Par Edmond (Edmond) le dimanche 15 mai 2005 - 07h14:

I thought you'd want to see this 90-second online film, 'Teach Kids Peace.' You'll really get a sense of where terrorism comes from -- and what we can do to help stop it: http://www.teachkidspeace.com/flash.php



Edmond Silber

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 15 mai 2005 - 00h05:

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 14 mai 2005 - 22h08:

Par Maurice (Maurice) le samedi 14 mai 2005 - 09h56:

Alerte sur les minima sociaux et les finances locales ! Le fabiusien Christian Bourquin, président PS du conseil général des Pyrénées-Orientales, est monté au créneau cette semaine pour dénoncer le système d'attribution du RMI, qui selon lui est censé générer un afflux massif d'Européens «issus des pays de l'Est».


«Le RMI peut atteindre 540 euros par mois, alors que le salaire mensuel moyen en Lituanie est de 113 euros. Cette différence de niveau de vie peut mettre en difficulté le système social français», a-t-il affirmé. Christian Bourquin fait état de dossiers de ressortissants d'Europe de l'Est, arrivés dans ses services en avril, et qui représentent 143% des demandes européennes. «La population de notre département n'est pas d'accord pour financer le déficit social européen. Les finances départementales n'y suffiront d'ailleurs pas en cas de dérapage, d'autant que l'État est mauvais payeur», a-t-il poursuivi, regrettant que «personne ne semble vouloir faire face à la réalité».


La charge de Christian Bourquin n'est pas du goût de Jean-Louis Borloo, le ministre de la Cohésion sociale, qui a lui sèchement répondu, mercredi, par voie de communiqué. «Votre analyse est complètement erronée», lui a-t-il lancé. Les services du ministère ont fait parvenir à l'ensemble des conseils généraux une circulaire rappelant la loi vis-à-vis des ressortissants communautaires. Selon ce texte, les membres de l'Union, et assimilés, qui se trouvent en France ont le droit de toucher le RMI dans les mêmes conditions que les Français «dès lors qu'ils disposent d'un droit au séjour en France». Mais ce droit de séjour est lui-même subordonné à la possession de ressources «suffisantes», d'une assurance-maladie, et de l'apport de la preuve d'une installation «pleine» sur le territoire. De plus, le texte rappelle que la décision d'attribution ou de rejet de l'allocation du RMI est depuis le 1er janvier 2004 de la compétence du président du conseil général. «C'est donc à ces collectivités qu'il appartient d'apporter une réponse à chaque demande», rappelle la circulaire. Bref, il faut comprendre qu'un ressortissant européen, fût-il letton, ne peut pas se rendre directement aux guichets du conseil général pour toucher son dû. Et que ce dernier a les moyens politiques et juridiques de rejeter les dossiers douteux.


«Quand le non socialiste rejoint le non d'extrême droite...», soupire-t-on dans l'entourage de Jean-Louis Borloo. Hier, l'association SOS-Racisme a déposé plainte à Perpignan pour «déclarations prônant la discrimination à l'encontre des résidents européens originaires des pays de l'Est qui seraient candidats à l'allocation RMI».
OU VA LA FRANCE????? QUEL AVENIR POUR CETTE CACOPHONIE DANS UNE FRANCE REPUBLICAINE de 75 Millions d'habitants en 2050(nos petits enfants)sans repere et enfin de compte minoritaire dans son histoire ethique et social: un pays de tiers monde bananier???????

Par Francois (Francois) le samedi 14 mai 2005 - 04h43:

Mieux connaitre l'islamo-nazisme

Enfin un site fort bien documenté sur le nazislamiste al-Husseini, mufti de Jérusalem, grand-père de Leila Shahid et oncle d'Arafat.

On y apprend toutes sortes de chose intéressantes et notamment le fait qu'il était officier dans l'armée ottomane quand la Palestine était un district colonial ottoman ce qui démontre bien que sa motivation principale n'était pas la lutte d'indépendance mais bien la haine des juifs. Bien que cela ne semble pas figurer sur le site, il semble qu'al-Husseini a participé à l'extermination des arméniens.

