Archive jusqu'au 01/mai/2007

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2007: Commentaires Mai 2007: Archive jusqu'au 01/mai/2007
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mardi 01 mai 2007 - 11h01:

Merci Meyer, ce site est tres utile pour savoir qui veut quoi et pour voter en son ame et conscience pour un programme et non pour un candidat.

Amusez-vous a relever les questions eludees dans les programmes, voici celles que j'ai deja relevees:

Questions eludees par Sego:

. L'ISF et les Droits de Succession
. L' energie atomique
. L'entree de la Turquie dans l'UE

Questions eludees par Sarko:

. Le SMIC
. La parite hommes-femmes
. l'Iran et la bombe atomique

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mardi 01 mai 2007 - 10h25:

Le cas Azmi Bishara

"Tout Arabe est chez lui dans le monde arabe tout entier". C'est ce qu'affirme l'ex-député arabe israélien Azmi Bishara dans une interview diffusée par Al-Jazeera. Mais les juifs, eux, n'ont qu'Israël..." PAR Michel Gurfinkiel. - 29 avril 2007

Vous voulez comprendre quelque chose au conflit israélo-palestinien ? Intéressez-vous au cas d’Azmi Bishara.

Né en 1956 à Nazareth, ce citoyen israélien appartient à la minorité arabe chrétienne. Il effectue ses études secondaires au lycée baptiste de sa ville natale. En 1974, il s’inscrit à l’Université hébraïque de Jérusalem. Proche du parti communiste israélien, comme la plupart des Arabes israéliens chrétiens à cette époque, il effectue ensuite des études de second et troisième cycle en Allemagne de l’Est, pays qui ne reconnaît pas Israël et qui coordonne en grande partie les activités anti-israéliennes du bloc soviétique, y compris les opérations terroristes. En 1986, il obtient un doctorat de philosophie à l’université Humboldt de Berlin-Est, qui est alors l’un des bastions intellectuels du totalitarisme communiste. Cela ne l’empêche nullement de revenir en Israël, pour y mener une carrière universitaire à deux volets : chercheur à l’Institut Van Leer, l’équivalent israélien du CNRS, et doyen de la faculté de philosophie et des études culturelles à l’université palestinienne de Birzeit, en Cisjordanie.

En 1996, il est élu député au parlement israélien, la Knesseth, sur la liste nationaliste arabe Balad, d’inspiration nassérienne. Aucune instance officielle israélienne ne s’oppose à cette élection pour des motifs de sécurité nationale. Il est réélu à quatre reprises : en 1999, en 2001, en 2003 et en 2006. En 1999, il fait même acte de candidature au poste de premier ministre. Sa ligne politique ? Un rejet catégorique de l’Etat d’Israël en tant que tel et de ses institutions, un soutien systématique au nationalisme palestinien et au nationalisme arabe, un militantisme incessant pour la transformation d’Israël en un Etat binational judéo-arabe destiné à se dissoudre dans une Grande Palestine arabe. En revanche, pas le moindre soutien à ses frères arabes chrétiens israéliens (notamment quand les musulmans de Nazareth tentent de construire une mosquée géante en face de la Basilique catholique de l’Annonciation) ou aux Palestiniens chrétiens (soumis à des persécutions incessantes et contraints à l’exil après l’instauration de l’Etat autonome palestinien en 1994).

En 2001, Bishara se rend en Syrie, pays avec lequel Israël est en guerre de jure et de facto. Il y rencontre le président Bashar el-Assad, et y fait l’éloge du Hezbollah, l’organisation terroriste et collaborationniste qui quadrille la communauté chiite libanaise pour le compte de Téhéran et Damas. Le gouvernement israélien – alors dirigé par Ariel Sharon – ordonne une enquête. Elle se concluera par un non-lieu. Mais la Knesseth votera une nouvelle loi interdisant à ses membres tout contact non-autorisé avec des Etats ennemis.

Pendant la guerre de l’été 2006 entre Israël et le Hezbollah, Bishara prend bruyamment parti pour ce dernier. En septembre 2006, il se rend en Syrie en compagnie de deux autres députés arabes israéliens : il met publiquement en garde ses interlocuteurs contre une nouvelle guerre qu’Israël déclencherait pour « rétablir sa capacité de dissuasion militaire ». Il se rend ensuite au Liban, où il affirme que « le Hezbollah a stimulé l’esprit de résistance du peuple arabe ». Cette fois, les autorités israéliennes déclenchent des poursuites, notamment en invoquant la loi de 2001.

