Par Cacouboulou (Cacouboulou) le jeudi 15 mars 2007 - 19h38: |
Selon Sarko, l'homme est une marchandise, mais pas comme les autres :
A voir sur :
http://www.dailymotion.com/video/xmesx_sarko-lhomme-est-une-marchandise
Par Primo (Primo) le jeudi 15 mars 2007 - 19h44: |
Un dimanche à la campagne (présidentielle)
Si vous vous promenez, par un dimanche de mars ensoleillé, sur le boulevard des Bien-Pensants, quelque part entre l’allée des Belles Âmes et l’impasse des Dogmatiques, vous pouvez vous amuser à provoquer les passants en tenant, à voix haute, une conversation utilisant certains mots-clés.
L’effet sera garanti si, par exemple, vous vous risquez à parler d’Israël, sans aussitôt rassurer les badauds avec l’adjectif «colonial» ou le mot «apartheid» rapidement placés dans la phrase. Si vous ne le faites pas, vous serez aussitôt assimilé à un nostalgique de l’Empire colonial français.
Vous pouvez tenter, à vos risques et périls, d’évoquer le danger planétaire que représente l’islamisme radical. L’accusation de «raciste islamophobe» (littéralement ennemi de la «race» musulmane) aura tôt fait de vous fondre dessus.
Il vous est fortement déconseillé, surtout à l’angle de l’avenue des Tabous, d’évoquer le déficit en patriotisme que connaît la France. On vous demandera de quitter aussitôt les lieux, direction Saint-Cloud, pour finir le week-end en compagnie d’un vieux borgne que vous n’avez pourtant jamais cherché à fréquenter.
Z’êtes pas fous non ? On a beau évoluer dans les quartiers les plus huppés au plan intellectuel, vous n’en risquez pas moins d’être lynchés. Oh ! N’ayez crainte : il ne s’agira, en aucun cas, de subir la moindre agression physique. Non mais, en revanche, ces quartiers grouillent d’avocats, huissiers et autres magistrats capables de vous coller suffisamment de procès pour vous ruiner, vous et dix générations de vos descendants.
La police de la pensée veille
Ou alors, si vous êtes soutenu par un appareil politique, rompu à tous les débats, doté d’un charisme et d’une énergie qui ne sont plus à démontrer, et que, de surcroît, vous vous appelez Nicolas Sarkozy, vous pouvez vous amuser à relever le défi.
Vous pouvez choisir, non sans malice, de lancer un gros pavé dans la mare en proposant la création d’un ministère de l’Immigration et de l’Identité nationale. La bombe que constituent ces trois «gros mots» aura provoqué un trou béant dans la chaussée, quelques victimes qui ne s’en relèveront sans doute jamais, mais surtout vous aurez déclenché les sirènes de la police de la pensée. Et c’est là que ça devient rigolo.
Accourant de toutes les artères des alentours, une foule offusquée réclamera à cor et à cris l’intervention de sa représentante, Ségolène Royal. Celle-ci, entourée d’une Cour lui faisant encore humer des sels à la suite de son malaise vagal, commencera par dénoncer «l’amalgame ignoble» et la «confusion malheureuse» du malotru. Avant de relancer :
«Jamais les travailleurs étrangers n'ont menacé l'identité française… Au contraire, les immigrés réguliers, qui sont demandés par les entreprises, qui viennent en France souvent faire du travail que les Français ne veulent pas faire, contribuent à la croissance économique, il ne faut pas tout mélanger. C'est tout ce que j'ai à dire, je crois que c'est déjà assez clair!», conclura-t-elle, hautaine, avant de tourner les talons.
Diable ! vous direz-vous. Vous aviez pourtant compris qu’il s’agissait d’un projet où un ministère aurait en charge le problème de la régulation des flux migratoires. Quoi de plus commun et légitime pour un pays indépendant et maître de son destin ? Et l’identité nationale n’inspire-t-elle pas d’inquiétudes ? Et si inquiétudes il y a, les problèmes ne viennent-ils pas des Français issus de l’immigration ?
Ne cherchez pas à comprendre : il s’agit d’un langage codé que seuls les habitants de ces quartiers peuvent déchiffrer et qui fait que des mots aussi banals que «immigration», «identité» ou «nation» sont catalogués comme «ignobles» ou «malheureux».