On apprend aussi qu'il a fait assassiner tous les leaders arabes rivaux qui souhaitaient cohabiter pacifiquement avec les juifs. Ce qui démontre que cette guerre a été voulue par les arabes extrémistes et par eux seuls alors qu'une autre issue était tout à fait possible. C'est d'autant plus vrai que lors des pogroms antisémites lancés par les séides d'al-Husseini en 29 et 36, de nombreux juifs ont pu survivre car ils avaient été cachés par leurs voisins arabes. C'est probablement pour cette raison que les dirigeants arabes ont appelé les arabes à partir en 1947. Certains qu'ils vaincraient l'armée juive, ils n'ont pas voulu que les juifs survivants puissent échapper à l'extermination qu'ils avaient planifié.

Pour en savoir plus: http://aval31.free.fr/

Par Mena (Mena) le vendredi 13 mai 2005 - 19h22:

Metula, 17h 15, heure locale, vendredi

Depuis 16h (à Jérusalem, 15h à Paris) de violents combats opposent les miliciens du Hezbollah à l’armée israélienne dans la région dite des Fermes de Chabaa.

Les incidents ont débuté lorsque les intégristes ont lancé des mortiers et des missiles anti-chars (RPG) en direction des bases israéliennes situées sur les contreforts du Golan. Tzahal a laissé tirer les islamistes durant 20’ sans riposter puis, le feu se poursuivant, est intervenue massivement, à l’aide de son artillerie, de chasseurs-bombardiers et d’hélicoptères d’assaut.

Des bureaux de la Ména, on distingue nettement les tirs de missiles, depuis les avions et les hélicoptères, leur point d’impact sur les positions du Hezbollah et dans le no mens’ land, puis l’épaisse fumée noire qui s’en dégage. La première position intégriste en flammes se situe à moins de 500 mètres à vol d’oiseau du village de Metula.

A l’heure de diffuser, la situation au sol connaît une certaine accalmie. Dans les airs, les avions israéliens patrouillent.

Nous n’avons actuellement connaissance d’aucun blessé des suites de ces combats.

Au vu des événements, la Ména assurera cette nuit une permanence d’information. Nous diffuserons le récit d’éventuels incidents sur notre site et d’évènements revêtant une importance tactique ou stratégique par l’envoi de dépêches aux abonnés.

Par Francois (Francois) le vendredi 13 mai 2005 - 18h44:

Pour l'honneur des imbéciles

Par Chantal Delsol*

Vous me demandez quelle Europe je veux ? C'est risqué. On accepte bien un référendum, mais à condition que tous veuillent l'Europe et que tous veuillent la même Europe. C'est la nouvelle manière démocratique, à la façon Tocqueville quand il prophétise les perversions démocratiques.

Je voudrais une Europe qui n'ait pas peur de son ombre. Où est son ombre ? Dans son passé, qui la suit et l'habite comme il habite toute chose humaine, mais dont elle aimerait se débarrasser : l'Europe rêve de ressembler à ce héros qui avait perdu son ombre, et marchait sur le vide vertigineux de son absence de définition. L'Europe a des caractéristiques. Elle est grecque et romaine, elle est chrétienne, elle est moderne. Tout cela forme un monde. L'Europe n'est pas ce personnage sans qualité qu'elle croit être, elle n'est pas l'universel en marche auquel toutes les cultures devraient s'identifier. Elle porte sa particularité, elle aussi, c'est une gloire et une croix, elle est incarnée, donc pesante, donc tentée par les conflits. Elle n'est pas, comme l'a dit un de nos gouvernants, «aussi musulmane que chrétienne», rhétorique nauséeuse où l'on veut nous faire croire que nous ne serions, finalement, rien. Une Europe qui craint de se nommer ne m'intéresse pas. L'anonyme c'est le bandit caché, la bête qui fait l'ange, l'imposteur. Seul Dieu peut conserver l'anonymat sans s'y perdre. L'Europe n'est pas un dieu. Mais un groupe de peuples liés par un destin qui se décrit.

Je voudrais une Europe qui accepte sa propre diversité : nous en sommes loin. On brandit ce souhait comme une incantation : la diversité est à la mode à condition qu'elle reste folklorique et sans poids, le bon mot d'un enfant. On fait le contraire depuis si longtemps. Il n'est pas normal que dans un ensemble démocratique, les lois communes soient si nombreuses et prennent de plus en plus de place. Le principe de subsidiarité a été brandi à l'envi, pour faire chic, mais il ne peut être appliqué, pour une raison simple : il a été, aussitôt saisi par les instances européennes, transformé en principe d'efficacité, c'est-à-dire en un principe jacobin, donc retourné en son contraire.

