Archive jusqu'au 11/mars/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Mars 2005: Archive jusqu'au 11/mars/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le jeudi 10 mars 2005 - 16h18:

Il y quelque chose qui m' a échappé ?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le jeudi 10 mars 2005 - 16h07:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le jeudi 10 mars 2005 - 14h58:

Aujourd’hui pour confirmer la distinction vestimentaire orientale qu’il y avait en Tunisie entres les juifs « TOUENSSA » et les arabes, j’affiche la CPA des années 1950 du célèbre grand Rabbin et Gaon « HAIM HOURI, ZAL », dont tous les ans des milliers de juifs Tunes vont pèlerinner sur sa tombe à BEER SHEVA.

« Un illustre Docteur de la loi Le Rab Haim El Houri. » est écrit au dos de cette CPA.

Vous remarquerez la similitude des signes de reconnaissance vestimentaire judéo arabe tunisienne de la CPA d’hier.

Cette CPA m'a été offerte par mon cousin Claude B...., si il me lit il se reconnaitra.


En parlant du « judéo arabe tunisien », vous avez en exclusivité la première « CPA JUDEO-ARABE-TUNISIENNE » sous vos yeux.

Vous remarquerez que sur le dos de cette CPA, il est mentionné et écrit en écriture hébraïque :
« CARTA BOSTALA » et non pas « GLOUIAT DOAR » si c’était de l’hébreu, le tampon de la poste est de 1905.
Cette carte, très rare, a été éditée à Sousse vers l'année 1895/1904 par une imprimerie appartenant à des juifs.

C’est la seule carte postale écrite en « judéo arabe » que j’ai réussis à avoir ou à répertorier en plus de vingt cinq ans de recherches pour ma collection privée.


un


deux


trois

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le jeudi 10 mars 2005 - 14h17:

Effectivement Nonette j'ai feuilletté cet Album.

J'ai en ma posession ne grande partie de vraies CPA de photos de ce livre.

Vous pouvez scanner les CPA que j'édite chaque jour et composer votre propre album de GAGOU, de CAMOUNA de GHJIZLA ou de MESSOUEDA gratuitement et ce grace à HARISSA.COM

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Nonette (Nonette) le jeudi 10 mars 2005 - 10h54:

Bekhor
Vous connaissez certainement" l'album d'images de Gagou et Camouna" de Jean-Pierre Allali. Il permet de faire un émouvant voyage dans cette Tunisie que nous avons tant aimée.
En préface de ce recueil, Serge Moatti a écrit: "les photos sont notre richesse et notre héritage...elles ressoudent les maillons brisés de notre vie".
quelle jolie formule!
merci Bekhor pour ces belles images...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 10 mars 2005 - 09h51:

Une "monstreuse" bataille de polochons a eu lieu a Tel Aviv avant-hier: tres efficace pour evacuer le stress.

Reuters
Israel's "Pillow Fight Club"

In an effort to cushion the effects of their daily stress, hundreds of Israelis held a mass pillow fight in Tel Aviv's central Rabin Square on Tuesday night, Israel Army Radio reported.

"The Pillow Fight Club" organised the fight to "improve the morale" of their tense countrymen.

A pamphlet issued by the club laid down clear rules, including using only soft pillows and forbidding pummelling anyone who was not armed with a a pillow "unless they request to be hit".

Participants appeared to take the event seriously, with one saying she tested her pillows on her little sister before deciding which one to take to the fight.

"Particularly in these days with so much violence and many people feeling the need to vent their aggressions, it's a great thing," another told the radio.

Less pleased seemed to be the municipality cleaners, who had to sweep up the thousands of feathers which covered the square after the fight.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le jeudi 10 mars 2005 - 08h38:

John Bolton : un faucon à l’ONU (info # 010903/5) [analyse]

Par Laurent Murawiec à Washington © Metula News Agency



La nomination au poste d’ambassadeur des Etats-Unis à l’ONU de John Bolton, naguère secrétaire d’Etat adjoint, complète l’équipe Bush et nous fournit la dernière clé requise pour en comprendre les ressorts et les orientations. Pour ce faire, il nous faut faire un tour dans le labyrinthe compliqué de la politique washingtonienne et dans le dédale, certes plus sain, mais non sans méandres, de la politique bushienne.



George Bush, confirmé et conforté par les voix des électeurs américains, a commencé par centrer son équipe autour de ses principes : le secrétaire d’Etat Powell et son adjoint Armitage, qui avaient passé le plus clair de leur temps à saboter la politique moyen-orientale du président, ont été remplacés par la loyale Condi Rice, qui, faute d’être une visionnaire, n’est au moins pas une apostate. Rice qui, craignant par ailleurs la forte personnalité de John Bolton, lui a préféré le pragmatique professionnel Phil Zoellick comme adjoint. Il faut dire que la nouvelle secrétaire d’Etat aime se mettre à l’abri des vagues. De l’autre côté du pôle d’influence, on a gardé Rumsfeld, le "gorille", de même que son numéro deux, l’averti et réfléchi Paul Wolfowitz. Dans cette configuration ancienne-nouvelle, la « tour de contrôle » du gouvernement, Dick Cheney, conserve toute son influence et sa puissance d’initiative et d’inspiration.



