Par Pauline (Pauline) le vendredi 13 mai 2005 - 09h06: |
SAUVEZ SARCELLES
Mes chers Maîtres, mes chères fréres et soeurs,
Je voulais vous rapporter quelques paroles glanées sur des sites web de Thora pour vous présenter ce qui est l’une des notions fondamentale de notre sainte Thora comme étant les relations à notre prochain qui ont la primeur sur celles que nous devons avoir avec notre créateur et qui constituent l’un des éléments de base pour devenir Saint.
L'amour du prochain, Rabbi Akiva et la séfirat haOmer
Un des thèmes centraux de la Parasha de cette semaine gravite autour de la mitsva: "Tu aimeras ton prochain comme toi-même".
Y a-t-il un plus beau commandement que celui-ci pour nous faire transiter de la fête de Pessa'h à celle de Shavouth, sachant que l’on traverse la période du Omer. Cependant, c'est pendant cette même période que les élèves du Maître de la génération Rabbi Akiva furent décimés par une épidémie, qui emporta 24000 élèves. Il est connu que la cause de ce ravage provient du manque d'égard que les élèves témoignaient entre eux.
Le Talmud (Yebamot 62b) nous enseigne: "Rabbi Akiva avait 12 000 couples d’élèves de Guevet jusqu’à Antipras et tous sont morts pendant la même période car ils ne se respectaient pas l’un l’autre; et le monde était désole, vide [Rachi explique que la Torah s’oubliait] jusqu’à ce que Rabbi Akiva aille enseigner à Rabbi Méïr, Rabbi Yehouda, Rabbi Yossi, Rabbi Chimon et Rabbi Elazar ben Chamoua qui eux représentaient la Torah à cette époque.
Le Saba Mikelem écrit que la Torah nécessite un récipient. L’homme de nature grossière n’est pas apte à la recevoir; s’il n’a pas "bon cœur" il ne peut pas partager les difficultés avec son ami et ne s’habitue pas à respecter l’autre. Il renforce son égo et de ce fait diminue la valeur de la Torah. Seul celui qui casse sa nature, son égoïsme, qui se raffine et se purifie peut prétendre acquérir la Torah.
Tiré de Sifté Haïm Rav Friedlander z"l
Savoir aimer tout le monde
" Que l’homme s’habitue à ouvrir son cœur à. l’amour d’autrui et à aimer tous les hommes, y compris les pécheurs et les impies, comme s’ils étaient des frères et même davantage. On souhaitera leur repentir pour qu’ils deviennent des justes. On ne pensera qu’à leurs bons côtés, en ignorant leurs défauts et leurs vices. On se dira: si ce pauvre était riche, combien aurais-je été heureux de vivre en sa compagnie. Si cet homme délabré était bien vêtu, il ne serait point différent de moi. Pourquoi le mépriserais-je? Il est plus digne que moi aux yeux de l'Eternel, car ses souffrances et ses misères l’ont absous de tous ses péchés. Pourquoi alors haïrais-je celui qui est aimé de Dieu... " (Tomer Débora, ).
Le Chalom dans le Sanhédrin
Le Sanhédrin (la Grande Assemblée) condamnait à l'unanimité un juif à la peine capitale, il sortait innocent car comme tous les juges étant arrivés à un Chalom total dans leur jugement, ils étaient parvenus à transformer l'attribut de rigueur en bonté !!!
Colporter
En approfondissant certaines lois dont l’accomplissement mène à la sainteté, nous pouvons mieux comprendre la vérité de ce que nous venons d’énoncer. En effet, un peu plus loin nous lisons ceci : « Ne va point colportant le mal parmi les tiens ne sois pas indifférent au danger de ton prochain : je suis l’Eternel. » (Lévitique XIX, 16). Nous pouvons suivre ici l’explication d’IBN EZRA selon qui la deuxième partie du verset est une suite logique de la première.
