Par Girelle (Girelle) le vendredi 13 avril 2007 - 11h37: |
Je ne suis pas scientifique et ne puis qu'écouter ce que disent les généticiens, (y compris mon cousin).
Je pense que Sarkozy a fait une énorme bourde, en effet ces propos ne lui amenaient rien, en dehors d'une polémique qui n'est pas à son avantage.
Ce qui m'inquiète chez Sarkozy, ce sont ces portes qu'il ouvre en banalisant tout ce que la deuxième guerre mondiale avait rendu tabou et qui était déjà intolérable dans la bouche de Le Pen et de de Villiers.
Mais là, il s'agit d'un candidat "normal", d'une droite autrefois réputée modérée, l'impact de ses mots en est d'autant plus fort.
Je dois avouer que je ne m'attendais pas à ce genre de campagne venant de lui, et s'il avait continué à être ce qu'il était aux dernières régionales, il aurait été, bien sûr, mon candidat naturel.
Je pense, par ailleurs qu'un ex ministre de l'intérieur qui le fut pendant 5 ans et qui n'ose pas mettre les pieds dans les quartiers qu'il s'était pourtant engagé à pacifier, a échoué dans sa mission.
Par Davideden (Davideden) le vendredi 13 avril 2007 - 03h21: |
http://www.chicagotribune.com/news/nationworld/chi-0704110887apr12,1,933555.story
Jewish refugee families press for equity
Sephardic groups use Coca-Cola trespass suit to reveal misfortunes of thousands in era of Middle East conflict
By Ron Grossman
Tribune staff reporter
Published April 12, 2007
A little-noticed U.S. Supreme Court decision has reopened a forgotten chapter in Middle East history with far-reaching implications for the torturous, often violent politics of the region.
The court recently declined Coca-Cola Co.'s request to review a lower court's decision allowing a Canadian Jewish family to sue the soft-drink giant for trespass. The case was brought by the heirs of Joshias Bigio, a businessman in Egypt until its government expropriated his enterprises in the 1960s.
Thirty years later, Bigio's son, Refael, discovered that Coke was using one of his father's factories as part of its Egyptian bottling operations and asked for compensation. When that was not forthcoming, he filed a lawsuit -- Bigio vs. The Coca-Cola Co. -- in U.S. District Court for the Southern District of New York.
The Bigios, who eventually settled in Canada, are Sephardim -- Jews whose ancestors lived in Muslim countries for centuries before fleeing a wave of anti-Semitic violence and intimidation that began at the founding of Israel in 1948. Many had to abandon homes, businesses and life savings. The Bigio family hung on longer, heavily invested in factories and other enterprises, hoping to weather the storm.
"You had to leave with only 5 Egyptian pounds per person," said Refael Bigio. "Our family wound up eating in a soup kitchen in France."
Now some Jewish organizations see the Bigios' lawsuit as a way to get the Sephardim case into the court of public opinion.
"Why is it that the issue of Palestinian refugees is always talked about and the issue of Jewish refugees isn't?" asked Morton Klein, national president of the Zionist Organization of America.
Klein's group is calling for a boycott of Coca-Cola products until the company settles accounts with the Bigio family. Klein says the ZOA, the nation's oldest pro-Israel group that claims a membership of 30,000, will picket a meeting of Coke shareholders Wednesday in Wilmington, Del.
"The Egyptian government's actions were part of a campaign of anti-Semitic discrimination and persecution that caused almost a million Jews in Arab/Islamic countries, like the Bigios, to lose their homes, properties, businesses and livelihoods," the group said in calling for the Coke boycott.
The Bigios and other Sephardim are the counterparts of the hundreds of thousands of Palestinian refugees who fled their homes during the Arab-Israeli wars of 1948 and 1967. Refael Bigio still has a document designating his mother, Bahia, as a refugee according to the United Nations' criteria. The plight of displaced Palestinians, many still living in refugee camps in nearby countries as well as in the West Bank and Gaza Strip, is well known. Acknowledging their "right of return" has consistently been a precondition of the Arab powers to negotiating a peace treaty with Israel.
But the story of the Sephardic exodus from Arab lands has gone virtually unnoticed even by many American Jews, the vast majority of whom are of European, not Sephardic, origin.
"This year I decided to tell the story of exodus 1956 at our Passover table," said Isaac Cohen, referring to the annual commemoration of the ancient Jews' escape from bondage in Egypt.
Cohen, now a retired Northwestern University professor of medicine, and his parents had to flee their Egyptian homeland in the wake of the second Arab-Israeli war, in 1956.
A younger, American-born generation knows the story of the original Exodus, Cohen said, but it is largely unaware of the 20th Century exodus of Egyptian Jews.
