Par Breitou (Breitou) le dimanche 31 juillet 2005 - 13h59: |
Par Shira (Shira) le dimanche 31 juillet 2005 - 12h39: |
Some 1,200 speakers, one-third from abroad, will take part in the congress, organized every four years by the World Union of Jewish Studies, in fields ranging from Talmud to Jewish art and poetry, and contemporary Judaism.
http://www.haaretz.com/hasen/spages/606526.html
Par Primo (Primo) le dimanche 31 juillet 2005 - 09h22: |
Antisémitisme : la fausse embellie
Lors de sa venue à Paris, Ariel Sharon a loué les efforts de la France en matière de lutte contre l’antisémitisme. Les statistiques récentes du premier semestre 2005, montrant une baisse considérable des actes antisémites, semblent donner raison au premier ministre israélien.
Il faut cependant rester prudent et bien considérer que cette baisse n’est que conjoncturelle. Elle est due à l’effet de contre-pied qu’a provoqué le projet de désengagement de Gaza sur les commentaires anti-israéliens habituels de la presse écrite et audio-visuelle. La détermination de Sharon à mener à bien cette entreprise a fini par clouer le bec de ceux qui ne cessaient de persifler et d’émettre des doutes quant à la sincérité du chef de gouvernement israélien.
Les causes profondes de l’antisémitisme restent malheureusement bien présentes. Ces dernières années, c’est essentiellement par le biais de la critique systématique, soi-disant légitime, de la politique israélienne qu’a été élaborée une argumentation servant de paravent aux antisémites honteux, tout heureux de se voir offrir une noble justification à leurs sentiments hideux.
Certains Juifs français ne s’y sont d’ailleurs pas trompés : cette semaine encore, 300 d’entre eux ont préféré abandonner le pays des droits de l’homme qui se targuait de la maxime "heureux comme un juif en France". Leurs motivations sont sans doute diverses et variées mais nul doute que le sentiment de ne plus vraiment appartenir à la nation française doit leur servir de dénominateur commun. En outre, l’attrait pour un pays dynamique aux perspectives économiques prometteuses, malgré un état de guerre larvé, a dû compter face à la réalité d’une France sclérosée par un immobilisme devenu traditionnel en matière de réformes. Ces nouveaux immigrants n’ont pas été dupes de la fausse embellie que laissait entrevoir l’atténuation des critiques anti-israéliennes à la faveur du plan de retrait de Gaza.
Or, l’heure des cadeaux est bel et bien révolue pour Israël envers les Palestiniens. Sharon n’a cessé de le rappeler et de le marteler, notamment lors de son séjour parisien. Les choses sérieuses démarrent dès l’automne prochain et il n’y aura aucune concession de la part d’Israël sans l’application, pas à pas, de la "feuille de route". Celle-ci stipule, de manière formelle, que sans le démantèlement et le désarmement total de toutes les organisations terroristes palestiniennes, aucune largesse ne sera à attendre du gouvernement israélien. Le processus de cette "feuille de route" sera dans ce cas bloqué à son point de départ.
On peut, dès lors, faire confiance à Charles Enderlin (1), Patrick Saint-Paul (2), Edgar Morin (3), Thierry Thuillier (4), Richard Labévière (5), Pascal Boniface (6), Hubert Védrine (7) et autres Gilles Paris ou Mouna Naïm pour mettre en valeur, quand le moment sera venu, "l’intransigeance coupable" des Israéliens et le "caractère criminel et sadique" de Tsahal. Les mêmes s’étonneront encore du soutien des Juifs de France à des personnages aussi peu recommandables. Ils y trouveront, tout naturellement, l’explication rationnelle de toute flambée antisémite quand elle émanera de jeunes désoeuvrés s’identifiant à leurs "frères" palestiniens.
Les statistiques s’inverseront à nouveau. On multipliera les effectifs de protection autour des synagogues et des écoles juives mais on s’obstinera à ne pas vouloir identifier les vrais coupables, ceux qui attaquent avec des mots sans jamais se salir les mains.
