Archive jusqu'au 26/mars/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Mars 2005: Archive jusqu'au 26/mars/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Davideden (Davideden) le vendredi 25 mars 2005 - 16h03:

Emile,

L'affaire Schiavo est une tragedie. Toute utilisation politique de cette tragedie est un boomerang que je deconseillerais.
Simplement dire "qu'en attendant les résultats Mme Shiavo devrait être nourrie" semble une distortion de la realite.
En fait il semble a l'unanimite que la justice se soit prononcee.
Cette malheureuse dame semble etre dans un etat vegetatif de plus de 15 ans et son mari et parents sont en proces depuis des annees. A signaler que son mari a gagne tout les proces.

Tuer quelqu'un par la faim me semble peu humain mais j'admet ne pas etre un medecin et ne pas connaitre le cas en question.

ce que je sais est que l'abus de l'autorite federal par le congres et possiblement Bush est contre toute norme.
De plus si la vie est si precieuse a Bush comment expliquer sa position sur la peine de mort y compris pour des crimes commis par des mineurs.

les Americains sont un peuple intelligent je pense qu'ils verront l'hypocrise. Pour cette raison je pense que si j'etais un homme politique je garderais mon opinion pour moi meme car cela est une malheureuse affaire de famille que le systeme juridique a la dificile tache d'addresser et non pas une occasion supplementaire de demontrer une superiorite morale tres peu fondee sur les faits.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Shira (Shira) le vendredi 25 mars 2005 - 14h55:

Le nouvel Ambassadeur Israélien nommé au Caire, Chalom Cohen, tune de naissance, a servi comme premier représentant à Tunis:
ouvrir le lien pour lire l'article en hebreu:

http://www.ynet.co.il/articles/0,7340,L-3062889,00.html#n

en anglais: http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3063033,00.html

en arabe:
http://www.arabynet.com/article.asp?did=129208.EN

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maxiton (Maxiton) le vendredi 25 mars 2005 - 12h20:

Aujourd'hui vendredi 25 mars fête de Pourim.

c'est aussi Vendredi Saint, pour les Chrétiens.

Ce vendredi là, à la demande de la foule présente, Ponce Pilate fit libérer BARRABAS au lieu de Jésus qui se disait le Fils du Père

Or en araméen Barabbas signifie justement Fils du Père.

Calembour cruel qui nous a coûté et nous coûte toujours très cher

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Email (Email) le vendredi 25 mars 2005 - 09h03:

Caroline Glick nous montre que des politiciens de premier plan aux USA sont encore lucides...

Comme toujours, Caroline Glick n'a pas sa langue dans la poche, et ne pratique pas la langue de bois.
Certains préfèrent la qualifier de "Cassandre israélienne" pour ne pas entendre ses mises en gardes.
Il faut se souvenir qu'elle appartenait à l'équipe d'Itsh'ak Rabin qui avait négocié les "accords d'Oslo".
Ce qui a de quoi la rendre légitimement méfiante.

Aujourd'hui, il est de mauvais goût de mettre en cause la capacité de Mahmoud Abbas à lutter contre le terrorisme palestinien.
Tout son plan sécuritaire est d'intégrer les "activistes" du Hamas et du jihad islamique dans les "forces de sécurité de l'AP".
Et de faire durer 'l'accalmie' avec Israël jusqu'à ce que tout ce petit monde se sente prêt à une nouvelle intifada encore plus sanglante et mortifère.

La Ligue Arabe vient de se séparer à Alger après avoir fait savamment du sur-place, et même de la marche arrière : Abdelaziz Bouteflikha, et Amr Moussa ont bravement proposé la paix aux Israéliens selon le "plan de Beyrouth" du roi Fahd d'Arabie déjà refusé par Israël en 2002 ; et aux Américains la démocratisation du monde arabe APRES le règlement du conflit israélo-palestinien.

Comment faire mieux l'aveu que ces gens-là se moquent littéralement du monde ?

