Par Hajkloufette (Hajkloufette) le vendredi 25 février 2005 - 11h26: |
SCOOP BOUKHA BAR
RENOUVEAU DANS LES RELATIONS ENTRE ISRAEL ET LA TUNISIE ...
http://harissa.com/boukhabar/read.php?f=13&i=214&t=214
Par Shira (Shira) le vendredi 25 février 2005 - 10h05: |
Mabrouk, Mabrouk! L'ère des bonnes nouvelles. Après l'annonce de la naissance d'un fils au Président Ben-Ali et à sa femme Leila, voici qu'une invitation officielle du Président Ben-Ali a été envoyée au Premier Ministre Arik Sharon pour le mois de mai prochain (selon le journal Yediot Aharonot)Ouririri!
Par Mena (Mena) le vendredi 25 février 2005 - 08h38: |
Le Monde, d’une histoire d’amour à une histoire de haine : en un seul mot (info # 012402/5) [réinformation]
Par Ilan Tsadik © Metula News Agency
Sous la plume de Stéphanie Le Bars, les antépénultièmes lecteurs du Monde apprenaient hier l’émouvante histoire d’amitié liant la petite électrice sépharade du Likoud, "originaire de l’une des villes les plus pauvres d’Israël" (snif, on verse une larme dès le début de l’article) à l’"homme le plus populaire de Jénine" [lire l’article]. C’est l’histoire de Tali Fahima, la pauvre, pauvre secrétaire, poussée par un désir irrépressible de "connaître le quotidien des Palestiniens" et de l’activiste au grand cœur des Brigades des Martyrs d’Al-Aqsa, Zacharia Zubeïdi. Tali voulait lui servir de bouclier humain, (tu vois Germaine, quand on s’aime…) et Zacharia, pour la remercier, lui a acheté un ours en peluche afin de lui tenir compagnie dans sa prison humide.
Je vous demande un instant de patience, mes chers lecteurs, Ilan se sèche le coin des yeux, que cette péripétie si humaine, d’un couple qui se crée des deux côtés du mur de la honte, si souvent dénoncé par Stéphanie, et qui subit l’incompréhension et l’insensibilité de la terrible justice israélienne a ému.
Tout est déjà dans le titre du papier du Monde : "Son amitié pour un activiste palestinien conduit une Israélienne en prison" ! On devrait quand même mieux lire ce grand journal et les gens ont tort de lui tourner le dos. Pas nous, mes chéries ; nous, nous pratiquons régulièrement cette corvée de plus en plus pénible, mais pas Stéphanie Le Bars… Elle y aurait découvert, en date du 18 janvier dernier, une dépêche qui expliquait que les Brigades des Martyrs d’Al-Aqsa avaient été "placées sur la liste des organisations terroristes de l'Union européenne en 2002".
Que cette consoeur ne lise pas le journal qui l’emploie, au point de confondre, à répétition dans son article, entre le chef régional d’une organisation terroriste – un chef terroriste, donc – et un activiste – un militant politique, donc, donc – c’est déjà très peu professionnel. Mais que Stéphanie omette de s’inspirer de ce papier du 18 janvier, alors qu’il a été écrit par son mari, Gilles Paris, co-correspondant du Le Monde en Israël, et son partenaire, depuis plusieurs années, dans l’exercice de diabolisation systématique d’Israël et de sa population, issu du même domus et pour cause, auquel le couple se livre, et il s’agit alors d’un oubli surprenant, d’une trahison quasi adultérine [lire maintenant la dépêche du mari].
Le Monde, avec ses deux époux asynchrones, qui continue de faire son lit sur l’erreur de traduction instrumentalisée par Marius Schattner (nom de guerre Méshulam), de l’AFP de Jérusalem, le théoricien et néologiste de la haine d’Israël. Dans leur sillage, ce sont les medias, pas vraiment critiques, de la France entière, qui ânonnent cette faute de français : activist – pour personne participant à un conflit armé, en anglais -, qu’ils traduisent par activiste, un militant politique adepte de méthodes pas toujours très prudentes, dans la langue que nous continuons à partager. Reste que, depuis le temps, et au fil des articles de la Ména, qui a mis le doigt sur ce faux ami à satiété, il n’est plus possible d’imaginer que l’entretien de la confusion se fasse à titre fortuit. De plus, Le Monde se positionne idéologiquement en désaccord avec l’UE, mais aussi avec l’ONU et les USA, tous ayant identifié l’organisation que dirige Zubeïdi à Jénine comme un dangereux groupe terroriste.
