Archive jusqu'au 01/juillet/2005

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2005: Commentaires Juillet 2005: Archive jusqu'au 01/juillet/2005
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 30 juin 2005 - 19h07:

ACTUALITE JUIVE....


'...Le chantage israelien celà existe...!'

Comme quoi, il suffit de parler de vols pour qu'EL AL prenne la mouche au vol...!'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le jeudi 30 juin 2005 - 19h04:

LE BUS DE L AMITIE..

Le groupe musicale...'...FERGANI...!'

Pourvu que tout celà ne finnisse pas en TFERGINA...!'

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Pauline (Pauline) le jeudi 30 juin 2005 - 18h30:

Le CRIF soutient Actualité Juive victime de boycott


Tout commence le 2 juin. Actualité juive, « l’hebdomadaire de la communauté de France » publie en « Une » un dossier au titre sans ambiguïté : « Tourisme juif français en Israël : vous avez dit pigeons ? » Le journal dirigé par Serge Benattar constate que les touristes juifs de France sont pris pour des « vaches à lait », notant que « cela commence avec les vols dont les prix sont prohibitifs, El Al abusant d’une situation de quasi-monopole. Et cela se poursuit avec les hôtels ». Dans ce même numéro, Meyer Habib, membre de l’Exécutif du CRIF, annonce que le problème des billets d’avion sera évoqué par le CRIF dans une rencontre avec Ariel Sharon, ce qui sera fait le 7 juin. Roger Cukierman décrit l’entretien dans Actualité Juive du 16 juin.
Depuis la publication du dossier d’Actualité juive, le ministère israélien du tourisme a décidé de « rompre toute relation » avec ce média. Des annonceurs touristiques ont annulé leur campagne publicitaire.
Le CRIF n’a pas apprécié. Roger Cukierman a écrit à Avram Hirschensohn, le ministre israélien du Tourisme, pour lui faire part du « choc de la communauté juive ». Le président du CRIF ne « comprend pas » que le ministre « utilise l’arme du boycott » - tout comme les ennemis d’Israël contre lesquels « nous luttons jour après jour ».

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Claudia (Claudia) le jeudi 30 juin 2005 - 19h00:

L’étape lyonnaise du Tour de France de l’Amitié judéo-musulmane : « Un nouveau souffle pour les deux communautés»


L’étape lyonnaise du Tour de France de l’amitié Judéo-musulmane, sous l’égide du CRIF Rhône-Alpes, du CRCM et de l’Association Nationale des Elus de Banlieue (ANEB) a été préparée avec beaucoup d’enthousiasme. Marcel AMSALLEM, le Président du CRIF Rhône-Alpes a pour l’occasion rappeler que « c’est la première fois à Lyon qu’une telle manifestation voit le jour pour célébrer une volonté commune de se retrouver sur un terrain de dialogue et d’amitié. Le renforcement de nos liens était d’ailleurs la priorité que je m’étais fixée lors de mon élection à la tête du CRIF, pour que l’amitié judéo-musulmane soit à l’image de l’amitié judéo-chrétienne ; une relation qui à l’origine n’était pas des plus simples mais qui a fini par ouvrir la voie au respect mutuel jusqu’aux plus hautes autorités de l’Eglise. »
Il était en effet déjà question, depuis plusieurs mois, d’organiser à Lyon les « Premières Rencontres Citoyennes judéo-musulmanes », c’est donc tout naturellement que les communautés et associations juives et musulmanes de Lyon ont accepté de s’investir pour l’initiative remarquable du Rabbin Michel SERFATY.

Le Président du CRCM, Kamel KABTANE en campagne électorale a regretté de ne pouvoir s’impliquer davantage dans les préparatifs des manifestations. Il a cependant donné sa bénédiction au CRIF et à l’ANEB pour préparer au mieux cette étape importante du Tour de France de l’Amitié. « Nous voulons instaurer le climat de confiance qui a fait défaut… Nous avons un passé commun. Ce qui nous sépare est ce qui se passe ailleurs ».

Dès leur arrivée dans la capitale des Gaules le 24 juin, les passagers du Bus principalement composé de Scouts musulmans de France, se sont rendus à la Grande Synagogue de Lyon puis au centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation. En fin d’après-midi, les jeunes des mouvements de jeunesse juifs (UEJF, Hashomer Hatzaïr, EEIF) et musulmans (Scout musulmans) de Lyon les attendaient à Villeurbanne autour d’un atelier discussion sur les « représentations du juif et du musulman » immédiatement suivit de la diffusion d’un film du journaliste du Progrès, Franck BENSAÏD sur l’interreligieux à Lyon. Le Maire de Villeurbanne, Jean-Paul BRET a clos la soirée par des mots chaleureux et le souhait de revoir jeunes juifs et jeunes musulmans encore plus nombreux l’an prochain.

