Par Nao (Nao) le dimanche 08 mai 2005 - 16h36: |
Vous pouvez trouver sur Internet la reponse de Bastien Francois, prof de droit a Paris I, au texte de Etienne Chouard. De son texte il n’y a qu’une seule phrase qui a retenu mon attention car elle m’a confortee ds ma position:
«Il faut le dire et le redire : voter « non » à la Constitution et à toutes les avancées qu’elle comporte, c’est dire « oui » à l’Europe telle qu’elle existe aujourd’hui et qui, sous l’effet de son élargissement, risque de n’être plus qu’un simple marché libre européen."
Donc si vous etes contre la creation de cette Europe politique comme moi, IL FAUT BIEN VOTER NON!
Par Nao (Nao) le dimanche 08 mai 2005 - 15h57: |
A propos du resultat des elections municipales palestiniennes, les electeurs de cette tres democratique election avait le choix entre le cholera (Hamas) et la peste (Fatah). Comment peut on dire que c'est une election valable qd les deux partis en lice sont issus de groupes terroristes??
Enfin lu ds la presse ce matin, Les terroristes du Djihad islamique ont abattu un jeune Palestinien de la région de Tulkarem, soupçonné de collaboration avec Israël. Guysen.Israël.News
Il aurait transmis des informations qui auraient permis aux services israéliens de sécurité d'interpeller et de tuer des terroristes de la cellule du Djihad responsable de l'attentat dans la discothèque Stage de Tel Aviv.
Et un peu plus de fric pour ces pauvres Palestos!! Ou est le fric de Arafat? planque dans son cerceuil?
Quelque 700 Palestiniens ayant majoritairement perdu leurs domiciles suite à des opérations de Tsahal, ont reçu ce samedi un nouveau logement dans la bande de Gaza, dans un quartier construit grâce à un don des Emirats arabes unis. (Guysen.Israël.News)
55 millions de dollars ont été investis dans la construction de ce quartier qui comprend une école, un parc, une mosquée et un centre de soins médicaux.
Par Nao (Nao) le dimanche 08 mai 2005 - 15h47: |
A propos de la constitution europeenne: voici une partie du texte de George Dantec paru sur le site Occidentalis. La fin du texte est paricluierement eloquente...
La « constitution européenne » qu'on vous demande, de toutes parts, et de façon de plus en plus panique, d'approuver sans réserve contient plus de quatre cent amendements fondamentaux. Un chef d'oeuvre de minutie bureaucratique, fort bien héritée de notre tradition jacobine qui allait jusqu'à émerveiller Edmund Burke lui-même qui disait, à propos du monumental édifice juridique républicain: « on s'étonne qu'une nation aux moeurs si légères ait pu produire une telle somme de labeur ! »
400 amendements : Je ne suis pas sûr qu'une micro-fraction des députés de l'assemblée nationale pourrait vous en citer nommément le dixième, mais je sais déjà qu'ils seront, tous en choeur, les premiers à vous en faire la promotion, comme de vulgaires bateleurs ignorant la provenance et la composition de la camelote qu'ils vendent à la sauvette !
Il y a quelque chose que, je crois, on a essayé de vous cacher, durant toutes ces années, et si on l'a fait avec une telle ardeur et une telle efficience, je suppose qu'il y avait d'excellentes raisons pour cela.
Ce qu'on a essayé de vous cacher c'est que LES MOTS AVAIENT UN SENS.
Et pourquoi donc a t-on fait cela ? Précisément parce que dès que l'on comprend que les mots ont un sens, on saisit qu'ils sont des pensées mises en actes, et qu'ils sont en mesure non seulement de « transformer le monde » (abstraction néo-darwiniste que les sociétés sans avenir emploient communément) mais bien, littéralement, de le faire, ou le défaire.
Il fallait donc vous empêcher de comprendre que tous ces mots, qu'on allait laborieusement empiler telle une tour de briques sans la moindre cohérence, sinon celle du vide, recelaient, en dépit de tous les efforts déployés pour l'anéantir, encore un sens. Il fallait vous empêcher de comprendre que tous ces mots, qu'on allait essayer de vous faire acheter, grâce à une bonne campagne de publicité, étaient en mesure de faire ou de défaire un monde.
