Par Girelle (Girelle) le mercredi 07 mars 2007 - 11h36: |
Ségolène Royal parle de réformer le système électoral pour qu'un candidat qui a un "soutien significatif" dans l'opinion puisse se présenter.
Formule floue, comment vérifiera t-on le "soutien significatif" en question?
Un candidat peut avoir eu ce soutien là une fois et s'être déconsidéré entre temps...et pour les autres comment procéderait on? par sondage?
Demander 500 signatures sur 46.000 élus, voilà un soutien significatif dont la proportion ne semble pas exorbitante.
Ce n'est de la faute de personne d'autre que lui même si Le Pen peine à avoir ses signatures.
Ses prises de position xénophobes et révisionnistes en sont la cause.
Pour Sarkozy, comme pour Ségolène Royal, la position la plus confortable serait de se retrouver face à Le Pen au second tour.
Bayrou ne fait pas ce genre de calcul: voir les sondages.
Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 07 mars 2007 - 11h15: |
Qui n'avait pas encore compris que Sarko a interet a ce que Le Pen se presente pour recuperer ses voix au 2e tour ?!
Par Viviane (Viviane) le mercredi 07 mars 2007 - 09h10: |
La décision de Nicolas Sarkozy de se «battre» pour que le patron du FN soit candidat suscite réserves et suspicion à gauche comme à droite.
Par Alain AUFFRAY
QUOTIDIEN : mercredi 7 mars 2007
Signez pour Le Pen, c'est Sarkozy qui vous le demande ! L'UMP a beau faire passer le message avec insistance, les élus ne se bousculent pas pour rendre possible la candidature du vieux chef de l'extrême droite. A en croire les chiffres communiqués hier par le FN, seulement 410 des quelque 45 000 parrains potentiels ont effectivement signé. A dix jours de la clôture des dépôts de candidature, il en manquerait donc encore une petite centaine. Lundi soir, sur France 3, Nicolas Sarkozy a jugé impensable que Le Pen soit exclu de la compétition : «La démocratie ne doit pas être confisquée par un petit nombre de gens, [...] je me battrai pour que M. Besancenot comme M. Le Pen puissent défendre leurs idées», a-t-il proclamé.
Les états-majors de François Bayrou et de Ségolène Royal ont vivement réagi, hier. Sous prétexte de défendre la démocratie, l'UMP serait engagée avec cynisme dans des manoeuvres politiciennes : si Le Pen doit être candidat, c'est que Sarkozy y trouve son compte. De fait, les politologues sont à peu près unanimes pour considérer que les électeurs du FN seront mieux disposés, au second tour, à l'égard de Sarkozy si ce dernier se montre favorable à une candidature Le Pen.
Bassement. Si, au contraire, le leader du FN était absent au premier tour, ces électeurs en tiendraient pour responsable le ministre de l'Intérieur. L'UMP se défend de toute manoeuvre bassement électoraliste. «Nous sommes dans un rendez-vous démocratique, et nous pensons que les principaux courants de pensée qui existent dans notre pays doivent être présents à l'élection présidentielle», explique le porte-parole de l'UMP, Luc Chatel. Sa consoeur Valérie Pécresse ajoute que le seul objectif de l'UMP, c'est de combattre Jean-Marie Le Pen à la régulière, «dans le cadre de la campagne».
«C'est un coup tactique», a répliqué hier le maire PS de Paris Bertrand Delanoë. Si les règles de désignation des candidats sont si mauvaises, «pourquoi la majorité qui dirige depuis cinq ans n'a-t-elle pas proposé de les modifier ?» s'est-il interrogé sur i-Télé. Pour Vincent Peillon (PS), porte-parole de Ségolène Royal, l'UMP tente de cacher des «arrière-pensées bien inquiétantes» : «il fait un choix politique dangereux, un geste vers le FN». François Bayrou, lui, refuse de s'abaisser à commenter : «Jean-Marie Le Pen sera présent dans la course. Ces déclarations ne sont qu'une mise en scène.»
