Par Henri (Henri) le jeudi 01 mars 2007 - 14h22: |
Bazooka chalom,
C'est ce que j'ai vu hier soir a la tele, un de ces francais s'etait converti, et a eu droit a une priere a la mosquee qu'il frequentait.
Leavdil,
Hag pourim sameah lecoulam.
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 01 mars 2007 - 14h15: |
Re-bonjour,
Quelqu'un aurait-il/elle des details sur l'assassinat de 4 francais en Arabie Saoudite ?
Etonnant le silence autour de cette affaire, paraitrait meme que l'un des ingenieurs assassine s'etait converti a l'Islam ...
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 01 mars 2007 - 12h40: |
Bonjour a tous (et bon jeune a ceux/celles qui font Taanit aujourd'hui).
Je viens de prendre connaissance du post de Primo de ce matin, et suis particulierement choquee des reminiscences d'entre ce vrai-faux proces que l'on veut maintenant intenter a Guy Milliere, et des menaces qui ont pese -- et probablement pesent encore -- sur Robert Redeker.
J'espere que comme moi vous serez nombreux a vous rendre sur le site de Primo pour manifester votre soutien (en paroles et en actes) a Guy Milliere qui nous a toujours soutenus, et auquel il est temps en ce moment d'adversite, de renvoyer l'ascenseur !
http://www.primo-europe.org/index.php
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le jeudi 01 mars 2007 - 12h31: |
Thank You Israel !!! un message a diffuser largement ... Un temoignage d une personne courageuse qui a vecu du cote Libanais de la frontiere et qui ose aujourd hui s exprimer malgre les menaces !!!
http://www.dailymotion.com/kahaniste13/video/x19uzo_temoignage-chretienne-libanaise
Par Messaoud (Messaoud) le jeudi 01 mars 2007 - 11h27: |
l'epicentre de ce triangle que je qualifierais d'équilateral repose toujours sur le meme esprit "DENIGRE" car comme disait l'autre:" denigré ,denigré " il en resteras toujours quelque chose mais je ne pense pas que cela soit l'esprit de ce super forum Tun je cite les trois sommets de ce triangle; Douda, Cacouboulou et Pnina
je peux me tromper mais quoiqu'il en soit, si ils ont des differents à régler qu'ils les règlent via leur messagerie personnelle entre eux sans nous faire participer a leurs problemes car quoiqu'il en soit on n'y pourra rien
P.S :si j'ai utilisé le mot d'epicentre qui reste le centre de gravité c'est je pense, qu'il s'agit toujours de la meme personne mais je peux me tromper auquel cas milles excuses
Amicalement et un chouia exarcerbé
Par Primo (Primo) le jeudi 01 mars 2007 - 02h50: |
LIBERTE DE PAROLE
Voici un peu moins d’un an paraissait en France un livre qui s’est mal vendu et que, depuis, tout le monde a oublié. Je ne citerai pas ici le nom de ce livre, pas davantage que celui de ses auteurs. Ce livre mettait gravement eu cause divers intellectuels dont moi-même.
Ces intellectuels y étaient présentés comme des gens d’extrême-droite manipulant les Juifs français, en collusion avec des intellectuels et activistes juifs ayant, eux aussi, rejoint l’extrême-droite et travaillant pour le compte de l’Etat d’Israël. J’aurais pu réagir en déposant plainte pour diffamation. Diverses expériences passées m’ont incité à penser que ce n’était pas la solution requise.
J’ai préféré, et je l’assume, écrire deux articles dans lesquels je réfutais point par point les allégations contenues dans le livre. Je m’interrogeais aussi sur les motivations de ses auteurs, estimant que dénoncer des Juifs qui manipuleraient d’autres Juifs pour le compte d’un État étranger pouvait avoir aussi des conséquences et que salir la réputation de diverses personnes pouvait avoir des conséquences aussi.
J’ai décrit les procédés utilisés par les auteurs du livre : l’un d’entre eux m’avait contacté, plusieurs mois auparavant sous un faux prétexte et avait ensuite déformé mes propos. Il avait procédé d’une même façon avec d’autres personnes. Cela devait être dit.
J’ai utilisé, j’en conviens, le ton de l’indignation, qui fut longtemps celui des pamphlets publiés en France par divers auteurs dont François Mitterrand ou Jean-François Revel. J’ai utilisé un mot que j’ai trouvé dans les écrits philosophiques de Jean-Paul Sartre dans la jeunesse. J’ai usé aussi de mots que j’ai rencontrés en abondance dans la critique littéraire au fil du temps, tels qu’arrogance et cuistrerie. Des proximités évidentes existaient entre les allégations proférées contre moi par les auteurs du livre et un «rapport du Mrap» publié quelques années auparavant et, depuis, condamné par la justice: j’ai souligné, de manière véhémente, ces proximités.
Je m’attendais à ce que le livre me vaille de nouvelles menaces et insultes, et j’ai reçu, par mail, menaces et insultes, comme je m’y attendais. Leur nombre est resté limité, et j’ai relié cela au fait que le livre n’avait rencontré qu’un public limité.