En effet, D.ieu nous interdit de porter atteinte à la vie de notre prochain, que ce soit par la diffamation ou la délation, ou encore par un faux témoignage. Notre commentateur y voit un rappel ou une extension du sixième commandement disant : « Tu ne tueras point » (Exode XX, 14). A ce -propos, il cite l’exemple de DOEG l’Eduméen et le mal qu’il a causé à DAVID et à SAÜL. (I Samuel XXII, 18). Et le Talmud en tire la leçon suivante : « Toute médisance fait d’ordinaire trois victimes : celui qui la profère, celui qui l’écoute, et celui qui en est l’objet. » Aussi, est-ce en fuyant la médisance, ce mal qui ravage tant notre société actuelle comme toutes celles qui l’ont précédées, que nous pouvons mieux réaliser les commandements interdisant successivement les représailles et le souvenir de l’offense, afin de parvenir au précepte plus élevé,! celui qui nous ordonne d’aimer notre prochain pour lui-même, parce qu’il est homme : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même, car je suis l’Eternel » (Lévitique, XIX, 18), c’est-à-dire, « L’Eternel qui l’a créé comme je t’ai créé. (Aboth de Rabbi NATHAN, chapitre XVI).
Notre ville, Sarcelles !
Banlieue Nord de Paris, cette ville s’est distinguée par sa grande communauté juive et sa réputation a très largement franchie les frontières de l’hexagone.
On y mange bien, c’est une ville qui brille par ses commerces juifs, restaurants, boulangeries, boucheries, épicier, etc . . .
Elle est aussi renommée pour ses écoles et crèches qui font d’elle une capitale du judaïsme dans la région et ce depuis de nombreuses années.
A Sarcelles, le côté pratique n’est pas en reste, vous avez tout pour y vivre dans un cadre juif depuis la baguette de pain jusqu’à l’école de vos enfants, en passant par la vérification Chaatnez ou les cours de Gym séparés pour vous mesdames.
Mais cette ville, à l’image de son Rav est malade, elle souffre de ne pas voir éclore le potentiel Thoranique auquel son grand nombre d’âme est en droit de prétendre.
Pourtant il y a un Collel, des Baté Midrashot, des cours et des havroutots organisés ici et là, de nombreux havréhims, même si ces derniers étudient à Paris ou à Epinay.
Le Collel a du mal à réunir un miniam de personnes qui étudient, pas de Yéshiva à Sarcelles, le heder forme des jeunes qui vont à Paris ou en Israël.
Cette fuite de cerveaux est elle normale ?
Pourquoi ne nourrissent ils pas de leur savoir leurs voisins qui en ont tant besoin ?
Un homme a pourtant essayé de renverser la vapeur, de donner un souffle de vie spirituelle à cette ville, il a donné son énergie, sa santé et sa vie pour exploiter au maximum ce potentiel de Thora, ce récipient si profond est pourtant presque vide.
Il a fait d’ingéniosité d’audace, il a travaillé sur la jeune génération, investi sur ceux qu’il croyait devenir les cadres de demain, il a participé à un formidable programme éducatif et donné une alternative aux écoles Harédit de Paris et Epinay.
Aujourd’hui cet homme est malade, il a quitté Sarcelles, il vit en Israël à Nétivot et maintenant qu’il n’est plus là il est conspué, accusé des pires infamies, des pires vices et des pires tromperies.
Il est montré du doigt par ceux dont il s’était entouré, par ceux qu’il avait amené à Sarcelles pour donner un souffle spirituel plus fort, par ceux qui ont mangé grâce à lui, par ceux qui se sont fait un nom grâce à lui.
Celui qui était jadis admiré même par le maîre de la ville qui le surnommait avec admiration le ''fou de D.ieu' pour ses idées génial, son sens de l'entreprise et son combat constant même si c'est seul qu'il doit affronter le monde et ce uniquement pour que la Thora à Sarcelles soit plus grande.
Alors comment peut on déclarer une fatwa contre cet homme ?
Pourquoi tout ceci voit le jour aujourd’hui qu’il n’est plus la alors qu’hier ceux qui l’accusent l’adulaient ?
