Par Messaoud (Messaoud) le jeudi 10 mai 2007 - 21h51: |
Albert
tu sais bien qu'ici on n'avoue pas !!!
Par Mena (Mena) le jeudi 10 mai 2007 - 21h27: |
Mickey-le-tueur (info # 011005/7) [Analyse]
Par Sami El Soudi © Metula News Agency
Depuis un certain temps déjà, Al-Aqsa TV, la chaîne du Hamas, diffuse une émission destinée aux enfants de 4 à 12 ans, dont la vedette est une marionnette de Mickey Mouse. La fameuse souris de Walt Disney, version islamiste, est rebaptisée Farfour ; elle est assistée d’une présentatrice de six ans en tchador, Saraa. Dans une émission hebdomadaire, intitulée Les pionniers de demain, elles incitent la jeunesse palestinienne à la guerre sainte. Contre Israël, d’abord, et contre le reste du monde ensuite.
Farfour et Saraa reprennent les thèmes de la Djihad édictés par leurs mentors, à savoir que nous sommes les "prédateurs de la forêt", que nous allons, avec notre sang, car c’est l’heure de la guerre, "libérer" toute la Palestine, l’Irak, et les Wakf, c'est-à-dire les anciennes colonies de l’islam, qui s’étendent jusqu’à Poitiers. Puis, Mickey l’assure aux jeunes téléspectateurs, nous allons soumettre la totalité du monde et des infidèles à l’islam.
L’émission est émaillée d’appels téléphoniques d’enfants qui lisent des poèmes, dans lesquels ils proposent souvent de sacrifier leur vie, pendant que Farfour danse et applaudit sur les paroles des petits Shahyds.
L’Autorité Palestinienne, pressée par plusieurs Etats amis, a demandé l’interdiction des thèmes abordés dans les Pionniers de demain, menaçant ces chaînes réfractaires de… les mettre à l’amende. Ce qui doit sans doute effrayer les promoteurs de ces shows jusqu’à leur faire perdre le sommeil.
Par Lapid (Lapid) le jeudi 10 mai 2007 - 21h25: |
La Goulette la plus belle ville du Monde !
http://www.youtube.com/watch?v=pnydH7NP8W4&mode=related&search=
Par Emma (Emma) le jeudi 10 mai 2007 - 21h11: |
Congrès juif mondial : Edgar Bronfman claque la porte
Le Congrès juif mondial a perdu le président qui assurait la direction du puissant groupe de pression depuis 26 ans.
En effet, le milliardaire canadien Edgar Bronfman a présenté sa démission, mardi, moins d'un mois après avoir créé tout un émoi au sein de l'organisation en renvoyant l'une des figures de proue du Congrès, Israel Singer.
M. Bronfman accusait alors Israel Singer d'utiliser les fonds du Congrès« pour son usage personnel », des gestes qui, selon lui, remettaient en cause « les principes fondamentaux de moralité et d'intégrité ».
Officiellement, Edgar Bronfman quitte le Congrès, selon ce qu'a expliqué son principal adjoint, Stephen Herbits, en raison de la fin de « l'affaire Singer ».
Cependant, les nombreuses tensions qui menacent de diviser le Congrès juif mondial seraient aussi grandement responsables du départ du milliardaire de 77 ans.
Le président du Congrès juif européen, Pierre Besnainou, ne s'est d'ailleurs pas gêné pour critiquer ouvertement le renvoi de Singer, estimant qu'il s'agissait là « du plus récent exemple d'une longue liste de décisions unilatérales et non démocratiques » de la part de M. Bronfman.
Pierre Besnainou, qui exige aussi le départ de Stephen Herbits en raison de propos controversés que ce dernier aurait eus à son égard, a menacé de scinder son groupe de l'organisation centrale si de nouvelles élections n'étaient pas organisées rapidement.
L'actuel chef de l'exécutif du Congrès, Mendel Kaplan, appuyé par Pierre Besnainou, devrait fort probablement être nommé à la tête du lobby le 10 juin prochain.
Par Viviane (Viviane) le jeudi 10 mai 2007 - 19h54: |
Information du CRIF au sujet d'un article paru dans "Libération"
Nazisme
Les biens du Mal
A Paris, une exposition retrace en photos la spoliation faite aux Juifs d'objets du quotidien. Sur les lieux même où ils étaient triés.
Par Gérard LEFORT
QUOTIDIEN : jeudi 10 mai 2007
Retour sur les lieux, la spoliation des Juifs à Paris 85/87, rue du Faubourg-Saint-Martin 75010 Paris. Jusqu'au 20 mai. Entrée libre.
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Au rez-de-chaussée de l'agence de publicité Euro RSCG, et ce n'est pas le moindre des chocs, nous sommes sur les lieux mêmes. En l'espèce au 85/87, rue du Faubourg-Saint-Martin dans le Xe arrondissement de Paris. Ce fut un magasin de meubles de la marque Lévitan qui, durant l'été 1943, suite à «l'aryanisation» (son propriétaire Wolf Lévitan étant juif), fut réquisitionné pour servir d'entrepôt à une partie des pillages organisés à Paris par les nazis. Au Louvre et au Jeu de paume étaient stockées les oeuvres d'art volés chez les grands collectionneurs. Dans un hôtel particulier de la rue Bassano (XVIe arrondissement), les antiquités et les bibelots précieux. Mais au Faubourg-Saint-Martin, quelle douleur, le sinistre butin de la vie mode d'emploi : aucun tableau de Poussin, ni commode signée Boulle mais le tout venant des objets domestiques : batteries de cuisine, literies, rideaux, vaisselles, postes de radio, luminaires, ampoules électriques.
