Archive jusqu'au 12/mars/2007
Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2007:
Commentaires Mars 2007:
Archive jusqu'au 12/mars/2007
'..Si té mésèlman, saches que ESHAQ c'est Isaac est déjà un prènam jouif y'a pas què loui ké il est misélman y'a Moussa, Moise, tout cé kè à nous il é dévenou à vous...!!! Si Mohamed cili di fois ti ni sirai pas jouif sans ké tou li sache......! Vois sur ton jbinèq di fois...!!!
Mohamed,
Tu as raison,la Tunisie comme ton village, appartient aux musulmans, il n'y a jamais eu de juifs en Tunisie comme dans ton village.
Mais c'est un peu bizarre le nom tres juif de ton village "Sidi Abou Itsak".
Le nom Itsak contrairement a Ibrahim, Youssouf, Moussa, n'est pas tres repandu chez les musulmans.
Yom tov lecoulam,
Nous sommes un petit groupe de théâtre amateur (d'un certain âge), très féminisé qui sévit à la WISO de Netanya en Israël. Nous avons interprété l'année dernière "Les pas perdus" de Denise Bonnal et avons obtenu beaucoup de succès (sans fausse modestie). Nous sommes, actuellement, à la recherche de sketchs et peut-être plus, pour la fin de l'année. J'aimerai savoir si la comédienne-écrivaine Muriel Kenn a édité ses oeuvres et quelles sont les références de l'éditeur. Viviane.
Bonjour,
je m'appelle mohamed, je suis tunisien, mésulmant et j'habite a jebeniana, j'ai lu ton texte consernant mon village, et je veux savoir si tes mots sont basés sur des réalités ou juste ce sont des paroles de grants peres. En tous cas, jebeniana appartient aux mésulmants depuis toujours, et les juifs ne l'ont jamais habité, SIDI ABOU ESHAQ est mésulmant et jusqu'au nos jours son mausolée existe.
Le lien de l'article http://www.harissa.com/D_Religion/lerabbindejebeniana.htm
bonjour,
je suis goulettois vivant au bresil, depuis 1973, sorti de tunisie en 1961 par le VILLE D ORAN, mon nom est HADDAD ,nous sommes DIX freres et soeurs eparpilles en FRANCE 5, ISRAEL 3, ESPAGNE 1.
ON HABITAIT FACE A L OSE ,J AI DECOUVERT HARISSA IL Y A PEU DE TEMPS TRES INTERESSANT. HAR J AI 65ANS
A BIENTOT
UN SPECTACLE
DE
MURIEL KENN
Comment j’étais ?
Je suis née à Tunis, sous le soleil dans un pays magique.
J’ai débarqué en France à l’âge de quinze ans.
J’ai poursuivi des études de pharmacie et j’ai écrit tout en jouant la comédie…
J’aimais observer les autres, me moquer de moi à travers eux, ou l’inverse…
Mes qualités : égoïste obstinée, gourmande.
Mes défauts: confiante, généreuse, sincère.
Je n’aimais pas les égoïstes, les obstinés, la nouvelle cuisine.
Comment je suis devenue ?
Idem plus…
J’aime encore plus les amis confiants, généreux, sincères.
J’aime encore plus les hommes quand ils font les « beaux » après c’est foutu !
J’aime encore plus les femmes quand elles savent rire et pleurer avec moi.
J’aime encore plus décrire des situations dans lesquelles se débattent des femmes modernes qui revendiquent leur autonomie sans réellement l’assumer…
Ce qui me fait encore plus pleurer : la trahison, les repas d’affaire, les rendez-vous matinaux.
Ce qui me fait encore plus rire : le sérieux, le sérieux, le sérieux…
Mon rêve : un monde sans rendez-vous.
Muriel Kenn.
À propos du spectacle…
Une mère juive envahissante, ses trois filles diamétralement opposées dans leurs choix de vies : l’une lui ressemble trop et les deux autres pas assez ; sans oublier, la petite fille, une enfant à la pertinence sans égal...
Ces quatre personnages se confrontent le temps d’une rupture et s’interrogent sur la nécessité d’une transformation pour vous entraîner dans un délire intergénérationnel sur un fond de soleil au-delà des frontières…
L’histoire, l’identité culturelle, le rôle de la famille, la place de la femme dans la société, sont autant de fils conducteurs haut en couleur.
À travers des sketchs, j’essaie de faire découvrir le regard attendri que je porte sur mon entourage, sur ces femmes, ces enfants, ces hommes…
Comment j’étais ?
Comme une vraie comédienne !
Mes plus beaux souvenirs :
Quand j’ai joué pour la première fois mon spectacle :
- « Derrière vous, il y a quelqu’une » aux « Blancs manteaux » ( un an à l’affiche).
- Puis mon deuxième spectacle : « Pince-moi, tu rêves » aussi aux « Blancs manteaux ».
- Puis mon troisième « Signe particulier : mère juive » deux ans au théâtre de «Trévise » et en tournée en France et à l’étranger.
- Puis…« La pensée positive » quelques mois au « Ciné-Théâtre 13 ».
Trop contente de faire « du Cinéma » !
- Avec Claude Lelouch dans « Homme femme mode d’emploi » et
dans « Une pour toute »
- Avec Jacques Gary. (rôle principal) dans « Sur la route de Sligo »
- Avec Ariel Zéitoun, dans « XXL »
- Et Hariet Marin dans « Epouse-moi ».
Et de la télé !
Lorsque j’ai tourné dans le Téléfilm de Marc Rivière dans, « le censeur du lycée d’Epinal », pour France 2.