Le dimanche suivant, accompagné de David GAMRASNI, le Directeur du CRIF Rhône-Alpes, les passagers du bus de l’Amitié judéo-musulmane se sont rendus dans deux des synagogues faisant fréquemment l’objet d’attaques et de dégradations dans l’agglomération lyonnaise. En 2000, la synagogue de Vénissieux avait été incendiée alors que celle de la Duchère avait été attaquée en 2002 à la voiture bélier. C’est dans ces synagogues que le CRIF a donc choisi de faire se rencontrer juifs et musulmans.
La journée de dimanche s’est conclue en la Grande Mosquée de Lyon qui a reçu les jeunes du bus de l’Amitié. David GAMRASNI y a expliqué que « depuis plusieurs années un malaise et une certaine défiance entre les communautés juives et musulmanes s’étaient installées » et qu’il fallait « rebâtir notre amitié et renforcer nos liens pour faire tomber les barrières entre nos deux communautés ». Moustapha GHOUILA, Secrétaire général de l’ANEB a pour sa part rappelé que durant ces trois jours « il a été possible aux jeunes juifs et musulmans de nos quartiers de dialoguer et de mieux se connaître afin d’établir des liens d’amitié entre nos deux communautés ».

Lundi 27 juin au soir, une manifestation organisée par le CRIF, le CRCM et l’ANEB a eu lieu dans les grands Salons de l’Hôtel de Ville de Lyon où le Sénateur-Maire a accueilli les passagers du bus de l’amitié. Le Rabbin Michel SERFATY et le Président de l’ANEB, Azedine HAFFAR ont donné une conférence sur le thème « juifs, musulmans et citoyens » devant plus de 300 responsables d’associations et de communautés juives et musulmanes, d’élus et de parlementaire. Michel SERFATY a expliqué que l’AJMF « descendait sur le terrain pour ne pas être complice du repli identitaire » tandis qu’Azedine HAFFAR s’est félicité du travail accompli en commun avec Marcel AMSALLEM et David GAMRASNI, « juifs, musulmans, nous sommes unis au nom du pacte républicain pour une amitié sincère et fraternelle ». Le Ministre délégué à la promotion de l’égalité des chances, Azouz BEGAG, est venu tout spécialement pour l’occasion et par amitié pour les organisateurs. « Quand j’habitais à la Duchère dans une barre qui va être prochainement détruite, j’avais un voisin Patrick Cohen qui en est lui aussi sorti par le haut puisqu’il a fait l’ENA. Il était en poste à l’Ambassade de France au Ghana et s’apprêtait à rentrer en France. Alors je lui ai demandé d’être mon conseiller spécial. Voilà le juif et l’arabe qui sont sortis tous les deux du même immeuble qui vont travailler ensemble ».

La manifestation s’est terminée autour d’un cocktail de l’amitié dans une ambiance arabo-andalouse avec le groupe de musique Fergani.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le jeudi 30 juin 2005 - 18h56:

Mr Sarel, Autant je vous avais félicité au début de votre apparition sur le site, mais aujourd'hui honnêtement j'ai du mal à suivre votre logique. Si vous consulteriez les pages d' accueil sur ce site, vous trouverez qu'il y avait plusieurs écrits justement se référant au mur et au Ghetto de la Hara. Je suis certain que dans votre commentaire vous voudriez nous communiquer un point de vu important.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par A_Soued (A_Soued) le jeudi 30 juin 2005 - 09h41:

LE NOUVEAU PRÉSIDENT FANTOCHE D'IRAN



Par Banafsheh Zand-Bonazzi, journaliste iranien

Paru dans www.FrontPageMagazine.com du 27 juin 2005

Traduit par Artus pour www.nuitdorient.com



Un fondamentaliste dur, Mahmoud Ahmadinejad, a déferlé vers le pouvoir en Iran, écrasant son adversaire le soit-disant modéré Akhbar Hashemi Rafsanjani, lors du 2ème tour des élections présidentielles.

Le régime iranien a admis que moins de 7 millions de votants se sont présentés aux urnes lors de ce 2ème vote. Ce n'est pas une surprise vu que le régime des mollahs ne bénéficie pas du support populaire. En fait il survit par des méthodes barbares et il continue à trafiquer les chiffres pour se maintenir. Alors que les Iraniens ont compris cela depuis belle lurette, les médias occidentaux continuent d'accepter les mensonges concoctés par les mollahs en Iran.

Les détails de ces élections offrent une image déprimante de la situation, des despotes régnant sur le peuple iranien et le menant on ne sait où. Des photos prises à travers le pays et envoyées sur le net dans divers sites et blogs montrent que la plupart des bureaux de vote étaient vides et que 30%des gens qui se sont présentés pour voter, généralement obligés de le faire parce qu'ayant subi un chantage, ont voté "blanc", pour protester contre le régime. Les méthodes d'intimidation étaient générales. La Gestapo iranienne a menacé de sévir quant à la situation des fonctionnaires, aux retraites des vieux et à la possibilité de s'inscrire à l'université des étudiants. Intimidés à la pointe du fusil, les gens pauvres et les paysans ont été amenés vers les bureaux de vote de force. On a même fait voter les morts.

Les journalistes indépendants n'étaient pas autorisés à prendre des photos de bureaux de vote vides tels que Hosseiniyeh Ershad, au nord de Téhéran, et la presse internationale --toujours prompte à déformer la réalité pour plaire au régime -- a été dirigée vers les bureaux de poste où on a réussi à traîner des votants par force.

