Par Richard_S (Richard_S) le mardi 24 mai 2005 - 21h52: |
Monsieur Sarel
Insinuez vous, comme je n'ose le croire que l'univers a ete cree il y a 5732 ans seulement ?
Si oui, comment expliquez vous les squelettes de dinosaures qui sont dans tous les musees du monde ? Ou alors vous pensez aussi que ces dinosaures aient vecu dans ces 5732 ans ?
Merci de nous eclairer.
Par Claudia (Claudia) le mardi 24 mai 2005 - 18h57: |
Démolir ou pas les maisons des colons de Gaza?
JERUSALEM (AFP) - Voir des drapeaux palestiniens flotter sur les maisons des colons de la bande de Gaza ou assister au dynamitage du fruit de 38 ans de leur présence: tel est le dilemme que les dirigeants israéliens vont devoir trancher lors du retrait de cette région prévue à la mi-août.
"D'un côté, voir des maisons dynamitées n'est pas bon pour l'image d'Israël. Mais d'un autre côté, je ne veux pas voir les drapeaux des terroristes flotter sur les toits de ces maisons", a récemment résumé le Premier ministre israélien Ariel Sharon.
A moins de trois mois du retrait de ce territoire palestinien, Israël n'a toujours pas tranché ce qu'allait devenir les biens des 8.000 colons de la bande de Gaza et des quatre petites implantations installées dans le nord de la Cisjordanie. L'Autorité palestinienne s'est pour sa part abstenue, elle aussi, de prendre pour le moment une position tranchée sur ce dossier.
Le dirigeant palestinien Mahmoud Abbas a affirmé qu'il souhaitait récupérer intacts les bâtiments des colons car "ils constituent une propriété palestinienne". Mais, à l'approche du retrait, les responsables des deux côtés font preuve de prudence. "Tout cela doit être traité selon le droit international", affirme le négociateur palestinien Saëb Erakat.
De son côté, le général Jamal al-Qayed, le responsable palestinien de la sécurité nationale pour la bande de Gaza, s'est prononcé pour la destruction des maisons. "J'espère que les Israéliens les détruiront. Les Palestiniens n'en tireront aucun bénéfice. Au contraire même. Les pillages que cela risque d'entraîner sont pour nous une source de problèmes", a affirmé le général.
Lors d'une réunion du cabinet israélien le 3 mai, la plupart des ministres, dont celui de la Défense Shaoul Mofaz et le vice-Premier ministre Shimon Peres, se sont prononcés contre la destruction des maisons des colons. Une semaine plus tard, M. Peres a affirmé que la démolition de tous les bâtiments pourrait provoquer un retard de plusieurs mois car selon le droit international, Israël devrait dans ce cas évacuer les gravats. "Ce seul fait peut remettre en cause (le retrait)", avait-il déclaré.
Mais, plusieurs politiciens de la droite israélienne multiplient les appels au dynamitage, arguant que les maisons spacieuses ne sont pas adaptées pour répondre les problèmes aigus de logement des Palestiniens de la bande de Gaza et que ces maisons risquent d'être la cible de pillages. "Laisser ces maisons en l'état ne réglerait en rien la pénurie de logements dans les camps de réfugiés palestiniens, qui nécessite la construction de dizaines de milliers de logements", affirme ainsi l'ancien ambassadeur d'Israël aux Etats-Unis Zalman Shoval.
Le commentateur israélien Danny Rubinstein estime également que les Palestiniens "vont prendre d'assaut les maisons des colons et les réduire en poussière". "Les membres de l'Autorité palestinienne ont peur qu'il soit impossible d'empêcher ces attaques en masse. Le monde entier va voir les images de pillage et qualifiera les Palestiniens de vandales", affirme M. Rubinstein dans le quotidien de gauche Haaretz.
