Commentaires du 20-21 Juillet 2002

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2002: Commentaires de Juillet 2002: Commentaires du 20-21 Juillet 2002
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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le lundi 22 juillet 2002 - 04h45:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Julot (Julot_Tn) le samedi 20 juillet 2002 - 18h30:

cœurs sensibles s’abstenir

http://victims.soberingup.org/

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le samedi 20 juillet 2002 - 12h30:

Un excellent article à lire absolument.
Titre : Le fondamentalisme est l'héritier du communisme : sa violence reproduit les techniques des Soviétiques pour étouffer les sociétés civiles, par Enzo BETTIZA.

http://www.reinfo-israel.com/documents/showthread.php?threadid=2098

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Michka (Michka) le samedi 20 juillet 2002 - 12h22:

Source AROUTS 7.
Enfin une voix qui s'élève en France !... Françoise Giroud nous livre une analyse psychanalytique tres subtile de l'origine d'une certaine haine à la française à l'égard d'Israel dont certains "intellectuels" se sont fait l'écho.
Je me souviens avoir écrit aux médias de France : " - Jusqu'où n'iriez-vous pas pour extirper la culpabilité qui vous pourrit de l'intérieur " faisant référence à la SHOAH.
Françoise Giroud l'a bien repéré cette culpabilité. MICHKA
__________________________________________________