Ce qui est sûr c'est qu'au moins 90% de la population urbaine du pays (environ 43 millions sur 72) est restée à la maison et n'a même pas essayé de s'aventurer dans la rue, encore moins pour voter. La plupart des votes viennent des zones rurales où Ahmadinejad s'était attardé, trompant des gens innocents par les mêmes promesses vides que celles de Khomeini, aux premiers jours de la révolution.



Le groupe terroriste Ansar-el H'izbollah qui a soutenu Ahmadinejad de tout son cœur a clamé que la victoire était celle de la "sensibilité Basiji", les basijis étant des cadets dévoués de la garde révolutionnaire qui travaillent comme des "vigiles" dans la rue, cherchant tout contrevenant, notamment vestimentaire, à la loi islamique. En fait, appartenant à la Garde Révolutionnaire, Ahmadinejad est un assassin réputé de nombreux dissidents iraniens qui vivaient en Europe et il a un casier judiciaire ouvert en Autriche pour avoir personnellement tué en 1989, à Vienne un responsable de l'opposition kurde, Dr Ghassemlou. Il a aussi dirigé l'escouade directement responsable de l'exécution de la "fatwa" sur la personne de Salman Roushdi. Et enfin il s'est surtout distingué comme preneur d'otages à l'ambassade américaine et il est connu aussi pour avoir poussé avec véhémence à envahir l'ambassade soviétique à Téhéran.

Devenus célèbres dans le monde pour abuser des SMS, les jeunes Iraniens ont commencé à appeler Ahmadinejad "le chimpanzé du Chef Suprême" (rappelons que le régime a banni les SMS pendant la période des élections).

Ce qui ressort avec clarté de cette élection est la crise intérieure du régime lui-même. Humilié, Rafsanjani est sorti de cette élection comme un perdant sur la scène politique, concédant sa défaite avec amertume et promettant une "vengeance divine" contre ceux qui ont truqué cette élection. Aujourd'hui le Guide Suprême Ayatollah Seyed Ali Khamenei est totalement en charge, dirigeant le pays avec un pouvoir absolu. Il avait décidé qu'il ne pouvait tolérer aucune forme de compromis vis à vis de ceux qui étaient considérés comme des modérés ou des "pragmatiques".

Ainsi l'Iran se dirige vers un choc avec l'Occident. Aussi bien Khamenei que son porte parole Ahmadinejad ont tous les deux répétés qu'ils allaient reprendre l'enrichissement de l'uranium, quelle que soit la réaction de l'Europe. Cette élection envoie deux messages forts au monde. Le premier vient du peuple iranien dont l'abstention flagrante au second tour montre une profonde animosité à l'égard de ce régime. Le second message vient du Guide Suprême Khamenei qui appelle clairement à une confrontation fatidique avec l'Occident, une espèce de "OK Corral" qui pourrait advenir dans les prochains mois (1).

En dernier ressort, cette élection du président Iranien représente finalement une défaite honteuse de l'Europe et de ses épouvantables tentatives de ce qu'elle appelle "diplomatie". Les "3" (Allemagne, France et Grande Bretagne) espéraient trouver un interlocuteur pragmatique avec qui poursuivre une négociation sans fin. Dans ce but, ils ont demandé à Mme Condoleeza Rice de différer une attitude plus musclée à l'égard des mollahs (2). La marge de manoeuvre diplomatique a totalement disparu avec la victoire de Ahmadinejad. Les mollahs ont fait échec aux désirs européens, comme l'a déclaré samedi Ahmadinejad, en se moquant.

Le peuple d'Iran pourrait avoir maintenant l'occasion d'en finir avec les mollahs et leur chimpanzé, de la manière qui sied bien aux Saddam Hussein ou aux Milosevic de ce monde.



Notes de la traduction

(1) Voilà ce qu'a déclaré déjà Ahmadinejad à propos d'Israël: "l'existence d'Israël est illégale et source de l'instabilité au Moyen Orient''

(2) Les premières sanctions concernent le boycott de toute entreprise ou banque qui traiterait d'une manière ou une autre avec un certain nombre de sociétés nommément désignées(on parle de 8 sociétés d'Iran, Syrie et Corée du Nord), engagées dans les armes de destruction massive. On connaîtra les limites de la patience américaine vis à vis de la nucléarisation de l'Iran à la rentrée.





Iran's New Puppet President

By Banafsheh Zand-Bonazzi
FrontPageMagazine.com | June 27, 2005

Hardline fundamentalist Mahmoud Ahmadinejad has swept to power in Iran, defeating his supposed “moderate” opponent Akbar Hashemi Rafsanjani in the second round of Iran's presidential election on Friday.

The Iranian regime admitted that 7 million less voters turned up to vote in the second round. This is no surprise, since the ruling Mullahs have absolutely no support from the Iranian population. The regime stays afloat by its barbaric means, of course, and it continues to concoct numbers to feed the public. And while Iranians have been wise to this fact from the very beginning, the Western media continues to accept the lies spun by the Mullahs in Iran.

The details of the second round of “elections” are a depressing picture of where the ruling despots in Iran now stand with their own people. Photos taken by Iranians across Iran and posted on various Iranian websites and blogs, show that polling stations were mostly empty and that 30% of the people who showed up to vote due to having been blackmailed by the regime's forces deposited blank ballots into the boxes in protest. The intimidation was widespread: Iran’s Gestapo threatened civil servants’ jobs, old people's pensions and students’ grades and future university enrolment. The poor and rural people were intimidated by gun-toting guards who rounded them up to the polling stations. Even dead people’s I.D. cards got stamped so they could vote.