Tous les textes nous disent qu'une autorité supérieure doit intervenir si elle se trouve plus compétente et plus capable. La subsidiarité réclame que l'autorité supérieure intervienne dans le seul cas où l'autorité inférieure est insuffisante. Dans un ensemble décentralisé, c'est-à-dire vraiment démocratique, l'autonomie de chaque groupe compte comme valeur immatérielle, même s'il est moins bien gouverné par lui-même que par un corps d'experts venus de plus haut.
L'Europe n'a pas compris cela. Elle tente d'établir de l'Atlantique à la Baltique une vaste république à la française, caractérisée par son centralisme et son opacité. A ce prix, je préfère que la France soit seule à conserver ce système irréel et inefficace (dont elle se débarrassera quand elle en aura épuisé les délices et les poisons), mais qu'elle n'aille pas l'imposer aux autres.

Je voudrais une Europe tolérante. Ah ! la belle banalité. Quel mot éculé, qui traîne après lui la poussière des siècles et ne dit plus rien que d'évident à nos oreilles lasses. Pas si évident, pourtant. Et même de moins en moins. Une Europe tolérante serait celle qui se mettrait elle-même en jeu et en cause, caractéristique de l'esprit libre. A l'inverse, elle s'impose avec la certitude d'un théorème mathématique.

La campagne électorale présente rappelle sur ce point l'atmosphère de celle de Maastricht : votez oui, sinon vous êtes des demeurés, des imbéciles sans cerveau. J'ai entendu, a dit récemment notre président de la république avec un étonnement douloureux, que certains voulaient voter non... eh oui, monsieur le Président, cela s'appelle le pluralisme et, d'un point de vue institutionnel, cela s'appelle la démocratie. Cela signifie que les réponses aux questions qui se posent n'appellent pas des vérités certaines, mais des opinions, qui sans doute ne se valent pas, mais on le sait rarement au moment même. Voilà pourquoi on tolère la diversité des points de vue. Votez oui, sinon ce sera l'apocalypse. Alors pourquoi organiser un vote ? Pour la parade ? Pour la bonne conscience ?

A dire vrai j'en ai assez de voir ceux qui ne pensent pas comme-il-faut-penser être jugés comme des crétins des Alpes, et jusqu'aux Carpates. L'habitude est très française de considérer le peuple comme une masse de débiles légers : voyez comment on nous apprend qu'un inspecteur des impôts a jeté par hasard à la poubelle les dossiers de plusieurs personnalités politiques parmi les plus prestigieuses. Mais je n'ai pas envie que cette coutume se répande chez les autres, qui ont encore des habitudes plus saines. Je ne veux pas d'une Europe où celui qui voit l'homosexualité comme un péché est immédiatement ostracisé après un passage à tabac verbal. Finalement, comme dans certains régimes pas recommandables, ici le non-conformisme est une maladie mentale. Je suis effarée de voir de quelle manière on nous balade à propos de la Turquie, promettant des référendums pour dans mille ans, quand on aura eu le temps de tout boucler pour devancer les réticences de peuples ignares et ploucs.

Il y en a qui font des pétitions au nom des intelligents (ce qui justement confirme mon propos). Je parle au nom des imbéciles, je suis l'un d'eux, et, en ayant assez de voir mon opinion traitée comme un symptôme psychiatrique dans un continent qui en même temps se prétend démocrate, je voterai non au référendum. Ce sera la première fois dans ma vie, car j'aime l'Europe d'un grand amour déçu, mais pas désespéré. Cela ferait reculer l'Europe que de voter non ? Et alors ?
Je ne souhaite pas avancer vers le despotisme éclairé, qui n'a jamais éclairé personne (Jacques Delors lui-même a déclaré, dans un discours à Strasbourg, que l'Europe s'avançait vers le despotisme éclairé, et je ne fais que citer son expression). Les imbéciles me paraissent un peu trop nombreux. C'est louche. Comme les Indiens, dont on croyait qu'ils n'avaient pas d'âme, eux aussi ont peut-être un esprit. En tout cas ils doivent bien avoir un honneur. Cela ne fait défaut à personne. Et c'est assez pour qu'ils puissent s'exprimer.

* Philosophe, professeur à l'université de Marne-la-Vallée. Dernier ouvrage paru, Matin rouge (Presses de la Renaissance).

