Par Douda (Douda) le dimanche 24 juillet 2005 - 17h31: |
La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )
Le Ftileur : Cacouboulou De Matmata, Goulettois par accident,,,
Messir Cacouboulou, traînant un gros sac de procès
Zama, sur l'avenir bien fou qui s’y ftilera
Chkoun y etkhak vendredi, dimanche pleurenichera.
Un juge Goulettois, l'an passé, prit Cacouboulou à son service ;
Il l'avait fait venir de Matmata pour être suisse.
Tous ces Beaux Goulettois voulaient se divertir du chrah :
On apprend à hurler, kalek, avec les kelbs.
Tout Matmatien qu’il étais, il étais un bon apôtre,
Et il faisait claquer mon fouet tout comme un autre.
Tous les plus gros Sidi lui parlaient chapeau bas ;
Ya Cacouboulou, ya chrah ! ah! gros comme le bras!
Mais sans le flous l'honneur n'est qu'une maladie.
Ma foi, Cacouboulou il était un franc portier de comédie,
On avait beau l’ heurter et ôter son chapeau,
On n'entrait pas chez lui sans graisser le marteau.
Point d'argent, point de suisse ; et sa porte était msakar.
Il est vrai qu'à Si Le Juge Cacouboulou en rendait quelque chose :
Cacouboulou il comptait quelquefois. On lui donnait le soin
De fournir la baraque de boukha et de coucous ;
Mais il n'y perdait cheï. Enfin, vaille que vaille,
Cacouboulou aurait sur le marché! fort bien fourni l’adam khout.
C'est dommage : son patron avait le coeur trop au métier ;
Tous les jours le premier aux plaids, et le dernier ;
Et bien souvent tout seul, si l'on l'eût voulu croire,
Il s'y serait couché sans manger et sans boire.
Kalek Cacouboulou : « Ya mon Patron Si Le Juge
« Tout franc, vous vous levez tous les jours trop matin.
« Qui veut voyager loin il ménage son brel ;
« Buvez, mangez, dormez, et faisons feu qui dure. »
Il n'en a tenu compte. Il a si bien veillé
Et si bien fait, qu'on dit que son timbre est brouillé.
Il veut tous juger les uns après les autres.
Il marmotte toujours certaines patenôtres
Où Cacouboulou il comprends rien. Il veut, bon gré, mal gré,
Ne se coucher qu'en robe et qu'en bonnet carré.
Il fit Couper la tête à Son Coq, de Colère,
Pour l'avoir éveillé plus tard qu'à l'ordinaire ;
Il disait qu'un plaideur dont l'affaire allait mal
Avait graissé la patte à ce pauvre animal.
Depuis ce bel arrêt, le pauvre homme a beau faire,
Cacouboulou ne souffre plus qu'on lui parle d'affaire.
Il le fait garder jour et nuit, et de près :
Autrement, serviteur, et son Patron est aux plaids.
Pour s'échapper de Cacouboulou, Dieu sait s'il est allaigre.
Alors Cacouboulou il ne dors plus : aussi il deviens maigre ;
C'est pitié. Il s'étend, et ne fais que bâiller.
Mais, veille qui voudra, voici son oreiller!.
Ma foi, pour cette nuit il faut qu'il s’en donne !
Pour dormir dans la rue il n'offense personne.
Argod !
Et puis demain khlass, il s' en retourne à Matmata,,,
Qu’on se le dise,,,! Zekch !
Wnessou El Douda
Par Nao (Nao) le dimanche 24 juillet 2005 - 15h36: |
Plein d'articles interessants a lire sur site d'occidentalis dont:
Est-il possible qu'un musulman devienne président en Russie?
La Turquie dans l'U.E. malgré l'opposition des peuples européens?
Les devoirs d'une femme musulmane devant vivre en terre mécréante
Les nouveaux délires haineux du Mrap
Allez sous: http://www.occidentalis.com/index.php?op=edito
Par Albert (Albert) le dimanche 24 juillet 2005 - 15h17: |
Charme-El-Cheikh, ce n'est plus tellement CHARMANT pour LES CHEYEKHS...!
Le charme n'y est plus.
Les CHEIKS ( barons) ont décidè de passer des vacances explosives.
Par Albert (Albert) le dimanche 24 juillet 2005 - 14h54: |
Le petit Billet d 'Albert.
'..Je monte ou je ne monte pas...?
'...Je vais ou je ne vais pas...?