Notons aussi que M. Javier Solana, futur ministre des AE de l'Union Européenne si le projet de traité constitutionnel passe, s'est empressé de confirmer la pertinence des exigences des leaders de la Ligue Arabe, dans un discours improvisé.
Et c'est cet homme-là qui va porter la responsabilité de la politique étrangère de l'Europe ?
C'est cet homme-là qui va prendre une part éminente au quartette pour régler le conflit israélo-palestinien ?
Comptons bien : dans ce quartette, il y a l'ONU, systématiquement anti-israélien, l'UE, systématiquement anti-israélien, la Russie, qui vend des armes à tous les ennemis d'Israël dont l'Iran (combustibles nucléaire) et la Syrie (missiles), et enfin les USA, seuls alliés solides, dont l'administration Bush est en train de se laisser séduire par les sirènes abbassides...

Ce sont aujourd'hui les leaders de l'occident qui font des courbettes et les courtisans auprès des leaders de la Ligue Arabe :
présents à Alger, ni Michel Barnier, dit 'la Voix de son Maître' ; ni José Luis Zapatero, dit le 'savetier simplet' ; ni Kofi Annan, surnommé 'pour une barrique de pétrole, j'te donne 9 barriques de semoule et j'en garde une pour mon fils', aucun de ces hauts personnages n'a pipé mot en entendant les leaders de la Ligue Arabe s'enfoncer dans l'autojustification abjecte.

Et vous voudriez que les Israéliens aient confiance ?

Simon Pilczer

Le texte original en Anglais est en document joint.

Merci, Tom DeLay

Caroline Glick, Jerusalem Post , 21 mars 2005

Traduction française de Simon Pilczer, volontaire de l’IHC

Israéliens et Palestiniens de même ont une dette de gratitude envers le chef de la majorité à la chambre des Représentants des US, Tom De Lay. Parce De Lay, la semaine passée, a obligé Washington, au moins pour la forme, à s’engager dans un débat qui, en dépit de quatre ans et demi de guerre terroriste palestinienne, s’est vu refuser jusqu’à présent une expression. Il tourne autour d’une seule question : est-ce que l’autorité palestinienne a besoin d’assistance financière ?

Jusqu’à présent, on a considéré de bonne foi que bien sûr, l’AP a besoin d’argent. Après tout, l’économie palestinienne est en faillite. Le chômage parmi les Palestiniens atteint des « toujours plus Hauts » chaque mois. Mais ce désastre économique sera-t-il atténué par la perfusion de milliards de dollars d’aide au budget de l’AP comme « chacun qui est quelqu’un » semble le penser ?

Dans une dépêche du Jérusalem Post la semaine dernière, Khaled Abu Toameh a donné un aperçu sur la façon dont l’AP prend ses décisions budgétaires. Le Conseil Législatif Palestinien (CLP) a juste décidé qu’au moment où 80 % des habitants de Gaza vivent sous le seuil de pauvreté du tiers monde, sa priorité est d’acheter aux politiciens palestiniens de nouvelles voitures d e luxe.

Chacun des 26 ministres de l’AP recevra une Audi d’une valeur de 76.000 $, alors que chacun des 86 « principaux législateurs « se contentera de voitures coûtant au budget de l’AP 45.000 $ l’unité. Au total, l’AP dépensera 6 millions de $ en véhicules pour les Palestiniens les mieux en mesure d’acheter leur propre voiture de luxe. Et cette allocation n’inclut pas ce qui doit nécessairement suivre : les politiciens approuveront un budget pour les chauffeurs et recevront des remboursements pour l’essence et l’assurances des véhicules fournis par l’AP.

De même, sans doute, comme dans le passé, les officiels de haut rang de l’AP recevront ces avantages. Puisqu’en moyenne chaque ministre palestinien a quatre ou cinq directeurs généraux et une douzains de directeurs généraux adjoints, plus 10 à 20 chefs de département, on peut assurément faire l’hypothèse que dans les prochaines semaines le CLP, (s’il ne l’a déjà fait), approuvera la dépense de dizaines de millions de dollars pour des voitures et des chauffeurs et de l’essence pour tous ces VIP de l’AP.

Les voitures ne sont qu’un petit exemple du gaspillage, de la corruption et du vol des fonds de l’AP par ses politiciens, les commandants des milices et les bureaucrates, qui ont fait des Palestiniens l’une des sociétés arabes les plus pauvres dans le monde d’aujourd’hui. Il faut souligner que cet appauvrissement est survenu en une décennie qui a vu les 2.3 millions de Palestiniens recevoir plus d’aide de dons internationaux par tête, qu’il n’en n’a jamais été transféré à aucun groupe par la communauté internationale dans l’histoire de l’aide étrangère.