De plus, les colons israéliens ne peuvent accepter l'idée que des Palestiniens vont jouir de leur maison alors qu'eux-mêmes vont être provisoirement logés dans des baraques de chantiers. "Nous ne devons rien faire qui puisse exacerber le réel traumatisme qui existe en Israël à propos du retrait", poursuit M. Shoval. "La destruction des maisons peut se faire en quelques heures. Il suffit de les dynamiter, comme on le fait avec des gratte-ciel", ajoute M. Shoval.
Mais les responsables militaires ont souligné que la démolition prendrait beaucoup de temps et mettrait en danger la vie des soldats. La gauche israélienne, quant à elle, s'alarme de l'impact désastreux de cette politique de "terre brûlée" sur l'image d'Israël dans le monde.
Par Maurice (Maurice) le mardi 24 mai 2005 - 09h48: |
Nous, professeurs d'universités et membres d'instituts de recherche et d'études d'Europe (1), rejetons l'ébauche du projet de Constitution européenne décidée par la conférence intergouvernementale. Nous appelons les Parlements et citoyens des États membres à ne pas ratifier ce projet.
1) La nouvelle Constitution ferait en sorte que les décisions politiques soient prises sans concertation avec les citoyens. Au lieu de concentrer l'action de l'Union européenne sur ses véritables objectifs, définis pour elle et elle seule, cette nouvelle Constitution enlèverait à ses États membres et à leurs régions de plus en plus de responsabilité.
2) Cette Constitution permettrait alors aux institutions européennes de densifier davantage encore la réglementation entre les États membres ; la compé titivité de l'Europe à l'échelle mondiale ne s'en verrait que désavantagée. L'économie européenne a besoin de dérégulations, et non de réglementations supplémentaires.
3) En centralisant les décisions politiques, cette Constitution donne davantage de poids à l'Etat aux dépens des citoyens et ne respecte pas les différences internationales en matière d'attentes et de besoins des citoyens. Afin de mieux contrôler cette dynamique de centralisation européenne, nous avons besoin d'institutions qui ne s'intéressent pas, dans leur propre intérêt, à la centralisation de l'Europe.
4) La tâche première d'une Constitution est de définir les règles principales de l'ordre public dans le souci du bien-être de ses citoyens et de protéger ces derniers contre tout libre arbitre. Dès lors, ce projet de Constitution européenne apparaît trop complexe et confus pour répondre à cet objectif. Il en va notamment des questions élémentaires concernant tant la perception – ou non – d'impôts par l'Union que la charte des droits fondamentaux.
Nous ne nions certes pas le fait que ce projet comprenne, malgré tout, quelques éléments positifs. Ils restent cependant trop minoritaires. Nous regrettons que ce projet amplifie la distance entre les citoyens et les personnes, qui, en leur nom, agissent et détiennent le pouvoir. C'est pour toutes ces raisons que nous jugeons inopportun de le ratifier.
* (1) Cette déclaration a été signée suite à l'appel du Groupe constitutionnel européen par plus de 100 professeurs d'universités et des membres d'instituts de tous les pays d'Europe. Vous retrouverez la liste de tous les signataires sur le site Internet du European Constitutional Group : http ://admin.fnst.org
Par Mailroom (Mailroom) le mardi 24 mai 2005 - 08h28: |
CLAUDE GOASGUEN
Député de Paris, Ancien Ministre
et
MICHEL GURFINKIEL
Président de
L’INSTITUT JEAN-JACQUES ROUSSEAU
vous prient d'assister à une conférence du
Pr A L A N D E R S H O W I T Z
Professeur de Droit à Harvard
Auteur de "Le Droit d'Israël" (The Case for Israel)
(Editions ESKA)
Israël, le droit et la paix
Le mercredi 1er juin 2005
à 20 heures précises
À l’Assemblée Nationale
126 rue de l'Université, 75007 Paris
La conférence sera suivie d'un cocktail
ENTREE SUR INVITATION SEULEMENT
(la présentation d'une pièce d'identité est obligatoire)
RSVP obligatoire: contact@jjri.org
ou par téléphone ou fax au 01 53 01 07 47
~ ° ~
Titulaire de la Chaire Felix Frankfurter à la Faculté de droit de l'Université de Harvard, Alan Dershowitz est l'un des juristes d'appel les plus éminents des Etats-Unis et s'est distingué dans la défense des libertés individuelles. Personnalité habituée des plateaux télévision, il a publié de nombreux articles dans le New York Times et dans d'autres journaux et magazines. Il a aussi publié de nombreux ouvrages.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 24 mai 2005 - 04h22: |
apparu dans Yediot
Your article Silvan’s post-pullout plan By Attila Somfalvi
Hamas is always threatening to continue terrorist actions against Israel. Is the dialog one-sided? Don't they know that Israel can react stronger than they think? I believe that if they copntinue like that they are jeopardizing the creation of any Palestinian State.
