Par Toufiq (Toufiq) le vendredi 06 avril 2007 - 00h04: |
selon un analyse fiable de la CIA , dans 40 ans les poules auront des dents , les eskimos mangeront du couscous et les chiites danseront le cha cha cha en maillot de bain .
Par Breitou (Breitou) le jeudi 05 avril 2007 - 21h54: |
PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...PUB...
Par Albert (Albert) le jeudi 05 avril 2007 - 21h36: |
La CIA a même prévu le 11 Septembre...A moins qu' elle le savait déjà mais n'a pas eu le temps de réagir...! La CIA...? Compagnie Intelligente des Angoisses.
Une foutteuse de merde qui n'est capable de rien prévoir.
Comment se sont faits les ETATS-UNIS??
Si ce n'est par les immigrès venus du monde entier. Un amalgame de milles ethnies.
Quelle culture ont t'ils...?
Quelle véritable identitè???
Des indiens enclavès qui s'éteignent à petit feu en fumant le calumet de la paix...?
Des méxicains, des noirs, des jaunes et j'en passe pour les couleurs.
Alors que nous, nous avons des racines qui viennent du fond des âges.
Notre histoire est la meilleure de toutes les histoires des peuples qu'en déplaise aux jeteurs de sort.
Israël est le plus beau fleuron de ces soixante dérnières annèes au monde malgrès les jalousies et les rancoeurs qu'ont lui porte depuis des siécles.
Si la CIA est si forte qu'elle nous dise ce que sera l'Iraq dans deux ans...? Comme le dit celui d'en bas Cacouboulou...!!!
On la croyait gardienne des libértès du monde la CIA mais la voilà devenue sorcière et manipulatrice prédiseuses de mauvais calculs.
Elle se prend pour Nostradamus.
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le jeudi 05 avril 2007 - 20h31: |
" Selon le journal electronique americain, Counterpunch, tres critique de la politique americaine et israelienne, la CIA a remis en fevrier dernier un rapport a la commission des renseignements du Congres contenant des informations tres pessimistes sur l'avenir d'Israel. La CIA croit que d'ici le centieme anniversaire de la creation de l'Etat juif, c'est-a-dire dans quarante ans, Israel «cessera d'exister dans sa forme actuelle». La centrale americaine de renseignements prevoit d'ici la une emigration massive d'Israel vers l'Amerique, l'Europe et la Russie qui se fera parallelement a «un declin continu » de l'emigration vers « la terre promise».
Pour predire l'avenir, la CIA n'emploie pas les devins et les diseurs de bonne aventure, mais des analystes et des strateges. "
Oualou, on a vu comment, les grandes Dèguèza de la CIA, ils ont prédit comment la démocratie, allait s'installer en Iraq, et comment la paix allait arriver FISSA !
Avec le flouse du contribuable US, paix à son porte-feuille! les prévisions à 40 ans c'est trop facile !
Vive la Grande Dègaza ! Mékan Bou Mékan Blech !
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le jeudi 05 avril 2007 - 10h17: |
Je ne sais pas si cet article de ""la presse Tunisienne "" est deja passe sur Adra ... mais il est tellement ahurissant ...
Le pont ou le precipice
Par Hmida Ben Romdhan
Les bonnes nouvelles sont rares de nos jours . Les informations sont devenues horriblement routinieres, colportant les chiffres macabres et les details sordides des attentats-suicide, des voitures piegees ou encore des escadrons de la mort qui terrorisent les populations civiles, pour ne parler que de celles en provenance de l'Irak. Mais il arrive, si l'on a la patience de feuilleter, fouiner, surfer, que l'on tombe sur une information rafraichissante, du moins du point de vue d'un lecteur arabe.
Selon le journal electronique americain, Counterpunch, tres critique de la politique americaine et israelienne, la CIA a remis en fevrier dernier un rapport a la commission des renseignements du Congres contenant des informations tres pessimistes sur l'avenir d'Israel. La CIA croit que d'ici le centieme anniversaire de la creation de l'Etat juif, c'est-a-dire dans quarante ans, Israel «cessera d'exister dans sa forme actuelle». La centrale americaine de renseignements prevoit d'ici la une emigration massive d'Israel vers l'Amerique, l'Europe et la Russie qui se fera parallelement a «un declin continu » de l'emigration vers « la terre promise».
Pour predire l'avenir, la CIA n'emploie pas les devins et les diseurs de bonne aventure, mais des analystes et des strateges. Ceux-ci, a la lumiere de la realite historique et de l'evolution politico-strategique, font des projections dans l'avenir et tentent de le prevoir. Les resultats de ces projections sont rediges sous forme de rapport a l'attention des autorites politiques qui l'integrent ou non dans les donnees qui servent de base a la prise de decision.
