Par Admin (Admin) le samedi 24 août 2002 - 02h03: |
Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 22 août 2002 - 17h50: |
Article paru dans le Jerusalem Post du 15 août 2002 et traduit pour simple information par Albert SOUED www.chez.com/soued , le site des Symboles dans la Bible.
TROP TARD, AMRAM !
Par AMOTZ ASA-EL
En d'autres circonstances, cela aurait pu être un coup de génie, un rare mélange de contre attaque prosaïque et de justice poétique.
Après tout, le nouveau candidat au poste de Premier Ministre n'est pas l'habituel général en retraite qui, persuadé qu'il est "Batman", plonge tête baissée au milieu de la bataille, pathétiquement plein de lui-même, tragiquement dépourvu de talent, d'originalité et d'idées, sans mentionner l'expérience, avec laquelle au moins il pourrait parvenir à ses fins.
Doué d'une faculté d'écoute, déterminé à réaliser, portant une barbe généreuse et médiatique depuis que son visage a été brûlé lors d'une des nombreuses batailles qu'il a vécu depuis 1967, Amram Mitzna a étalé ce que la plupart des généraux-devenus-politiciens d'Israël ont toujours omis: la volonté de se mesurer à l'autorité, mais une réticence à prendre d'assaut le sommet.
Le défi lancé par Mitzna à ses supérieurs eut lieu avec élégance, quand il était brigadier général en 1982; il n'attaqua pas seulement un major-général, ni même le chef d'Etat-Major, mais le Ministre de la Défense lui-même. Il l'accusait de mener une campagne militaire aventureuse qui mettait en péril des soldats israéliens et des civils libanais, sans raison impérieuse. Ce ministre était Ariel Sharon.
Le défi a été lancé dans un forum limité, sans intention qu'il y ait des fuites, et avec le risque clair de perdre une carrière militaire prometteuse à 37 ans. En fin de compte, cette partie de l'avenir a été sauvée, même si cette attaque a sans doute empêché Mitzna d'être candidat au poste de chef d'Etat-Major. Cependant, pour le meilleur ou le pire, cette confrontation avec Sharon, vieille de 20 ans, lui a valu la réputation d'un homme indépendant d'esprit et ayant le courage de ses opinions.
Même si aussitôt après sa retraite, Mitzna décida de fuir la politique nationale et de briguer plutôt la mairie de Haifa, qu'il enleva élégamment à Aryé Gurel, maire de toujours, il s'employa à faire marcher sa mairie. Dans cette même élection de 1993, Roni Milo gagna la mairie de Tel Aviv. À l'opposé du charismatique mais modeste Mitzna, le terne mais pompeux Milo ne trouva pas incongru de briguer le poste de Premier Ministre, malgré un mandat sérieusement médiocre et non encore échu.
Au même moment, Mitzna s'est investi de sa mission avec minutie; il facilita les problèmes de circulation à Haifa en lançant le projet du tunnel du Carmel, il entreprit des percées touristiques telles que la promenade de la corniche, et il encouragea l'harmonie entre Juifs et Arabes, politique qui a porté ses fruits lors des émeutes de l'automne 2000, puisque celles-ci ont été étouffées dans l'œuf à Haifa.
Dans un système politique dominé par des écrivaillons professionnels, des aides obséquieux, de médiocres technocrates, et des militaires "égomaniaques", il est vrai que l'annonce de Mitzna apportait un souffle d'air frais. Il est bon de voir finalement un candidat au poste de premier ministre grimper les échelons politiques de manière conventionnelle, du bas vers le haut, plutôt que l'inverse, comme le fit Ehoud Barak!
Si Barak, mais aussi Bibi Natanyahou et Hayim Ramon, avait passé une dizaine d'années comme maire, son avenir, et de là le nôtre, aurait été différent.
Hélas! Barak n'a pas choisi le chemin de l'effort, du résultat et de la modestie de Mitzna, mais il a insisté sur l'assaut du sommet, où il nous a infligé à nous tous, à son parti, au coeur de l'institution politique, un tel dommage que Mitzna --- avec tout le respect que j'ai pour sa réserve et sa pureté --- ne peut surmonter, ni même réparer.
Pour réussir, Mitzna devra bien sûr être victorieux du courant politique habituel. Pour y arriver il faudrait d'abord qu'il fasse oublier le traumatisme laissé par Barak. Malheureusement pour lui, ceci serait contre nature. Les Israéliens ne sont pas près d'oublier pour de nombreuses années et même des décades, le charlatan qui a promis de faire prévaloir la cause des défavorisés sur le plan socio-économique et qui s'est empressé de les ignorer, celui qui réside parmi les célèbres et les nantis de Kfar Shmaryahou. Les Israéliens n'oublierons pas le bricolage volage de sa mixture appelée "révolution laïque". Les Israéliens n'oublierons pas sa retraite chaotique du Liban. Les Israéliens n'oublierons pas ses promesses inconsidérées de paix avec la Syrie "lors de ce printemps" et avec les Palestiniens "dès cet automne" (ou inversement). Et les Israéliens sûrement n'oublieront pas le cauchemar en cours qui a scellé la tragédie de Barak et qui a lancé la leur.