Je m’attendais à une absence de réponse de la part des auteurs du livre (diffamer et se voir démasqué fait, en général, que l’auteur de la diffamation n’insiste pas), à la rigueur à une réponse écrite (bien que j’aie eu du mal à imaginer ce qu’elle pourrait être). Ce à quoi je ne m’attendais pas est ce à quoi je suis confronté aujourd’hui : une double plainte en justice. Pour injures et pour diffamation ! Plutôt que répondre sur le fond, les auteurs du livre ont choisi d’ajouter à la diffamation et à leurs très étranges méthodes de travail un recours à la démarche la plus procédurière. Je me garderai de dire ce que j’en pense et je craindrais qu’on déduise que j'ironise si je me hasardais à dire que cela montre qu’on a affaire à des journalistes très éthiques et très scrupuleux. On a, en tous cas, affaire à des gens chez qui la honte est un sentiment apparemment étranger.
Je ne sais si je serai condamné. Mais le strict et simple fait que je puisse être mis en examen pour avoir utilisé des mots qui se rencontrent de façon très courante dans la littérature pamphlétaire et dans la critique littéraire, voire dans la philosophie, me semble très inquiétant.
Dans un article récent, je définissais ce qu’avait été mon parcours de dissident. Certains de ceux qui m’ont lu ont pensé que je baissais les bras et je leur ai aussitôt répondu que non, je ne baissais pas les bras, quoi qu’il puisse m’en coûter. D’autres parmi ceux qui m’ont lu ont hurlé avec les chiens, ce qui ne m’a pas surpris.
Je dirai aujourd’hui que, bien plus loin que ma propre personne et ces mises en examen, ce qui est en jeu aujourd’hui est la liberté de parole en France. Ma condamnation, ainsi que celle de ceux qui m’ont publié (Mena, Primo-Europe), équivaudrait à dire que la critique se fait en France sous le regard de la justice et de la police, ce qui serait une immense et grave régression. Cela équivaudrait à conférer à certains le droit d'en salir d'autres et de les exposer à la vindicte sans que ces autres gens puissent répliquer.
Il existe, en France, une tendance croissante à pratiquer une police de la pensée et à tenter de faire condamner quiconque pense différemment de vous ou ose vous critiquer. Cette tendance doit être brisée. Une vieille phrase dit que la liberté s’use lorsqu’on ne s’en sert pas. La liberté en France est en train de s’user. Il importe de s’en servir et de rappeler ce qu’elle est avant qu’elle ne soit usée jusqu’à la corde et que la corde ne montre sa dimension totalitaire.
A ceux qui me diraient que j’exagère, je répondrai que je rentre tout juste d’un pays où la parole est infiniment plus libre qu’en France et où nul ne pourrait songer à saisir la justice pour la restreindre sans être débouté et sans se déshonorer durablement : les États-Unis. Et j’ajouterai que la liberté de parole qui existe aux États-Unis se retrouve dans l’ensemble des pays de tradition anglaise, de l’Australie au Canada, du Royaume-Uni à la Nouvelle Zélande. Voici deux cent cinquante ans, Voltaire se demandait s’il ne serait pas judicieux et propice d’observer ce qui se passe outre-Manche : en France, à l’époque, régnaient censure et autorisation préalable. Il m’arrive, aujourd’hui, de penser comme Voltaire voici deux cent cinquante ans, et je ne pense pas que ce soit un crime.
A ceux qui dédaigneraient mes mots, je dirai que quiconque observe la liberté de parole sous un angle planétaire discerne vite que, d’ores et déjà, la France, sans être un pays où l’on risque directement sa vie si l’on ne baigne pas dans le «politiquement correct» ambiant est néanmoins un pays où règne un conformisme écrasant qui n’est pas sans conséquences en termes de vigueur créative.
J’enseigne depuis des années la philosophie du droit et le droit de l’information. J’explique dans mes cours que les lois françaises en matière d’information sont porteuses de restrictions à la liberté de parole, mais qu’elles sont tempérées par le fait qu’on ne les applique pas, en général, dans toute leur rigueur. J’ajoute souvent qu’il faudrait à la France quelques efforts pour être un pays pleinement respectueux de la liberté de parole.
Il semblerait que certains entendent présentement user et abuser du texte des lois en espérant qu’elles soient appliquées à des fins que je n'ai nul besoin de qualifier ici pour qu’on discerne ce qu’elles sont.
En ce contexte, c’est maintenant que les efforts devraient être faits. C’est maintenant qu’il faut veiller à ce que la France devienne enfin pleinement un pays de liberté de parole. Il se peut, au train où vont les choses, que dans quelques années, il soit trop tard. Je ne veux pas penser qu’il est déjà trop tard., même s’il arrive que l’idée me traverse l'esprit.