Il est vrai que la CIA n'a pas toujours eu a sa disposition les analystes les plus chevronnes et les strateges les plus talentueux. Beaucoup de ses previsions s'etaient averees fausses, notamment celles relatives a l'evolution de l'Union Sovietique, a l'aventure de la baie des Cochons contre Cuba, a la guerre du Vietnam ou, plus recemment, a l'Afghanistan
et l'Irak. Pourquoi les previsions sur l'avenir d'Israel ne seront-elles pas fausses elles aussi ?
Le cas israelien est different .Israel n'est rien sans les soutiens financier et militaire des Etats-Unis C'est un Etat artificiel qui, contrairement a tous les autres Etats de la region, n'a ni histoire, ni civilisation, ni culture propres sur lesquelles repose la collectivite israelienne. C'est une greffe qui continue a refuser le corps sur lequel elle fut greffee. Sans doute au depart, c'est le corps qui avait refuse la greffe, mais avec le temps, les choses ont change et, etrangement, c'est celle-ci qui exige maintenant que celui-la vive a ses conditions. C'est une exigence contre-nature parce que le corps ne peut pas changer de metabolisme et de specificite pour les adapter a ceux de la greffe.
Le cas israelien est different. Depuis sa creation, Israel n'a rien fait d'autre qu'elaborer les politiques agressives contre ses voisins arabes et en particulier contre les Libanais et les Palestiniens. Le soutien inconditionnel des Etats-Unis, le silence de l'Europe et l'incapacite de l'ONU a appliquer ses resolutions ont fait qu'Israel se singularise dans le monde en s'octroyant un statut special
de pays en marge de la legalite et refusant impunement la soumission a la loi internationale.
Le cas israelien est different. Un Etat artificiel, mais aussi une mosaique artificielle de gens venant des quatre coins du monde et n'ayant en commun ni langue, ni culture ni passe. Ceux qui arrivent en Israel venant de Saint Petersbourg, de Brooklyn ou d'Addis Abeba parlent le russe, l'anglais ou l'ethiopien. Ceux qui se mettent a l'hebreu ne pourront le parler qu'apres des annees et beaucoup se decouragent en cours de route. Le seul denominateur commun donc a cette mosaique est la confession juive qui est insuffisante pour cimenter l'unite d'un peuple qui se compose d'Europeens (Ashkenazes), d'Orientaux (Sefarades) et de Noirs d'Ethiopie (Falashas). Les citoyens arabes qui composent le cinquieme de la population d'Israel constituent un groupe a part, relegues par la politique discriminatoire israelienne au rang de citoyens de seconde zone en tant que musulmans vivant dans un «Etat hebreu».
La prevision de la CIA dans le cas d'Israel est pertinente parce qu'il est evident qu'aucun Etat au monde ne peut baser eternellement son existence sur la violence, l'appropriation par la force des territoires d'autrui et l'insoumission aux regles de droit international. Aucun Etat au monde, a fortiori quand il ne comprend que cinq millions d'ames, et meme s'il possede deux cents ou trois cents tetes nucleaires, ne peut assurer sa securite et celle de ses citoyens en defiant continuellement des centaines de millions de citoyens arabes et musulmans, et en se souciant
comme d'une guigne de l'opinion publique internationale.
Lors du dernier sommet arabe qui s'est acheve jeudi dernier a Ryadh, le President Mahmoud Abbas a eu cette phrase remarquable : «L'offre de paix arabe constitue la derniere chance pour qu'Israel vive dans une mer de paix de Nouakchott a Djakarta». Les Israeliens seront bien
imprudents s'ils rejettent, comme ils ont l'habitude de le faire, l'offre du sommet de Ryadh. Cette offre leur laisse le choix entre le pont vers la paix que s'efforcent de leur dresser les Arabes et le prrcipice dans lequel risque de les precipiter la politique insensee de leurs politiciens fanatiques.
Ils sont accules a choisir entre le pont de leur integration ou le precipice de leur desintegration, entre la regularisation de leur situation avec leur environnement geographique et les sombres previsions de la CIA.
Par Mena (Mena) le jeudi 05 avril 2007 - 07h39: |
Trop d’autorités = pas d’autorité (info # 010404/7) [Analyse]
Par Sami El-Soudi © Metula News Agency
Nous vivons, en principe, sous le contrôle d’un gouvernement dit d’unité nationale. Cela emplit de joie un certain nombre d’authentiques amis de la Palestine hors de nos frontières, qui voient dans cette "réconciliation nationale" la pose de la première pierre de notre Etat.