Crève-coeur. Pour assurer le tri, la réparation ou le stockage, ce sont 120 internés (surtout des femmes) du camp de Drancy qui sont transférés en juillet 1943 (ils seront jusqu'à 402) pour travailler dans ce que les nazis ont baptisé le Lager-Ost (le «camp est»). Odette Dassonville, une détenue survivante, s'en souvient et son témoignage est affiché sur un des murs : «Tout, absolument tout ! Par moments on se demandait s'ils n'avaient pas arraché les papiers des murs.» Jusqu'à ce qu'elle finisse par trier des effets appartenant à son oncle et à sa tante. Et le crève-coeur est là quand on découvre que les joujoux n'avaient pas non plus échappé aux rapines. Pourquoi les nazis ont-ils tout photographié de ce trafic ignoble ? Pour leurs archives, pour donner à voir l'efficacité du travail accompli, mais aussi parce que ces photographies réunies en albums servirent de catalogues pour que les dignitaires nazis puissent en priorité y faire, «par correspondance», leurs choix.
Le restant des meubles et objets était expédié dans les régions est de l'empire nazi, pour approvisionner les colons allemands des territoires conquis. C'est un de ces albums de 85 photos, retrouvé à Coblence en 2004, qui sert de matériau à l'exposition. La présentation est articulée autour de neuf écrans de projection sur fond noir de deuil et suit une stricte chronologie : du prologue, à l'été 1942, quand est mise en place l'opération «Möbel» («Meubles»), jusqu'au départ vers l'Allemagne des biens spoliés. Des centaines de trains de marchandises que l'on voit partant des gares de l'est de Paris. Que ces convois déportent des êtres humains ou leurs biens, ils sont tous de terreur. Car ce n'est pas simplement les Juifs corps et âmes qu'il fallait annihiler mais toutes leurs traces, jusqu'à la plus humble preuve humaine de leur existence.
Atroces inventaires. Le pire est à méditer au détour de chaque diaporama. Notamment quand on découvre que pour une visite de Kurt von Behr, responsable de l'opération «Meubles», les objets du dépôt furent mis en scène en autant de reconstitutions de salons, salles à manger ou chambres à coucher. On voit que ces meubles ont servi, que l'empreinte des corps est encore visible dans le coussin d'un canapé, sur la toile usée d'une banquette.
Au fil de ces atroces inventaires, on songe évidemment aux pyramides de chaussures, aux amas de cheveux ou de prothèses dentaires conservées au camp d'Auschwitz. Mais aussi, comme un encouragement, cette exposition fait penser aux beaux gestes de l'artiste Christian Boltanski quand sur ce thème des entassements d'objets-souvenirs, il trouve lui aussi le chemin pour remonter la pente du chagrin.
Par Breitou (Breitou) le jeudi 10 mai 2007 - 18h21: |
Henri,
Juste une question.
Il n'y a pas en Israel, une CSG???? Pour ces rescapès qui meurent de faim...? Ou un fond de pension pour ses pauvres malheureux???
Par Girelle (Girelle) le jeudi 10 mai 2007 - 18h11: |
Oui, Henri
Je suis tout à fait de ton avis, il est inadmissible de ne pas accepter le résultat d'un suffrage démocratique dans un pays libre.
Il est par ailleurs difficile de recruter et former des policiers en un temps ou la population les dénigre aussi facilement.
Et je n'ai publié ce post que pour montrer à quel point le moment est délicat...sans doute parce que j'ai vu débuter Mai 68 et que je me méfie au plus haut point, au printemps, des actions des uns et des réactions des autres.
Je souhaite que tous les parents de France soient solidaires de notre police, et que celle ci soit digne de notre confiance et garde la tête froide.
Par Albert (Albert) le jeudi 10 mai 2007 - 17h48: |
Messaoud,
Ne serais tu pas CORSE des fois???
Par Lapid (Lapid) le jeudi 10 mai 2007 - 17h49: |
Tempete Politique en Israel Suite
Le Forum des familles des soldats tombés au combat lors de la seconde guerre du Liban ont réagi jeudi après-midi à la publication des protocoles de la commission Winograd. « Nous regrettons profondément que le Premier ministre Ehoud Olmert rejette la responsabilité de ses échecs sur les autres... » (Guysen.Israël.News)
« ...A la création de l'Etat, Ben Gourion avait déclaré : 'chaque mère juive doit savoir qu'elle confie son fils entre les mains de commandants responsables'. Malheureusement, nous, nous avions confié nos enfants à des dirigeants cyniques qui ne prennent pas la responsabilité de leurs échecs. »
Que faut-il a ces "dirigeants" incapables pour etre enfin deboussoles de leur piedestal ? Peut-etre une gigantesque manifestation dans tout le pays ou toutes opinions confondues, nous les obligerons a quitter les renes du Pays ! En fait, leurs jours au pouvoir sont comptes. Ils ne pourront pas resister a cette immense pression populaire.
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le jeudi 10 mai 2007 - 17h02: |
Messaoud,
A propos des figues de Barbarie, on prononce HENDI,,,,
Par Henri (Henri) le jeudi 10 mai 2007 - 16h12: |
Tu te calmes, sinon t'es mort !»
Bon!! n'exagerons pas, il faut voir ceci dans le climat general de desordre, et de voitures brulees.
Ce sont les jeunes qui font des degats, pas les policiers.
Par Girelle (Girelle) le jeudi 10 mai 2007 - 15h57: |
Messaoud, (suite de l'énigme)
"Un Insulaire Tune sur le Continent".
"La Petite Vitesse pour le plus Grand Farniente"
A moins que je ne confonde, ôte moi d'un doute.