Il fallait vous empêcher de penser à la gravité presque indicible de votre acte.
Il fallait vous empêcher de penser tout court, c'est à dire de mettre en mots vos actions, et vos mots en action. Il fallait, par exemple, vous empêcher tout bonnement de LIRE.
De LIRE LES MOTS.
LES VRAIS MOTS.
CEUX QUI ONT UN SENS.
CEUX QUI CRÉENT ET QUI DÉTRUISENT DES MONDES.
Comme je l'ai rappelé plus haut, la « constitution » invertébrée du mollusque que l'on veut fabriquer à Bruxelles est composée d'au moins 400 amendements chargés d'harmoniser ce « machin » qui n'est rien d'autre qu'un comité de syndics de propriété.
On pourrait probablement passer en revue chacun de ces articles, de demi-solde, et y trouver de quoi sustenter notre rire pour quelques siècles mais, je pense que personne ne l'a vraiment noté, notre explosive hilarité aurait dû s'initier bien avant.
Dès l'apparition du CHIFFRE.
400.
C'est à dire plus de 10 fois le volume de la Constitution américaine !
Ce CHIFFRE est un MOT.
Il a un sens.
Un sens ésotérique. Et ce sens est mystérieusement mis en lumière lorsque l'on compare, non pas le volume, ni même le contenu des amendements des deux constitutions, mais tout simplement lorsque l'on s'amuse à LIRE leurs préambules respectifs.
Et même, il faut aller jusque là, comme dans une étude sur les fractales, descendre jusqu'à l'atome fondamental, l'élément « constitutif », c'est à dire aux TOUS PREMIERS MOTS qui ouvrent chacune des deux « constitutions ».
Il faut simplement laisser LES MOTS DIRE CE QU'ILS ONT À DIRE.
La Constitution des États-Unis d'Amérique, rédigée en 1776, commence très exactement par ces mots :
WE, THE PEOPLE...
Un peu plus loin, vous notez l'occurrence d'un : UNDER THE LAW OF GOD.
La "constitution" zéropéenne qu'on a le toupet de vous présenter comme le fondement possible d'une quelconque "union politique" commence, elle, par ces mots ci :
NOUS, SA MAJESTÉ LE ROI DES BELGES, suivis de toute la nomenclature des Chefs d'État, classés par ordre alphabétique (!), c'est à dire de tous ceux qui aujourd'hui vous ordonnent presque de voter comme il faut, bien rangés dans leur mausolée verbal qui préfigure assez bien le colossal tombeau de famille que l'on est en train de vous construire.
We, the people...
Nous, Sa Majesté le Roi des Belges...
Chaque fois qu'un soprano du OUI-OU-RIEN fait désormais élever sa voix de castrat, en dépit des efforts que je prodigue pour échapper aux nouvelles, je ne peux m'empêcher de me répéter ces DEUX PHRASES : We, the people. Nous, Sa Majesté le Roi des Belges.
Répétez les vous aussi, à l'occasion, en cas de doute, si jamais une émission spéciale avec Drucker et Ardisson, improvisée sous la forme d'un Eurothon, finissait par ronger votre instinct, pourtant de plus en plus sûr, au vu des derniers sondages d'opinion.
We, the people...
Nous, sa Majesté le Roi des...
En deux petites locutions, vous avez effectivement le choix, comme illuminé d'une aveuglante clarté.
Avec ces deux préambules, avec ces deux fractales de MOTS DONT LE SENS FAIT OU DÉFAIT LES MONDES, vous avez face à vous l'alternative entre la mort et la vie, entre le faux oui et le vrai non, vous avez le choix entre NEIN ET NIET.
Vous avez le choix de faire comme les peuples de ce qui fut l'Est communiste en prenant, pour de bon, votre destinée manifestement en main, ou de finir, sans doute assez benoîtement, par disparaître de l'Histoire des hommes.
