Par Citron (Citron) le mercredi 08 juin 2005 - 04h16: |
en ce debut du mois de juin certains souvenirs reviennent hanter plusieurs centaines de familles tunes
les souvenirs de juin 1967
cette annee j etais tres satisfait par la couverture mediatique du pelerinage de la ghriba, presque tous les medias, du moins les francophones, lui ont consacre des articles. ce genre dinitiative rappel a ceux qui oublient ou qui velent oublier qu il existe une composante juive dans la culture tunisienne.
on reproche souvent, et a juste titre, aux tunisiens musulmans de ne pas connaitre cette partie d eux,
il y a quelques mois, lors dun voyage a Miami, j ai rencontre deux tunes israeliens (famille touitou)qui revendiquent leur s racines mais qui ignorent tous de la culture Tunes, ils connaissent meme pas de chansons tunisiennes meme pas le Leilet shebbat !!!!
je pesne qu il est essentiel de transmettre cet heritage aux generations suivantes quelles soient musulmanes ou juives, Harissa le fait bien, bonne continuation a toute la gang !
Par Mailroom (Mailroom) le mercredi 08 juin 2005 - 04h32: |
LE 5 JUIN 1967 A TUNIS. MON CARTABLE
J'AVAIS 6 ANS ET DEMI ET POURTANT CE SOUVENIR EST TOUJOURS DANS MA MEMOIRE PARCEQU'IL A MARQUE MON ENFANCE.
CE MIDI COMME TOUS LES MIDIS MAMAN EST VENUE ME CHERCHER DEVANT L'ECOLE GLATIGNY POUR DEJEUNER A LA MAISON.
COMME D'HABITUDE JE LAISSAIS MON CARTABLE A L'ECOLE SITUE AU REZ DE CHAUSSEE DE LA GRANDE SYNAGOGUE DE TUNIS.
NOUS HABITIONS A COTE DU SQUARE DE VERDUN AU 6 RUE D'ALEXANDRIE , UNE PETITE RUE PERPENDICULAIRE A LA RUE DE PARIS , A 100 METRES DU CINEMA LE MARIVEAU.
MON PERE EST RENTRE CE MIDI PLUS TOT.IL A DU QUITTER LE SOUK CAR DES MANIFESTANTS ONT MIS LE FEU A L'AMBASSADE D'ANGLETERRE.
MA SOEUR VOULAIT RETOURNER A L'ECOLE.MON PERE REFUSA QUE NOUS SORTIONS DE LA MAISON ET IL A EU RAISON.
EN EFFET QUELQUES INSTANTS APRES UNE FOULE EXCITEE VENUE DES QUARTIERS ARABES ENVAHISSAIT NOTRE QUARTIER.
LES MANIFESTANTS HURLAIENT LEUR HAINE, PILLAIENT LES MAGASINS JUIFS AVANT D'Y METTRE LE FEU.
LES CRIS ETAIENT DE PLUS EN PLUS PROCHES JUSQUE DANS L'IMMEUBLE. NOUS ETIONS TERRIFIES. MON PERE POUSSA UNE ARMOIRE POUR LA PLAQUER CONTRE LA PORTE D'ENTREE DE NOTRE APPARTEMENT. IL FERMA EGALEMENT LES VOLETS EN BOIS.
J' ENTENDAIS DU VERRE SE BRISER. DES MANIFESTANTS COURIR SOUS NOS FENETRES SITUEES
AU PREMIER ETAGE.
IL Y AVAIT UNE ODEUR DE FUMEE JUSQUE DANS L 'APPARTEMENT.
CES MANIFESTANTS CASSEURS VENUS DES QUARTIERS ARABES ET MANIPULES PAR DES AGITATEURS
ANTISEMITES VOULAIT FAIRE PAYER AUX JUIFS
TUNISIENS LA DEFAITE DES PAYS ARABES PENDANT LA GUERRE DES 6 JOURS QUI COMMENCAIT.
LES NOUVELLES DIFFUSEES PAR LA TV TUNISIENNE ANNONCAIT UNE VICTOIRE DES PAYS ARABES.
