que circonstancielle.

Restent les chemins tortueux et les interstices dans lesquels peut s’insinuer la pensée antisémite sans tomber sous le coup de la loi. Où peuvent bien se trouver les Brasillach et Drieu La Rochelle d’aujourd’hui ? A quels partis et à quelles mouvances politiques ou syndicales peuvent-ils adhérer pour pouvoir impunément déverser leur fiel ? Quelles méthodes journalistiques ou littéraires utilisent-ils pour pouvoir faire ressentir à l’opinion la nuisance du juif, soixante après « Je suis partout » ?

Assurément, on peut critiquer la politique de Sharon, plus largement la politique d’Israël. On peut même être antisioniste et on peut ne pas voir en un état juif le nec plus ultra de l’aspiration judaïque. On n’en est pas antisémite pour autant. Mais c’est bien parmi ceux qui tiennent un tel discours que se planquent les antisémites décrits plus haut. Comment les distinguer des autres ? Eh bien en suivant à la trace leurs discours et leurs écrits. Ils sont toujours marqués par le désir de diaboliser Israël et la communauté juive :

· « La manifestation s’est déroulée aux cris : Israël vivra, Israël vaincra. De graves incidents l’ont émaillée ». On y a aussi chanté la Marseillaise sans la siffler et sur 150.000 manifestants, 149.999 ont eu un comportement irréprochable.

« L’objectif d’Israël est de détruire l’Autorité Palestinienne ». Ils ne parlent jamais des déclarations de leurs dirigeants parlant de la future Palestine allant du Jourdain à la mer.

« Les incursions de Tsahal ont fait N victimes parmi les civils palestiniens ». Pour eux il n’y a pas de civils israéliens. Il n’y a que des occupants.

« Les check-points constituent une humiliation au quotidien pour la population palestinienne ». En revanche, il n’y a rien d’admirable au fait que dans le climat actuel ces passages existent encore pour permettre à certains palestiniens de venir travailler en Israël, là où n’importe quel état aurait fermé hermétiquement ses frontières.

« Arafat héros, résistant, vieux lion valeureux ». Rien sur les comptes suisses, le détournement des fonds de l’aide internationale, le train de vie fastueux de Suha Arafat dans la jet-set parisienne.

Allez, on va s’arrêter là pour que chacun puisse continuer son jeu de piste tout seul. Vous verrez, c’est très amusant. Quant aux journalistes honnêtes qui craignent que l’amalgame soit fait entre ceux que j’ai décrit et ceux qui ont une position équilibrée, ils doivent comprendre qu’il n’y a aucune volonté de chasse aux sorcières dans mes propos mais que de leur côté, ils ne doivent pas non plus avoir ce réflexe corporatiste lorsqu’un de leurs confrères est pris en flagrant délit de malhonnêteté intellectuelle.


Jean-Pierre CHEMLA

Par Wnes (Wnes) le samedi 29 juin 2002 - 11h37:

A Mailroom :

Lis donc sur Adra La Chronique des Lotophages, et tu auras la réponse à ta question.

Ciao

Berdah

Par Mailroom (Mailroom) le samedi 29 juin 2002 - 04h23:

Djerbiens


bonjour,

"on m'a dit" que les juifs de djerba ; étaient d'origine askenaze.

pouvez-vous me le confirmer ?

merci

bien à vous

ediophilo@hotmail.com

Par Mena (Mena) le samedi 29 juin 2002 - 03h29:

Ne soyons pas racistes, ne soyons pas fascistes, ne soyons pas sionistes ! (info # 012706/2)

Par Salomon Pardess © Metula News Agency



Reconnaissons au Point d'information Palestine/PIP le mérite de savoir organiser l’information pour rassembler autour de lui les arguments pro palestiniens. Ainsi, dans son numéro 201 du 17/06/2002, il consacre une part importante de son propos à ce qu’il appelle le « Cas Daniel Mermet ».

Dans cet article, je me propose d’analyser ce « cas » et la position du PIP. Mais, auparavant, qu’il me soit permis de noter qu’avec la Revue d’Etudes Palestiniennes, et bien d’autres médias, les Palestiniens ou pro palestiniens de France savent se mobiliser, dans l’optique d’enfoncer un coin de l’opinion publique française.