Cette Shoah qui ne passe pas
Françoise Giroud © LE MONDE
16 Juillet 2002


Même si ce vieux brigand d'Arafat débloque en déclarant qu'il n'y a jamais
eu de temple juif à Jérusalem, la cause palestinienne est excellente. Un
Etat palestinien doit enfin pouvoir naître et se développer dans le respect
et la paix, on ne dira jamais le contraire. Avec une réserve cependant :
assassiner tous les jours des civils, des femmes, des enfants par paquets au
moyen d'hommes-suicide éduqués dans cette perspective ne stimule pas la
sympathie, même si cela semble ne déranger personne parmi ceux, nombreux,
qui ne connaissent de cet horrible conflit qu'un responsable : Israël.
Mon propos n'est pas de chercher à exonérer les Israéliens d'un long
aveuglement, d'une longue arrogance envers leurs voisins de palier, mais
d'essayer de comprendre comment ils sont devenus aux yeux de Français, en
particulier d'intellectuels qui ont la réputation de réfléchir avant
d'écrire, des cibles exclusives pour la réprobation sinon pour la haine
(dans Le Mondedu 4 juin, Danièle Sallenave, Edgar Morin et Sami Naïr).
Je crois que l'ensemble des peuples chrétiens n'a jamais avalé la Shoah. Que
sa révélation, relativement tardive, son ampleur, sa méticulosité
hallucinantes et avant tout le caractère d'anéantissement systématique et
gratuit d'un peuple entier ont causé un choc beaucoup plus profond qu'on ne
le croit. Non par sympathie particulière pour les victimes mais parce que
"la solution finale" a obligé le plus étourdi à découvrir que l'homme était
peut-être intrinsèquement mauvais, et Dieu intrinsèquement distrait.
L'humanité a connu d'autres exterminations, certes, mais non comparables. On
a exterminé des ennemis, des adversaires, des guerriers, les occupants d'un
territoire à conquérir. Les Français, pour ne parler que d'eux, ont
exterminé les protestants, torturé les Algériens ; les Américains ont
massacré les Indiens ; les Soviétiques ont massacré tous azimuts ; la liste
n'est pas limitative. Mais jamais l'homme n'avait exterminé méthodiquement
d'autres hommes sans raison, par caprice en quelque sorte - et par millions.
Je crois que cette révélation du mal vivant au coeur d'hommes européens
élevés depuis plusieurs générations dans la foi chrétienne et se
dévergondant sans entrave a été intolérable, insupportable, suffocante.
C'est à mes yeux la raison pour laquelle ceux qu'on appelle les
négationnistes nient contre toute évidence la réalité de la Shoah. En bonne
logique, dans la mesure où ils se déclarent ouvertement ennemis déclarés des
juifs, ils auraient dû se féliciter d'en voir disparaître autant d'un seul
coup et mettre cet acte d'hygiène à l'actif du national-socialisme.
Mais ceux qui nient ne supportent pas mieux que d'autres que cela ait été.
Et bien que les années passent, chacun porte avec ennui, avec irritation
parfois, sa petite part de culpabilité dans la plus remarquable
extermination de l'histoire parce qu'elle était sans objet. Parce que ce
n'est pas le ixième malheur des juifs qu'elle a révélé mais ce dont l'homme
contemporain policé, cultivé, éduqué, est capable, donc nous-mêmes. "Chaque
fois qu'on a tué un juif pendant la guerre, a pu dire un moraliste, c'est
Jésus que nous avons tué, le premier d'entre eux".
Or que se passe-t-il aujourd'hui ? L'occasion de transformer la figure du
juif martyr en juif bourreau. D'évacuer cette culpabilité récurrente qui
excède pour libérer le petit fond d'antisémitisme que tout le monde trouve
dans son berceau.
Avec une rapidité remarquable, dès la première pierre de la seconde
Intifada, un retournement s'est produit, saisissant, qui serait inexplicable
sans le tableau de fond sur lequel il s'inscrit. Enfin ! On a le droit de
dire du mal des juifs ! "Antisémite, moi ? Vous m'insultez, mais cet enfant
palestinien qui meurt sous nos yeux à la télévision, qui l'a tué ? Qui ?"
Surtout, ne pas discuter, l'émotion ne se discute pas, ni le désir naturel
de se ranger du côté du plus faible.
Moi non plus je n'aime pas qu'on tue les enfants palestiniens, moi aussi je
suis scandalisée qu'Israël refuse une commission d'enquête sur Jénine, moi
aussi je supporte mal de voir des soldats israéliens relever la chemise de
leurs prisonniers pour s'assurer qu'ils ne portent pas une ceinture
d'explosifs ou les marquer de chiffres sur leur avant-bras.
Mais ce concours macabre qu'Israéliens et Palestiniens semblent faire sur le
nombre de morts enterrés chaque jour, les Palestiniens sont en train de le
gagner, ils tuent davantage, ils tuent énormément de civils israéliens, 400
depuis le début de la seconde Intifada dans les rues, les autobus, les
cafés, les lieux où la jeunesse danse, preuve que la stratégie
antiterroriste d'Ariel Sharon est une impasse.
A la guerre, on pardonne aux généraux de faire des victoires avec des morts,
pas des défaites. Mais à Paris, les personnes de bon goût ne comptent que
les morts palestiniens. Quand on arrive aux autres, on ne sait plus compter.
D'ailleurs, ce sont des goujats... Les fils d'un peuple supplicié devraient
savoir se tenir à table, je veux dire à la guerre, et prendre les coups sans
les rendre, c'est à peu près ce qu'ici et là on entend et on lit.
Prendre les coups sans les rendre paraît néanmoins une conduite sur laquelle
on ne doit plus pouvoir compter de la part des juifs, en aucune
circonstance. En revanche, au lieu de montrer aujourd'hui - vainement - leur
force, on voudrait les adjurer de montrer leur intelligence, et leur si
longue sagesse. "Choisis la vie", dit le message de Moïse.

Françoise Giroud est éditorialiste au Nouvel Observateur, écrivain, ancienne
secrétaire d'Etat.
* ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 13.06.02

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le samedi 20 juillet 2002 - 03h22:

* l'Amour

Arretez la Terre , je veux descendre!

L'Amour n'est que le don de soi a soi....

pierre

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le samedi 20 juillet 2002 - 03h18:

Les raisons d’une amnésie ! (info # 011907/2)

Par Denis Elkoubi © Metula News Agency

A La Ména, nous sommes inquiets. Nous pensons sincèrement que Le Monde est devenu amnésique. Ce symptôme s’est très clairement signalé à l’occasion du rapport d’Amnesty International intitulé Israël et territoires occupés – Autorité Palestinienne, du 11 juillet 2002. Car, force nous est de constater qu’au 15 juillet, ce quotidien, pilier de la presse parisienne, n’avait toujours pas jugé utile de publier la moindre ligne sur ce rapport.



Gilles Paris préfère traiter des « bavures » de l’armée israélienne, plutôt que de la qualification par Amnesty International des attentats-suicides commis par les Palestiniens comme crimes contre l’humanité.



