Par Albert (Albert) le mardi 27 février 2007 - 20h00: |
Une justice juive dans une justice REPUBLICAINE FRANCAISE...!
On nous dit que ce n'est pas du communautarisme.
Dans ce cas, aux USA aussi, et partout dans le monde. Cela va crèer un précèdent.
Les musulmans voudront aussi crèer le leur et ainsi de suite ... Les SIKHS, les CHINOIS ... etc...
Par Maurice (Maurice) le mardi 27 février 2007 - 19h51: |
Je considere que l'evolution JUIVE Tunisienne et une des raisons de la naturalisation rapide Francaise etait de quitter la CHARIA civile a laquelle il etait soumis sur le plan civil et du Tribunal Rabbinique sur le plan religieux Seulement a survecu pour les religieux le tribunal Rabbinique pour les divorces et donc pour le Guett.
Il est Honteux que le Grand Rabin depasse son role et nous ridiculise surtout quand on est comme moi dans la connaissance du fonctionnement de ce tribunal moyen Ageux que l'EMPIRE OTToman nous a laisse pour gerer notre vie de YOUDI soumis en Dihmmis.
C'est le plus sur moyen de faire sauver les jeunes evolues du JUDAISME des pratiques d'un autre Age La Laicite totale est seul source de progres et meme en Israel ou les gens sont obliges d'aller a Chypre pour se marier
Les Juifs de la nouvelle generation quittent les GUETTOS et le Grand Rabin avec tout le respect pour le travail Ethique et culturel qu'il a fait mais pour le reste qu'il nous laisse mener la Loi de Citoyen LA LOI DU PAYS ETANT LA LOI; meme le majorite Chretienne ne se donne pas tant de prerogative ni nationale ni locale FINISSONS LES RABIBILLA et de regarder son Nombril
Par Pauline (Pauline) le mardi 27 février 2007 - 18h53: |
Polémique dans les milieux juifs autour de la création d'un tribunal national religieux
SOPHIE DE RAVINEL.
Créé fin 2006 par le grand rabbin Joseph Sitruk, le Beth Din de France se veut un tribunal d'appel pour la communauté juive.
À PEINE créé, le tribunal rabbinique national commence à susciter la polémique dans les milieux juifs, où l'on s'interroge sur l'utilité de cette structure et la personnalité de son président, un Israélien non francophone.
Fin 2006, le consistoire central, placé sous la responsabilité spirituelle du grand rabbin Joseph Sitruk, avait annoncé la création de ce Beth Din national, censé chapeauter les tribunaux régionaux existants comme ceux de Paris, Strasbourg ou Marseille. Ces derniers traitent essentiellement des questions relatives aux mariages, aux divorces ou aux conversions. Pour le rabbin Sitruk, la nouvelle instance doit devenir « un Beth Din d'appel pour les affaires compliquées ».
Son directeur de cabinet, André Cohen, explique que « ce tribunal national va permettre de désengorger la justice civile. Il a déjà traité une quinzaine d'affaires, surtout des différents financiers ou religieux ».
Un président qui ne parle qu'hébreu
Dès l'annonce de sa création, des craintes s'étaient élevées sur le fait que le président de ce tribunal, car c'est aussi sa compétence, allait apposer son sceau sur un nouveau circuit national de casherout (alimentation casher) venant concurrencer celui du Consistoire de Paris.
Outre cette question, essentiellement financière en raison des taxes prélevées sur les bêtes abattues selon les règles, les inquiétudes portent aujourd'hui sur la nature même de cette structure juridique religieuse et sur le choix du président de ce nouveau tribunal : le rabbin Mordehaï Gross. Décrit par Joseph Sitruk comme « une sommité israélienne », ce rabbin ne parle que l'hébreu.
Sans manifester a priori d'hostilité à ce nouveau tribunal religieux, Sammy Gozlan, président de l'Union des conseils des communautés juives d'Île-de-France et membre du Consistoire de Paris, s'interroge cependant sur « la capacité du rabbin Gross à s'adapter à la culture de la communauté en France ». « N'y avait-il pas de compétence francophone et formée en France ? », se demande-t-il, en faisant simplement remarquer que « la référence, désormais, n'est plus celle du tribunal rabbinique de Paris ».
Président d'honneur du Consistoire de Paris et opposé de longue date à la mise en place d'une casherout nationale, Moïse Cohen souligne en outre « qu'un Beth Din national est en opposition fondamentale avec notre tradition d'indépendance régionale ». « Ce débordement, estime-t-il, traduit la volonté hégémonique du rabbin Sitruk. »
Plus directement, Régine Azria, sociologue au Centre d'études interdisciplinaires des faits religieux, note que « ce tribunal manifeste une volonté de reprise en main religieuse du monde juif français, en rupture avec le modèle historique du franco-judaïsme ». Selon elle, « il s'agit de renforcer la dimension communautaire qui dépasse la stricte limite du culte ». Chef du bureau des cultes au ministère de l'Intérieur, Didier Leschi rappelle en guise d'avertissement que, « en aucun cas, le droit religieux ne peut primer sur le droit civil. C'est la règle républicaine ».
