Par Hajkloufette (Hajkloufette) le dimanche 29 avril 2007 - 21h57: |
Lapid
je suis bien d accord avec vous , tout ceux qui ont vote l ont fait par conviction , nous n avons en tant que franco Israeliens aucune lecon a recevoir de personne ... Nous faisons ce qui nous semble juste et nous remplissons un devoir qui montre notre attachement et notre interet a la France ... car la politique de la France envers Israel nous est importante ... bien plus que tout ceux qui se disent preoccupes par la vie d Israel ... mais qui souvent n y pense que malheureusement lorsqu on se trouve aux premieres lignes de leur journal d infos ... et ca ce n est jamais bon signe ...
Quand a l alya Monsieur Cacouboulou , ne vous en deplaise , c est un acte libre comme celui de revenir en France ... nous ne retenons personne de force a ce que je sache ... et nous n obligeons personne a venir ... quand a parler des appels panique selon vos propres mots ... je vous souhaite de ne jamais avoir a y arriver ... je prefere donc de ce fait un homme fort pour la France ... qui s est toujours declare ami d Israel et qui l a prouve bien des fois ...
Sur ce , le vote est libre et chacun votera en son ame et conscience ou ne votera pas si c est son choix , loin de moi l idee de juger qui que ce soit ...
Par Lapid (Lapid) le dimanche 29 avril 2007 - 21h40: |
Norbert Lipszyc denonce les exces des attaques contre Sarkozy
url : http://www.toutsaufsarkozy.com/rubriques/prop_pdf/triangleinfernal_a3.pdf
ou cliquer sur
Le Triangle infernal
"J'ai longuement hésité à diffuser ceci car je m'étais astreint à un maximum de retenue concernant la campagne électorale. Mais les excès des attaques contre Sarkozy ont mené à ce type de message de haine, de diabolisation, qui font dégénérer cette campagne alors qu'elle devrait se maintenir sur la capacité à gouverner et sur les programmes, réels et non fantasmés. Mais ceci est trop grave et doit être dénoncé.
La lutte contre l'islamisme est un sujet majeur pour l'avenir de la France, de l'Europe et du monde. On peut reprocher à Sarkozy ou à Ségolène de ne pas prendre la bonne méthode pour le combattre ou de manquer de détermination. Mais dire, comme on le répète tous les jours, que Sarkozy propage la haine et que cela fait le lit de l'islamisme. C'est faux et c'est faire le lit à ces dérives du site "tout sauf sarkozy". Quiconque a vu les circonstances dans lesquelles Mr Sarkozy est intervenu personnellement en banlieue et a prononcé les mots qu'on lui reproche, sait que la réalité est exactement le contraire. La volonté de diabolisation de Sarkozy et les méthodes ressemblent par trop aux caricatures contre les Juifs des temps passés pour ne pas les dénoncer vigoureusement, quel que soit son bord, quel que soit son choix pour les élections. Et trop de journalistes continuent à propager ces mythes."
publié le 28/04/2007 par Norbert Lipszyc
Par Meyer (Meyer) le dimanche 29 avril 2007 - 20h47: |
Girelle j’ai bien relu ton commentaire Girelle (Girelle) le dimanche 29 avril 2007 - 12h23.
Je n’y ai pas trouvé d’éléments permettant d’identifier précisément à qui tu t’adressais, d’autant plus qu’on avait discuté dans ADRA de plusieurs sites pour ou contre tel ou telle candidat(e), en particulier du site de Bayrou et du site T S S. Plusieurs harissiens étaient intervenus à ce sujet.
J’ai eu beau chercher dans mes dictionnaires, je n’ai pas trouvé à quel « usage » du mot « VOUS » tu faisais référence.
Je pense qu’il vaut mieux désigner sans équivoque ceux à qui on s’adresse pour éviter tout malentendu.
Par Lapid (Lapid) le dimanche 29 avril 2007 - 20h32: |
Braham,
Dont acte. Comme l'a signale Bazooka 41671 inscrits,7886 suffrages exprimes soit 18,92% de votants.
