Par Braham (Braham) le mardi 29 mars 2005 - 16h39: |
Par Bazooka (Bazooka) le mardi 29 mars 2005 - 15h07: |
Bekhor,
Une petite question au sujet du Mt du Temple.
En quoi est-il saint pour la religion chretienne ?
Il va sans dire que je sais en quoi il l'est pour les deux autres religions.
Merci.
Par Bazooka (Bazooka) le mardi 29 mars 2005 - 15h04: |
Maxiton, vraiment il fallait oser le faire !
" Sodomiser les dipteres "
Qu'en termes elegants, ces choses-la sont dites !
Maintenant qu'on a la locution verbale, reste plus qu'a trouver le substantif qui convienne au sujet.
Je propose, et c'est dans le dico (http://dico.isc.cnrs.fr/ ):
Entubeur muscidae
Qu'en dite vous ?
Par Maxiton (Maxiton) le mardi 29 mars 2005 - 12h21: |
La Douda,
On ne va ni jouer sur les mots, ni faire du pilpoul, ni sodomiser les pauvres diptères.
Il y a des tas de façons de qualifier le fait qu'un individu est mort par la faute d'un autre.
Homicide involontaire, mort au Champ d'Honneur - ça fait un peu ringard, mais de ce point de vue je suis un peu ringard -, erreur de diagnostic ,accident domestique, accidents du travail du fait d'une erreur, ou de non observation des règles de sécurité etc. je laisse à ton imagination débordante et rafraichissante le soin de combler les blancs
Mais le mot " assassinat " dit bien ce qu'il veut dire : Meurtre commis avec préméditation, froidement,
Tu n'assassineras pas : tu ne projetteras pas de tuer ton prochain
Tout le reste n'est que commentaire
Bonne semaine
Par Henri (Henri) le mardi 29 mars 2005 - 08h07: |
Le chemin d'Oslo ne mene qu'a Oslo.!!!!!!!!!!
Ce chemin qui devait nous mener a la paix,nous a mene a 1500 morts et des milliers de blesses, et en attendant on est bien loin de la paix.
Ce qui est abberant, c'est que comme si rien ne c'etait passe on reprend le meme chemin, alors que le nouveau dirigeant des arabes qui occupent une grande partie de notre pays, n'a pas change d'un iota ses revendications, je cite "Jerusalem capitale de la palestine".Une petite phrase qui en dit long.
Au sommet d'Alger il a ete dit, que les Juifs se retirent de tous les territoires et de Jerusalem,et alors on les reconnaitra.
Celui qui fait l'autruche et ne veut pas entendre,finira par payer tres cher toutes ces concessions.
Mais si Israel dit haut et fort Erets-Israel appartient au peuple Juif,alors Achem ne nous laissera pas tomber, car c'est Lui qui nous la donne.
Par Bekhor (Bekhor) le lundi 28 mars 2005 - 23h48: |
LA MOSQUE d’AL AQSA OU MOSQUEE D’OMAR CONSTRUITE SUR LE MONT DU TEMPLE.
Savez que sur ce lieu même à la place de la mosquée, il y avait le fameux temple juif de Jérusalem.
La carte postale de ce lieu date d’environ 1905/1915.
La polychromie couleur est d’excellente qualité.
A cette même époque c’était l’empire Ottoman qui régnait sur Jérusalem jusqu’au traité de sèvres en 1920 ou il fut démantelé
.
On peut constater qu’à l’époque il y avait un délabrement et une dégradation flagrante de ce site qui est triplement saint par les trois religions chrétienne, musulmane et juive.
Bien entendu à l’époque il n’y avait aucune revendication de part et d’autres, les Turcs régnaient en maître sur le pays et personne ne critiquait la mauvaise maintenance des lieux et personne ne parlait d’occupation ou d’invasion d’Israël ou de Palestine.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 28 mars 2005 - 23h17: |
Je suis d'accord avec David Eden sur certains. Mais je ne pense pas que Sharon fait entièrement confiance à la trève. Il sait très bien que ça ne peut pas durer, mais il préfère pour le moment suivre la ligne qui permet à Israël de jouir d'un calme réciproque autant que possible. Sharon aurait toujours le choix de recommencer les combats, pour celà il aura toujours le temps. Mais en attendant il prouve au monde et à Abbas qu'il avait essayé de donner à Abbas et à ses groupes une chance. Les américains et les autres ne pourront pas lui reprocher d'avoir la main rapide sur la gachette.