Il aurait ainsi simplement fallu que le quotidien de référence de la haine anti-israélienne suive le résultat de l’analyse approfondie de l’Union Européenne plutôt que la propagande Marius-AFP, de laquelle se dégagent d’ailleurs de violentes effluves aux nuances antisémites soutenues, pour que l’article de Madame Stéphanie Paris devienne aussitôt tout à fait compréhensible et plus du tout vecteur d’antipathie gratuite ! Imaginez un titre reflétant les considérations retenues par les instances internationales :
"Son amitié pour le chef régional d’une organisation terroriste conduit une Israélienne en prison". Nou ! Lorsqu’elles sont énoncées dans une sémantique conforme, les choses deviennent brusquement évidentes ; ce, d’autant plus que Gilles Paris, après avoir servi plusieurs circonstances atténuantes aux "Brigades" (notez le raccourci, mes chéries : Brigades, pour Brigades des Martyrs d’Al-Aqsa, c’est super, c’est fort, c’est "in" pour définir une bande d’assassins !) dans son intervention de janvier, finit tout de même par y admettre que l’organisation de l’homme à l’ours en peluche "(…) avait recouru également aux attentats-suicides (…)". Et la vilaine Ména, d’ajouter que nombre d’actions considérées par le droit international comme des crimes de guerre et crimes contre l’humanité ont été spécifiquement commanditées par "l’homme le plus populaire de Jénine".
Sinon tout va bien, merci ! N’importe quel Français pourrait comprendre, si le Monde se remettait à informer plutôt qu’à inciter à la haine ethnique, que la justice israélienne s’inquiète des relations entre une Israélienne et l’auteur d’assassinats collectifs d’Israéliens, ayant coûté la vie à plusieurs dizaines de personnes dans la région de Netanya, sans aucune pitié pour les civils, les enfants et les personnes âgées.
Au reste, notre justice définira, dans la sérénité qu’il convient, si les activités de Tali Fahima auprès de son ami criminel de guerre étaient licites, ou si elles étaient de nature à l’aider à fomenter d’autres assassinats, soit, encore, à échapper à son arrestation par nos forces de sécurités ; celles-là mêmes qui protègent l’existence des habitants d’Israël et qui feront respecter leur loi lors du démantèlement des implantations de Gaza.
Quant au Monde, ceux de ses lecteurs qui lisent aussi la Ména comprendront un peu mieux ce que ses responsables entendent, lorsqu’ils pétitionnent pour le droit de critiquer la politique israélienne. Il ne s’agit pas de terrorisme de la part du quotidien ni de la part du couple Gilles-Stéphanie et de ses comptines rouge sang, mais c’est certes de l’activisme forcené en faveur des ennemis de l’humanité. De la paix. Et des Juifs.
Par Slim (Slim) le vendredi 25 février 2005 - 03h17: |
Quel Kif ya Bekhor, ces photos et peintures sont magnifiques. J'ai enormement aimer celle ou l'on reproduit une scene de cueillette d'olives. Ya Hasra, je me rappelle bien de cet evenement et de l'odeur de la palme d'olive dans les maasra. Mon grandpere en avait une qu'il gerait avec son ami et associe Lallou Guez.
Leeltik Zina, tu nous regales.