Independent reporters were not permitted to openly take photographs of polling stations as big as Hosseiniyeh Ershaad (uptown Tehran where no one turned up), while members of the international press, who are always happy to twist the truth in favor of the regime, were mostly hustled off to polling stations where intimidated voters were forced to stand.

What is certain is that at least 90% of the urban population of the country (which in fact constitutes almost 43 million of the 72 million population of Iran) stayed home and did not even step foot into the streets, let alone go to vote. The bulk of the votes, therefore, comes from rural areas where Ahmadinejad had in fact done a little stomping, promising innocent people all of Khomeini's empty promises from the early days of the revolution.



The terrorist group Ansar al-Hezbollah, which is a wholehearted supporter of Ahmadinejad, claimed this as a victory for the Basiji “sensibility.” Basijis are devoted cadets of the revolutionary guards who act as street vigilantes, trolling for people to "discipline" for infringements of any violations from the imposed Islamic laws (which includes dress codes). In fact, Ahmadinejad in his capacity as a member of the Revolutionary Guard is a known assassin of many Iranian dissidents who lived in Europe and has an open criminal file in Austria for having personally killed the leader of the Kurdish opposition, Dr. Ghassemlou in Vienna, in 1989. He has also headed up the squad that is directly responsible for the fatwa to assassinate Salman Rushdie. And last but certainly not least, as one of the hostage-takers of the U.S. embassy, he was known to have vehemently pushed for the invasion of the Soviet embassy in Tehran as well.

Young Iranians who have become world famous for their SMS'ing -- which prompted the regime to ban SMS messages during the election week -- have begun calling Ahmadinejad "The Supreme Leader's personal Chimp."

What is clear from this election is the extreme crisis that exists within the regime itself. The scorned Rafsanjani, who emerges from this event as the big loser of the political scene, conceded his defeat to Ahmadinejad with great bitterness and promised “divine vengeance” against the election violators. The Supreme Leader Ayatollah Seyyed Ali Khamenei is now completely in charge, governing the country from a position of absolute strength. He decided that he could no longer tolerate any form of compromise with the more moderate and pragmatic sectors of the regime that still support the so-called reformists.

Thus, Iran is now heading on a collision course with the West. Both Khamenei and his mouthpiece, Ahmadinejad, have recently reiterated that they will resume uranium enrichment, no matter what the European Union says.

The Iranian election sent two strong messages to the world. The first message is from the people of Iran, whose blatant low turnout to the electoral ballots underlined the profound animosity they hold toward the regime.

The second message is by the Supreme Leader Khamenei, who is clearly calling for a fateful showdown with the West, a challenge for a showdown at the “OK Corral” that may occur even in the next few months.

Finally and most importantly, the outcome of the election in Iran represents a miserable defeat for Europeans and their abysmal attempts at what they like to call diplomacy. The Euro 3 (UK, France, Germany) hoped to find a pragmatic interlocutor with whom to continue negotiations. To this aim they asked Dr. Rice to postpone a strong stance against the Mullahs until after the elections. Their margins for diplomatic maneuvering have now entirely disappeared with the “victory” of Ahmadinejad.

Europeans have now been checkmated by the Mullahs as Ahmadinejad so impishly pronounced on Saturday. The people of Iran now just might have the opportunity to finally deal with the Mullahs and “their Chimps” in a manner that befits the Saddams and the Milosevics of the world.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Sarel (Sarel) le jeudi 30 juin 2005 - 07h24:

Le mur une idee
Dans les derniers centenaires le juif a
vecu dans des quartiers specialement definis pour lui par le pouvoir Il etait tenu a y etre la nuit 'c'etait le guetto ou la hara
Il a tout fait pour s'en sortir/Il etait cloitre pour pouvoir le surveiller .En general il dependait du roi directement comme bien personnel .Grace aux differents evenements et
le changement du systeme economique 'les conditions se sont amelliorees 'et le juif a pu quitter son guetto .Le dernier essai de le remettre cette fois ci pour le detruire etait a varsovie en 1943
En israel 'l'israelien veut construire un mur pour sa securite .Le monde n'est pas d'accord"
""Ce sont nous qui avons toujours decide' ou et quand costruire le mur "lui font savoir
Je cherche a me defendre repond l'israelien.
Le tribunal international decide "pas de mur"
Les nations qui ont toujours edifie le mur de separation sont cette fois ci contre .Le juif qui sait ce que c'est ne veut pas de mur 'il observe et attend
L'Israelien s'obstine !!!
Cest bizarre sarel

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Mena (Mena) le mercredi 29 juin 2005 - 21h52:

Breaking news : agression du Hezbollah à Har Dov et à Kiriat Shmona. 3 morts, 2 blessés (info # 012906/5) [analyse]

© Metula News Agency


Metula, 18h 07 heure d’Israël, 17h 07 en France


L’agression spontanée du Hezbollah a débuté à 16h 45 heure d’Israël et se poursuit pendant que nous publions ces lignes, quoique de façon sporadique depuis 17h 30. Selon les sources de la Ména, 3 Israéliens ont été tués et 2 autres blessés. (Ces informations sont encore à prendre au conditionnel).