MAIS RADIO MONTE CARLO CAPTEE EN TUNISIE
DONNAIT LA VRAIE VERSION DES FAITS ET FAISAIT PART DE LA DEBACLE EGYPTIENNE.
LA POLICE ETAIT DEBORDEE ET L'ARMEE DUE INTERVENIR POUR RAMENER LE CALME.
LE SOIR LE PRESIDENT BOURGUIBA FIT UN DISCOURS A LA TELEVISION POUR CONDAMNER CES ACTES ET INTERDIT A QUICONQUE DE TOUCHER UN SEUL CHEVEU DES JUIFS. ( D' OU LA BLAGUE DE L'EPOQUE SUR LES COIFFEURS ARABES QUI NE POUVAIT PLUS COIFFER LES JUIFS....).
PENDANT PLUSIEURS JOURS NOUS N'AVIONS PAS QUITTE LA MAISON ET JE NE SUIS PAS ALLE A L'ECOLE.
QUAND LE CALME FUT REVENU JE REDESCENDAIS EN BAS DE CHEZ MOI AU SQUARE DE VERDUN.
L'ODEUR DE BRULE ETAIT TOUJOURS PRESENTE. L'ATMOSPHERE ETAIT TRISTE ET INHABITUELLE.PEU DE MONDE DANS LES RUES.
LES SOLDATS ARMES ETAIT DANS LA RUE ET LEUR PRESENCE ME RASSURAIT.
EN ME PROMENANT UN PEU PLUS LOIN JE DECOUVRAIS LES BOUTIQUES CALCINEES ET DETRUITE PAR LES FLAMMES.
LE MARCHAND DE "FRIGIDAIRE" COMME ON DISAIT LA BAS. LA PATISSERIE NATHAN DE MON BEAU FRERE SAUVEUR.
TOUS LES MAGASINS APPARTENANT A DES JUIFS ETAIENT DEVASTEES.
JE REVOIS MES VOISINS MONTER DANS UN TAXI. JE NE LES REVERRAI PLUS A TUNIS NI EUX NI LE MARCHAND D'ELECTRO MENAGER QUI QUITTERENT DEFINITIVEMENT LA TUNISIE COMME DE TRES NOMBREUX JUIFS TUNISIENS.
J'APPRENAIS BEAUCOUP PLUS TARD QUE NOUS N'AVIONS PAS QUITTE LA TUNISIE A CETTE EPOQUE PARCEQUE NOS PASSEPORTS ETAIENT PERIMES.
MON PERE AVAIT FAIT UNE DEMANDE DE RENOUVELLEMENT MAIS LES AUTORITES NOUS LES
RENDAIT QUE PLUSIEURS MOIS APRES ,UNE FOIS LE CALME REVENU.
LORSQUE JE RETOURNAIS A L'ECOLE PLUSIEURS JOURS PLUS TARD JE CHERCHAIS MON CARTABLE CAR LA CLASSE AVAIT ETE INCENDIEE.
QUEL BONHEUR LORSQUE JE RETROUVAIS MON CARTABLE EN CUIR MARRON "sain et sauf" MAIS AVEC UNE ODEUR DE BRULEE.
ALAIN MADAR
Par Emma (Emma) le mardi 07 juin 2005 - 18h06: |
Dialogue de sourds
Par Jonathan Tobin
La déconnection Israël – Diaspora complique le débat sur Gaza
Article intégral en Anglais :
_http://jewishworldreview.com/0605/tobin_2005_06_06.php3_
(http://jewishworldreview.com/0605/tobin_2005_06_06.php3)
Adaptation française de Catherine Josse ©, relue par Simon Pilczer
Le premier ministre, Ariel Sharon, est intervenu à New York le mois dernier
devant une audience soigneusement sélectionnée de dirigeants sûrs d’applaudir
aux bons moments. C’est avec difficulté que quelques personnes en désaccord
avec son plan de désengagement de la bande de Gaza ont réussi à assister à
son discours.
