Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 03 avril 2005 - 07h20:

Envoye par Felix Bouhnik

Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 03 avril 2005 - 06h55:

Bonjour,

Actuellement journaliste à France 2, j'ai publié un livre en 1996 - La Belle époque du cinéma et des fêtes foraines à Nantes - et je cherche encore des documents (écrits, photo, cartes postales, etc.) au sujet de Salomon Katorza. J'ai vu sur votre site que le sujet semblait vous intéresser.
Auriez-vous des pistes à me suggérer. Je recherche, notamment, les coordonnées des descendants de Katorza.

Frédéric MONTEIL

Par Nao (Nao) le dimanche 03 avril 2005 - 04h55:

Ca n'est qu'a la mort d'un etre que l'on se rends compte de ses immenses accomplissements.
Le sermon du rabbin ce matin a notre synagogue a mentionne les extraordinaires "mitsvot" de ce Pape. Apres tout, il est de notre devoir en tant que Juifs de reconnaitre ceux qui s'elevent parmi les Justes et qui suivent scrupuleusement les 7 lois Noahiques.

La mort du Pape m'a attristee et m'inspire les reflexions suivantes.

Ce Pape a scelle la reconciliation etre Juifs et Chretiens. Le président de l'Etat Moshé Katsav a declare: "Le peuple juif se souviendra de lui comme de celui qui s'est courageusement levé pour mettre fin à une injustice historique en réfutant les préjugés et accusations anti-juifs à l'origine des souffrances de notre peuple et de notre religion d'un antisémitisme venimeux, de poursuites et de meurtres''

Au cours de son voyage a Yad Vashem en 2000, il a aussi demande pardon au nom des Chretiens pour l'attitude de l'Eglise pendant la Shoah. La symbolique etait d'autant plus forte qu'il etait Polonais, pays ou les Juifs ont vecu les pires barbaries durant l'Holocauste.

Il aimait sincerement Dieu et l'Homme, sa creation divine. Il avait enormement de rahmanout et de pardon. Il avait une grande "shekhina" si l'on peut dire.
Il a pardonne en personne l'homme qui avait tente de l'assassiner. Et pourtant cette tentative d'assassinat avait considerablement affaiblit sa sante.

Enfin ce Pape etait impregne totalement par sa mission sur terre, proche de ses fideles chretiens, proche de la souffrance de l'humanite et totalement devoue a son role.
Ses inlassables voyages dans le monde, au peril d'une sante fragile, ont ete un rempart de force face au proselytisme galopant de l'Islam.
Nous verrons si son successeur pourra faire aussi bien.

Pour tout cela, ce Pape et l'homme qu'il a ete fut exceptionnel.
Il laissera un souvenir marquant dans toutes les memoires.

Shavuah tov

Par Bekhor (Bekhor) le samedi 02 avril 2005 - 19h58:

DJERBIEN,
CHUUUUT, cette conversion de Bush doit rester secréte jusqu'a la totale democratie des pays musulmans.

Paraitrais il que le grand rabin de New York le rabin Debil Metoumtam lui a donné l'extréme onction juive.

Dommage que tu ne lis pas l'hebreu je t'aurais donner le lien du journal "ASHEKER AGADOL" il y a plusieurs pages sur la conversion de la famille Bush, l'etude du Talmud et la future conversion de
son pére aussi.

Par Djerbien (Djerbien) le samedi 02 avril 2005 - 14h31:

bellehi y aurai quelqu´un qui pourait me montrer ou se trouve l´article sur la convertion de bush au judaisme

Par Pinacolada (Pinacolada) le samedi 02 avril 2005 - 14h52:

En Israël, «pas d'Arabes pas de buts!»

Le but égalisateur contre la France, mercredi, comme celui contre l'Irlande, samedi, ont été marqués par des Arabes israéliens; Ce dont se régalent les journaux et un député.