Refugee estimates disputed
The ZOA's estimate of nearly a million Jewish exiles from Arab and Muslim countries at that time might be high. Martin Gilbert, biographer of Winston Churchill and author of many books on Middle Eastern history, estimates that 580,000 Jews from Arab countries took refuge in Israel, where they and their descendants constitute the largest segment of the Jewish state's population. An additional 260,000 Sephardim settled in Europe and North America.
By comparison, the United Nations estimated that more than 725,000 Palestinians fled their homes during the 1948 Arab-Israeli War. (Palestinian organizations claim a higher figure, the Israelis a lower one.)
In part, support for the Jewish refugee cause stems from a sense of equity and hopes of getting redress for a rapidly aging generation of Sephardim. The American Sephardi Federation has collected thousands of affidavits of refugees documenting their material losses, in case a legal venue is found to adjudicate their claims.
But the Sephardic cause also has become a part of the war of words accompanying the battles of tanks and bombs in the Middle East. It enables Israel's supporters to move beyond the moral defensive -- having to answer the criticism that the Jewish state's founding brought misery to the Palestinians. The Bigios' case enables Zionists to point out that Arabs weren't the only ones to lose their homes; Arab hostility to the Jewish state made Jews homeless too.
The American Sephardi Federation is pressing for congressional legislation "to make it U.S. policy to mention 'Jewish refugees' whenever there is a mention of Palestinian refugees in any official documents or resolution at the UN."
Par Michka (Michka) le vendredi 13 avril 2007 - 01h39: |
Définition de l'eugénisme :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Eug%C3%A9nisme
Et de rappeler que le dépistage systématique permettant de déceler des anomalies chez les femmes enceintes est une forme d'eugénisme. Cessons de le faire et laissons toutes les grossesses aboutir puisque eugénisme=nazisme.
Cette volonté de vouloir améliorer l'humain existe depuis l'antiquité.
Maintenant si on venait à cloner des individus, c'est une autre histoire, diabolique celle-là!
Par Victor (Victor) le vendredi 13 avril 2007 - 01h18: |
Tollé dans la communauté scientifique après les propos de Nicolas Sarkozy sur la génétique
LE MONDE | 11.04.07
En révélant, dans un dialogue avec le philosophe Michel Onfray (Philosophie Magazine, avril 2007), ses convictions sur le caractère inné de la pédophilie et des tendances suicidaires, Nicolas Sarkozy ne s'est pas contenté de faire réagir ses principaux adversaires politiques. Il s'est aussi attiré l'opprobre des biologistes, qui soulignent le caractère dangereusement réducteur de ses propos. Réactivant au passage, et ce n'est sans doute pas innocent, la vieille querelle idéologique de l'inné et de l'acquis.
"J'inclinerais, pour ma part, à penser qu'on naît pédophile, et c'est d'ailleurs un problème que nous ne sachions soigner cette pathologie. Il y a 1200 ou 1300 jeunes qui se suicident en France chaque année, ce n'est pas parce que leurs parents s'en sont mal occupés! Mais parce que, génétiquement, ils avaient une fragilité, une douleur préalable", disait-il dans cet entretien. "J'ai avancé ces idées pour en débattre", a-t-il plaidé par la suite. Mais pour la plupart des scientifiques, il n'y guère matière à débat.
Naître pédophile? "Un non-sens!", s'exclame le généticien Axel Kahn, directeur de l'Institut Cochin. "Je ne connais personne qui ait jamais prétendu qu'on était pédophile de père en fils. Cela ne veut pas dire que la constitution et les gènes n'interviennent pas, peut-être, d'une manière que l'on ignore encore. Mais certainement pas sous la forme d'un déterminisme créant des familles de pédophiles." Autrement dit : en aucun cas on ne peut "naître" pédophile.
Pour ce qui est du suicide, les choses sont plus subtiles. Il y a, c'est vrai, des familles dans lesquelles on se suicide plus que dans d'autres. Certaines maladies, telle la psychose maniaco-dépressive, ont une base génétique incontestable, et les états dépressifs constituent des prédispositions au suicide. En évoquant une "fragilité génétique", M. Sarkozy n'énonce donc pas, en soi, une contrevérité. L'erreur consiste à présenter cette fragilité de terrain comme le seul élément à prendre en compte. La communauté scientifique s'accorde désormais à penser que la génétique, pour agir sur l'être humain et plus encore sur ses comportements, n'intervient que de façon très complexe, et en étroit rapport avec l'environnement.