De sa part Abbas, ne peut pas présenter toujours les mêmes excuses aux yeux de tous les politiciens qui suivent cette affaire: "Que soit-disant il ne peut pas aller contre des éléments extrèmes de son peuple." Sharon pourra lui chanter la même chanson:
"Si vous Monsieur Abbas vous ne voulez pas aller contre vos groupes, moi non plus je ne veux pas risquer une guerre civile." Je pense que pour le moment ce statu quo convient à Israel mieux que la guerre, vous ne trouvez pas? Certains diront qu'en attendant les Palestiniens se préparent et alors, au moins c'est sous les yeux de l'intelligence israélienne et de la CIA. Je pense que l'essaye en vaut la peine. Si les Palestiniens auront un état ils auront toujours le choix de rester calmes ou faire la guerre. Je pense que de toute façon c'est un risque à prendre.
En attendant Israël a toujours le droit d'intervenir quand les terrorites préparent une action quelconques comme le cas d'aujourd'hui.
Vous dites: "Une treve partielle d'un an en echange d'un retrait total avec risque de guerre civile me semble une mauvaise situation." Israël est loin de là attendons la fin. Les résultats seront toujours différents. N'oubliez pas qu'Israël doit agir comme un Etat et pas comme un groupe de terroristes.
Par Davideden (Davideden) le lundi 28 mars 2005 - 19h25: |
Maurice,
Quand les "minoritaires" ont les mains libres, ils agissent avec le support et au nom des "majoritaires".
A en juger sur le nombre d'attentats anti-chretiens au Liban, je doute qe l'Islam soit dans une humeur de reconciliation.
Si l'Islam a du mal a tolere des chretiens au Liban, je doute que l'Islam soit prete a accepter une presence Juive. En fait l'existence d'un peuple Juif tout court semble demander un effort aux musulman "minoritaires".
Malgre mes espoirs pour la paix, il me semble dificile d'avoir trop d'espoir. Israel semble etre prete a risquer la guerre civile entre Juifs alors que le nouvel Arafat semble avoir du mal ou ne pas trop essayer a controler ses "minoritaires".
Une treve partielle d'un an en echange d'un retrait total avec risque de guerre civile me semble une mauvaise situation.
je prefereraient un demantelement d'implantation en echange d'un demantelement de groupe "minoritaire".
Le chemin d'Oslo ne mene qu'a Oslo. On peut s'y remettre en route mais ne soyons pas surpris de nous retrouver au meme endroit.
L'espoir lui ne meurt pas.
Par Maurice (Maurice) le lundi 28 mars 2005 - 18h23: |
SHARON N'AURA PAS DE REFERENDUM SON PLAN IN CHALLAH DEVRAIT S'APPLIQUER POUR UNE PAIX QUE JE DIS AVEC LES ARABES ET EVIDEMMENT CEUX DE PALESTINE CAR EN FIN C'EST UNE SOLUTION HUMAINE POUR QUE L'ISLAM SORTE LEUR LOGIQUE D'IMPOSER LA DIMHITUDE A SES MINORITAIRES CAR JUIFS ET CHRETIENS SI IL Y A EU DES PHASES HEUREUSES DE FRATERNITE DES LES CRISES C'ETAIT LA FAUTE DES MINORITAIRES (EN OCCIDENT AUSSI)
Par Mena (Mena) le lundi 28 mars 2005 - 18h25: |
Des concessions… qui ne « coûtent pas grand chose » (info # 012803/5) [analyse]
Par Guy Millière © Metula News Agency
Voici quelques semaines, lors du dîner annuel du Conseil Représentatif des Institutions Juives de France, Roger Cukierman a provoqué un mini scandale en soulignant les contradictions entre la prétention du gouvernement français de « lutter contre l'antisémitisme » et la politique étrangère française, profondément antisioniste et toujours prête à s'accommoder d'un antisionisme arabe très teinté d'antisémitisme. Il ne faisait pourtant que décrire la réalité.