Par JEAN-LUC ALLOUCHE

jeudi 31 mars 2005 (Liberation.fr)

Jérusalem de notre correspondant


Le nul (1-1) obtenu hier, à l'arraché, par les Israéliens devant les Français à Ramat-Gan, en éliminatoires du Mondial de foot 2006, avait une double charge explosive. Sportive, d'abord, surtout pour la France qui doute désormais d'accéder à la phase finale et pour Israël, qui l'espère toujours. Et politique, bien sûr, tant les relations entre les deux pays sont plus compliquées que les réflexions à l'emporte-pièce de Fabien Barthez.
Néanmoins, la charge la plus significative - et la plus belle - aura été ailleurs. Le but qui a libéré les Israéliens, hier soir, à la 83e minute, a été expédié dans les filets, de la tête, par Walid Badir. Tout comme celui qui a permis aux «bleu-blanc» de revenir, face aux Irlandais, dimanche dernier, à la 90e, était d'un boulet d'Abbas Souan. Le premier joue au Maccabi Haïfa, le second à Sakhnine. Tous deux sont des Arabes israéliens. Le premier évite, en général, d'évoquer son appartenance; le second s'en prévaut, qui a dédié son but «à tous, afin que Pourim (fête juive, ndlr) soit un peu plus joyeuse. Ça suffit de parler de Juifs et d'Arabes, nous sommes un seul pays et nous sommes tous ensemble.» Tout comme son club, «arabe» lui aussi, qui se flatte d'offrir à «tout l'Etat d'Israël un exemple de coexistence fraternelle en faisant jouer musulmans, juifs et chrétiens.»

Comble du symbole: la rencontre se déroulait le «Jour de la Terre», commémoré par les Arabes israéliens, depuis des incidents sanglants qui ont marqué, en 1976, des manifestations contre les confiscations de terres par l'administration israélienne et qui laissèrent deux morts dans la ville. C'est à Sakhnine qu'est né ce «Jour de la terre», ville de 23.000 habitants, ou le taux de chômage (17 %) est l'un des plus forts d'Israël.

«Pas d'Arabes, pas de buts», s'est empressé de lancer, aussitôt après l'exploit de Badir, le député arabe Ahmad Tibi. Scénario de rêve pour l'un des députés les plus opiniâtres de la Knesset: les Arabes sauvent Israël. Encore sa formule est-elle un pastiche amer de celle des ultra-nationalistes: «Pas d'Arabes, pas d'attentats!» «Peut-être est-il temps maintenant d'installer un réseau d'égouts dans nos villages non reconnus?», a ajouté Ahmad Tibi. Et de glisser: «Heureusement que le plan de transfert d'Avigdor Lieberman (politicien d'extrême droite, ndlr) n'a pas été appliqué la semaine dernière, sinon Israël aurait perdu les deux matches.» La presse israélienne l'a presque entendu. Les journaux populaires rivalisent de bonnes intentions et de jeux de mots: «La semaine de l'égalisation» (ou «de l'égalité»), titre Maariv. «Ça valait le coup!» (qui signifie aussi: «Il était égal»), clame Yédiot Aharonot, et même «La soirée de Badir» (qui peut se lire «Badir l'Arabe»).

L'égalité, c'est ce que revendiquent la majorité des citoyens arabes d'Israël. La récente nomination d'Oscar Abourazzek comme directeur général du ministère de l'Intérieur est la plus haute fonction jamais atteinte par un Arabe israélien. C'est un signe. Mais non une révolution. Les simples citoyens attendent des équipements, la baisse du chômage, un traitement égal à l'embauche. Et la fin de la méfiance de leurs concitoyens juifs à leur égard.

Au plan sportif, la réalité est proche: samedi, en championnat, le très nationaliste Bétar accueille Sakhnine, à Jérusalem. Les rencontres entre ces deux équipes offrent une débauche d'insultes et de coups et blessures. «Accueillez-les avec des fleurs plutôt qu'avec vos habituels "Mort aux Arabes"», suggèrent les éditorialistes.

Par Maxiton (Maxiton) le vendredi 01 avril 2005 - 23h30:

Bonsoir à tous
Ci-dessous la traduction d'un article de Mikes Levine reporter free-lance et paru dans:

www.jewishtoronto.net, sous le titre de

An Hopital meeting

Lisez-le et adressez- le à votre journal habtuel en mentionnant la référence.
ci-joint la référence du site

http://www.jewishtoronto.net/content_display.html?ArticleID=147947

Date: Thu, 31 Mar 2005 21:13:02 +0200
From: Moise Rahmani


Subject: Une rencontre à l’hôpital

merci a Solly L. de Toronto

Une rencontre à l’hôpital (For English text see below)
par Mike Levine, journaliste indépendant vivant

en Israël depuis 1985

« Je viens de passer quatre jours à l’hôpital
Hadassah de Jérusalem et il m’est arrivé une
chose importante que je voudrais vous conter.