Silencieuse. L'UMP rejette toutes ces accusations. Au QG de campagne, on assure que le bénéfice électoral d'une candidature Le Pen est «loin d'être démontré», et on maintient qu'il ne s'agit que de satisfaire à une «nécessité démocratique». Au nom de cette «nécessité», le conseiller général UMP de Rouen, André Danet, a annoncé lundi avoir donné sa signature à Le Pen. Agé de 82 ans, cet ancien collègue de Jean Lecanuet n'aurait pas l'intention de se représenter... Mais, comme l'a rappelé hier Valérie Pécresse, l'appel aux parrainages s'adresse moins aux maires UMP qu'à la grande majorité silencieuse des élus sans étiquette. «Nous ne sommes pas des variables d'ajustement», réplique Gérard Pelletier, le président de l'Association des maires ruraux. Il affirme que «parrainer un candidat, c'est le soutenir» et espère que les élus des villages ne répondront pas à l'appel de l'UMP.
Seul point de consensus : ce système devra être réformé pour la prochaine présidentielle. Ségolène Royal juge normal que les partis disposant d'un soutien «significatif» dans l'opinion puissent présenter un candidat à l'élection. Elle s'est engagée à réformer le système des parrainages si elle était élue. Pour 2007, le problème reste entier, et la candidate s'étonne que le «ministre de l'Intérieur, qui est aussi le ministre des élections, découvre ce problème aujourd'hui».
ref.: "Libération" du mercredi 6 mars 2007
Par Pauline (Pauline) le mercredi 07 mars 2007 - 08h19: |
Israël et l’Iran se partagent les records d’impopularité
06/03/07
Le Figaro et le Monde du 6 mars mettent en exergue un sondage diffusé par la BBC et réalisé par l’Institut GlobeSan et par le « Programme sur les attitudes en politique internationale » de l’Université du Maryland, auprès de 28389 personnes dans 28 pays. Ce sondage qui est publié tous les six mois invite les sondés à « donner leurs avis sur l’influence jouée par douze nations dans le monde (Grande-Bretagne, Canada, Chine, Corée du Nord, Etats-Unis, France, Inde, Iran, Israël, Japon, Russie, Venezuela). » rapporte les quotidiens.
Le sondage révèle qu’Israël recueille le pourcentage le plus important d’opinions négatives dans les opinions publiques mondiales soit 56% contre 17% d’opinions positives et 23 pays défavorables sur 27. Arrivent ensuite l’Iran (54% négatifs contre 18% positifs et 21 pays défavorables sur 27), les Etats-Unis (51% négatifs contre 30% positifs et 20 pays défavorables sur 27) et la Corée du Nord (48% négatifs contre 19% positifs et 20 pays défavorables sur 27).
Selon le Figaro, ce sondage montre que « les dirigeants « va-t-en-guerre » de Jérusalem ou de Washington ne seraient pas plus respectables que ceux de Téhéran ou de Pyongyang… ».
Le directeur de ce programme, Steven Kull estime dans le Figaro que « les populations à travers le monde tendent à porter un regard négatif sur des pays dont le profil est marqué par l’usage ou la poursuite de la force. Cela inclut Israël et les Etats-Unis, qui ont récemment utilisé leurs armées, et la Corée du Nord et l’Iran, qui sont mal perçus car ils tentent de développer leurs armes nucléaires. »
« A contrario – poursuit le quotidien – Le Canada emmène le peloton des nations favorablement jugée » (53% positifs contre 14%négatifs), le Japon (54% positifs contre 20% négatifs), l’Union européenne (53% positifs contre 21% négatifs).
La France se classe en tête des nations citées plus favorablement.
http://news.bbc.co.uk/2/hi/middle_east/6421597.stm
Par A_Soued (A_Soued) le mercredi 07 mars 2007 - 05h56: |
L'EUROPE MANIPULE LA SOCIETE ISRAELIENNE
Par Gerard Steinberg dirige le Programme du Management des Conflits à l'université Bar Ilan et directeur de NGO Monitor, organe surveillant les ONG
Paru dans le Jerusalem Post du 21 février 2007.
Traduit par Albert Soued, www.chez.com/soued/conf.htm pour www.nuitdorient.com
On connaît les différences de points de vue sur le statut de la Judée-Samarie entre l'Europe et le gouvernement Israélien. A Londres, Paris ou Bruxelles, ce territoire est appelé "territoire occupé", alors qu'à Jérusalem on le désigne par "territoire contesté".