Le Premier Ministre de la France était présent, il y a quelques jours, lors de l'inauguration du nouveau mémorial de la shoah à Yad Vashem, et il n'a pas manqué, une nouvelle fois, de dénoncer l'antisémitisme façon Pétain-Hitler. Il n'a cependant pas eu un mot pour dénoncer concrètement et précisément l'antisémitisme d'aujourd'hui, qu'il soit exprimé par Dieudonné ou par des prêcheurs islamistes. Il n'a pas davantage évoqué le mensonge collectif constitué par le fait de tolérer que les chaînes de télévision, les stations de radio, les journaux, et les hebdomadaires français puissent continuer à occulter l'affaire al-Dura, à ne présenter que de façon très biaisée le conflit israélo-arabe, sans jamais donner la parole à quiconque pourrait rectifier les omissions ou les falsifications, ou à ne pas dire la vérité concernant la situation en Irak, en Iran ou au Liban, pour ne citer que quelques exemples. Il a réaffirmé le refus de la France de voir inscrit le très antisémite mouvement du Hezbollah sur la liste des organisations terroristes, traité comme telles par l'Union Européenne… au nom de la « stabilité » et de la « souveraineté » du Liban, bien sûr.
On pourrait légitimement se demander pourquoi Jean-Pierre Raffarin, Jacques Chirac, Michel Barnier et avant eux Dominique de Villepin, mais aussi Hubert Védrine, et, globalement, tous ceux qui s'occupent de politique étrangère en France depuis au moins quatre décennies, ont eu peu ou prou la même façon de raisonner et de se comporter sur ces plans. On pourrait se demander pourquoi ceux dont la profession est censée être d'informer leur emboîtent le pas depuis si longtemps. On pourrait invoquer la persistance de certaines attitudes équivoques dès lors qu'il s'agit des juifs, et on aurait en partie raison : il a fallu une cinquantaine d'années pour que la France commence à regarder en face son passé du temps de Vichy. Et c'est à peine si François Mitterrand a choqué lorsqu'il a reconnu, à la fin de sa vie, avoir protégé jusqu'au bout des gens tels que René Bousquet. La haine, le mépris ou la phobie envers les juifs sont en France une vieille tradition historique qui n'a cessé de changer de visage sans jamais disparaître.
On pourrait parler des liens économiques et financiers noués au fil du temps avec le monde arabe, et on discernerait là une part supplémentaire de vérité : la France, depuis le temps où le général de Gaulle est revenu au pouvoir et depuis la fondation de la Cinquième République, a noué avec le monde arabe des liens qui avaient fort peu à voir avec l'éthique et beaucoup à voir avec le cynisme et l'intérêt matériel à courte vue. On pourrait évoquer, pour la période récente, le poids acquis en France par la communauté musulmane, les liens que nombre de ses membres conservent avec leurs pays d'origine, une vieille propension un peu lâche à l'apaisement et à la politique du chien crevé flottant au fil des eaux fangeuses. On pourrait, dans ce sens, parler de stratégies saumâtres. Le livre récemment publié par Bat Yeor aux Etats-Unis, « Eurabia : The Euro-Arab Axis » [1], peut nous aider à appréhender ces comportements politiques.
Si, dans ses précédents ouvrages, Bat Yeor évoquait, détails accablants à l'appui, le statut des dhimmi, les chrétiens et juifs traités en terre d'islam comme des citoyens de seconde zone, et si, ce faisant, elle remettait en cause le discours trop souvent prévalant concernant la « tolérance » du monde musulman vis-à-vis des « mécréants », elle aborde aujourd'hui une question d'une actualité brûlante : le glissement de l’Europe, avec la France en avant-garde, vers la dhimmitude, donc vers la soumission acceptée à l’islam, assumée, presque revendiquée. Et ce glissement, nous dit-elle, n'est pas le fruit d'un malencontreux hasard ou de circonstances malheureuses, il est le fruit de décisions politiques, d'une stratégie d'ensemble, et des conséquences et des engrenages découlant de cette stratégie.