Par Braham (Braham) le jeudi 24 février 2005 - 20h40: |
Par Emma (Emma) le jeudi 24 février 2005 - 18h28: |
Une enquête est en cours sur un rap antisémite, intitulé "Nique les juifs", qui circule sur internet sans que ses auteurs soient identifiés
Depuis quelques semaines, une drôle de chanson de rap dédicacée "à ces fils de putes de juifs" d'environ 3 minutes circule sur internet. Intitulée "nique les juifs", elle passe d'e-mails en e-mails, de weblogs en weblogs. Les internautes, effrayés par son contenu violemment antisémite, la propagent pour la dénoncer mais, de fait, assurent une large audience à de tels "couplets" :
"Sharon, qu'elle crève, cette charogne/ Si tu vois un juif dans la rue, tu le cognes / (incompréhensible) sans pitié nique les / Il faut les persécuter et les mettre à nos pieds / Hitler, ce taré déterminé, a compris qu'il fallait tous les gazer / Comme des putains de cafards les écraser / Jusqu'au dernier les exterminer/ On va pas dire qu'on est raciste, faut nous comprendre : un peu fasciste / Pour moi, un juif, c'est comme un kyste / Il faut l'enlever ou le brûler"
ou
"Ces putains de chiens, ils servent à rien / Faudrait tous les tenir en laisse / Pas de caresse, du cassage de fesse / Pas d'échappatoir, pas de parloir / Les proies, c'est vous / Les aigles, c'est nous / Aucun compromis n'est possible / Pour nous, c'est vous les cibles"
ou encore
"A tous les juifs, niquez vos mères / Brûler une synagogue, j'aimerais bien le faire / Vous touchez à nos frères / Ouais, ouais, bandes de putes / Vous finirez comme vos ancêtres / A tous les juifs, niquez vos pères / Brûler une synagogue, je compte bien le faire / S'il le faut, barbare comme Hitler / Et cette nuit là sera la dernière / Ici, W (NDLR : l'un des chanteurs), crâne avec moi, juif et je te fend le crâne comme un porc dans un abattoir".
Vers la fin de la "chanson", le bruit d'un coup de feu se fait entendre ainsi qu'une menace : "Pour les juifs, (un mot en arabe), dans vos faces de bâtards".
Début janvier, le Crif Rhône-Alpes, alerté par des internautes qui trouvent le morceau sur Kazaa, un réseau d'échange de contenu et de musique en particulier (peer to peer), a prévenu la préfecture du Rhône. Immédiatement, celle-ci a saisi le procureur de la République de Lyon. Une enquête a été transmise au procureur général le 13 janvier. Elle est en cours
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 24 février 2005 - 16h47: |
Maurice,
Pourriez-vous etre assez gentil de reposter la
Conclusion de cette splendide analyse d'Alexandre Adler.
Visiblement des mots/troncons de phrases manquent.
D'avance merci.
Par Maurice (Maurice) le jeudi 24 février 2005 - 13h13: |
PROCHE-ORIENT La pérennité du régime de Damas entre les mains des «djihadistes» ?
Syrie : la menace islamiste
Alexandre Adler
[23 février 2005]
La Syrie et l'Irak sont deux Etats arabes, deux constructions très jeunes issues de l'Empire ottoman finissant, deux dictatures dirigées originellement par le même parti, le Baas, version nationaliste arabe et fascisante de ce même despotisme éclairé qui a donné le kémalisme à tendance démocratique en Turquie et le règne des Pahlevi en Iran ; tous deux ont été en outre dirigés dans les trente dernières années par deux hommes forts issus chacun d'une minorité religieuse qui a réussi ainsi à manipuler le nouveau nationalisme arabe laïque, d'abord pour se fondre dans une pseudo-majorité linguistique, ensuite pour mieux faire ressortir, tout en le déniant, le particularisme de groupe qui ne l'avait jamais quittée. Ici pourtant s'arrête le parallèle : si la scission des deux ailes syrienne et irakienne est intervenue au début des années 60 sur des questions réellement doctrinales – les Irakiens, très anticommunistes, refusant l'alliance de Moscou et de Nasser ; les Syriens, beaucoup plus sûrs d'eux, acceptant en apparence des alliances plus à gauche pour mieux tenir à distance l'Egypte de Nasser –, la situation ne tarde pas à évoluer différemment. En quelques années, la plupart des militants chiites sont éliminés, mais l'armée, très liée au président Kassem et plutôt nassérienne, est aussi totalement mise au pas par le parti qui demeure une structure civile.
En somme, avec la consolidation du pouvoir de Saddam Hussein à la fin des années 70, la dictature baasiste irakienne sera totalement devenue l'instrument d'une domination, celle de la minorité sunnite, cohérente et sûre de sa légitimité qu'elle tire du passé ottoman (les monarques hachémites, tout sunnites qu'ils aient été, avaient su se montrer beaucoup plus tolérants).