Les naïfs !
Commençons par la seconde proposition : le Hamas, pilier du nouveau gouvernement, rejette absolument – plus catégoriquement que jamais est le terme approprié – la solution des "deux Etats pour deux peuples", la seule qui permettrait l’établissement de l’Etat de Palestine. Mahmoud Al-Zahar, le ministre des Affaires Etrangères du précédent cabinet all Hamas l’a répété il y a trois jours. "Nous ne reconnaîtront jamais le droit d’Israël d’exister sur un seul pouce de la terre de Palestine", a ainsi déclaré le no. 2 du Mouvement de la résistance islamique intra-muros.
Il s’agit plus que d’une divergence de points de vue avec la ligne Abbas et avec la finalité exprimée dans la Proposition saoudienne, il s’agit carrément d’une antithèse. L’objectif du Hamas consiste en un Etat arabe à la place d’Israël ; ceci implique une djihad à outrance et, accessoirement, l’écartement des courants palestiniens pragmatiques. Un écartement qui se fera par la politique, lorsque ce sera possible, et par la force, lorsqu’il n’existera pas d’autre moyen.
Or, pour les courants pragmatiques, le Fatah en tête, la situation de notre peuple exige non seulement qu’un Etat palestinien soit créé, mais encore que cela se fasse tout de suite, par le biais de négociations avec l’Etat hébreu, dans un délai raisonnable de deux à quatre ans. Quant au projet du Hamas – c’est en cela qu’il est antithétique de celui des pragmatiques – chacun comprend qu’il est aujourd’hui irréalisable et, qu’au plus court, cela prendrait quelques décennies jusqu’à ce que l’entité palestinienne et ses alliés obtiennent un inversement des rapports de forces leur permettant de détruire nos voisins.
Plus précisément encore, rien ne garantit qu’une telle inversion se produira effectivement. Il se pourrait dès lors que, par conviction religieuse, les fondamentalistes soient en voie de nous plonger volontairement dans un processus d’automutilation sans fin et sans débouchés viables.
Cette perspective est évidemment inacceptable pour le courant pragmatique et surtout, pour la population, dont les conditions d’existence se détériorent encore au fur et à mesure de l’expansion des mouvements islamiques. La misère de cette population se traduit dans la pratique par un exode sans précédent depuis les accords d’Oslo : des milliers de mes concitoyens assaillent ainsi quotidiennement le poste frontière de Rafah pour quitter l’enfer palestinien des fondamentalistes musulmans.
Donc pas d’Etat palestinien à l’horizon visible, et j’espère que tous ceux qui me lisent, qu’ils partagent ou non ma sensibilité, seront assez lucides pour reconnaître cet état de fait sans tricher et sans se mentir à eux-mêmes.
Reste la première proposition, celle de la réconciliation nationale. C’est un leurre, un mammifère terrestre privé de pattes. Pour que ce cabinet de coalition puisse prendre, il fallait qu’il réunisse deux conditions : une plateforme commune, du moins sur les points principaux, et un transfert des moyens sécuritaires et financiers, des factions aux ministères.
Or rien de cela ne se produit. La plateforme commune n’existe que lorsqu’on l’imagine en acceptant un écartèlement philologique qui la vide immédiatement de son sens. En fait, c’est de la cosmétique pure, comme ma très partielle démonstration qui précède l’a je pense expliqué. Et, dès lors qu’on sait ne pas pouvoir s’entendre, non seulement ne fait-on pas confiance à l’autre, mais encore, se prépare-t-on à l’affronter.
Le même Al-Zahar a ainsi exprimé, le week-end dernier, que le Fatah préparait une offensive militaire tous azimuts contre son mouvement. Que pour ce faire, les Américains formaient 4 000 soldats du Fatah (Zahar a employé le mot "soldats") dans des camps d’entraînement en Cisjordanie.
A la Ména, on n’est pas capable d’affirmer l’information sur l’offensive en préparation, par contre, cela fait des mois que nous vous avons affirmé l’existence de ces camps et la présence des formateurs Américains. Sur le terrain, certains signes récents montrent que, loin d’unir leurs forces sous la coupe du nouveau gouvernement, les deux principales composantes de l’Autorité Palestinienne ne pensent qu’à s’armer.