Du professionnalisme et de la déontologie de ce porte-plume ?



Que l’armée israélienne, comme toutes les armées (massivement moins que la moyenne des armées occidentales en campagne Ndlr.), commette d’inexcusables bavures, ça n’est pas véritablement matière à faire un scoop. Nous sommes certainement solidaires des victimes de ces faits de guerre, absurdes et superflus. Nous sommes aussi satisfaits de voir qu’un pays véritablement démocratique comme Israël a ouvert 200 enquêtes afin de vérifier des soupçons de bavures, et, avec Gilles Paris, nous resterons vigilants sur leur suivi. Ce journaliste a eu indéniablement raison de parler du cours de ces enquêtes.



Mais l’existence de bavures, cependant, non systématiques, non représentatives de la conduite de l’armée israélienne et isolées, n’autorise pas le plumitif à conclure - par le seul fait qu’il en ait fait état dans son article - au « meurtre » d’un journaliste palestinien, alors que l’enquête dont il parle est encore en cours. Paris ne dispose pas de part réservée dans l’exercice instinctif de la justice et rien ne l’autorise à publier (ni le Monde d’ailleurs) l’arrêt de culpabilité d’un événement alors qu’il ne détient pas les évidences pour le faire ! Et s’il les détient, il est tenu de les exposer, ce qu’il n’a pas fait et ne peut pas se satisfaire de feindre de détenir les preuves de leur existence. Cette façon de faire confère à Gilles Paris une plume de délateur, qui n’est pas sans rappeler la conception de la vérité dans la tradition du journalisme vichyssois.



Dans le même temps, et cela aussi nous remémore un passé qu’on aimerait oublier, Paris, correspondant permanent en Israël et toute la rédaction du Monde avec lui, continuaient de faire l’impasse sur la nouvelle – je veux précisément dire, de la soustraire à la connaissance des lecteurs - sur le fait principal de l’information proche-orientale de ces derniers jours, celle qui tranche la question attenante à la manière appropriée de considérer les assassinats collectifs palestiniens – agression ou résistance – et qui tient en la condamnation par Amnesty International, sans discernement, de tous les attentats commis contre les civils par des groupes armés palestiniens.



L’occultation de cette nouvelle par le correspondant du Monde à Jérusalem et par l’ensemble de la rédaction du Monde jusqu’au 16 juillet (le rapport a été émis officiellement le 11) constitue un des plus hauts faits de manipulation de l’opinion publique française depuis la libération de l’occupation allemande.



Pourquoi ? Parce qu’en 44 pages et de façon abondamment circonstanciée, l’empruntant à l’indiscutable, Amnesty International pose un démenti formel à l’affirmation des pays de la Ligue arabe, mais aussi à l’Association pour une paix juste en Palestine et à la présentation des événements choisie par de nombreux organes de la presse française, selon lesquels les assassinats collectifs procéderaient d’une forme légitime de résistance. Suivant les conclusions d’Amnesty International, ces actes ne sont pas seulement pas des actes de résistance, encore tombent-ils sous la définition très pointue de crime contre l’humanité.



Et cette application de la notion de crimes contre l’humanité impose des conclusions logiques de la plus haute importance dans la considération des responsabilités de la crise proche-orientale. Ainsi, et comme l’a très clairement souligné Stéphane Juffa dans son analyse d’hier (Rien !) les présomptions de résistance spontanée, populaire, émotive ou par causalité de représailles sont incompatibles avec la notion de crime de guerre contre l’humanité. En d’autres termes, le rapport d’Amnesty International établit que les assassinats de civils israéliens sont des actes prémédités « s’inscrivant dans des dialectiques stratégique et tactique » et pas les répliques à d’autres actes.