Pourquoi mener une guerre sainte contre l’un des plus grand architecte de ce qu’est aujourd’hui la communauté juive de Sarcelles ?
Argent, pouvoir et Thora sont ils en pleine confusion dans cette affaire ?
Notre cher Rav Israël, va de plus en plus mal, il est actuellement hospitalisé et son état de santé est critique, que D.ieu lui envois une guérison totale rapidement.
Ne voyez vous pas une relation de cause à effet entre ces deux évènements ?
De quel mal souffre notre ville pour qu’elle commence à atteindre ceux qui ont le titre de Rav ?
Quelle machination est en marche et quel est son dessein ?
Ceux qui l'accusent font partie des notables de la ville, ce sont des gens respectés, ils enseignent la Thora, certains portent le titre de Rav et se targuent d'avoir la notoriété qui donnent tout le poids à leur accusation.
Je suis un simple parmi les simples qui recherche une réponse et qui dans sa formulation la plus directe ne trouve aucune réponse, tous baissent la tête, changent du sujet, ou disent de celui qui est mis en cause qu’il n’y a pas de fumée sans feu, les accusateurs sont par trop irréductibles et ils doivent avoir raison, c'est beaucoup trop gros pour ne pas être vrai.
Je ne peux accepter de rester sans rien faire de plus, sans intervenir en faveur de celui, qui à mes yeux rend la ville entière redevable et croire que la seule parole d'un Rav sans preuve soit suffisante pour détruire la réputation d'un homme tel que lui.
Je ne peux continuer à assister sans rien dire à la reconstitution de la destruction du second temple devant mes yeux où la haine gratuite transpire dans les paroles des gens, je veux croire en vous mes frères et mes soeurs qui à la lecture de ces mots soyez émus, touchés et voudriez comme moi aidez cet homme, cette ville.
Alors vous qui recevrez ce message, qui provenaient de tous bords et de tous horizons, que vous soyez cadres religieux, journalistes, médecins, avocat, enseignants, directeurs d’écoles ou simples juifs comme moi, diffusez cette lettre autour de vous, faite savoir le drame qui se produit chez nous, diffusez sans modérations à vos relations juives influentes pour qu’elles puissent venir et se rendre compte de l’ampleur des dégâts, des ravages que peut avoir ce qui se passe ici.
Vous Sarcellois qui recevaient cette lettre, réagissez !
Vous nos chers Rabbanims, faites la lumière sur ces silences qui ont trop duré et qui ont déjà fait trop de ravages, soyez clairs dans vos propos, pas de detour pas de métaphore, pas d'allusion, dites nous se ce qui se passe chez nous.
De même qu’un Sefer Thora doit étre vérifié et corrigé pour continuer à servir, ne faut il pas en faire autant sur un Rav ou une ville qui va mal, faut il continuer à laisser faire, à abandonner au temps qui finira par détruire complètement ce qui commence déjà à s’éroder à vue d’œil.
Montrez que la Thora passe d’abord par un bras tendu vers son prochain qui est en détresse, cette action définie comme fondamentale dans la paracha que nous avons lue hier et accomplissez cette mitswah, définie par Hillel comme la plus importante, comme celle qu’il suffit de bien connaître pour accomplir toute la Thora.
Que faut-il penser de tous ces hommes qui savent par leur prestance et leur qualité de diction enthousiasmer les foules, au travers de leur effet de manches et autres grands animer et capter l’attention d’un auditoire pendant de nombreuses minutes ?
Que faut il penser de ces mêmes hommes qui lorsqu’ils sont sollicités par l’individu ne sont pas capable de l’aider, de le conseiller et même s'ils le font c’est une petite heure qu’il consacrent et avec une bonne tape sur l’épaule espèrent avoir résolu le problème de sa vie ?
Ne pensez vous pas qu’avant de pouvoir prodiguer ce que nous explique ordonne notre sainte Thora, il leur faudrait être capable de répondre et d’aider d’une manière sincère et totale ceux qui sont pauvres et qui attendent d’eux un bras tendu ?