Quant au renseignement, George Bush a, à l’automne, – peut-être trois ans trop tard – accepté la démission de George Tenet. Tenet, qui s’était montré soucieux uniquement de protéger l’arrière-train de la CIA, au prix des pires erreurs, de l’incompétence la plus noire et d’une insurrection des cadres supérieurs de la centrale contre le président. Son remplaçant, Porter Goss, tire sur tout ce qui bouge. ça n’améliore pas le rendement de la CIA mais ça a au moins le mérite de décourager les infidélités. Pour ce qui est du Conseil national de sécurité, il est désormais dirigé par le loyal et discret Stephen Hadley, un personnage sans relief ni saillie : Hadley, c’est du management.



Restaient deux grands postes à pourvoir dans l’Administration : le nouveau – et mal défini – job de ‘Directeur national du renseignement’, qui a échu au diplomate de choc John Negroponte ; et celui d’ambassadeur à l’ONU. Ronald Reagan avait donné l’exemple de la fermeté américaine à Manhattan en nommant l’"Irlandais", intellectuel et pugnace, Pat’ Moynihan. Un ambassadeur qui avait semé la terreur en appelant par leurs noms les vilenies soviétomanes, palestinolâtres et tiersmonsdophiles qui régnaient alors aux Nations Unies. Jeanne Kirpatrick lui avait succédé, dame de fer de la diplomatie américaine, qui partageait le penchant de son prédécesseur à dénommer un chat un chat et un assassin un assassin. Le nouvel appelé participe de cette tradition d’ambassadeurs entiers, qui a souvent fait tache dans les salons feutrés de la diplomatie onusienne ; voilà sans doute pourquoi la nomination de Bolton, diplomate chevronné de 56 ans, mais assurément franc-tireur, soulève l’ire, voire la rancœur et la trouille dans les chancelleries, comme on le chuchote chez les mous et chez les partisans habituels des minauderies diplomatiques, républicains modérés et autres démocrates immodérés des Etats-Unis.



Il est vrai que John Bolton dispose d’un palmarès éloquent. C’est lui, en effet, qui fut l’architecte du retrait américain du traité anti-missiles ABM ; un traité au demeurant inutile et même nuisible, mais qui était chéri par les alliés occidentaux ; c’est Bolton, toujours, qui fut à l’origine du refus américain d’accepter que notre constitution soit contredite par le traité instituant la Cour internationale de Justice (Bill Clinton l’avait signé mais jamais soumis au Congrès) ; et c’est Bolton, encore, le responsable du refus de signer le Traité de Kyoto qui punit le succès économique. Pour le surplus, notre nouvel ambassadeur à l’ONU fut le concepteur du PSI (Proliferation Security Initiative) contre la prolifération des armes de destruction massive, ainsi que des négociations à six sur la Corée. Son franc-parler à propos du régime concentrationnaire et affameur de Kim Jong-Il lui avait, à cette occasion, valu les insultes les plus vives de la part de la Corée du Nord. Et lorsque l’ONU cassa l’ignominieuse résolution "Sionisme=Racisme", c’est John Bolton qui fut la cheville ouvrière de cette révision. On le constate, l’homme n’a guère chômé ces quatre dernières années, ce qui était d’autant plus méritoire, qu’il était l’envoyé in partibus infideliis de Bush ; autrement dit, un Bushien en territoire ennemi, au département d’Etat.



L’envoi d’un faucon (un "néo-conservateur" diront les très prévisibles ronchons) aux Nations Unies, une institution qui traverse par ailleurs une crise profonde, est gage d’action salutaire. Kofi Anan, complice du génocide rwandais et du massacre de Srebrenica, coupable de saddamophilie aiguë, d’arabo-adoration et de conduite criminelle dans l’affaire « Pétrole contre Nourriture », est mal en point. L’organisation internationale elle-même chancelle. Cela a constitué une raison de plus, pour George Bush, d’y envoyer un homme de confiance qui parle haut et clair, au lieu des diplomates américains de l’école traditionnelle ; ceux qui préconisaient, encore et toujours, d’engager le dialogue avec les Brejnev, les Assad père et Assad fils, Arafat, avec l’ayatollah de service et autres tyrans de tous plumages. La nomination de John Bolton à Manhattan s’intègre parfaitement dans la ligne d’action de la nouvelle équipe Bush. Une doctrine qu’elle emprunte à l’empereur Tibère, qui déclarait à propos des aristocrates du Sénat romain : "qu’ils me haïssent, pourvu qu’ils me craignent".