Plus encore que les deux révolutions éthiques précédentes, la livraison du rapport d’Amnesty, en établissant que les actes du terrorisme palestinien (attaques systématiques de civils par des individus armés) procèdent de crimes contre l’humanité, reconnaît implicitement que les actions militaires israéliennes s’inscrivent dans une logique de légitimité, puisqu’elles ont pour but de s’en prendre aux organisations qui s’adonnent à des crimes contre l’humanité. Cette notion de légitimité du droit (du devoir ?) qu’exerce Israël en utilisant ses forces armées afin de protéger ses habitants modifie fondamentalement et dénonce comme manipulatrice, l’image construite que le gouvernement et les médias français s’efforcent de donner de la guerre du Moyen-Orient. Il présentent une situation dans laquelle les Palestiniens subissent l’invasion, l’humiliation et les sévices de l’armée israélienne, en y réagissant par des actes spontanés de désespoir alors que pour Amnesty International, il s’agit de crimes de guerre palestiniens contre la population israélienne auxquels réagissent les Israéliens.



Evidemment, les deux thèses sont inconciliables, alors, la presse française en général, Gilles Paris et le Monde en particulier, ont pris la décision d’omettre de signaler au public cet événement majeur – ou de le mentionner à titre subalterne, comme une péripétie dont la signification et les implications ne sont pas explicitées - simplement parce qu’il ne s’inscrit pas dans la ligne éditoriale qu’on a suivi jusqu’à maintenant et, qu’au plus grand mépris du droit de l’opinion d’être correctement informée, on entend continuer à suivre !



Tirer les conclusions à la place du consommateur d’actualité, en dirigeant ses conclusions par la sélection des nouvelles qu’on veut bien lui faire connaître, procède effectivement de passe-droits aussi arrogants que manipulateurs et éthiquement détestables, qui sont issus des théories maoïstes de l’utilisation didactique de l’information, mais aussi trotskistes et gaulliennes. Dans la France de FR2, du Monde et de Chirac, le téléspectateur et le lecteur restent plus que jamais des moutons, des récipients sans droits, qu’aujourd’hui on appellerait des blaireaux.



Gilles Paris n’en est pas à son coup d’essai de désinformation didactique. Il passe son temps à blanchir Arafat de tous ses crimes et à le relever de toute responsabilité dans les tragédies que vivent les populations israéliennes et palestiniennes. A la Ména, on se souvient aussi qu’il n’a jamais daigné exprimer l’ignominie des assassinats collectifs palestiniens ainsi que le fait incontournable, qu’ils sont fréquemment organisés par des bandes armées palestiniennes proches d’Arafat et que celui-ci a été pris la main dans le sac, à financer ces crimes contre l’humanité. De ce fait, les lecteurs du Monde, privés de balises événementielles significatives, ignorent des pans entiers de la fresque conjoncturelle. Ils ignorent par exemple que l’Administration américaine a justement pris la décision d’écarter Arafat de tout processus futur de négociation au Moyen-Orient parce qu’elle a visionné et analysé les évidences formelles de la commission du vieux leader palestinien dans l’ordination et le financement des crimes palestiniens contre l’humanité. Aux yeux du blaireau français, par la force des choses, parce que Gilles Paris et Plenel l’ont privé des éléments nécessaires à la compréhension des événements, la décision de George Bush est comme tombée du ciel, elle semble dictée par la naïveté atavique du gouvernement américain et par son soutien inconditionnel à l’agressivité israélienne, lorsque ça n’est pas – pour les racistes qui évoluent parmi eux - qu’elle plie sous le dictat du lobby juif de la presse et des affaires.



Au Monde on publie en renfort intellectuel, simultanément à la désinformation factuelle type Gilles Paris, le torchon raciste de Morin, Naïr et Sallenave ou ceux des intellectuels-gauche-caviar qui pleurent la barbarie des Israéliens, le soutien indigne des Américains, et excusent les attentats-suicides, comme autant de dignes sursauts du fils contre l’humiliation faite au père.



Même le temps des dupes et des blaireaux n’a qu’un temps. Même si ce temps traîne en longueur. Hier Jean Daniel criait à l’erreur de typographie, lorsque sa fille accusait les soldats israéliens de violer les jeunes femmes palestiniennes, aujourd’hui c’est Alain Liepitz qui affirme – sans faute d’imprimerie – qu’ils violeraient plutôt les petits garçons arabes. Le politiquement abject du Monde, de Libération, du Nouvel Observateur et des manipulateurs Plenel, July et autre Daniel ne durera pas éternellement, viendra forcément le temps des comptes et le temps de considérer les habitudes qu’ils laisseront en héritage à la société française. Et comme dit ma cousine, les écrits restent, on aura de quoi les reconnaître…