That is the question.
La libértè de mouvement en pensant bien contrôler leurs pojets, Scotland YARD a pechè par LAXISME envers cette faune terroriste.
Il se voit aujourd'hui exploser en pleine gueule aux quatre coins de Londres, sa manséitude.
A vouloir rammasser toute la lie véreuse venue des quatre horizons du monde, le Tony s'en prend plein la figure.
En plus la gachette devient facile chez les bobbys....Nous allons comptabiliser les bavures.
'...Is'not a qestion...Dear Watson...! This is a holy..constation....
Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 24 juillet 2005 - 14h59: |
Pour les harissiens/nes a proximite de Tel Aviv:
un cours dont la popularite s'etend de jours en jours:
Chers amis
Veuillez noter le changement de date de mon prochain cours, deplace au Lundi 25 Juillet en raison du jeune du 17 Tamouz
Tel Aviv: Cycle de pensee juive "En quete de l'ame des textes" par Dr le Herve Rehby:
Lundi 25 Juillet 2005 a 20h30:
"Construction de la nation d'Israel dans la Torah", a partir d'un texte de Bamidbar.
Lieu: Mercaz Brodt, rehov Zeitlin 22, Tel-Aviv (Parking gratuit a 50m).
PAF de location de salle: 15 SH/pers; Etudiants: 10 SH.
Renseignements au 054 7806 555 ou par mail: cours-hrehby@centre-yavne.com
A partir de grands textes de la tradition juive, H. Rehby propose une autre maniere de penser, « En quete de l'ame des textes ».
La methode est celle de l'interrogation midrashique, alliee aux exigences de la pensee moderne, philosophique et psychanalytique, linguistique et historique.
Merci de diffuser cette information a vos amis interesses.
Herve Rehby
Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 24 juillet 2005 - 14h42: |
Bon, a defaut d'un commentaire de Braham sur Matmata, voir ceux de George Lucas sur Foum Tatatouine:
http://www.starwars.com/databank/location/tatooine/
Par Henri (Henri) le dimanche 24 juillet 2005 - 13h46: |
Bizare,
Apres cacaboulou plus personne ne parle de vacances en Egypte .
Les Israeliens avaient pourtant prevenu que les salopards prevoyait de faire un attentat dans cette region du Sinai.
Il est grand temps de dire que nous avons affaire a une organisation de FOUS, et que tot ou tard on finira par leur mettre la main dessus, aussi profondement q'ils se terrent.
Ils utilisent le nom de D... pour commetre leurs crimes et semer la terreur dans le monde entier.
Il faut s'unir et agir courageusement pour lutter contre ce cancer qu'est le terrorisme et ne pas tomber dans ce piege qu'ils nous tende.
Par Henri (Henri) le dimanche 24 juillet 2005 - 13h32: |
Bebert ya houya,
Eshbik tu l'as rendu caca boulou I
C'est pas caca c'est coucou!!
Par Braham (Braham) le dimanche 24 juillet 2005 - 11h27: |
Par A_Soued (A_Soued) le dimanche 24 juillet 2005 - 11h07: |
Y AURAIT-IL DES SIGNES DE RÉENGAGEMENT JORDANO-PALESTINIEN ?
Par Dan Diker et Pinh'as I'nbari – JCPA (Jeruslem Center for Public Affairs- Institut d'Affaires contemporaines – famille Wechsler) – vol 5 N°1 – 19 juillet 2005
Traduction du résumé par Artus pour www.nuitdorient.com
Pour la 1ère fois dans la diplomatie Arabe, les jordaniens ont fait la proposition d'un plan de paix en mars 2005, appelant à la normalisation des relations avec Israël, en dehors de tout accord sur le conflit Israélo-Palestinien. La proposition du roi A'bdallah a omis les conditions préalables à la paix avec Israël imposées par les Arabes dans le passé, comme le retour aux lignes d'armistice de 1949 et celui des réfugiés Palestiniens. Au moins 13 délégations des pays arabes sur 22, lors de la session de la Ligue Arabe, auraient soutenu la proposition jordanienne, selon certains délégués.
Il faut rappeler qu'avant de mourir, dans une volte-face de dernière minute, l'ex roi Hussein de Jordanie a transmis le trône à son fils aîné A'bdallah, époux de la princesse Rania, d'origine palestinienne, au lieu de le transmettre à son frère le prince Hassan, comme promis. Les liens familiaux palestiniens de A'bdallah l'ont servi auprès de la population jordanienne, majoritairement d'origine palestinienne.