Israel is preparing for peace and Hamas is preparing for the war.
Emile Tubiana
Par Edmond (Edmond) le lundi 23 mai 2005 - 20h14: |
Les affaires continuent dans l'Autorité palestinienne, D. Pipes
New York Sun
Version originale anglaise: Business as Usual in the Palestinian Authority
Adaptation française : Alain Jean-Mairet.
La disparition de Yasser Arafat, en novembre dernier, suscita de grands espoirs chez ceux qui voyaient dans sa personnalité malfaisante la principale cause de l'intransigeance palestinienne.
Mais ceux d'entre nous pour qui le problème dépassait la personne d'Arafat et résultait plutôt de la profonde radicalisation du corps politique palestinien, n'espéraient pas de grands changements. Ainsi, j'écrivais, à l'époque de l'élection de Mahmoud Abbas à la tête de l'Autorité palestinienne (AP), qu'il pouvait, en fait, «constituer un ennemi beaucoup plus redoutable pour Israël que ne l'a été Arafat».
Comment se présente la situation six mois après la mort d'Arafat ? Elle est à peu près aussi mauvaise qu'on pouvait s'y attendre. M. Abbas, sans ambiguïté, conduit les Palestiniens à la guerre contre Israël dès après le retrait de Gaza, en août 2005.
Emploi de terroristes comme soldats. Au lieu d'arrêter les terroristes, comme cela est prévu par le cessez-le-feu informel de février 2005 entre Israël et les Palestiniens, M. Abbas a institué pour eux un programme de placement spécial prévoyant leur incorporation dans ses forces de sécurité. Associated Press explique le charmant système de points qui préside à l'attribution de grades hiérarchiques : «Un diplôme d'études secondaires […] vaut huit points, alors que chaque année passée dans une prison israélienne, ou en fuite, compte pour deux points. Les combattants ne bénéficient d'aucun avancement pour leur détention dans les prisons palestiniennes, mais ils sont crédités de points supplémentaires s'ils ont été blessés par l'armée israélienne, ou que leur logement a été démoli.» Les autorités israéliennes ont accepté que même des tueurs palestiniens condamnés à ce titre puissent porter des armes.
Armement de terroristes. Les services de renseignements militaires palestiniens facilitent le transport clandestin de missiles portables SA-7 Strela dans Gaza pour tenter d'abattre les avions israéliens.
Agitation de la population. Comme l'ont relaté, de manière détaillée, Palestinian Media Watch, le Center for Special Studies et Michael Widlanski, les discours politiques, les articles de presse, les sermons dans les mosquées, les manuels scolaires et les affiches restent aussi férocement anti-Israéliens et antisémites que durant les pires heures de l'ère Arafat. Par exemple, le premier ministre de l'AP, Ahmed Qorei, a brandi la menace d'«un embrasement», si Israël touchait à la mosquée Al-Aqsa.
Arrestations de pure forme de terroristes. Comme sous Arafat, l'AP joue le simulacre consistant à arrêter des terroristes, à grand bruit, puis à les laisser «s'évader» discrètement. Voici deux exemples de ces arrestations style porte à tambour: deux exécutants qui avaient participé à l'organisation d'un attentat-suicide, à Tel Aviv, en février 2005, ont quitté leur cellule en avril; la police palestinienne a arrêté son premier terroriste, le 2 mai, et l'a remis en liberté dès le lendemain.