Je crois que vous montrez de facon evidente votre parti pris en osant feliciter les 81% qui n'ont pas vote. Quelle preuve de civisme de votre part !
Par Braham (Braham) le dimanche 29 avril 2007 - 20h05: |
Herzl
Israel celebre l'anniversaire du pere du Sionisme Moderne et de la Grande Revolution du Peuple Juif.
Le Dr Benjamin Zeev (Theodore) Herzl est ne a Budapest le 11eme jour du mois Eyiar (aujourd'hui) il y a 147 ans.
Par Lapid (Lapid) le dimanche 29 avril 2007 - 20h10: |
Girelle,
"Mais non Lapid, voyons, je ne conteste absolument pas aux israeliens de voter, je n'aime pas les résultats qui ressemblent à un mot d'ordre au premier tour quand il n'y a pas de danger d'extrême droite.
Je crois Girelle que c'est faire injure aux franco-israeliens que de vouloir les accuser de voter sous l'influence d'un mot d'ordre. C'est faire injure a leur sens civique qui les amene aux urnes parce qu'ils ont pris conscience, comme pres de 82% de francais, de l'importance de ce vote. Ne vous en deplaise, chacun d'entre eux pourrait facilement vous expliquer les raisons de leur choix. Je crois que le principe No 1 de la Democratie c'est le respect du vote de chacun des electeurs. Quant aux mots d'ordre recus, il vaudrait mieux que vous alliez chercher ailleurs.
Par Messaoud (Messaoud) le dimanche 29 avril 2007 - 19h22: |
Cacouboulou
maintenant en lisant la reponse de Henry et de ton chat qui doit etre surement Persan
(non je blague il est blanc comme neige car tu nous l'avais exhiber sur ce site )
j'etais sur que tu habitais en Iran terre refuge des negationnistes et pas en Suisse terre ou l'or que les Nazis ont depouillés a tes freres juifs y a ete deposé et Dieu sait -comme disent les Suisses -ou est il a present!!!
hachouma !!!
d'ailleurs en fait pourquoi as tu quitter ta chere Tunisie ?
et quelle alya as tu ete obligé de faire en Swiss; on se demande bien pourquoi???
bref chacun son chemin et que hachem protege ses creatures aussi bien les mals que les biens pensantes
Par A_Soued (A_Soued) le dimanche 29 avril 2007 - 18h49: |
LES PALESTINIENS ET LE DROIT DU RETOUR
Israël n'a pas à confirmer les revendications bidon des réfugiés Palestiniens pour résoudre ce problème
Par Alan Dershowitz, professeur de droit à l'Université Harvard, auteur de "l'affaire de la paix: comment résoudre le conflit israélo-arabe"
Paru dans Cs Monitor du 16 avril 2007 - http://www.csmonitor.com/2007/0416/p09s01-coop.html
Traduit par Artus pour www.nuitdorient.com
L'affaire du droit de retour des réfugiés palestiniens est l'obstacle majeur à la paix entre les Israéliens et les Palestiniens. Dans sa large formulation, ce dit "droit" concernerait 4 millions de personnes descendant de moins de 700 000 Arabes qui ont quitté Israël, du fait de la guerre qui a été déclarée lors de la (re)naissance de ce pays en 1948.
Les Palestiniens disent que le gouvernement d'Israël a utilisé le prétexte de la guerre pour chasser une part significative de la population arabe dans le nouvel état créé. Et les Palestiniens désignent par le terme "naqba" ou "catastrophe" cette guerre et ses conséquences.
Les Israéliens insistent sur le fait que cette catastrophe a été auto-infligée. En attaquant le nouvel état dans une tentative génocidaire, cherchant à pousser les Juifs à la mer, l'ensemble des armées arabes ont créé le problème des réfugiés. Israël reconnaît avoir chassé quelques Palestiniens de zones critiques pour sa défense, mais insiste sur le fait que la grande majorité est partie volontairement ou sous la pression des chefs arabes qui leur ont promis un retour triomphal, après la défaite d'Israël.