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 10 mars 2005 - 08h09:

Le pogrom de Gabès, 1941


J'ai lu le récit et les témoignages de notre collègue Avraham, il était agé en ce temps-là de quatre ans, comme il le mentionne, moi j'avais neuf ans et je me souviens très clairement de ces evènements, puisque nous avons accueilli les famille Boukhobza et le Rabbin Rahmine de Gabès qui étaient venus à Béja comme refugiés. Ce qui a était écrit est incontestable, mais par contre j'aimerais apporter quelques éclaircissements sur cette époque, pour permettre à chacun de voir les choses dans leurs propres contextes. En 1941 la France était sous l'occupation des Nazis et en conséquence il y avait en Tunisie le communiqué du gouvernement français annonçant la promulgation du premier statut des Juifs à partir du 17 octobre 1940. La situation politique était au détriment des Juifs. Il y avait des instigations de la part des autorités françaises. Les Arabes tunisiens se sentait plus libres pour des émeutes. Je ne crois pas que les autorités tunisiennes avaient un pouvoir quelconque sur la population. Quant aux Juifs de la Tunisie ceux-ci non plus n'étaient pas en liberté comme nous la concevons aujourd'hui. Il fallait faire le moindre bruit car on ne voulait pas antagoniser la population et encore moins juste avant l'arrivée des Allemands en Tunisie. Par conséquent le gouvernement tunisien actuel n'a aucun intérêt à ne pas publier le dossier tel qu'il est, si ce dossier se trouve dans les mains des autorités tunisiennes. A mon avis le gouvernement français doit avoir le rapport de cet évenement et c'est à lui seul qu'il faudrait s'adresser. Je salut Avraham pour avoir mis à jour cette malheureuse affaire.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le mercredi 09 mars 2005 - 22h39:

Axelle, je vous fais cadeau de ces deux photos, parmi plusieurs autres, prises en octobre 2004 vers 20 heures, après la visite des souterrains sous le kotel.

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bekhor (Bekhor) le mercredi 09 mars 2005 - 22h12:

Aujourd’hui trois CPA JUDAICA DE TUNISIE.

Cet homme aux grandes moustaches est 100% juif sans contestation aucune.

Pourtant rien n’indique la judaïté de ce monsieur ni devant ni derrière la CPA.

Deux signes différents indiquent la judaïté de cet homme.

Bien entendu la fameuse ceinture en tissus (AKHJEME) qui sépare les deux parties du corps humain, le coté intelligent et spirituel et le deuxième coté dit, bestial et évacuateur de déchets.

Mais le deuxième symbole qui est beaucoup plus rare a trouver sur des photos ou des CPA, c’est le l’insigne brodée coté droit sur la poitrine du monsieur.

Cet insigne tel qu’il se présente sur la CPA était brodé sur toutes les chemises des hommes « TOUENSSA » juifs qui s’habillaient à l’oriental, en signe d’appartenance au peuple juif.

Quand aux deux autres CPA, elle nous montrent comment s’habillaient les femmes juive dans les années 1820 / 1880.


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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Axelle (Axelle) le mercredi 09 mars 2005 - 21h20:

CHAQUE SOIR : MA VISITE AU KOTEL.

Un ami d'Ashdod m'avait donné, il y a quelques mois, les références du site pour voir le kotel.
Ce soir là, la caméra était branchée sur un petit souterrain qui faisait comme un arrondi. Il y avait au fond un autel et autour des tables et des chaises.
Il était environ 3 h du matin et je regardais. Il n'y avait personne. Puis, sont arrivés quelques Rabbins. Ce qui m'a surprise, c'est qu'ils prenaient des tables et des chaises, et ils les emmenaient dehors. Puis, ils les ramenaient !
Mais, j'ai vu quelque chose, qui je dirais, m'a boulversée :
J'ai vu arriver un vieux Rabbin qui marchait en s'appuyant sur son parapluie. Les autres Rabbins semblaient le saluer. Puis, sont arrivés des oiseaux, des colombes, je crois.
Elles sont venues se mettre à ses pieds. Il s'est arrêté et les a regardé. Il leur a dit quelques mots. Elles semblaient l'écouter avec tendresse.
Cette scène était divine. Puis, après, elles sont parties.
Je regardais cette scène émerveillée. Tout en me disant : Cette Terre est vraiment une Terre Sainte. Car, il n'y a qu'en Israël que l'on peut voir des choses aussi magnifiques.
Je continue, tous les soirs, tard dans la nuit, à venir faire un petit tour au Kotel, avant de pouvoir le voir réellement. Après, je m'endors en paix.
Il est magnifique le kotel éclairé la nuit.
C'est d'autant plus extraordinaire de se dire :
Tu es chez toi en France, et tu vois cette merveille qui est en Israël ...
Et, ce soir, j'irai avant de me coucher, regarder le kotel dans toute sa beauté.

Axelle.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le mercredi 09 mars 2005 - 21h09:

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Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lalla (Lalla) le mercredi 09 mars 2005 - 19h57:

Braham
merci de m'avoir repondu; j'eprouve un plaisir intense pour ces echanges tres Harissiens!
j'allais avec mes etudiants, sur le Mont Meron et il nous arrivait de faire une mini cueillette de capres et petits cornichons qu'a la maison je preparais au gros sel; juste pour le plaisir!