Par contre, lorsque le Lt Col Lior Lifschitz s’est adressé à un autre groupe
à Philadelphie quelques jours plus tard, à l’occasion d’un meeting organisé
par la ‘Jewish Federation of Greater Philadelphia's Center for Israel and
Overseas’ [en français : Fédération juive du Grand Philadelphie pour Israël et
l’Outremer, ndt], un certain nombre d’opposants n’ont eu aucun mal à se
joindre à l’assistance peu nombreuse pour discuter des défis que l’armée
israélienne devait affronter.
Mais tant pour Sharon que pour Lifschitz, l’homme chargé d’entraîner les
officiers et les soldats pour le difficile travail d’évacuation de Gaza cet été
selon les ordres de Sharon, le résultat a été plutôt similaire. Si tous les
deux ont probablement pu compter sur l’approbation de la majorité des Juifs
américains, un nombre conséquent de personnes qui aiment Israël sont indignés
à la fois par le plan de Sharon et par les préparatifs de Lifschitz et d’
autres pour le mettre en œuvre.
Dans le cas de Sharon, son discours a été interrompu par des perturbateurs
qui ont été immédiatement évacués de force par la sécurité. Mais puisque les
officiers subalternes doivent toujours faire le sale travail que les généraux
peuvent éviter, Lifschitz a dû écouter les opposants et faire face à leurs
questions sans l’aide d’un videur.
Comme tout bon officier, Lifschitz a fait tout son possible pour affirmer
que rien de ce qui allait se passer cet été n’avait été suggéré par
l’armée. «
C’est le gouvernement qui a décidé. L’armée doit obéir, a-t-il dit
franchement, c’est cela, la démocratie. »
‘C’EST BON POUR ISRAEL’
En ce qui concerne les motivations politiques de ce choix, Lifschitz a
refusé de prendre parti. Mais il a néanmoins marqué un point important en
rappelant que les implantations de Gaza sont le fruit d’une politique
gouvernementale, et non du mouvement des pionniers.
« C’est le gouvernement qui nous a mis là. Le gouvernement peut donc nous en
retirer, » a-t-il conclut avec fermeté.
Lorsqu’il a dit que Gaza était « un territoire occupé » et « qui ne nous
appartient pas », Lifschitz a eu l’air de dire que le consensus du pays était
qu’
Israël serait mieux sans Gaza. Selon lui, le plan de Gaza n’est « pas un
retrait. C’est bon pour Israël ».
Le défi démographique posé à Israël par un million d’Arabes à Gaza semble
être un argument inattaquable contre les opposants du plan. Et, que le retrait
aide ou non le processus de paix n’était pas important pour le colonel. D’
après son point de vue militaire, il sera plus facile pour l’armée de protéger
Israël de l’autre côté de la frontière, à l’extérieur de Gaza, plutôt
qu’
à l’intérieur.
Mais, il a été moins rassurant lorsqu’il a affirmé que les revendications
des mouvements terroristes, selon lesquelles ils seraient en train de réussir à
chasser Israël de Gaza, n’avaient aucune importance.
« Nous avons une armée forte. Nous n’avons pas peur des paroles des uns et
des autres, » s’est-il vanté. Malgré les déclarations de victoire du Hamas et
du Djihad islamique, Lifschitz a soutenu que « nous n’avons pas à leur donner
quoi que ce soit. »
Quant au précédent créé par le dernier retrait unilatéral d’Israël, celui du
sud Liban en 2000, l’officier a répondu que les déclarations de victoire
semblables de la part des terroristes du Hezbollah étaient aussi sans aucune
signification. « Une semaine après, tout le monde les avait oubliées, » a-t-il
dit.
Encore moins convaincant quand il n’a pas mentionné du tout le fait que l’
opinion largement répandue -selon laquelle ce serait le terrorisme qui aurait
poussé les Israéliens hors du Liban – qui aurait fait croire aux Palestiniens
qu’ils pourraient inspirer un résultat semblable à Gaza et sur la Rive
occidentale. Et cela, selon beaucoup d’observateurs, a contribué à leur décision
de lancer l’intifada quelques mois après le départ du dernier Israélien du
Liban.
La récompense de Lifschitz pour être venu discuter a été une suite de
questions brûlantes de la part des membres de l’assistance opposés à Sharon.