Les mises en examen dont je fais l’objet constituent pour moi, en tous cas, une forme de test. Si je devais être condamné, j’en tirerai les conclusions qui s’imposent. Je ne renoncerai pas, pour le moment, à écrire en langue française. Je renoncerai, en revanche, à critiquer un livre rédigé et publié en France. Je me dirai qu’être diffamé en France, quand on n’est ni «anti-libéral», ni «anti-américain» ni «anti-israélien» implique, comme au temps où régnaient ici ou là les pestes brunes ou rouges, qu’on se taise et qu’on fasse ses valises.
Et, bien sûr, j’accélérerai mes procédures de départ vers des cieux plus sereins. Le simple fait que je puisse être mis en examen pour les motifs stipulés ressemble à mes yeux à l’antichambre d’une condamnation.
Guy Millière © Primo-Europe, 28 février 2007
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le jeudi 01 mars 2007 - 00h15: |
Madame Pnina,
Je ne vous permets pas de m'invectiver, et je vous interdits de me traiter de Babala, même si vous êtes la maman de ce Robabekia de Douda, avec tout le respect du à votre grand âge celui là au moins il s'est fait banire comme vous dites, et c'est tant mieux car maintenant on commence à respirer sur le ADRA, on kiff beaucoup mieux, depuis qu'il s'est fait tirer les oreilles, par qui vous savez.
Vous auriez du vous occuper de son éducation, au lieu de faire en sorte qu'il lui soit interdit, de me fréquenter !
Vous vous rendez compte que vous faites en cela appel, à une porte parole qui par gentillesse ne vous a pas contrariée, car c'est une bonne âme, qui a du vous prendre en pitié ?
Vraiment votre place n'est pas sur le forum, et si les films du Rex ne vous plaisent pas, pourquoi vous cliquez ? C'est pour faire du scandale ?
Et puis votre La Douda, je ne le connais pas, alors Basta ! N'appelez personne à votre secours, et si ce n'est votre grand âge, je vous aurais dit que votre place est à la Manouba, car la bas on ne contrarie personne avant ou après la douche froide !
Je vous souhaite bonne nuit, et arrètez donc d'insinuer n'importe quoi, merci d'avance,
Par Claudia (Claudia) le jeudi 01 mars 2007 - 01h07: |
Un député druze, premier président arabe d'Israël
JERUSALEM (AP) - Un Arabe est devenu président de l'Etat hébreu mardi. Une première qui ne devrait pourtant pas durer plus d'une semaine.
La présidente par intérim Dalia Itzik ayant quitté le pays mardi pour un voyage aux Etats-Unis, c'est en effet le Druze Majalli Wahaba, son adjoint et vice-président de la Knesset, qui hérite de la fonction en son absence.
Le voyage de Majalli Wahaba vers la charge présidentielle, même provisoire, a débuté le mois dernier avec la suspension du président Moshe Katsav, accusé de viol: ce dernier avait alors été remplacé par la présidente du parlement Dalia Itzik.
En l'absence de celle-ci, Majalli Wahaba hérite de ses deux fonctions, à la tête du parlement et de l'Etat, devenant ainsi le premier membre de la minorité arabe d'Israël à occuper ce poste prestigieux.
Wahaba a déclaré à l'agence Associated Press qu'il prenait son statut de président au sérieux, précisant toutefois qu'il "préférerait occuper cette position dans des circonstances différentes".
Les Arabes israéliens sont 20 % d'une population totale de 7 millions d'habitants. Victimes de discrimination de la part des autorités pendant des décennies et particulièrement touchés par le chômage, ils affichent des revenus et des niveaux d'éducation extrêmement bas. Les Druzes ont un statut à part en leur sein, étant les seuls à servir dans l'armée de l'Etat hébreu.
Agé de 53 ans, Majalli Wahaba, espère que sa promotion temporaire soit symbolique d'une amélioration de la situation des citoyens arabes. "Nous nous battons encore quand il y a des inégalités", a-t-il dit,"mais le fait est que j'ai tous les pouvoirs d'un président de l'Etat d'Israël".
Majalli Wahaba, membre du parti Kadima fondé par Ariel Sharon, a quitté l'armée avec le grade de lieutenant-colonel. Il est diplômé en histoire du Moyen-Orient de l'université d'Haifa. AP
Par Meyer (Meyer) le jeudi 01 mars 2007 - 00h05: |
Un pianiste, Gershon Silbert, et un informaticien, Eddy Hakim, ont développé un programme qui permet d'éxécuter des oeuvres musicales avec une qualité comparable à celle d'artistes professionnels.
Striking the right tone
By Haggai Hitron
http://www.haaretz.com/hasen/spages/830980.html
Pour écouter et comparer des interprétations réelles et virtuelles
http://www.silpormusic.com/demo.htm
Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 28 février 2007 - 17h00: |
Pour tout savoir et surtout, pour feter Pourim:
http://www.jr.co.il/hotsites/j-hdaypu.htm
Hag Pourim Sameah le Koulam/n !!!