Car ils trouvent des relais, et quels relais ! En 1983, le philosophe feu Gilles Deleuze faisait l’éloge de Yasser Arafat. En 2002, le sociologue Edgar Morin fait celui du désespoir des Palestiniens qui mènerait directement à leur décision de commettre des attentats-suicides.

Et « en face », que voit-on ? Des Israéliens ou des pro israéliens qui, pour la plupart, campent sur des positions militantes et ne savent pas répondre à la hauteur des événements.

C’est une remarque, une simple remarque de La Ména, une agence qui est certes basée en Israël, mais qui n’a pas pour mission de développer une information pro israélienne.

Rappelons, en effet, que La Ména est indépendante de tous intérêts partisans. Raison de plus, dirai-je, pour qu’elle fasse connaître son constat : il manque, dans le paysage français, une authentique revue d’études israéliennes pour équilibrer les choses. Dans la période médiatique actuelle, l’absence de publications israéliennes de fond sur le conflit fait cruellement défaut.

Le reconnaître, ce n’est pas faire le jeu des pro palestiniens, car cela ne veut en aucune manière dire que ce sont ces arguments qui détiennent la vérité. Mais, c’est savoir que la mise en abîme des arguments et le jeu de renvoi d’une cause à une autre, à l’intérieur même de l’ensemble de la cause palestinienne, pose problème à ceux qui veulent leur répondre.

Ce n’est pas non plus affirmer qu’en matière d’information, tout est foutu, comme on l’entend parfois dire de la part de nombre de pro israéliens qui s’adonnent désormais au lobbying.

Je consacrerai une autre dépêche à ce déficit de position et à la question de savoir s’il faut y voir un symptôme, et lequel.

Mais, j’en viens, à présent, au « cas Mermet ».

Le 31 mai 2002, l'association Avocats sans frontières, l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) et la Ligue contre le racisme et l'antisémitisme (LICRA) assignent Daniel Mermet et Jean-Marie Cavada, président de Radio France, au Tribunal Correctionnel de Paris, pour incitation à la haine raciale, du fait que, selon eux, au cours de l’émission Là-bas, si j’y suis, diffusée en juin 2001, Daniel Mermet n’a pas censuré les propos de certains de ses auditeurs qui se sont révélés antijuifs. Le jugement sera rendu le 12 juillet.

L’acte d’accusation. Selon Maître William Goldnadel, « dans le cadre d’une grand’messe anti-juive, monsieur Mermet Daniel a recueilli, en les triant soigneusement sur une boîte vocale, les messages les plus haineux d’un auditoire qu’il avait chauffé à blanc. C’est ainsi qu’on a pu entendre sur ce qui est censé être la voix de la France : « ne soyons pas racistes, ne soyons pas fascistes, ne soyons pas sionistes ». Ou encore : « qu’est-ce que c’est que ces hypocrites qui manient avec tant de virtuosité le bouclier de l’antisémitisme, quand on veut juste leur rappeler qu’ils reproduisent à doses homéopathiques l’horrible injustice dont ils ont souffert ». Ou « je suis farouchement antisioniste, je ne suis en rien antisémite ! ». Et puis encore : « oui les Juifs ont très bien exploité le capital de pitié qu’ils cultivent depuis 50 ans ; maintenant, ça suffit ! ». Et il ne s’agit ici que de quelques extraits d’un florilège nauséabond tout autant qu’inepte ».

L’acte de la défense. Selon Reporters sans frontière, qui épouse la cause de Daniel Mermet, « est-il possible de critiquer l'actuel gouvernement israélien sans être poursuivi pour antisémitisme ? Calomnies et insultes émanant de groupes extrémistes se multiplient depuis des mois notamment à l'encontre des journalistes et des rédactions. Culpabilisation, agressions physiques, dénonciations diffamatoires, sont quotidiennes. Reporters sans frontières s'indigne de la mise en cause du journaliste pour la simple diffusion de messages émanant d'auditeurs, et s'inquiète plus généralement de la multiplication des mises en cause abusives du droit à la libre expression ces derniers mois en France ».

On aimerait penser que Daniel Mermet occupe la même posture, aux côtés des Palestiniens, qu’ Oriana Fallaci, aux côtés des Israéliens. On aimerait penser qu’il n’y a là qu’une exacerbation des positions, l’une et l’autre n’ayant actuellement en vue que de pousser un « ouf » de soulagement, lorsqu’elles constatent que, même dans l’exagération, elles ont pu s’exprimer.