En Syrie, au contraire, c'est l'armée qui confisque le pouvoir en 1970 et l'exerce encore à ce jour derrière les faux-semblants du pouvoir semi-civil de Bachar Assad. Certes, la secte semi-chrétienne des Alaouites y joue un rôle déterminant mais, comme la communauté dont elle est issue est trop petite pour espérer jouer le rôle des sunnites en Irak, elle a, de tout temps, composé davantage en utilisant le creuset d'une armée dont les chefs sont demeurés toujours sunnites, quand bien même la réalité totale du pouvoir leur échappait. De surcroît, la mosaïque syrienne, plus complexe que la tripartition irakienne, s'est mieux prêtée à un système d'alliances qui, pour ne pas être démocratique, est au moins pluraliste : les Kurdes, surtout ceux de Damas, ont toujours soutenu le régime, de même que les chrétiens, certaines régions sunnites et la communauté druze, bien que l'armée les eût épurés au lendemain de la défaite de 1973 pour cause d'israélophilie, au demeurant bien réelle.
Le paradoxe est ainsi le suivant : parti d'un noyau dur plus petit, le pouvoir alaouite dans le Baas s'est exercé moins arbitrairement et de manière moins terroriste que le pouvoir sunnite en Irak. Moins terroriste et donc plus culpabilisée. Certes, le passage au fil de l'épée de la moitié de la population de la ville sunnite et intégriste de Hama en 1982, après le massacre d'une centaine d'élèves officiers alaouites de l'école d'artillerie, a pu donner le sentiment d'un terrorisme sans limites. Mais ce durcissement d'un jour s'est depuis accompagné de mesures diverses d'accommodement avec la majorité sunnite, allant dans les dernières années de Assad père à des tentatives de réconciliation et de légalisation de la confrérie des Frères musulmans.
Comme par hasard, ces négociations ont repris de plus belle aujourd'hui sous l'égide du vieil Ali Douba, ancien chef des services secrets de Hafez et partisan, avec beaucoup de jeunes généraux, d'une politique de soutien aux islamistes irakiens. C'est aussi la raison pour laquelle la secte alaouite est aujourd'hui profondément divisée dans son leadership : ceux qui veulent le rapprochement avec la majorité n'y sont absolument pas les plus démocrates au contraire de ceux qui espèrent avec les subsides saoudiens maintenir une dictature militaire close et anti-américaine. Au contraire, la fraction éclairée – dont Bachar Assad est le chef vacillant et incertain – était, elle, prête à négocier avec Washington et à maintenir une alliance privilégiée avec Téhéran – dont la condition sine qua non est aujourd'hui d'aider le nouveau gouvernement irakien dominé par des ayatollahs modérés à s'en sortir, le plus vite possible et avec le moins de soldats américains possible sur le terrain. Il en est résulté, ces dernières semaines, une montée aux extrêmes tout à fait intéressante.
Les «djihadistes», comme on va les appeler à présent pour des raisons de commodité, ont décidé de passer à l'action parce qu'ils ont perçu l'imminence de bouleversements géopolitiques irréversibles qui leur semblaient ouvrir l'ultime fenêtre de vulnérabilité de leurs adversaires de plus en plus nombreux. La réconciliation en marche entre les chiites libanais du Hezbollah, poussés dans cette direction par les Iraniens avec la coalition indépendantiste libanaise, n'était pas encore tout à fait achevée. Les tentatives de compromis en Irak – où les insurgés sunnites les moins intégristes sont aujourd'hui poussés par la Jordanie et l'Egypte à déposer les armes et à s'entendre in fine avec le nouveau pouvoir chiite de Bagdad – n'ont pas encore abouti malgré les efforts américains en ce sens.
Surtout, la convergence des Etats-Unis et de l'Iran, pourtant parfaite sur les questions géopolitiques depuis Beyrouth jusqu'à Kaboul, est néanmoins considérablement freinée par les ambitions trop rapides et trop directement exprimées des Iraniens en matière nucléaire. Dans cet intervalle fatal, Hariri représentait la pointe avancée de la coalition antidjihadiste pour trois raisons : associé à l'ancien banquier de Saddam Hussein dans de nombreuses affaires régionales, il poussait activement les sunnites irakiens à déposer les armes ; ami de longue date de la France, il s'efforçait d'amener Paris et Washington à se réconcilier sur le terrain libanais ; homme de dialogue intercommunautaire, il venait de convaincre le chef du Hezbollah, le cheikh Hassan Nasrallah, de le rejoindre en échange d'une alternance de chiites et de sunnites au poste de premier ministre du Liban. S'étant ainsi avancé très courageusement en terrain découvert, Hariri est donc mort en héros de la liberté arabe. Mais il ne faudrait pas que ses vengeurs, à Beyrouth et à Washington, donnent maintenant à ses assassins la satisfaction d'abattre à son tour Bachar Assad.