À la suite de ces mesures, le terrorisme palestinien, spécialement celui qui sévit à Gaza, a fortement augmenté depuis le mois d'avril. La situation a atteint un tel niveau, qu'une analyste, Leslie Susser, estime que le cessez-le-feu de février «pourrait être au bord de l'effondrement».
Il est difficile de donner tort à Caroline Glick lorsqu'elle conclut que le gouvernement Sharon et l'administration Bush ont tous deux commis une «horrible méprise» en misant sur M. Abbas. Pourtant, aucun d'eux ne reconnaît cette erreur, car ils sont maintenant profondément impliqués dans le succès de sa carrière politique.
Le retrait israélien de Gaza, prévu en août, va probablement provoquer de nouvelles poussées de violence. L'une d'entre elles pourrait intervenir en juillet, quand les forces de défense israéliennes entreprendront un grand nettoyage pour s'assurer que le retrait ne se déroulera pas sous le feu des Palestiniens.
D'autres violences pourraient suivre en septembre, au cas où les Palestiniens, ayant alors Gaza sous leur coupe, lanceraient une nouvelle attaque contre Israël. Cette manche verra probablement l'entrée en scène de l'important arsenal de roquettes, que le Hamas a constitué entre temps. Le chef d'état-major israélien, Moshé Yaalon, a exprimé ouvertement son sentiment : «Nous devons nous attendre à une éruption de terrorisme aussitôt après le désengagement.»
Ainsi, Ariel Sharon a soigneusement mis en place tous les éléments d'une catastrophe ferroviaire massive.
Ironie du sort, la seule chose qui pourrait empêcher ce scénario de se produire serait une victoire du Hamas aux élections du Conseil palestinien, prévues pour la mi-juillet. De plus en plus de voix s'élèvent, en Israël, pour demander le report ou l'annulation du retrait de Gaza, au cas où le Hamas l'emporterait, ce qui paraît probable. Par exemple, le ministre israélien des affaires étrangères, Silvan Shalom, a déclaré que si le Hamas remportait les élections, il serait «déraisonnable» de mettre en oeuvre le plan de désengagement et de permettre au Hamas de créer un «Hamasstan» à Gaza.
Les quatre mois à venir nous réservent donc de nombreux développements possibles. Leur point commun est qu'aux alentours de septembre, le théâtre israélo-arabe sera en plus mauvais état encore qu'il ne l'est actuellement.
Daniel Pipes
© New York Sun et fr.danielpipes.org.
Par Douda (Douda) le lundi 23 mai 2005 - 19h15: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : Des Chiffres et des lettres :
L’An Zéro a existé mais il s’est dissout dans la Boukha, ce qui fait que le tout s’est évaporé !
Wnessou El Douda
Par Mena (Mena) le lundi 23 mai 2005 - 19h11: |
Vers des accords de Genève du troisième type ? (info # 012205/5) [analyse]
Par Jean Tsadik © Metula News Agency
Mercredi prochain devrait se tenir à l’ambassade d’Iran auprès des Nations Unies à Genève une rencontre capitale entre des diplomates perses, emmenés par leur négociateur en matière nucléaire, Hassan Rowhani, et l’EU-3, la représentation de l’Union Européenne chargée de la discussion avec Téhéran. L’enjeu de cette réunion lui donne des allures de "tentative de la dernière chance" dans la recherche d’un accord au sujet de l’enrichissement de l’uranium par la République islamique. De fait, même cet énoncé est inapproprié, tant l’option de voir Téhéran reprendre son programme d’enrichissement, interrompu par un premier accord, en novembre dernier, n’entre pas en ligne de compte pour le camp occidental. Jack Straw, le Britannique, l’Allemand Joschka Fischer et leur homologue français aux Affaires Etrangères, Michel Barnier – l’EU-3 – ont pour mission de faire accepter aux Iraniens le démantèlement complet de leur programme nucléaire, sur le modèle du renoncement que les Libyens ont consenti aux Anglais et aux Américains. Leur bâton, dans les négociations, consiste à menacer leurs vis-à-vis d’envoyer le débat au Conseil de Sécurité de l’Onu, au cas où leurs interlocuteurs camperaient sur leur refus buté.