Alors pourquoi, pourrait-on se demander, un homme comme Mitzna devrait-il payer pour les échecs d'un autre?
Réponse triste: parce que lui-même le demande.
En effet, en demandant des "négociations directes et inconditionnelles" avec Yasser Arafat, et en insistant pour jeter le blâme de la situation actuelle sur Sharon, Mitzna suggère qu'entre lui et la quête de pouvoir de Barak, il ne s'est rien passé d'anormal ou d'erroné, sauf l'aberration portant le nom de "Sharon".
Pour être crédible, tout candidat du parti travailliste devrait rejeter cette attitude et commencer plutôt par une déclaration du type suivant:
"En 1993, on s'est embarqué dans l'aventure de la paix. Bien que le risque fut élevé, on était nourri par la croyance que gouverner 3,5 millions de Palestiniens n'était ni faisable ni désirable. Le risque pris impliquait un pari et le pari fut perdu. L'ennemi nous a menti et, pendant qu'il parlait de paix, il préparait la guerre. Pour cela notre responsabilité est totale. Mais en même temps, notre croyance ---c'est à dire qu'il faut qu'on se sépare --- n'a pas seulement survécu à cette guerre, mais en fait elle est devenue un consensus, à tel point que le père du mouvement des implantations, Ariel Sharon, est aujourd'hui lui-même en train de construire cette barrière de séparation. Il est possible qu'on subisse une défaite électorale, mais sur le plan des idées nous restons cohérents."
Malheureusement malgré sa fameuse modestie, Mitzna n'a pas pu trouver ces mots, préférant plutôt ---comme en 1982 --- partir en guerre contre Sharon, en le blâmant pour la pagaille que nous vivons.
Eh bien, mon cher Amram, en ce moment et partout, personne ne blâme Sharon, et c'est vous qui êtes hors du coup. Votre personnalité modérée et vos résultats impressionnants comme maire étaient peut-être ce dont votre parti avait besoin au moment où il a couronné Barak, mais aujourd'hui, ce dont il a besoin c'est d'un "repenti politique" et d'un "guérisseur de la nation", ce qu'évidemment vous n'êtes pas!
Par Emma (Emma) le jeudi 22 août 2002 - 17h38: |
A mediter
Probleme de demographie tres grave pour la France. Officiellement, la proportion d'Arabes en France represente environ 10% de la population Francaise (sans compter les illegaux bien sur).
Mais si on prend le groupe des moins de 20 ans, alors la, la proportion des Arabes en France passe a 35% (oui vous avez bien lu, trente cinq pour cent).
Bombe a retardement ?
Emma
Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 22 août 2002 - 08h21: |
Bonjour,
je suis un journaliste free-lance italien. La prochaine semaine je serai à Paris pour rencontrer, entre outre, le rabbin Pauline Bebe.
J'aimerais rencontrer des representants de la commaunauté juive tunisienne. Si cela est possible je vous demande de me le faire savoir le plus tot possibile avec un contact téléphonique.
Merci d'avance.
Gianni V.
giverita@hotmail.com
Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 22 août 2002 - 08h17: |
TUNES CELEBRES
Cher Monsieur,
Je pense qu'il vous manque mon beau frére dans cette liste:
Il s'agit de:
Jean Claude Taieb dit Yoni, Confection enfants a Saint Denis (93)
Merci d'avance
Gérard Youna
Par Mena (Mena) le jeudi 22 août 2002 - 08h16: |
Pourquoi relater les événement lorsqu’on peut les construire en toute impunité ? (info # 012108/2)
Par Jean Tsadik © Metula News Agency
Voici la relation d’un fait de guerre selon l’AFP : Elle ouvre sur la vérité, la version adoptée à priori par l’Agence officielle de presse de l’Etat français, son essentiel, dans un paragraphe sans crédit de sources, puisque c’est la vérité :
"Un enfant palestinien de cinq ans a été tué jeudi par des tirs israéliens dans le sud de la bande de Gaza, alors qu'Israël annonçait le report d'une rencontre sécuritaire avec les Palestiniens."
Les Israéliens tuent des enfants en leurs tirant dessus, donc. Et pour faire bonne mesure, les plumitifs de l’AFP juxtaposent à cette vérité prépondérante, utile afin de saisir la méchanceté atavique des Israéliens, le fait qu’en plus – pour leurs permettre de commettre d’autres assassinats d’enfants – ils prennent l’initiative de reporter une rencontre sécuritaire, qui aurait pu générer une accalmie.