"Tous les progrès actuels dans la connaissance des relations entre l'inné et l'acquis, la nature et la culture, montrent qu'il y a des interactions réciproques et continues entre les gènes et l'environnement, et que ce sont ces interactions qui participent à la construction progressive d'un enfant et d'une personne. Et le premier environnement dans les collectivités humaines, ce sont les autres!", précise le médecin biologiste Jean-Claude Ameisen, président du comité d'éthique de l'Inserm et membre du Comité consultatif national d'éthique.
C'est dire que l'identité et les comportements futurs d'une personne ne peuvent être inscrits dans ses gènes dès la conception, ni lisibles dès la naissance. Pas plus pour la pédophilie que pour la tendance au suicide. Ou que pour les troubles du comportement de l'enfant, dont le ministre de l'intérieur, s'appuyant sur une expertise hautement controversée de l'Inserm, avait préconisé le dépistage, dès l'âge de 3ans, dans le cadre de son projet de prévention de la délinquance. Dans tous ces cas, "le préjugé répandu d'une causalité réductrice et unidimensionnelle n'est justifié par aucune donnée scientifique", insiste M. Ameisen, en soulignant que "le principal danger de cette obsession de prédire est la stigmatisation : enfermer l'individu dans un destin figé à l'avance, et porter sur lui un regard qui sera source de souffrances".
Inné, acquis : s'il est un domaine où la science devrait imposer une attitude prudente et modérée, c'est donc bien celui-ci. Pourquoi, dès lors, la persistance de cette tendance déterministe, qui prévaut notamment aux Etats-Unis, et qui accorde à l'hérédité une emprise dominante? Du fait, essentiellement, du terreau idéologique sur laquelle elle s'est développée. Un terreau répandu en premier lieu par le sociologue Herbert Spencer, contemporain de Darwin et auteur du concept de "sélection des plus aptes".
"L'idée très ancienne et très réductrice selon laquelle l'homme est essentiellement déterminé par ses gènes est bien en adéquation avec le discours d'un homme de droite, pour qui ce n'est pas à la société de régler les problèmes comportementaux des individus", commente le généticien Bertrand Jordan, fondateur de la Génopole de Marseille. Une optique selon laquelle la société doit avant tout veiller à ne pas fausser le libre jeu de la concurrence en pénalisant les meilleurs pour aider les moins bons.
Mais une optique qui, au regard des connaissances actuelles, ne tient plus la route sur des bases scientifiques. Car "le monde vrai, constate M. Kahn, n'est pas constitué de gens qui sont constitutionnellement résistants à l'obésité, au cancer et aux malheurs de la vie".
Pour ce chercheur, "se satisfaire d'une société qui ne soit propice à l'épanouissement que de quelques-uns et s'exonérer par avance de sa responsabilité quant aux accidents qui peuvent survenir chez les autres, ce n'est pas acceptable".
La génétique traverse les débats de société et ne doit pas être invoquée à la légère en politique.
Catherine Vincent
Des déclarations "révélatrices", pour Ségolène Royal
Les déclarations de Nicolas Sarkozy sur l'origine génétique de la pédophilie sont "extrêmement graves" et révèlent sa vision de l'humanité, a jugé, mercredi 14 mars, Ségolène Royal. "Je les trouve très dangereuses, elles sont révélatrices de la brutalité de la façon de faire et de penser de Nicolas Sarkozy", a estimé la candidate socialiste, interrogée sur France 2. "J'ai été ministre de la famille, j'ai vu les dégâts que provoque la pédophilie sur les enfants et je puis vous dire qu'il y a des prédateurs d'enfants parfaitement conscients de ce qu'ils font qui doivent être très sévèrement sanctionnés et pourchassés pour ces crimes abominables", a-t-elle ajouté. (Reuters)
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-894367,0.html
Par Lapid (Lapid) le vendredi 13 avril 2007 - 00h53: |
Issy-les-Moulineaux et Israël, une Histoire d’amour - par Claudine UZAN (Maire-Adjoint de 1980 à 2001) - lundi 9 avril 2007
JUIN 1994: Issy-les-Moulineaux et Nahariya signent un serment de jumelage.
À mon initiative, en ma qualité de Maire Adjoint d’Issy-les-Moulineaux, avec le soutien efficace de Monsieur le maire André Santini, je témoigne qu’un véritable pacte d’amitié et de fraternité fut signé entre nos deux villes. La cérémonie officielle se déroule au PACI (Palais des Arts et des Congrès d’Issy) en présence des acteurs principaux : Monsieur Jacky Sabag maire de Nahariya, Monsieur André Santini maire d’Issy-les-Moulineaux et moi-même. Les élus des deux villes, ainsi qu’une foule nombreuse, étaient présents pour cet événement. À cette même date, nous inaugurions notre nouvelle Synagogue et Centre Culturel, construit grâce à une étroite et efficace collaboration entre le service d’Urbanisme de la ville, notre maire, le Consistoire de Paris et les responsables communautaires de l’époque.