(1)
Un débat similaire s'installe dans la société Israélienne. En effet, des groupes d'idéologie différente défient la politique du gouvernement sur les territoires, de même que sur l'expansion ou la suppression des implantations ou sur la route de la barrière de sécurité.
Le débat est important, légitime et très complexe.
Mais quand des gouvernements étrangers coopèrent avec des groupes Israéliens privés et les financent pour s'opposer à une politique prônée par des dirigeants élus démocratiquement, un problème se pose. Il s'agit alors d'une violation de souveraineté et un exemple clair de néocolonialisme.
Nous avons découvert récemment sans surprise que l'ambassade britannique à Tel Aviv finançait une ONG connue sous le nom de "Bimkom", (planificateurs pour des droits de planifier). L'objectif évident de la recherche de cette organisation concerne l'impact de la barrière de sécurité sur les villages pris au milieu du tracé. Comme Bimkom est un groupe politique, le résultat de "sa recherche" est connu par avance. Ainsi le gouvernement britannique recevra une analyse d'un groupe Israélien qui soutient le point de vue anglais contre le tracé de la barrière. Londres aurait pu recevoir la même information de ses services du renseignement, mais sans la "dimension politique". De même Bimkom reçoit du gouvernement Danois 200 000$ de fonds pour un projet concernant "les voisinages Palestiniens".
Pendant des années, les gouvernements Européens ont utilisé la même approche pour financer des organisations politiques Israéliennes connues, telles que "la Paix maintenant", Btselem ou le Centre Peres (2). Le Ministère des Affaires Etrangères Suisse et l'Union Européenne (UE), entre autres, ont soutenu la campagne de relations publiques ratée pour vendre au public Israélien l'initiative de Genève --- une proposition de paix proposée par Yossi Beilin et ses partenaires Palestiniens.
Et sous la dénomination trompeuse de "partenaires de la paix", la délégation de l'UE à Tel Aviv finance un groupe connu sous le nom de "Comité Israélien contre la démolition des maisons" qui fait la promotion du boycott anti-israélien et pour le désinvestissement. Il finance aussi des groupes arabo-israéliens, comme Mossawa et Adallah, qui, tout en se faisant les avocats d'une plus grande justice socio-économique à l'égard des Arabes Israéliens, ne cherchent qu'à enlever toute légitimité à l'Etat Juif, en le démonisant.
Ce qui est nouveau dans le cas de Bimkom c'est la réponse du Ministère des Affaires Etrangères: "C'est une interférence de la Grande Bretagne dans les affaires interieures d'Israël. Comment réagirait-on à Londres si notre ambassade finançait des recherches d'une organisation britannique essayant de saboter un programme du gouvernement?"
Le langage y est diplomatique et sous-entendu, mais en langue anglaise, et surtout première réaction à un défaut fondamental de la politique européenne à l'égard d'Israël.
Une réponse plus directe aurait pu fournir des possibilité précises d'interférence, comme une campagne publicitaire à Paris et à Londres, financée par les Etats-Unis, contre l'avortement, ou une propagande soutenue sur le conflit anglo-irlandais, ou le soutien des séparatistes en France ou en Espagne.
Il faut préciser de plus que l'ampleur du financement Européen d'organisations politiques Israéliennes ou Palestiniennes faisant la promotion des droits de l'homme, de la paix et de la démocratie est énorme et en grande partie secrète. La bureaucratie Européenne a massivement créé un réseau complexe d'agences de financement de "la société civile" de la région, sans répertoire centralisé, ni système de contrôle. Jusqu'à l'an dernier, le bureau de l'UE à Tel Aviv violait ses propres principes de transparence et gardait secrète la liste des ONG Israéliennes bénéficiaires, surtout par crainte de menaces de représailles violentes. Les enquêtes de "NGO monitor" ont réussi à obtenir un changement, mais pas pour la liste des ONG palestiniennes qui reste secrète pour une grande part.
La volonté nouvelle du gouvernement Israélien d'affronter cette manipulation de la société civile israélienne par des gouvernements européens, y compris la Suisse et la Norvège, marque un tournant. Au-delà du simple avertissement, les responsables israéliens devraient fournir des dossiers détaillés sur les circuits de financement des ONG politisées à toutes les réunions avec des chefs d'Etat, des ministres d'affaires Etrangères ou d'officiels du gouvernement.