Selon la déontologie médiatique, cependant, la juxtaposition de deux informations sans relations philologiques entre elles est bien évidemment bannie. A l’AFP elle est la règle. Elle permet à ces fournisseurs de la pensée unique d’augmenter à loisir la culpabilisation des actes des Israéliens, en citant plusieurs de leurs méfaits – sans relation entre eux – à la chaîne. Et d’atténuer, au contraire, les crimes palestiniens, en faisant suivre leur énoncé d’une causalité construite, sur la base de divers actes de malveillance que l’AFP attribue à l’Etat hébreu.
Un paragraphe plus bas, le lecteur trouve la version palestinienne des faits, telle que rapportée par l’AFP :
"Ayman Fares est décédé après avoir été atteint d'une balle à la tête à Khan Younès. Son père et un troisième Palestinien ont été grièvement blessés, selon des sources sécuritaires et hospitalières palestiniennes."
Ah bon ! Les juifs tirent aussi sur les parents des enfants palestiniens. L’observateur exercé notera quand même que, les sources sécuritaires et hospitalières palestiniennes, dans cette déclaration, n’attribuent pas la responsabilité des tirs meurtriers aux Israéliens.
C’est réjouissant pour l’esprit, même si, pour les lecteurs de l’AFP, l’identité des assassins comprise dans la vérité n’est pas remise en cause. Et ces lecteurs se comptent par centaines, ils comprennent TOUS les responsables des rédactions des journaux télévisés, des stations de radio et de la presse écrite. Parmi ceux-ci, il y a ceux qui ne voient pas de raison de mettre en doute la version de l’agence d’information officielle de leur pays. Il y a ceux qui s’en foutent, qui ne savent rien du Proche-Orient et qui veulent rentrer le plus rapidement possible chez eux sans se casser la tête, et il y a ceux, qui sont tout contents qu’on leurs donne une fois encore le prétexte – protégé par le parapluie de l’agence de presse de l’Etat français - de noircir l’image atavique des juifs.
Troisième paragraphe de la dépêche. A l’intention de ceux qui ne se sont pas contentés – et ils sont nombreux dans les médias - de n’en lire que les deux premiers. Il advient, dans la dépêche, bien après que la vérité a déjà été énoncée (et qu’elle est déjà ancrée dans l’esprit du lecteur Ndlr.) :
"Un porte-parole de l'armée israélienne a de son côté publié un communiqué démentant catégoriquement les informations palestiniennes sur la mort d'un enfant et donnant une version différente de l'incident de Khan Younès."
Les réflexes mentaux recherchés par les créateurs d’opinion de l’AFP auprès du public ?
- Non seulement les juifs sont des assassins, mais encore sont-ils des escrocs – caractère atavique sous-entendu du Juif - qui essaient de se soustraire de la responsabilité de leurs crimes.
- Selon la présentation de la version de l’armée israélienne par l’AFP, qui ne reprend en aucun cas la substance du communiqué de son porte-parole, Tsahal dément les informations palestiniennes sur la mort d’un enfant. En clair et en français, pour l’AFP, les Israéliens démentiraient qu’un enfant ait été tué à Khan Younès. Ce qui est absolument faux ! Les Israéliens démentent seulement que ce sont eux qui ont abattu l’enfant et blessé ses proches. Non seulement le communiqué attribué par l’AFP aux Israéliens n’est pas conforme au leur mais, le lendemain matin, à Télématin ou ailleurs, les télévisions françaises montreront probablement les images palestiniennes présentant le corps mutilé de la fillette.
Face à ces images choc, le téléspectateur se rappellera du démenti israélien-magouillé-par-l’AFP et pensera immanquablement : Ces salauds de juifs, des tueurs d’enfants et des menteurs !
Pourtant, pourtant la vérité qui a été à nouveau cachée au public français, comme dans l’affaire de l’ambassadeur Daniel Bernard à Londres, dans celle du Karine A, de la contrebande d’armes de Rafah, de la qualification par Amnesty International des assassinats collectifs palestiniens en tant que crimes de guerre, c’est que ce ne sont pas les Israéliens qui ont abattu Ayman Farès.
La vérité de la Ména, à présent et pour l’exemple – la version différente de l'incident de Khan Younès, que l’AFP cite sans la mentionner, au plus fort de son entreprise de pollution des esprits - : Dans la région du sud de la bande de Gaza, à l’extérieur de toute agglomération, des Palestinien armés ont ouvert le feu spontanément – sans que leur acte ne représente la riposte à une quelconque activité militaire israélienne - . Les soldats israéliens on répliqué, identifiant avec certitude qu’ils avaient abattu l’un des tireurs, ce sur quoi, les agresseurs se sont enfuis à bord d’une automobile qui les attendait.