Mais, force est de constater qu’il n’en est rien. Daniel Mermet, qui a des sympathies affichées pour le trotskisme (c’est son droit) et l’idéologie pro palestinienne (c’est aussi son droit), se sert d’un média –la radio nationale- pour faire passer son message, là où Oriana Fallaci est indépendante de tout organe d’Etat et a le courage de défendre seule son message pro israélien.

Mermet et Fallaci sélectionnent les faits qu’ils restituent, mais Mermet parle à partir de l’expérience des autres, dont il sélectionne avec attention l’identité, tandis que Fallaci parle à partir de sa propre expérience et des faits, peut-être partiels, mais réels, qu’elle constate.

Mermet utilise la lutte contre l’antisémitisme et la judéophobie pour donner la parole à ceux qui prennent le risque de susciter l’antisémitisme et la judéophobie, s’il leur apparaît que c’est un moyen regrettable, mais « obligé », dans le contexte actuel (argument inacceptable, bien sûr), pour ouvrir les yeux de l’opinion publique sur le bien fondé de la cause palestinienne. La Fallaci l’utilise pour elle-même, même si, parfois, elle pousse le bouchon jusqu'à se fabriquer des ennemis (en fait, elle calcule qu’elle se créera plus d’amis que d’ennemis).

Mermet est aveuglé par les retournements psychologiques actuels, au point qu’il n’a pas hésité à parler des terroristes comme des gens qui « veulent mourir au milieu de leurs ennemis », au lieu d’y voir des gens qui veulent tuer un maximum d’ennemis en utilisant leur suicide pour ce faire. Fallaci, elle, sait que les ponts sont rompus et que rien ne sera plus comme avant dans le rapport à la vie et à la mort, si les attentats-suicides se multiplient et gagnent les métropoles occidentales.

Mermet préfère penser que s’il est antisémite, alors il faut admettre que l’antisémitisme est partout, plutôt que penser qu’il n’a pas pris la mesure des forces irrationnelles antijuives qu’il a contribué à libérer, en autorisant la diffusion de propos à caractère franchement anti-juif (mais peut-être n’est-il pas d’accord là-dessus). La Fallaci, quant à elle, sait que l’antisémitisme et ses formes modernes sont là, massivement, où les médias les amplifient, sous prétexte de ne pas cacher la réalité.

Mermet joue l’innocence et la liquidation du sentiment de réparation, au nom d’une pseudo-vérité révélée par certains des « nouveaux historiens » et en appui sur des témoignages sélectifs, là où Fallaci joue la honte et l’appel au courage moral, au nom d’un décryptage partiel mais adéquat de la double conscience malheureuse occidentale.

Mermet et Fallaci refusent de se taire. Mais le premier se veut le cavalier blanc d’une parole libérée, la seconde, le Don Quichotte d’une parole enchaînée.

Et si l’on se demande comment un avocat français, outre d’autres attaques ad hominem inacceptables, peut aujourd’hui affirmer sans sourciller que « Radio-France est une radio d’Etat depuis longtemps dédiée à l’anti-israélisme », on se demande aussi comment un journaliste d’une chaîne nationale et son Président Directeur Général peuvent utiliser l’argent public pour organiser, pendant une semaine (du 18 au 22 juin 2001), une série d’émissions qui n’éclairent la réalité que du seul point de vue palestinien (sur 29 auditeurs diffusés à l'antenne, 18 sont pro palestiniens et 11 pro israéliens), faisant, de la sorte, du conflit israélo-palestinien, une affaire intérieure à la France.

L’astuce du PIP est de présenter les déclarations des uns et des autres sans argumenter sur le fond. Il s’agit de faire valoir la forme au détriment de tout débat sur le contenu, du moment que la forme va dans le sens du contenu qu’il défend. Pour le dire autrement, tout se passe comme s’il fallait accepter l’antijudaïsme au nom de la liberté d’expression, jusqu’à ce que le rapport de forces se retourne, auquel cas, il deviendra nécessaire de refuser la liberté d’expression, comme c’est le cas dans tous les pays à caractère despotique.

Le « Cas Daniel Mermet » interpelle directement l’éthique et la déontologie du service public. Gageons que nous aurons l’occasion de revenir sur ce sujet.