Si l'Europe s'attend à jouer un rôle plus important dans la sécurité et la diplomatie de la région, elle doit s'abstenir de financer le sabotage des rouages politiques d'Israël, aussi bien sur le plan intérieur que sur l'arène internationale. En Europe on doit aussi scruter les groupes amorphes qui s'intitulent "organisation de la société civile" ou "ONG". Il faut rappeler que ces groupes puissants ne sont pas élus et leurs dirigeants ont tout pouvoir, puisqu'ils ne sont responsables devant personne.
Dans les démocraties, les officiels gouvernementaux qui obtiennent des crédits pour ces groupes poursuivent leurs propres objectifs ou intérêts, sans contrôle et en toute clandestinité. Dans les sociétés fermées et non démocratiques comme la Syrie, l'Egypte ou l'Autorité Palestinienne, le financement d'ONG qui font la promotion de la démocratie, de la tolérance et des droits de l'homme ont peut-être un impact positif, mais elles sont étroitement surveillées pour éviter les abus.
L'Europe a échoué dans le contrôle des ONG et les conséquences sont souvent désastreuses pour un pays démocratique comme Israël. Israël n'a nul besoin des initiatives de "sociétés civiles" comme Bimkom, manipulées par des gouvernements étrangers, quels qu'en soient les objectifs. Il est temps de mettre un terme à cette politique malavisée et condescendante.
Notes de la traduction
(1) la résolution 242 de l'Onu concernant la Judée-Samarie demande à Israël de se retirer de (certains) territoires et non de l'ensemble comme certains veulent le comprendre, car c'est le texte anglais qui fait foi et il parle de "territories" et on de "the territories", d'où l'expression "territoires contestés"
(2) l'UE a financé pendant longtemps le cabinet d'avocat de Yossi Beilin, responsable du parti d'extrême gauche Merets.
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mercredi 07 mars 2007 - 00h39: |
La zigail i la varmi..
Ma paroul, mon Zami ! même pas La Fontaine, il pouvait ta sourtir oune zastoare cam za !
Oune jour qui la zigail, çat bitite zanimal, ka c’est une bitite ça m’est égal, la francaoui il dire oune grand jim’en foutiste, qu’il avait plus di voix, tellement qu’il avait chanti la boussadia avec son derbouka, sour li zarbres a déglah, di l’oazis de la varmi, à coti di Tin Doufm, çat zigale il avait tri soif.
Alors, il dissendre di son arbre, avec son derbouka pour remplir di l’eau, dans li puit di l’oazis, mais tri vite il si rendir compte, qui di l’eau il y avaitmakach, barquoi l’oued il fir la greve¨! hlas ! zi fini il dire l’oued, il pas pleuvoir alors moi ji fir la greve.
Li bovre zigail, il croire qu’il va morir, barquoi il pas pouvoir boire, mais tadzuite il rencontrir son zami la varmi, cet zanimal qu’il aime trop l’argent, un vrai avare qu’il gagne trop, pire que li Djerbien, tajours l’argent il rentri dans li poche di son djelaba et jamais il sortir.
La varmi il transportir sour son dos une gargoulette qu’il parrissait tri lourde, tiliment il éti pleine, alors la zigail il dire a la varmi : ya habibi dis moi ou ti trouvir tiliment di l’eau dans cit salopiri di puit qu’il vi plus dravailler, il fire la greve ?
Mon zami la zigail, ça ci pas di l’eau, ci di lait di toutes li chamelles, qu’il n’y a blus barquoi la chamelles il zon pas bi. Ti pi essayer di li traire, ti travra makache ! Toi ti va criver, comme li puit barquoi toi ti pas travailler, barquoi toi ti fire taltant la greve ! Ci bien fit bar toi.
Alors la zigail, qui cit oune zanimal tri zintiligent, barquoi il travaille pas, taltemps il fit dravailler li zotres a son blace, il dire à la varmi : y habibi barquoi ti michante avic ton zami, moi ji pas bizoin di ton gargoulette, si seulement tu mi fire goutir oune chouia di ton lait, moi ji ti fire cadeau di mon derbouka, avec liquelle ti va gagnirbacoup di l’argent ! barquoi ja va ti apprendre a jouer avec, i comme moi ti va gagner bacoup di l’argent avec !