Par Edmond (Edmond) le vendredi 13 mai 2005 - 18h40:

Montreal HaAtzmaout - Yom HaAtzmaut

Le 12 Mai 2005, Montréal a célébré l’anniversaire du jour de l’indépendance de l’état d’Israël Yom Ha’Atzmaout, y étiez-vous?


May 12, 2005, Montreal celebrated the birthday day of the independence of the State of Israel Yom Ha’Atzmaut, where you there?

Les photos – The pictures

http://ca.pg.photos.yahoo.com/ph/edmondsilber/album?.dir=/15b8&.src=ph&.tok=ph4a0.CB2N5UgYoH

http://ca.pg.photos.yahoo.com/ph/edmondsilber/my_photos

Par Mailroom (Mailroom) le vendredi 13 mai 2005 - 18h52:

COMBATTRE LA TERREUR AVEC LA BONTE


Potentiel de Bonté

La Bonté a été ma réponse personnelle à la terreur. Ma femme, Shoshana, a été assassinée par une bombe humaine. Elle fut l'une des 100 victimes qui ont été tuées ou blessées le 9 août 2001 au restaurant Sbarro à Jérusalem.

Après le violent assassinat de ma femme, j'ai initié un projet pour rendre les gens meilleurs. Le projet vient juste de démarrer. Pour le moment nous avons plus de 20 000 abonnés, sur 6 continents, aux e-mail anglophones de "Daily Dose of Kindness", "Doses journalières de Bonté". Tout celui qui s'abonne à cette liste d'envoi devient lui même automatiquement un conseiller. Comme je l'ai déjà dit, j'aime avoir de nombreux conseillers. Juste maintenant, j'ai plus de 20 000 "Conseillers en Bonté".

La semaine dernière, l'un de mes Conseillers en Bonté m'a envoyé un e-mail lié à un article dans le New York Times sur des recherches médicales démontrant que les actes de Bonté stimulent le cerveau de la même manière que le plaisir physique. Ainsi, maintenant, les recherches médicales ont montré que réaliser un acte de Bonté est source de joie. De là vous pouvez voir une des manières dont je lutte contre la tragédie - je reçois un énorme plaisir en encourageant la Bonté.

Shmuel Greenbaum
info@TraditionOfKindness.org


English:
http://www.TraditionOfKindness.org (Daily Jewish e-mail)
http://www.PartnersInKindness.org (Weekly Non-Sectarian e-mail)

Francais:
http://groups.yahoo.com/group/Potentiel_de_Bonte (Weekly e-mail)

Spanish:
http://espanol.groups.yahoo.com/group/LapracticadelaBondad/ (Weekly e-mail)

Par Emma (Emma) le vendredi 13 mai 2005 - 18h30:

La fraise suspendue, à la rescousse du fruit rouge

JERUSALEM (AFP) - Les fraises suspendues, une nouvelle catégorie de fruit développée ces dernières années par les Israéliens, pourraient sauver ce fruit rouge dont la culture en terre est menacée par des maladies diverses, selon le quotidien Haaretz.

Selon cette nouvelle méthode de culture, la fraise n'est plus cultivée à ras de terre en contact avec des insectes et champignons qui pullulent dans le sol sablonneux, mais suspendue au plafond d'une serre.

Ami Sela, cultivateur dans un kibboutz du Néguev, précise que le fruit ainsi cultivé "est beaucoup plus propre, sans risque de pourriture." "Cette nouvelle fraise, qu'il n'est pas nécessaire de laver, pourrait être labellisée bio-fraise", ajoute-t-il.

Cette méthode conçue et développée par le directeur du Département du développement de la consommation légumière au ministère de l'Agriculture, Menahem Diner, un agronome de formation, serait deux fois plus rentable que la culture traditionnelle de la fraise.

Elle a nécessité d'importants investissements, mais sa production à l'hectare est deux fois plus importante: 1.200 kg de fruits contre 600 à 700 kilos pour la culture traditionnelle. Par ailleurs, la récolte des fruits qui s'en trouve simplifiée est moins onéreuse.

Les agronomes israéliens ont développé ces dernières années une série de nouveaux produits tels que la mini-pastèque, plus légère, plus goûteuse et moins chargée en pépins que la grosse pastèque. Commercialisée depuis, elle tient dans la main d'un enfant.

Dans les colonies israéliennes du sud de la bande de Gaza, qui doivent être évacuées à la mi-août, des habitants juifs ont mis au point plusieurs cultures de légumes "casher", c'est à dire conformes aux lois religieuses juives en garantissant aux consommateurs que les légumes et les salades n'ont pas été en contact avec des animaux quels qu'ils soient.