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Djlachem (Djlachem) le samedi 20 juillet 2002 - 01h18:

Ne ratez pas l'interview de Vedrine par Elisabeth Schemla sur proche orient info

http://www.proche-orient.info/xhome.php3

Malgré ce qu'on peut en dire, cette journaliste a parfaitement déstabilisé celui qui voulait envoyer une armée européenne contre Tsahal

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nao (Nao) le vendredi 19 juillet 2002 - 21h40:

Je ne suis pas fan d'Ashleigh Banfield, la journaliste a la mode (et un peu trop opportuniste a mon gout) de MSNBC et qui a supplantee sur la tranche horaire 22h/23h le show juge trop pro-israelien d'Alan Keyes "Making Sense" mais je dois dire qu'hier soir, j'ai ete epatee par sa determination a poser des questions difficiles aux irakiens interviewes lors de son "Live in Baghdad". Avec une sorte de candeur naive (tres genre l'idiote du village), elle n'a pas hesite a demander aux gens de la rue, ce qu'ils pensaient des Americains (ils reprochent massivement au gouvernement et a Bush d'etre agressifs mais n'auraient rien contre le peuple lui meme!), ce qu'ils pensaient de Saddam Hussein comme President (bien sur il est un tres bon President et est un pere pour eux malgre l'embargo, une mesure de retortion injuste de l'Occident!), si ils se sentaient libres de s'exprimer (oh oui bien sur vous le voyez bien le repetaient-ils en coeur-certainement avec un flingue pointe dans le dos!), si c'etait l'Iraq ou les Allies qui avaient gagne la Guerre du Golfe (bien sur c'etait l'Iraq- la desinformation et le lavage de cerveaux ca marche a plein tube la bas!) et si l'Iraq fabriquait des bombes atomiques (non bien sur tout ca n'est qu'une machination occidentale mensongere contre leur pays tres pacifique!), les femmes etant plus agressives ds leur langage que les hommes (! ou peut etre plus manipulees??).
Bref tout ca sentait si faux que ca en etait risible!! Surtout quand on sait que la pauvre Ashleigh avait a ses basques en permanence un "chaperon" du gouvernement qui lui donnait avant son autorisation de filmer et de poser certaines questions (elle l'a dit)!!! Certaines questions jugees derangeantes recevaient une fin de non recevoir ("Sorry, don't ask me this question! I cannot answer").
Elle n'a pas manque de rappeler qu'Internet est inexistant en Iraq ainsi qu'on ne trouve aucune presse etrangere dans les kiosques (au cas ou cela leur donnerait l'idee de se soulever)! Dire que dans les annees 70, on se moquait de l'URSS! Quand on dit que le monde arabe a beaucoup a apprendre de la democratie et de la liberte d'expression, ca n'est pas un vain mot!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Julot (Julot_Tn) le vendredi 19 juillet 2002 - 21h00:

MEYER ..
Les lions sont magnifiques , de vrais petits chefs d’œuvre. De plus ,cela m'a permis de découvrir beaucoup d'autres choses intéressantes sur ce site ,que je n'avais pas parcouru depuis bien longtemps..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le vendredi 19 juillet 2002 - 20h39:

Allez voir sur

http://www.jerusalem.muni.il/jer_main/f1_main.asp?lng=2
puis sur " Lions in Jerusalem " version " English "
puis sur " Links " de " Lions in Jerusalem "
puis sur " Private Site 3 in french ".

Si ca ne marche pas avec Netscape, essayez Explorer.

Shabat shalom

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Rachco (Rachco) le vendredi 19 juillet 2002 - 19h31:

je pense qu'il faut complétement zapper ce julo machin chose, et ses sites foireux - qu'il conseille à son ami à qui il a promis..... de se payer un encart publicitaire s'il veut !

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par . (Julot_Tn) le vendredi 19 juillet 2002 - 18h52:

Vraiment désolé , je pensais que vous vous sentiriez concernés ..
cordialement .