La varmi il pensir, ça cit oune bonne zaffaire, et il dire d’accord, alors pendant qui lavarmi il fire bacoup di bruit dans li zoazis, tilment qui li chamelles toutes il foutre li camp dansli Sahara, la zigail il boire toute li lait, i ci camza qui la varmi il crevir di soif ,a li blace di la zigail, qu’il gagner li gargoulette, en plis di son lait i di son derbouka.
Mortalité ! Ci tajours la zigail qu’il pas criver, barquoi il si crive pas au dravail.
Barole di l’oeud qui taltemps il racontir la zisouar di l’oazis !
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mercredi 07 mars 2007 - 00h24: |
Victoria Bonsoir,
Si mes informations sont exactes, La Hara est la partie du vieux Tunis peuplée par les Israélites, et la Hafsia est celle peuplée par les Musulmans.
Bien à vous Victoria, et bonne nuit.
Par Meyer (Meyer) le mardi 06 mars 2007 - 21h28: |
Environnement - Energie - Sciences du Globe
Il faut cultiver son corail
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/41561.htm
Deux ingénieurs israéliens, Ofer Almalam et Alon Efergan, sont à l'origine d'une société, Advances Coral Propagating Technology (ACP Tech), capable de produire des coraux en captivité dans une ferme aquatique. Une opération d'une telle envergure est une première mondiale et promet des retombées importantes. En l'attente de l'obtention d'un brevet, la localisation de cette ferme et la technologie employée demeurent secrètes. Les deux chercheurs espèrent pouvoir, grâce à leur découverte, contribuer à la sauvegarde des coraux.
Environnement - Energie - Sciences du Globe
Une "usine à rosée" en plein désert
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/41564.htm
Des chercheurs de l'université Pascal Paoli de Corse et le CNRS ont obtenu des résultats très encourageants sur la collecte de la condensation de vapeurs d'eau atmosphérique. Ainsi, à l'initiative de la France, l'organisation mondiale pour l'utilisation de la rosée développe des projets communs avec l'Inde et Israël. Certains plastiques (dits radiatifs) permettent de condenser jusqu'à 0,6 litres d'eau pure par m2.
Une "usine à rosée" est en phase de test dans le désert du Néguev en Israël dans le dessein de recueillir plusieurs mètres cubes d'eau par nuit. Ce système couplé à des capteurs photovoltaïques permettrait de produire eau et électricité en plein désert. Pour les pays en voie de développement, où l'amplitude thermique est importante, cela pourrait même se révéler être une révolution !
Et d'autres nouvelles scientifiques et technologiques dans
BE Israël 56 >> 5/03/2007
Ambassade de France en Israël / ADIT
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/999_1305605.htm
Par Viviane (Viviane) le mardi 06 mars 2007 - 20h03: |
J'ai vendu en son temps, au magasin de Félix mon père, sous une couverture beige si ma mémoire est bonne, les fameux sabirs de monsieur Martin. J'avais déjà noté en son temps (et pourtant j'étais jeunette!) qu'il était un tantinet antisémite, raciste, mais pas méchant du tout n'est-ce-pas? Histoire de respecter le folklore de l'époque dans son esprit franchouillard, du style "trabadja la mouquère", les "macaronis" naturalisés de fraîche date, l'insistance à interpeller les Juifs uniquement et ironiquement par les sobriquets dont ils était affublés et enfin, supprême reproche, ne pas être de fidèles lecteurs du "Petit colon français de Tunisie", de Rivarol ou d'Aspect de la France.
En effet cet ouvrage dont je possède un exemplaire s'est bien vendu malgré toute ma bonne volonté à boycoter, en son temps, sa diffusion. Viviane.
Par Victoria (Victoria) le mardi 06 mars 2007 - 20h15: |
Bonjour
Quelqu'un peut-il me dire quelle était la différence entre la hara et la hafsia ? Est-ce que la hafsia faisait partie de la hara ou est-ce que c'était un autre quartier ? merci d'avance