Le porte-parole de l’armée ne signale aucun tir de ses soldats, ce jour là, dirigé vers une zone habitée du camp de réfugiés de Khan Younès. La Ména souligne que les communiqués de l’armée israélienne sont crédibles et la plupart du temps exacts et que ceux provenant de toutes les sources palestiniennes sont, pour l’immense majorité d’entre eux, fantaisistes et qu’ils s’avèrent, au fil du temps, être sans relation sérieuse avec les événements réels.
La Ména ajoute que ces faits sont connus et répertoriés par l’agence de presse de l’Etat français, et qu’en la circonstance, la démarche consistant à privilégier les communiqués palestiniens, tout en sachant d’expérience qu’ils ne sont pas crédibles, et de les répercuter sans avertissement sur les médias mondiaux, est contraire à la recherche honnête de la vérité informationnelle. De tels agissements procèdent ainsi et sans conteste de l’incitation à la haine raciale contre la nation d’Israël et contre le peuple juif.
Par Email (Email) le jeudi 22 août 2002 - 00h19: |
PARACHA KI TAVO
Une partie importante de notre paracha est consacree a des reproches, et a ce qui allait nous arriver au cours des siecles du fait de notre mauvaise conduite. Le but de tout ceci est de nous amener a la techouva, au retour vers D.ieu.
Ceci est allusionne a la fin de ce passage, en ces termes :
"Et ce sera, lorsque vous arriveront toutes ces choses-la, la benediction et la malediction, et que tu reviendras vers ton coeur ... et tu retourneras jusqu'a Ha.chem ton D.ieu".
La techouva est un niveau extremement eleve dans le service divin, auquel chacun peut acceder. Il existe plusieurs niveaux dans la techouva. Une techouva elevee, motivee par l'amour envers D.ieu, permet d'obtenir des merites que meme les tsadikim n'obtiennenet pas, au point que meme les transgressions volontaires peuvent etre transformees en merites.
Il existe des etincelles de saintete qui sont tombees dans des endroits tres bas, et y sont retenues. Par notre service divin, nous permettons l'elevation de ces etincelles, leur retour a leur source. Le tsadik, qui se tient a l'ecart des fautes, atteint les etincelles qui sont retenues dans les choses permises, et les eleve vers la saintete. Les choses permises ont en effet la particularite de pouvoir s'elever dans la saintete, ou au contraire de descendre dans les forces impures, selon l'usage qui en est fait. Le tsadik, donc, eleve les choses permises, systematiquement, vers la saintete.
Mais le baal techouva, quant a lui, etait dans le passe en contact avec ce qui est interdit et attache aux forces impures. Ainsi, en realisant une techouva elevee, il extrait egalement les etincelles de saintete qui sont tombes dans ces niveaux impurs, et les eleve jusqu'a leur source premiere. C'est ainsi que le baal techouva peut acceder a un niveau si eleve.
Vers la fin de notre passage, il est ecrit :
"Et vous vous vendrez la-bas a ton ennemi comme serviteurs".
Ceci nous apparait comme une malediction tres dure: obliges de se vendre soi-meme comme esclave a nos ennemis.
Mais toutes ces maledictions, si nous reflechissons a leur sens cache, revelent en fait des benedictions.
Par la techouva, nous faisons de nous-memes les serviteurs de D.ieu; c'est a dire que nous nous attachons entierement, corps et ame, a son service. l'ennemi en question fait allusion a D.ieu, dont nous nous sommes eloignes et que nous avons ainsi considere comme notre ennemi.
Nous sommes les enfants de D.ieu. Les enfants sont attaches a leur pere de facon profonde. Ceci fait partie de l'ordre naturel. L'attachement d'un fils envers son pere n'est pas le produit d'un effort. C'est un attachement qui depend simplement du ciel, de la volonte divine qu'il en soit ainsi.
Pour ce qui est d'un serviteur, c'est different. Selon l'ordre naturel, il n'est pas specialement attache a son maitre, et c'est seulement par le biais d'un grand effort qu'il parvient a s'attacher a lui. Ceci est l'essenciel du travail de la techouva: s'attacher a D.ieu par l'effort, parvenir egalement a un niveau de serviteur de D.ieu.
Dieu nous entraine ainsi dans des situation difficiles, voire meme extremement difficiles, afin que ceci nous permette d'atteindre l'elevation extreme qu'est la techouva. Chaque chose qui nous arrive contre notre volonte, chaque epreuve que nous subissons, a pour but la grande elevation qui va suivre, par le biais de notre techouva.
Ktiva ve'hatima tova.
Bonne semaine a tous,
Chlomo
Par Nao (Nao) le mercredi 21 août 2002 - 17h41: |
Il y a une expression en francais "menteur comme un arracheur de dents", on devrait plutot en changer pour "menteur comme un irakien" (ou comme un syrien ou comme un saoudien ou comme un palestinien.. on a plethore de choix en la matiere!)