Ce qu'on ne peut contester c'est que de nombreux réfugiés ont été mis dans des camps misérables et gardés par les pays arabes hôtes, pendant plus d'un demi-siècle.
Les dizaines de millions d'autre réfugiés qui ont été obligés de quitter leurs foyers dans les décennies qui ont suivi la 2ème guerre mondiale – les Sudètes-Allemands, les Grecs et les Turcs, les Pakistanais et les Indiens,… et les au moins 700 000 réfugiés juifs des pays arabes --- ont tous été intégrés et naturalisés. Seuls les réfugiés Palestiniens ont été laissés dans des camps par les pays arabes hôtes. Totalement politique, le but était de maintenir un ressentiment et garder ouverte la promesse fallacieuse d'un retour triomphant. Ce retour leur permettait d'obtenir par la voie démographique ce qu'ils n'ont pas pu obtenir par la voie des armes, la destruction de l'état d'Israël.
Israël considère ce droit non comme une revendication individuelle et humanitaire, mais comme une affirmation politique collective dont le but est de transformer Israël en un autre état arabe. En 1949, le ministre des Affaires Etrangères d'Egypte disait candidement: "on sait et on comprend bien que les Arabes, en demandant le droit du retour des réfugiés en Palestine, ne cherchent qu'à y revenir comme maîtres et non comme esclaves en terre arabe. Pour être explicite leur intention est l'annihilation de l'état d'Israël".
C'est pourquoi, quand le 1er ministre Ehoud Olmert annonce qu'il n'acceptera jamais le retour des réfugiés et de leurs descendants, il a en principe raison. Son argument est simple: aidés par les pays arabes environnants, les Palestiniens on démarré une guerre contre le nouvel état d'Israël, dans le but de le détruire. S'ils avaient accepté le partage en 2 états (comme prévu par l'Onu), Israël aurait accepté un certain pourcentage de Palestiniens sur son territoire. Du moment que les Palestiniens ont lancé une guerre génocidaire, la conséquence inévitable était la création de réfugiés. Si en effet certains étaient obligés de partir sous la pression de chefs miliaires Israéliens, ces faits étaient une réponse aux attaques arabes. La véracité des propos d'Ehoud Olmert est prouvée par le fait d'imaginer les résultats si la situation avait été inversée. Imaginez les Palestiniens vainqueurs et les Israéliens obligés de fuir… Puis imaginez ces Israéliens demandant le droit au retour, tout de suite après la guerre, ou 60 ans après. On ne peut concevoir un état Palestinien gratifiant ces réfugiés juifs du droit au retour…. Peut-on concevoir un droit du retour à sens unique ? Est-ce que le Yémen a offert à ses réfugiés juifs un quelconque droit au retour ou une simple compensation? Et l'Egypte? Et l'Iran? Et l'Iraq? Et la Syrie? Bien sûr que non.
De toutes les revendications des réfugiés d'après la 2ème guerre mondiale, celle des Palestiniens est la moins justifiée, pourtant elle a reçu l'appui le plus retentissant des Nations Unies et de la communauté internationale.
Ayant conclu qu'Ehoud Olmert était dans le vrai sur le plan des principes, je pense qu'il s'est trompé sur le plan tactique. L'histoire racontée par les Palestiniens, qu'elle soit vraie ou non, est une réalité dans l'imaginaire de la plupart des Palestiniens. Les premiers ministres qui ont précédé Olmert le savaient et étaient prêts pour un compromis pragmatique entre un principe et la paix. Ils ont fait savoir qu'ils pourraient accepter un droit symbolique pour le retour, lié à une compensation. Comme le disait le vice ministre Shimon Peres "ne détruisons pas le rêve de nos ennemis, mais faisons en sorte qu'ils ne le transforment pas en notre cauchemar."
Ce sujet est important eu égard au plan de paix saoudien, ambigu dans le domaine des réfugiés, demandant une juste solution des réfugiés, sans préciser les détails d'une telle solution. Une juste solution pourrait inclure une certaine garantie de retour d'un petit nombre de réfugiés dans le cadre de la réunion des familles, sous réserve des conditions de sécurité, avec une compensation raisonnable. Un droit réciproque doit être accordé aux réfugiés juifs des pays arabes.