Les attaques se sont déroulées simultanément dans la région de Har Dov (Fermes de Shaba) et, pour la 1ère fois depuis plusieurs années, sur la ville de Kiriat Shmona sur laquelle une roquette de Katioucha se serait abattue.



Un reporter-photographe de l’agence a pu photographier les échanges de tirs sur les contreforts du Golan et nous publierons ces images ultérieurement en soirée.



Pour le moment, l’artillerie de Tsahal a pilonné les positions du Hezbollah dans la région des combats mais l’aviation n’est pas intervenue.



L’écho des obus de divers calibres fait trembler le paysage toutes les quelques minutes.



La cellule de crise de la Ména est mise en place et nous continuerons d’informer nos abonnés sur notre site ainsi que par des dépêches en cas de détérioration de la situation.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Albert (Albert) le mercredi 29 juin 2005 - 21h21:

"Non aux racistes, non aux antisémites !"


Nous vous donnons l'occasion de réagir face à l'appel lancé par Libération.

www.nonauxracistes.com

Suite à l'appel diffusé par Libération, en date du 24 juin dernier, à témoigner sa solidarité à l'égard d'Edgar Morin, qui a pourtant été condamné par la justice française pour diffamation raciale, le journaliste Stéphane Juffa répondait le lendemain dans un article à la tentative de certains des principaux milieux intellectuels français de légaliser et vulgariser l'expression publique antisémite.

« Parce que les gens qu'ils soutiennent et leurs thèses propagent assurément une démarche raciste ; que le racisme est l'un des fléaux les plus ravageurs de notre planète ; que quiconque admet de côtoyer le racisme sans le combattre fait courir un risque à ses semblables (.) ».

La légitimation de l'expression antisémite et anti-israélienne en France fait courir un danger immédiat à notre société, à notre liberté ainsi qu'à la sécurité des citoyens dans notre pays. Les signataires de l'appel de solidarité au raciste Edgar Morin ont engagé un bras de fer afin d'accréditer l'inacceptable. L'article de Stéphane Juffa y répond de manière détaillée et précise.

Un collectif « non aux racistes », le plus large possible, ouvert à tous les démocrates de ce pays, se met en place et va leur permettre d'exprimer leur indignation en s'associant au contenu de l'article « Appel dans Libération à la solidarité raciste engendrant ma déclaration de guerre intellectuelle totale », dont nous vous invitons à prendre connaissance sur le site http://www.nonauxracistes.com (le texte est également disponible en pièce jointe au présent email).

Rendez-vous sur le site http://www.nonauxracistes.com, et associez-vous à ce texte en remplissant le formulaire mis à votre disposition.

Invitez également vos proches à participer à cet acte civique !

De mon correspond Suggest pour AGSB. LTD..

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le mercredi 29 juin 2005 - 18h56:

Les Samaritains de Terre sainte

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Il faut tourner à gauche, juste avant d'arriver au barrage israélien de Hawara dressé à l'entrée de Naplouse, en Cisjordanie. La route parfaitement goudronnée serpente sur quelques centaines de mètres au milieu des collines, longe l'entrée fleurie et les toits rouges de la colonie juive de Braha, puis s'enfonce dans le cœur d'un village palestinien aux trottoirs exceptionnellement soignés, bordés de maisons coquettes. En surplomb, le mont Garizim, un tertre venteux où subsistent quelques "vestiges archéologiques", explique la présence en ce lieu précis d'une communauté de 350 personnes qui cumule les superlatifs et les étrangetés : les Samaritains.


Si l'on en croit leur grand prêtre, Abd Moïn Sadaqa, qui reçoit en anglais dans son luxueux salon, les Samaritains possèdent la plus ancienne Torah du monde : "3 645 ans, environ." Ils sont, disent-ils, le "plus vieux peuple monothéiste" de la Terre. Ils prient, chantent et honorent Dieu "exactement comme le faisait Moïse" . Et la moitié d'entre eux vivent sur le "seul véritable lieu saint du judaïsme" , le mont Garizim, où, selon leurs croyances, Abraham serait venu procéder au sacrifice d'Isaac. Portés par leur foi, les Samaritains ne doutent de rien. Au fil des siècles, c'est peut-être ce qui les a sauvés de la disparition.

Avec ses 700 membres, bizarrement répartis entre les faubourgs de Naplouse en Palestine et les environs de Tel-Aviv, en Israël, la communauté "est aujourd'hui en expansion", assure sans rire Benyamin Tsedaqa, responsable de la revue d'informations sur les Samaritains, publiée en hébreu et "tirée à 2 000 exemplaires. Notre peuple comptait 1,2 million de croyants il y a mille quatre cents ans. Mais, au milieu du XIXe siècle, seules 122 personnes étaient encore en vie" , précise Hosni W. Cohen, qui a mis son inébranlable ferveur au service du minuscule Musée des Samaritains, ouvert il y a huit ans sur le mont Garizim. "En 1917, témoigne encore M. Tsedaqa , mes grands-parents faisaient partie des 146 survivants demeurés à Naplouse."