Par Ben Debba, Slim (Slim) le vendredi 28 juin 2002 - 22h21:

Aslema Nao and Chabbat Shalom:

It was a program produced by PBS called shattered Dreams. DC's local PBS channel (WETA) showed it last night at 10:00 PM I think. It talked about what has been taking place on the ground since the Oslo Accords. It was a 2-hour program, and they interviewed every single leader on the Israeli, American, and Palestinian sides that I can think of. It was quite thorough, and even emotional at times. They showed scenes of violence, glimmers of hope, and everything in between. Maybe they'll have it on the Philly channel pretty soon. You can call your local PBS chanel and order a copy of the program I think. I believe the producers were Israelis.

Par Djlachem (Djlachem) le vendredi 28 juin 2002 - 21h40:

Tres cher Albert,

Quelle fête extraordinaire vous nous contez là.
Alors, comme ça, nous étions tous présents, tels des fantômes bienveillants dans un monde parallèle !

Avec un poète comme vous, Harissa s'enrichit tous les jours de récits inoubliables qu'on enseignera plus tard à l'école. Il y a dans ce que vous écrivez quelque chose qui me fait penser à la truculence des "Valeureux" d'Albert Cohen.

Je vous souhaite ainsi qu'à toute votre famille et vos descendants tout le bonheur que vous méritez.

J'avoue ne pas savoir que faire devant l'histoire effrayante de Mexico que je découvre ce soir... sans doute tenter de mobiliser certains médias. Certains harissiens l'ont peut-être déjà fait?...

Par Mexico (Mexico) le vendredi 28 juin 2002 - 20h45:

Cher Richard_S,
Bien que tres en retard dans la preparation de mon chabat, je m'empresse de vous repondre et eclairer j'espere vos doutes.
Cela m'a pris bien du temps pour comprendre moi-meme beaucoup de choses. D'autres restent encore des enigmes.
Le fait que cette affaire fut faussement reliee au trafic de stufefiants, est sans aucun doute la raison pour laquelle on a pas ose s'en meler.
Avant cette tragedie, je dois vous avouer que mon mari et moi-meme n'auraient certainement pas daigne non plus le faire.
Nous n'avions aucune idee de ce qui se passe reellement dans ce pays que nous admirions, et qui pretend pour comble d'ironie, revendiquer la condamnation au terrorisme et a tous ceux qui le protegent.
Il est tout de fois surprenant que vous ne consideriez pas encore le fait indubitable qu'il s'agit la d'une extreme injustice flagrante et manifeste que le gouvernement s'acharne a etouffer.
Le piege tendu a mon mari est banal aux Etats Unis. Des milliers d'innocents se frappent la tete contre le mur. Ce mur qui est en fait un rideau de fer.
Le gouvernement confisque beaucoup de drogues. Pour pouvoir le negocier librement, il doit trouver des "coupables parfaits".
Les vrais trafficants sont tellement riches et puissants qu'ils ne posent meme pas le pied dans une prison.
Ne trouvez vous pas etonnant qu'un petit bled perdu de l'Etat d'Ohio reussisse a capturer a un "TOP BROKER" et que cette histoire reste l'exclusivite de cet endroit insignifiant jusqu'au jour ou on obtient finalement de faux-aveux de culpabilite et qu'ensuite, par pur hazard, on n'en reparle plus???
Il y a 2000 000 (millions)de prisonniers aux Etats Unis. L'industrie des prisons est gigantesque.
Si cette nation devait refaire sa monnaie, au lieu d'ecrire dans ses billets:
"IN GOD WE TRUST"
devrait ecrire:
"IN GOLD WE TRUST"
Chabat Chalom
Yael Deitz

Par Nao (Nao) le vendredi 28 juin 2002 - 19h23:

Merci Slim pr ton insight. Non je n'ai pas vu ce reportage sur PBS. Quelle en etait la teneur?