Par Nao (Nao) le dimanche 08 mai 2005 - 15h42: |
A lire absolument! Interview de Guy Millière sur http://www.libertyvox.com/
Guy Millière répond, avec sa coutumière détermination et non sans humour, aux questions de la Rédaction. Nous vous proposons aujourd'hui la première partie de cet entretien.
[déjà paru : Maxiton (Maxiton) le samedi 07 mai 2005 - 14h49:
Guy Millière s'explique
http://www.libertyvox.com/article.php?id=112 ]
Par Lalla (Lalla) le dimanche 08 mai 2005 - 13h05: |
a La Douda
ca me titille tout ca,cette idee de l'ame qui quitte le corps etc,etc,
quand c'est la FIN,c'est la fin pour les deux unis dans la vie sur terre!c'est sur terre qu'il faut qu'ils s'entendent bien et qu'ils soient en communion...bon je divague peut-etre, mais, de l'Autre Cote-a la mort-ils se desagregent tous les deux aussi,ca c'est ma conviction;que ceux qui pensent differemment me pardonnent
Par Michka (Michka) le dimanche 08 mai 2005 - 12h46: |
Plus que jamais, nous devons dire NON à la Turquie et NON aux TOTALITAIRES qui envahissent nos sociétés pour les détruire.
Pas la moindre faiblesse devant ces hordes sauvages. Les deux textes qui suivent nous donnent matière à réflexion.
Par Albert (Albert) le dimanche 08 mai 2005 - 11h58: |
'...Soirees orientales. Securite gouvernementale assurèe...
Donc,dorénavant, les futurs touristes juifs tunisiens expatriès qui voudront se prélasser dans notre beau pays auront dans leurs dépliants, ce label de qualitè....! Securite gouvernementale assurèe...
Ahhhhh....! Ye déniè...
Bientôt ils seront munis de gilet pare-balles et de fusils à longue portès avec visèe nocture.
Par Michka (Michka) le dimanche 08 mai 2005 - 12h38: |
http://www.occidentalis.com/article.php?sid=1662
Extrait du dernier appel à la résistance d’Oriana Fallaci, la Force de la Raison
[…] Et à ce propos, connais-tu le récit de la chute de Constantinople que nous a laissé le copiste Phrantzes ? Peut-être pas. Dans cette Europe qui pleure seulement sur les musulmans, jamais sur les chrétiens ou les juifs ou les bouddhistes ou les hindouistes, il ne serait pas Politiquement Correct de connaître les détails de la chute de Constantinople…
Les habitants qui, à la tombée du soir, pendant que Mehmed II fait tirer au canon sur les murs de Théodose, se réfugient dans la cathédrale de Sainte-Sophie et se mettent à chanter les psaumes, à invoquer la miséricorde divine. Le patriarche qui, à la lumière des cierges, célèbre la dernière messe, et pour redonner courage aux plus terrifiés, crie : « N’ayez pas peur ! Demain, vous serez au Royaume Céleste, et vos noms survivront jusqu’à la nuit des temps ! » Les enfants qui pleurent, les mamans qui sanglotent : « Tais-toi, mon enfant, tais-toi ! Nous mourons pour notre foi en Jésus-Christ ! Nous mourons pour notre empereur Constantin XI, pour notre patrie ! » Les troupes ottomanes qui, battant les tambours, entrent par les brèches des murs croulants, renversent les défenseurs génois et vénitiens et espagnols, les massacrent tous à coups de cimeterre, puis font irruption dans la cathédrale et décapitent même les nouveau-nés. Avec leurs petites têtes, ils éteignent les cierges…
Le carnage dura de l’aube à l’après-midi. Il cessa seulement au moment où le Grand Vizir monta sur la chaire de Sainte-Sophie et dit aux massacreurs : « Reposez-vous. Maintenant, ce temple appartient à Allah. » Pendant ce temps, la ville brûlait. La soldatesque crucifiait et empalait. Les janissaires violentaient et égorgeaient les religieuses (quatre mille en quelques heures), ou enchaînaient les survivants pour les vendre au marché d’Ankara. Et les courtisans préparaient le Banquet de la Victoire. Ce banquet auquel (à la barbe du Prophète) Mehmed II s’enivra de vin de Chypre, et, ayant un faible pour les jeunes garçons, fit amener le premier-né du grand duc orthodoxe Notaras.