Si la survivance des Samaritains tient du "miracle" , leur quasi-disparition, elle, "s'explique aisément. L'un des commandements de la Torah exige de vivre sur la Terre sainte. Contrairement aux autres juifs, qui se sont éparpillés à travers le monde, nous sommes restés ici, en butte aux persécutions et aux révoltes de toutes sortes. Cela a failli nous être fatal" , explique doctement l'éditeur, assurant que "pas un seul Samaritain ne vit à l'étranger" . Seule leur foi tenace, fondée sur un respect strict des croyances héritées des premiers temps bibliques, les aurait préservés.

Selon la tradition, les Samaritains se sont séparés du peuple juif, "il y a deux mille six cents ans. Après la mort du roi Salomon, deux royaumes ont été créés : Israël au nord, et Juda au sud. Nous sommes les descendants du royaume du Nord qui avait Samarie pour capitale. Les juifs sont les descendants du royaume de Juda. Mais nous sommes tous Israélites, fils d'Israël, au sens biblique du terme" , résume M. Cohen. Voilà pour la version officielle, défendue sur le mont Garizim.

Pour les juifs, l'origine des Samaritains est autrement plus douteuse. Au mieux, ils seraient issus d'un mélange entre Israélites, restés sur place après la chute de Samarie et les grands exils babyloniens et assyriens de 722 avant Jésus-Christ, et des colons assyriens. Au pire, les Samaritains seraient les descendants directs de ces païens idolâtres. "La tradition juive ne les reconnaît pas comme juifs, précise le rabbin écrivain Jacquot Grünewald, car ils se seraient convertis non pas par amour de Yahvé, mais pour se protéger d'une invasion de lions." C'est en tout cas ce que dit la Bible "dans le deuxième Livre des rois. La Halakha, la loi juive, ne s'applique pas à eux."

Selon certains spécialistes, le schisme remonterait au IVe siècle avant Jésus-Christ, avec la construction d'un temple sur le mont Garizim, rival inacceptable, aux yeux des juifs, du temple de Jérusalem. "Aujourd'hui encore les ultraorthodoxes nous vouent une haine terrible, à cause de cela , explique M. Tsedaqa. Mais ce ne sont pas des gens en voyage dans le monde entier pendant deux mille ans, qui peuvent nous dire en quoi il faut croire" , ajoute-t-il d'un haussement d'épaules.

"Il est clair que nous sommes dans le vrai, insiste, avec fougue, M. Cohen. "Garizim signifie 'sacrifice' en hébreu ancien. Le mont est situé exactement au centre de la Terre sainte. Samaritains vient du mot hébreu 'shomer' qui signifie 'garder', ce qui prouve bien que nous sommes les seuls gardiens de la Loi ." Des justifications étymologiques sujettes à caution selon d'autres sources.

Quoi qu'il en soit, ces "Israélites" parlant arabe et hébreu ont subsisté en plein coeur d'une société devenue musulmane. Et leur situation s'est encore embrouillée au début du XXe siècle, avec la scission géographique de la communauté. En 1907, une famille de Samaritains de Naplouse s'installe à Jaffa, sur la côte méditerranéenne de ce qui est encore, globalement, la Palestine. D'autres membres de la communauté, désireux de trouver du travail, vont suivre et en 1955, sept ans après la création de l'Etat d'Israël, ils obtiendront le droit de s'installer à Holon, au sud de Tel-Aviv.

Ces derniers, citoyens israéliens à part entière depuis 1948, sont aujourd'hui 350, recroquevillés autour de leur synagogue, rue Ben Amram (du nom du père de Moïse) dans un pâté de maisons posé le long de l'artère principale de la ville. "Mais nous avons tous une résidence secondaire sur le mont Garizim, sourit M. Tsedaqa. Et nous nous y retrouvons pour Pessah [la pâque juive]" , l'événement annuel et fondateur du rite samaritain.

Qu'ils vivent à Naplouse ou à Holon, les Samaritains du XXIe siècle observent en effet scrupuleusement des traditions qu'ils puisent dans le Pentateuque (la Genèse, l'Exode, le Lévitique, les Nombres et le Deutéronome). Ces cinq livres constituant la Torah sont les seuls écrits sacrés qu'ils reconnaissent. Uniques tenants des prières en "hébreu ancien", qu'ils enseignent à leurs enfants en cours du soir, les Samaritains célèbrent les principales fêtes juives à leur manière. Ce qui leur vaut aussi le mépris, voire l'hostilité, des juifs orthodoxes. Les Samaritains ont notamment perpétué la pratique du sacrifice de l'agneau pascal et, en 2005, en ont égorgé 48 dans un abattoir rituel installé en plein air au beau milieu du village. Autre pilier de la foi, le repos du sabbat est aussi pieusement respecté que chez les juifs orthodoxes. Ce jour-là, pas un seul appareil électrique ou mécanique, chauffage et lumière compris, ne peut être actionné.