Bagdad dans sa version officielle maintient que abou nidhal s'est suicide ds des circonstances pr le moins cocasses si on en croit Reuters: "Le chef extrémiste palestinien Abou Nidal s'est tiré une balle dans la bouche au moment où les forces de sécurité irakiennes entraient dans son appartement pour l'arrêter, a annoncé mercredi le responsable des services secrets irakiens"! Pr les anglophones, allez sous www.debka.com lire pourquoi les services secrets irakiens ont liquide abou nidhal qui etait devenu bien encombrant pour Bagdad! on connait bien le monde arabe qui a la gachette facile et ou ne fait pas dans la dentelle!
Par ailleurs, alors que selon MSNBC Bush reunit ce jour ses conseillers militaires a son ranch au Texas (Brass Bush bouge toi!), le FBI a annonce avoir des preuves qu'un autre saoudien de 21 ans saud al rasheed serait implique ds les attentats du 11/09 (et le regime saoudien veut continuer a nous faire croire qu'ils sont amis des US!!!?????)
Enfin convergence de faits encore, CNN revele que des hauts responsables d'AL Quaeda se seraient aussi refugies en toute impunite en Irak depuis les bombardements americains sur l'Afghanistan, preuve encore de la complicité du régime irakien avec le terrorisme international d'apres Washington.
Et dire que ces abrutis de dirigeants europeens veulent encore croire en la bonne foi des pays arabes!
Quand on dit qu'ils sont des menteurs corrompus on ne ment pas! Allez hop tous ds le meme sac!
Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 21 août 2002 - 17h37: |
Aimer
Après avoir souffert, il faut souffrir encore ; Il faut aimer sans cesse après avoir aimé. Plus malheureux que tous est celui qui n'aime plus et ne peut oublier qu'il a aimé... Dans tous les cas ce que je pense et que les philosophes le déclarent c'est que : "L'amour tue l'intelligence. Le cerveau fait sablier avec le cœur. L'un ne se remplit que pour vider l'autre".
braien
Par Victoria (Victoria) le mercredi 21 août 2002 - 12h32: |
Mr. le Pacifiste,
Savez-vous pourquoi "les juifs de votre entourage se déclarent non sionistes" ? Parce que dans votre beau pays de tolérance un juif a toujours dû (sauf pendant la "parenthèse française") fermer sa gueule et courber l'échine ! Alors,à moins d'être suicidaire, ce n'est pas maintenant et à vous que la poignée de juifs restante va confier son amour d'Israël !
Par Lucia (Lucia) le mercredi 21 août 2002 - 05h09: |
Chere Janet, j'ai une adresse e-mail que
plusieurs connaissent deja. Vous pouvez
l'utiliser et nous parlerons en prive:
cmimi@hotmail.com; aussi sur MSN.
A bientot de
vos nouvelles j'espere et nous pourrons echanger
renseignements et idees. Si nous ne nous parlons
pas d'ici la, bonnes fetes et bonne annee. Lucia
Par Mena (Mena) le mardi 20 août 2002 - 19h25: |
Vers la guerre ! (info # 012008/2)
Par Stéphane Juffa © Metula News Agency
A Akaba, le port jordanien sur la Mer Rouge qui tutoie Eilat, cela fait plusieurs jours qu’on s’atèle dru à débarquer des milliers de soldats américains et tout leur matériel. De là, par des trains routiers d’une longueur impressionnante, les commandos US remontent presque tout le royaume de Jordanie et vont se poster au nord-est de ce pays, à quelques kilomètres de la frontière irakienne.
Les bases américaines, à cet endroit, abritent déjà environ 5.000 militaires et à la fin de l’exercice, ils seront entre 8 et 10.000. Officiellement, il s’agit de "manœuvres de routine prévues de longue date" mais en vérité – et personne n’est dupe – on assiste à la prise de ses positions de l’une des forces américaines d’intervention contre le régime de Saddam Hussein.
Côté monarchie Hachémite, on maintient la version officielle : "on est ici opposé à toute action contre Bagdad, qui risque fort de tourner à la catastrophe régionale."
En écoutant cette version gouvernementale, je ne peux m’empêcher de me rappeler ce que feu mon ami le roi Hussein, le père du souverain actuel et Fayçal, l’un de ses autres fils, m’avaient dit à propos de Saddam et des Irakiens. C’était, par une journée brûlante d’arrière été levantin, ils m’avaient invité à venir les rencontrer ; nous buvions le verre de l’amitié dans les somptueux salons de l’escadrille royale, dans l’ancien aéroport d’Aman. Participait également à cette réunion de pilotes le commandant de l’armée de l’air jordanienne. C’était un homme roux, à l’allure caricaturalement britannique, trempé dans une jovialité et un détachement qui ne trahissaient pas son apparence extérieure.
Voyant que je m’étonnait du look de son général, le roi me lança : "Nous aussi, nous mettons nos Ashkénazes dans l’armée de l’air, Stéphane, n’y voyez rien d’extraordinaire !"