Dans les années soixante, en France, le gaullisme rêve de redonner au pays de Robespierre et de Pétain un peu de sa grandeur perdue. La France ne pouvant se suffire à elle-même, il lui faut arrimer à elle des pays qui deviendront sa clientèle et dont elle deviendra l'obligée, des pays avec lesquels elle nouera des liens privilégiés : globalement, le monde arabe. Sur cette base, le gaullisme pourra projeter au sein de l'Europe la « profondeur géopolitique » dont il s'est ainsi doté, et donner naissance à ce qu'on appellera ultérieurement l' « euro-gaullisme » : une conception selon laquelle l'Europe, téléguidée par la France, « partenaire privilégié du monde arabe » pourrait devenir la rivale des Etats-Unis.
Pour avancer, le gaullisme, puis l'euro-gaullisme, devront faire des concessions qui ne « coûtent pas grand chose », la plus importante étant le lâchage d'Israël et, bien sûr (ceci va de pair avec cela), une hostilité croissante envers l'Amérique. Les concessions « qui ne coûtent pas grand chose » vont expliquer l'antisionisme croissant, l'antisémitisme new look, l'anti-américanisme ambiant. Elles vont aussi avoir des conséquences : les flux migratoires issus du monde arabe et musulman ne vont cesser de s'accroître jusqu'à ce que l'islamisation de l'Europe en général, et de la France en particulier, devienne un phénomène immaîtrisable. Les politiques « sociales » conçues pour d'autres fins vont entraîner une dénatalité dans les populations de souche, un vieillissement, une stagnation économique qui font de l’UE des pays de plus en plus asthéniques et sans défense, et libre cours sera donné au sein de l'intelligentsia et des médias à un discours qui se révélera être de plus en plus hostile aux valeurs de la société ouverte occidentale et de plus en plus amical envers les totalitarismes, communistes autrefois, islamistes et altermondialistes aujourd'hui.
On en est arrivé, montre Bat Yeor, à une situation proche du point de non retour. La France, qui voulait utiliser le monde arabe et l'islam, devient un pion sur l'échiquier d'un ennemi qui n'a qu'à consulter les statistiques pour tenter de déterminer le moment où il pourra prendre le pouvoir, et qui sait que d'ores et déjà, s'il n'a pas tous les leviers en main, il dispose de capacités à semer la peur et l'acceptation préventive de la défaite. L'Europe entière devient elle-même, par la faute de la France, un pion sur l'échiquier de l'ennemi.
Les pays d'Europe, et surtout la France, ont condamné et condamnent encore l'antisémitisme d'il y a soixante ans, et ils pourront continuer à le faire. Par définition, le nazisme et le pétainisme sont vaincus et relégués dans le passé. L'Europe et la France peuvent même se payer le luxe d'agiter le spectre des résurgences du nazisme : s'en prendre aux nostalgiques d'un mouvement révolu permet d'adopter une position commode, avantageuse, sans risques et offre de donner le change.
L’Europe continuera très vraisemblablement à glisser vers la dhimmitude, à pratiquer l'antisionisme, à excuser l'antisémitisme d'aujourd'hui ou à fermer les yeux sur lui et à pratiquer l'apaisement vis-à-vis de l'islamisme. C'est ce qu'on verra dans les mois à venir, et c'est ce qu'on voit déjà si l'on regarde l'attitude européenne et française envers le régime des mollahs en Iran, de Yasser Arafat ou du Hezbollah au Liban. L'espoir du monde libre et de tous ceux qui se reconnaissent en lui réside plus que jamais dans la détermination des Etats-Unis, dans leur aptitude à maintenir cette détermination, dans leur capacité à rester lucides et à ne pas céder à leur tour aux tentations délétères de la dhimmitude, sans quoi tout serait perdu.