Bishara prend peur. Il quitte Israël en avril 2007. Le 22 avril, il fait parvenir à la Knesseth sa démission, par l’intermédiaire de l’ambassade israélienne au Caire.

Ce qui ressort de ces données, c’est l’image – peu reluisante – d’un homme à qui une démocratie, Israël, aura permis de mener sa vie et sa carrière à sa guise, et qui n’aura eu de cesse de la combattre, de la diffamer et finalement de la trahir.

Mais l’essentiel, le plus décisif, est dans l’interview que Bishara, après sa fuite, donne le 18 avril dernier à Al Jazeera, le CNN arabe basé au Qatar. Il y déclare qu’il a « grandi au cœur de la culture arabe », qu’il a « des amis dans tout le monde arabe », qu’il n’a « aucune identité israélienne » et que « les ennemis d’Israël ne seront jamais ses ennemis ». En clair, il n’y aurait pas, selon lui, de conflit israélo-palestinien – il ne prononce pas une seule fois le mot de « Palestine » - , mais plutôt un conflit global entre Israël et l’ensemble d’un monde ou d’une nation arabe, dont il serait, en dépit de son passeport israélien, un citoyen et un combattant .

Dont acte. Si Israël s’était créé aux dépens d’une nation palestinienne, il lui devrait des réparations et devrait accepter, au minimum, un partage territorial sur un pied d’égalité. Mais si la nation palestinienne n’existe pas, et si le conflit se situe, comme le dit Bishara, entre Israël et la nation arabe tout entière, on entre dans une logique totalement différente, celle d’un tout petit Etat qui défend sa survie face à ensemble géopolitique infiniment plus grand. Et qui, dès lors, a le droit d’exiger un espace territorial minimum, un pré carré sur la Terre promise.

Interrogé en 1937 par une commission d’enquête britannique sur la Palestine, Vladimir Jabotinsky avait déclaré que les revendications d’un monde arabe déjà pourvu de nombreux Etats étaient sans doute respectables en soi, mais qu’elles apparaissaient, quand on les comparait à celle d’un peuple juif sans Etat, comme « les revendications de l’appétit » face à « celles de la faim ». Soixante-dix ans plus tard, Bishara confirme ce point de vue.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Meyer (Meyer) le mardi 01 mai 2007 - 10h00:

Pour comparer les programmes des deux candidats

http://www.politiquecafe.com/liberation/

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Maurice (Maurice) le mardi 01 mai 2007 - 09h44:

lundi 30 avril 2007, 19h36

Nicolas Sarkozy ne se voit pas en homme de la droite dure

PARIS (Reuters) - Nicolas Sarkozy se définit comme le candidat d'une "droite républicaine enfin décomplexée" et récuse l'image d'homme de la droite dure, atlantiste, et à la fois pro-israélien et pro-américain.

"Cette perception n'est évidemment ni fidèle ni juste", déclare le candidat de l'UMP dans une interview au quotidien israélien Jerusalem Post.

"J'ai voulu être le candidat d'une droite républicaine enfin décomplexée de ne pas être la gauche, d'une droite sûre de ses valeurs: le travail, l'autorité, la primauté de la victime sur les délinquants, l'effort, le mérite, le rejet de l'assistanat, de l'égalitarisme et du nivellement par le bas. Cela fait-il de moi un homme de la droite dure ?", demande-t-il.

Nicolas Sarkozy souligne s'être efforcé de faire reculer une insécurité "qui avait littéralement explosé sous le gouvernement de gauche" de Lionel Jospin et affirme avoir obtenu "des résultats significatifs."

En matière économique, le président de l'UMP se présente avant tout comme "un adepte du pragmatisme."

"Je crois aux libertés économiques. Je crois à l'économie de marché. Mais je sais aussi que le marché ne dit pas tout et ne peut pas tout. Je crois au volontarisme politique en matière industrielle et technologique", dit-il.

Nicolas Sarkozy se dit "viscéralement attaché à l'indépendance de la France et de l'Europe vis-à-vis de quelque puissance que ce soit."

"Et je déplore que l'Union européenne ne fasse pas preuve de davantage d'unité, de réalisme et d'autonomie dans ses relations économiques et commerciales avec les autres régions du monde, comme dans sa politique étrangère et de défense", ajoute-t-il.