Comme un vrai auteur !
L’écriture faisait partie intégrante de ma vie, j’ écrivais partout, sur des tickets de métro, des factures de téléphone, et parfois je m’appliquais…
· Pour le Cinéma :
Co-auteur avec Jacques Gary de « Sur la route de Sligo ».
un film Franco-Irlandais tourné en Irlande en 1997.
- Co-auteur avec Alex Metayer de son film : « Le parano ».(France 1998)
- Co-auteur avec Miriame Donasis d’un court métrage « Coté filles ». (France 2001)
· Pour le théâtre :
- « Les beaux matins » une pièce à deux personnages au « Guichet Montparnasse » tournée en France et à l’étranger
- De nombreux sketchs, entre autres pour Sylvie Joly et Alex Métayer.
Comme un vraie Coach !
J’ai été coach de Julie Gayet, Catherine Jacob, Sylvie Joly, Alex Métayer…
Comment je suis devenue ?
Trop contente de revenir le dire au Petit Théâtre du Gymnase, à partir du 16 Janvier 2007 et le temps qu’il faudra…
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Ils l’ont vu… Ils en ont parlé…
« Elle esquive les clichés avec un sourire désarmant et si sa mère est envahissante, on se laisse séduire par cette fille aux accents du soleil, qui évite toutes les caricatures. »
Figaroscope.
« Il faudra désormais compter avec Muriel Kenn. Elle est irrésistible. Jamais vulgaire. Elle fait partie de ces juifs tunisiens qui font passer les personnages sur le fil tenu de la dérision, avec des airs de là-bas qui sont aussi de chez nous. »
Le Nouvel Observateur.
« Elle nous offre une heure de rencontre qu’elle colore d’un humour décapant et d’une dose de dérision à toute épreuve. Un personnage neuf, Muriel Kenn, visage ouvert, une générosité dans le ton, l’expression et belle… »
Télérama.
« Elle nous raconte la rupture, l’isolement d’une jeune femme moderne, coupée de ses racines et jetée en pâture à la vie parisienne. Elle joue avec brio, on rit de bon cœur. »
L’arche.
« Généreuse, sincère tendre, Muriel Kenn nous transporte. Le rire est fragile, acide, explosif, presque dérangeant, on pense à Claire Brétécher. »
France inter.
« Elle passe d’un personnage à un autre avec une étonnante dextérité, offrant ainsi à son jeu de scène une richesse culturelle incontestable. »
Tribune juive.
« Son signe particulier à elle c’est le talent lié à la générosité ! »
Panorama du médecin.
« Tant mieux si cette femme aux yeux d’or et au sourire qui croque la vie ne peut se débarrasser de cette seconde peau d’identité qui la fait jouer sur deux tableaux : femme et juive tunisienne.
On rit sans se forcer en se disant que le café théâtre qui compte tant d’insuffisance recèle parfois comme ici quelques perles cachées. »
Le Parisien.
« Elle est rare parce qu’elle fait rire en étant belle et rêver en étant lucide. »
Alex Metayer
Bonjour
je m'appelle Michael Perez.
j'ai fais mon alya en 1997 et j'y ai etudié le cinema.
ajourd'hui je suis revenu avec un film qui va etre projeté lors du festival du film israelien de Paris au Gaumont Marignan sur les champs elysées.
C'est un film tres important (voir ci-dessous) et qui a changé les opinions de nombreux non juifs concernant israel.
Refusé par toutes les TV françaises
car jugé « non-conforme à leur ligne éditoriale »,
Un Rire à la Vie, documentaire réalisé par Michael Perez, livre pour la première fois le ressenti des israéliens dans un quotidien de conflit à travers l’histoire bouleversante de Julie Vainer.
Cette jeune soldate, qui avait quitté la France et sa famille, pour accomplir son rêve en servant l’Etat d’Israël, fut tragiquement tuée lors d’un attentat en février 2001.
Malgré le climat de violence qui règne en Israël, l’envie de vivre dans ce pays et plus encore d’y immigrer reste indéfectible.
Quelles en sont les raisons ?
Comment vivre en Israël malgré une routine ancrée dans la guerre ?
Comment définir le sionisme ?
Autant de questions posées par le réalisateur de ce documentaire à des israéliens de souche ou immigrés avec comme fil conducteur l’histoire tragique de Julie.
Encensé par les nombreux spectateurs qui l’ont déjà vu, il pose un nouveau regard sur le conflit israélo-palestinien.
Ce film est à ne pas manquer.
Venez découvrir et soutenir Un Rire à la Vie qui sera diffusé lors du prochain festival du film israélien de Paris, le Jeudi 22 Mars à 14h40 au Gaumont Marignan, 27 Avenue des Champs-Elysées 75008 Paris, en présence du réalisateur.
Une autre diffusion est prévue le Dimanche 25 Mars à 11h, en présence du réalisateur.
faites une barre mitzvah, n'ecoutez pas le barre atteint.
Faire du BARRE A THYM n'est pas à la portèe de tout le monde, les vieux de Tunis usaient de la NEFFA pour faire déscendre leurs spaguettis vertes du nez , celui là use de NEFRA à un âge
sénile pour RESSEMBLER A DU BAR POURRI.
des airs de lobby dans le desert de gobi.
l'obby ne fait pas le moine.
'...Le moins que l'on puisse dire, c'est que la seule boisson qui n'est disponible à gober dans ce désert des airs de HOBI, c'est du canada DRAY.
des airs de lobby dans le desert de gobi.
l'obby ne fait pas le moine.