L’immigration, ça n’existe pas, du moins si peu, et ce peu, ça se cache sous le lit.
L’identité, ça existe, mais seulement accolée à l’adjectif «culturelle» : identité culturelle, c’est tout de suite xénophile et conforme au code de la police de la pensée. Quant à «culturelle», le terme se conjugue bien mieux, dans ce microcosme, avec «exception» afin que certains artistes voient protégés leurs confortables dividendes.
Concernant la nation, on réfléchit encore par quoi on va la remplacer : on pense à «communauté multiculturelle», «club de potes», «association multiculinaire», «FRRTT : foot, rugby et RTT», etc.
Mais soyons sérieux et faisons un zoom arrière : pendant que Ségolène et ses thuriféraires s’égosillent après l’espiègle Nicolas, le reste de la France a bien compris le message du président de l’UMP, puisque dans ces provinces ignorantes du langage des bobos, on comprend une langue claire et sans détours. Une langue où un chat est un chat, où un bulletin de vote n’est pas une plaisanterie.
Et où l’on se demande de plus en plus, comme l’indiquent les sondages, s’il n’est pas temps de renvoyer la candidate du PS à sa cherzétude.
Jean-Paul de Belmont © Primo-Europe
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 15 mars 2007 - 19h37: |
Girelle,
Vous me dites:
"Bayrou a l'intention de mettre autour d'une table les gens qui ont envie que la France bouge, qu'ils viennent de droite ou de gauche.
Ce qui aurait le merite de ne pas perdre 3 ans a defaire ce que les predecesseurs ont construit, et les 2 ans suivant a faire campagne pour les presidentielles."
La ou je m'interroge precisement, a en juger par les 2 principaux candidats de droite et de gauche, c'est sur:
1. Ont-ils vraiment des programmes differents ?
2. Veulent-ils vraiment faire bouger les choses ?
3. Qu'ont vraiment construit leurs predecesseurs ?
Personnellement, j'en doute (pour 1, 2 et 3).
Ce dont je suis sure, en revanche, c'est bien, comme vous le dites aussi, que les Francais ne sont pas tous "encartes", meme si le Bibendum Michelin est une invention 100% francaise.
Et de la a en deduire que les extremes vont monter en fleche au 1er tour ...
Par Breitou (Breitou) le jeudi 15 mars 2007 - 19h10: |
Vous avez du pain sur la planche mes amis en lisant Emma.
Armez vous de patience et n'oubliez pas d'apporter vos collations,le petit dejeuner risque d'être léger.
Le programme annoncé ne manque pas de piment et de piquant HARISSA.
C'est un marathon à la francophonie.
Pour sur que les invitès auront la tête aussi grosse qu'une citrouille après avoir ingurgitè un tel menu.
N'oubliez pas les enveloppes pour les noces, ce mariage semble important.
Nous célèbrerons si D ieu veut la naissance en 2008, d'un pygmè franco-israelien. Du nom de
ASARFAT FRANKYTODA.
Affute ton ciseau Henri, toi qui as la main verte.
Par Emma (Emma) le jeudi 15 mars 2007 - 17h56: |
Les noces du Judaisme et de la francophonie se célèbrent à Natanya
Par Caroll Azoulay pour Guysen Israël News.
Lundi 19 mars, à l'école supérieure de Natanya, le public est invité à venir découvrir la profondeur et la richesse de la relation qui s'est établie depuis de nombreux siècles entre le judaisme et la francophonie. Particulièrement investie dans ce domaine, Mme Claude Brightman-Grundman, vice-présidence de l'association des amis internationaux de l'école supérieure de Natanya , et l'une des principales organisatrices de cet évènement inédit , en explique l'objectif.
C’est à vous notamment, que l’on doit l’orientation francophone prise par l’école supérieure de Natanya depuis quelques années. Pouvez-vous revenir sur cette implication ?
"J’ai été appelé, il y a 4 ans, pour dessiner un mémorial destiné à la mémoire des victimes du terrorisme à Natanya. À cette occasion, j’ai visité le campus de l’école supérieure de Natanya qui m’a immédiatement séduite.