Un garçon de quatorze ans, connu pour sa beauté. Devant tout le monde, il le viola, et après l’avoir violé, fit amener les autres Notaras. Ses parents, ses grands-parents, ses oncles, ses cousins. Sous ses yeux, il les décapita. Un par un. Il fit aussi détruire tous les autels, fondre toutes les cloches, transformer toutes les églises en mosquées ou en bazars. Eh oui. C’est ainsi que Constantinople devint Istanbul. […]
Oriana Fallaci ; la Force de la Raison ; chapitre 1 ; pages 40-41
Editions du Rocher ; ISBN 2-268-05264-8 ; 21,90 €
Note : "Voici un extrait du dernier appel à la résistance d’Oriana Fallaci, la Force de la Raison, par lequel elle rappelle aux collaborateurs d’Eurabia le sort en 1453 de la seconde Rome, Constantinople. Un texte dur, que j’ai lu et relu avec effroi et tristesse. Un texte que j’ai retapé avec rage et orgueil. Faites circuler ce texte, afin que personne n’oublie notre passé, et puisse prendre conscience de ce qui nous attend si nous ne faisons rien. Grazie Oriana !"
"
Par Michka (Michka) le dimanche 08 mai 2005 - 12h33: |
Mises en garde sur le troisème totalitarisme
A l’heure où la doctrine Bush d’essaimage de la démocratie au Moyen Orient commence à être de plus en plus palpable, un ouvrage écrit par un intellectuel américain de gauche met en garde contre l’abandon d’une politique sévère à l’égard du totalitarisme islamique.
Paul Berman fait partie de l’intelligentsia américaine de gauche, il est proche d’une revue créée par d’anciens trotskistes et, comme la plupart de ses collègues, met souvent sa plume au service des « causes » politiques mais aussi culturelles. Toutefois, malgré ses engagements, il fut aussi l’un des rares à soutenir l’intervention américaine en Irak en 2003. Et pour cause.
Son livre Les habits neufs de la terreur (Hachette, 2004) n’a rien à envier aux ouvrages d’un Kagan ou même d’un Pearl. Dans cet ouvrage, grâce à une argumentation très étayée, Berman développe l’idée d’un nouveau totalitarisme islamiste qu’il faut éradiquer par tous les moyens sinon c’est l’Occident qui disparaîtra.
Notre ennemi dans la guerre contre le terrorisme n'est pas le monde arabe, mais le totalitarisme : le même qui ensanglanta l'Europe du XXe siècle et qui nous revient aujourd'hui repeint aux couleurs du nationalisme arabe ou de l'islamisme. Telle est la responsabilité de l'Occident dans la montée du terrorisme : une responsabilité intellectuelle. Loin des fantasmes néo-conservateurs sur " l'axe du mal ", Les Habits neufs de la terreur est une plaidoirie pour réveiller la gauche de son angélisme qui lui fait trop souvent considérer le terrorisme comme une réponse désespérée aux insuffisances des démocraties libérales alors qu'il est une négation de la démocratie elle-même.
En s’appuyant sur l’œuvre monumentale de Sayyid Qutb, le principal théoricien des Frères musulmans, l’auteur passe en revue tous les thèmes chers aux islamistes et leurs véritables buts : de la haine qui les possède découle une mission, la destruction des démocraties libérales et l’instauration des califats. C’est autant une mission terroriste qu’intellectuelle. Car la plupart des terroristes, y compris Ben Laden et ses lieutenants, sont passés par l’Occident et par ses écoles, ont souvent intégré notre société en suivant nos coutumes. C’est le cas de John Walker Lindh, le taliban barbu qui a eu la jeunesse d’un gamin ordinaire dans une région riche du Nord californien, ou d’Ahmed Omar Sheikh qui a aidé à organiser l’enlèvement et le meurtre de Daniel Pearl. Sheikh est un ancien élève de la London School of Economics, l’université de George Soros. Il a préféré le meurtre islamiste à une belle carrière professionnelle. Ce ne sont donc pas, pour la très grande majorité d’entre eux, des terroristes issus des banlieues pauvres des villes du Moyen-Orient. Pour comprendre leur étrange comportement, il faut se pencher sur les idées qui les animent et qui puisent leurs sources dans la schizophrénie idéologique d’un exégète du Coran.