Quand on discute la question de l’aide internationale à l’AP, il est nécessaire de la relier à deux autres aspects de la dépense de l’AP. D’abord le fait que les milliards de dollars qui ont été volés par le budget de l’AP au cours des années ont été pris par tous les chefs de l’AP – d’Arafat à Abbas au Premier Ministre actuel Ahmed Qoreï, à Mohammed Dahlan et Jibril Rajoub. C'est à dire que ce ne sont pas seulement Arafat et son conseiller économique Mohammed Rashid qui volaient les milliards. Commentant cet état des affaires en 1996, Abbas lui-même dit à un officiel de l’ONU de haut rang : « Vous devez simplement accepter le fait que nous sommes tous corrompus ».

A côté de l’implication directe d’Abbas et de ses copains dans les grands larcins pour leur enrichissement personnel, il y a le fait que au cours des 11 années passées, depuis que l’AP s’est transformé en dépositaire des dollars de l’aide internationale, des millions de dollars de fonds supplémentaires pour l’AP et les institutions de secours ont été distraits du développement pour le terrorisme. Même aujourd’hui, les terroristes du Fatah’ sont des salaries payés par l’AP. Abbas veut maintenant étendre le programme de soutien terroriste en plaçant les terroristes du Hamas et du Jihad islamique sur la feuille de paie de l’AP comme une partie de son si vanté programme de “réforme”.

Etant donnée la corruption chronique à l’AP – du vol insignifiant au grand larcin – et le fait que la plus grande part de l’argent volé est partie au financement du terrorisme, aussi bien le people palestinien et le people israélien ont une dette de gratitude à De Lay pour ses efforts au cours de semaines passées pour prévenir le transfert de 200 millions de $ en paiements directs du gouvernement américain à l’AP.

De Lay est allé à l’encontre de l’administration Bush, de l’ambassade d’Israël, de l’AIPAC et son nouveau partenaire, la “Paix Maintenant” [‘Chalom Archav’ en hébreu, ndt], et avec les membres juifs du congrès de façon à s’assurer qu’aucun des 200 millions $ que l’administration Bush a promis aux Palestiniens le mois dernier ne sera transféré au budget de l’AP. Tous ces groupes croyaient, comme le ministre travailliste Matan Vilnaï l’a déclaré au journal ‘Forward’ la semaine passée, que “Abbas devrait avoir quelque discrétion en décidant quels projets doivent être financés. Il est important qu’il soit perçu comme ayant le contrôle – au moins d’une partie des fonds – de façon à renforcer son Autorité – à lui donner du pouvoir”.

C’est que, tous ceux qui attaquent De Lay croient que “dans l’intérêt de la paix”, les USA devraient soutenir la poursuite de l’AP kleptocratique, de la tyrannie soutenant la terreur sur la société palestinienne.

Que la gouvernement israélien ait poussé le congrès à approuver l’aide directe à l’AP est rendu d’autant plus ironique du fait que le ministre des Affaires Etrangères a lancé une vigoureuse protestation à l’annonce par les USA la semaine dernière que, en dépit d’un montage de preuves documentaires apportées par Israël, Bruxelles n’a pas pu détermine de manière décisive si une partie des milliards de dollars qu’elle a transférés à l’AP depuis 1994 a été utilisée pour financer le terrorisme.

Il est rassurant de savoir que dans cette période durant laquelle la politique israélienne est devenue presque schizophrénique et l’administration bush apparaît convaincue – en dépit de l’évidence – que Abba est l’homme à qui on peut se fier, au moins un home puissant à Washington ne participe pas à la comédie actuelle de la paix.

Merci pour votre courage et votre sagesse, Tom De Lay.

caroline@jpost.com

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 25 mars 2005 - 05h52:

Is the law in Florida for the right to die and not for right to live? If two people have a dispute, they can fight in any court they wish but meanwhile and until they find the solution who is right or wrong Mrs Shiavo should be given the right to nourrish her body and not to be starved while the dispute is going on. In my view refusing her the right to be nourrished is equal to a crime with intention and it is inhuman.