À l’issue d’une longue discussion avec son président — Tzvi Arad, l’un des plus éminents mathématiciens que nous ayons dans ce pays — je lui ai fait observer que ce magnifique établissement devrait, de par sa proximité avec Natanya, s’ouvrir à une orientation francophone.
Ce dernier m’a répondu que cette idée lui trottait dans la tête depuis longtemps, mais que personne n’avait jusque-là suffisamment pris ce projet au sérieux pour le mener à exécution.
C’est ainsi que je me suis impliquée dans cette mission en devenant la vice-présidence de l’association des amis internationaux de l’école supérieure de Natanya (l’ancien ambassadeur d’Israël en France, Nissim Zvilli, Jacques Hutzinger, étant le président de notre association en France).
Dès lors, j’ai mobilisé de nombreux amis, dont des ambassadeurs, des hommes d’affaires, des universitaires etc.… au travers d’événements de haut niveau qui ont eu un succès retentissant en France, afin de récolter les fonds nécessaires à la création d’une structure francophone au sein du campus :
Développement d’une communication, d’un service d’accueil, d’orientation et suivi personnel en français, d’un programme de soutien, de tutorats et de bourses exceptionnelles dans certaines filières.
À la rentrée 2006, ces efforts, spécifiquement dirigés vers les étudiants français, ont permis d’en accueillir une cinquantaine dans nos différents programmes. L’excellence des résultats de l’école supérieure de Natanya est aujourd’hui une véritable source de fierté pour ses dirigeants. Mon vœu le plus cher est de permettre aux jeunes juifs de France de bénéficier de cet enseignement de qualité, dispensé dans un cadre exceptionnel par un personnel chaleureux.
Vous êtes à l’origine de cette journée intitulée 'Judaïsme et francophonie'. Quelles ont été les motivations qui vous on conduit à organiser un tel événement ?
Pendant des siècles, il a existé une interaction spirituelle et intellectuelle entre le monde juif et le monde francophone. Je pense notamment à Rachi qui a fait l’exégèse du Talmud avec près de 3 000 mots d’anciens français, à l’Alliance universelle qui a formé des milliers d’éducateurs ou aux écrivains et penseurs qui ont contribué à l’enrichissement culturel du patrimoine français.
Nous avons pensé qu’il était temps de mettre à l’honneur ce dialogue commun au travers des médias, de la culture et de la fête. C’est ainsi que nous avons imaginé ce programme très riche qui a séduit la Fondation Israël France et de nombreux partenaires en France mais aussi au Canada, en Suisse ou en Roumanie.
Aimeriez-vous pérenniser ce type de colloque ?
Oui absolument, car il existe une immense richesse culturelle laquelle nécessite une plateforme adéquate en Israël. Nous voyons par ailleurs qu’il y a une grande demande de la part du public et une écoute attentive de la part des sponsors, d’où notre volonté de reproduire ce genre d’événement tous les deux ans environ.
Quel est votre sentiment sur la fermeture de la francophonie à Israël ?
Nous allons recevoir par l’intermédiaire de l’ambassadeur un message extrêmement amical de la ministre de la francophonie, madame Brigitte Girardin, car aujourd’hui plus personne ne met en doute le fait qu’Israël aurait dû, depuis longtemps, entrer dans la francophonie.
Malheureusement sur ce sujet, nous sommes confrontés à des critères absurdes — tel que la nécessité d’un vote à l’unanimité des pays membres — qui empêchent Israël de faire partie de l’organisation.
On sait bien entendu que les voix arabes s’opposent à cette entrée et tant que la législation ne sera pas modifiée , il y a peu de chance pour que cette situation change, et ce, en dépit de la position claire du secrétaire général de la francophonie qui à chaque occasion se déclare en faveur de l’entrée d’Israël dans l’organisation.
Nous essayons de contourner les choses en faisant reconnaître de façon ponctuelle l’entrée de certaines institutions, mais cela ne résout en rien le problème fondamental.
Dans les faits, la francophonie semble de plus en plus vivace en Israël. Pensez-vous que cette tendance sera de nature à attirer davantage de juifs de France en Israël ?