Ne pensez vous pas que ces mêmes hommes (je ne peux me résoudre à les appeler Rav) doivent avoir le courage lorsqu’ils ne sont pas compétents de savoir orienter les nécessiteux qui se présentent à eux ?
Aidez nous à lever toutes ces ambiguïtés, tous ces râgots qui courent comme un bruit sourd.
Aidez nous à faire taire ce silence qui hurle dans nos oreilles l’indifférence à la souffrance.
Aidez nous à donner toute la grandeur dont notre ville a besoin pour que nous puissions éclairer de notre spiritualité la région, le pays et le monde entier pour que notre cher Machiah arrive au plus vite.
Shavouat Tov .
Par Braham (Braham) le jeudi 12 mai 2005 - 23h47: |
Par Braham (Braham) le jeudi 12 mai 2005 - 23h45: |
PRASS (le prix) ISRAËL 2005
Israël a clôturé les festivités de Yom Ha’tsmaouth en honorant ses plus grands savants et artistes qui s’étaient distingués durant l’année.
Chaque lauréat reçut un certificat, une statuette et la somme de 75000 Shekel (environ 13500 Euros).
La cérémonie était présidée par les personnalités suivantes :
Le président Katsav ; Le 1er ministre Sharon ; le président de la Knesset R. Rivlin ; le président de la Cour Suprême, Barak ; le maire de Jérusalem, Loupliansky …
La chanteuse Rouh’ama Raz et une chorale ; une troupe du Théâtre Kamery (qui reçut le prix, pour sa contribution spéciale) ; et un groupe de chanteur ‘Jazz-gospel’ ; ont, avec d’autres, animé la soirée.
Un autre puzzle de photos (le dernier) sera publié après ce message. Il est assez clair et toute explication serait inutile.
Par Maurice (Maurice) le jeudi 12 mai 2005 - 23h13: |
Les Juifs d'Orient seraient dans la situation des Kurdes ou pire s'ils n'avaient obtenu par la Force leur Independance. Pourquoi la majorité arabes Musulmanes n'a jamais pu avoir une demarche d'Independance des minorites et dans l'Histoire au moins l'Autonomie sans oppression??
LES KURDES A L'HONNEUR Vieux Peuples avec les Juifs de la Region AP) - C'est le premier film irakien présenté en compétition au Festival de Cannes. "Kilomètre zéro", du Kurde Hiner Saleem, est un "road movie" avec en toile de fond la guerre Iran-Irak dans les années 80. Le réalisateur a fui l'Irak à l'adolescence et vit aujourd'hui en France mais il est retourné dans son pays après la chute de Saddam Hussein pour le tournage de son film. "Kilomètre zéro" raconte l'histoire d'un jeune Kurde et d'un Arabe anti-kurde chargés de ramener le corps d'un martyr de la guerre à sa famille. Il évoque les souffrances d'un peuple kurde opprimé sous le régime de l'ancien dictateur irakien.
Saleem a rencontré de nombreuses difficultés pour le tournage, qui s'est déroulé au Kurdistan irakien. "Un jour, le problème était de trouver une caméra", a-t-il expliqué jeudi. "Dans tout le pays, je n'ai pas pu en trouver une." Le même problème s'est posé pour les techniciens, qu'il a finalement dû faire venir de France.
Même dénicher une statue de Saddam Hussein, un accessoire-clé pour recréer l'atmosphère de l'Irak des années 80, s'est avéré problématique.
L'équipe a passé deux semaines à chercher un sculpteur voulant bien fabriquer une statue de l'ancien maître de Bagdad. Lorsqu'elle en a trouvé un, elle a fait face à un incident imprévu. Un agent de sécurité a aperçu la tête de la statue en construction, ce qui a valu au sculpteur d'être jeté en prison. Saleem a dû fournir des explications aux autorités pour qu'il soit libéré.