Est-ce que la loi de Floride est pour le droit de mourrir et pas pour le droit de vivre? Si deux personnes ont un discord, personne ne les empêche de se battre dans n'importe quelle instance de justice, mais en attendant les résultats Mme Shiavo devrait être nourrie par tous les moyens pour maintenir son corps en vie. A mon avis, lui réfuser le droit de se nourrir est égal à un crime avec intention et c'est inhumain.

Ist das Gesetz in Florida für das Recht zu sterben und nicht für das Recht zu leben? Wenn zwei Leute einen Streit haben, können sie ihn vor Gericht austragen, wenn sie es wünschen, aber in der Zwischenzeit sollte Frau Schiavo mit allen Mitteln ernährt werden, um ihren Körper am Leben zu halten. Meiner Ansicht nach gleicht die Ablehnung ihres Rechtes zur Ernährung einem Verbrechen mit Absicht und ist unmenschlich.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Douda (Douda) le vendredi 25 mars 2005 - 01h35:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Pour Colette Smadja,

Voici deux sites qui peuvent répondre à votre requête :

http://www.tn.refer.org/hebergement/histoire/activites/coljui.htm

http://barthes.ens.fr/clio/revues/AHI/articles/preprints/kaz.html

Bien à vous,

Wnessou El Douda

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le jeudi 24 mars 2005 - 23h43:

Un chanteur de reggae Loubavitch genial. A voir absolument :

http://images2.jokaroo.net/videos/matisyahu.wmv

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pauline (Pauline) le jeudi 24 mars 2005 - 19h51:

Pourquoi appelle t -on cette fête Pourim ?

Réponse du Rav Dov Lumbroso-Roth

Nos Sages se posent la question : Pourquoi la fête de Pourim porte-t-elle ce nom ?

La Guemara répond : « C’est parce qu’il est écrit : Hipil pour hou ha-goral lifnei Haman (“on jeta le pour, c’est-à-dire le sort, devant Haman” – Esther 3, 7), ce qui veut dire que Haman a tiré au sort la date à laquelle il allait exterminer les Juifs. D’où le nom Pourim qui vient de la racine pour (“tirage au sort”). »

On peut se demander pourquoi la dénomination de cette fête doit rappeler un aussi petit détail parmi tous les miracles dont nous avons bénéficié pendant cette période.

De plus, si l’on faisait réellement référence au tirage au sort de Haman, la fête aurait dû s’appeler Pour (au singulier), et non Pourim (au pluriel) !

Il existe dans la Tora d’autres circonstances qui faisaient intervenir des tirages au sort. C’est ainsi qu’à Yom Kippour il fallait choisir deux boucs et tirer au sort entre les deux pour savoir lequel irait la-‘azazel et serait jeté du haut d’une montagne pour expier les fautes des enfants d’Israël, et lequel serait offert en sacrifice à Hachem.

De même pouvons-nous lire que, lors de la conquête d’Erets Yisrael, Yehochou‘a (Josué) a procédé à un tirage au sort pour diviser le pays entre les différentes tribus, faisant ainsi pleinement confiance à Hachem pour le meilleur partage possible.

Selon le point de vue de la Tora, dans certaines circonstances en tirant au sort, on se remet entièrement entre les mains de Dieu : Hachem va nous révéler la Vérité.

Haman, quant à lui, n’a pas tiré au sort pour savoir ce que Hachem allait décider. Il a procédé à un goral, à un tirage au sort car il pensait que tout vient par hasard. Il a laissé faire la Nature en espérant « avoir de la chance ».

A travers ce seul détail, le tirage au sort, on comprend la position de Haman tout au long de sa vie : Il ne prenait en considération dans l’existence que le pour, le hasard, les effets naturels.

Par ce tirage au sort, il se croyait tout-puissant, convaincu que la chance lui sourirait.

A l’instant même où Haman allait demander à Assuérus la permission de pendre Mardochée, à ce même moment ce roi a eu une insomnie et a demandé qu’on lui lise « le livre des chroniques ». C’est alors qu’il s’est rendu compte que Mardochée n’avait pas encore été récompensé de l’avoir sauvé. Au lieu de détruire celui-ci, Haman s’est retrouvé contraint de l’honorer en le promenant à travers la ville. Il ne s’est absolument pas remis en question, et ne s’est pas demandé pourquoi la situation s’était inversée : Il a mis cet épisode sur le compte de la « malchance ». A aucun moment, il n’a émis l’idée d’une intervention divine.

