Par Lapid (Lapid) le mercredi 02 mai 2007 - 18h43: |
Sans Issue
Ni Ehud Olmert, ni Amir Peretz, ni tous les responsables designes par la Commission Winograd, ne pourront echapper a leur sort. S'ils ne demissionnent pas par eux-memes, le Peuple d'Israel, dans sa grande majorite, les obligera a le faire. A mon avis, cela se fera dans un delai de quelques jours seulement.
Par Lapid (Lapid) le mercredi 02 mai 2007 - 18h34: |
Présidentielle : les Français d'Israël seront au rendez-vous. Par Caroll Azoulay pour Guysen Israël News. - Mercredi 2 mai 2007
url : http://www.guysen.com/articles.php?sid=5764
ou cliquer sur :
Les Francais d'Israel seront au rendez-vous
Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 02 mai 2007 - 18h29: |
Au moment ou la France retient son souffle dans l'attente du "duel homme-femme" Sarko-Sego, Israel se passionne pour le bras de fer Olmert-Livni.
En effet, suite aux conclusions partielles du Rapport Winograd, la Ministre des Affaires Etrangeres Tsippi Livni a officiellement demande au Premier Ministre Ehoud Olmert de presenter sa demission, et ce dernier destabilise, menace desormais de limoger sa Ministre ...
Aaaah, Le Pouvoir !!!
Par Braham (Braham) le mercredi 02 mai 2007 - 18h19: |
Ce soir sur France 2
Par Emma (Emma) le mercredi 02 mai 2007 - 18h22: |
ÉLYSÉE 2007 • Sarkozy devient-il (enfin) gaulliste ?
La sympathie affichée de Nicolas Sarkozy pour Israël inquiète le monde arabe. Pourtant, les dernières déclarations plus équilibrées du candidat Sarkozy montrent qu'il a compris qu'il fallait prendre en considération l'hértitage gaulliste de la France, estime Al-Hayat.
Ce soir, beaucoup de Français et de non-Français à travers le monde suivront le débat télévisé entre les deux candidats à l'Elysée. A moins d'un renversement de tendance, malgré le taux élevé d'indécis et bien que le passé ait montré qu'il fallait se méfier des sondages, la victoire de Nicolas Sarkozy paraît la plus probable. Sa campagne a été plus forte, plus organisée et portée par une plus grande expérience que celle de sa compétitrice, Ségolène Royal.
L'ensemble du monde arabe craint la partialité pro-israélienne de Nicolas Sarkozy, et il faut dire qu'il a souvent déclaré son amitié pour Israël, le premier pays où il s'était rendu dans le cadre de sa campagne. Or, dernièrement, il a insisté sur son attachement à l'héritage gaulliste, comme si le fait de s'approcher des rênes du pouvoir le poussait à se repositionner. Ainsi, il a rectifié son attitude vis-à-vis de George W. Bush à l'occasion d'une conférence de presse lors de laquelle il a expliqué que l'amitié entre la France et les Etats-Unis ne signifiait pas une soumission, ni l'impossibilité d'exprimer des désaccords. De même, il a commencé une conférence de presse, à la fin du mois de février dernier, par un hommage à la politique étrangère des douze dernières années (sous Jacques Chirac). Il dit également avoir pour priorité la relance du processus de paix israélo-palestinien en vue d'assurer l'établissement d'un Etat palestinien indépendant et viable, ainsi que la sécurité d'Israël. Quant au Liban, il affirme son attachement à son indépendance totale, loin de toute ingérence étrangère, et à la création du tribunal international chargé de juger les assassins de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri. Finalement, il a critiqué la guerre israélienne contre le Liban en août dernier en la qualifiant de réponse inappropriée à la provocation du Hezbollah.
Il est vrai que certaines images et son passé donnent l'impression qu'il a beaucoup de sympathie pour Israël et de connivence avec la politique étrangère américaine. Il faut dire qu'il ne s'en est jamais caché. Du moins jusqu'à une époque récente, quand il a commencé à ne plus vouloir donner l'impression d'être un adepte du suivisme absolu de la politique américaine, qui n'est pas très populaire en France. Ainsi, il s'est rendu sur la tombe de Charles de Gaulle, à Colombey-les-Deux-Eglises et a affiché son catholicisme. Rappelons que son grand-père maternel, juif, s'était converti au catholicisme afin de pouvoir épouser la fille d'une grande famille bourgeoise de Lyon. De même, la présence de certaines personnalités politiques à ses côtés, qui pourraient occuper des postes importants dans un gouvernement à venir, telles qu'Alain Juppé, Michèle Alliot-Marie, Philippe Douste-Blazy, Michel Barnier ou Catherine Colonna, doit rassurer l'opinion sur la continuité de la politique étrangère française sur une ligne gaulliste et chiraquienne.