Certains, qui se sont présentés comme étant membres de la ‘Zionist
Organisation of America ‘(ZOA), ont posé poliment des questions douloureuses sur
ce
que l’on ferait des tombes juives et des maisons restées là-bas. D’autres ont
remarqué qu’on pouvait avoir des doutes légitimes sur les bénéfices pour
Israël d’un retrait unilatéral sans aucune preuve que les Palestiniens aient l’
intention de rechercher la paix. Ils ont également critiqué son usage de l’
expression « Territoire occupé ».
Mais d’autres encore ont été moins diplomates.
Une femme a mis en doute l’intégrité d’une armée qui obéirait à des ordres
immoraux d’expulser d’autres Juifs de leur foyer. Allant encore plus loin,
elle a dit qu’elle ne pouvait plus soutenir un Israël « mené par ce lâche de
Sharon ». Qu’une Américaine, qui n’avait probablement jamais entendu un coup
de fusil de sa vie, flambant de colère, ait pu traiter de lâche un homme qui
a été blessé de nombreuses fois sur le champ de bataille, a été perçu par
tous comme incongru, sauf par celle à l’origine de la remarque.
Après un autre reproche, Lifschitz a rétorqué que, puisque son interlocuteur
était si sûr d’avoir raison, il devrait « venir voter en Israël ».
Et cela, en dépit de tous les efforts dépensés pour la promotion des
relations Israël-Diaspora, est bien le point essentiel de l’affaire.
La communication entre Israël et la diaspora est un peu conflictuelle même
aux meilleurs moments. Mais peu importe le degré de passion des Juifs
américains pour Israël, ils sont là-bas et nous sommes ici. Certains d’entre
nous s’
opposent peut-être aux implantations. D’autres pensent que les efforts pour
faire revivre le plan de paix sont suicidaires. Mais que nous ayons raison ou
tort, c’est eux qui doivent prendre la décision.
QUE FAITES-VOUS ICI ?
Si c’est le cas, doivent-ils se préoccuper de ce que nous pensons ?
La plupart des Israéliens seraient probablement d’accord avec Lifschitz
quand il a répondu avec frustration à l’un de ses tourmenteurs de la ZOA, que le
« gouvernement d’Israël n’a de comptes à rendre ni à vous ni à qui que ce
soit d’autre. »
C’est assez vrai. Mais, comme d’ailleurs plusieurs personnes dans l’
audience l’ont murmuré, « alors, que faites-vous ici ? »
Le fait est qu’Israël a besoin que nous comprenions ce qu’il fait et
aimerait vraiment que nous soutenions sa politique. Et, si nous ne sommes pas
décidés à applaudir comme des majorettes à ce que son génie ou sa folie a
ordonné,
ils aimeraient tout au moins que nous le gardions pour nous.
La plupart des Américains sont instinctivement respectueux quand un officier
avec un passé de combat aussi prestigieux que Lifschitz, ou un dirigeant
qui a donné sa vie entière pour son pays comme Sharon, entrent en scène. Mais
il ne faut pas qu’ils soient trop surpris si certains d’entre nous refusent
de se mettre au garde-à-vous. Quelle que soit la profondeur de nos
différences avec nos cousins israéliens, nous sommes, après tout, membres du même
peuple discuteur « à la nuque raide ».
Lorsqu’on lui a demandé ce qui était le plus difficile entre affronter les
opposants Juifs américains ou servir à Gaza, Lifschitz s’est contenté de
sourire. Il est peut-être plus facile de mener un dialogue entre sourds que d’
affronter la bataille. Mais, au moins à Gaza, il pouvait riposter.
Jonathan Tobin contribue régulièrement à la ‘Jewish World Review’ ; il est
rédacteur en chef du ‘Philadelphia Jewish Exponent’.
