Archive jusqu'au 04/mars/2007

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2007: Commentaires Mars 2007: Archive jusqu'au 04/mars/2007
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le vendredi 02 mars 2007 - 15h26:

Pourim la fete de la Joie.

Shabbat Shalom 020307

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le vendredi 02 mars 2007 - 15h01:

Lors de l'allumage d'un équipement électrique, le contact et surtout la rupture peuvent générer une étincelle, d'autant plus importante si l'interrupteur commande, un équipement selfique ( électromagnétique ), comme un moteur, la télé, le téléphone, le lave linge ou autres,,,

Or la nature même du feu, rejoint celle de l'étincelle, car tous les deux sont considérées comme des plasmas,,, Mais comme à l'époque où furent édictées ces lois, l'électricité était inconnue, alors on peut dire que l'interprétation est libre.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le vendredi 02 mars 2007 - 14h18:

parapluie

poux

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le vendredi 02 mars 2007 - 13h58:

Interdits le Shabbat

Mes amis, respecter les interdits ou les commandements de la religion est une question de Foi !

Je pense que nous nous aidons des explications logiques pour essayer de justifier notre propre selection des lois Halakhiques.
Tout comme certains Rabbins vont au dela de ces lois en pensant peut etre les proteger.

Voila pour aider un peu le debat, quelques Perles des Erudits d'aujourd'hui. Ce sont des coupures de journaux israeliens auxquelles j'ai ajoute la traduction en francais.

parapluie

poux

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shalom (Shalom) le vendredi 02 mars 2007 - 12h53:

Vous avez raison,en ce qui me concerne. Le fait d'allumer une lampe électrique avec un interrupteur et aussi d'autres interdits comme : de prendre le métro, l'ascenseur, ou ouvrir une porte etc..., ne sont pas des gestes assimilables avec l'allumage de feux le Shabbat.

Salut

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Girelle (Girelle) le vendredi 02 mars 2007 - 12h10:

Bien évidemment, Meyer, ces articles sont nuls de plein droit, mais c'est leur lecture qui blesse et fait scandale, et c'est littéralement scandaleux que effacer deux lignes ait ce coût là.

Merci pour le portail, Meyer, en même temps je transmettrai à mon amie qui a la délicatesse de se pencher sur ce qui pourrait gêner les autres.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le vendredi 02 mars 2007 - 11h34:

Le courant électrique, est-il assimilable à allumer le feu un Shabbat?

Peut-on, étant donné qu'on ne touche pas vraiment le courant, faire usage de minuteries électriques ou électroniques ?

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Primo (Primo) le vendredi 02 mars 2007 - 09h12:

Communiqué de presse
PRIMO EUROPE MIS EN EXAMEN
POUR SA LIBERTÉ DE TON

Le 27 février 2007, Pierre Lefebvre, Président de Primo, a été mis en examen es qualité sur plainte de Johan Weisz pour injures et diffamation.

Qui est Johan Weisz ?

Nul ne peut tenir rigueur à ceux qui l’ignorent : ne pas le connaître n’est pas une manifestation d’inculture, c’est plutôt un signe de bonne santé mentale.

Il s’agit d’un jeune homme dont l’ambition est inversement proportionnelle au talent. Une ambition démesurée. Il a co-signé avec Cécilia Gabizon, journaliste au Figaro, un ouvrage au titre racoleur dont l’objectif était clairement de devenir un best-seller. Mission accomplie ? Grâce au scandale, il est possible que ce livre se vende un peu mieux. C’était peut-être le but recherché.

Pour prouver que les Juifs sont passés en bloc de la gauche à la droite, les auteurs n’ont reculé devant aucun argument, aucune allusion, aucun mensonge, aucune médisance, aucune diffamation.

Un dicton juif prétend que «là où il y a deux Juifs, il y a trois partis politiques». Les auteurs, eux, voient leur objet d’étude comme un bloc monolithique sensible aux manipulations les plus grossières.

C’est probablement la raison pour laquelle ils ont manipulé les informations recueillies auprès d’un certain nombre d’intellectuels, notamment des non Juifs : déclarations tronquées, interviews obtenues sous de faux prétextes…

Interviewé par Primo-Europe à sa demande expresse, le jeune Weisz a persisté et signé dans ses insultes et diffamations. Fidèle à son objectif de rééquilibrage de l’information, Primo a publié, dans la foulée, les droits de réponse des intellectuels dont il salissait le nom et la réputation.