Deux fois par jour, les hommes, parfois coiffés d'une toque, d'un turban ou d'un tarbouche, prient agenouillés, le regard tourné vers le mont Garizim. Les femmes en sont dispensées, en raison de principes de pureté draconiens, en vigueur dans la communauté. "Durant leurs règles et après un accouchement ­ 40 jours pour un garçon, 80 jours pour une fille ­, les femmes sont impures", récite M. Cohen. Leur quotidien en est bouleversé. "Nous dormons dans un lit à part, nous nous lavons dans une salle de bains spéciale et nous ne pouvons pas manger avec les autres membres de la famille ou préparer les repas" , témoigne Ginan, sa fille de 20 ans, étudiante en pharmacie à l'université Al Najah de Naplouse. "Ce sont des habitudes, pas des contraintes", affirme cette jeune femme en jean et chemisier pimpant, sous le regard de sa mère, cantonnée ce jour-là à la porte du salon pour cause d'impureté mensuelle.



Une autre règle, scrupuleusement respectée chez les Samaritains de Cisjordanie, notamment, a failli sonner le glas de la communauté : l'interdiction des mariages en dehors de "la famille" . Cette consanguinité, préservée au fil des siècles, a provoqué une dégénérescence de la population et l'on croise souvent dans les rues du mont Garizim des handicapés mentaux et physiques de tous âges, en proportion exceptionnelle. "Il nous faut du sang neuf", reconnaît à contrecœur le grand prêtre, presque octogénaire, dont plusieurs membres de la famille présentent eux-mêmes de lourds handicaps. Son propre fils a donné l'exemple il y a deux ans. Par l'entremise d'une agence matrimoniale israélienne, il s'est rendu en Ukraine où il a déniché Choura, jeune femme de 21 ans, au regard perdu. Elle vit sur le mont Garizim depuis lors, ne parle pas arabe, baragouine l'hébreu et ne jurerait pas qu'elle est juive. "De toute façon, maintenant elle est samaritaine" , tranche le beau-père, avant de la renvoyer d'un signe.

"Cette mixité est transitoire , assure Benyamin Tsedaqa, lui-même marié à une juive d'origine roumaine. Dans une dizaine d'années, la communauté se sera renforcée au niveau gén étique et comptera assez de filles." Sur le mont Garizim, Ginan et sa sœur journaliste, Badawia, ne goûtent pas ces mélanges. Fiancée pour l'une, mariée pour l'autre à des cousins germains, elles se félicitent de préserver l'intégrité de la communauté. Il faut dire que seuls les hommes ont le droit de chercher leur promise hors du clan. "Si ma fille avait épousé un étranger, je ne l'aurais pas tuée mais je l'aurais chassée", reconnaît son père. Consciente des risques liés à la consanguinité, Badawia, sur le point d'accoucher, a tout de même eu recours à des examens génétiques. Au cas où. Mais, assure-t-elle, le petit Hata-Nathaniel (les prénoms arabe et juif du futur bébé) se présente bien.

Regardés de haut par une partie de leurs "coreligionnaires" juifs israéliens, les Samaritains demeurent aussi une curiosité parmi leurs compatriotes arabes, musulmans ou chrétiens, pour qui ils sont surtout "des juifs." Mais cette minorité, qui a choisi un positionnement politique neutre, parvient à tirer parti des deux sociétés. "Notre ambition est de servir de médiateurs entre Israéliens et Palestiniens. Nous voudrions créer un Centre de la paix sur le mont Garizim, au cœur même de toutes les haines. Cette idée est bien reçue à Washington et à Bruxelles", prétend sans sourciller M. Tsedaqa.

En attendant, les Samaritains de Naplouse ont surtout fait tout leur possible pour échapper au conflit et ont décidé de quitter la ville de Naplouse au cours de la première Intifada, en 1988. Cultivant leur singularité, ils sont parvenus à obtenir, à la fin des années 1990, des papiers d'identité israéliens sur lesquels il est précisé qu'ils sont "samaritains" . Contrairement aux Palestiniens, ce viatique leur permet de sillonner librement la Cisjordanie et Israël en évitant les contraintes des barrages militaires. "Au cours de l'actuelle Intifada, les Samaritains du mont Garizim se sont même enrichis , assure M. Tsedaqa. Ils étaient les seuls Palestiniens à pouvoir circuler pendant les couvre-feux. Ils ont pu faire des affaires."

An niveau institutionnel, l'Autorité palestinienne leur reconnaît un statut de minorité et, depuis 1996, leur a même accordé un siège d'office au Parlement. Cette faveur devrait toutefois disparaître lors de la prochaine législature. Mais les Samaritains conservent des facilités pour intégrer la fonction publique palestinienne. "Arafat -feu l'ancien président de l'Autorité palestinienne- était un ami. C'est lui qui m'a donné ma voiture" (une grosse cylindrée avec chauffeur), confie le grand prêtre, qui jouit aussi d'une certaine proximité avec les Jordaniens et les Israéliens. Les Samaritains auraient également reçu de l'aide d'Israël pour s'installer sur le mont Garizim. A Holon, l'éditeur reconnaît que sa revue est majoritairement subventionnée par le gouvernement israélien. "Nous sommes bien avec tout le monde, car nous sommes si peu nombreux que nous ne représentons une menace pour personne" , résume-t-il, philosophe.