L’Egyptien Sayyid Qutb est l’auteur d’une bonne vingtaine d’ouvrages consacrés à l’analyse du Coran. De ses écrits on peut tirer au moins une idée clef, le caractère pervers de la société libérale. Pour lui, le but du libéralisme est de mettre la religion dans un coin, l’Etat dans un autre et de faire en sorte que chacun reste à sa place. Ceci est inacceptable pour un vrai musulman. Celui-ci doit vivre et prier dans un vrai Etat islamique auquel on peut aboutir en respectant le cheminement suivant. D’abord, il faut ouvrir les yeux des musulmans, leur montrer qu’ils sont différents des autres, même des « hypocrites » qui dirigent le monde islamique. Ensuite il faut créer cet Etat islamique et y instaurer la charia, le code musulman à la base de « l’égalité ». Dans ce système, chaque personne serait libérée de la servitude envers les autres en appliquant sans discernement la punition. La lapidation, d’ailleurs, n’est que la preuve parfaite du respect de la justice sociale ; couper la main, décapiter ou pendre, quoi de plus sain dans une société égalitaire ? En attendant cet Etat qui appliquerait ce programme révolutionnaire rempli de surprises et de bonheur, l’heure est au jihad. Et ce jihad, ce sont Ben Laden et ses disciples qui le font.
Contrairement aux interprétations tiers-mondistes, le terrorisme islamique n’est en rien l’enfant de la misère et de l’oppression. Berman démontre clairement comment le 11 septembre 2001 n’est qu’une des mises en pratique de la théorie de Qutb. D’ailleurs, les textes d’Al Qaida datent du début des années 1990 et ils étaient très clairs sur l’instauration d’un califat en Occident. Il n’y avait rien sur la cause palestinienne ou sur les souffrances des musulmans, ces idées sont apparues par la suite et ont cautionné – dans les yeux de nombreux intellectuels – les massacres des innocents. Parmi ces intellectuels « progressistes », Berman choisit Noam Chomsky et lui brosse un portrait critique bien sûr mais aussi très ironique. Scientifique, spécialisé dans la linguistique, Chomsky a écrit de nombreux essais politiques. Sa théorie est que le terrorisme s’explique par deux facteurs : la passion de la richesse et du pouvoir des Etats-Unis et l’instinct de liberté des peuples du tiers-monde. Cela revient à dire que tuer des innocents n’est que normalité dans un monde « injuste et inégal ». Ses livres sont bien présentés par les libraires en France et les idées souvent commentées avec sérieux par les médias.
Dans cet ouvrage clair et lucide, Berman dénonce les faiblesses des démocraties européennes face à la montée du troisième totalitarisme : l’islamisme. Et rappelle qu’il ne faut pas se tromper d’ennemi, entre les Etats-Unis et les Etats totalitaires. Une leçon à méditer pour la France.
http://www.occidentalis.com/
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 08 mai 2005 - 09h24: |
MIFGACHIM
Association des Israelites de Tunisie
B.P.1670 NATANYA 42115 Tel. et Fax: 972 9 8822945 Portable 052 2561155
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visite de nostalgie en
TUNISIE circuit 11 jours - villes imperiales
Djerba,Gabes, Sfax, Monastir, Sousse, Hammamet, Nabeul
Tunis, banlieux, visite de Synagogues,monuments historiques
Depart: Dimanche 19 Juin- retour: Mercredi 29 Juin 2005
Hotel 4****, ½ pension. Bus de luxe
soirees orientales. Securite gouvernementale
Guide et accompagnateur Israeliens
Prix:1350 dollars
( frais d’inscription et taxes comprises )
Inscription: ADDA 052-2561155
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 08 mai 2005 - 09h03: |
TUNES CELEBRES
En me promenant sur votre site à la rubrique tunes célébres de France, je constate qu'une personne que je connais mérite de figurer dans votre liste c'est Monsieur Elie SMADJA, j'ai eu le plaisir de le rencontrerà plusieurs reprises dans différentes manifestations de la communauté.