Le seul véritable appel d’air frais nous vient d’outre-manche où il a fallu, malheureusement, que la société britannique soit confrontée à son "israélification" pour qu’elle prenne enfin la mesure de la difficulté à gérer la lutte anti-terroriste. Tony Blair vient enfin de reconnaître que les attentats-suicide commis en Israël n’ont pas plus de justifications que ceux perpétrés à Londres ou n’importe où dans le monde. Seul le maire de Londres, celui là même qui accueillait il y a peu des prêcheurs islamistes qui appelaient au meurtre des homosexuels et au bannissement des femmes, semble perclus dans ses dogmes idéologiques.
Si l’erreur de diagnostic consistant à considérer qu’il existe un "bon" et un "mauvais" terrorisme, comme s’acharnent à le faire la majorité de nos "faiseurs de pensée", perdurait, nous n’aurions aucune chance d’appliquer la thérapeutique adéquate alors que cette lutte anti-terroriste promet d’être longue et difficile. Et l’on continuera à penser majoritairement que les USA et Israël sont à l’origine de tous les malheurs du monde à l’immense satisfaction des coupeurs de tête, des "ingénieurs" en chimie et des laveurs de cerveaux qui sévissent sur la planète en pourrissant tous les jours un peu plus le quotidien des terriens.
Quand il sera intégré que l’antisémitisme des années 2000, instrument indispensable permettant au business terroriste de prospérer, est avant tout le fruit du travail d’une poignée de journalistes ou écrivains, on aura bien avancé dans la compréhension du phénomène. En 2004, le rapport Rufin, remis au ministre de l'intérieur, préconisait que soit rendue hors-la-loi toute attitude antisioniste non justifiée.
Thierry Thuillier est toujours directeur du département "étranger" de la rédaction de France 2...
Jean-Pierre Chemla © Primo-Europe. 30 juillet 2005
(1) Auteur du reportage diffusé le 30 septembre 2000 et relatant le faux assassinat du petit Mohamed Al-Dura par Tsahal.
(2) Envoyé spécial du Figaro en Israël. Ses prestations quotidiennes à sens unique en faveur du peuple palestinien sont exemplaires.
(3) Auteur d’un article du Monde, en juin 2002, qui parlait d’un peuple juif sadique et méprisant, trouvant "satisfaction à humilier".
(4) Auteur d’un des plus grands bidonnages de la télévision française, où il était question de faire croire que l’armée israélienne avait froidement assassiné trois enfants palestiniens pour de simples coups de pied dans une barrière.
(5) Chroniqueur sur RFI. Sorte de porteur de valises du Hezbollah libanais et de l’Autorité palestinienne, surtout à l’ère arafatienne.
(6) Directeur de l’IRIS (Institut des Relations Internationales et Stratégiques). Son cheval de bataille : le droit à la critique de la politique israélienne. Son fait d’armes (qui lui valut, d’ailleurs, son exclusion du PS) : une note interne au PS, avant la présidentielle de 2002, préconisant de tenir compte de la démographie arabo-musulmane très en faveur de la juive, pour élaborer le discours du PS concernant le conflit israélo-palestinien.
(7) Ancien ministre des Affaires étrangères sous Mitterrand. Principal théoricien, en France, de la thèse simpliste selon laquelle c’est l’intransigeance d’Israël dans les négociations avec les Palestiniens qui est à l’origine du terrorisme international, en raison de "l’humiliation" ressentie par la nation arabe.
Par Mena (Mena) le dimanche 31 juillet 2005 - 09h10: |
Ariel Sharon à Paris : une visite en trompe-l'oeil (info # 013007/5) [analyse]
Par Luc Rosenzweig © Metula News Agency
On raconte qu'un jour, Ed Koch, légendaire maire de New York dans les années soixante-dix du siècle dernier, fut violemment interpellé lors d'une réunion électorale sur le délabrement et l'insécurité du métro. "Le métro ? Ne vous en faites pas, il va s'améliorer, je m'en porte garant !" répondit Koch. Sceptiques, les interpellateurs demandent alors des précisions sur la nature et le calendrier de ces améliorations. " Ne vous en faites pas" répète le maire " Je suis certain que cela va aller mieux, parce que ce ne peut pas être pire !"
Le résultat du voyage d'Ariel Sharon à Paris doit être évalué à l'aune de l'état des relations franco-israéliennes avant ce voyage : exécrables dans les rapports entre les gouvernements, et lamentables si l'on se réfère à l'image de la France dans le public israélien, et à celle d'Israël dans l'opinion française. Rarement, dans l'histoire, deux nations démocratiques n'entretenant aucun contentieux territorial et n'ayant pas de querelles bilatérales majeures ne se sont autant battu froid, et même traité aussi ouvertement de nom d'oiseaux.