En 1996, dans ses nouveaux locaux, le centre culturel a pu accueillir un jardin d’enfants le « Gan Yéroushalaïm » qui, ouvert à tous, compte actuellement, avec une totale et complète réussite, près de 60 enfants de 3 à 6 ans.
Au cours des années, les liens solides qui unissent Issy-les-Moulineaux, Nahariya et notre communauté se sont encore renforcés lors de nombreux échanges culturels par les fréquents voyages organisés en Israël, et par plusieurs accueils de jeunes Israéliens dans nos familles. Des souvenirs inoubliables !
En octobre 2000, afin de souligner l’attachement de nos deux villes, nous décidons simultanément la création d’un parc, appelé « Parc de Nahariya » à Issy et la nomination d’une rue « Issy-les-Moulineaux » à Nahariya.
Le 4 Mai 2006, en présence de nombreuses personnalités, deux plaques commémoratives ont été apposées sur la synagogue ainsi que sur l’école Jules Ferry, au cours d’une cérémonie solennelle, en souvenir des enfants juifs déportés de notre ville, victimes de la Shoah.
Août 2006 : La solidarité de notre ville avec Nahariya ne s’arrête pas là, en effet, face aux événements qui ont secoué le Moyen Orient cet été, informé par Jacky Sabag, maire de Nahariya, de la situation désastreuse de sa ville et des familles, notre maire André Santini a tout de suite établi un plan d’urgence pour leur venir en aide. Soulignant les valeurs de Fraternité et de Tolérance constituant les points fondamentaux de notre partenariat, il décide d’offrir un séjour, durant ce mois d’août, dans l’un de nos centres de vacances en Vendée, à 26 jeunes Israéliens, afin de leur permettre de s’éloigner pendant 15 jours des tirs de roquette du Hezbollah. « C’est dans les moments difficiles qu’on reconnaît ses amis », a-t-il déclaré.
Enfin, le 10 Février dernier, pour aider à la reconstruction de Nahariya qui fut durement touchée (plus d’un millier de bombes ont détruit 1400 maisons) et d’activer l’action du Magen David Adom, Monsieur le maire André Santini et Madame Florence SADOUN, conseillère Municipale, sa nouvelle déléguée au jumelage avec Israël, organisent une soirée de solidarité au PACI. Cette soirée fut un total succès et c’est devant une salle comble que se déroula la représentation de la pièce de théâtre « L’Emmerdeur », jouée par Patrick Timsit et Richard Berry. Avec infiniment d’émotion Jacky Sabag, accompagné de deux élus, a remercié chaleureusement notre maire, Monsieur André Santini, ainsi que tous les acteurs et sponsors ayant contribué à la réussite de cette magnifique soirée.
Toute cette rétrospective d’actions menées et de soutien à Israël ainsi qu’à notre communauté de la part de Monsieur André Santini, et de son équipe municipale, et ce depuis tant d’années, m’incite à sensibiliser la communauté juive toute entière à se souvenir et à reconnaître ses amis. Rappelons donc que Monsieur André Santini, ainsi que Madame Simone Veil, ont porté leur choix pour l’élection présidentielle en faveur de Nicolas SARKOZY. Il est impératif d’accomplir votre devoir de citoyen en vous mobilisant dès le premier tour pour aller voter. En France, bien sûr, mais aussi en Israël et à l’étranger en tant que Français résidents, en vous rapprochant de votre Consulat. Chacune de nos voix compte et peut faire la différence….
La France, pays des Droits de l’Homme, doit retrouver sa place parmi les grandes nations, adopter une nouvelle politique nationale et internationale plus juste et équilibrée afin d’assurer une protection pour tous, de recréer un climat de sécurité dans notre pays et d’imposer un destin de paix dans ce monde difficile et vulnérable.
Claudine UZAN
Chevalier de l’Ordre National du Mérite
Maire-Adjoint de 1980 à 2001
Déléguée au Jumelage avec Israël et la Communauté Israélite
Par Michka (Michka) le vendredi 13 avril 2007 - 00h41: |
http://www.nytimes.com/2007/04/10/health/10gene.html?_r=2&adxnnl=1&oref=slogin&adxnnlx=1176321195-TouERjynITxN5+TrQs+8+Q&oref=slogin
April 10, 2007
Pas de Deux of Sexuality Is Written in the Genes
By NICHOLAS WADE
When it comes to the matter of desire, evolution leaves little to chance. Human sexual behavior is not a free-form performance, biologists are finding, but is guided at every turn by genetic programs.