En 2001 il prend bénévolement la Direction de la Communication d'une Association Humanitaire Israëlienne inconnu en France " ZAKA France", son professionnalisme et son carnet d'adresse dans le monde des Médias en France en moins de deux années il la propulse au tous premiers rang des Associations Juives de France, de plus il est à l'origine des plus grandes manifestations dans la Communautée au profit d'Associations telles que, le K.K.L., la WISO, lAgence Juive, la F.O.S.F ect.. Vous trouverez ci-dessous quelques manifestations que l'ont peux mettre à son actif:
- Septembre 2003 gala de soutien à ZAKA au Zénith de Paris avec Lior NARKIS et Shlomi SHABAT.
- Février 2004 gala au profit du K.K.L, au Palais des Congrés de Paris avec Sarit HADAD.
- Avril 2004 organisation et production du 56 ème Anniversaire de l' Etat d'Israël au Zénith de Paris avec Rinat BAR.
Il a beaucoup oeuvrer pour faire connaitre et aprécier la chanson Isaelienne en France, et en Juin 2004 il organise et produit les premiers "I.M.T" Israël Music Trophés, l'équivalent des NRJ Music Awards au Zenith de Paris avec sarit HADAD - Lior NARKIS - Ron Shouval - Haïm MOSHE et bien d'autres encores.
A la suite du 56ème anniversaire de l'Etat d'Israël pour le quel il fait venir le nouveau Maire d' Eilat ville qu'il affectionne particulièrement ce dernier lui demande de rejoindre la fondation du Keren Eilat dont l'bjet et la promotion de la ville et le soutien aux étudiants entre autres, il devient l'Amabassadeur de la ville d'Eilat, cela lui donne l'idée d'organiser une soirée de gala pour récolter des fonds afin de permettre aux jeunes etudiants d'obtenir des bourses, l'opération eut lieu le 11 Août 2004 au Royal Beach d'Eilat avec plus de 350 personnes etla présence exceptionnel
du ministre de la défence Monsieur Shaoul MOFAZ c'est dire tout l'importance de cette soirée.
Si je me permet de vous relater le parcour de Monsieur SMADJA, c'est que je pense qu'il mérite de figurer dans votre liste.
Enfin je trouve votre site bien fait et très agreable.
Franck
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 08 mai 2005 - 07h42: |
Pour alimenter notre réflexion, Jean-Pierre Bensimon m'a autorisé à diffuser ce texte qui paraîtra sous peu dans une revue.
Pourquoi le « non » au référendum sur la constitution européenne a pris une telle ampleur en France
A priori, l’affaire est simple. La Constitution européenne soumise à la ratification des États (en France à un référendum le 29 mai prochain a pour objet d’adapter les institutions européennes à l’élargissement. L’Europe est passée en 2004 de 15 à 25 membres) et le fonctionnement à 15 ne pouvait être transposé à 25, et très bientôt à 27.
Les choses se sont compliquées à partir du moment où une confortable majorité de « oui » s’est progressivement transformée en un solide noyau de « non » dont certains doutent qu’il puisse s’inverser avant le 29 mai.
La première idée, c’est que ce « non » solide n’est pas le produit d’une adhésion aux points de vue de ceux qui sont devenus les porte parole du « non » dans les média, comme Emmanuelli, Buffet, Chevènement, De Villiers, Pasqua, Le Pen, Besancenot, etc.
L’approche, les objectifs, la philosophie de ces personnalités sont parfaitement antagonistes, et l’opinion qui s’est consolidée ne peut pas adhérer au même moment à des analyses parfaitement contradictoires. Au contraire, c’est la puissance du « non », venue des tréfonds de la société française qui a donné une audience à la parole de ces personnages.