Passées les formules de politesse orientales, les plaisanteries et les échanges de généralités sur l’état de la région qui prévalait alors, le roi Hussein me saisit l’avant bras et, tandis que son visage buriné par la maladie s’éclairait d’une passion soudaine, il me gratifia d’un conseil qu’il jugeait sûrement indispensable : "Stéphane, n’accordez jamais la moindre confiance à ces fils de p. d’Irakiens, ce sont des voyous sanguinaires" et Fayçal de renchérir aux propos de son père : "Ce sont des voyous et ça restera toujours des voyous".
Voilà pour la réputation dont jouit Saddam Hussein à la cour Hachémite et j’ai de bonnes raisons de douter que les choses aient changé depuis que mon courageux ami a quitté son royaume terrestre pour celui des cieux qu’il aimait tant. Abdullah a choisi une attitude prudente envers le déclenchement probable d’un nouveau conflit américano-iraquien. Il restera officiellement opposé à la guerre jusqu’à ce qu’elle n’éclate. Ainsi, si George Bush changeait d’avis et renonçait à détrôner Saddam Hussein, et que la petite Jordanie se retrouvait à nouveau seule dans le voisinage de son remuant voisin, elle pourrait toujours espérer maintenir le statut quo prévalant actuellement. Si, toutefois, l’attaque américaine commençait, nul doute que le royaume Hachémite mettrait toute son énergie à bouter Saddam et sa clique hors de leur univers.
Pour le moment, l’attitude du pouvoir jordanien est déjà plus que débonnaire vis-à-vis des préparatifs américains, simplement, il se garde de le crier sur les toits. La Jordanie est solidement ancrée dans la coopération sécuritaire avec Israël et les Etats-Unis. Il ne se passe en effet pas une seule semaine, sans que les unités bédouines n’interceptent des commandos palestiniens, frais émoulus des camps d’entraînement irakiens, pendant qu’ils s’approchent de la frontière orientale de l’Etat hébreu. Ce dernier s’étant également vu aménager par Aman un droit de poursuite des Fedayins qui essaient d’échapper à Tsahal sur la rive est du Jourdain.
De leur côté, les experts israéliens conseillent les officiers jordaniens et on entend souvent parler hébreu aux confins de la frontière irakienne du royaume Hachémite. Pour tout dire, la région qui se situe autour et à l’ouest de Ar Rutbah en Irak (voir la carte), appelée H3 par les Israéliens, est la région la plus sensible, du point de vue stratégique, pour tous les Etats se trouvant sur une trajectoire de confrontation avec le régime de Bagdad. C’est de H3 qu’étaient partis, en janvier 1991, les Scuds qui allaient s’abattre sur les métropoles israéliennes et sur des régions limitrophes de l’Irak. C’est d’ici que, selon les craintes des alliés de 2002, le pire est à nouveau à craindre.
H3 est une large bande de désert, dont le pastoralisme n’est dérangé que par l’activité de l’autoroute Aman-Bagdad, le poumon artificiel de l’économie irakienne, en ces temps d’embargo. Et puis, il y a ces routes stratégiques, interdites au regard des civils, qui semblent conduire nulle part et qui s’enfoncent dans l’immensité désertique. C’est sous certains de leurs croisements, que Saddam Hussein a tissé une nébuleuse souterraine, qui cache des réservoirs de carburant de missiles, des rampes de lancement, des missiles et des ogives diverses. Les caches sont si bien faites, que depuis les airs, on ne distingue absolument rien. A tel point, qu’à en croire les observations qui ont suivi la guerre de 91, aucune des installations de lancement des Scud de H3 n’aurait été détruite par les bombardements massifs américains et britanniques.
Pour les Israéliens, la particularité saillante et désagréable des bases de H3, c’est surtout que ce sont les seules qui se trouvent suffisamment proches de leur Etat afin de pouvoir l’atteindre depuis le territoire irakien.
A Jérusalem et à Washington on pense, pour le surplus, qu’il est possible que le tyran de Bagdad ait désormais réussi à équiper ses Scud de charges non conventionnelles ; on pense ici à des charges chimiques et biologique et on considère la menace avec le plus grand des sérieux. Les autorités israéliennes ont pris à cet égard des mesures d’urgences, elles consistent à vacciner les forces de sécurité, de secours et le personnel médical contre les virus que l’on suppose être en possession du despote irakien. D’autre part, on amasse des quantités d’antidotes suffisantes afin de prémunir, le moment venu, l’ensemble de la population.
Au plan militaire aussi, l’armée a été mise en état d’alerte. On a, par exemple, récemment doté certaines escadrilles de F-16 d’aménagements leurs permettant d’emporter des armes nucléaires. Dans l’armée de l’air, on appelle ces avions des "adaptés nuke" (Toamé Atom). Onze escadrilles en sont équipées et ils sont répartis sur les bases de Netivim, de Ramon, de Ramat David et de Khatzor, aux quatre coins du pays.