Un matin,les infirmières et un médecin amenèrent
un nouveau patient dans notre chambre à 4 lits.

Il était accompagné de son frère, de sa mère et de sa sœur. D’après leur conversation il était évident qu’ils étaient Arabes. »

Ainsi commence le premier paragraphe d’un
article très intéressant que lecélèbre écrivain
israélien, Naomi Ragen, a fait circuler sur Internet accompagné de ses remarques :

« Une article merveilleusement éducatif de
Mike Levine à qui je souhaite un prompt rétablissement. »

( traduction pour INFO'SION par Nicole Benattar).

Son lit se trouvait juste en face du mien.

Je dis « Shalom » et tous répondirent sauf le patient qui semblait être sous l’effet de calmants.

Je retournais à la lecture de mon journal.

Le patient était un médecin de Gaza, directeur d’une clinique qui traitait 1500 personnes par mois et dont les cas allaient du saignement nasal à la blessure par balles.

Il avait 53 ans et devait subir un quadruple pontage pour remplacer ses artères complètement
bouchées et endommagées.

Il avait été admis deux jours avant l’intervention afin qu’on lui injecte des médicaments et des antibiotiques pour le renforcer.

Son frère qui était directeur d’école, bien éduqué, érudit, affectueux etcommunicatif, prévoyait de rester avec lui pendant son séjour et dormirait sur une chaise. Lui et moi avons eu plusieurs discussions profondes à propos des relations entre Juifs et Arabes.

Nous sommes tombés d’accord sur plusieurs points :

1- Bibliquement et génétiquement nous sommes
cousins

2- Il n’y a pas de raison pour que la majorité d’entre nous ne puisses’entendre

3- Il y a suffisamment de terre, d’eau et de nourriture pour deux peuples

4- L’attitude des Arabes envers les Juifs doit changer

5- Les dirigeants de part et d’autre ont fait des erreurs

6- Nous sommes tous deux contents qu’Arafat ne soit plus

7- Nous pouvons vivre en paix si on élimine les
haineux et les tueurs

8- La coopération apportera d’énormes bienfaits

9- Nous sommes tous deux las de cette guerre de
cent ans

J’étais curieux de savoir comment un habitant de
Gaza, un vivier de terroristes, pouvait être admis dans un hôpital israélien.

Il m’apprit qu’il n’y avait pas d’animosité entre les médecins israéliens et ceux de
Gaza, qu’ils étaient en communication permanente
et qu’en fait lesIsraéliens envoyaient souvent du matériel à leurs confrères de Gaza lorsqu’ils en manquaient, ce qui arrivait souvent.

Il me raconta que de nombreux enfants de Gaza
étaient adressés aux hôpitaux israéliens pour des
opérations qui ne pouvaient être faites là-bas et qu’aucune noted’honoraires n’était jamais envoyée.

Je vous demande maintenant quand avez-vous vu un
reportage à ce sujet surCNN ou BBC ou même dan
votre quotidien habituel ?

Avez-vous entendu Kofi Annan en parler à la tribune de l’ONU ?

Il me dit que la plupart des gens éduqués de Gaza étaient prêts à vivre en paix avec nous mais qu’ils avaient peur d’en parler par crainte d’une exécution sommaire pour collaboration.

Ce qu’il craignait par-dessus tout était ce qui
arriverait après le départ de l’armée israélienne et l’évacuation des Juifs du Goush Katif.

Lesgroupes terroristes, Hamas, Fatah, Djihad
Islamique,Hezbollah, avaient amassé des stocks
d’armes et d’explosifs considérables en provenance d’Egypte.

Ils profitaient de cette bulle de calme pour confectionner des milliers de fusées Kassam,
plus puissantes et précises, qu’ils
introduisaient en Judée et Samarie (la Cisjordanie) à proximité des centres urbains d’Israël.