Notes :
[1] Bat Yeor, Eurabia : The Euro-Arab Axis, Fairleigh Dickinson University Press, 2005, $ 23,95
Par Bekhor (Bekhor) le lundi 28 mars 2005 - 18h08: |
DAVIDEDEN,
BRAVO POUR AVOIR DETECTER UNE PUB D'AVOCAT.
Par contre je ne sais pas si c'est legal, mais si c'est bien un avocat, pourquoi n'a t'il pas annoncé la couleur? c'est trés birarrrrrrre.
Je répéte et persiste, dans les affaires d'immobiliers de non résidents en Tunisie, ne faites surtout pas confiance aux avocats français qui vous sollicitent, et a plus forte raison ailleurs.
En général ce sont eux les apporteurs d'affaires aux oiseaux de mauvaises augures qui recherchent les pigeons a plumer qui sont déja presque complétement déplumés.
(selon Davideden, qui a bien trouvé la définition.)
Par Davideden (Davideden) le lundi 28 mars 2005 - 17h10: |
http://www.juridirect.com/avocat/paparone/
Est ce le meme paparone? Est il legal pour un avocat de faire des annonces publicitaires?
De quelle nouvelle loie s'agit-il? La loie des deplumes replumes? Une cacahuete au metre carre sans guarantie d'emplumage? A me donner la grippe aviaire.
Par Soleil (Soleil) le lundi 28 mars 2005 - 15h45: |
Listen to this commentary on "Blessings from Hebron," an hour-long internet show with
David Wilder, on www.israelnationalradio.com, first broadcast every Monday at 5:00 pm (Israel time), replayed
every 2 or 3 hours through the night and posted for a week on the israelnationalradio.com web site.
Today interviewing Noam Arnon
Hebron/Arutz 7 Commentary
This commentary is dedicated to the memory of the four Seidenfeld children from Teaneck, New Jersey, who were lost in a tragic fire last week, and to the complete and speedy recovery of their mother Aliza bat Yehudit, and daughters, Zahava Nessa bat Aliza and Aviva bat Aliza. Please pray for them.
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Simcha and Emunah
by David Wilder
The Jewish Community of Hebron
March 28, 2005
Shalom.
Today I have to speak about two different subjects, which definitely have a common denominator.
Exactly a week ago I was in New York, together with my friends Simcha Hochbaum, Noam Arnon and Rabbi Hillel Horowitz. We all flew in to the 'big apple' for a wonderful occasion.
A few months ago, Hebron's New York affiliate, the Hebron Fund, announced the appointment of the organization's new executive director, Yossi Baumol. Yossi came to Hebron from the most appropriate of places…Jerusalem. Directing Ateret Cohanim and the Jerusalem Reclamation Project for over fifteen years, Yossi fit into Hebron's administration swiftly and successfully. His first major project was Hebron's flagship event, the annual Hebron Fund dinner. It's not easy to begin with such a mission, but he was up to meeting the challenge. Yossi, together with his dedicated New York staff, members of the Hebron Fund Board of Directors and other talented volunteers, took off and never looked back.
By the time Hebron's Israel contingent landed in New York, most of the hard work was finished. Late last Monday afternoon we gathered at the Marriot Marquis Hotel on Broadway and found ourselves ensconced by over one thousand friends and supporters who gathered to pay homage to Hebron's Jewish Community: men, women and children. What an evening it was! As is customary at such affairs, a few exceptional people were honored. Amongst the dinner honorees were Shimi and Chani Klein, Rabbi Marvin Rosen and his son, Michael Rosen, and Howard and Phyllis Goldberg. This year we also chose to pay tribute to an extraordinary woman, Rebbetzin Esther Jungreis, whose work with Jews around the world is virtually unparalleled. The evening's dynamic keynote speaker was Rabbi Moshe Weinberger, spiritual leader of Congregation Aish Kodesh in Woodmere, NY.
