Par Shalom (Shalom) le dimanche 18 mars 2007 - 16h22: |
Erratum....
Jojo Flak a un frere qui se prenomme Hector.
Je les vois tous les jeudis.
Par Shalom (Shalom) le dimanche 18 mars 2007 - 16h10: |
Il se nomme "JoJo", car il est toujours en vie.
Je le rencontre souvent.
C'est drôle que mon message sur les FLAK n'est encore publié!
Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 18 mars 2007 - 16h21: |
Albert et Shalom,
"Chez Flak & Fils" (!)
Se pourrait-il que vous connaissiez les memes Flak, apparemment grossistes ebenistes de generation en generation ?
Par Shalom (Shalom) le dimanche 18 mars 2007 - 14h37: |
La mère de ma belle-fille se nomme Flak. Ces Flak sont originaires de Menzel Bourguiba anciennement
Ferryville. Le grand père travaillait à l’arsenal dans l’armée Française comme artificier.
J’ai aussi des amis à Paris du nom de Flak. Ils étaient négociant en bois et placage pour les ébénistes en Tunisie, jusqu'à 1976.
Je les rencontre souvent.
Par Albert (Albert) le dimanche 18 mars 2007 - 14h01: |
Mon papa David z'al,
Avait comme voisin, juste en face sa marbrerie dans les annèes 58, un commerçant en quincaillerie
à la rue Bab Carthagène un ami du nom de Flak spécialiste grossiste dans la commercialisation d'accessoires en ébenisterie.
Son fils se nommait Jojo. On l'appellait CHOUCHOU ( Joseph) CHFENI.
Ce dernier venait souvent passer ses vacances en famille en Tunisie à l'hotel Abou Nawas, à Gamarth, banlieue nord de Tunis.
Par Lapid (Lapid) le dimanche 18 mars 2007 - 15h22: |
Napoleon et les Juifs
Napoléon antisémite ?
"La réponse est ambiguë, à l'image de Napoléon lui-même. Pour résumer les aspects négatifs, Napoléon a forcé les Juifs à normaliser leurs noms de famille (c'est-à-dire prendre un nom définitif), mis en place un certificat de "non usure" pour autoriser les Juifs à pratiquer le commerce (qui donna lieu à de malheureuses dérives, certaines villes accusant gratuitement les juifs de pratiquer l'usure afin de les expulser), instaura le service militaire obligatoire pour la communauté juive (le conscrit ne pouvait se faire remplacer que par un autre conscrit juif). A l'opposé, à l'étranger, des récits indiquent que Napoléon lors de ses campagnes libéra des juifs de leur ghetto, notamment à Ancône, Rome, Vérone, Venise ou Padoue. Napoléon expliqua à son médecin, à Sainte-Hélène : "Je voulais libérer les Juifs pour en faire des citoyens à part entière. Ils devaient bénéficier des mêmes avantages que les Catholiques et les Protestants. J’insistais pour qu’ils soient traités en frères puisque nous sommes tous les héritiers du Judaïsme. En outre, je pensais attirer en France un renfort précieux. (...) Ils [les juifs] auraient ainsi participé à la grandeur nationale.". Le judaïsme devient la troisième religion officielle en 1807. En bref, Napoléon s'est plutôt présenté comme un opportuniste, en reprenant les récriminations populaires contres les Juifs, mais aussi comme un libérateur pour la communauté juive (2)." Source : Analyse d'une these controversee a propos du livre "Le crime de Napoleon" Primo-Europe
Pour en savoir plus :
L'Antisémitisme, son histoire et ses causes par Bernard Lazare
NAPOLEON ET LES JUIFS par Ben Weider
Napoléon 1er et les juifs
Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 18 mars 2007 - 15h18: |
Bonjour Lilian,
Dans l'hypothese ou l'affirmation de Braham se verifie (c.a.d. que les noms FLAK et FALLAH/FELLAH sont de meme origine), voici ce qu'indique Joseph Toledano sur ce nom:
Nom patronymique d'origine arabe, indicatif d'une profession: le paysan, l'agriculteur.