Point n'est besoin, en effet, d'être un enthousiaste du personnage pour comprendre que la destruction de son pouvoir serait l'étape suivante de ceux qui ont armé la main des assassins de Hariri et qui voudraient à toute force transformer peu à peu la Syrie en bastion du djihad et introduire une rupture à l'intérieur des communautés chiites – le Liban et Moqtada al-Sadr, d'un côté, Sistani et le gouvernement irakien, de l'autre – pour continuer la guerre qu'ils ont déclarée au monde le 11 septembre 2001. A terme, leur objectif ne peut être également que d'opérer une polarisation fatale au sein même du pouvoir iranien.
CONCLUSION
L'Histoire Juive dispersée dans l'Empire Ottoman
ne pouvait que donner Israel reunion des juifs avec la creation post disparition de l'Empire des Etats nation dominées par les musulmans sur les minorités ex majorité originelle de cette region dispersée par les coups de boutoir des invasions successives La reunion des Juifs d'Occident et d'Orient a été decisive dans la realisation de l'Independance d'Israel sur sa terre La tradition a été conservation de l'Identité Nationale Nous rentrons dans les jeux de cette diversité qui sont les jeux des alliances pour l'avenir
Par Bekhor (Bekhor) le jeudi 24 février 2005 - 08h27: |
« La cueillette des olives » de Jean Noro
Cette CPA represente un tableau qui est un veritable chef d’œuvre. Certainement d’avant l’année 1900.
Impossible de savoir ou se trouve ce chef d'oeuvre, je l’avais fait reproduire suivant le modèle en noir et blanc de cette CPA par un artiste peintre, spécialiste en reproduction et qui avait imaginé les couleurs.
Malheureusement ce tableau m’a été volé lors d’un déménagement il y a environ sept ans.
Voila une carte postale intitulé « La grande mosquée » de la ville arabe de Sfax, c’est en fait la même rue de la CPA d’hier intitulé « rue de la grande mosquée », et pourtant j’ai classé cette CPA aux couleurs polychrome dans la catégorie du thème « Judaica » (thème juif) qui a une plus grande valeur marchande que les autres thèmes.
Ceux d’entre vous qui sont observateurs pourront constaté qu’il y à une grande enseigne « d’Horlogerie Saûl Bouhnik » au dessus d’un bâtiment sur la CPA, c’est uniquement grâce à cette enseigne que la CPA peut être classée Judaica.
Cette CPA est très typique et nous montre l’authenticité de la ville arabe de Sfax.
Cette photo doit être des années 1850/60, c’est une CPA très rare qui m’a coûté très chère récemment car je l’avais répertorié, mais je ne la possédais pas, grâce à Dieu, maintenant elle fait partie du patrimoine des amoureux et des nostalgiques de Tunisie. Et harissa peut s’en enorgueillir d’enrichir ce patrimoine comme le dit si bien Monsieur Emile Tubiana.
N’est ce pas, ya si SLIM ?
Par Mena (Mena) le jeudi 24 février 2005 - 07h19: |
Like France 2 in France : incongruities and essential decisions (info # 012302/5 EV) [analysis]
By Stéphane Juffa © Metula News Agency
Translated by Llewellyn Brown
France 2 faced with its choices
One truth too far
Thanks to the French media specialist, Camillo Baciu, we have the chance to understand, in part at least, what makes the conclusions of the Netzarim controversy so indigestible for French intelligentsia, journalists and decision-makers. According to Baciu, the revelation of France 2's staging and the political consensus of these influential people — with their predisposition for unanimity —, are too far apart for the latter to be capable of confronting reality.
And this inability has given rise to the explosion of different atypical phenomena, such as the birth, on the instigation of Denis Jeambar and a few others, of what we are starting to call the “third way”. The third way, in the Netzarim controversy is this intellectual fabrication that chooses from among the conclusions of our inquiry — rather like in a self-service — and claims to offer a sort of compromise. A compromise that is somewhere between the “truth too far” for the French implicated in the staging and the theory — that has been proven to be indefensible — of the assassination of Mohamed by the Israeli army.