Depuis 2004, les consultations entre l'Autorité Palestinienne et la Jordanie se sont intensifiées et sont le reflet d'une inquiétude vis à vis d'un chaos grandissant et menaçant cette AP elle-même, dirigée par Mahmoud Abbas. En conséquence, certains responsables palestiniens de la Cisjordanie ont demandé que la Jordanie leur envoie plusieurs milliers de membres de la brigade Badr, constituée de Palestiniens sous commandement jordanien. Cette brigade est formée d'anciens réfugiés de la guerre de 1967 et appartenant à l'ALP, Armée de Libération de la Palestine. Israël s'est opposé à cet envoi pour des raisons de sécurité.
Il y a des liens familiaux étroits entre les villes de Cisjordanie et celles de Transjordanie qui lui font face, entre Naplouse et Salt et entre Hebron et Karak. Les liaisons Est-Ouest sont plus faciles que celles Nord-Sud, entre la Samarie et la Judée. Le roi Hussein disait que "la Jordanie c'est la Palestine, et la Palestine c'est la Jordanie". Les racines politiques des liens entre les 2 rives du Jourdain existaient bien avant l'annexion de la Cisjordanie par la Jordanie en 1948 et il ne faut pas oublier que la Jordanie faisait partie du mandat britannique sur la Palestine jusqu'à son indépendance en mars 1946!
Une confédération jordano-palestinienne d'une certaine forme semble une alternative politique naturelle de divers points de vue, historique, culturel et ethnique. Cette formule devrait être examinée par l'appareil politique américain, qui a comme objectif la création d'un état palestinien viable et contigu. Et il semblerait la solution d'une confédération soit la seule qui soit réaliste.
Are There Signs of a Jordanian-Palestinian Reengagement?
Dan Diker and Pinchas Inbari- jcpa - Vol. 5, No. 1 – 19 July 2005
For the first time in Arab diplomatic history, the Jordanians drafted a peace proposal in March 2005 calling for normalization of relations with Israel before the resolution of the Palestinian-Israeli conflict. King Abdullah’s proposal omits past Arab preconditions to peace with Israel, such as a return to the 1949 Armistice lines and repatriation of Palestinian refugees. Arab League delegates reported that at least 13 of the 22 Arab countries expressed initial support for the Jordanian proposal.
In an unexpected last-minute switch, former Jordanian monarch King Hussein passed the throne to his oldest son Abdullah, who had married the Palestinian Rania, instead of the kingdom going to his full brother, Prince Hassan. Abdullah’s Palestinian family pedigree has served him well among Palestinians in Jordan.
More intensified consultation between the PA and Jordan since 2004 reflects the growing concern that widespread chaos in the West Bank threatens the continuation of the Abbas-led Palestinian Authority. As a result, some prominent West Bank Palestinians requested that Jordan send security forces to the West Bank to help establish law and order. King Abdullah has agreed to send several thousand members of the Jordanian-commanded Palestinian Badr Brigade, currently comprised of Palestinian refugees of the 1967 war who are part of the Jordan-based Palestine Liberation Army.
There are close family ties between West Bank towns such as Nablus and Hebron and East Bank towns such as Salt and Karak. It was King Hussein himself who used to say in the 1950s and 1960s that "Jordan is Palestine and Palestine is Jordan." The political roots of the links between the East and West Banks actually predate Jordan's annexation of the West Bank after the 1948 Arab-Israeli war. Jordan was formally part of Britain's Mandate over Palestine until March 1946, when it gained its independence.
A Palestinian-Jordanian confederation of some variety seems to be the most natural political alternative from historical, cultural and ethnic standpoints. The idea should also be reconsidered by American policy-makers, for whom a viable and contiguous Palestinian state is a stated policy goal.