Tout au long de la Meguila, nous observons que tous les événements qui auraient dû causer notre perte ont été en fin de compte les clés de notre délivrance.

Si les Juifs, en effet, ont été menacés de destruction, c’est parce qu’ils avaient pris part au festin organisé par le roi et assisté à ses festivités. A cause de cela, Haman est devenu Premier Ministre, car c’est lui qui avait conseillé au roi de tuer sa femme Vachti lorsqu’elle avait désobéi à son mari. Immédiatement après, Haman décida de tuer les Juifs.

Mais même dans une telle situation, Hachem nous a redonné un espoir. Cette même se‘ouda qui aurait dû être la cause de leurs malheurs a été à l’origine de leur yechou‘a, de leur délivrance. Il fallait, maintenant que Vashti était morte, choisir une nouvelle reine : c’est d’Esther que viendra cette délivrance. C’est de la même où ils avaient péché, de cette se‘ouda, que va venir leur salut.

C’est là même où Haman croyait qu’il allait vaincre qu’il a été vaincu. C’est lui qui a été pendu et les benei Yisrael ont été sauvés !

A Pourim, il y a eu deux tirages au sort : celui que Haman a voulu nous imposer, et celui qui nous est réellement arrivé. Tout a dépendu de notre comportement. Par leur techouva exemplaire, les Juifs ont réussi à inverser le courant de l’Histoire : Wenahafokh hou.

Nous avons entre nos mains le cours de l’histoire ; en fonction de nos actions, un événement ou son inverse peut nous arriver ; tout dépend de nous.

Si le kelal Yisrael se rend compte que chaque action, bien qu’elle semble dictée par la nature, est en fait issue d’une décision divine, alors il pourra être sauvé.

Et tout ce qui nous arrive se transformera alors en une véritable yechou‘a !!!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mailroom (Mailroom) le jeudi 24 mars 2005 - 19h14:

Bonjour,

Mon grand-père Yacoub SMADJA (et ses aïeux) est né en 1882 et décédé en 1922 à BIZERTE Il est ou était enterré au cimetière juif de cette ville
ainsi que son épouse Hannah ZBERRO .
Connaissez vous le moyen d'être mis en relation avec "L'association des juifs originaires de Bizerte" dont je trouve le nom sur Internet sans autre précision.
J'aimerai en effet faire des recherches sur mes racines tunisiennes
Je vous remercie de votre aide.

Sincères salutations

Colette SMADJA

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le jeudi 24 mars 2005 - 19h08:

Une très mauvaise nouvelle… (info # 012403/5) [analyse]

Par Jean Tsadik © Metula News Agency



Depuis que, la semaine dernière, le "Financial Times" londonien s’est fait l’écho des déclarations du procureur général d’Ukraine, Svyatoslav Piskun, par lesquelles son pays reconnaît explicitement avoir livré illégalement des missiles de croisière à l’Iran et à la Chine, les états majors de certaines nations se trouvent dans une situation de pression maximum. Au premier plan de ces pays se trouve bien évidemment l’Etat d’Israël, l’ennemi juré de la République islamiste de Téhéran. Et il existe de sérieuses raisons à ce stress, puisque la dotation de l’Iran en 12 missiles de type X-55 (également appelés Kh-55 et AS-15) modifie les équilibres connus, au point de placer dès maintenant la population israélienne – et palestinienne, par effet collatéral - sous la menace d’une attaque nucléaire potentielle.



L’acte crapuleux autant qu’irresponsable des Ukrainiens, d’après la livraison du 18 mars dernier de la revue de référence en matière d’armement "Jane’s Intelligence Digest", n’aurait pas pu se réaliser hors de la connaissance des dirigeants de Kiev et, selon la même source, il aurait bénéficié de l’assistance des services de sécurité russes. Il est bien sûr très perturbant d’observer que le Kremlin de Monsieur Poutine pourrait avoir supervisé cet acte éminemment déstabilisateur pour la paix du monde, mais les faits étant ce qu’ils sont, il est prioritairement nécessaire de s’occuper de la nouvelle menace iranienne et d’étudier les moyens de s’y opposer.