By trying to hard to compromise…
Distinguishing themselves from those who persist in their denial, and who devote much of their energy to denigrating or insulting our journalists, the partisans of the third way today assert that they cannot take a stand regarding the question of the staging, while accepting the idea that the report broadcasted by FR2 is replete with serious professional errors committed by its authors. These consensualists espouse the revelations following the viewing of the 27 minutes of raw footage, on October 22, in Arlette Chabot's office. They are also willing to assert that these images contain no “decisive element, allowing us to conclude that the child died”, and that, on the contrary, they include numerous other staged scenes, complacently filmed by Talal Abu-Rahma.
If we are usually favorable to compromise solutions, we are obliged to note an unacceptable conceptual error committed by the partisans of the third way. An error that was echoed in the recent articles of the Herald Tribune and the New York Times : at the viewing, it was not a matter — such were the terms of our tacit agreement —, for Jeambar, Leconte, Rozenzweig and for the France 2 personnel who were present, of verifying “if the images contained decisive elements proving the child's death”, but of evaluating the exactness of Rahma's declarations under oath, in which he claims to have filmed 27 minutes of the child's assassination and the wounds inflicted on the father by the Israeli army.
Whereas the questioning agreed on by Rosenzweig and Jeambar would obviously have been pointless in the case where Abu-Rahma's images contained decisive elements proving the assassination, the absence of such events brings us forcefully back to the questioning. It brings us to the inevitable conclusion — that is conspicuously absent from the consensualists' reasoning — that the testimony given under oath by the author of the report and who is, moreover, the sole witness of the event, is the product of notorious perjury. We inevitably conclude that items France 2 claims to possess on film, made up of 27 minutes of pictures showing Israeli soldiers killing the Palestinian child as well as his death throes, do not exist. These facts, that are missing from the third way, open the path to two omissions that distort the terms leading to the epilogue of the controversy, that is to say : a) FR2's contribution, for four years, in dissimulating the proof of perjury ; this dissimulation, which the French public television channel will have to, without the slightest shadow of a doubt, provide convincing explanations for. Failing which, FR2 and its proprietor should be considered as having shown bias and interfered in a foreign conflict and b) that the credibility of Rahma, the author of the report, can no longer be assumed, after the revelation of his malpractice is objectively shedding doubt on all his productions.
Without any logic : a preference for the director
To tell the truth, if the reality were not so distant from the French consensus, as soon as the contents of the viewing were disclosed, the press should have shifted the burden of the proof from the Ména to Abu-Rahma, Enderlin and France 2. Because since the viewing, we have found ourselves in a situation in which the pictures do not show an assassination and where everything now reposes on the explanation of a single cameraman-witness, whom we have just caught red-handed in circumstances that are aggravating to say the least. Fortunately for the search for truth, our agency has accumulated further items of evidence by the dozens, giving proof of the staging; and the manifest bad grace of the French media, as well as their astonishing modus operandi, will not hinder the public revelation of the facts.
As for the statement — I mean the film made later by the same Tala Abu-Rahma, showing the father's scars dating from the 80's — the French police officer, who took down my voluntary testimony in this case, agreed with me that it was equivalent to “catching a police officer red-handed in several cases where he was bribed by criminals and immediately choosing him, without subjecting him to any investigation, to undertake an inquiry on police corruption”…
Leaving one speechless ?
I remind consensualists that in an inquiry about the factual nature of an event, it is not a matter of expressing an opinion but of forging a conviction. But a conviction of this sort can only be seriously established by studying in depth, by verifying the conclusions of existing inquiries. And that is precisely what the partisans of the third way do not do : rather than this serious and mandatory method, they prefer to profess opinions that we can only decently ascribe to their desire to remain within the confines of the French consensus, even if the latter is incapable of facing averred truths. And when I evoke an astonishing modus operandi, I am referring to the extraordinary intellectual diligence with which the consensualists of the Al-Dura case accept to turn a blind eye to the roles — that are central — played by FR2 and by the forsworn cameraman Talal Abu-Rahma. And this desire to over-compromise effectively produces strange attitudes that have no place in a journalistic investigation.