Every once in a while people ask us why spend the time on what seems to be such a lavish event. Of course, it goes without saying that Hebron's numerous projects would be impossible to accomplish with our friends in Israel and abroad. For example, the new, just-finished apartment building in Tel Rumeida, was a multimillion dollar project. (Stay tuned for details of the building's dedication, to take place on Tuesday, April 26, during the Passover holiday celebrations in Hebron.) Many other undertakings, including various and assorted children's projects, such as a state-of-the-art computer room, youth centers, summer camp activities and the like, are funded by generous supporters around the world. Our annual dinner serves as a focal point, bringing together many of our devoted friends.
However, from my point of view, events such as this one can be compared to a splendid shot of adrenaline. By the end of the evening I'm on a real high – and I know my friends are too. When we come back to Hebron and tell all the others, trying to describe the phenomenal outpouring of love and camaraderie, I think much of our emotions rub off on the rest of Hebron's Jewish community. They too are uplifted by the tremendous efforts made by the New York Hebron Fund, and by so many others, to bond with us, here in the city of the Patriarchs and Matriarchs. The energy I pick up at this dinner keeps me going for a long time, and on behalf of all Hebron's residents, I want to take this opportunity to publicly thank all those who contributed to the event's fabulous success. If I start naming names, I will inevitably forget someone, so, without going into specifics, to ALL OF YOU, we owe you a tremendous debt of gratitude.
Talking about highs…
Yesterday was Purim. No, Shabbat was Purim. Excuse me, but Friday was Purim. I guess for most of you, the latter is correct. On Thursday night and Friday morning we gathered to hear Megillat Esther, the scroll of Esther, and celebrated this age-old holiday. Yet, here in Hebron we usually celebrate two days of Purim. Due to doubts as to the legalistic status of Hebron in Jewish law – do we celebrate like most of the world, or like Jerusalem? Accordingly, we take to easy way out – we do it twice. That is a great deal of fun. But this year we had three days, with Shabbat in the middle.
Aside from reading the Megillah, giving presents to our neighbors and charity, in Hebron we participate in three special events: a 'shuk purim,' an 'a'deloyada' and a huge communal meal. Translated, a 'shuk purim' is a carnival for kids, and an 'a'deloyada' is a purim parade. (Actually, I missed the shuk purim this year, because late Friday morning we were participating in individual family meals, and in the middle, I fell asleep. One of the main facets of the feast is a lot of wine.)
Yesterday, Sunday, day the entire community, all costumed up, danced through the streets from Tel Rumeida, past Beit Hadassah and the Avraham Avinu neighborhood, to the Hebron Heroes neighborhood, and back to Ma'arat HaMachpela. This year we had an extra added attraction. Two new Torah scrolls were dedicated to Ma'arat HaMachpela during the celebrations. It's difficult to express the feelings – you have to experience it to understand it. Afterwards, the entire community joined for singing, dancing and lots of good wine and food at the Gutnick Center.
Of course, such an event wouldn't be complete without photographers and journalists from around the globe. Israeli television news caught me prancing around and stopped me to ask a question: "How can you have so much fun and generate so much happiness in the middle of 'disengagement?'"
The answer to that was simple. "Purim is a holiday of opposites. In the end, everything turns around and upside down. Not everything that seems to be happening is reality; sometimes reality is 'covered up,' and revealed only 'later in the game.' We have no doubt that that is what is happening now.
There are two integral ingredients: happiness and faith. Without either one of them it is difficult to exist. Here in Hebron, thank G-d, we are fortunate to be filled with both of them. Faith leads to simcha, that is, happiness, and simcha, real, true simcha, also leads to emunah, that being faith. These two come together on Purim in the most tangible way, and so too, with G-d's help, we will be blessed to the revelations of a modern day Purim miracle, in the not too distant future."
I guess here in Hebron we are very fortunate. We are constantly surrounded by simcha and emunah – be it in New York, or be it here at our home. Quite a gift.
With blessings from Hebron.
Help Gush Katif: www.katifund.org – See Gush Katif movie and Powerpoint presentation thru link at hebron.com homepage
The Jewish Community of Hebron
POB 105 , Kiryat Arba-Hebron 90100 hebron@hebron.org.il
Tour Hebron: Tel 972-64-371257 or write: simcha@hebron.org.il