Par Shalom (Shalom) le mardi 13 mars 2007 - 11h34: |
Non! M. Henri pas d'amalgame. Certain juifs de gauche , et non les juifs de gauche.
J'ai toujours voté à gauche. Cette fois ci je voterai Sarko, non pas pour son programme mais pour son soutien à Israël et sa stature d'homme d'etat.
D'ailleurs, la politique pro-arabe de la France est "manager" comme en dit par le Quai D’Orsay.
Aucun Président depuis De Gaulle n'a pu la changer.
Shalom
Par Henri (Henri) le mardi 13 mars 2007 - 10h41: |
Bazooka chalom,
Les juifs de gauche,ont toujours ete hostiles a Israel, et pro-palestinniens.
Leurs actions n'ont fait qu'eloigner la paix, car ils ont encourage le terrorisme en parlant tout le temps d'occupation,et de colonisation,alors que ce sont les voisins arabes qui ce sont infiltres et accapares des terres ne leur appartenant pas.
Ces juifs de gauche, parlent tout le temps de democratie,d'humanisme et de tolerance, mais ils ne sont pas capable de s'entendre avec leurs propres freres sionistes,juifs religieux.
La paix avec les arabes viendra des qu'ils(les juifs de gauche)feront la paix avec leurs freres juifs.
Leur petition(contre Sarkozi) qu'ils demandent de signer est contraire a leur propre declaration de democratie.
La democratie n'a pas besoin de petition,chacun votera en son ame et conscience.
Par Bazooka (Bazooka) le mardi 13 mars 2007 - 09h31: |
Donc les Feujs de France ne soutiennent pas tous unanimement Sarko, y'en a aussi qui votent "Couscous":
http://juifsdegauche.org/
Par Meyer (Meyer) le mardi 13 mars 2007 - 00h49: |
Par Mena (Mena) le mardi 13 mars 2007 - 00h40: |
L’antisémitisme est venu et il est resté (info # 011103/7) [Analyse]
Par Guy Millière © Metula News Agency
En France, la détestation d’Israël se dissémine en général de façon plutôt feutrée. On peut accuser des Juifs de manipuler d’autres Juifs et de fomenter un complot et une offre publique d’achat des Israélites de France. On peut aussi, bien sûr, accuser l’armée et le gouvernement israéliens de tous les crimes possibles, s’abriter à cette fin derrière la défense du « peuple palestinien », trouver des justifications au terrorisme en invoquant le « désespoir » des individus concernés. Il arrive même, dans l’exercice de cette torsade, que ce soient des auteurs juifs qui se montrent les plus virulents à soutenir ce qui n’est pas intelligemment soutenable.
Ce phénomène inquiétant n’est, hélas, pas propre à la France. En Scandinavie ou au Royaume-Uni, où la parole est plus libre, la détestation est, en général, plus explicite encore. Aux Etats-Unis, pour les mêmes raisons, des ouvrages peuvent même en appeler à la nécessité de voir Israël, entité décrite comme « intrinsèquement maléfique », disparaître. Et là, encore, ce sont, souvent, il faut le dire et nous sommes ici pour ça, des auteurs juifs qui se portent à la pointe des théories menant à l’anéantissement d’Israël..
C’est aux fins de montrer la dangerosité des propos de ce genre, les liens entre la haine de soi, qui se manifeste ainsi, et une forme de racisme réflectif particulièrement malsain qui permet de parler de « Juifs antisémites », que l’American Jewish Committee a décidé de publier, voici quelques mois, un petit ouvrage d’Alvin Rosenfeld, professeur à l’Indiana University, « Progressive » Jewish Thought and the New Antisemitism (« la pensée juive « progressiste » et le nouvel antisémitisme »).
Rosenfeld y procède de manière scrupuleuse, détaillée, précise. Comme il l’écrit dès l’introduction, en citant Jonathan Sacks, grand rabbin du Royaume-Uni : « Le fascisme allemand est venu et a disparu, le communisme soviétique est venu et a disparu lui aussi, l’antisémitisme, lui, est venu et il est resté. Il a simplement changé de masques, d’atours et de visages ». Et il est « extrêmement triste » de constater que, chez ceux qui s’appellent eux-mêmes les « Juifs progressistes », on rencontre des « contributions au climat intellectuel et politique » qui alimentent l’antisémitisme contemporain » sous couvert d’ « antisionisme ». Tout en citant de nombreux auteurs dont les phrases ont, effectivement, de quoi donner des frissons, Rosenfeld en distingue quelques-uns plus particulièrement.