A son avis, une Intifada autrement plus sanglante et violente était sur le point de commencer dès l’abandon de Gaza par Sharon.

Je lui demandai pourquoi toute sa famille ne
restait pas en Israël, chose qu’ils auraient pu arranger grâce aux relations de son frère.

Mais il m’expliqua qu’ils ne voulaient pas abandonner leurs parents sans soins et que le reste de la famille ne voulait pas se séparer du frère aîné.

Le lendemain matin, lors de ma sortie de l’hôpital nous nous étreignîmes en silence, un Juif et un Arabe pensant avec tristesse à « ce qui aurait pu être », à « ce qui serait un jour peut-être » mais qu tragiquement ne se produirait pas aujourd’hui encore.

Pour diffuser , mentionner les sources

Par Mena (Mena) le vendredi 01 avril 2005 - 23h01:

Moments charnières délicats pour Mahmoud Abbas (info # 013103/5) [analyse]

Par Sami El Soudi © Metula News Agency

Les changements ne se font pas assez rapidement au sein des territoires soumis au régime autonome palestinien. Au plan de la coopération sécuritaire entre les forces de l’AP et Israël, les choses se passent très bien mais c’est au niveau de la prise de contrôle des factions armées que le gouvernement Abbas rencontre de gros problèmes ; et ces problèmes engendrent deux impacts négatifs, voire dangereux. D’une part, ils ralentissent le débit de la discussion politique avec les Israéliens, qui retardent notamment leur retrait de nos villes et le démantèlement des check post et d’autre part, ces lenteurs alimentent l’impatience de la population, pressée de voir sa situation économique s’améliorer. Conscient de la situation et de ses enjeux, le gouvernement Sharon a certes autorisé plus de pendulaires palestiniens à venir travailler dans l’Etat hébreu. Il a également permis aux commerçants et aux industriels de chez nous de se rendre à nouveau en Israël, mais c’est encore trop peu pour que l’on constate des changements appréciables par tous dans les territoires. Et cette stagnation relative a pour effet immédiat de remettre du vent dans les voiles des organisations terroristes, qui accueillent à bras ouverts tous les déçus de la Carte Routière et les nostalgiques d’Arafat. A quelques mois des législatives, auxquelles le Hamas participera, ces avatars sont de fort mauvais présages pour Mahmoud Abbas ainsi que pour tous ceux qui tiennent à la paix.

Le fond du problème, c’est que le président palestinien ne dispose pas, hormis les hommes de la Sécurité Préventive sous l’influence de Dahlan, de forces de l’ordre à même de faire respecter son autorité. La meilleure image pour comprendre de quoi il en retourne est celle des désordres qui se sont déroulés lors des obsèques de l’ex-raïs dans l’enceinte de la Moukata de Ramallah. La plupart des officiers et soldats demeurent inefficaces ou encore passifs et sans discipline. L’habit ne fait pas le soldat, serais-je tenté de dire pour résumer les choses, même si c’est de manière un peu caricaturale. L’espoir réside dans la formation de personnels en cours en Egypte et en Jordanie, ainsi que dans l’encadrement de certaines unités par des conseillers américains et même britanniques. Mais le temps dure longtemps et les nécessités pressent.

L’anarchie menace au sein des services de sécurité et des éléments armés, rattachés en principe à l’Autorité de Ramallah. Les affrontements inter palestiniens se multiplient, comme à Tulkarem, cette nuit, où des irréguliers armés ont mis le feu à un poste de contrôle de l’AP, y compris au drapeau palestinien qui le surplombait. Durant la même agression, les assaillants ont détruit le campement de la garnison du check point et ont forcé soldats et officiers à prendre la fuite. Ces incidents faisaient suite à l’arrestation au barrage routier de trois personnes suspectées de vols de voitures ; face à la résistance des suspects, un officier s’était servi de son arme et avait superficiellement blessé l’un des trois hommes.