Pour parvenir à la paix, le pragmatisme doit l'emporter sur les principes. Le droit au retour doit être mis en œuvre, dans la mesure où il protège Israël contre un déséquilibre démographique qui risquerait de le détruire, mais aussi sans dénigrer l'"histoire" palestinienne.
Palestinians and the 'right of return'
Israel doesn't have to affirm bogus Palestinian refugee claims to resolve this issue.
By Alan Dershowitz, professor of law at Harvard University, is the author of "The Case for Peace: How the Arab-Israeli Conflict Can Be Resolved."
April 16, 2007 edition - http://www.csmonitor.com/2007/0416/p09s01-coop.html
Among the major barriers to peace between the Palestinians and the Israelis is the so-called right of return. In its broadest formulation, this "right" belongs to some 4 million alleged descendants of the 700,000 or so Palestinian Arabs who left what is now Israel as the result of the war that began when Israel declared statehood in 1948.
Palestinians say the Israeli government used the war as an excuse to chase a significant percentage of its Arab population out of the newly formed Jewish state. Palestinians call this war and its aftermath "al Nakba" – "the catastrophe."
Israelis insist this catastrophe was self-inflicted. By attacking Israel in a genocidal attempt to push the Jews into the sea, the combined Arab armies created the refugee problem. Israel acknowledges that it forced out some local Palestinians who lived in areas critical to the defense of the new state. But Israel insists that many other Palestinians left of their own volition or at the behest of Arab leaders who promised that the Palestinians would return triumphantly after Israel was defeated.
What is beyond dispute is that many of the refugees – regardless of how they became refugees – were placed in miserable camps and kept there for half a century by the Arab nations in which they sought refuge.
The millions of other refugees who were forced to leave their homes in the decades following World War II – the Sudeten-Germans, the Greeks and Turks, Pakistanis and Indians, and the 700,000 Jewish refugees from Arab countries – have all been integrated and normalized. Only the Palestinian refugees have been kept in camps by their Arab hosts. The reason was and is entirely political: to maintain resentment and to hold open the empty promise of a triumphant return that would achieve demographically what the Arab nations have been unable to achieve militarily – destruction of the Jewish state.
Israel sees the right not as an individual, humanitarian claim, but rather as a collective, political assertion designed to turn Israel into another Arab state. In 1949, Egypt's foreign minister candidly acknowledged: "It is well known and understood that the Arabs, in demanding the return of the refugees to Palestine, mean their return as masters of their homeland, and not as slaves. More explicitly: they intend to annihilate the state of Israel."
That is why Israeli Prime Minister Ehud Olmert may have been correct in principle when he announced recently that he would never accept a right of return by Palestinian refugees and their descendants. His argument was simple: The Palestinians, aided by the surrounding Arab countries, started a war against the new state of Israel in an effort to destroy it; had they instead accepted the partition – the two-state solution – Israel would have accepted the presence of significant numbers of Palestinians in the new Jewish state. But once the Palestinians started a genocidal war, the inevitable consequence was the creation of refugees. Even if some were in fact forced to leave by Israeli military commanders, such actions were in response to the attack by the Arabs.
The best proof of the correctness of Mr. Olmert's view is to imagine what would be happening today if the shoe were on the other foot. Imagine if the Palestinians had won and many Israelis had been forced to leave, while others left of their own volition or as the result of fear. Now imagine those Jews seeking a right of return, either in the immediate aftermath of the war or 60 years later. It is inconceivable that a Palestinian state would grant Jewish refugees a right of return. Certainly that would be true if the number of Israeli refugees and their descendants threatened to outnumber the Palestinian population. How can a right of return go only one way? Has Yemen offered its Jewish refugee population any right of return or compensation? Has Egypt? Has Iran? Has Iraq? Has Syria? Of course not.
Of all the post-WWII refugee claims, the Palestinian claim is the weakest, and yet it has received the widest and most vocal support from the United Nations and the international community.