Le Hamas, en faisant traverser la frontière égyptienne, par les fameux tunnels, à des dizaines de tonnes d’équipement militaire destiné à armer sa "Force exécutive". Ces arrivages ont certes le pouvoir d’inquiéter les Israéliens, qui préparent ouvertement une offensive généralisée contre la résistance islamique à Gaza. Mais lorsqu’on prend en compte que le poids d’un seul char israélien qui est de 60 tonnes et plus, on réalise que tout l’armement amené à Gaza en contrebande ne pèse d’aucun poids contre l’armada israélienne. Force est alors de déduire que Tsahal n’est que le second objectif des partisans d’Hanya, d’Al-Zahar et compagnie. Que le premier est le Fatah d’Abou Mazen, qui lui non plus ne s’y trompe pas, puisqu’il a importé, durant le mois écoulé, 3 000 fusils-mitrailleurs M-16, cadeau du roi de Jordanie et le même nombre de Kalachnikovs AK-47, présent de Hosni Moubarak.
Fait nouveau, la Garde présidentielle de Mahmoud Abbas, la Force 17, a perçu des mitrailleuses lourdes, et elle est, depuis, le seul intervenant armé parmi les Palestiniens à disposer de telles armes. Des armes qui, si elles devaient participer au combat fratricide, rompraient l’équilibre des moyens actuellement engagés. Pour sûr, ces livraisons ont reçu l’aval de Jérusalem lors des dernières discussions Olmert-Abou Mazen. Les deux hommes s’entendant également pour que ces fournitures proviennent de pays arabes, pour ne pas donner l’impression que le Fatah fait cause commune avec Israël.
Sur le terrain, seuls les naïfs dont j’ai parlé précédemment, peuvent distinguer un nivellement des tensions. En fait, même si ceux qui veulent donner la fausse impression que le gouvernement d’union fonctionne préfèrent ne pas parler des heurts, des assassinats et des prises d’otages quotidiens, ce n’est pas pour autant qu’ils n’ont pas lieu ou que leur nombre diminue. Il est vrai que, depuis le kidnapping de notre confrère de la BBC, il n’y a plus guère de collègues étrangers à être assez sots pour se risquer dans la bande de Gaza. Quant aux journalistes israéliens, ils ont reçu l’interdiction formelle de leur organe de tutelle de traverser la frontière. Voilà de quoi limiter le flux et la fiabilité des informations.
Abbas attaquera-t-il frontalement une fois qu’il sera prêt ? La dynamique actuelle est une dynamique de confrontation. Mais il ne s’agit toujours pas d’un affrontement ordonné, ce qui est un drame en soi. On trouve, en effet, sur le terrain, des dizaines de clans armés, tous plus ou moins autonomes, qui prennent les décisions exécutives à leur niveau.
Cela fait que le pouvoir du président Abbas est pratiquement inexistant et que ses ordres ne sont pas exécutés. Il suffit, pour le comprendre, de constater qu’Abou Mazen est incapable, ne serait-ce que de freiner la contrebande d’armes et le creusement des tunnels entre l’Egypte et Gaza. Pourtant, en principe et selon les accords, c’est l’AP qui est sensée contrôler cette frontière, or, dans les faits, elle laisse le Hamas importer les armes vouées à sa destruction.
Cette impotence définit aussi la distance qui nous sépare d’un Etat. Dans les conditions qui prévalent, même si Israël surprenait tout le monde et acceptait la proposition saoudienne telle quelle, sur le terrain, rien ne changerait. Le Hamas continuerait à s’armer pour mener à bien sa mission céleste, le Jihad islamique à tirer des Qassam sur Sdérot et sur Ashkelon, Abbas de dire qu’il aimerait bien mais qu’il ne peut pas, et le mur israélien anti-kamikazes, de s’imposer comme le seul moyen capable de réduire à presque zéro les méfaits de notre terrorisme chez nos voisins-adversaires-partenaires.
Un mur aux significations diverses : spoliation de certaines de nos terres limitrophes, certes, gêne et dommage pour certains de nos agriculteurs, assurément. Mais ce mur matérialise également, pourquoi se taire, la vraie frontière entre la civilisation et le chaos, entre ceux qui progressent et ceux qui détruisent et se détruisent, entre l’ordre démocratique et celui des bandes armées, entre la richesse et la misère, entre l’espoir et la misère, entre l’abondance de nourriture et la misère.
Ma famille, mon peuple et moi nous situons du mauvais côté de cette frontière non-naturelle, à vivre dans un environnement en tous points dramatique. En cherchant des coupables, je me dis parfois que le tissu social et culturel qui nous compose a quelque chose d’immiscible. Quelque chose qui pousse les hommes à brandir les armes sans savoir s’en servir, et à préférer la violence stérile à la paix, au travail et au progrès. Un mélange ingrat qui nous rendrait obtus.