Selon l’un des bons experts de l’Iran, agissant au sein du célèbre Institut International d’Etudes Stratégiques de Londres (IISS), Gary Samore, les chiites au pouvoir à Téhéran bluffent. "Ils ne sont pas intéressés du tout à se faire traîner par les Européens devant le Conseil de Sécurité à New York", affirme notre collègue, "où ils risquent de très dures sanctions à court terme et même une action militaire soutenue par les Etats-Unis à plus long terme". Selon Samore, "la position de l’Iran est désormais affaiblie, parce que les alliés occidentaux travaillent de façon beaucoup plus concertée (…) et les Ayatollahs sont "très inquiets du risque d’une opération militaire".
Pour l’instant, la carotte que l’UE présente aux Perses, consistant à signer avec Téhéran de vastes accords de coopération industrielle, technique et économique au cas où ils abandonneraient leur programme nucléaire, n’a pas l’air d’impressionner les riverains islamistes du Golfe. Ceux-ci multiplient en tous cas les déclarations arrogantes, affirmant, par exemple, que les Européens sont otages des Américains dans cette négociation ; ou encore, menacent-ils l’EU-3 en avançant que le transfert du dossier au Conseil de Sécurité "allumerait une crise sur l’issue de laquelle les Européens perdraient tout contrôle".
Amid Reza Asefi, le porte-parole des AE iraniennes, qui participe aux négociations, a aussi déclaré que son pays "avait pris par avance toutes les dispositions nécessaires et ne craignait pas d’être mis en cause au Conseil de Sécurité", ajoutant que c’était à "ce moment (si l’Iran était condamné au CS) que la République islamique ne se sentira aucune obligation ni aucun engagement et qu’elle agira alors sur la base de décisions unilatérales".
Andrew Koch, le chef du bureau de Washington de la revue d’intérêt stratégique Jane’s Defence, partage l’opinion de Gary Samore. Il a dit que "les Iraniens ne sont pas près du tout de faire éclater les négociations et de reprendre leur programme nucléaire comme leurs déclarations publiques peuvent le laisser entendre".
Koch ne partage ainsi pas l’avis largement répandu à Jérusalem et Washington, selon lequel les Perses auraient déjà pris la décision stratégique de construire des armes atomiques. Selon lui, ils "font pression pour accéder à la potentialité de produire de telles armes". A l’en croire, les Iraniens désireraient adopter une position d’attente active, depuis laquelle, en cas de crise réelle, ils pourraient construire rapidement des armes de ce type.
De toutes façons, c’est au QG de l’armée israélienne, dans la "fosse", le bor, à Tel-Aviv, aussi bien que sur les rives du Potomac, qu’on attend de constater, assis sur la barrière, les résultats qu’obtiendra cette semaine la diplomatie européenne. On a opté pour une attitude pragmatique, que l’on peut résumer ainsi : pour le moment, des scellés ont été posés sur les installations iraniennes à risque (dans le cadre de l’enrichissement de l’uranium) par les inspecteurs de l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique) de Vienne. On ne croit pas beaucoup aux chances de l’EU-3 de faire entendre raison aux chiites intégristes de Téhéran, mais si on s’était trompé, on applaudirait sportivement des deux mains. Par contre, en cas d’éclatement des négociations, on agirait de sorte à mettre rapidement un terme à l’aventure nucléaire des Ayatollahs. Quant à l’occurrence où les Iraniens feraient sauter les scellés, ils devraient considérer cet acte téméraire comme un casus belli. Sur le plan militaire, il est clair comme de l’eau de roche, qu’au Pentagone et dans le bor, on n’a aucune intention de prendre le moindre risque avec un Etat qui menace Israël et l’Occident jour après jour, qui construit des missiles balistiques de moyenne et de longue portée et qui "s’amuse" à essayer d’enrichir l’uranium.