Bien que l'agriculture ne fut jamais inconnue parmi les Juifs du Maghreb, en particulier au sein des petits villages berberes des montagnes, cette occupation etait assez rare, un signe distinctif assez notable pour meriter de devenir un patronyme chez les fondateurs de cette famille qui semble etre originaire de Tripolitaine. Chez les Musulmans, Falah est un prenom votif mixte, qui a pour sens salut, reussite, succes.
Au XXeme siecle, nom extremement rare, porte uniquement en Tunisie (Tunis, Sousse).
Shalom Fellah: Commercant et grand erudit ne a Tunis en 1855. Tres verse en Hebreu et en Arabe classique. Grand admirateur du mouvement de la Haskala europeen, il fonda en 1885 un des premiers cours d'Hebreu moderne en Tunisie, avec son ami Yossef Cohen Ganouna qui lui, donnait des cours du soir de Francais aux adultes. Correspondant du journal du mouvement de la Haskala, "Hameguid" paraissant a Varsovie, il edita de nombreux manuels d'enseignement de l'Hebreu comme langue vivante. Il collabora a tous les periodiques plus ou moins ephemeres en Judeo-Arabe qui foisonnerent a la fin du XIXeme siecle et au debut du XXeme a Tunis. Il fut notamment le redacteur de "Almoutarjem" (le traducteur), de "Albder Elkamel" (la pleine lune) en 1886. En 1887, avec ses amis Yossef Cohen Ganouna et Sion Nizard, il edita le seul numero de "Fassah Alasrar" (le revelateur des secrets). Avec Yossef Cohen Ganouna et Hay Sitruk, il edita en 1885-86 "Amana El Hak" (le flambeau de la verite) et en 1888 "Al Horia" (la liberte).
Soucieux de favoriser le developpement de relations d'amitie entre la communaute juive et la communaute musulmane, il fonda en 1893 un hebdomadaire d'informations sur le judaisme mondial et tunisien, en Judeo-Arabe "Al Itihad", l'Union Israelite (1893-94). Il relata dans un livre en hebreu, sous le pseudonyme de "Haroe" (celui qui voit, l'observateur), intitule "Sefer Tsedek veShalom" (Tunis 1897), les conflits et les demeles entre la communaute des Grana, sur la direction de la Caisse de Bienfaisance commune et sur la volonte des Grana d'avoir leur propre cimetiere separe de celui des Twansa -- qui s'y opposaient. Passant outre a cette opposition, les Livournais finir par acquerir en 1890 un terrain qui leur servi desormais de cimetiere separe. Auteur de plusieurs livres, dont "Eretz Hatsvi" sur la renaissance juive en Palestine, et un roman sur l'Inquisition espagnole. En 1897, il quitta Tunis pour fonder, a l'invitation de la communaute de Sousse, un cours d'Hebreu moderne dans le cadre de l'Ecole de l'Alliance.
Mort a Tunis en 1936.
Extrait du livre: Une Histoire de Familles, Les noms de familles juifs d'Afrique du Nord, par Joseph Toledano, edite par l'auteur: 13 rue Grosman, B.P. 26308, Jerusalem 96632.
Par Lapid (Lapid) le dimanche 18 mars 2007 - 14h43: |
Hommage a Pierre Mendes France
Pierre Mendès France Par Jean Lacouture
Le 25 janvier dernier, une avenue Pierre Mendès France était inaugurée dans le 13ème arrondissement de Paris. Pour Tohu Bohu, celui qui fut le biographe de Mendès revient sur l'identité juive et l'engagement en faveur de la paix au Proche-Orient de l'ancien Président du Conseil.