C’est ainsi qu’ont paru sur Primo des textes d’Alexandre del Valle et de Guy Millière que le jeune auteur avait demandé à rencontrer en leur cachant qu’il en tirerait des éléments pour écrire un livre.

Millière ne mâche pas ses mots : il accuse Weisz «d’inventer des statistiques, d’interviewer des gens pour mieux falsifier ensuite leurs propos…».

Dans son droit de réponse au ton pamphlétaire, il porte des accusations sérieuses qu'il affirme pouvoir assumer.

Plutôt que de démontrer le contraire en se plaçant sur le plan des idées, Weisz a opté pour la justice : «M’sieu, M’sieu ! Y m’a traité !», a-t-on l’impression d’entendre de sa bouche.

En choisissant le terrain procédurier plutôt que celui de la controverse, il franchit un grave palier que nous avons refusé d’escalader. Contrairement à lui, nous souhaitons privilégier le débat intellectuel et éviter de transformer l’agora démocratique en désert judiciaire.

Chacun ses choix, chacun ses limites. Nous avons choisi la raison, lui est esclave de son ego.

Cet ego qui conduit Guy Millière, pour avoir écrit ce qu’il pensait des «méthodes journalistiques» d’un jeune ambitieux sans scrupule, et Primo-Europe pour avoir publié son texte, à se retrouver devant le Tribunal de Grande Instance de Paris.

Nous montrerons, nous prouverons, en totale solidarité avec Guy Millière, qu’il est encore permis, en France en 2007, d’affirmer qu’un livre est mauvais sans que les auteurs portent l’affaire devant la justice. Cette instrumentalisation de l’appareil judiciaire ne rend pas service à la démocratie, encore moins au débat intellectuel.

Après l’affaire des caricatures, un nouveau cap vient d’être franchi : il est désormais interdit d’affirmer qu’un livre est mauvais. Les critiques littéraires ont du souci à se faire.

Nous refusons cette dérive car nous la pensons dangereuse pour nos libertés fondamentales. C’est donc le cœur serein que nous allons au procès, persuadés que la justice française, celle qui est issue des Lumières et de la dispute féconde des idées, ne saurait mélanger la quête de notoriété et la simple, banale liberté d’expression. Maître Gyslain Di Caro, notre avocat, agira en ce sens.

Primo-Europe est une association de bénévoles qui ne comptent ni leur temps ni leur énergie passés au service de la vérité. Vous êtes 300 000 visiteurs par mois à leur prouver qu’ils ne dépensent en vain ni l’un ni l’autre.

Weisz pensait nous intimider. Il en va tout autrement. Certes, un procès est toujours fort coûteux en temps, en énergie et en finances. Pour ce qui est du temps et de l’énergie, Primo et Guy Millière puiseront dans leur stock.

Une procédure judiciaire, quant à elle, est coûteuse. Elle dépasse même les possibilités financières de notre association, qui ne reçoit ni aide ni subvention de l’Etat et de collectivités locales. Primo lutte contre le racisme mais n’a rien à voir avec certaine autre structure qui fait de la lutte contre le racisme son fond de commerce.

La force de Primo Europe, c’est le réseau d’amis, de connaissances partout en France et en Europe. C’est ce réseau, c'est-à-dire vous, que nous sollicitons maintenant, afin que justice soit rendue.

Participez activement à notre combat commun contre la mauvaise foi et la médisance.

Envoyez vos contributions, en mentionnant «procès» au dos du chèque, à

Primo-Europe - BP 19 – 94001 CRÉTEIL

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pauline (Pauline) le vendredi 02 mars 2007 - 08h33:

Cameron déclenche une nouvelle polémique

Un documentaire sur le « tombeau de Jésus » et de son fils

Il s’agit d’un documentaire produit par le réalisateur de Titanic James Cameron qui affirme que Jésus est enterré en Israël aux côtés de Marie-Madeleine avec qui il aurait eu un fils.