Jordan Calls for Normalizing Relations with Israel Prior to Resolving the Palestinian-Israeli Conflict
Jordanian King Abdullah’s March 2005 proposal to the Arab League calling for normalization of relations with Israel before the resolution of the Palestinian-Israeli conflict represents a reenergizing of Amman’s peace-making role, as well as an about-face in Jordan’s acquiescent posture toward the Palestinian issue during the Oslo peace process of 1993-2000. Moreover, Abdullah’s and Jordanian Foreign Minister Hani al-Mulki’s calls for a “regional approach” to Middle East peace-making along the lines of the 1991 Madrid Peace Conference indicate an understanding of the failure of Oslo’s bilateral approach to negotiations between Israel and the Palestinian Authority and suggests a willingness to employ a broader and perhaps more creative approach to solve the conflict.1
In this regard, King Abdullah’s approval of Palestinian leader Mahmoud Abbas’s request to send the Jordanian-based Badr Brigade, which is part of the Palestine Liberation Army under the command of the Jordanian military, to help restore order in parts of the crime-ridden West Bank may represent the most significant sign of Jordanian reengagement in the West Bank since former King Hussein formally severed legal and administrative links there in July 1988.
Jordan’s divorce from the West Bank (with the exception of its religious ties to Jerusalem) came after several years of intense efforts by the Hashemite kingdom and the PLO to reach an agreement on a Jordanian-Palestinian confederation in 1985-86. While agreement was reached in principle in February 1985, the talks collapsed one year later.2
King Abdullah’s current “Jordan First” (al-Urdunn Awalan) political and economic reform program includes a proposal to decentralize Amman’s political control and rezone the kingdom into northern, central, and southern governates in a move intended to further enfranchise Jordan’s Palestinian majority in the hope of strengthening their evolving Jordanian national identity.3 Palestinians in Jordan have generally been positively predisposed to the young Abdullah, whose wife, Rania, is a Palestinian from the West Bank city of Tulkarm.
While there are no indications that Jordan is interested in re-annexing the West Bank, reflecting the former “Jordanian option” that was on the table until the failure of the London Conference idea in 1987,4 possibilities do exist for other security, economic, and even political arrangements between Jordan and an independent Palestinian entity. Jordan’s new decentralized federalist approach to the East Bank may, under certain circumstances, have implications for the West Bank’s political future as well, in view of Abbas’s failure to stop Palestinian terror, crime, and chaos, and to implement long-promised institutional reforms. Whether Abbas can control Hamas and other Palestinian terror groups, that also pose a potential threat to Jordan, is still an open question with critical implications for the Hashemite kingdom..
At the same time, a profound debate is once again emerging among some Palestinian leaders regarding a possible Palestinian-Jordanian reengagement (without prejudging whether the relationship will be federal or confederal in nature). As Palestinian publisher Hanna Seniora noted recently, “the current weakened prospects for a two-state solution force us to revisit the possibility of a confederation.”5 There is also wider understanding among Palestinians that the PA’s massive, institutionalized corruption has seriously harmed Palestinian prospects for independence.
New Signals from Amman?
King Abdullah’s proposal to the Arab League represents a shift in Amman’s posture in the conflict between Israel and the Palestinians. For the first time in Arab diplomatic history, the Jordanians drafted a peace proposal that omits past Arab preconditions to peace with Israel, such as the demand that Israel return to the 1949 Armistice lines and repatriate Palestinian refugees to Israel. In a March 7 interview with France 2 television, Abdullah explained the proposal’s greater flexibility: “The real price is Israelis getting peace from Arab states from Morocco to Oman. Should we understand the fears of others, problems might be settled.”6
Notably, Abdullah’s proposal called for a settlement with Israel based on “the principle of land for peace and the 1991 Madrid peace conference.” Madrid, in contrast to the subsequent Oslo process with the PLO, featured a Jordanian-Palestinian delegation and specifically did not call for Israel to resolve the conflict with the Palestinians as a precondition to initiating reconciliation with the Arab world.7
Jordan’s Ambassador to Israel, Dr. Ma’ruf al-Bakhit, reinforced King Abdullah’s peace strategy in a March 2005 interview, saying the initiative “talks of comprehensive peace – not Israeli-Palestinian peace. I believe as a person that it is not the Palestinians that hold the key for the security of Israel – it is the Arab world.”8 Al-Bakhit added, “the paradigm of a two-state solution (Palestine and Israel) does not bring about stability. We can go for that but from there the confrontation will continue.”9
Arab League Secretary General Amr Musa and a number of Arab League members rejected King Abdullah’s proposal as an unacceptable alternative to the Saudi peace initiative of 2002 that required a full Israeli withdrawal to the pre-1967 borders as a precondition to normalization of relations with the Arab world. Yet Arab League delegates reported that at least 13 of the 22 Arab countries expressed initial support for the Jordanian proposal, despite Palestinian criticism that Jordan was making grave concessions.10 While King Abdullah did not participate in this year’s Arab summit due to “prior commitments,” the king had reason to believe that his far-reaching recommendation would meet with considerable success in view of the desire by North African countries to end Egypt’s leadership in the League.