Par Emma (Emma) le mardi 07 juin 2005 - 17h54: |
Ce sondage SOFRES sur l'antisémitisme en France est remis aujourd'hui à Dominique de Villepin
16% des personnes interrogées estiment que les juifs ont trop de pouvoir en France, 17% n'ont pas d'avis sur la question. 26% pensent qu'ils « ont une relation particulière avec l'argent »
Le sondage a été commandé par l'Association des Amis de l'Université de Tel-Aviv en France. Il est remis au Premier ministre français lors du déjeuner annuel de l'association qui se tient ce mardi 7 juin à la Sorbonne. « Yediot Aharonot », le quotidien israélien, l'a publié en avant-première.
Le sondage révèle que 70% des Français considèrent l'antisémitisme comme très répandu ou relativement répandu dans leur pays. Dans les années 80 et 90, 50% « seulement » des Français avaient ce sentiment.
Aujourd'hui, seuls 22% considèrent que l'antisémitisme est un phénomène rare en France.
76% des personnes interrogées estiment que l'antisémitisme s'est développé en France au cours des dernières années, et seuls 8% pensent le contraire.
Ce sondage s'intéresse aussi aux « clichés » antisémites et révèle que 16% des personnes interrogées considèrent que les juifs ont trop de pouvoir en France, que 67% ne le pensent pas, et que 17% n'ont pas d'avis sur la question. Pour les enquêteurs de la SOFRES, ces chiffres sont déjà une réponse en soi. À cela, il faut ajouter que 26% des personnes interrogées estiment que les juifs ont « une relation particulière avec l'argent » et que 4% des Français éviteront toute relation avec un juif parce qu'il est juif.
9% des Français non-juifs affirment qu'ils s'opposeraient au mariage de leurs enfants avec des juifs alors qu'ils étaient 37% dans les années 60.
17% des Français s'opposeraient également à l'élection d'un Président de la République française s'il était juif alors qu'ils étaient 50% dans les années 60.
Par Albert (Albert) le mardi 07 juin 2005 - 14h14: |
LES CHAMPS OLYMPIQUES...
Par Sarel (Sarel) le mardi 07 juin 2005 - 08h53: |
bonjour a tous
Si vous connaissez ISRAEL tant mieux
Si vous pensez la connaitre'cela prouve que vous vous interessez.
Les nouvelles passent a travers une passoire
d'un sens a un sens donne
ON ne ment pas .On ne dit pas toute la verite
Je suis heureux pour votre occupation avec
la boukha et la goulette.
Il faut croire qu'il n'y a plus de probleme
Shalom a tous sarel
Par Meyer (Meyer) le mardi 07 juin 2005 - 01h41: |
Albert c'est le trou dans la couche d'ozone qui s'agrandit, ce qui diminue la surface de la couche et laisse passer les UV très dangereux.
Par Douda (Douda) le mardi 07 juin 2005 - 00h44: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Fumiste : y a du booster clandestin dans l’air,,,
La concurrence prend ses aises,,, et des privautés !
Par Albert (Albert) le lundi 06 juin 2005 - 22h11: |
De quoi agrandir encore plus la couche D OZONE EN LA RECHAUFFANT....
Par Toufiq (Toufiq) le lundi 06 juin 2005 - 22h08: |
deconnage reussi de la fusee boukha
Par Douda (Douda) le lundi 06 juin 2005 - 20h27: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur ayant été appelé a d’autres fonctions, c’est,,,
Le Fumiste qui prend le relais,,,
Les collaborateurs de la Douda ne se sont jamais souciés, de s’introduire dans le vif de ce qui par définition ne les regarde pas, car il s’agit là du devoir sacré de tout bon Goulettois qui se respècte, d’ailleurs ils commentent sans arrêt, tout ce dont ils ont envie de se meller, ils votent là, où, et comme cela leur fait plaisir,
A propos du vote, ils n‘ont fait que constater certaines corrélations, histoire de se payer le kif, d’une bonne rigolade,,, et pour le reste chacun se dit : Ech Andi Fi,,,?
Wnessou El Douda
Par Braham (Braham) le lundi 06 juin 2005 - 19h52: |
Par Braham (Braham) le lundi 06 juin 2005 - 19h51: |
A tous les amateurs de l'Espace-Kémia,
soyez prèts pour recevoir la Fusée-Boukha qui fut lancée ce matin à partir de Kif(Cap)-Bokobsa