Cette thèse a aussitôt déclenché une polémique qui risque de prendre des proportions aussi démesurées que celle du Da Vinci Code de Ron Howard qui, lui aussi, insistait sur le caractère terrestre de Jésus. Selon « Le Tombeau perdu de Jésus », réalisé par l’Israélien Simcha Jacobovici, le tombeau, découvert dès 1980 se trouve à Talpiot, un quartier de Jérusalem, et des analyses permettent aujourd’hui d’affirmer qu’il aurait renfermé le corps de Jésus mais aussi de sa compagne et de leur fils, prénommé Judas. Mais Cameron se défend de toute volonté polémique : « En tant que documentariste, je ne dois pas avoir peur de chercher la vérité », a dit James Cameron, lors d’une conférence de presse à la Public Library (bibliothèque) de New York, évoquant la présence de « preuves tangibles et inédites » de l’existence physique de Jésus. « Je sais qu’on va dire que l’on tente de saper le christianisme. C’est loin d’être le cas. Cette enquête salue l’existence réelle de ces personnes », a-t-il précisé. Le film, qui sera diffusé le 4 mars sur la chaîne câblée américaine Discovery Channel, s’appuie sur la présence de plusieurs noms hébreux inscrits sur les cercueils du tombeau : Yehoshoua Ben Yossef (Jésus fils de Joseph), Yéhouda Bar Yehoshoua (Judas fils de Jésus), Marthe et Myriam (Marie). L’ADN du contenu des ossuaires « Jésus fils de Joseph » et « Mariamene e Mara » a aussi montré que ces deux personnes n’avaient pas de lien sanguin. Comme la présence dans le même tombeau suggère un lien familial, le film avance que Jésus et Marie-Madeleine ont pu former un couple. Le documentaire s’appuie aussi sur un modèle statistique pour contourner l’argument de la fréquence de ces noms à l’époque. Etudiant la probabilité de trouver tous ces noms ensemble, Andrey Feuerverger, professeur de mathématiques à l’Université de Toronto, conclut que la probabilité est de 600 contre 1 que le tombeau de Talpiot est bien celui de Jésus. Pourtant la théorie est déjà contestée par d’autres, comme Amos Kloner, éminent archéologue israélien, pour qui le documentaire n’apporte « pas de preuve scientifique ». « C’est un tombeau juif du premier siècle après J.-C. », a-t-il déclaré à l’AFP. « Les noms visibles sur six des ossuaires sont très intéressants, car ils rappellent ceux des principaux personnages du Nouveau Testament. Mais qui dit que “Marie” est Madeleine et que “Judas” est le fils de Jésus ? Cela ne peut être prouvé. » Selon M. Kloner, sur les 900 tombeaux retrouvés autour de la vieille ville de Jérusalem et datant de la période du Second Temple, le nom de Jésus revient 71 fois - bien que sans la mention « Jésus fils de Joseph ». L’Autorité des antiquités israéliennes a pour sa part refusé d’avancer des commentaires. Pourtant, en 1996, un porte-parole avait évalué à « proche de zéro » la probabilité que la tombe de Talpiot soit celle de Jésus. En attendant, des organisations chrétiennes n’ont pas tardé à faire connaître leur mécontentement. Le pasteur Rob Schenck, président du Conseil national du Clergé, a dénoncé lundi cette « fiction hollywoodienne déguisée en fait scientifique ». « Depuis des années, Hollywood attaque le christianisme », regrette-t-il, citant le précédent du Da Vinci Code. En affirmant que « les restes de Jésus sont redevenus poussière, avec ceux des membres de sa famille, le cinéaste hollywoodien nie la divinité du fils de Dieu et sa victoire sur la mort. Cameron veut clairement planter un pieu dans le cœur du christianisme ». Pour les églises catholique et orthodoxe, la tombe du Christ se trouve sous l’église du Saint-Sépulcre à Jérusalem, tandis que les protestants la situent plus au nord, hors des murs de la vielle ville. Quoi qu’il en soit, ce documentaire risque de faire plus de bruit que le Da Vinci Code. Ce qui ne fera que susciter l’intérêt des curieux qui seront nombreux à le voir ou à chercher à se le procurer.

Z. M.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Girelle (Girelle) le vendredi 02 mars 2007 - 03h32:

Viviane, je suis propriétaire de mon appartement depuis 35 ans, je n'ai jamais eu en main le réglement de ma copropriété.

Je crois que vous n'avez pas compris, il ne s'agit en aucun cas de "contrats de location" qui circuleraient, et la mairie n'a strictement rien à voir avec cela, il s'agit de réglement de copropriété, c'est pour cela que le changement a un coût.

Par ailleurs, de changement de syndic en changement de syndic, à moins que ne se pose à l'assemblée un problème grave, le fameux règlement stagne au fond d'un dossier et personne ne le lit à fond.

Le coût de la modification a surement fait étouffer la chose par les quelques syndics qui l'ont peut-être lu.

La communauté juive de Nice est très importante et très écoutée...et très logée, bien sûr !!

je persiste à penser que les frais engendrés par ces changements incombent à l'Etat, je suis sûre que les syndics des immeubles d'avant guerre sont tous en train de se pencher sur le problème, dans toute la France et principalement à Paris.