Incident beaucoup plus grave à Ramallah, où un groupe d’une quinzaine d’individus puissamment armés, se réclamant des Brigades des Martyres d’Al-Aqsa, a mitraillé les bureaux du Président Mahmoud Abbas, lors d’une tentative visant à mettre son existence en péril. Plus tard, ils ont créé la panique en ville, en vidant le contenu de leurs armes sur des restaurants et d’autres commerces. Ces hommes entendaient ainsi réagir à l’expulsion de six d’entre eux de la Commanderie de la Moukata, où Yasser Arafat leur avait prêté refuge depuis le début de l’Intifada. Ce matin Monsieur Abbas a ordonné l’assaut contre les membres de cette mouvance des Tanzim situés à Ramallah. Un officiel a déclaré à ce sujet que ces hommes "avaient franchi la ligne rouge en s’en prenant au quartier général présidentiel", ajoutant : "maintenant, nous devons prendre des mesures sévères contre eux, avant qu’ils ne s’emparent de la ville (de Ramallah) et y propagent le chaos".

Reste que cette espèce de tentative d’attentat contre Abbas est symptomatique du désordre ambiant. Plus largement, les membres des Tanzim, que l’Autorité entend désarmer et intégrer dans les services de sécurité, craignent à la fois les commandos israéliens et de perdre leur solde ainsi que les privilèges de racket, d’enlèvements contre rançons et de chantages, qui les entretenaient sous le régime d’Arafat.

A Rafah, malgré les efforts réels pour boucher les tunnels de contrebande, relevés d’ailleurs par Shaul Mofaz, le Ministre israélien de la Défense, les groupes extrémistes profitent de la trêve afin de reconstituer leurs stocks d’armes et de munitions. Ces objets proviennent d’Egypte, qui ne rencontre pas plus de succès que nous pour mettre un terme à ces trafics dangereux. La semaine dernière, une faction dissidente de nos services de renseignements a même réussi à faire passer des missiles anti-aériens personnels de type Strella et à les remettre aux terroristes. Les identités des responsables sont connues de nos services et des Israéliens, qui exigent désormais leur arrestation.

A Washington, Mofaz s’est plaint aux oreilles de la Secrétaire d’Etat Rice, du Secrétaire à la Défense Rumsfeld et du Vice-président Richard Cheney de l’incapacité de Mahmoud Abbas à appliquer ses réformes et à désarmer les terroristes. Le ministre israélien a par ailleurs fait savoir que le Mossad avait prévenu personnellement le chef de l’Autorité Palestinienne de la préparation de l’attentat qui allait ravager le "Stage" à Tel-Aviv, aux conséquences désastreuses pour le renouveau des discussions israélo-palestiniennes. D’ailleurs, le rapport du Mossad mentionnait même le nom du criminel-suicide Abdullah Badaran.

Le responsable de la Sécurité Préventive auquel j’ai parlé m’a assuré que l’avertissement des Israéliens ne leur avait pas été communiqué par Mahmoud Abbas et que s’ils l’avaient eu en mains, ses services n’auraient pas hésité à agir. Le dossier est cependant demeuré dans le bureau du Président palestinien… N’allez pourtant pas croire que Monsieur Abbas souhaitait cet attentat, vous vous tromperiez totalement de chemin. Je connais suffisamment les convictions de l’homme et leur solidité pour vous assurer que ce n’est pas le cas. Mollesse alors ? – Non, volonté d’éviter, voire de retarder, la confrontation inter palestinienne et connaissance des faiblesses de son camp et de son "armée". Et foi dans le fatum, le maktub des Arabes, foi dans son étoile et – contre tous les oiseaux de mauvais augure – dans celle de son peuple, que vous traduirez par "destinée". Une foi qui doit maintenant s’accommoder de résolutions énergiques, si Mahmoud Abbas entend battre le temps à la course.

Par Claudia (Claudia) le vendredi 01 avril 2005 - 19h36:

Le Hezbollah libanais met Washington au défi de le désarmer

BEYROUTH (Reuters) - Le chef du Hezbollah, cheikh Hassan Nasrallah, a mis au défi les Etats-Unis d'envoyer des troupes au Liban pour désormais l'organisation chiite armée.

"Nous disons à l'Amérique et à tous ceux qui veulent désarmer la résistance au Liban et en Palestine face à Israël que c'est interdit, que ce n'est pas possible", a-t-il dit lors d'un rassemblement à Beyrouth.