L’Allemagne et la France se situent encore loin de ces préparatifs tactiques, et craignent, au contraire, que l’engagement de la procédure-compte-à-rebours au Conseil de Sécurité ne "force la main des Iraniens dans leur décision de construire les armes".
A la Ména, c’est cette espèce de mollesse préfigurée par les Européens, face aux fanfaronnades jusqu’au-boutistes des représentants de cet Etat, qui s’est fixé pour but d’islamiser le monde par tous les moyens possibles et dans lequel on condamne encore les femmes supposées infidèles au lynchage public qui inquiète. Face à de tels partenaires, les analystes de Metula préconisent la méthode franche et frontale : l’Occident n’a rien à perdre, si les Islamistes ont déjà décidé de construire la bombe, ce ne sont pas des palabres qui changeront leur opinion ; et s’ils essaient de tirer le plus d’avantages possibles de l’épée de Damoclès qu’il font virevolter au-dessus de la tête du monde libre, mais avec l’intention de se rétracter au dernier moment – et les poches pleines de contrats juteux -, mieux vaut avancer l’heure de ce choix et cesser de se laisser ridiculiser et traire.
Heureusement, comme dirait Guy Millière, les USA veillent et poursuivent dans leur idée incongrue de libération de la planète Terre. Jeudi, la Secrétaire d’Etat Condoleezza Rice avait envoyé un très sérieux message d’avertissement en direction de Téhéran, lui demandant de cesser instamment de jouer la déstabilisation (du monde) et précisant à l’endroit du régime des exciseurs barbus à vocation de puissance nucléaire "qu’il n’était pas à l’abri des changements en cours au Proche-Orient". Madame Rice se référait à deux problèmes, l’un tactique, relatif au soutien prodigué par les islamistes au Hezbollah libanais et à tous ceux qui s’opposent à la cohabitation pacifique au Moyen-Orient entre Arabes et Juifs, et l’autre, d’ordre stratégique, portant sur les négociations de Genève de la semaine prochaine. La Secrétaire d’Etat faisait sans doute allusion à l’effet "fin de course" que pourrait avoir une débâcle militaire de la République islamique sur ceux qui la dirigent.
Vendredi, Condoleezza Rice a réitéré ses menaces, mais à l’endroit de la dictature népotique des al-Assad en Syrie cette fois. Elle a parlé d’une Syrie "(…) qui soutient les opposants palestiniens au moment où Palestiniens et Israéliens sont en train d’essayer de trouver une voie pour parvenir à une solution avec deux Etats qui serviraient clairement les intérêts du peuple palestinien, et une Syrie qui permet que son territoire soit utilisé pour organiser des attentats contre des Irakiens innocents".
"Il est temps", a précisé Madame Rice, "que la Syrie se rende compte qu’elle se trouve clairement en décalage avec ce qui se passe dans la région".
A la Ména, on vous avait largement entretenu, des années avant que la Secrétaire d’Etat n’en parle publiquement, de ce "décalage" [chercher Assad ou Syrie sur le moteur de recherche de la Ména]. En faire mention aujourd’hui signifie que l’Amérique ne voit pas la dictature alaouite de Damas s’insérer dans le nouveau Proche-Orient qu’elle a commencé à construire. A ce titre, le retrait forcé du Liban signifie effectivement le début de la fin pour le régime du "Président" Béchar al-Assad. Ce, d’autant plus que voici quelques jours, un commando U.S. a manqué d’un rien l’interception du chef égorgeur palestinien – mais d’où vient aux medias français l’idée insolite qu’il serait jordanien ? – Abou Moussab Al-Zarqawi. Il leur a échappé au dernier moment, abandonnant dans sa voiture son ordinateur portable et une mallette contenant 100'000 dollars, pour trouver refuge en Syrie. Du même coup, les Marines, qui ont abattu 125 islamistes lors de l’opération Matador (perdant neuf des leurs), ont appréhendé trente miliciens-terroristes, dont plusieurs appartenant à l’organisation de Zarqawi. Les premiers interrogatoires ont révélé que cet énergumène, qui mène sa guerre en tranchant la gorge d’otages civils à coups de couteaux de bouchers, allait et venait en Syrie comme bon lui semblait et qu’il y jouissait d’un important soutien logistique et humain.