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mercredi 04 avril 2007 - 23h49: |
Toreïba couramment associé aux mots Aataï ou Miboule, veut désigne celui qui commet un crime contre la Tora.
Par Braham (Braham) le mercredi 04 avril 2007 - 23h44: |
Albert,
Non ! Cette fois ci c'est moi qui ai raison !
Le mot Toue'yba vient de le Thora (en Hebreu moderne on dit Toe'yva et qui veut dire ABOMINATION). Il est ecrit dans la Thora, plus exactment dans le Levitique Ch. 18, verset 22 :
"Ne cohabite point avec un male, d'une cohabitation sexuelle, c'est une Abomination (Toe'yva)"
Par Bekhor (Bekhor) le mercredi 04 avril 2007 - 23h37: |
Le mot "TOUÏBA" est un mot entièrement Judeo-Tunisien.
c'est en fait un mot hébreu qui se prononce en hebreu ancien"TOËVA".
La paracha du yom kippour qu'on lit a la synagogue chaque année, nous enseigne ce qui est défendu par la loi mosaïque sur la sexualité.
Et c'est la, l'enseignement qui nous dit: celui qui couchera avec un homme, cette action est "TOËVA".
L'action de coucher avec les animaux, elle aussi est appelée "TOËVA", et certainement d'autre actions aussi ont cette appellation.
A ma connaissance le mot hébreu TOËVA veut dire abomination ou quelque chose dans ce genre.
Mais dans notre Tunisie natale, le mot "TOUÏBA" désignait essentiellement un homo.
Par Albert (Albert) le mercredi 04 avril 2007 - 21h31: |
Tu es dans l'erreur mon cher Braham.
Touy'ba ne veut pas dire homo...! Mais malediction d'après la torah, un homo se dit
khant'tét'qar...!'
Bon, Viviane veut un chapelet de noms d'oiseaux...?
Ok pas de problème, je vais lui envoyer au PTB, un florilège bien choisis de ce que je consommais à la Goulette...!'
Albert.
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mercredi 04 avril 2007 - 20h39: |
Braham,
Tu as oublié : Brel, Caïgou, Khkik, Ballout, Blid, Noyeau M'ta Zarour, Ftata, Guerd,,, et autres,
Par Pauline (Pauline) le mercredi 04 avril 2007 - 19h15: |
Les 12 candidats confessés par le magazine La Vie
François Bayrou et José Bové ont un point commun : dans la Bible, ils aiment particulièrement les Béatitudes, tandis que Dominique Voynet préfère le Cantique des Cantiques, rapporte l'hebdomadaire la Vie qui a posé aux douze candidats douze questions sur la religion.
La Vie publie les réponses dans son numéro à paraître jeudi. Certains ont répondu à toutes les questions (Bayrou, Villiers), Arlette Laguiller à aucune, et la plupart des candidats ont fait quelques impasses.
Première information, tous les candidats sont catholiques ou athées. Pas le moindre musulman, juif ou protestant dans le paysage.
François Bayrou se définit comme un catholique pratiquant "et en même temps laïque". Jean-Marie Le Pen "comme la majorité des Français" est catholique, croyant, mais ne va pas à la messe tous les dimanches.
"Y a-t-il un lieu sacré que vous admirez ?", a demandé La Vie. François Bayrou a choisi Jérusalem, José Bové "aime bien les petites chapelles du Comminges et les petits ermitages en bordure des Causses"; pour Jean-Marie le Pen, c'est le Mont Saint-Michel, pour Frédéric Nihous la cathédrale de Strasbourg et pour Philippe de Villiers celle de Chartres. Dominique Voynet dit avoir été particulièrement émue par un marae (édifice sacré) en Polynésie. Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy n'ont pas répondu à cette question.
"Si Dieu existe, qu'aimeriez-vous lui dire ?" était la dernière des 12 questions. François Bayrou répond "merci"; Marie-George Buffet qu'elle aurait "aimé un peu plus le rencontrer"; Jean-Marie Le Pen le remercierait d'avoir permis à sa mère de lui donner la vie; Gérard Schivardi demanderait à Dieu de ne "pas se mêler des affaires des hommes" et de "demander à ses ouailles de respecter la liberté de conscience de chacun", mais il ajoute: "comme il n'existe pas, cela restera un voeu pieux".
Philippe de Villiers demanderait à Dieu "de dévoiler son mystère pour mieux comprendre la souffrance. Et de faire comprendre à nos compatriotes la grandeur du politique, au sens de Saint Augustin: +la politique est la plus haute forme de la charité+". Dominique Voynet est plus laconique, elle demanderait à Dieu "qu'est ce que tu fous?" Les autres candidats n'ont pas répondu à cette question.