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Anonyme (Anonyme) le vendredi 19 juillet 2002 - 18h52:

Il enlève ses filles d'Israël en invoquant la guerre: la justice lui donne tort

MARSEILLE (AFP) - Le juge des affaires familiales du tribunal de Marseille a ordonné, vendredi, à un père franco-israélien de renvoyer immédiatement ses cinq filles chez son ex-femme en Israël, où il ne voulait plus qu'elles vivent du fait de la guerre, selon les avocats des deux parties.

Poursuivi pour enlèvement d'enfants, Jean-Marc Leboeuf-Zenou, 34 ans, affirmait qu'il avait ramené clandestinement en France ses enfants "parce qu'il craignait pour leur vie du fait des attentats". Mais le juge a rejeté cet argument, en considérant que les filles n'étaient pas exposées, en Israël, à un danger constant et quotidien, selon l'avocate de la mère, Me Martine Rubin. Me Rubin avait fait valoir que le père ne niait pas "avoir enlevé ses enfants en avril 2002, quelques mois après le jugement de divorce qui confiait temporairement leur garde à son ex-épouse".

Les autorités israéliennes avaient saisi les autorités françaises pour faire appliquer la Convention de La Haye du 25 octobre 1980 sur les aspects civils de l'enlèvement international d'enfants. Mais l'avocat du père, Me Pierre Bellais, avait invoqué l'article 13 de cette Convention qui stipule que l'autorité judiciaire saisie n'est pas tenue d'ordonner le retour de l'enfant "lorsqu'il existe un risque grave que le retour de l'enfant ne l'expose à un danger physique ou psychique ou ne le place dans une situation intolérable".

Dans ses attendus, le juge considère que "s'il n'est pas contestable que des attentats suicide au caractère aléatoire et imprévisible sont perpétrés dans ce pays, occasionnant nécessairement un péril évident, en revanche, la notion de risque doit être strictement appréciée". Il ajoute que "l'état de danger général exposé, alors que les commerces, les écoles, les administrations, les moyens de transport fonctionnent, ne saurait constituer un risque grave exposant les enfants à un danger psychique ou physique".

Me Bellais a annoncé qu'il ferait appel. "Le gouvernement français renvoie ses propres nationaux sur le territoire d'une nation en guerre: c'est une décision aberrante, plus diplomatique que judiciaire", a-t-il protesté.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudius (Claudius) le vendredi 19 juillet 2002 - 18h42:

Merci au Webmaster d'avoir retiré le message ignomineux colporté par Julot.
Il était temps.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Richard_S (Richard_S) le vendredi 19 juillet 2002 - 18h28:

Julot

Moi non plus je ne vois aucun interet a afficher des messages de haine pure ici et de faire de la pub a ces sites pourris.
Pourquoi pas publier des slogans nazis tant que vous y etes ?
Ce que je ne comprends pas du tout, c'est que vous soyez surpris de la reaction degoutee des internautes harissiens et leur demandiez d'expliquer. Expliquez nous plutot vous-meme les raisons qui vous ont pousse a publier ce monceau d'ordures.
L'internet et les marchands de journaux regorgent de ca et il ne sert a rien de les lire pour nous.

Richard

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par . (Julot_Tn) le vendredi 19 juillet 2002 - 18h03:

Je trouve dommage que vous preniez a la ' légère ' les messages haineux affichés sur oumma .
En lisant votre message sur harissa , j'ai eu l'impression que vous vous adressiez a julot_tn dans un 1 er temps ,et ensuite aux harissiens .. pourquoi ???
cordialement

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Charlotte (Charlotte) le vendredi 19 juillet 2002 - 16h03:

50000 juifs d'espagne avec a leur tete Abravanel- qui avait refuse la proposition d'Isabelle de rester aupres d'elle - sont sortis d'Espagne le 9 av 1492. Pour les encourager musique tambours et trompettes. Malgre ce jour de commemoration. Car nos rabbins dans leur grande sagesse avait considere qu'il fallait garder le moral des expulses. Et que cela primait tout
A rapprocher de la decision du Rabbinat d'Israel de dispenser le futur astronaute israelien Ilan armon de respecter le shabbat. Considerant que cette mission presentait un danger et que le respect de la vie prime tout
Geniaux nos rabbins
Je suis fiere

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Admin (Admin) le samedi 20 juillet 2002 - 03h15:

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