Tout ne va pas sans accrocs, loin s’en faut, mais dans cette guerre de la démocratie contre l’excision et le lynchage, les deux derniers bastions des régimes anti-humains sont très clairement sur la défensive. On en saura plus cette semaine à Genève…
Par Emma (Emma) le lundi 23 mai 2005 - 18h58: |
Journée de l’Amitié judéo-noire dimanche à Paris
L'association Amitié judéo-noire, créée fin 2004, organise, dimanche 29 mai, une journée d'action à Paris avec la projection d'un film et un débat sur l'immigration et l'intégration.
Le film "Paris selon Moussa", prix Unesco 2003, sera projeté en présence du réalisateur, l'acteur guinéen , Cheik Doukouré, également président de l'Amitié judéo-noire, et de personnalités, en particulier de vedettes noires du cinéma, de la poésie, de la musique et du sport.
L'Amitié judéo-noire avait organisé en février sa première journée à Paris avec la projection du film "Black Israël", qui avait attiré 200 personnes, a expliqué Yves-Victor Kamami, vice-président de l'association et membre du bureau exécutif du CRIF.
L'association s'est créée pour réagir aux prises de positions de Dieudonné, a-t-il précisé. Elle travaille notamment en liaison avec Capdiv (Cercle d'action pour la promotion de la diversité en France) qui veut améliorer la situation des noirs.
L'Amitié judéo-noire, qui dispose d'un site Internet ( http://www.amitiejudeonoire.com ), veut "faire en sorte qu'entre peuple juif et peuples noirs, africains et antillais, la connaissance, la compréhension, le respect et l'amitié se substituent aux malentendus et aux manifestations d'hostilité".
Elle prépare pour l'automne un colloque sur l'esclavage, puis une rencontre musicale à la Cité des sciences de la Villette en octobre, a précisé Yves-Victor Kamami. Elle a également pris des contacts avec les éditeurs de manuels scolaires et le ministère de l'Education.
Par Meyer (Meyer) le lundi 23 mai 2005 - 18h54: |
L'an Zéro, c'est Nul.
Ca n'existe pas.
Par Douda (Douda) le lundi 23 mai 2005 - 18h27: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : Des Chiffres et des lettres :
5732, certains diraient 6005 ou encore 2005,,, etc,,, On a coutume de dire 2005 après JC, au fait Il n’est pas né un 1er. janvier de l’an Zéro, mais un 25 décembre de l’an moins Un , le 31 décembre de l’an moins Un étant le commencement de sa Bilada, et le 1er. janvier de l’an Zéro étant la date de son baptême au sécateur.
Mais la conjonction astrale situerait sa naissance sept ans plus tôt au mois d’août, quand au Big Bang il aurait été selon certains la résultante de l’Oeuf Cosmique, omnipotent et omniprésent contenant tout le futur, et les trous noirs qui avalent des trous noirs, il font des bulles dans le Cosmos, dans l’attente de contenir tout le passé.
Code du parfait citoyen :
1}Mieux vaut se tirer pour fuire une pression fiscale exorbitante.
2}Débiter le veau d’or pour en faire des biftons.
3}Concevoir une loi qui protège le secret bancaire.
4}Interdire de faire comme tout les autres mraz.
5}Ne suivre uniquement que le code des banques, jamais le code des impôts.
6}Se faire menacer d'expulsion du Paradis Fiscal en cas de manquement.
7}Choisir une terre où il n’y a pas encore de fonctionnaires grassement payés, afin de ne pas les entretenir.