Ces avions représentent l’une des trois options de riposte non conventionnelle à une attaque irakienne du même type, ils s’ajoutent aux divers missiles – balistiques et de croisière – à disposition du gouvernement israélien et des fusées qui peuvent être tirées des sous-marins de la classe Dauphin, de fabrication allemande. On peut concevoir qu’Israël dispose ainsi, du point de vue stratégique, avec ses trois types de véhicules à disposition, d’un véritable deuxième recours. Entendez par là, que si l’Etat hébreu était sujet à une attaque non conventionnelle, qui anéantissait son premier potentiel de riposte, il lui resterait d’autres véhicules à disposition afin de pratiquer une contre-attaque contre son agresseur.
Je sais que ce discours et ces comptes d’épiciers nucléaires ont de quoi effrayer les lecteurs mais ils effrayent aussi Saddam Hussein et c’est pour cela que ces armes existent. Dans tous les cas, on considère à Métula, que si Israël est attaquée par des armes non conventionnelles, même si les missiles anti-balistiques de fabrication locale Khetz (la Flèche) parviennent à les neutraliser en vol, Israël répondra également par des arguments non conventionnels – mais pas forcément par des charges atomiques classiques – dont l’effet sera de mettre Saddam Hussein définitivement hors d’état de continuer à nuire.
A la Ména, nous avons des lecteurs futés, à rendre jaloux nombre de nos confrères francophones ! Ces dégourdis sont restés sur H3 et se disent : "Avant de réfléchir en termes nucléaires, pourquoi ne pas s’arranger, d’abord, pour neutraliser H3 ! Si Saddam Hussein ne peut atteindre Israël QUE depuis H3, en anéantissant cette zone, on émascule le Gargamel de Bagdad. Privé des ressources de lancer des armes apocalyptiques sur ses voisins, le président irakien ne serait plus qu’un pantin désarticulé, qui attendrait, impuissant, que les armées américaines ne viennent le renverser de son trône."
- Ils ont raisons, ces lecteurs, de penser dans ces termes, c’est d’ailleurs dans le but de neutraliser H3 que les commandos américains se massent le long de la frontière irakienne. De leurs bases, ils se trouvent à moins de 70 kilomètres des premières positions supposées des lanceurs de Scud. Reste une inconnue dans ce raisonnement – mais elle est de taille - et c’est elle qui oblige les alliés à effectuer des préparatifs en vue d’une guerre autrement plus compliquée : Il est en effet possible que Saddam Hussein se soit procuré des Scud plus modernes, qui ont un rayon d’action de 1200 à 1300 kilomètre au lieu des 700 kilomètres pour ceux utilisés durant la guerre du Golfe. Si c’était le cas – rien de tangible ne permet d’affirmer ou d’infirmer cette éventualité – la situation de H3 s’en verrait dé-stratégisée du même coup, puisque le dictateur pourrait alors répandre ses missiles balistiques depuis d’autres étendues de son territoire.
Ainsi, si on entend procéder à une réflexion stratégique correcte, il faut penser à détruire rapidement H3, en même temps qu’il faut localiser et être capable d’anéantir d’autres emplacements de lancement de Scud. Simultanément, il faut déclencher une attaque terrestre capable de prendre Bagdad dans un laps relativement court. A cette fin, les Américains et les Israéliens courtisent la minorité kurde du nord de l’Irak. Lorsque vous entendez parler, ces jours, d’une campagne à l’Afghane, c’est de cela qu’il s’agit. Les Kurdes y tiendraient le rôle de l’Alliance du Nord.
Les Kurdes sont une peuplade non arabe qui subit les maltraitances de Saddam Hussein depuis son accession au pouvoir. En Irak, ils représentent 23% de la population totale, soit environ 5 millions de personnes. Ils sont implantés dans une région située au nord de Bagdad, dans une zone délimitée (voir la carte) par les villes de Mosul, Kirkük et Al Sulaymaniyah, dont la limite sud n’est distante de Bagdad que d’un peu plus de 300 kilomètres. Dans le concept global des intentions américaines, il s’agit d’une plateforme et d’un allié potentiel idéaux. Surtout qu’avec l’aide active des Occidentaux, une grande partie du territoire kurde-irakien jouit déjà d’une large autonomie politique vis-à-vis du pouvoir de Bagdad. Autre élément favorable, la région kurde est adossée à la frontière de l’allié fidèle turc, ce qui facilite grandement les approvisionnements et les communications.
L’un des deux clans kurdes dominants s’est d’ailleurs rallié ouvertement à la nouvelle coalition américaine et se prépare la bagarre, sous l’œil des formateurs de la CIA. Le problème avec les Kurdes ressemble à celui que rencontrent les Américains avec la Jordanie : Quand on a un voisin irrationnel et sanguinaire, les paroles ne suffisent pas ! Et les Kurdes ont déjà payé très cher leurs excès d’empressement passés ; à l’heure de vérité, ils se sont par deux fois retrouvés démunis face à la vengeance sauvage de l’armée du dictateur bagdadien et ils ont alors relevé leurs morts par dizaines de milliers.