Par Mexico (Mexico) le vendredi 28 juin 2002 - 19h16:

Cher Albert,
C'est veille de Chabat et je me depechais. Mais quand j'ai commence a lire ta narration sur le mariage de ta fille, j'ai tout oublie.
Tu m'as trop fait rire! Mais, quand je suis arrivee au moment ou tu parles a ton pere, mes larmes ont jailli...
Ton recit est si emouvant, si reel!
Tu as reussi a faire revivre ton pere Z''L
Dommage que le monde ne soit pas rempli de gens comme toi!
CHABAT CHALOM
Yael Deitz

Par Ben Debba, Slim (Slim) le vendredi 28 juin 2002 - 19h15:

Salut a Tous:

Je ne partage pas souvent les sentiments de Nao, mais la je dois avouer que je partage son indignation par rapport a l'article paru dans le journal Londonien et ses propos a propos du Sheik Yassine. Elle a surement du voir le programme hier sur PBS (Shattered Dreams) que j'ai trouve tres emouvant.

Je n'ai que du mepris pour Sheik Yassine et companie, et moi qui comprend et parle l'arabe, je me rends compte combien les discours du Hamas sont pleins de haine et de totilarisme. Le Hamas est bel est bien une organization terroriste, et que les musulmans ne se trompent pas, apres les Juifs, c'est aux musulmans moderes ou laiques que les organizations comme Hamas s'en prendront. Je ne dit pas qu'il faut liquider une population entiere, mais il faut se debarasser ce ces lideurs fanatiques religieux qui ne font que semer la haine, laver les cerveaux, et detruires des vies humaines. Ne vous tromper pas non plus, je n'ai aucune sympathie pour Sharon, d'ailleur je ne peux pas le piffrer, mais au moins je sais qu'une simple election en Israel le fera sauter. Toutefois, les leadeurs comme Yassine sont bien plus dangereux, car ils utilisent la religion deformee comme outil de combat. Les gens ont peur d'attaquer la religion et par consequent les leadeurs religieux car elle represente ce qu'il y a de plus sacree dans la vie. N'allez surtout pas croire les sautises de cette mere qui parle d'envoyer son fils a la mort comme si c'etait une fete. Malheureusement, l'ignorance a une voie haute, mais ce ne sont pas ceux qui crient le plus fort qui sont les justes et les equitables dans la vie. Je deplore ce qu'elle dit, mais j'ai de la pitie pour elle, et pour son ame perdue. Elle est aveugle ou bien folle. Une mere Tunisienne n'enverrai jamais son enfant volentairement a une telle fin. Nos meres sont tellement proches de nous que lorsque leurs fils vont faire le service militaire, elles pleurent comme si c'etait des funerailles alors qu'elles les verront la semaine d'apres!!!!

Je ne pense pas que le peuple Palestinien est un peuple mauvais (contrairement a Nao), mais je pense que sont leadership est pourri et que ce peuple a besoin de lueurs d'espoir aussi bien de lexterieur que de l'interieur. Les Israeliens et les Palestiniens ont le droit de vivre une vie paisible, et puis il y en a marre de ces guerres. Quelle perte de vies humaines et de temps. Que D-ieu nous apporte la paix, et que l'homme/femme fasse tout ce qui est dans son pouvoir pour la realiser. Un jour, je pourrai me promener en israel, en palestine, en Tunisie comme si c'etait chez moi, et les Israeliens et Palestinens feront de meme chez nous. J'en suis certain, il ne faut jamais perdre espoir. L'amitie que j'ai tisse avec mes amis Juifs (Tunisiens ou autres) le prouve et rien au monde ne pourra la detruire.

Par Ben Debba, Slim (Slim) le vendredi 28 juin 2002 - 18h56:

Ya Si Breitou:

Khamsa ou Khmis aala bintik ou inchallah dima mabrouka aaliha ou aalikom el kol. Rabbi Ihannikom, Ifarrahkom wi tawwal ayamkom ou ikhallikom il baadhkom.

Par Nao (Nao) le vendredi 28 juin 2002 - 18h55:

Un autre vieux a liquider: le redoutable cheikh Yassine. Arafat a cote c'est de la tarte!

Par Richard_S (Richard_S) le vendredi 28 juin 2002 - 18h49:

Chere Mexico

Toutes nos pensees sont avec vous durant ce cauchemar que vous subissez et si vous gardez la foi, des miracles peuvent se produire.
Mais en lisant votre dossier, j'en suis venu a partager l'opinion de Elie Wiesel que ce qu'il vous faut c'est un bon avocat qui comprenne cette jungle juridique.
Les petitions et manifestations peuvent marcher s'il s'agit d'un cas teinte de racisme (comme l'affaire Dreyfus ou les prisonniers Juifs en Iran par exemple) ou alors d'une injustice flagrante.
Peut etre que vous devriez nous parler plutot des raisons derriere l'acharnement et les pieges tendus par l'administration de l'Ohio.