La communauté juive de France a su exporter sa spécificité avec un art exceptionnel. Les juifs font tout ce qu’il faut pour combattre l’antisémitisme et le racisme en France tout en assumant de la manière la plus pertinente qu’il soit leur identité et leur partenariat avec Israël.
Cette dualité est spécifique à la communauté juive de France. Cette attitude représente par ailleurs un état de fait pour les autorités françaises qui savent désormais que la communauté juive est incontournable dans le paysage franco-français.
Mais il faut également préciser que plus les choses seront difficiles pour les juifs de France plus le choix d’un départ et d’une montée en Israël sera à l’ordre du jour. Une situation que le gouvernement français veut bien évidemment éviter, mais que nous, francophones d’Israël, devons envisager en préparant notamment les infrastructures nécessaires à leur intégration.
Nous nous apercevons que les juifs francophones qui s’installent en Israël apportent en effet avec eux leur culture, leur savoir faire et leur mode de vie, en affirmant haut et fort leur attachement à la France.
Nous devons les encourager dans cette démarche, et en organisant la 'Journée Judaïsme et Francophonie' c’est également ce message que nous voulons faire passer.
Lundi 19 Mars 2007
Première rencontre mondiale du Judaïsme Francophone à l’école supérieure de Natanya .
PROGRAMME DE LA RENCONTRE :
08:00 Inscription
09:00 Cérémonie d’ouverture :
• M. le Professeur Zvi Arad, Président du Centre Académique de Netanya.
• M. Jacques Huntzinger, Président de la Fondation France-Israël.
• M. Patrick Ulanowska, Représentant de l’Organisation Mondiale de la Francophonie.
• M. Jean-Michel Casa, Ambassadeur de France en Israël.
• M. Zeev Boehm, Ministre de l’immigration et de l’intégration d’Israël.
10:00-10:30 Le rôle de l’Alliance Israélite Universelle dans l’expansion de la culture française dans le monde, Daniel Braunschvig, Président de l’Alliance Israélite Universelle en Israël.
10:30-11:00 Pause café
11:00-12:40 La création francophone en Israël.
Les écrivains de langue française en Israël
Présentation: Esther Orner, écrivain et traductrice, Secrétaire de l’Association des Écrivains de Langue Française en Israël. Le français en question - Benny Lévy: itinéraire d’une dette refusée, Eli Schonfeld, Centre Lévinas, Jérusalem.
Les thèmes bibliques dans l’œuvre des écrivains francophones en Israël. Cyril Aslanov, Université Hébraïque de Jérusalem.
Pourquoi écrire en Français en Israël, Roselyne Dery, Attachée pour le livre et l’écrit, directrice de la médiathèque, Ambassade de France en Israël.
12h40-16h30 : La création juive francophone dans le monde.
12h40–13h00 : Pourquoi les juifs d’Egypte parlaient-ils français, Tobie Nathan, Conseiller de coopération et d’action culturelle, Ambassade de France en Israël.
13h00–14h30 : Déjeuner libre
14h30-15h00 Les créateurs Juifs francophones au Québec, Yolande Cohen, Directrice exécutive Centre de coopération inter-universitaire franco-québécoise.
15h00-16h00 Le judaïsme francophone en Roumanie. Sous le parrainage de l’Institut Culturel Roumain.
15h00-15h30 Le judaïsme francophone dans le cinéma des pays de l’Est, Radu Mihaileanu, Bucarest.
15h30-16h00 La création juive francophone en Roumanie. Benjamin Fondane - un Ulysse juif, Monique Jutrin, Université de Tel-Aviv.
La communication juive francophone en France et en Israël.
16h00-17h15 : Panorama des sites israéliens et juifs de langue française; radio, télévision et Internet.
Présidence: Emmanuel Halperine, Gérard Benhamou, Renaud Ferrand. Maurice Ifergan, et Guy Senbel.
17h15 -17h30 Pause
17h30-18h30 Conférence plénière Israël et la Francophonie, M. François Léotard.
19h00-22h00 Soirée sur invitation
19h00-19h30 Inauguration de l'exposition de peinture. Sous le parrainage de l’Ambassade de Suisse.
Introduction: Mme Claude Brightman-Grundman. Présentation, exposition et projection d’oeuvres de Tzipi Adar, Michèle Belin Benhamou, Martine Chappuis, Michel Kichka, Ofer Lellouche et Patricia Mulko.