Un des protagonistes du film est un jeune Kurde engagé dans la guerre contre son gré. Pour ce personnage, Saleem explique s'être inspiré en partie de l'histoire de son frère, qui fut un jour enrôlé de force pour combattre.
Le cinéaste avait quitté l'Irak au début des années 80 et son retour au Kurdistan l'a rempli de sentiments mitigés. "Après la chute de Saddam Hussein, j'ai pleuré de joie en voyant le bonheur de mon peuple", explique-t-il. "Mais j'ai été aussi peiné de voir la naïveté de mon peuple", pas toujours conscient des difficultés à venir.
Le film comporte de nombreuses scènes de guerre et de destruction, mais est aussi teinté d'humour noir. Un des personnages dit à un moment une réplique qui était un des proverbes favoris du grand-père de Saleem: "Notre passé est triste, notre présent est tragique, mais Dieu merci nous n'avons pas d'avenir".
Par Braham (Braham) le jeudi 12 mai 2005 - 20h11: |
Par Braham (Braham) le jeudi 12 mai 2005 - 20h08: |
Concours international des jeunes juifs sur la connaissance de la Bible
Ce 42e championnat qui se déroule toujours en présence du chef du gouvernement, cette année ce fut Ariel Sharon, a réuni des jeunes juifs de toute la Diaspora.
A part la candidate française Tsivia Cohen, tous les participants européens ont été éliminés au premier tour.
Le Champion de cette année est : Shmouel-David Alpert, étudiant à la Yéshiva Horév de Jérusalem.
A signaler la partie artistique qui comprenait entre autre la troupe des Eclaireurs Hébreux d’Israël ; et une manifestation dans les derniers rangs de la salle, contre Ariel Sharon et son plan de désengagement de Gaza.
Un autre puzzle de photos suivra ce message :
En haut : une vue générale ; et M. Sharon à coté de Mme Livnat (ministre de l’éducation et de la culture)
Au milieu : la candidate française Tsivia Cohen et le finaliste ‘dans le box’, puis recevant le trophée des mains du chef du gouvernement.
En bas : la troupe des Eclaireurs Hébreux et les manifestants.
Par Claudia (Claudia) le jeudi 12 mai 2005 - 18h34: |
Le cimetière juif de Sarreguemines a été profané
Une soixantaine des quatre cents sépultures du cimetière juif de Sarreguemines (Moselle) ont été vandalisées par des inconnus, a-t-on appris mercredi 11 mai. Les dégradations ont été découvertes mardi après-midi par le gardien du cimetière communal, qui jouxte celui que gère la communauté israélite.
Soixante-quatre stèles ont été brisées ou renversées, une pierre horizontale étant par ailleurs déplacée comme si l'on avait voulu ouvrir la tombe. Aucune inscription n'a été relevée par la police, qui s'est rendue sur les lieux, à l'exception d'une croix gammée gravée sur la boîte à lettres de la maison du gardien. Cette maison est cependant assez éloignée du cimetière juif.
"L'IMBÉCILLITÉ ET LA LÂCHETÉ"
Les faits se sont produits un peu plus de vingt-quatre heures après la commémoration du 8 mai 1945, qui a donné lieu, comme chaque année, à une cérémonie et à des prises de parole dans le cimetière juif, devant la stèle aux victimes de la seconde guerre mondiale et de la déportation.
Claude Bloch, président de la communauté israélite de la ville, a fait part de son "indignation" et de son "écœurement". "On ne peut rien dire d'autre face à l'imbécillité et à la lâcheté de ce genre d'acte", a-t-il ajouté. C'est la première fois qu'une telle profanation vise le cimetière juif de Sarreguemines, a-t-il précisé.
Le parquet de Sarreguemines a ouvert une enquête. La communauté israélite a pour sa part décidé de porter plainte. Le sous-préfet, Luc Vilain, et le procureur de la République, Michel Beaulier, ont demandé un "travail minutieux d'identité judiciaire qui devra relever d'éventuelles traces ou empreintes. Toutes les pistes possibles seront explorées", indiquent les Dernières nouvelles d'Alsace.