Vingt ans après sa mort, près d’un siècle après sa naissance, moins d’un demi-siècle après qu’il eut donné à la France, pendant 230 jours, l’exemple du " bon gouvernement ", Paris où il est né, où il est mort, vient enfin de donner le nom de Pierre Mendès France à l’une de ses avenues. A la cérémonie inaugurale, la gauche était largement représentée – notamment par quatre anciens premiers ministres. Mais la droite au pouvoir brillait par son absence, ce qui aurait suscité son ironie, plutôt que son chagrin…
L’homme qui, de Gaulle excepté, sert de référence à la vie publique française depuis la Seconde Guerre Mondiale était né à Paris dans une famille de modestes commerçants du 3e arrondissement, doublement juifs : son père avait des origines séfarades portugaises portant un nom très banal dans ce pays, assorti d’un " de França " qui le rattache à notre pays depuis le xvie siècle ; sa mère, Palmyre Kahn, était alsacienne, comme Léon Blum......Suite
Pour en savoir plus :
Deux livres sur Mendes France
Pierre Mendès France en héritage
Par Braham (Braham) le dimanche 18 mars 2007 - 13h11: |
Famille Flak
J'ai des amis d'origine tunisienne qui portent ce nom de famille. Ils habitent Argenteuil et Israel.
Ils m'avaient explique que l'origine du nom etait Fallah' et que suite a la transcription en caracteres latins, le premier A est tombe et le H est devenu K.
Je lui demanderai s'il accepte que j'envoie son adresse Email que je transmettrai au Webmaster dans quelques jours.
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le dimanche 18 mars 2007 - 11h48: |
Salut Lilian,
Effectivement tu as raison, je peux te confirmer, qu'à Tunis au Lycée Carnot, en classe de Math Elem 1961, j'avais un copain qui portait ce nom, l'appelait tellement par son surnom "Papiche", que je ne me souviens plus de son vrai prénom.
Voici aprés recherche ce que j'ai trouvé sur Flak:
Flak, Flah (ou Fellah?). C’est le nom d’un rabbin livournais au XIXe siècle, très hostile à sa propre communauté. L’origine est-elle constantinoise ? La famille est représentée à Livourne en 1809 (Flach, droghiere). En 1846 il existe deux femmes seules, indigentes, dont l’une se dit originaire d’Allemagne.
Gandus. Sur le contrat de mariage du 13 novembre 1788, la signature est espagnole (Ieusuah de Isaque Ganduz novio ).Le nom, rare, figurait à Venise au XVIIIe siècle sous les formes Gantus ou Ganduz, puis à Livourne ou existait encore une maison Gandus au début du XIXe siècle. L’identité portugaise, évidente à la fin du XVIIIe, n’a pu disparaître brusquement au XIXe. De nombreux portugais des Pays-Bas espagnols ayant pris racine à Venise au XVIe siècle, comme les Anversa, peut-on voir en Ganduz, selon la même démarche, un toponyme de Gand ou Gent ? Les De Castro Tartas n’ont reçu ce nom composé qu’à la suite d’un séjour de quelques années à Tartas en France.
Halfon. Hébreu pour changeur (cp. ashkénaze Halphen). Eisenbeth cite un Abba Mari Halfon, astronome italien aux XV° et XVI° siècles. Il étudia l’astronomie à Naples. Le 17 février 1796, à Tunis, Abraham Halfon signe son contrat de mariage avec Gracia Lumbroso : Abram de Salamon Halfon nobio. Le nom figure au vieux cimetière de Livourne sous la forme Jalfon. Il existe à Livourne en 1809: deux Halfon, deux Jalfon mais un Calfon. Il est resté dans le folklore dans l’expression matto calfon désignant un comportement très original 40. Haim Zafrani cite les Khalfon parmi les noms de quelques familles du Maroc, presque toutes d’origine ibérique, qui se sont illustrées dans les affaires et le gouvernement de la communauté 41. Encore une fois un nom hébreu ou arabe ne contredit pas l’origine espagnole.