La France a des intérêts importants dans le monde arabe. Quelle que soit la sympathie du président pour Israël, ces intérêts ne pourront pas être ignorés. Notons simplement que son épouse, Cécilia, dont on connaît l'influence sur Nicolas, a déclaré à maintes reprises son amour du monde arabe à notre journal [Al-Hayat]. Elle travaille pour un réseau d'amitiés franco-arabes, a des amies parmi le personnel diplomatique arabe en poste à Paris, dont notamment l'ambassadrice de Jordanie, a fait plusieurs voyages en Arabie Saoudite, en Egypte, au Maroc et en Jordanie, et sa fille a des amis libanais rencontrés dans le cadre de son travail dans une institution financière installée à Londres. Tout cela fait que les craintes du monde arabe devant la probable victoire de Sarkozy sont dénuées de fondements.
Randa Takieddine
Par Lapid (Lapid) le mercredi 02 mai 2007 - 18h21: |
Rabi Meir Baal Haness
Rabbi Meir - 1
Rabbi Meir - 2
Rabbi Meir - 3
Pour suivre en direct la hilloula de Rabi Meïr Baal Haness à Tibériade, cliquer sur :
la hilloula de Rabi Meïr Baal Haness à Tibériade
url : http://www.guysen.tv/?vida=1428
Par Lapid (Lapid) le mercredi 02 mai 2007 - 17h56: |
Que restera-t-il du souvenir d'Edwy Plenel, si ce n'est celle d'un redacteur en chef d'un journal qu'il a transforme en poubelle "ImMonde" et qui, comme tous les dictateurs, a ete deboulonne de son poste par ses "fideles" confreres. Depuis il se traine.... en s'enfoncant de plus en plus tout en pretendant mettre en valeur sa conception "immonde" du journalisme.
Par Victoria (Victoria) le mercredi 02 mai 2007 - 17h08: |
Edwy Plenel toujours aussi immonde :
http://www.dailymotion.com/relevance/search/plenel/video/x1eb3z_edwy-plenel-sengage-contre-sarkozy
Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 02 mai 2007 - 15h20: |
Un homme (et une femme) averti/e en vaut deux donc comme disait Coluche, chez les Chinois qui sont plus d'un milliard, ca fait tout de suite beaucoup.
A vous de voir, si vous votez pour la personne ou pour le programme, ou pour les deux ...
http://www.lexpress.fr/info/france/elysee_2007/elys07_22avril/dossier.asp?ida=457344
Par Bazooka (Bazooka) le mercredi 02 mai 2007 - 13h54: |
Fait rarissime: deux juges ont tente de perquisionner l'Elysee (Affaire du Juge Borrel), l'une d'elles interprete l'attitude du Quai d'Orsay comme une pression sur la Justice ...
Pour lire l'article du Figaro d'aujourd'hui:
Cliquez ici
Par Girelle (Girelle) le mercredi 02 mai 2007 - 11h31: |
Lapid,
Le grand problème en plus, c'est que l'on a l'impression que les parlementaires sont payés à ne rien faire.
Le travail se fait en commissions et les 2 min30 de temps de parole pour les questions orales qu'ils essaient de placer qd la télé est là, contribuent à donner cette impression.
Par ailleurs, l'absentéisme est démoralisant...quand la télé n'est pas là.
Au parlement européen, ils ne sont payés que s'il sont présents, parait il.
Par Victor (Victor) le mercredi 02 mai 2007 - 11h37: |
Daniel Cohn-Bendit : «Par rapport à Mai 68, Nicolas Sarkozy se comporte en pur stalinien»
FRANCE. Dans son discours à Bercy, Nicolas Sarkozy s'en est pris durement à l'héritage de Mai 68. Pour l'ancien leader étudiant Daniel Cohn-Bendit, ces attaques témoignent d'une volonté de semer la fracture. Interview.
Richard Werly, Paris
Mardi 1 mai 2007
Le Temps: Nicolas Sarkozy a choisi de clouer au pilori Mai 68. Que lui répondez-vous?