19h30-20h00 Cocktail dînatoire
20h00-23h00 La France sur la scène et au cinéma. Sous le parrainage de Banque Hapoalim Platinum Banking.
20h00-20h10 Présentation Banque Hapoalim.
20h10-21h20 Un jour tu verras, Pierre Emmanuel Hanoun et son ensemble, chansons et poésies françaises.
21h30- 23h00: Hommage à Philippe Noiret. Projection du film “Père et Fils” réalisé par Michel Boujenah (2002).
Par Sarel (Sarel) le jeudi 15 mars 2007 - 17h30: |
Reflexion sur l'article
Les juifs fuient la France 1
Mr Cohen fuit pour assurer l'avenir de ses enfants 2
C'est interressant !!3
Car la fuite continue quand on pense a fuire
sarel
Par Girelle (Girelle) le jeudi 15 mars 2007 - 16h42: |
Bazooka,
Les français ne sont pas tous encartés.
Ils ont le choix et je ne citerai bien sûr que les candidats qui ont des chances d'arriver au second tour, entre:
- Ségolène Royal dont l'inconsistance (contrebalancée lègèrement par son charme personnel) ne l'amène en aucun cas à être l'héritière de Jaurès, de Blum ou de Mendès France.
Ses déclarations, tant au Liban et en Israel qu'en Chine ont été catastrophiques et difficiles surement à admettre pour des gens de la qualité de Jospin, Fabius ou Strauss Kahn (qu'on les aime ou pas).
- Sarkozy dont son fidèle lieutenant disait, parait il, qu'il était le "candidat naturel des juifs", comme si les juifs n'étaient pas des citoyens comme les autres ! Si ce n'est que l'on dit: deux juifs = trois opinions !!
Sarkozy qui trouve par calcul électoral pur et simple des signatures pour que Le Pen puisse se présenter: si Le Pen est au 2ème tour, l'election de Srako est triomphale, si Le pen n'est pas au second tour, il compte sur sa reconnaissance.
Il ne recule devant aucun moyen pour obtenir les voix de ces révisionnistes demandant que soient soigneusement recomptés les morts de la Shoa.
Il a lancé l'idée d'un ministère de l'immigration et de l'identité nationale juste après que Simone Veil l'ait rejoint pour contrer l'avancée de Bayrou qu'elle déteste depuis 1989.
Gageons que ce ministère là rappelle à la dite Simone les années noires de Vichy.
...Mais c'était une idée de Le Pen...alors...
Bayrou a l'intention de mettre autour d'une table les gens qui ont envie que la France bouge, qu'ils viennent de droite ou de gauche.
Ce qui aurait le mérite de ne pas perdre 3 ans à défaire ce que les prédecesseurs ont construit, et les 2 ans suivant à faire campagne pour les présidentielles.
Vous demandez ce qui se passerait aux législatives avec Bayrou? Rien de plus simple, les candidats qui sont d'accord avec son projet se présenteront avec l'investiture "majorité présidentielle" et seront élus ... et comme les parlementaires n'ont pas envie de se faire hara kiri, ils se battront pour cette investiture là.
Elémentaire, non?
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le jeudi 15 mars 2007 - 16h20: |
Henri, sur ce coup tu es splendide !
Challah Mabrouk !
Par Breitou (Breitou) le jeudi 15 mars 2007 - 15h44: |
Pourvu qu'il n'y est pas autant de victimes ici pendant les élections, Henri Rebbi...!!!
Par Henri (Henri) le jeudi 15 mars 2007 - 15h02: |
Cacouboulou,
Que veux tu de Sarko?
Il est venu pour l'apero, et il n'y avait ni boukha ni adam hout, alors il s'est fache et est parti.
Rabi maana ,jusqu'aux elections cela va chauffer sur Harissa.
Girelle chalom,
Je pense comme toi qu'il est encore plus dangereux de se ballader a pied en Floride ou a New-York qu'a Paris.
C'est laisser le mauvais pour le pire.
J'avais bien dis a l'epoque qu'un seul attentat a New-York avait fait plus de victimes que pendant les deux intifadas en Israel.
Yom tov.