Having concluded that Olmert was right as a matter of principle, I also believe that he may have been wrong as a matter of tactics. The Palestinian narrative, whether factually correct or incorrect, is a reality in the minds of most Palestinians. Earlier Israeli prime ministers recognized that and were prepared to compromise principle for a pragmatic peace. They indicated a willingness to accept some symbolic right of return coupled with compensation. As current Israeli Vice Premier Shimon Peres once put it: Don't destroy our enemies' dream; just don't let them turn it into our nightmare.
This issue is of great importance in light of the Saudi peace plan, which is ambiguous on the issue of refugees: demanding a just resolution, but not specifying the details of such a resolution. A just resolution could include a guaranteed right of all refugees and their descendants to return to this newly established Palestinian state, while also allowing those actual refugees – but not their relatives – who can prove they were ejected, to be reunited with families that now live in Israel or to be reasonably compensated for their financial losses. A numerical cap would have to be placed on the number of refugees allowed to move to Israel and their entry would be subject to security requirements. A reciprocal right should be accorded to Jewish refugees from Arab countries.
For peace to be achieved, pragmatism must be balanced with principle. The right of return should be implemented so as to protect Israel against demographic annihilation without denigrating the Palestinian narrative.
Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 29 avril 2007 - 18h03: |
Girelle encore,
A propos de l'emission de Taddei, je me rappelle qu'il y a un mois ou deux nous avions eu sur adra des echanges au sujet de la credibilite et de l'orientation des articles references, et beaucoup s'etonnaient que Le Monde soit encore mentionne.
J'avais signale a cette occasion que la ligne du Monde avait tendance a changer en fonction de son Redac Chef et que depuis le depart d'Edwy Plenel, perso, je notais un mieux. Sans oublier aussi en amont, l'influence du Conseil d'Administration ...
Eh bien aujourd'hui c'est exactement ce dont il s'agit avec cette emission.
Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 29 avril 2007 - 17h49: |
Girelle,
Merci d'avoir releve: je n'ai pas voulu dire qu'ils perdent leurs droits civiques suite a une sanction et/ou condamnation (loin de moi cette idee !), j'ai voulu dire que dans la mesure ou en Israel la liste electorale et la liste consulaire ne font qu'une, n'etant pas enregistres au Consulat (volontairement ou accidentellement), ils ne peuvent jouir de leurs droits civiques, dont celui de voter.
Par Victor (Victor) le dimanche 29 avril 2007 - 17h37: |
Pour le 60ème anniversaire de la naissance de l'Etat d'Israël, la Chaîne 8 de TV israélienne a confié au réalisateur Eyal Sivan la réalisation d'une partie du film "Passé et Présent en Israël".
Eyal Sivan, qui se déclare lui-même antisioniste, a réalisé, avec Michel Kleifi, le film "Route 181" qui a été diffusé sur ARTE. Dans un interview au journal Le Monde en 2001 il avait déclaré que le plan de partition de l'ONU en 1947 était "une erreur historique".
Report: Anti-Zionist Israeli to direct movie for Israel's 60th birthday
By Haaretz Service
Sun., April 29, 2007 Iyyar 11, 5767
An Israeli director who is a self-proclaimed "anti-Zionist" has been hired by an Israeli television channel to direct a film marking the 60th anniversary of the establishment of the state, Army Radio reported Sunday.
According to the report, Eyal Sivan will be given a NIS 650,000 grant, paid for by Israeli taxpayers, to direct a film for next year's Independence Day, Israel's 60th.
The film will be part of the "Past and Present in Israel" project, meant to promote Israel's "Jaffa" brand citrus fruit. It will be produced by Channel 8 television, together with the Jerusalem Cinematheque and the Rabinovitch Fund.
La suite dans
http://www.haaretz.com/hasen/spages/853487.html
Par Lu_Sur_Adra (Lu_Sur_Adra) le dimanche 29 avril 2007 - 17h06: |
Pour suivre en continuité les commentaires parus sur ADRA qui ont suivi le premier tour de l'Election Présidentielle 2007 allez sur
Election Présidentielle 2007 - 2ème Tour
http://harissa.com/forums/read.php?56,35806