At pre-summit deliberations in Algiers, Jordanian Foreign Minister Hani al-Mulki had complained about the failure of Arab nations to adapt to changing times,” reportedly saying to several Arab ministers, “Arabs cannot read history well and are led by their emotion, not by reason.”11 It may be no coincidence that King Abdullah’s proposal followed his meeting with President George W. Bush earlier that week. Foreign Minister al-Mulki said, following the Arab League meeting, that he tried to get Arab states to accept the proposal, arguing that “they are not making concessions to Israel but to reality.”12
Professor Asher Susser has noted that, historically, it was always easier to travel from east to west across the Jordan River than from the southern to the northern parts of the East Bank. Thus, there are close family ties between West Bank towns such as Nablus and Hebron and East Bank towns such as Salt and Karak. As Susser points out, it was King Hussein himself who used to say in the 1950s and 1960s that “Jordan is Palestine and Palestine is Jordan.”13 Thus, the political roots of the links between the East and West Banks actually predate Jordan’s annexation of the West Bank after the 1948 Arab-Israeli war. Jordan was formally part of Britain’s Mandate over Palestine until March 1946, when it gained its independence.
A change in the line of succession to the Hashemite throne also seems to reflect the kingdom’s sensitivity to its Palestinian majority. It has been suggested that King Abdullah’s surprise decision earlier this year to strip his younger half brother Prince Hamza of his role as crown prince and replace him with the expected future appointment of Abdullah’s ten-year-old son Hussein, whose mother is the Palestinian Rania, would enhance Abdullah’s popularity among Palestinians.14
According to some Washington Arab affairs experts, the same reasoning led to the late King Hussein’s unexpected last-minute switch that passed the throne to his oldest son Abdullah, who had married the Palestinian Rania, instead of the kingdom going to his full brother, Prince Hassan. King Abdullah’s Palestinian family pedigree has served him well among Palestinians in Jordan, whose particularly Jordanian identity Abdullah is committed to enhance.15
Abdullah’s new decentralization plan for Jordan is a far reaching move to enfranchise Jordan’s Palestinian majority and may also represent the foundation of a political infrastructure for future cooperation with the West Bank. In April 2005, Abdullah established a new governmental body to draft legislation distributing lawmaking authority among future municipal parliaments in the northern, southern, and central districts. In a televised January 2005 speech, Abdullah explained that the kingdom would have a number of development areas or regions with “local councils elected by the people who would set the priorities of their respective areas.”16 Abdullah’s emphasis of the need to “expand the base of public participation in the political, economic, social, and administrative development of Jordan” can also be understood as a reference to the beginning of a Jordanian federal system.
However, Abdullah’s efforts to construct a new “Jordanian” national identity has also created a “built in” resistance to reengage with the West Bank among Jordanians both in government circles and among the Palestinian elites in Amman who control much of the economic power and financial wealth. Many among the empowered elites argue that Jordan is in the throes of a post-ideological revolution that is defined by high technology, Internet, and Westernization. In no small measure, Jordanians also want to move away from the Palestinian historical narrative and create a Jordanian identity that is free of the psychological and historical baggage of 1948, that is still a defining element in the identity of West Bank and Gaza Palestinians.17
Yet, Abdullah also faces the dilemma of growing chaos in the West Bank, whose instability is perceived by Jordan as potentially threatening. There is still a widespread fear in Jordan that instability in the West Bank and Israel’s construction of the West Bank security barrier could trigger a massive Palestinian migration eastward. This has forced Amman to consider playing a greater role in helping to resolve the Palestinian issue.