On comprend mieux, en examinant les besoins sécuritaires des Kurdes et des Jordaniens, pourquoi la détermination publique de George Bush à chasser Saddam Hussein est cruciale pour le succès de la campagne militaire elle-même. On saisit du même coup, à quel point le travail de sape contre ladite campagne, emmenée en Europe par la France, est encombrante. Elle donne, par exemple, du poids aux menaces prononcées hier par Saddam Hussein à l’encontre des Kurdes et des retombées de leur alliance avec le Grand Satan. Chaque source de doute est amplifiée par Bagdad et, accompagné un clin d’œil menaçant, son président monstrueux lève un index admonestateur vers ses voisins, pour leurs dire : "Si je m’en tire, je m’occuperai de vous, comme je me suis déjà occupé de vous par le passé !"
Les Kurdes rêvent d’un Etat indépendant, les Jordaniens, les Saoudiens et les Koweitiens rêvent d’avoir la paix, les Israéliens rêvent que la menace non conventionnelle, mise dans les mains d’un dément, contre leur population s’éloigne. A Métula, on se rappelle forcément qu’un pays civilisé, sous l’impulsion de son président actuel, avait doté Saddam Hussein de l’arme atomique et que son ministre de la défense – président des amitiés France-Irak d’alors - avait démissionné afin de protester contre le déclenchement de la Tempête du Désert.
On se dit, à Métula, qu’au-delà de l’inconscience d’iceux et de leur nombrilisme stratégique, les habitants de cette région méritent un régime décent en Irak et on rêve quant à nous d’un Irak solidement démocratisé, avec un parlement qui parlemente, des partis politiques qui s’engueulent et des citoyens qui respirent. Et si Saddam Hussein était remplacé par un tel régime, les pays extrémistes que sont l’Iran et la Syrie s’en trouveraient totalement isolés et leur terrorisme se mettrait à suffoquer. Le Moyen-Orient aurait alors une chance d’évoluer vers un développement harmonieux et durable, ses habitants auraient alors une chance de vivre et de cesser de survivre.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 20 août 2002 - 17h40: |
Nao pourquoi tu t'inqiètes, Saddam ne va pas lancer ses missiles pour une simple raison. Sachant bien se qui se prépare il devient moins important car pour lancer les missiles il faut que ses hauts officiers le suivent. Là est mon doute. Ces haut officiers ne vont pas le suivre de peur d'être tués ou arrêtés..
Par Nao (Nao) le mardi 20 août 2002 - 16h49: |
C'est bizarre! ts les arabes se disent pacifistes tant que les juifs ne parlent pas d'Israel!
A Mr le Pacifiste:
Daniel Cohn-Bendit a eu cette petite phrase bien celebre "nous sommes tous des Juifs Allemands"!
Moi je vous reponds "nous sommes tous des Juifs Sionistes"!
A bon entendeur salut.
Par Nao (Nao) le mardi 20 août 2002 - 16h44: |
Selon la Debka, site toujours bien renseigne, saddam hussein aurait prevenu arafat de ne pas collaborer avec les Americains sous peine de quoi zkouik! il serait certainement descendu. De son cote, la syrie appelle les siens a s'unir face au danger d'explosion dans la region. Le puzzle se met en place lentement devant nous.
Comme le dit si bien la Mena, on est bien en route vers la guerre!
En esperant que Bush va VITE agir avant que l'autre zozo megalo de saddam ne lance ses missiles!!!
Par Bazooka (Bazooka) le mardi 20 août 2002 - 09h09: |
Le ridicule de tue plus, sinon il aurait deja mis fin aux jours du "Pacifiste" de 01h04 !
Quoi !?
Repertorier les juifs Tunisiens sionistes (vivant en Israel et dans le reste du monde) pour convaincre un "Pacifiste"-negationiste de notre existence !?
On ne va pas tout de meme pas tomber dans un piege aussi grossier.
Ri-di-cule !
Comme le dit si bien Davideden...
Tout juif qui s'apprete a entrer dans une synagogue a Yom Kipour (les 15-16/09/02) est d'emblee sioniste, rien que par le fait que dans ses prieres il dira : "L'an prochain a Jerusalem" (Sion)*...
Et parce que les synagogues existent depuis que le Temple a ete detruit ...
Des Tunisiens qui ne vont pas a la synagogue a Kippour, j'en connais pas beaucoup ...
* : Jerusalem est citee 686 dans la Torah, dites-nous seulement combien de fois son nom apparait dans le Coran (inchallah !) ?
Par Admin (Admin) le jeudi 22 août 2002 - 08h13: |