Néanmoins, Nicolas Sarkozy ne voit pas là "d'incompatibilité avec le fait de considérer les Etats-Unis comme une grande démocratie avec laquelle nous avons beaucoup de valeurs communes et des liens historiques indéfectibles".

De même, il ne voit d'incompatibilité "entre la reconnaissance du droit des Palestiniens à disposer d'un Etat viable et le fait de considérer la sécurité d'Israël comme non négociable."

"Cela fait-il de moi un 'atlantiste', un 'pro-israélien' et un 'pro-américain' ? C'est une lecture qui à tout le moins manque de la plus élémentaire subtilité. La vérité, c'est que ceux qui disent cela sont des anti-Israéliens et des anti-Américains", ajoute Nicolas Sarkozy.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Viviane (Viviane) le mardi 01 mai 2007 - 00h14:

Post-scriptum: la nouvelle s'intitule : "Je m'appelle Guilgoul".

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Viviane (Viviane) le mardi 01 mai 2007 - 00h11:

S'agissant de chat, je vous recommande l'une de mes nouvelles qui se trouve dans mon dernier ouvrage : "L'avant-dernier marrane". C'est l'histoire d'un chat qui participe à l'alya de deux personnes âgées. Il évoque la préparation à ce bouleversement jusqu'à leur installation à Tel-Aviv à la première personne.Viviane

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Jero (Jero) le lundi 30 avril 2007 - 22h12:

VIDEO DU JOUR SUR KIF TV

Videos Gratuites sur KifTV.com

L'ITUNES

Cliquer ici pour jouer la video

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le lundi 30 avril 2007 - 21h05:

Vinograd

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le lundi 30 avril 2007 - 19h40:

Un traducteur de France 2 licencié pour avoir raillé Sarkozy

Une blague dans le sous-titrage en anglais d’un journal télévisé de France 2, prêtant un "ego surdimensionné" au candidat de l’UMP Nicolas Sarkozy, a entraîné le licenciement de son auteur.

Par Grégory ONILLON

LIBERATION.FR : lundi 30 avril 2007

Un traducteur américain des journaux télévisés de France 2 a été licencié pour s’être livré à une facétie en traduisant un discours de Nicolas Sarkozy.

Aux Etats-Unis, le journal de France 2 est diffusé sur plusieurs chaines du câble, pour les francophones mais également pour les anglophones qui peuvent suivre les informations françaises grâce aux sous-titres.

Le 23 avril, un reportage du journal montre un discours de Nicolas Sarkozy. A un moment, le candidat UMP invite les Français à «s’unir à moi». Ce qui, traduit avec un brin de fantaisie en anglais, donne: «rally my inflated ego» («unissez-vous à mon ego surdimensionné»).

Cette «blague» est ensuite relatée sur le site FrenchMorning, site d’actualité pour les francophones exilés aux Etats-Unis. Les réactions ne se font pas attendre. Jean Lachaud, un élu des Français aux Etats-Unis, contacte alors le service de traduction de France Télévision pour essayer de comprendre les raisons de cette «faute grave de sous-titrage». Guy Wildenstein, le représentant de l’UMP dans l’est des Etats-Unis, adresse également une plainte aux CSA pour dénoncer la conduite du traducteur blagueur.

L’équipe de traduction de France Télévision, par la voix de sa responsable Claire Quidet, fait savoir que «aussi impardonnable que soit cette erreur, il serait faux de croire qu’il s’agisse d’un sous-titre anti-Sarko. Il s’agit plutôt d’une blague de potache d’un traducteur un peu surmené, qui aurait pu s’appliquer à n’importe quel autre personnage, politique ou non, que le traducteur aurait eu à traduire ce soir-là».

Cette «blague de potache» n’est cependant pas du goût de la direction de France 2. Philippe Baudillon, le directeur général de la chaîne, juge l’incident «inadmissible» et laisse entendre que l’auteur de cette traduction ne travaillera plus pour la chaîne.

http://www.liberation.fr/actualite/politiques/250888.FR.php
© Libération

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le lundi 30 avril 2007 - 19h27:

Mouloud Aounit et le communautarisme
30/04/07

- - Thème: Communautarisme

Actualité juive du 26 avril revient sur la candidature de Mouloud Aounit, président du MRAP aux élections législatives « qui comptait se voir attribuer l’investiture PCF dans la troisième circonscription de Seine-Saint-Denis (Aubervillier, La Courneuve, le Bourget) ». Il a été battu par Meriem Derkaoui qui, contrairement au président du MRAP, « avait dans le passé pris des positions extrêmement claires sur l’intégrisme, le voile et le droit des femmes » rapporte l’hebdomadaire. Aujourd’hui les militants du PCF désavouent Aounit après ses différentes prises de positions. Aounit menace aujourd’hui de « jouer la carte ethnique » s’il n’était pas choisi comme candidat, alors qu’il déclarait dans une interview au Bondy Blog - un site Internet de Seine-Saint-Denis - qu’« il faut bien comprendre que le processus de maturation des populations issues de l’immigration est irréversible. Elles vont pouvoir faire et défaire les maires et les élus régionaux ».

Les dérives de Mouloud Aounit à travers le MRAP sont également dénoncées jusqu’à l’intérieur de son association, rappelle Actualité juive, notamment à cause du « soutien aux organisations palestiniennes les plus extrémistes, du flirt avec les islamistes français, de la sous-estimation de l’antisémitisme et du boycott des organisations juives » mais aussi à cause de « son double langage dans l’affaire Redeker, sur le blasphème ou de son attitude dans l’affaire Dieudonné ».

Enfin, Actualité juive a rappelé que ce n’est pas la première fois que Mouloud Aounit « qui rêve d’une carrière politique » dérape sur le terrain du communautarisme. En 2004, un grave incident l’avait déjà opposé à Jean-Paul Huchon, président du Conseil régional d’Île-de France. Le Président du MRAP avait alors exigé la vice présidence de la région qui lui avait été refusée à cause de ses relations trop voyantes avec le théologien Tariq Ramadan. Mouloud Aounit furieux aurait alors lancé à l’adresse du président de la région : « tu es aux mains du lobby juif ! ». Déclarations « un peu gênantes venant d’un champion de l’antiracisme » – a souligné Actualité juive.

http://www.crif.org/index.php?page=articles_display/detail&aid=8832&artyd=5

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Victor (Victor) le lundi 30 avril 2007 - 19h24:

75% des Arabes Israéliens pour un Etat juif démocratique
30/04/07

- Thème: Israël

Le quotidien israélien Haaretz, rapporte que 75% des Arabes israéliens soutiennent l’idée d’une constitution qui maintiendrait Israël dans son statut d’Etat juif et démocratique d’après un sondage publié le 29 avril.

Ce sondage a été réalisé par l’institut de recherche indépendant Israel Democracy Institute. Ses résultats montrent, d’après son directeur, qu’il est possible de parvenir à un accord avec les arabes israéliens sur des termes qui fixeraient une telle définition de l’Etat d’Israël dans un éventuel texte constitutionnel, alors que des organisations arabes israéliennes appellent quant à elles à une nouvelle définition « multi-culturelle » de l’Etat juif.

http://www.crif.org/index.php?page=articles_display/detail&aid=8827&artyd=5

L'article original en anglais

29/04/2007

Poll: 75% of Israeli Arabs support Jewish, democratic constitution

By Yoav Stern, Haaretz Correspondent

http://www.haaretz.com/hasen/spages/853564.html

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Hajkloufette (Hajkloufette) le lundi 30 avril 2007 - 18h44:

Oui Lapid je pense que c est tout a l honneur d Israel d etre capable d une auto critique aussi difficile et douloureuse soit elle . Cette hyper democratie sait mettre ses gouvernants et ses militaires en question ... Echec cuisant a declare a maintes reprises le juge Winograd ... c est tres dur et tres traumatisant car de nombreuses victimes et peut etre de nombreuses souffrances auraient pu etre epargnees ... Mais comme tu le dis on saura aussi depasser cette epreuve et ne pas refaire les memes erreurs ... Nous n attendons pas la fin d une periode pour mettre les gouvernants face a leurs erreurs c est tres bien ... j espere que leurs reactions et leurs decisions seront a la hauteur du courage de nos soldats qui ont ete irreprochables mais aussi du courage des populations qui ont subi le pire tout en soutenant toutes les decisions ... car pendant la bataille on ne regle pas ses comptes ...

Je suis certaine qu on surmontera ce traumatisme et que nos soldats kidnappes reviendront bientot chez eux ... nous n avons pas le droit de les oublier ... Ve yachouvou banim le gvoulam

Am Israel Hay