Desire between the sexes is not a matter of choice. Straight men, it seems, have neural circuits that prompt them to seek out women; gay men have those prompting them to seek other men. Women�s brains may be organized to select men who seem likely to provide for them and their children. The deal is sealed with other neural programs that induce a burst of romantic love, followed by long-term attachment.
So much fuss, so intricate a dance, all to achieve success on the simple scale that is all evolution cares about, that of raisingthe greatest number of children to adulthood. Desire may seem the core of human sexual behavior, but it is just the central act in a long drama whose script is written quite substantially in the genes.
In the womb, the body of a developing fetus is female by default and becomes male if the male-determining gene known as SRY is present. This dominant gene, the Y chromosome�s proudest and almost only possession, sidetracks the reproductive tissue from its ovarian fate and switches it into becoming testes. Hormones from the testes, chiefly testosterone, mold the body into male form.
In puberty, the reproductive systems are primed for action by the brain. Amazing electrical machine that it may be, the brain can also behave like a humble gland. In the hypothalamus, at the central base of the brain, lie a cluster of about 2,000 neurons that ignite puberty when they start to secrete pulses of gonadotropin-releasing hormone, which sets off a cascade of other hormones.
The trigger that stirs these neurons is still unknown, but probably the brain monitors internal signals as to whether the body is ready to reproduce and external cues as to whether circumstances are propitious for yielding to desire.
Several advances in the last decade have underlined the bizarre fact that the brain is a full-fledged sexual organ, in that the two sexes have profoundly different versions of it. This is the handiwork of testosterone, which masculinizes the brain as thoroughly as it does the rest of the body.
It is a misconception that the differences between men�s and women�s brains are small or erratic or found only in a few extreme cases, Dr. Larry Cahill of the University of California, Irvine, wrote last year in Nature Reviews Neuroscience. Widespread regions of the cortex, the brain�s outer layer that performs much of its higher-level processing, are thicker in women. The hippocampus, where initial memories are formed, occupies a larger fraction of the female brain.
Techniques for imaging the brain have begun to show that men and women use their brains in different ways even when doing the same thing. In the case of the amygdala, a pair of organs that helps prioritize memories according to their emotional strength, women use the left amygdala for this purpose but men tend to use the right.
It is no surprise that the male and female versions of the human brain operate in distinct patterns, despite the heavy influence of culture. The male brain is sexually oriented toward women as an object of desire. The most direct evidence comes from a handful of cases, some of them circumcision accidents, in which boy babies have lost their penises and been reared as female. Despite every social inducement to the opposite, they grow up desiring women as partners, not men.
�If you can�t make a male attracted to other males by cutting off his penis, how strong could any psychosocial effect be?� said J. Michael Bailey, an expert on sexual orientation at Northwestern University.
Presumably the masculinization of the brain shapes some neural circuit that makes women desirable. If so, this circuitry is wired differently in gay men. In experiments in which subjects are shown photographs of desirable men or women, straight men are aroused by women, gay men by men.
Such experiments do not show the same clear divide with women. Whether women describe themselves as straight or lesbian, �Their sexual arousal seems to be relatively indiscriminate � they get aroused by both male and female images,� Dr. Bailey said. �I�m not even sure females have a sexual orientation. But they have sexual preferences. Women are very picky, and most choose to have sex with men.�
Dr. Bailey believes that the systems for sexual orientation and arousal make men go out and find people to have sex with, whereas women are more focused on accepting or rejecting those who seek sex with them.
Similar differences between the sexes are seen by Marc Breedlove, a neuroscientist at Michigan State University. �Most males are quite stubborn in their ideas about which sex they want to pursue, while women seem more flexible,� he said.
Sexual orientation, at least for men, seems to be settled before birth. �I think most of the scientists working on these questions are convinced that the antecedents of sexual orientation in males are happening early in life, probably before birth,� Dr. Breedlove said, �whereas for females, some are probably born to become gay, but clearly some get there quite late in life.�
Sexual behavior includes a lot more than sex. Helen Fisher, an anthropologist at Rutgers University, argues that three primary brain systems have evolved to direct reproductive behavior. One is the sex drive that motivates people to seek partners. A second is a program for romantic attraction that makes people fixate on specific partners. Third is a mechanism for long-term attachment that induces people to stay together long enough to complete their parental duties.
Romantic love, which in its intense early stage �can last 12-18 months,� is a universal human phenomenon, Dr. Fisher wrote last year in The Proceedings of the Royal Society, and is likely to be a built-in feature of the brain. Brain imaging studies show that a particular area of the brain, one associated with the reward system, is activated when subjects contemplate a photo of their lover.