Par Maurice (Maurice) le vendredi 13 mai 2005 - 15h46:

Sarel je te donne mon avis sur deux problemes que tu as avancé:
1) Le Train nous transporte / depuis le depart de ta vie tout est hazard depuis ta naissance au choix de tes parents de l'endroit ou tu grandis de la philosophie ou culture que tu transportes la santé que tu vas avoir et les experiences que tu vas acumulés Ce qui est pour nous est une chance , dans ce train je suis porteur d'une ethique qui est ta colonne vertebrale que tu essaie de realiser ce qui te permet de choisir la Gare ou tu veux descendre et essayer de construire ce qui est dans ton imaginaire
2) Nous Juifs d'Orient ou Mediterraneens nous n'avons jamais quitté cet espace Orientale et nos Freres Musulmans qui veulent nous absorber ou nous mettre en Dimmitude ou nous detruire ont toujours été nos voisins ceux arabes du Macresh et ceux de Petra qui ont occupé L'IDUMEE se sont convertis au Judaisme ce qui a permis a un de leur roitelet HERODE de se marier avec Salomé de la Dynastie Juive des Hashmonim asmoneens donc Israel a toujours été dans notre tete bien que la mondialisation disperse l'ideologie de l'HISTOIRE AFFECTIVE DES PEUPLES QUI DEVIENNENT DES INDIVIDUALITEs ACROCHEEs au consummerisme de ces valeurs de desir de plaisir et de Gadget consommables En ce qui concerne ceux qui sont pret à donner sans attachement à la TERRE d'Israel il y a des sages qui veulent la paix dans un compromis et ceux qui veulent vivre le present dans le Maktoub

amities

Par Sarel (Sarel) le vendredi 13 mai 2005 - 11h26:

Bonjour a tous ceux qui lisent ou ecrivent dans ce site.
Je me presente je m'appelle sarfati elie je signe sar-el Je dessine et vous pouvez voir mes tableaux dans les pages d'Harissa J'ecris aussi mais en Hebreu.
Pour vous je fais l'effort de m'exprimer en Francais et sens la necessite de dire certaines choses .Je suis de Tunis et aujourd'hui c'est mon anniversaire.
Durant des siecles le juif revait de retourner en Israel ,Et chaque annee on souhaitait que l'annee prochaine on soit a Jerusalem .
Cet esprit du retour est inne et maintient le juif envers toutes dufficultes.
Chez tous le ressort etait tendu et pret a tout appel .Il n'y avait pas de doute sur les raisons qui nous poussaient a y croire.
Et a la declaration de l'etat je me suis engage pour la guerre d'independance
Au fond de moi meme je retournai chez moi.
Mes convictions sont claires et je n'ai pas de cas de conscience.
Et mon esprit et energie etaient la ' pour surmonter les guerres et tout genre d obstacles dresses par tous ceux qui n'acceptaient pas notre arrivee .
Ceux qui n'ont pas le minimum de foi n'ont pas le sentiment du retour et ceux la sont vraiment des colonialistes.
Ils se basent sur les declarations de l'ONU et sont prets a negocier parce que ils se sentent au fond d'eux meme etrangers.
Je ne pense pas que mon devoir est de resoudre le probleme palestinien ou regionnal
Je suis la pour le probleme JUIF et en reponse a ceux qui voulaient en finir.
On doit tout faire pour inculquer a nos enfants qu'on est chez nous en vertu de notre loi.
Celui qui y croit le plus survivra.
Ceux qui ont voulu copier ou s'arranger avec les peuples durant l'histoire ne sont plus la.
Je m'arrete la .
Comme vous le voyez j'ecris d'une facon concentree .
Il faudrait peut etre me relire.
Shalom
mail{sarfati-sarel@bezeqint.net,sarfati-sarel@bezeqint.net}

Par Meyer (Meyer) le vendredi 13 mai 2005 - 10h57:

Quatre conférences sur "Juifs et Arabes en terre d’Islam" par M. Michel ABITBOL, Professeur à l’Université Hébraïque de Jérusalem.

Pour y assister, enregistrez l'annonce ci-dessous dans votre disque dur et imprimez-la pour pouvoir entrer dans l'enceinte de la Sorbonne par la porte du 17, rue de la Sorbonne.