Hayoun. Là encore histoire et linguistique doivent composer. Sous la forme Hayon ce nom est trouvé en Espagne par Eisenbeth dans un acte ou un Hayon, sa femme et une parente vendent le 18 février 1166 un terrain au nord de Tortosa. Il s’agit d’un diminutif de Haim, prénom biblique et non arabe. Il y a certes homophonie avec le très classique nom marrane Aylion (Rab. Aylion 1688, Toaff p. 374). Des quantités d’Ailyon existent à Amsterdam depuis le XVIIe. Il n’y a à Livourne en 1809 ni Hayoun, ni Ayoun, ni Ailyon, mais le nom Hayon est cité dans Toaff. Le nom Ailyon est porté à Alexandrie d’Egypte par une famille livournaise. Il se trouve même à Curaçao. Il est difficile d’étudier les Portugais sans examiner leurs différents pôles. La présence sur la liste livournaise à Tunis paraît néanmoins mystérieuse, cette famille ayant peu fait parler d’elle.
Lasry. Les Lasry sont une famille de Gibraltar de souche marocaine. Le nom est arabe (Oulad Al’asri) mais les pemiers Lasry que José Maria Abecassis cite ont vécu à Fayal (Açores),Tétouan, Lisbonne. Samuel Lasry fut grand rabbin de Gibraltar en 1837. Il y exerçait la profession de notaire. Plusieurs ont contracté mariage à la synagogue hispano-portugaise de Londres et la culture arabe était loin d’eux lorsqu’une branche s’est établie à Tunis.
Malca. Ce nom a été étudié à propos des Molco.
Meimon. L’origine ibérique — ou non tunisienne — de la famille a été contestée en raison du nom arabe. Elle n’est pas représentée à Livourne. Le premier mariage cité par Attal et Avivi ne remonte qu’à 1863. La dot est importante. Est-ce le prestige de la famille de la mariée, Reine de Soria, qui aurait permis l’intégration ? Peu d’éléments sont fournis par la littérature si ce n’est quelques plaisanteries. Il reste que le nom lui-même n’est pas antinomique de l’origine ibérique. Il existait à Tolède des Maimon parmi les Conversos (Pilar, op. cit.); un Bonfos Maïmon à Perpignan en 1413 42 ; et en Aragon des Maymo et des Maimona. Des Maymo sont à Gérone en 1390. Des Meimon sont ensevelis dans des cimetières sépharades de Bulgarie. Il n’y a donc ni présomption ni commencement de preuve.
Melloul par contre est amplement représenté dans les cimetières de Livourne et Pise. En 1809 il y a à Livourne six chefs de famille Millul dont trois imprimeurs et un enseignant des écoles hébraïques. Au recensement de 1846 l’origine des cinq Millul est la suivante : Livorno, Germania, Livorno, Germania et Pesaro, ce qui ne nous apprend pas grand chose. Le savoir faire en matière d’imprimerie explique peut-être la provisoire émigration en Allemagne.
Memmi est le nom d’une famille livournaise ancienne à Tunis. Le nom est porté par une autre famille sans conteste tunisienne, celle de l’écrivain bien connu Albert Memmi. Ce qu’on peut dire est que la famille livournaise était d’une bonne culture italienne. Le nom coïncide-t-il ? Lorsque les Memmi tunisiens (qui étaient peut-être, comme la famille homophone musulmane sans doute andalouse, des Mami) ont fait écrire leur nom à la française, n’y a-t-il pas eu peut-être tendance à se référer à l’orthographe italienne, usage fréquent à Tunis ? Il existait en Aragon des Mahme, des Mamen et des Mimi. D’après José Maria Abecassis ils pourraient être originaires de la localité espagnole de Miaman. Le grand rabbin Shimon Meimi a été torturé à mort à Lisbonne en 1497 en résistant a la conversion (42) . Nous sommes dans le domaine des spéculations, et non de la certitude maghrebine.
Moatty. Le nom semble algérien. Le transfert chez les Livournais doit s’expliquer par les alliances matrimoniales. Mais il existait un rabbin de ce nom à Constantinople au XVIIe.
Sebouk, forme de Sabocca, est une famille de "Livournais d’Alger". Les Sabocca sont cités par Quevedo, avec les Ibn Sasson et les Ibn Nahmias, par dérision, comme exemples des mésalliances de la noblesse espagnole au XVIIe siècle 44.
Suied. La présence de ce nom surprend dans la liste livournaise, même avec la forme ibérisée Assuied. La plupart des époux ne sait pas signer ses contrats de mariage. Le nom est inconnu à Livourne. Nous ne l’avons pas rencontré sur les listes des noms espagnols publiées par divers sites.
Timsit. Le nom est assurément algérien. La famille semble avoir habituellement contracté des alliances matrimoniales livournaises, ce qui expliquerait sa cooptation.
Zerafa. Il existait à Livourne des Esdrafa. Le nom Zerafa a, en arabe, le sens de girafe. Mais le mot espagnol voisin, jirafa, est emprunté au premier. Mieux, en espagnol ancien le mot était azorafa. (Rey, dictionnaire historique, p. 889). Au XVe siècle vivait à Valence Rabbi Joseph b. Isaac Zerafa (Eisenbeth). Il peut aussi s’agir d’une forme de Azeraf (en arabe : changeur), nom présent au Portugal sous la forme Açaraf, avant l’expulsion (Abecassis, t 4 p. 6). L’origine ibérique est patente.
Ainsi sur les 24 noms présentés comme maghrébins, l’origine ibérique est démontrée pour 12 : Abeasis, Abouaf-Aboab, Arous, Attia, Bembaron, Darmon, El-Haïk, Haïk, Hayoun, Malca, Sebouk, Zerafa. Elle est amplement présumée pour les Halfon, plausible pour les Gandus, Meimon, Memmi, Dardour, incertaine pour les Mellul, absente pour les Flak, Moaty, Suied, Timsit. Parmi les noms vraiment litigieux seuls les Flak et les Moaty ont eu une présence à Livourne. Ni les Suied, Timsit, ni même les Meimon ni les Memmi, à les supposer maghrébins d’origine, n’y ont laissé de traces. On peut donc écarter la thèse de Paul Sebag selon laquelle la communauté livournaise de Tunis se serait accrue de familles tunisiennes précédemment intégrées à Livourne. Au contraire nous constatons que ces familles, pour leur totalité (Alloro, Attal, Assal, Azoulay, Azria, Baranès, Bedossa, Bessis, Bigiaoui, Bismut, Boulakia, Coen Solal, Coen Tanugi, Djeribi, Fellous, Fitoussi, Guetta, Hanouna, Hanun, Jais, Jaoui, Liscia, Marzouk, Pincas, Sahadun, Slama, Sarfati, Sebag, Taïeb, Temim, Tubiana, Zerah, Zeitoun, Zibi ), à la seule et double exception des Moaty et Flak, n’ont nullement été intégrées à Tunis chez les Livournais à leur retour 45, en raison peut-être d’un certain sectarisme de ces derniers, mais aussi par la résistance de la communauté tunisienne qui n’entendait pas perdre ses ressortissants et contribuables à la faveur de ces ballotations, souvent provisoires. L’exemple d’Angiolo Junès, Français de Livourne, est frappant qui, se faisant inscrire chez les Livournais après s’être installé à Tunis, dut revenir à la communauté tunisienne en tant qu’originaire d’Algérie 46. Nous rectifions aussi l’exposé de Paul Sebag sur un point mineur : la présence tunisienne à Livourne ne s’est nullement accrue de 1809 à 1841, mais considérablement réduite, les nouvelles arrivées étant plus qu’effacées par des départs beaucoup plus importants.
Salut à Toi et bonne chance avec ces infos