8}Naviguer à travers les millénaires pour engendrer la Démocratie.
9}N’avoir ni rois ni papes.
10}Inventer le mouvement perpétuel.
11}Lutter intérieurement contre la tentation de refiler les bons tuyaux.
12} Montrer la paille qui est dans l’oeil du voisin afin de mieux réclamer une poutre.
13} Rigoler de son prochain mais s’entendre avec lui pour riposter à une attaque.
14} Choisir la Terre où l’on se sent bien sans se préoccuper de ce que pensent les autres.
Nous sommes donc tous volontaires pour créer un monde grandiose, C.Q.F.D.
Vive les excès de Boukha, qui rendent l’esprit inventif et fécond.
Wnessou El Douda
Par Braham (Braham) le lundi 23 mai 2005 - 15h15: |
Pour Emile, Albert et tous nos amis
Le Kaddid.
Dans notre enfance, les frigos n’existaient pas, certains avaient des glacières, mais on finissait presque toujours ce qui a été cuisiné, le même jour.
Pour conserver, ne fut-ce qu’un ou deux jours des mets cuisinés, il y avait le garde-manger. C’était une grande ‘cage’ cubique et dont les cotés étaient faits d’un filet assez solide (pas en plastic) pour l’aération. Cette cage était suspendue dans la cour à un coin bien ombragé.
A Pessah’, on n’arrivait pas à finir toute la viande du mouton, il fallait conserver le reste.
Nos mères la découpaient en bandes d’à peu près 20 cm de long, la Demba aussi, qu’elles salaient et épiçaient bien. Elles les accrochaient ensuite sur une corde à linge, comme de vulgaires chaussettes.
En quelques jours, le soleil et le sel desséchaient cette viande qui pouvait être utilisée sans crainte, des semaines plus tard.
On appelait cette viande du KADDID.
Son gout extraordinaire est resté gravé dans mon palais et me rappelle toujours la Mimouna, le jour après Pessah’. Ce jour là ma mère nous servait cette grosse A’ajja , qui contenait un nombre d’œufs à faire frémir Dr Kolesto, beaucoup de petits cubes de Kaddid et de Demba avec plusieurs gousses d’ail (bon pour la santé, qu’elle disait.)
Par Sarel (Sarel) le lundi 23 mai 2005 - 12h45: |
Cher Mr maurice
j'ai lu votre article et j'ai pris la decision de vous eclairer dans le sens cordial du mot
Tous les raisonnements au sujet du peuple juif ne peuvent se faire sans en connaitre les racines Je pense qu'il est necessaire de parcourir la bible pour definir les causes essentielles de tout ce qui se passe
Je citerai quelques stations importantes
1}A la sortie d'egypte le peuple juif est ne
2}Ce meme peuple cree le veau d'or
3}Il recoit une loi qui le definit pour toujours
4}Il est interdit d'etre comme les autres peuples
5}Il devra suivre la thora uniquement
6}et deja il est prevenu de ce qui lui arrivera en cas de refus et surtout de paraitre comme les autres
7}Avant l'etablissement de l'etat il savait qu'il partirait en exode
8}durant des millenaires la majorite a cherche sous tous les genres de regimes a ressembler aux autres
9}les rois juifs ont essaye de changer les lois pour plaire aux allies de ce temps la
10}et ce mouvement n'a pas cesse jusque maintenant
11}cette lutte interieure est le fond du probleme qui n'est pas toujours de ce le
12}c'est facile et trompeur de chercher les raisons chez les autres {les peuples}
13}cette mesentente est assez complexe du fait que ses racines sont bien profondes
14}les termes actuels ETAT D iSRAEL SIONISME DEMOCRATIE TSAHAL demographie n'ont pas le sens de ce que vous pensez en rapport avec le peuple juif
TOut cela donne matiere a reflechir
Mais ceux la sont les donnees
Je me presente j'etais volontaire a la guerre d'independance en 1948
sarfati-sarel@bezeqint.net
shalom