To our knowledge, apart from the correspondents of the Ména who participated in the inquiry, only two Frenchmen have undertaken, strictly speaking, a sufficiently solid inquiry to allow them to speak about the controversy without being suspected of putting their political or commercial interests ahead of the revealing of the truth. They are the journalist Jean-Paul Ney (formerly from Canal) and the specialist in lesional ballistics Philippe Moreau, who carried out an evaluation — that was both exhaustive and independent — of elements allowing us to situate the origins of the shots as well as their capacity to inflict wounds on Jamal Al-Dura and the child. But, by a prodigy that only Baciu's remark is capable of explaining, these two experts are never invited to express themselves in the general media, in the numerous columns that are devoted to the controversy. The same attitude governs the French media's relations with the Ména : while everyone takes their direct inspiration from our analyses, and everyone agrees that without our determination to make the truth known, the imposture would have been buried ages ago, and the venom it distills to boot, they take the utmost care to leave us out of television and radio programs. It would seem that the fact of revealing the truth and being able to provide full evidence of our discoveries has made us undesirable. It would seem that we are the ones who organized the Netzarim staging, who signed the falsified declarations, who dissimulated proof from public scrutiny, who made irresponsible commentaries and who incited two stricken peoples to plunge themselves into a sordid four-year-long war.
A debate between politically-correct Frenchmen, that inevitably resembles a parody
But the entire stage is left to the consensualists, Arlette Chabot, Charles Enderlin and the cohort of his fanatical supporters. They explain things “among themselves”, debating items of evidence that only have a very distant, laconic and doubtful relationship with the significant and averred items of the case. On the side of the third way consensualists set themselves up — I know not by what other supernatural phenomenon! — as “serious investigators of the controversy”, playing on past fame to make people believe that what they say is grounded. And yet it is not. To date, none of these pure souls, I mean not one, has requested access to the extremely detailed documentation that has led us to the conclusion that the fake assassination of Mohamed Al-Dura is, without the shadow of a reasonable doubt, the result of a staging.
It remains that, for want of asking questions, for want of keeping up with developments and expressing an opinion “only once they are correctly informed”, the convictions consensualists express belong to the world of politics and not that of investigation. By expounding their unqualified opinions, they help perpetuate enigmas that have already been resolved and allow doubts to soar when they have already landed. Some individuals push the incongruity so far as to proclaim the necessity of carrying out an inquiry, whereas three have already been accomplished and finalized, and it suffices to consult them, or to discuss in a substantiated and civil manner the eventual points of disagreement, in order to burst this enormous soap bubble made up by the henceforth contradictory arguments of Enderlin and France Télévisions.
News or a witch-hunt : in France, it was time to make a choice !
Regarding this case, France is engaged in a fools' debate, in which the conclusions of the Ména's investigation have never been expounded in the generalist media. Whereas a large part of the world at least knows the formulation and the content of the theories — I refer to the English-speaking public, for example, who are thoroughly aware of the controversy through the Wall Street Journal, the Herald Tribune and the New York Times — the French media persist in criticizing an argument that their public can only have access to by reading our analyses. It is also strange that the French media willingly give Enderlin the opportunity to spout his falsehoods as often as he wishes and they systematically deposit in the waste-paper basket our reactions or our responses legitimated by the “right to reply”. Charles Enderlin is also a strange character, he who poses as the valiant defender of journalistic liberties, against “grass-roots censorship” but who gets his numerous and powerful friends intervene, to demand the cancellation of any program dealing with the Controversy, as soon as he learns it has been scheduled. That was once again the case, against Shlomo Malka, from Radio Communauté Juive, when Enderlin heard of the imminent broadcasting of the interview with Jeambar and Leconte.
Complaints for defamation filed by France 2 : the imposture unmasked
As for the police file, constituted by complaints against “X”, filed by the champion of “censoring-journalists against censorship” and by his employer France 2, that I consulted last Wednesday, it reveals a vacuity that shows up the paucity of the plaintiffs’ accusations. An empty file that makes the French police wonder where the plaintiffs find any characteristic of an act of defamation. And yet if these people consider that “there was no staging on their part (or broadcasting of a staging) of a war event”, and that we are smearing them by claming the contrary, they only have to choose in the abundance of our texts — this one, to start with — to engage coherent judicial action. Moreover, the public channel can no longer claim they do not know our agency's address in order to hide behind the choice of endless procedures, now that I have communicated it to the Parisian Criminal Investigation Department [Police judiciaire].