Daniel Cohn-Bendit: C'est la preuve qu'il ose dire n'importe quoi. Car enfin, qui était dans la rue en mai 1968? Pas seulement nous, les étudiants contestataires. Plus de la moitié de la France s'est alors mise en grève. C'est cela que Nicolas Sarkozy n'accepte pas. Les mots qu'il utilise sont d'ailleurs symptomatiques. Il parle de «liquider Mai 68». Il se comporte en pur stalinien. Alors que les Français veulent se réconcilier, lui s'emploie à exhumer en fin de campagne électorale des rancœurs vieilles de 40 ans!
- Derrière ce discours, quelle vous paraît être sa stratégie?
- Toujours la même: cimenter le plus possible la droite et l'extrême droite, liées par cette haine commune contre 68. Sa stratégie, c'est d'opposer une classe contre une autre, les bons contre les méchants. C'est n'importe quoi. Quand Nicolas Sarkozy dit vouloir liquider Mai 68, c'est un peu comme s'il disait vouloir liquider le surréalisme! Son programme, c'est la victoire du peuple de droite contre la gauche. C'est la fracture, la confrontation.
- Les attaques portées dans son discours de Bercy étaient aussi rudes que précises: pour lui, Mai 68 a tué l'école de Jules Ferry, instillé le cynisme en politique...
- Mais l'école de Jules Ferry était en crise en 68! La société française tout entière était en crise. Et les défis scolaires auxquels nous devons répondre aujourd'hui n'ont rien à voir avec ceux de 68. La fameuse école de Jules Ferry, dont M. Sarkozy est si nostalgique, avait pour mission d'intégrer les enfants de paysans dans une société industrielle. Alors que l'école d'aujourd'hui bute sur le défi de l'intégration et d'une société multiculturelle. Quant à la pédagogie, tous les spécialistes savent que celle-ci évolue. Le grand pari de 68, peut-être trop audacieux, peut-être erroné, était d'installer l'autorité par le savoir et le contenu. Tout n'a pas réussi. Tout n'était pas parfait. Mais ce que M. Sarkozy exprime, 40 ans après, c'est une vision figée de la société.
- Beaucoup de gens, cela dit, attribuent une bonne part des problèmes d'aujourd'hui aux excès de Mai 68...
- Qui se souvient de ce qu'était la société française en 68? Regardons-la en face: à l'époque, dans les années 60, une femme mariée ne pouvait pas ouvrir un compte bancaire sans demander l'autorisation à son mari. Mai 68 a, pour les femmes, représenté la conquête de la liberté. D'ailleurs, à bien l'écouter, je pense que c'est cela que M. Sarkozy, comme beaucoup d'hommes, ne digère pas. Il ne supporte pas, face à Ségolène Royal, l'autonomie des femmes. Sans doute aurait-il préféré qu'avant d'être candidate, celle-ci demande la permission écrite à François Hollande...
- Votre sentiment face aux propos de Nicolas Sarkozy: tristesse? Colère?
- Beaucoup de tristesse. Et une part de stupéfaction, lorsque je l'ai entendu dimanche rendre Mai 68 responsable des parachutes dorés ou de la spéculation financière. Là, ça devient fou. Nicolas Sarkozy, au micro à Bercy, devant tous ses copains PDG comme Lagardère, Bouygues et autres, en train de nous accuser, nous, les pauvres c... de 68, d'être responsables de la folie capitaliste actuelle... De la colère enfin. Car, moi, je n'ai pas oublié certains mots d'ordre de ceux qui manifestaient contre nous en 1968. Je me souviens du «Cohn-Bendit à Dachau».
- Vous êtes eurodéputé vert. Ségolène Royal vous a chargé d'œuvrer à l'ouverture vers l'électorat centriste. Y êtes-vous parvenu?
- Les électeurs répondront le 6 mai. Je constate que les intentions de vote en sa faveur au sein de l'électorat de François Bayrou semblent progresser. Même si l'audacieux pari de ce dernier me paraît de plus en plus difficile à tenir, au vu du délitement de l'UDF. Je suis convaincu qu'aujourd'hui, une partie importante des Français qui ont voté pour lui sont tristes. Ils avaient cru sortir le centre de la droite et voilà que les élus centristes se précipitent vers Sarkozy. Voir ces parlementaires rentrer ainsi à la niche, ou plutôt dans la cage, est affligeant.
© Le Temps, 2007 .
http://www.letemps.ch/template/international.asp?page=4&contenuPage=&article=206085&quickbar=