The best evidence for a long-term attachment process in mammals comes from studies of voles, a small mouselike rodent. A hormone called vasopressin, which is active in the brain, leads some voles to stay pair-bonded for life. People possess the same hormone, suggesting a similar mechanism could be at work in humans, though this has yet to be proved.
Researchers have devoted considerable effort to understanding homosexuality in men and women, both for its intrinsic interest and for the light it could shed on the more usual channels of desire. Studies of twins show that homosexuality, especially among men, is quite heritable, meaning there is a genetic component to it. But since gay men have about one-fifth as many children as straight men, any gene favoring homosexuality should quickly disappear from the population.
Such genes could be retained if gay men were unusually effective protectors of their nephews and nieces, helping genes just like theirs get into future generations. But gay men make no better uncles than straight men, according to a study by Dr. Bailey. So that leaves the possibility that being gay is a byproduct of a gene that persists because it enhances fertility in other family members. Some studies have found that gay men have more relatives than straight men, particularly on their mother�s side.
But Dr. Bailey believes the effect, if real, would be more clear-cut. �Male homosexuality is evolutionarily maladaptive,� he said, noting that the phrase means only that genes favoring homosexuality cannot be favored by evolution if fewer such genes reach the next generation.
A somewhat more straightforward clue to the origin of homosexuality is the fraternal birth order effect. Two Canadian researchers, Ray Blanchard and Anthony F. Bogaert, have shown that having older brothers substantially increases the chances that a man will be gay. Older sisters don�t count, nor does it matter whether the brothers are in the house when the boy is reared.
The finding suggests that male homosexuality in these cases is caused by some event in the womb, such as �a maternal immune response to succeeding male pregnancies,� Dr. Bogaert wrote last year in the Proceedings of the National Academy of Sciences. Antimale antibodies could perhaps interfere with the usual masculinization of the brain that occurs before birth, though no such antibodies have yet been detected.
The fraternal birth order effect is quite substantial. Some 15 percent of gay men can attribute their homosexuality to it, based on the assumption that 1 percent to 4 percent of men are gay, and each additional older brother increases the odds of same-sex attraction by 33 percent.
The effect supports the idea that the levels of circulating testosterone before birth are critical in determining sexual orientation. But testosterone in the fetus cannot be measured, and as adults, gay and straight men have the same levels of the hormone, giving no clue to prenatal exposure. So the hypothesis, though plausible, has not been proved.
A significant recent advance in understanding the basis of sexuality and desire has been the discovery that genes may have a direct effect on the sexual differentiation of the brain. Researchers had long assumed that steroid hormones like testosterone and estrogen did all the heavy lifting of shaping the male and female brains. But Arthur Arnold of the University of California, Los Angeles, has found that male and female neurons behave somewhat differently when kept in laboratory glassware. And last year Eric Vilain, also of U.C.L.A., made the surprising finding that the SRY gene is active in certain cells of the brain, at least in mice. Its brain role is quite different from its testosterone-related activities, and women�s neurons presumably perform that role by other means.
It so happens that an unusually large number of brain-related genes are situated on the X chromosome. The sudden emergence of the X and Y chromosomes in brain function has caught the attention of evolutionary biologists. Since men have only one X chromosome, natural selection can speedily promote any advantageous mutation that arises in one of the X�s genes. So if those picky women should be looking for smartness in prospective male partners, that might explain why so many brain-related genes ended up on the X.
�It�s popular among male academics to say that females preferred smarter guys,� Dr. Arnold said. �Such genes will be quickly selected in males because new beneficial mutations will be quickly apparent.�
Several profound consequences follow from the fact that men have only one copy of the many X-related brain genes and women two. One is that many neurological diseases are more common in men because women are unlikely to suffer mutations in both copies of a gene.
Another is that men, as a group, �will have more variable brain phenotypes,� Dr. Arnold writes, because women�s second copy of every gene dampens the effects of mutations that arise in the other.
Greater male variance means that although average IQ is identical in men and women, there are fewer average men and more at both extremes. Women�s care in selecting mates, combined with the fast selection made possible by men�s lack of backup copies of X-related genes, may have driven the divergence between male and female brains. The same factors could explain, some researchers believe, why the human brain has tripled in volume over just the last 2.5 million years.
Who can doubt it? It is indeed desire that makes the world go round.
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le jeudi 12 avril 2007 - 22h40: |
Si nazisme et eugénisme, c'est pas pareil, voici dans ce copier collé la preuve du contraire :
L'Allemagne nazie a mis en place une politique officielle d'eugénisme, qui comprenait le Programme Aktion T4 d'euthanasie ainsi qu'un programme de stérilisations contraintes (plus de 70 000 personnes ont été stérilisées contre leur gré).