Par Victor (Victor) le mardi 27 février 2007 - 17h17: |
Le Crif en action
Première rencontre mondiale du Judaïsme francophone
27/02/07
- - Thème: Francophonie
La Francophonie sera mise à l’honneur les 19 et 20 mars en Israël. Le premier jour, le collège universitaire de Natanya organisera un colloque sur le thème « Israël, Judaïsme et Francophonie » avec le soutien de la Fondation France Israël et de l’ambassade de France en Israël. Haïm Musicant, directeur général du CRIF prendra la parole lors de cette réunion, qui sera suivie le lendemain par une journée d’étude à l’université de Tel-Aviv.
Engagé depuis longtemps dans cette action, le CRIF a pris l’initiative de demander à des personnalités politiques de soutenir l’entrée d’Israël dans la Francophonie. Plusieurs candidats à l’élection présidentielle (François Bayrou ; Corinne Lepage ; Ségolène Royal ; Nicolas Sarkozy) ont répondu à l’appel du CRIF ainsi que de très nombreux autres responsables politiques français, qui ont signé une pétition qui a été publiée dans le Figaro, le Monde et le Parisien, quelques jours avant le dîner annuel du CRIF.
http://www.crif.org/index.php?page=articles_display/detail&aid=8411&artyd=2
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mardi 27 février 2007 - 12h28: |
La Bouffe Tune !
Ya k'ca de vrai, on est prets à tirer sur tout ce qui bouge, et vive les Tunes, les vrais de vrais. Boulitik etc,,,
Par Bazooka (Bazooka) le mardi 27 février 2007 - 12h41: |
Re bonjour Atsafon,
J'ai bien compris ce que vous avez decrit dans votre 1er post et reitere dans le 2eme.
Je vous suggere d'entrer en contact direct avec moi via mon email (deja donne plus bas), pour essayer de faire avancer les choses.
Dans l'intervalle, je reitere mon souhait de vous aider, a tout le moins, dans votre processus d'integration.
Cordialement.
Par Atsafon (Atsafon) le mardi 27 février 2007 - 11h08: |
Réponse à Bazooka!
Cette affaire ne peut être "loyale ou déloyale" c'est une affaire d'extorsion de fond tout à fait mafieuse.
Elle pourrait ressembler à l'affaire Isrofly s'il s'agissait d'un simple depôt de bilan, mais là dans notre cas, il y a une compagnie maritime qui est la compagnie FERON, dont nous ignorions sont existance, qui est en conflit avec ADEM transitaire en France. Hors pour régler ses comptes avec ADEM, Feron exige que nous lui payons une seconde fois le transport de nos biens + la location des containers + les frais de parkage des container depuis le jour de l'arrivée du bateau en Israël alors que depuis ce jour nous attendons tous la livraison de nos effets, je vous signale que la compagnie Feron a décidé de cet acte sans aucune décision judiciare, que son acte et prémédité, et que c'est avec toute conscience que nos effets ont été acheminés jusqu'en Israël car le conflit ADEM-Feron existait déjà, Feron a agit comme n'importe quel gang mafieu l'aurait fait, du recel de bien et du raquette c'est comme ca que cela s'appel.
Le plus dramatique dans tout ca c'est que l'agence Juive fait la sourde oreille, et que les autoritées portuaires et douanières me sembles êtres complices de ces actes.
Atsafon.
Par Bazooka (Bazooka) le mardi 27 février 2007 - 09h25: |
Atsafon,
Cette affaire, si elle s'avere aussi deloyale que vous la decrivez, ressemble pour beaucoup a l'Affaire Isrofly, au cours de laquelle le tour operator du meme nom (operant depuis Marseille), empetre dans ses dettes envers des compagnies aeriennes francaises et israeliennes, a "pris ses passagers en otage" en les obligeant a payer deux fois leur billet d'avion (pour s'assurer un retour corps et biens vers la France et Israel), tentant, par la-meme, de rembourser ses crediteurs.
Sans succes au final, car sa societe a ete liquidee par les tribunaux francais...
Peut-etre serait-il judicieux de vous mettre en contact avec les personnes / avocats qui ont eu maille a partir avec Isrofly, pour savoir quelle demarche a suivre et comment defendre vos droits ?
J'aurai pour ma part, le plus grand plaisir a vous aider dans toute demarche concernant votre aliya et votre integration (dans la mesure de mes possibilites).
cbazooka@hotmail.com
Bonne journee
Par Albert (Albert) le mardi 27 février 2007 - 08h24: |
Il aurait valu mieux ne pas la faire l'Alya mon ami.
Tu aurais mieux fais de rester à ta place.
Par Email (Email) le mardi 27 février 2007 - 08h46: |
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 27 février 2007 - 03h02: |
Pour ceux qui veulent voir comment le Hezballah a Gagne la Guerre disent-il?
New York Times
Monday, February 26, 2007
http://topics.nytimes.com/top/reference/timestopics/organizations/h/hezbollah/index.html?inline=nyt-org