Par Braham (Braham) le jeudi 12 mai 2005 - 12h24: |
Par Sarel (Sarel) le jeudi 12 mai 2005 - 12h16: |
Les 613 mitsvot et Mr Richard
Je vous remercie d'avoir prete attention a mon article
La repartition des mitsvot est connue
J'ai imagine qu'on les numerote pour signaler que chacun a sa facon de les exposer
Ce qui est par exemple numero 2 chez l'un n'est pas forcement pareil chez l'autre
Et c'est cela en general qui cree des differrents dans diverses communautes
Independamment de la base qui est de croire en D. et reconnaitre qu'il ne peut y avoir d'autre 'les mitsvot qui en decoulent sont surtout morales et ne peuvent pas etre etablies
dans un ordre strict
merci
sarfati-sarel@bezeqint.net
Par Sarel (Sarel) le jeudi 12 mai 2005 - 11h50: |
Un train une fiction
On sent les roues sur les rails
On ne voit rien Il n'y a pas de fenetres
Les compartiments sont tres grands
Il y a le jour et la nuit et aussi les saisons
Mais cela bouge 'mais dans quelle direction ?
Est'ce dans une ligne droite ou cela tourne en rond?
La vie dans le train a ses intrigues et ses differrentes formes d/interet
Il y a aussi malheureusement des guerres
Personne ne pose la question a haute voix
Vers ou va ce train?
on ne peut pas en descendre
DEs fois il s 'arrette subitement et en un millionieme de seconde certains passagers sont happes vers l'exterieur et des portes mysterieuses se refferment 'sans qu'on est constate qu'ils y en avaient
On reste dans l'inconnu
On a la fausse impression de diriger
On accepte pas la realite qu'on est transporte et dirige
AH si on pouvait ouvrir une fenetre !!
Est'ce que cela aurait ete mieux ?
EST''ce que une marchandise peut choisir son parcours ou demander des explications a
clui qui la transporte ?
C'est bizarre sarfati-sarel@bezeqint.net
Par Braham (Braham) le jeudi 12 mai 2005 - 09h38: |
Par Braham (Braham) le jeudi 12 mai 2005 - 09h36: |
Cérémonie d’ouverture du 57e Yom A’tsmaouth
La cérémonie, qui s’est déroulée au Mont-Herzel à Jérusalem, était sous le signe de « BRITH H’AIM » (traduction libre : Unis pour ou dans la Vie). Les personnalités choisies pour allumer les 12 flambeaux étaient de toutes les origines : civils et militaires, jeunes et retraités, Druzes et Bédouins, Industriels et Pères fondateurs, Olims d’Ethiopie et de l’ex-Union Soviétique et autres…
La partie artistique comprenait des ballets-défilés exécutés par des soldats et par des adolescents, qui créèrent sur le vaste stade des figures spéciales pour la Fête.
Dans le prochain message j’enverrai, pour ceux qui n'ont pu le voir une ‘puzzle’ faite de 7 photos prises sur l’enregistrement de la cérémonie.
En haut, 2 photos de la scène, avec au fond les flambeaux déjà allumés.
Au milieu, 3 figures : le Maguen-David, le chiffre 57 , et la Ménora, toutes formées par des soldats de Tsahal portant les drapeaux de leurs unités
En bas, 2 figures créées par des adolescents, élèves d’une école de danse. Une représente le drapeau en forme de Cœur, l’autre un drapeau avec son mat.
H’ag Sameah’
Par Axelle (Axelle) le jeudi 12 mai 2005 - 03h03: |
En l'honneur des festivités de Yom Haatzmaout qui commémorent cette année le 57 ème anniversaire de l'indépendance de l'Etat d'Israël, je viens te dire Israël combien je t'aime, je viens te dire combien je suis fière de toi et de ton peuple. Tu resteras à jamais au plus profond de mon coeur.
Axelle