Une politique eugéniste particulière propre à l'Allemagne nazie s'est mise en place dès 1933. Elle consistait
d'une part à favoriser la fécondité des humains considérés comme supérieurs. (Politique pro-nataliste, soutien familial, pouponnières...)
d'autre part à prévenir la reproduction des humains génétiquement déficients (diabétiques, Myopes, Etc..) ceux considérés comme inférieurs ou mentalement non désirables (les criminels, arriérés mentaux, Etc...).
L'Allemagne a cherché à lutter contre l'avortement pour les femmes considérées comme supérieures, alors que dans le même temps la circulaire secrète de 1934 autorisait l'avortement pour les femmes devant être ultérieurement stérilisées. Le décret secret de 1940 a été plus loin en rendant obligatoire l'avortement pour les femmes « inférieures ». 200 000 femmes furent ainsi stérilisées jusqu'en 1945.
Un autre exemple est celui de l'homosexualité, considérée par cette mouvance comme une maladie. L'Allemagne eugéniste proposait aux homosexuels le choix entre la castration volontaire ou la mise en camps de concentration. Le paragraphe 175 du Code pénal condamnait depuis longtemps l'homosexualité, mais après l'arrivée d'Hitler au pouvoir, les conditions de vie des homosexuels se détériorènt fortement.
Avant même l'arrivée d'Hitler au pouvoir, une majorité de scientifiques et d'hommes politiques étaient favorables à l'eugénisme. La loi de 1934 portant sur la stérilisation eugénique s'est mise en place à l'aide de la participation active du docteur Gütt (médecin haut fonctionnaire), de Falk Ruttke (juriste) et Ernst Rüdin (psychiatre génétique suisse). Cette loi impose la stérilisation obligatoire pour les malades atteints de neuf maladies considérées comme héréditaires ou congénitales (cécité, alcoolémie, schizophrénie...). On estime que 400 000 Allemands ont été stérilisés entre 1934 et 1945. Ces stérilisations ont fait l'objet d'un quasi consensus dans la communauté médicale allemande.
D'autres pratiques, hors cadre légal, ont été utilisées pour éliminer les personnes indésirables, camps de concentration pour les alcooliques, criminels, délinquants, asociaux divers, castration des criminels sexuels et homosexuels, stérilisation des enfants métis nés de mères allemandes et pères africains, nord africains, indochinois de l'armée d'occupation française, extermination des tziganes et des juifs.
L'eugénisme allemand et ses variantes suédoise et étatsunienne n'étaient pas des actes isolés de pervers, mais au contraire le résultat d'une politique d'élimination systématique, basée sur des techniques « scientifiques », et organisée par l'administration.
Il est également intéressant de noter que cette forme d'eugénisme avait remis en avant une notion déjà considérée mythique : celle de « race aryenne » ; les anthropologues de l'époque parlaient plutôt de race nordique ou de race alpine.
Par Viviane (Viviane) le jeudi 12 avril 2007 - 22h27: |
Cher Cacouboulou,
Quand m'inviteras-tu pour déguster entre deux "Rumikub" chabbatiques l'un de ces deux excellents gâteaux - maison?
Si tu connais mon itinéraire politique, rapelle-toi que le parti socialiste m'a présentée comme députée suppléante dans la région lyonnaise en 1993 et que mon père et ma mère, très politisés, étaient fiers de Viviane. Je pense, par ailleurs, que Bayrou est un homme droit. Tu n'as toujours pas compris? Chabbat Chalom, Viviane
Par Girelle (Girelle) le jeudi 12 avril 2007 - 21h52: |
Pour une fois un copié/collé:
Editorial Témoignage Chrétien.
Liberté, égalité, génétique par Ivan du Roy
« J’inclinerais , pour ma part, à penser qu’on naît pédophile, et c’est d’ailleurs un problème que nous ne sachions soigner cette pathologie. Il y a mille deux cents ou mille trois cents jeunes qui se suicident en France chaque année, ce n’est pas parce que leurs parents s’en sont mal occupés ! Mais parce que, génétiquement, ils avaient une fragilité, une douleur préalable. Prenez les fumeurs : certains développent un cancer, d’autres non. Les premiers ont une faiblesse physiologique héréditaire. Les circonstances ne font pas tout, la part de l’inné est immense. » Ainsi pense Nicolas Sarkozy, dialoguant avec Michel Onfray dans Philosophie Magazine .
Nous savions que l’ancien ministre de l’Intérieur ne voulait voir, dans les actes de délinquance, que la responsabilité individuelle, ignorant la responsabilité sociale.
Punir plutôt que prévenir, en niant tous les facteurs sociaux – éducation, chômage, discriminations… – pouvant pousser une personne à commettre un délit.