Thus, Jordanian Ambassador al-Bakhit recently discussed the resettling of Palestinian refugees currently living in Jordan: “We shall give them the right to choose: you came here when there was a unity between Jordan and Palestine. Now there is a Palestinian state. You have been enjoying your full citizenship rights. This is the right time to make the choice if you want to go back (to Palestine). We cannot force them. It is not good for Israel and the region to conclude a peace with some of the Palestinians. Will they not establish a new PLO, if they are unhappy? We want to ensure that any agreement will be accepted by the majority. We are aiming at historical reconciliation – not a political settlement.”18
New Regional Geopolitical Conditions Reenergize the Possibility of a Jordanian-Led Regional Solution
Par Mena (Mena) le dimanche 24 juillet 2005 - 11h07: |
La rébellion des gens bien (info # 012207/5) [réinformation]
Par Viviane Miles © Metula News Agency
Le collectif Non aux racistes, créé en réaction à une initiative de Libération pour soutenir le sociologue Edgar Morin, condamné pour ses écrits antisémites dans Le Monde, a rassemblé en peu de temps un nombre impressionnant de signatures. Des personnes révoltées par l’idée insupportable d’un appel qui, d’une part, condamnait une décision juridique indiscutable sur le plan du droit et d’autre part, défendait une personnalité ostensiblement antisémite. Morin et ses supporters peuvent en effet crier à la persécution jusqu'à perdre haleine, quand on insulte une nation ou un peuple entiers sous le prétexte controuvé de critiquer les options d’un gouvernement, cela s’appelle effectivement du racisme. Et quand ce racisme s’applique spécifiquement aux juifs, c'est de l’antisémitisme. L’appel de Libé a regroupé un saisissant amalgame de signataires, représentatifs de l'éventail des bouffeurs de juifs traditionnels, des bruns niant l'existence des camps d'extermination nazis aux rouges, affairés, à grands coups d'impostures factuelles, à grimer le conflit proche oriental en guerre de décolonisation. Entre eux, des sympathisants de l'humoriste qui affirme que les juifs ont inventé le Sida, de ces inventeurs du Sida, justement, assez sots pour servir de justification à ceux qui les haïssent, de nombreux barons du cartel de la presse antisémite et schatnerienne [1] française, ainsi que des islamistophiles avérés.
L’engouement pour la liste du collectif Non aux racistes [accéder à leur site] donne à penser que de très nombreux Français non seulement ne sont pas racistes, mais qu'ils jugent important de le faire savoir. Seulement voilà, jurant avec le soutien unanime qu'ils accordent afin de protester contre la décision de salubrité publique prononcée par la cour d'appel de Versailles, aucun média national n’a daigné parler de ces personnes ni de ce collectif. Non contente d’ignorer les voix qui s’opposent à la pensée unique, la presse les stigmatise en les marginalisant. Balayés d’un revers de la main. Muselés par un gouvernement et des médias qui refusent systématiquement de donner la parole à ceux qui ne glorifient pas les courants anti-américain et anti-israélien, à ceux qui refusent de se laisser entraîner aveuglément dans le précipice de la non-pensée chiraquienne.
L’unilatéralité de la défense de Charles Enderlin dans la controverse de Netzarim illustre à souhait cette problématique : le citoyen n’a accès qu’à un son de cloches et il doit s’en contenter. Impossible, dans ces conditions de désinformation avancée, de se forger une opinion personnelle fondée. Comme l’a commenté sans ambiguïté l’un des signataires du collectif, Julien Kunian, « Unanimisme dans les médias français, calomnie, mensonges systématiques à caractère idéologique, distorsion des faits, occultation méprisante des points de vue contradictoires... » On a là une description conforme des stratégies médiatiques qui servent de base de travail aux médias français.
En consultant la liste du collectif « Non aux racistes », j'ai été impressionnée par la diversité des signataires. Ceux qui ont pris la responsabilité conséquente, dans un combat inégal, de déclarer la guerre idéologique totale aux racistes pour exprimer leur refus de cautionner l’antisémitisme sont-ils des gens peu recommandables, indignes d’être entendus ? Sincèrement, je ne le crois pas. Ni des voyous ni des racistes, encore moins des extrémistes, comme veut le faire croire une presse qui a choisi depuis longtemps le camp de la rumeur et du stigmate. Ce sont des gens de tous milieux et de toutes croyances : artistes, professeurs, chefs d’entreprise, jardiniers, institutrices, commerçants, fonctionnaires, médecins, syndicalistes, pasteurs ou rabbins. Des jeunes et des moins jeunes, des retraités. En France, mais aussi en Afrique, en Amérique et de partout en Europe. De Paris à Montréal, en passant par Genève, Ouagadougou ou Hong-Kong, ils sont multitude celles et ceux qui se sont associés à la déclaration de guerre lancée par Stéphane Juffa contre ceux qui soutiennent Morin, et au-delà de ce dernier, les racistes de tous bords. Simplement parce que, comme le dit Nicolas Ollivier, un fonctionnaire des Houches, « ne pas lutter contre eux c'est déjà sombrer dans leurs flots nauséeux ».