Le « non » n’est pas hétérogène. Autant qu’il est possible dans une société politique, cette fois-ci, le « non » est homogène. Il se définit négativement, par son opposition déterminée aux tenants socialistes et chiraquiens du « oui ». Ce non est bien plus que l’abstention habituelle dans les scrutins européens. Les taux d’abstention ont été considérables lors des dernières élections au Parlement européen ou, comme en Espagne, lors de la ratification de la Constitution, qui a recueilli en tout et pour tout 32% des suffrages des inscrits. L’abstention manifeste un désintérêt ou une sourde opposition aux choix offerts par la classe politique. Le « non » français va plus loin : c’est un désaveu violent, une coupure profonde, le rejet de la classe politique, le binôme socialo-chiraquien qui alterne au pouvoir.
Comment en est-on arrivé là ? Un récent article de Jacques Rigaudiat dans la revue Droit Social établit qu’en France 15 à 20 millions de personnes (7 millions de pauvres et 8 à 12 millions de précaires) vivent de façon durable « des conditions de vie marquées du sceau de l'extrême difficulté ». On dépasse de loin le périmètre du seul chômage qui s’élève à 10%, notre record hexagonal. Ces vingt dernières années, l’intérim aurait augmenté de 316 %; les CDD de 517 %; les emplois aidés de 34 %; les salariés en sous-emploi de 701 %. Le nombre de salariés pauvres passait dans le même temps de 3,9 % à 5,4 %.
Quand on sait qu’en France, il est extrêmement difficile de s’extraire d’un statut défavorable comme le chômage de longue durée, des générations successives vivent de père en fils l’exclusion et la désocialisation, ce qui fait figure d’épouvantail pour la société entière.
Cette somme de misère, d’épreuves et d’humiliations est le motif d’un ressentiment immense contre la classe politique. La crainte universelle qu’elles inspirent, pour l’avenir ou pour ses enfants quand on n’y est pas soumis soi-même, renforce ce ressentiment. C’est ce qui explique qu’à l’occasion de toutes les élections depuis vingt ans, on sorte les sortants.
Les paramètres économiques qui expliquent et qui accompagnent cette dislocation de la société sont bien connus.
Une croissance économique en berne : 1,6% par an depuis 15 ans contre 3,2 aux États-unis, une productivité trois fois moins dynamique, un investissement statique et un déficit commercial multiplié par deux.
Un recul dans le classement européen : selon Eurostat, la France, à la troisième place du palmarès européen pour le PIB par habitant en 1992, occupe le 13ème rang sur 32 pays depuis 2003.
Enfin une dette publique explosive qui est passée de 91 milliards d’euros en 1980 à 1100 milliards aujourd’hui, soit plus de 65 % du PIB. Les intérêts qu’il faut bien payer représentent le second poste budgétaire de l’État après l’Éducation nationale avec 47 milliards d’Euro, c’est à dire plus que ne rapporte l’impôt sur les sociétés. On laissera ce fardeau aux générations futures.
Mais il n’y a pas que la misère et le décrochage économique : il y a l’émigration des diplômés, la fuite des chercheurs qui alimentent la recherche américaine. Il y a ces banlieues que l’État ne contrôle plus depuis longtemps, la montée de la haine et du racisme, en premier lieu de l’antisémitisme, et l’immigration non choisie qui remplit le vide de la démographie, mais remet en cause le statut du développement européen et les piliers du pacte social.
Plus grave encore, ce sont les ressorts moraux qui sont touchés. L’identité nationale est ballottée par un président qui affirme que les racines de l’Europe sont autant musulmanes que chrétiennes, qui veut donner à la Turquie négationniste le label européen, et qui met l’appartenance de la France au camp de la démocratie à l’épreuve d’un anti américanisme obsessionnel et d’une complaisance inépuisable pour les dictateurs arabes.
Mais dira-t-on, cela n’a rien à voir avec la constitution européenne ! Ce sont des problèmes purement nationaux, que l’Europe justement pourrait nous aider à résoudre.