Israël est, dans une large mesure, prise au dépourvu, qui concentrait tous ses efforts à la mise au point de son système d’interception de missiles balistiques Khetz-Pin vert. Or ce système, destiné à intercepter les Shihab 3 et 4, en développement en Iran, est actuellement inapproprié lorsqu’il s’agit de localiser et d’abattre un missile de croisière. Pour les lecteurs qui ne sont pas des experts en armement, rappelons que le principe d’un missile balistique peut être comparé à une pierre que l’on propulse par un moteur à une altitude se situant aux confins de l’atmosphère, et qui retombe, à une vitesse atteignant plusieurs fois la vitesse du son, sur son objectif. Rien qui ressemble à cela dans le mode d’opération d’un missile de croisière. Ceux-ci sont des espèces d’avions sans pilotes, propulsés par des moteurs de jets. Ils se distinguent par leur système de navigation sophistiqué, qui les rend autonomes en route vers leurs objectifs. Le système de guidage du X-55 dispose de trois composants : 1. "Inertiel", qui établit la position de l’engin en mesurant son déplacement dans l’espace ; 2. "GPS", exactement comme dans les voitures modernes, en établissant la position de l’aéronef relativement à celles de satellites ; et 3. "Par Comparaison des données" : c’est assurément le plus avancé de ces composants de navigation, il compare en permanence la topographie des lieux survolés avec une base de données intégrée à l’ordinateur du missile, dans laquelle ses concepteurs ont reproduit, de façon virtuelle, la topographie précise de toutes les régions dans lesquelles le X-55 pourrait être appelé à opérer.



La fonction de navigation "par suivi du terrain" procure au missile russe une précision à l’impact se situant dans une marge d’erreur de 18 à 26 mètres. Mais surtout, cette fonction donne au missile de croisière son atout principal, lui assurant une précision de vol suffisante pour d’évoluer entre les reliefs, à une hauteur au sol de 40 à 110 mètres. Dans ces conditions, les missiles de croisière sont très difficilement détectables.



Si j’ai parlé d’une menace nucléaire immédiate pour les habitants des zones se situant dans le rayon d’action des X-55 à disposition des Ayatollahs, c’est que des rumeurs persistantes, étant parvenues aux oreilles des responsables sécuritaires américains, britanniques et israéliens, affirment que des Etats de l’ex-URSS auraient également vendu aux Iraniens de une à trois bombes atomiques en état opérationnel. Bien qu’il faille prendre ces indices au conditionnel, ils placent les gouvernements dans l’urgence absolue de trouver des parades militaires adéquates à cette menace mortelle.


A l’heure actuelle, le seul moyen démontré – beaucoup d’autres étant encore à l’étude – d’intercepter un missile de croisière, consiste à le repérer à l’aide d’un avion de surveillance de type AWACS américain, ou de son pendant israélien, et de guider des pilotes de chasse en direction de l’agresseur. Il est vrai que le X-55 se déplace à une vitesse de l’ordre de 800km/h, ce qui le rend vulnérable aux avions de guerre mais la décision, entre l’homme et le robot volant, demeure assurément aléatoire. Le problème principal demeure l’identification des missiles de croisière. Ils sont sensiblement plus petits que les missiles balistiques, ayant la taille d’un petit avion d’affaires, et pour brouiller les pistes, le X-55 peut être indifféremment largué d’un avion de transport militaire, d’un bateau ou d’une base au sol. Qui plus est, lorsqu’il se trouve sous l’aile d’un gros porteur, les ailes du missile russe sont rétractées à l’intérieur de son fuselage, de même que son moteur et ses gouvernes servant à la navigation. A l’occurrence de la séparation, le bloc de gouvernes glisse pour se positionner sur le cône de queue, et le moteur vient se fixer sous le fuselage. Dans ces conditions, lorsque le X-55 est "replié" sous l’aile de son hôte, il est pratiquement impossible de discerner son existence au radar.



Et le missile est conçu afin de transporter une ogive nucléaire de 200 kilotonnes, soit 16 fois la puissance de Little Boy, la bombe qui a rasé Hiroshima. Il a un rayon d’action de 300 kilomètres, soit le double de ce qui est nécessaire pour atteindre Tel-Aviv.