A lire les commentaires figurant sur le site de Non aux racistes, on se rend immédiatement compte qu'on est à mille lieues de tout langage injurieux, agressif ou sectaire et que la presque totalité des propos témoigne d’une grande retenue mais non d’un aveuglement. Les sentiments qui prévalent sont ceux de honte et de révolte. Honte du comportement d’une France « politiquement correcte » qui sacrifie son idéal de liberté-égalité-fraternité aux résurgences d’un fascisme qui cache – mais c'est son habitude – son visage derrière des intentions pseudo vertueuses. Colère contre les faux intellectuels et contre les vrais relais des islamistes, qui fustigent encore et toujours les juifs selon les motifs millénaires de l'antisémitisme. Egalement de la peine, de constater que le pays « qui a donné naissance au siècle des lumières puisse héberger aussi en son sein cette hydre monstrueuse qu'est le racisme ». Simon Pilczer se demande amèrement si « le confort de la bien-pensance n’est pas devenu le tombeau de la pensée française ».
L’un des intervenants à reprendre les conclusions de la guerre intellectuelle déclarée par Juffa, légiste, a procédé à une analyse juridique de la décision de la cour d’appel de Versailles. Il ressort de son étude qu’en justice pure, le pourvoi en cassation n’a aucune chance d’aboutir. Pour François-Régis Dupond Muzart en effet, « toute personne qui, pour des motifs tenant au fond du droit, proteste contre la décision de Versailles, s’attaque à la jurisprudence européenne… ». C’est pourtant ce que tentent de faire les initiateurs de l’appel au soutien de Morin dans Libé, maladroitement, il faut bien le dire, comme à voir le cafouillage autour de la remise à jour des signataires dudit appel, après écrémage. Mais au plan médiatique, le verdict de Versailles ne bénéficie certes pas du même capital de sympathie que d’autres décisions de justice, comme par exemple celle qui a abouti à la relaxe du trististe Dieudonné. Dans ce cas, personne ne s’est insurgé contre la sentence judiciaire ; aucun appel n’a été lancé pour s’opposer à ce jugement, car – à force de répétitions, on a fini par le comprendre ! – lorsque qu'il s'écoule dans le sens du courant unanimiste, dès lors qu’un jugement est prononcé, il est réputé sans défaut. Alors pourquoi, lorsqu’un antisémite est condamné, se trouve-t-il des bataillons et autant de généraux tout prêts à monter au créneau pour contester cette décision ?
C’est que le climat qui prévaut aujourd’hui en France – entretenu par un clan d’agitateurs de luxe qui ne s'accommode pas de la paix sociale – fait qu’on trouve toutes sortes d’excuses aux comportements des racistes et des antisémites. Lorsque l’un d’eux est pris en flagrant délit d’antisémitisme, les médias sous l'emprise de ce clan, usent de méthodes autoritaires pour censurer les thèses contradictoires. Il est ainsi facile de pervertir l’interprétation de la situation, en accusant les juifs de provoquer eux-mêmes les conditions de leurs malheurs. Cela saute aux yeux – pour peu qu'on ait appris à lire entre les lignes – lorsqu’on nous rabâche les oreilles et les yeux avec la répression de l’armée israélienne en omettant soigneusement de mentionner que ces réactions de Tsahal ne sont que la réponse obligée aux assassinats collectifs de civils israéliens ; que si leur armée ne les protégeait pas, ces citoyens de l'Etat hébreu mourraient par dizaines de milliers sous les bombes des fascistes verts, dans la plus grande indifférence de Morin et de ses amis.
Lorsque des « intellectuels » affirment sur la place publique française et sur des medias d'Etat que la coalition américano-sioniste est à l’origine de la catastrophe du 11 septembre, qu’on normalise l'assassinat d’un bébé israélien par des « activistes » au prétexte que c’est un « colon », ou qu’on invente sans hésiter des massacres israéliens pour justifier d'être raciste, on constate que dans l'atmosphère ambiante, plus c’est gros, mieux ça passe et que c'est la dictature des médias, l'inaction consentante des responsables politiques nationaux et l'amorphisme emprunté des instances représentatives de la communauté juive qui rendent possible cette ineptie conjoncturelle !