Bonne chance.
Richard

Par Nao (Nao) le vendredi 28 juin 2002 - 17h58:

Comment le monde et certaines personnalites (ex Cherie Blair, Ted Turner) peuvent-il encore pretendre que c'est le desespoir qui motive les palestiniens a etre suicide-bombers???
Des peuples qui souffrent il y en a sur toute la planete et a ce jour on ne les a pas vu faire ce que font les palestiniens.
Non, les palestiniens vivent dans cet ideal de mort et de martyr! Eet c'est la le plus grand challenge que rencontre Israel. Car comment desintoxiquer des gens totalement foutus ds leur tete????
Lisez plutot cet interview d'une mere palestinienne, fiere comme un coq que son fils ait accompli sa mitsvah (le commandement de l'Islam selon ses termes) d'etre tombe en martyr pr avoir tue 10 civils israeliens.
L'interview est parue dans un journal arabe "Al-Sharq Al-Awsat" publie a Londres.

An Interview With the Mother of a Suicide Bomber

The London-based Arabic-language daily Al-Sharq Al-Awsat published an interview with Umm Nidal, the mother of the terrorist suicide bomber Muhammad Farhat on June 5. The following are excerpts from the interview:

How did the idea of carrying out a fidaai ("martyrdom") operation develop in your son Muhammad''s soul?

"Jihad is a commandment imposed upon us. We must instill this idea in our sons'' souls, all the time … . What we see every day — massacres, destruction, bombing [of] homes — strengthened, in the souls of my sons, especially Muhammad, the love of jihad and martyrdom."

Did you have a role in the planting of this spirit in Muhammad?

"Jihad is one of the elements of the faith, and this is what encouraged me to sacrifice Muhammad in jihad for the sake of Allah. My son … he is not dead; he is living a happier life than I. Had my thoughts been limited to this world, I would not sacrifice Muhammad … Because I love my son, I encouraged him to die a martyr''s death for the sake of Allah … . Jihad is a religious obligation incumbent upon us, and we must carry it out. I sacrificed Muhammad as part of my obligation."

How did Muhammad say goodbye before he carried out the operation?

"Muhammad was willing to carry out any martyrdom operation … . He swore to me that the only reason he loved life was jihad.
"He tried several times. He would go out to the Al-Muntar road, taking his gun and bombs, but an opportunity did not present itself. He would return with his blood boiling because he hadn''t managed to carry out an operation. He would brandish his weapon and tell me: ''Mom, this is my bride.'' He loved his gun so much.

"He would tell me, ''I am going out now [to an attack]. I cannot control myself.'' I would answer him, ''You will yet have a great opportunity. Be patient, plan well, so that you don''t sacrifice yourself in vain. Act with your mind, not your emotions … ''

"On the day of the operation, he came to me and told me: ''Now, mother, I am setting out for my operation.'' He prepared for the operation two days in advance, when the video was filmed. He asked me to be photographed with him, and during the filming he brandished his gun. I personally asked to make the film so as to remember.
"He set out for his operation with cold nerves, completely calm and confident, as if convinced that the operation would succeed.
"But I worried and feared greatly that the operation would not succeed, and that he would be arrested. I prayed for him when he left the house, and asked Allah to make his operation a success and give him martyrdom. When he entered the settlement, his brothers in the military wing [of Hamas] informed me that he had managed to infiltrate it. Then I began to pray to Allah for him.
"I prayed from the depths of my heart that Allah would cause the success of his operation. I asked Allah to give me 10 [Israelis] for Muhammad, and Allah granted my request and Muhammad made his dream come true, killing 10 Israeli settlers and soldiers. Our God honored him even more, in that there were many Israelis wounded.
"When the operation was over, the media broadcast the news. Then Muhammad''s brother came to me and informed me of his martyrdom. I began to cry, ''Allah is the greatest,'' and prayed and thanked Allah for the success of the operation. I began to utter cries of joy, and we declared that we were happy … . My heart was peaceful about Muhammad. I encouraged all my sons to die a martyr''s death, and I wish this even for myself."

Et comme on s'en doute, elle a du faire des youyous! pas nets ces gens!

Par Admin (Admin) le samedi 29 juin 2002 - 03h22: