Par Henri (Henri) le mercredi 04 mai 2005 - 13h44: |
D'ou vient l'origine du mot KEMIA ?
Par Nao (Nao) le mercredi 04 mai 2005 - 13h44: |
Je ne suis pas contre l'idee que la Turquie joue le rôle d'intermédiaire entre Israéliens et Palestiniens. Mais je pense que la Turquie qui souhaite vivement entrer dans l'union europeenne joue son va-tout pour faire avant tout bonne impression aupres des Europeens. Operation de charme en qque sorte! La Turquie est un pays qui veut compter non seulement ds l'Europe en demandant son adhesion mais sur la scene internationale. Le conflit israelo-palestinien vient a point nomme pour se hisser sur la scene.
Quant au referendum sur la constitution, Chirac en faisant de la pub de masse pr le Oui sort largement de ses prerogatives de president cense etre, selon la constitution francaise elle meme, au dessus des idees partisanes! Et qd il interdit à quiconque de se prétendre Européen et d'appeler à voter "non", c'est bien reducteur!
Un journaliste notait que "Chirac s'est félicité de la qualité du débat électoral en cours, signe, à ses yeux, d'une "démocratie adulte". Mais les 50 minutes d'intervention du président sur France 2 ne seront pas comptabilisées dans le temps d'antenne des partisans du "oui". Tandis que la participation de Laurent Fabius au 20 heures de TF1, dimanche prochain, sera par exemple décomptée de celui des adversaires de la Constitution. Et si Chirac acceptait de débattre avec Fabius, ce qui serait souhaitable, tiendrait-on compte du temps de parole de l'un et pas de celui de l'autre ?".
Je vote NON car je refuse que cette europe politique se batisse parce que 1/ elle est matierellement infaisable-trop de pays avec des langues, des cultures et des interets politiques incompatibles 2/ je ne veux pas que l'Europe s'erige en 2eme grand face aux USA. On ne va pas refaire avec Europe ce que nous avons vecu avec l'ex URSS. 3/ je refuse de donner mon blanc-seing a une entite qui va ensuite fort de son pouvoir casser du sucre sur Israel.
Je prefere que l'Europe reste une zone de libre echange economique et si on y arrive ca sera deja pas mal..
Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 04 mai 2005 - 12h50: |
Albert,
Sorry mais ce n'est ni moi, ni ma mere, ni ma belle mere !
Je ne connais pas les personnes photographiees,
j'ai juste insere ces photos pour illustrer !
En bonne tune qui se respecte je ne connais absolument RIEN a l'art de la Moufletta !
D'ailleurs, ou m'auriez-vous deja vue en photo ?
En nature je suis bien mieux que ca ! Plus jeune, et plus belle !
Et toc !
Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 04 mai 2005 - 08h13: |
Bonjour Jacques Halfon
Les Psys du Consistoire avec le Rabbin Salomon Malka participent à une conférence sur le thème
"Se reconstruire après le divorce. . ."
Si vous connaissez une personne divorcée qui a du mal à cicatriser sa blessure, n'hésitez pas à lui transmettre cette invitation
D'avance merci
Michelle Bergheimer et Paul Sillam
Cellule psychologique au sein du Tribunal Rabbinique
Horaires et Coordonnées
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le mardi 10 mai 2005 à 20h
au Centre Communautaire de Paris
119, rue La Fayette 75010 Paris
M° Gare du Nord ou Poissonnière
Thème : "se Reconstruire après le divorce.
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Il y a la séparation définitive et celle qui nous écarte d'un être vivant.
On comprend le deuil qu'il faut faire pour quelqu'un qui s'éteint mais, dans un divorce, le deuil affectif reste souvent une notion incompréhensible. Cette étape nécessaire permetd'ouvrir l'horizon. Le Rabbin Malka nous parlera du rituel du Guet et de ses significations. De leur coté, les psys au Consistoire de Paris nous apporteront les éclairages nécessaires pour se tourner vers une nouvelle disponibilité pleine de promesses pour recomposer une famille.
Plus d'info sur la conférence :
http://www.centrecomparis.com/download.php?id=380
Plus d'info sur les Psys au Consistoire :
http://www.consistoire.org/accueil_detail_evenement.asp?cle=75
Plus d'infos sur l'association CHAAR
http://www.topj.net/chaar
A propos de la cellule psychologique
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Depuis Janvier 2000, Michelle Bergheimer, psychologue, psychothérapeute et psychanalyste et Paul Sillam, formateur en communication et psychothérapeute ont mis en place, avec le soutien du Consistoire de Paris, une cellule de soutien psychologie où les divorcés peuvent exprimés leurs difficultés durant la procédure du GUET. Ils tiennent une permanence au consistoire de Paris tous les mardis matin.
Dans le calendrier 2005/2006 du Consistoire de Paris, vous pouvez trouver leurs coordonnées en page 1
Par Mena (Mena) le mercredi 04 mai 2005 - 07h52: |
Le retour de Michel Aoun dans Beyrouth libérée (info # 010305/5) [analyse]
Par Michaël Béhé à Beyrouth © Metula News Agency
Samedi ce sera chose faite, Michel Aoun, le dernier premier ministre à avoir été désigné avant l’occupation syrienne, rentrera au Liban. Il prendra place dans un avion de la compagnie nationale MEA, spécialement affrété par son parti, le Courant Patriotique Libre (CPL), et atterrira à l’aéroport national de Beyrouth, après quinze ans d’un exil souvent délicat en France. Pour presque tous les Libanais, le retour du général signifiera la fin effective de l’occupation de leur pays. Car Aoun est le plus libanais de tous les Libanais. Républicain parfois jusqu’à la naïveté politique, diront ses détracteurs. Mais il est également le dernier officier à avoir combattu pour la souveraineté nationale, et cela, personne ne le lui conteste. D’ailleurs, la montagne derrière Beyrouth raisonne encore des furieux combats de chars, lors desquels les soldats libanais, libres, à un contre vingt, repoussèrent l’envahisseur syrien à de nombreuses reprises. Résistèrent jusqu’à n’en plus pouvoir, jusqu’à la dernière bataille, le Fort Alamo libanais, où les Druzes de Joumblatt et les chrétiens de Samir Geagea, joignirent leurs forces à celles de l’envahisseur, contre l’armée de leur pays.
Michel Aoun pensera, en survolant notre capitale, c’est sûr, à ses officiers et sous-officiers, tombés aux mains des Syriens après la défaite et sommairement exécutés par les Moukhabarat de la tribu al-Assad, les pieds et les mains entravés, dans le plus pur style gestapiste, après avoir eu à subir de terribles tortures qui venaient s’ajouter à l’humiliation de la débâcle. Il pensera aussi à ses autres soldats de l’armée du Liban, kidnappés par l’envahisseur, sans raison tactique, par simple vengeance, et dont Aoun pense qu’ils ont été exécutés en Syrie, puis jetés dans des fosses communes. Cela aussi, c’est un axiome dans la conduite de cet officier-gentleman, simple, honnête et têtu, comme seul un Libanais peut l’être : désormais, il harcèlera Béchar al-Assad jusqu’à ce que ses soldats martyrs retournent chez nous. Vivants, s’ils vivent encore ou dans des cercueils, s’ils sont morts. Mais ils retourneront chez eux.
Le retour d’exil commencera donc pour le général par un assaut de souvenirs et une pensée émue pour ses camarades perdus. Il se poursuivra par un dépôt de gerbe sur la tombe du soldat inconnu et par un recueillement devant le catafalque à la mémoire de Rafik Hariri, sur la place qu’on a rebaptisée "Place de la Liberté". Mais Michel Aoun devra vite penser au présent. Difficile de prévoir le nombre de Libanais qui l’attendront à sa descente d’avion mais cela constituera une première indication concernant l’impact politique qu’aura le retour de celui qui n’a cessé d’incarner la liberté, la souveraineté et l’indépendance du pays du cèdre, sans jamais fléchir et sans compromissions.
Vendredi dernier, Paris prenait congé de son hôte par une réception majeure à l’Intercontinental. Plus de neuf cents invités participaient à l’évènement. Certains étaient venus d’outre Atlantique pour l’occasion, comme beaucoup de Libanais et de non Libanais, connus ou anonymes, qui avaient également fait le déplacement. Quelques heures auparavant, Aoun octroyait une interview d’une heure à la station de radio du Hezbollah, Al-Manar. Il y répéta, avec la constance qu’on lui connaît, les lignes force des priorités qu’il conçoit pour le Liban. Ainsi réaffirma-t-il que la milice chiite devra déposer les armes et se transformer en parti exclusivement politique. C’est à l’armée nationale qu’incombera la tâche de défendre les frontières de l’Etat et à nulle autre organisation.
Le seul fait que le Hezbollah ait donné la parole au général démontre que Nassrallah n’écarte pas systématiquement les propositions d’Aoun. Mais cette ouverture médiatique traduit également l’isolement des intégristes qui, depuis le départ de leurs mentors syriens, sont à la recherche de partenaires pour survivre. Ainsi, une alliance avec la trop petite minorité druze n’apporterait que peu d’assurances en ce sens et l’antagonisme du parti d’Allah avec les Sunnites est bien trop marqué pour envisager un rapprochement. Dans ces conditions, le maintien du dialogue avec l’opposition chrétienne apparaît pour Nassrallah comme un choix stratégique presque incontournable, ce qui explique sans doute l’interview d’Aoun sur Al-Manar.
Entre-temps, ce sont les Syriens qui ont fait des pieds et des mains pour discuter avec le chef maronite, dépêchant à Paris plusieurs "amis communs" durant les dernières semaines. Mais Aoun, fidèle à son image, a rejeté au large ces filets lancés par le clan al-Assad en pleine retraite. Il n’a jamais accepté de parler de la situation intérieure du Liban avec les Syriens ni les Israéliens, aussi, n’était-ce pas à une semaine de son retour au pays, sans avoir eu à déroger à cette règle, qu’il allait changer de conduite.
Et les Français, me direz-vous ? Et les Américains ? Des médias, plus au moins sérieux, ont fait état, ces derniers temps, d’un accord secret impliquant Damas, Washington et Paris, afin de soutenir la candidature d’Aoun à la présidence du Liban. Eh bien, pour le meilleur et pour le pire, il ne s’agissait que de rumeurs infondées ! La Ména, qu’une entente de cette sorte n’aurait pas forcément déçu, est formelle sur ce point également. Tout restera donc à faire pour Aoun, depuis le Liban, sans joker secret à sortir de sa manche au moment opportun. Avec le général, tout se passera dans la lumière et dans la transparence. Au Liban, il faudra se réhabituer à ces pratiques…
Nous nous disions aussi, qu’après la rencontre impromptue Aoun-Chirac chez la veuve de Rafik Hariri [1], le président français aurait pu saisir la balle au bond et consulter notre compatriote à propos de l’avenir du Liban. Jacques Chirac, qui rencontrait son ami Hariri sans cesse durant ces dernières années aurait pu s’asseoir avec l’homme qui incarne autour de sa personne l’avenir et l’espoir de notre pays. D’autant plus que l’homme en question demeurait aux abords du parc Monceau et que de ce jardin à ceux de l’Elysée, il n’y avait aucune mer à traverser. Eh bien non ! Il n’y a pas eu d’autre contact entre les deux personnalités, à croire qu’il n’y a que les Ayatollahs fanatiques en exil qui soient choyés par l’establishment tricolore.
Il y a eu une rencontre au Quai d’Orsay, très superficielle, avec Michel Barnier, débouchant sur un laïus du ministre à propos de la démocratie libanaise en marche, de l’amitié séculaire entre les deux pays, etc. Et des contacts distendus avec le bureau de Chirac, à l’initiative du général, n’amenant que des échanges à caractère sécuritaire et informel. Rien de concret.
Place donc au travail de terrain. Si Aoun est élu président, ce sera uniquement grâce à la confiance que les gens lui témoignent et à ses efforts afin de servir de trait d’union aux Libanais. Dispose-t-on à cet égard de sondages fiables ?
- La réponse à cette question est : "relativement" ! Le CPL ainsi que des étudiants en gestion d’une université beyrouthine ont effectué des sondages d’opinions répétitifs dans les règles de l’art. Il en ressort que Michel Aoun, si les élections présidentielles avaient lieu maintenant, l’emporterait haut la main dans tous les mohafaza (cantons) chrétiens, du Nord au Sud, ainsi que dans la majorité des zones mixtes. Quant au public chiite, il a été très largement à l’écoute d’Al-Manar vendredi – les records d’écoute ont été pulvérisés – et les sondages de samedi montrent qu’un grand nombre d’entre eux fait confiance au général.
Existe-t-il des garanties internationales relatives au respect des procédures électorales à venir (les législatives sont prévues les 29 mai, 5 et 12 juin), ainsi qu’à celui de la souveraineté nationale durant la période de transition démocratique qui s’ouvre ? Pour Michel Aoun, les seules garanties dignes d’attention résident dans la détermination américaine à mener à leur terme toutes les provisions de la résolution 1559 du Conseil de Sécurité ainsi que les lois américaines votées dans le cadre du SALSA (Syria Accountability & Lebanese Sovereignty Act) – la loi sur la responsabilité syrienne et sur la souveraineté libanaise.
Or, justement, fin 2003, Michel Aoun a été traduit en justice par contumace à Beyrouth sous l'accusation d'avoir "détérioré" les relations libano-syriennes, en témoignant devant le Congrès américain qui se préparait à voter cette loi instaurant des sanctions contre la Syrie. Dans son témoignage, le général avait notamment indiqué que la Syrie avait fait assassiner plusieurs hommes politiques libanais, dont les présidents de la république Bachir Gemayel (en 1982) et René Moawad (en 1989).
Cette procédure, en principe, persiste et Aoun devra y faire face lorsqu’il sera à Beyrouth. Aucune négociation n’a eu lieu afin de l’escamoter. Aux émissaires du Président Lahoud venus le rencontrer à Paris, le général a affirmé "que procédure ou pas procédure, il rentrerait quand même !". Ce à quoi les émissaires ont rétorqué que la procédure ouverte était d’ordre juridique et non politique ; une affirmation qui me semble tout sauf convaincante, sur laquelle Aoun a cependant nommé un conseil pour le représenter et le gouvernement a entériné ce choix. Reste que je vois mal les magistrats aux ordres du pouvoir diligenter la procédure, maintenant que ses protecteurs syriens ne sont plus là ; maintenant qu’une enquête internationale les mettant en cause à propos de l’assassinat d’Hariri est en cours et alors que c’est l’Act US, plaidé par Aoun à Washington, qui a généré la résolution de l’ONU et, finalement, la libération du territoire national. Poursuivre Aoun dans ces conditions le ferait passer du statut de héros national à celui de martyr de la liberté. Est-ce dans l’intérêt des pro-Syriens ? On a des raisons d’en douter, surtout que le libellé de la procédure apparaît désormais parfaitement ridicule.
Nous pourrions encore parler de la priorité qu’il y a, pour le général, à faire revenir au Liban les soldats de l’ASL (Armée du Liban-Sud), réfugiés en Israël, ainsi que de multiples autres sujets. Mais comme Michel Aoun le dit lui-même, "il y a un temps pour chaque chose". Il appartiendra à l’Etat libre du Liban et à son gouvernement élu dans des conditions démocratiques de décider de la politique internationale du pays et à négocier des accords avec les pays limitrophes. Cela aussi, c’est clair et républicain. Dans le cadre de ce Printemps de Beyrouth, qui a bouleversé la donne politique, influençant la situation bien au-delà de nos frontières, le retour de l’un des seuls politiciens majeurs de notre pays à n’avoir jamais trempé dans le moindre assassinat, règlement de comptes, ni compromission avec l’ennemi, procède de la consécration d’une certaine salubrité morale retrouvée. Et avec elle, rien qu’avec elle, après la lutte qu’il faut maintenant mener à son terme, l’espoir d’une renaissance, à laquelle, hormis Michel Aoun, nous étions peu nombreux à croire encore.
Notes :
[1] Rencontre, dont, pour des raisons fortuites, nous fûmes les seuls à avoir connaissance, ce qui n’empêcha pas Libération de citer subséquemment l’information en omettant de créditer notre agence.
Par Sibylle (Sibylle) le mercredi 04 mai 2005 - 01h17: |
LE PRINTEMPS DU CINÉMA ISRAËLIEN DE TOULOUSE
Du 16 au 25 mai 2005
L'Association Hébraïca et l'ABC présente du 16 au 25 mai 2005 le Printemps du Cinéma Israélien ou l'occasion de découvrir la variété d'un cinéma en expansion à travers 8 films :
1/TU MARCHERAS SUR L’EAU de Eytan Fox (un film que la critique cinématographique française n’a pu ignorer)
2/AVANIM de Raphaël Nadjari
3/BONJOUR, MONSIEUR SHLOMI de Shemi Zarhin (à voir absolument je l’ai trouvé tout simplement excellent)
4/MARIAGE TARDIF ( il m’a marqué, Tal Mendel vous dira avec son accent israélien que j’adore « il est le plou bo film d’amour israélien »)
5/SANTA CLARA de Ari Folman et Ori Sivan (inédit)
6/TEL AVIV STORIES de Ayelet Menahemi et Nirit Yaron (inédit)
7/GIRAFFES de Tzahi Grad (inédit)
8/DIBBUK de Yossi Somer (inédit)
A noter que le lundi 23 mai à 20h00, la séance de TU MARCHERAS SUR L'EAU sera suivie d'une rencontre avec le journaliste Ivan Levaï et qu'un débat autour du cinéma israëlien aura lieu à l'issue de la projection de MARIAGE TARDIF le jeudi 19 mai à 20h00, en présence de TAL MENDEL, spécialiste du sujet, Ingénieur Maître en audio-visuel, réalisatrice elle a travaillée avec Dan Setton (réalisateur et producteur, Lauréat du EMMY) pour une série de documentaires sur Interpole pour la chaîne Américaine «History» et pour le film «le rêve brisé» pour la chaîne française France 2.
Assistante de production pour le premier festival du film sur les droits de l’homme (Cinémathèque de Tel-Aviv)
Assistante de production pour le Festival International du Film Documentaire (Cinémathèque de Tel-Aviv), et plus encore….
Elle est jeune, elle est brillante, elle est mon amie, soyez nombreux à les encourager SVP.
Par Richard_S (Richard_S) le mercredi 04 mai 2005 - 00h06: |
Mr David Eden,
Deux remarques a propos de votre commentaire qui est plutot tendancieux, si je peux me permettre :
1 - Gaza n'a jamais fait partie de la terre d'Israel biblique donnee par Dieu au peuple Juif.
2 - Sharon, en retirant les troupes assignees a la garde des colons, ne semble pas comme vous dites "tacitement accepter et contribuer activement a la dejuification d'un etat Arabe naissant".
Il leur dit simplement que maintenant ils peuvent vivre en terre Arabe s'ils le souhaitent, mais SANS la protection des troupes Israeliennes et a leur propre risque.
Avec votre raisonnement, pourquoi ne pas aussi demander a Sharon d'envoyer des troupes a La Goulette pour "proteger" les Juifs Tunisiens qui veulent y retourner ?
Richard
Par Davideden (Davideden) le mardi 03 mai 2005 - 23h33: |
En retirant les Juifs de Gaza le gouvernement Israelien accepte le principe de de-judeification de toute terre designee comme Arabe.
En fait si on se dirigeait vers la paix et vers 2 etats voisins, Israel et Palestine pourquoi faudrait il que l'etat Palestinien n'ai pas de Juifs alors que l'etat d'Israel soit a 20% au moins Arabe?
Cette logique m'echappe. En fait en retirant les Juifs de Gaza, Israel semble tacitement accepter et contribue activement a la dejuification d'un etat Arabe naissant!! L'idee qui en emmane est donc que les Juifs n'ont pas de place legitime sur cette terre.
Le principe de dejudeification est donc reconnu comme legitime et ne pourra ammener qu'a d'autres evacuations selon la theorie du salami.
Ce processus ne peut ammener qu'a l'endroit prevu et cela n'est pas celui de la paix.
Il est facile de reflechir avec son coeur mais quand la matiere grise est mise a l'epreuve il est clair que l'objectif final proche de la solution finale est l'affaiblissement d'Israel dans le but de sa destruction et du massacre de sa population Juive.
les Juifs vivant dans la diaspora doivent comprendre que ce mouvement Islamo-Nazi soutenu par les socialo-fascistes Europeens n'a pas pour but unique la destruction d'Israel.
Ce mouvement est le decendant des mouvements antisemites Europeens et Arabes avec lesquels nous avons eut beaucoup d'experience.
En esperant avoir tort.....
Par Albert (Albert) le mardi 03 mai 2005 - 19h40: |
Un ami marocain, ce matin, me questionne…
‘…Albert, vous sortez Pâques comment vous… ?’
‘..Je ne me souviens pas de l’avoir vu rentrer… !’ lui dis-je tellement la semaine est vite passée. Comme on dit chez nous ‘..El OUAKT MAL’HAT…( le temps s’ecoule vite).
‘…Avec des sandwichs… !’ Que je lui réplique…’..Les algériens avec du couscous au lait.. !’ KHIT… !’
‘…Nous, au Maroc, on le fait sortir avec des MOUFLETTAS…. !’ Me dit Maurice.
Comme nous l’a rapporté Madame Bazooka, grande artiste dans le lancement des MOUFLETTES sur l’huile frite, en compagnie de sa maman ou de sa belle maman.
KIF KIF…
Le geste assuré, le regard appuyé, tendu vers sa MAQLA, et le menton bien bas, notre célèbre Madame Adra, de la bande des 6, en seconde position avant LA DOUDA, s’en donne à cœur joie. Ces confections de beignets, je suppose, lui donne du baume au cœur comme il en donne aussi à toutes nos bonnes femmes et épouses juives bien instruites dans ce métier ancien de cuisinière qui ne se perd grâce à ces belles mains bien galonnées.
SAHA OU FARHA OU BEL CHFE…Yè Oukheiti…. !
On remarque dans ses photos, ( 5X5) le sérieux qu’elle y met et surtout cette envie de perpétuer cette tradition bien de chez elle. Malgré qu’elle soit israélienne, elle reste marocaine avec ses MOUFLETTAS…En trois dimensions.
C’est un plaisir des yeux que de voir quand même dans cette rubrique, des scènes de ménage.
Ce n’est pas l’envie qui me manque de vous envoyer les miennes, tout en MOUFLETTA mais voilà le problème perso est assez épineux, d’abord je ne sais pas faire ce genre de beignets ni de torticolis en pâtisserie genre ‘..Debla…’ Par contre, je peux envoyer mon portrait en MOUFLETA…Je leur ressemble. Avec mon visage bien rond comme UNE FTIRA A DEUX CENTS….
-Emile, rodbelleq ââla moufletèq....! Seqar el biben... Notre ami Emile s'est enrhumè mais je m'abstiens de vous dire où...Il me l'as dit hier avec bcp d'humour...
Par Emma (Emma) le mardi 03 mai 2005 - 18h39: |
Les lettres de Yoni Netanyahu
Le commandant de l’opération Entebbe (*)
Entebbe. C’était en 1976. Malgré le temps qui passe, l’extraordinaire opération de sauvetage qui permit, dans la nuit du 3 au 4 juillet, de sauver les passagers israéliens et juifs d’un appareil d’Air France immobilisé en Ouganda, menacés de mort par des terroristes arabes et allemands, à quatre mille kilomètres de Jérusalem, est encore dans toutes les mémoires.
Une seule ombre au tableau, à l’issue de cette équipée inouïe et d’une audace folle : la mort du commandant de la mission, le lieutenant-colonel Yonathan Netanyahu.
Véritable héros d’Israël, considéré par Shimon Peres comme l’un des sept bâtisseurs qui, avec notamment Ben Gourion ou le poète Nathan Alterman, ont marqué l’histoire de l’État hébreu depuis 1948 (**), Yoni Netanyahu est une gloire nationale. Son nom a été donné à des rues, à des écoles ou à des jardins du pays.
Qui était, dans son for intérieur, ce jeune homme, mort au champ d’honneur dans la fleur de l’âge, quelles étaient ses pensées les plus secrètes, ses ambitions, ses croyances et ses espoirs ?
La publication en français des « Lettres de Yoni » permet de découvrir un personnage émouvant, sensible, à mille lieux du baroudeur qu’on pourrait imaginer.
Fils de Benzion Netanyahu, un grand érudit israélien, rédacteur en chef de l’Encyclopedia Judaïca, frère de Binyamin dit Bibi qui allait devenir Premier ministre d’Israël, Yoni partage son temps entre les États-Unis où il étudie à Harvard et où ses parents se sont installés pendant plusieurs années, et Israël, où, après son service au sein de Tsahal, il gravit, avec brio, les échelons militaires.
Le courrier qui est présenté recouvre les années 1963 à 1976. Des lettres à son père, à sa mère, Tsila, à Bibi et à son autre frère, Iddo, à ses amis, à celle qui allait devenir sa femme, Teresa Krasnolski dite Touti. Des lettres où il se livre entièrement, sans fards. Féru de mathématiques et de physique, il est aussi un amoureux de philosophie et de poésie. Ici et là, au détour d’une phrase, quelques lignes de Paul Verlaine, de Rudyard Kipling ou de Bialik, agrémentent une missive presque toujours écrite dans la hâte.
D’une constitution exceptionnelle, Yoni, était capable de dormir peu tout en travaillant énormément, avec une énorme rage de dépasser ses propres limites. Comme il le raconte à sa famille : « En ce qui me concerne, j’ai très peu de difficultés. Comparé aux autres, je suis dans une excellente forme physique. Les marches ne me sont pas pénibles… » et, plus tard, « Lorsque je réfléchis aux raisons pour lesquelles je suis tellement attiré par les parachutistes ou plus exactement, à ce qui me permet de tenir le coup ici, j’en arrive à la conclusion que le facteur en question, c’est la difficulté, le besoin de vaincre les obstacles ; et par-dessus tout, le besoin de me prouver à moi-même que je suis capable de faire tout ce qui est exigé ici, et même bien davantage ».
C’est à l’armée, incontestablement, que Yoni se sent le mieux. Au risque de négliger son épouse et de divorcer. Mais, pour lui, l’amour d’Israël est un véritable sacerdoce, une mission sacrée pour laquelle il est prêt à se sacrifier.
Nationaliste farouche, Yoni, à l’armée, a l’occasion de découvrir le pays dans toutes ses dimensions : « Je ne l’avais pas ressenti jusqu’à présent avec une telle intensité. Je savais que le pays existait, que j’y vivais en ce moment et que s’il en était besoin, je combattrais pour lui, mais ressentir le lieu, le sol, les montagnes et les vallées d’Israël, cette sensation-là, je ne l’ai ressentie que maintenant ».
Cet amour infini de la patrie n’empêche pas Yoni de porter un regard lucide sur les difficultés que rencontre le pays. Son opinion négative sur les pays arabes et sur le terrorisme n’a d’égale que sa certitude que Tsahal doit en découdre, en répondant très fort à ses adversaires. « Ma conscience nationale est sans aucun doute plus forte que celle des Arabes, je me bats bien mieux qu’eux et il en va de même pour tous les soldats israéliens. Ils n’ont aucune chance (pas même une petite). »
Les dernières lettres sont marquées par un certain désenchantement à l’égard de la classe politique dont les préoccupations lui semblent éloignées de celle du peuple : « Le fossé entre notre vie quotidienne et notre vie politique est stupéfiant. Nous sommes confrontés à une série de guerres (que nous gagnerons) et nous passons notre temps à nous occuper de lois religieuses à la Knesset, de grèves d’aéroports, d’achats de tissus et de vieux meubles et de « Quand nous marions-nous ? ». Peut-être est-ce bien ainsi, mais il y a là quelque chose de ridicule et de pathétique. Il y a aussi comme des miettes de ce qui est éternellement humain ».
Un très beau livre.
Jean-Pierre Allali
(*) Éditions Safed, Avril 2005, 376 pages, 25€
(**) Shimon Peres, L’Héritage des Sept, Éditions Stock, 1981.
Par A_Soued (A_Soued) le mardi 03 mai 2005 - 18h11: |
LES DILEMMES DU HEZBOLLAH
Déjà paru, voir dans ADRA
A_Soued (A_Soued) [02/05, 07h01]
LES DILEMMES DU HEZBOLLAH
Par Breitou (Breitou) le mardi 03 mai 2005 - 16h36: |
HENRI....DEHINOU.....Bon, tu es inscrit...Merci pour ton encouragement. J'éspère que les autres suivront, ce n'est pas la CONSTIPATION EUROPEENNE MAIS UNE PARTICIPATION GENEREUSE POUR LE BIEN ETRE DE NOS FRERES JUIFS D'ICI ET D'ISRAEL....MERCI....
Par Henri (Henri) le mardi 03 mai 2005 - 15h53: |
Bebert Ya houia,
Ton copain Boutboul a une exelente idee, joindre l'utile a l'agreable.
Retrouver ses copains et accomplir une mitsva.
Je suis le premier inscrit.