Au cours de l'histoire récente, ils sont même parvenus à s'attirer les bonnes grâces des chrétiens, désireux de voir en eux les descendants du Bon Samaritain, présenté dans le Nouveau Testament comme le parangon de la charité chrétienne. "Nous n'avons pourtant rien à voir avec lui , sourit M. Cohen. C'est une parabole de Jésus, pas un fait historique." Le seul restaurant du mont Garizim ne s'est pas arrêté à ce détail. "The Good Samaritan" attend avec impatience le retour des pèlerins et des curieux, envolés depuis le début de la seconde Intifada en septembre 2000.

Stéphanie Le Bars

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Emma (Emma) le mercredi 29 juin 2005 - 18h42:

Israël se félicite de l'abandon d'une procédure russe contre un texte juif


Le vice-Premier ministre israélien Ehud Olmert, en visite à Moscou, s'est félicité mercredi de la décision des autorités russes de renoncer à l'ouverture d'une procédure judiciaire contre les traducteurs de "Shulhan Arukh", un code religieux juif du XVIe siècle.

"Je suis très heureux de cette décision. Les responsables russes ont pris le taureau par les cornes sans attendre que cela provoque un scandale international", a affirmé M. Olmert, qui était interrogé depuis Moscou par la radio militaire.

"Dès mon arrivée mardi, j'ai demandé aux responsables russes de transmettre au président (Vladimir Poutine) et au Premier ministre (Mikhaïl Fradkov) notre vive recommandation d'agir rapidement avant que les choses prennent une ampleur pouvant provoquer un grand embarras dans le monde pour la Russie", a-t-il dit.

"J'ai transmis un message très clair dans ce sens au Premier ministre et ce message a été compris. Ils (les Russes) ont agi avec rapidité et grande intelligence", a ajouté M. Olmert qui est également ministre du Commerce et de l'Industrie.

L'agence russe Interfax a annoncé mercredi qu'aucune poursuite ne serait engagée à l'encontre des traducteurs du "Shulhan Arukh" ni contre les auteurs d'une lettre réclamant l'interdiction d'organisations religieuses et communautaires juives.

Le Parquet de Moscou avait annoncé lundi avoir lancé une enquête préliminaire concernant ce code religieux juif publié en Russie et violemment dénoncé dans un pamphlet antisémite adressé à la justice au printemps dernier, suscitant de vive critiques à l'étranger, notamment d'Israël.

La justice russe avait déjà par deux fois refusé d'engager des poursuites contre les signataires du texte, censé démontrer l'hostilité des juifs à l'égard des non-juifs.

Il avait été signé notamment par 20 députés russes (soutenu par 5.000 autres signataires), et par plusieurs personnalités, dont l'ancien champion du monde des échecs Boris Spassky.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Soleil (Soleil) le mercredi 29 juin 2005 - 18h06:

1. Rabbi Moshe Levinger to jail? – Part Two

Three weeks ago a Beer Sheva Court judge ordered
that Rabbi Moshe Levinger:
1. Deposit 10,000 shekels personal bond
2. Guarantee 100,000 shekels bail (third-party)
3. Restrict his freedom of movement to Hebron-Kiryat
Arba
Or
Be imprisoned until conclusion of criminal hearings
against him.
All this, as a result of the Rabbi's participation during
'road-blocking' over a month ago, outside Beer Sheva.
Today a municipal appeals court heard and
immediately rejected Rabbi Levinger's appeal of the
initial court decision.
Outside the courthouse, Rabbi Levinger was greeted
by dozens of supporters, singing, dancing and offering
words of encouragement. Rabbi Levinger spoke to the
group, saying that the Jewish people were in the midst
of a redemption process which is accompanied by
hardships.
Rabbi Levinger said that he would refuse to accept any
limitation of his freedom of movement and would not,
under any circumstances, be cooped up, in either
'house arrest' or 'community arrest,' even at the cost of
incarceration. He called on all protesters arrested to go
to jail, rather than sign any agreements limiting their
freedom of movement.
Although a final decision hasn't yet been made, Rabbi
Levinger isn't expected to appeal the municipal court
decision to the Supreme Court and it seems that it is
just a matter of time until the police knock on his door,
handcuffs in hand.
A Hebron spokesman issued the following statement:
The Municipal Court judge hearing Rabbi Levinger's
case was clear as glass. He displayed openly disdain
for the Rabbi via his lawyer, several times making very
cynical comments. Among them, 'we have to finish up
before they close up the country,' referring to this
afternoon's scheduled road-blocking. It is apparent that
the courts have become an instrument of Sharon and
Co. in an attempt to prevent democratically-legitimate
protest and all opposition to the expulsion/
abandonment absurdity.
Rabbi Levinger was arrested as part of the struggle for
Eretz Yisrael, for democracy and for the future of the
State of Israel and the People of Israel. Sharon will not
break us. We will be victorious!


The Jewish Community of Hebron
POB 105 , Kiryat Arba-Hebron
90100             \
mail{hebron@hebron.org.il,hebron@hebron.org.il}  
Tour Hebron: Tel972-64-371257 or
write: \
mail{simcha@hebron.org.il,simcha@hebron.org.il}

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 29 juin 2005 - 14h15:

Ce pourrait-il que Mr. Frederic Salat–Baroux, notre soussien de service, y soit pour quelquechose ?