Nous savons aussi que le candidat de l’UMP a étendu cette responsabilité individuelle à la réussite économique : « Travailler plus pour gagner plus. » Comme si précaires et bas salaires n’étaient finalement qu’une horde de fainéants, méritant leur sort.
Le possible futur président de la République vient de franchir une étape : pédophiles et suicidaires seraient donc génétiquement programmés à le devenir. Encore une fois, pour Sarkozy, l’individu est tout, la société n’est rien.
Cette évolution n’est pas surprenante. Souvenez-vous de la loi sur la prévention de la délinquance, quand le ministre de l’Intérieur, s’appuyant sur un rapport contesté de l’Inserm et sur les élucubrations du député UMP Jacques-Alain Bénisti, souhaitait instaurer une détection précoce des troubles du comportement chez les très jeunes enfants.
Sarkozy renoue avec un courant de pensée de la fin du XIXe siècle, les théories de l’anthropologie criminelle qui prétendaient détecter chez certains individus une tendance naturelle au crime, impliquant l’inefficacité de la peine et l’incurabilité du délit.
Est-ce cela « la France d’après » ? On ne sait si le candidat proposera un dépistage systématique des nourrissons et l’incarcération précoce des « pédophiles positifs ». Demain, Sarkozy nous expliquera-t-il qu’il incline à penser que les pauvres aussi sont porteurs d’un ADN spécifique, que les politiques sociales ne servent donc à rien puisque la réussite professionnelle est génétiquement déterminée ? Une fois gravi le perron de l’Élysée, il prétendra peut-être que la richesse, elle aussi, semble héréditaire, inscrite dans les gènes des familles fortunées. Et que la fiscalité n’a pas à aller à l’encontre des lois naturelles.
Ces propos ne constituent pas un dérapage, mais bien une vision de l’Homme et de la société. Elle est totalement incompatible avec les valeurs que TC défend depuis sa création, dans la résistance, alors qu’une certaine idéologie s’était emparée de la génétique pour hiérarchiser les populations et éliminer celles jugées déficientes.
Plusieurs médecins, comme le généticien Axel Kahn ou le psychiatre Bernard Golse, rappellent que la génétique ne détermine pas un destin.
L’archevêque de Paris, André Vingt-Trois, est également monté au créneau.
Du côté des candidats, François Bayrou juge ces propos « glaçants » et « terriblement inquiétants ».
À gauche, on reste étonnamment timide, Ségolène Royal laissant aux scientifiques le soin de répondre.
à dix jours du premier tour, une question cruciale nous est posée : la victoire de Nicolas Sarkozy est-elle génétiquement déterminée ?
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le jeudi 12 avril 2007 - 21h39: |
Viviane,quand tu annonce :
"Au travail" je n'étale jamais mes opinions politiques,
Désolé Viviane, mais sur Harissa on n'est pas au travail, mais sur un lieu de discussions franches.
Quand au manque de courage de certains à dire ou à manifester ses opinions, c'est souvent parce-qu'ils ont honte de leur vote, surtout si celui ci est pour LP ou DV.
Personnellement, je ne fais aucun complexe vis à vis de quiconque, à annoncer que mon vote est pour Bayrou.
Donc une réponse claire et nette, de ta part m'obligerait, c'est une invite, et non une obligation.
Par Girelle (Girelle) le jeudi 12 avril 2007 - 20h51: |
Le départ de Jean Noël Jeanneney de la Bibliothèque inspire peut être son père.
Les gaullistes se souviennent sûrement de celui qu'ils appelaient " le dernier arrivé, le premier parti" et qui avait inspiré au général de Gaulle ce référendum sur la régionalisation et la suppression du Sénat qui vit la démission de de Gaulle.
Oui, les gaullistes se souviennent sûrement!!
Je ne sais pas comment ils entendront ce soutien là. (peut être avec la même tendresse que les RPR montraient pour l'instigateur de la dissolution, mdr)
Son grand âge, 97 ans n'a pas altéré la plume de Jean - Marcel Jeanneney, qu'il mit bien souvent au service de la gauche.
S'offusquer que l'on respecte la limite d'âge pour la présidence de la Bibliothèque Nationale:
"Mais derrière ce crétinisme administratif, il y a le sectarisme partisan : avant de quitter le pouvoir, Jacques Chirac sature la haute administration de ses créatures, dont évidemment l'ancien ministre de François Mitterrand n'était pas. "
Mais ne pas noter que J.N. Jeanneney a été nommé en 2002, résultat peut être de la "saturation" opérée par le PS avant de partir et de ne pas constater que Jeanneney a été maintenu à son poste par la droite, dénote une certaine malhonnêteté intellectuelle.
Par Breitou (Breitou) le jeudi 12 avril 2007 - 18h16: |