Tel-Aviv ? – Certes, mais pas seulement. On est entré plus vite que prévu dans mon dernier article dans l’ère infernale caractérisée par un monde dans lequel une république islamique prosélyte est devenue une puissance nucléaire. Et les dernières nouvelles font trembler tous ceux qui ont maille à partir avec les bigots nerveux de Téhéran ou… avec la Chine. C’est le cas de Taïwan, qui vient de demander d’urgence aux entreprises Marcel Dassault de modifier les Mirage 2000-5 en sa possession, afin de les rendre capables de repérer et d’intercepter les X-55 chinois. Selon les espoirs des ingénieurs français et des militaires taïwanais, la transformation pourrait être possible.



Le Japon a peur. Les USA aussi sont inquiets, en imaginant le scénario catastrophe d’un bombardier SU-24 lançant sur New York, du milieu de l’Atlantique, un X-55. En fait, la possession par l’Iran de ces missiles de croisière place virtuellement tous les pays occidentaux – dès maintenant ou à court terme - sous la menace d’anéantissement détenue par une bande de fanatiques.



En ces jours infiniment délicats pour les démocraties occidentales et pour Israël en particulier, il y a matière à modérer quelque peu notre anxiété : ils n’y sont pas encore… Même si nous prenions pour argent comptant les rumeurs de livraison de charges nucléaires aux Ayatollahs, il faudrait encore les adapter aux X-55. Puis modifier l’unique SU-24 à disposition de l’armée de l’air iranienne afin qu’il puisse emporter son bébé d’apocalypse. Alternativement, il serait nécessaire de construire des bases de lancement au sol ou de transformer des navires en bases flottantes. Aucune de ces tâches n’est aisée, surtout pour un régime qui n’a pas accédé de lui-même à la technologie qu’il veut absorber mais qui l’a acquise et qui doit maintenant improviser des solutions techniques. Sûr aussi, que tous les satellites-espions du monde ont les yeux électroniques fixés sur tout ce qui bouge en territoire perse, sur tous les mouvements qui sortent de l’ordinaire. Sûr que les services occidentaux renseignent et que les armées s’entraînent.



Reste que notre meilleur argument, en ces jours de choc, demeure notre force de dissuasion. Israël dispose de ses missiles de croisière maison, "Popeye" et "Turbo-Popeye". Ils peuvent être largués depuis nos sous-marins "Dolphin", en cas d’agression iranienne, même en second recours, si un X-55 percutait Tel-Aviv. Les Ayatollahs sont au courant du rapport de force entre eux et le monde ; ils savent ainsi que, dès qu’ils feraient décoller leur vieux Sukhoï, qu’il atteigne sa cible ou qu’il la manque, ils auraient signé, mais avec une certitude absolue, leur arrêt de mort et celui de leur peuple.


Ce scénario me semble improbable. Tout le monde, en principe, aspire à vivre, même les fanatiques religieux. Mais à voir les centaines d’islamistes qui se font sauter, juste pour donner la mort à d’autres, en Palestine et en Irak, pour avoir constaté l’attaque contre les tours jumelles, incompréhensible en termes de stratégie, le monde a tout à craindre de la nouvelle ère dans laquelle nous sommes en train d’entrer…

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le jeudi 24 mars 2005 - 17h21:

Autrefois, les femmes étaient grassouillettes,des oies bien gavèes et surtout bien blanches, couleur talc.

L'esthètique corporelle n'étant pas de rigeur dans ces annèes là.

Ces canons de beautè se devaient de servir le mari en toutes circonstances et donc avoir la santè contrairement aux '..Mraidin bel douni..' (les malades du mauvais)

Une femme chétive était classèe dans cette catègorie.

La femme d'avant, se devait d'être soumise aux caprices de son époux sinon le rabbin du quartier était consultè pour mettre l'épouse en demeure et ainsi la faire plier aux convenances de son époux.

Toute dérogation à ces régles entrainaient en génèrale l'annulation ou divorce sans aucune autre forme de procès.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lalla (Lalla) le jeudi 24 mars 2005 - 17h04:

a NOTRE CHER BEKHOR
INFINIMENT MERCI POUR TOUT CE QUE VOUS NOUS FAITES ADMIRER;
TODA RABA

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 24 mars 2005 - 16h05:

Dans le GOUCH KATIF....Si j'ai bien entendu, des enfants se sont déguisès en revêtant des habits en forme de KASSAM pour la fête de Pourim ...Pour conjurer leur peur....

Hag sameah..