Il n’en n’est rien. Et c’est la seconde idée : les causes du malheur français sont inscrites dans l’empilement des politiques européennes passées, reprises dans la troisième partie du projet de constitution. L’Europe du dernier quart de siècle, sur sa lancée, était grosse des aberrations que nous vivons aujourd’hui. C’est cette lancée que le noyau du « non » veut interrompre avec un message fort. Non pas pour refuser l’Europe ou s’en isoler, mais pour exiger une redéfinition radicale de sa nature et de ses priorités.
L’Europe n’a jamais été un état : c’est une Union d’États, organisée par des traités, dont les États membres se sont servis pour poursuivre des buts divers et parfois incompatibles.
A l’origine, la France recherchait un barrage contre la menace soviétique, des débouchés pour son économie et le contrôle de la renaissance de l’Allemagne. L’Allemagne désirait retrouver une respectabilité, et la reconnaissance de son appartenance au camp occidental.
Avec le gaullisme, la France a voulu faire de l’Europe l’instrument de sa politique d’opposition tous azimuts à l’Amérique, pour nourrir un rêve de grandeur qui remonte aux Lumières. Et elle continue sans faiblir sur cette lancée. C’est ainsi que le second mandat de Chirac a été marqué par une confrontation sans précédent avec les États-unis, assise sur une étroite association avec l’Allemagne. Ce que l’on n’a pas mis en évidence, c’est que cette confrontation interdisait à la France d’entreprendre les réformes indispensables de son appareil d’État, de sa fiscalité, de son code du travail, etc. Chirac ne pouvait pas à la fois se confronter aux États-unis et gérer les tensions internes qui auraient découlé de vraies réformes comme celles que les Anglais, les Espagnols, les Allemands et même les Italiens ont su promouvoir. Il a donc saisi la possibilité d’affronter les États-unis que lui offrait l’assise de l’Union européenne, et de laisser la France s’enfoncer dans le déclin et la misère de masse.
L’Union européenne a aussi été pour les Allemands, après 1989, l’instrument de la reconstitution de la nation allemande sacrée. Face à cette menace, la France a voulu ficeler le monstre renaissant par une limitation de sa souveraineté monétaire. Les allemands ont répondu par des « critères de convergence » écrasants et par le dogme de la primauté à la lutte contre l’inflation. C’est de cela que sont issus l’Euro, la Banque Centrale Européenne indépendante et le Pacte de stabilité. Institutions qui sont au cœur du projet de Constitution européenne soumis au référendum, et qui ont coûté à cette zone son oxygène et son dynamisme. Chacun sait que l’économie européenne est de loin plus statique dans les 12 pays qui adhèrent à l’Euro que dans les 13 autres. Les dirigeants français recherchaient une assise pour leur rêve gaulliste de grandeur, les allemands réunifiaient leur grande nation. Les Anglais tenaient à être « dedans » pour prévenir et contrôler le retour éventuel d’une menace continentale.
Mais le rêve « français » s’est accompli sur le dos du peuple, puisqu’il l’a mené à « la préférence pour le chômage » (Denis Olivennes), à briser la dynamique économique et la dynamique sociale par des politiques de stabilisation infiniment plus sévères et durables que la remise en ordre de Margaret Thatcher. Il a abouti au constat de démolition dressé plus haut.
C’est cela l’Union européenne depuis un quart de siècle. Un moyen, un instrument des grandes nations qui la composent, pour poursuivre des intérêts ou des mirages qu’elles ne pourraient pas réaliser seules. Ce sont ces politiques qui sont intégralement confirmées dans la troisième partie du projet de Constitution. C’est à elles que s’adresse la clameur du « non ».
Il apparaît que cette « vox populi » est un rappel de la réalité, un retour aux véritables intérêts nationaux de la France, dans une Union européenne affranchie de ses rois Ubu.
Jean-Pierre Bensimon
Par Email (Email) le dimanche 08 mai 2005 - 07h38: |
bonjour à tous,
Je recherche desespérement la recette des caques pouvez-vous m'aider ?
Merçi à tous et à bientôt j'espère
bisous
Alyssa