Ainsi l’universitaire britannique Jacqueline Rose, qui procède à des comparaisons très spécieuses entre Herzl et Hitler, sous prétexte que ceux-ci assistaient l’un et l’autre à des concerts de Richard Wagner, n’hésite pas à écrire que, « dès sa naissance, on trouvait dans le sionisme les graines de la catastrophe ». Ainsi encore Michael Neuman, intellectuel canadien qui, après avoir parlé de « complot sioniste », note qu’Israël est engagé dans la perpétration d’un « génocide contre les Palestiniens ». Rosenfeld met en exergue, enfin, un livre qui semble particulièrement pernicieux, Wrestling with Zion, ouvrage collectif dont l’essentiel des contributeurs, parmi lesquels on ne s’étonnera pas de trouver Noam Chomsky et Norman Finkelstein, pense qu’il faut « mettre fin au plus vite à « l’existence de l’Etat juif ».
Rosenfeld conclut de la façon suivante : « Le fait que l’antisionisme, compris comme le rejet du droit imprescriptible des Juifs à leur patrie sûre en Israël, partage aujourd’hui des traits avec les idéologies antisémites du passé, ne semble pas troubler les Juifs qui participent à cette entreprise. C’est plus que répréhensible, c’est une trahison ». Puis : « Au fil des décennies, nombre de gens de gauche ont été des opposants sans concessions à l’antisémitisme et ont combattu celui-ci. Voir certains de ceux qui prétendent être leurs héritiers contribuer à un antisionisme qui est porteur de nombreux traits de l’ancien antisémitisme ne peut que troubler et donner la nausée. Cela donne davantage la nausée encore de voir des Juifs se placer en première ligne de cette contribution ».
Les principaux intéressés auraient pu répliquer, argumenter, tenter de défendre leurs positions. Ils ne l’ont pas fait. Par contre, on a vu, au fil des mois, paraître des articles qui ont attaqué insidieusement Rosenfeld et l’American Jewish Committee. Dans le New York Times, Alan Wolfe, directeur du Boisi Center for Religion and American Public Life, n’hésite pas à clamer que ce sont Rosenberg et l’AJC qui font preuve d’ « antisémitisme ». Dans le Boston Globe, Stanley Kutler énonce que la vraie cible de Rosenfeld et l’AJC, ce sont ceux qui se sont « courageusement opposés à la guerre en Irak ». Dans The New Republic, John B. Judis accuse Rosenfeld et les gens de l’AJC de « loyauté partagée » entre Israël et les Etats-Unis.
L’antisémitisme est venu, note Rosenfeld. Et il est resté, oui. Cela donne effectivement la nausée de voir que des Juifs, sous prétexte de « progressisme », contribuent à l’antisémitisme d’aujourd’hui. Le fait que, dans certains pays, aux Etats-Unis tout particulièrement, la parole soit libre, ne fait pas disparaître l’antisémitisme mais lui permet de s’exprimer de façon plus explicite. Ce qui a, au moins, le mérite de la clarté.
Le fait qu’en ces pays la parole soit libre permet aussi que la réplique et la critique puissent s’exprimer elles aussi de façon plus explicite, sans que, à l’instar de ce qui est la norme dans tout Etat de droit digne de ce nom, la justice puisse se trouver saisie.
Cela ne change rien au fond des choses et il est évident que l’une des plus vieilles haines de l’histoire de l’humanité, et l’une des plus persistantes, n’en a pas fini de disséminer ses poisons. La vigilance et la détermination s’imposent donc, plus que jamais.
Par Meyer (Meyer) le mardi 13 mars 2007 - 00h31: |
Par Maurice (Maurice) le lundi 12 mars 2007 - 19h03: |
SLIM tout a fait d'accord avec toi les Juifs et musulmans dont beaucoup sont des Juifs convertis a l'Islam rien n'a jamais Juifs et musulmans sauf ceux qui se servaient de textes Tribaux ou les tribus Juives vivaient en clan et comme toutes les tribus avaient des conflits pour les vivre et les puits d'eau
Les crises existaient quand il y avait des famines et on se servaienr=t des textes de combat et non de respect Tout cela nous montre qu'on se sert de la part de terre qu'Israel veut libre pour developper des separations entre deux vieux collaborateurs complementaires comme les Catoliques et les Protestants
Arreter la politique dans les religions HRAM
Par Bazooka (Bazooka) le lundi 12 mars 2007 - 18h54: |
Nombre d'entre vous se souviennent surement de ces photos ou l'on voyait un Juif ultra orthodoxe donner l'accolade a Ahmadinejad, lors du tristement celebre sommet antisioniste qu'il a organise en decembre...
www.jta.org 9/02/07
A fervently Orthodox Austrian Jew who embraced Iranian President Mahmoud Ahmadinejad reportedly was assaulted by a group of Israelis in Poland. Ma'ariv reported Monday that Moshe Aryeh Friedman, who attended the Holocaust denial conference hosted by Ahmadinejad in Tehran in December, was spotted while visiting the former Auschwitz and Birkenau camps over the weekend. A group of fervently Orthodox Jews from Israel also touring the sites set upon Friedman, who was born and raised in Monsey, N.Y.