Les individus qui se sont ralliés au texte de Juffa, ne sont certes pas tous d’accord avec la politique du gouvernement israélien, mais ils ont bien compris que l’enjeu n’est pas là ; qu’ils sont abusés par la désinformation officielle ; et que l’empathie pour un peuple qui souffre et engendre aussi la souffrance n’est en aucun cas un sauf-conduit pour se dédouaner d’un antisémitisme viscéral. Ce ne sont pas eux le danger pour la République. Eux, représentent sans doute la meilleure part de la France, la plus honorable, celle qui permet de dire que la France, dans son ensemble, n’est pas antisémite, comme jadis, une brochette de partisans ont sauvé l'honneur de la France collaborationniste ou indifférente. C’est au contraire le syndrome médiatique français qui est dangereux, car un système et ses clans qui mettent en œuvre une stratégie pour faire taire ceux qui pensent autrement, est un système voué au déclin de sa société.
Reste que les résistants qui ont déclaré la guerre à ces nouveaux racistes reprenant des accusations qui n'auraient pas déplu à la justice tsariste ou à l'Inquisition, représentent des millions de citoyens de ce pays. Des résistants courageux qui signent leur rébellion de leur vrai nom, sans se réclamer d'un courant politique ou d'une religion. Dans leur quarantaine insonorisée et d'où on ne peut pas non plus les lire, ils se lèvent quand même, parce que, pour sauver une société, il faut déjà sauver sa propre âme. Et, parce que si on les laissait parler, ils seraient sans doute la majorité de la France, et que c'est cette menace qui fait toujours douter les dictateurs.
Notes :
[1] Marius Schattner, le théoricien et sémiologue principal de la diabolisation d'Israël. Employé de l'antenne de l'AFP de Jérusalem, Schattner est notamment à l'origine de la transformation du conflit israélo-arabe en guerre de décolonisation par la diffusion du concept inapproprié de colons et de colonies pour définir les implantations israéliennes et leurs habitants et ainsi pour proposer une justification de l'usage du terrorisme contre les civils israéliens. A son actif également l'imposition de l'exception israélienne, par laquelle presque tous les médias français utilisent les termes "activistes" et "militants" pour définir les terroristes palestiniens, passant outre la classification de l'Union Européenne. A noter que l'emploi de ces termes est justifié par une traduction volontairement apocryphe par les médias de mots anglais ayant la même consonance.
Le bureau de l'AFP de la capitale israélienne est également à la base du concept d'"assassinats ciblés", n'hésitant pas à affirmer que c'est le gouvernement israélien qui décide d'avoir recours à la "tactique des assassinats ciblés"; en fait, ledit gouvernement décide parfois de faire usage des "préventions ciblées" (sikoulim memoukadim) ou des "éliminations ciblées" (khissoulim memoukadim). Cette option militaire consiste à ne s'en prendre qu'aux terroristes identifiés et a pour but d'épargner la population innocente. Les seules alternatives militaires à cette option consistent en des bombardements ou des tirs sans discernement spécifique des cibles, ou encore, en abandonnant ces deux options, à laisser la population israélienne sans défense contre les membres des organisations Hamas, Jihad Islamique Palestinienne, Tanzim et FPLP, qui ont conçu, statutairement, la destruction de l'Etat d'Israël et de sa population.
Par Albert (Albert) le dimanche 24 juillet 2005 - 10h19: |
Cacaboulou I,
Ton invitation lancèe envers Davideden est déplacèe.
Il a déjà donnè à plusieurs reprises son sentiment sur la Tunisie depuis qu'il est parti.
Tout le monde en est témoin; Axelle, Lalla, etc...Pour ne citer que les plus célèbres endormies du forum de cette annèe.
Il a le droit je pense de dire ce qu'il a envie de dire. L'amertume ne se controle pas.Hlouè ehdi..!
Tu vis à Matmata au soleil Cheyekh ou deyeckh, alors laisse les autres s'exprimer sans que tu ironises.
Davideden à la Ghriba....??? Voyons cela...!
Pourquoi pas à l'Ile Z...Embra..?
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 24 juillet 2005 - 09h32: |
Certes sans doute, la terre de Israël est pour les descendants de Abraham, mais pourquoi tant violence et morts
nous devons chercher la paix et c'est ce que il fait Arik Sharon : PAIX EN ÉCHANGE DE TERRE,
décision en tout point douloureuse, décision que
engendre un nouvel espoir.
Fabio Dominguez
ESMERALDAS, ECUADOR,
SOUTH AMERICA