We will not sue “X”
It is also time to state that for the Ména there is no truth that stands outside of the truth. And that the problems inherent in the widespread intellectual corruption of the French media world are neither our domain nor our concern. For our part, we only seek friends among those who consider the truth as their primary ally. We have respect only for those who have the courage to state the truth and the honor to search for it seriously. As we are now accused in the context of a judicial proceeding and after all the consensual paths we offered France 2 in order to shed light on the Controversy have been rudely rejected, the Ména is now qualified to defend itself, to obtain redress for the wrongs it has been done and to demonstrate, in a court of justice, its truthfulness. For these reasons I inform our readers that our managing committee's has decided, in accordance with our editorial committee, to file a complaint against our principle detractors. The juridical characterization of the facts we blame them for, as well as the courts that are competent, will be decided on in the coming days, after consulting our counselors.
We have acquired the circumstantiated conviction that Talal Abu-Rahma, Charles Enderlin and France 2 have created and or commented and or distributed free of charge, on deceitful grounds, an incitement to racial hatred — since it is an act aiming to stigmatize the Israeli nation — that has caused human deaths. We have acquired the circumstantiated conviction that FR2 has acted in constant infringement of its ethical charter that defines its journalistic prerogatives. We have observed that this television channel has been actively withholding evidence that would elucidate a controversy of prime public interest.
As these acts are of a nature to endanger social peace in France and delay the concluding of peace in our region, we consider that it is our responsibility as a news agency, in the prevailing obstruction of the search for truth, to allow the judicial authorities to decide on this case.
[ Cet article a paru en français dans ADRA :
Par Mena (Mena) le mardi 22 février 2005 - 01h54:
Comme France 2 en France : incongruités et décisions qui s'imposent (info # 012102/5) [analyse]
Par Stéphane Juffa © Metula News Agency ]
Par Bekhor (Bekhor) le jeudi 24 février 2005 - 07h06: |
La langue française est trop bien faite; vous ne trouvez pas?
Un professionnel: c'est un sportif de haut niveau
Une professionnelle: c'est une pute
Un homme sans moralité: c'est un politicien
Une femme sans moralité: c'est une pute
Un entraîneur: c'est un homme qui entraîne une équipe sportive
Une entraîneuse: c'est une pute
Un homme à femmes: c'est un séducteur
Une femme à hommes: c'est une pute
Un homme public:c'est un homme connu
Une femme publique: c'est une pute
Un homme facile: c'est un homme agréable à vivre
Une femme facile: c'est une pute
Un homme qui fait le trottoir: c'est un paveur
Une femme qui fait le trottoir: c'est une pute
Un péripatéticien: c'est un élève d'Aristote
Une péripatéticienne: c'est une pute
Non, le français, vraiment, c'est pas compliqué..
Par Sibylle (Sibylle) le jeudi 24 février 2005 - 01h24: |
J’avais été invité à la présentation de Chroniques d’un buveur de lune, le livre de Morad El Hattab en septembre 2003, à l’espace du judaïsme de Toulouse, l’auteur étant un ami personnel de Arié Bensemhoun, le président du KRIF, lui-même originaire du Maroc, dans la salle il y avait beaucoup de monde, notamment des personnalités du monde politique, mais il s’est passé un truc assez touchant pendant le débat, juste devant moi, étaient assis le père d’Arié, et le grand rabbin de Toulouse Armant CASTIEL, bien sur de temps en temps ils discutaient entre eux, mais en parlant à la fois en français et en arabe, et à la fin de la présentation du livre, l’auteur a laissé la parole avec beaucoup de respect aux deux hommes, qui ont parlé à deux si on veut , mais le plus extraordinaire, lorsqu ils se sont mis à parler du Maroc et des juifs marocains, de leurs souvenirs, ils se sont exprimés en judéo arabe, avec des expressions que j’avais complètement oublié, comme des vrais poètes, il y avait des gens qui ne comprenaient rien, mais pas un seul bruit , et eux ils ont continué avec le ton et la mesure juste, un véritable kif, de les écouter, à la fin de leur discours, je suis partie égoïstement sans attendre la suite, parce que je voulais rester sur ses dernières notes.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 24 février 2005 - 01h05: |
Breitou qu'est-ce que tu es gentil, evidemment que tu as raison mais le sujet n'est pas de moi. J'ai simplement ajoute la boukha.
Pour les oeufs ils s'appelent adam ermal l'oeuf du sable mais toot ca n'est pas un important. l'essentiel que l'on fait un KEIF pas KIF. Ourass Baba je viens de faire un Keif avec du Mergez et une petite salade d'oignons verts du percil et de l'harissa, que ma femme ma fait j'ai mange ca avec de la boukha.