"Ce qu'il leur reste à faire, c'est que les Américains viennent eux-mêmes désarmer la résistance et les camps (de réfugiés palestiniens) au Liban", a-t-il poursuivi sur un ton de défi, ajoutant sous les applaudissements de son auditoire: "J'espère qu'ils viendront."

Washington a placé le Hezbollah sur sa liste des groupes terroristes et exhorte la milice chiite à déposer les armes, conformément à la résolution 1559 adoptée en septembre dernier par le Conseil de sécurité des Nations unies.

"Nous considérons le Hezbollah comme une organisation terroriste et je souhaiterais que le Hezbollah prouve le contraire en déposant les armes et en ne menaçant plus la paix", a réaffirmé il y a quinze jours George Bush, notant au passage que la présence de l'organisation chiite armée sur la liste américaine des mouvements terroristes était liée à "ses activités passées".

"Chacun d'entre nous protègera la résistance, protègera son rôle et sa charge", a poursuivi jeudi Nasrallah.

Par Claudia (Claudia) le vendredi 01 avril 2005 - 19h35:

Meyer,

Vous m'avez tire les oreilles en public alors que ce que j'ai fait c'est de poster un article que j'avais trouve dans Le journal Le Monde et que je trouvais tellement invraisemblable que j'ai voulu le partager avec tous.
Je ne savais pas qu'il fallait simplement mettre des articles pour nous faire "nous sentir bien" seulement.
Cet article represente un courant de pensee du pays ou je vis et il est bon de confronter ses ennemis.

Par Meyer (Meyer) le vendredi 01 avril 2005 - 18h57:

Maurice cette nouvelle sur Bush et Madonna a paru à l'identique l'année dernière à la même date.

On peut ajouter qu'ils ont fait un repas de poissons.

Par Maurice (Maurice) le vendredi 01 avril 2005 - 18h48:

1er avril 2005 / 13 h 46
EXCLUSIF
George W. Bush songerait à se convertir au judaïsme
Par proche-orient.info
Le président américain George W. Bush songe à se convertir au judaïsme, a annoncé ce vendredi le porte-parole de la présidence américaine, Scott McClellan, suscitant de nombreuses réactions à travers les Etats-Unis. "Non, ce n'est pas qu'une rumeur, le président vit une profonde métamorphose spirituelle", a-t-il répondu à une question d'un journaliste du "New York Times" dont l'édition de ce matin révèle que le président américain a été vu jeudi à la sortie d'une synagogue de Brooklyn, à New York.

"Depuis plusieurs mois, George (Bush) se pose nombre de questions sur le sens de la vie et de la mort. Or, la figure du Christ ne répond pas à ces interrogations. Après avoir lu le Coran qu'il n'a pas jugé convaincant, il s'est mis à la Kabbale", a poursuivi le porte-parole. "Le président a annulé une réunion aujourd'hui du National Security Council à laquelle il devait assister pour pouvoir rencontrer les autorités rabbiniques du District de Columbia qui devraient lui indiquer la marche à suivre pour la conversion".

"Nous nous réjouissons de cette initiative. Le président sera le bienvenu au sein de notre communauté", a aussitôt réagi Paul Miller, le président de l'American Jewish Congress alors que l'Eglise méthodiste – à laquelle appartenait George W. Bush – a fait part, dans un communiqué, de sa préoccupation. "Nous appelons le président à réfléchir avant de s'engager dans des voies spirituelles dangereuses et demandons à l'ensemble des chrétiens américains de prier afin que notre président ne commette pas une faute irréparable", indique le texte.

De son côté, Madonna, adepte de la kabbale et bien qu'opposée à la politique de M. Bush, s'est félicitée dans un entretien sur MTV de l'évolution spirituelle du président américain, qui correspond à la sienne.

Par Bazooka (Bazooka) le vendredi 01 avril 2005 - 13h40:

Revoila le lien qui fonctionne :

http://www.jta.org/page_view_story.asp?strwebhead=Israeli%20court%20accepts%20conversions&intcategoryid=1&SearchOptimize=Jewish%20News