"We gave him a good beating, the kind we have not given in a long time," a member of the Israeli group, Yehuda Meshi-Zahav, told Ma'ariv. "We took off his coat and hat, so he would not look like a Jew." According to the newspaper, Meshi-Zahav, who is one of the founders of the Israeli volunteer emergency service ZAKA, was later honored with a special Torah reading in the synagogue.
Par Pauline (Pauline) le lundi 12 mars 2007 - 17h46: |
lundi 12 mars 2007, 15h10
Israël s'émeut pour Leonardo DiCaprio
JERUSALEM (AP) - Ehoud Olmert a certes rencontré Mahmoud Abbas dimanche, mais ce n'est pas franchement ce qui a mobilisé les Israéliens: ce même jour, la star hollywoodienne Leonardo DiCaprio arrivait dans l'Etat hébreu.
Le beau Leonardo, qui a le bon goût d'être en couple depuis un an avec le top-model israélien Bar Refaeli, devenu de ce fait le chouchou de la presse israélienne, espérait pourtant se faufiler incognito, ayant pris un vol de nuit en provenance de Francfort.
Manque de chance, ce vol transportait aussi tout un groupe de journalistes israéliens de retour d'un voyage de presse en Irlande...
Le temps que les tourtereaux s'ébranlent en direction de la maison familiale de Bar Refaeli dans un quartier chic de Tel Aviv, tous les paparazzis du pays étaient sur les dents: Guy Pines, animateur de l'émission de variétés la plus populaire du pays a même loué un hélicoptère pour traquer le couple depuis les airs. Une procédure habituelle aux Etats-Unis, mais une première pour des paparazzi israéliens habituellement nettement plus sobres, selon lui...
Peine perdue. Les amoureux sont restés cloîtrés toute la soirée, et la seule image qu'auront réussi à voler les journalistes est un cliché obscur où l'on les devine à peine, en voiture.
Pour Guy Pines, cet interlude très "people" est aussi un moyen bienvenu pour les Israéliens de se changer les idées... "La plupart des gros titres ici ces derniers temps n'ont jamais été agréables, et transforme l'intérêt pour ce magnifique couple de conte de fées en quelque chose dont la presse peut se repaître". AP
Par Slim (Slim) le dimanche 11 mars 2007 - 23h47: |
Je pense que Mr. Mohamed pense que Jbeniana est une boite de nuit dont il est propriaitaire:-) De plus, une boite de nuit de confession musulmane:-)
Non mais franchement, depuis quand ville et village en Tunisie sont une propriete d'un groupe ou d'une religion?
Pour ce qui est d'Abou Ishaq Al Jibiniani: Qu'est-ce que sa religion d'origine peut bien changer? La visite des marabouts et hommes/femmes saint(e)s est une tradition repandue partout en Afrique du Nord, et ces personnes etaient Juives et Musulmanes. Ma grand-mere Sfaxienne, et musulmane, s'est rendue plusieurs fois dans sa vie au tombeau du Maarabi au village d'El Hamma a cote de Gabes. Tout le monde savait qu'il etait Juif. La religion du "Sidi" ou de la "Lella" n'etait pas la question que les gens de l'epoque se posaient. Ils faisaient leurs pelerinages/Ziaras, mangeaient, se reunissaient, et se melangeaient sans ces histoires de religions politisees.
Je comprends l'importance de transmettre l'histoire avec sincerite et veracite, mais il ne faut pas oublier les dimensions humaines des ces histoires de saints et de pelerinages. Ce qui m'intrigue le plus aujourd'hui, s'est qu'au moment que les gens ont presque abandonne ces Ziaras, en tout cas en Tunisie, ou la frequentation de ces lieux devient de plus en plus rares, que certaines personnes, y compris celles qui n'ont jamais effectuees une seule Ziara dans leur vie, deviennent soudainement tellement sensibles a ce sujet!
Je me demande ce qu'Abou Ishaq al Jbeniani penserait de ces conversations de religion et de politique a son egard. Il sera surement tellement perplexe par cette maniere de le definir, lui qui je suis persuade, etait loin de ces histoires de politique et de comparaisons religieuses.
Ces Ziaras de saints musulmans et juifs, bien qu'actes religieux dans leur fond, etaient aussi une occasion pour ouvrir l'esprit et accepter l'autre tel qu'il est sans vouloir le changer, et aussi de dire, directement et indirectement" Marh'ba bikom fi Darkom, Eddar Dar el Kol. Aujourd'hui, avec les mauvaisent intentions et la politique, les visitent nous conduisent dans le sens oppose. Comme le dit Breitou "Ikib Saad el Aar!"