Dans ce contexte donc, il est indéniable que cette visite, qui était le couronnement de petits gestes d'apaisement effectués de part et d'autre (visite de Katsav à Paris en 2004, visite de Raffarin à Jérusalem ce printemps, intensification de la coopération économique et militaire) a mis un terme à une dégradation des relations qui était, il faut le noter, bien antérieure à l'accession d'Ariel Sharon au pouvoir.
Chirac a sorti le grand jeu pour Arik : gardes républicains en grande tenue, trois heures d'entretien à l'Elysée, principalement consacrées, à en croire les indiscrétions, aux performances comparées des taureaux corréziens et de ceux du ranch des Sycomores en matière de reproduction bovine. Arik est même ressorti du palais présidentiel avec une invitation en bonne et due forme pour le prochain salon de l'Agriculture après qu'il eût refusé d'accepter en cadeau une de ces bêtes à cornes dont Jacques raffole. "Comprenez moi" s'excusa Arik "accepter ce cadeau me vaudrait quelques ennuis avec la justice et la presse de mon pays !"
Bref, on pourrait chanter en choeur ce célèbre refrain du génial Ray Ventura, bon juif stambouliote : "Tout va très bien, madame la Marquise !" Le tableau est effet aussi champêtre que charmant, et les angelots joufflus de la presse des deux pays se sont mis de concert à chanter les louanges de l'amour retrouvé entre le grand Jacques et le gros Arik. Même les enragés arafatolâtres de la propalestine française ont eu la délicatesse de troubler le moins possible ces retrouvailles : ils n'étaient que 250 selon la police, et 500 selon les organisateurs, a être venus mardi soir Place de la Madeleine crier, par habitude plus que par conviction, quelques slogans enroués contre l'homme qu'ils adorent détester.
Il est de très jolis tableaux baroques qui sont peints en trompe-l'oeil et dont l'agrément est lié aux illusions d'optique qu'ils provoquent chez le spectateur. Pour que le fond des choses changeât vraiment, il eût été nécessaire que le conflit majeur entre les deux pays, à savoir l'analyse de ce qui doit être fait à court et moyen terme dans la crise du Proche-Orient, se fût au moins notablement atténué. Or il n'en est rien : Ariel Sharon, à longueur d'interviews, au Figaro, au Monde, à la radio et à la télévision française a répété sans se lasser qu'il entend conserver pour Israël les grandes zones de peuplement juif en Judée-Samarie, et que la suite de la carte routière, dite " feuille de route" dépendait de la capacité de son ami Mahmoud Abbas à mettre de l'ordre dans sa cuisine (sous-entendu : ce n'est pas demain la veille). Toutes choses qui heurtent de front le credo officiel français en la matière : retour à la "ligne verte", condamnation de la clôture de sécurité, conférence internationale le plus tôt possible après le désengagement de Gaza.
Les bredouillements, lapsus et pataquès de Rantanplan Douste-Blazy, nouveau ministre des Affaires étrangères, appelant à la poursuite immédiate du désengagement en Cisjordanie et à l'arrêt de la "recolonisation (sic)" de la Cisjordanie montrent bien que la "rue arabe" du Quai d'Orsay a toujours la haute main sur le discours français dans ce domaine. La sortie musclée de Chirac contre le Hamas dans Haaretz doit être comprise comme une pique à Tony Blair, bête noire de Jacques, qui a laissé récemment quelques grouillots du Foreign Office causer avec les gens du Hamas élus aux municipales palestiniennes. La même "rue arabe" du Quai s'est immédiatement chargée de rectifier le tir auprès de nos confrères de la presse israélienne, en précisant que si le Hamas se comporte comme le Hezbollah libanais, avec le fusil dans une main et le bulletin de vote dans l'autre, il bénéficiera, bien entendu, de la même mansuétude paternelle que les émules du Cheikh Nasrallah de la part de notre diplomatie.
La nouvelle rage anti-syrienne de Jacques Chirac, dont Arik a pris connaissance avec un sourire amusé, ne doit rien au fait que le président français se serait brusquement rendu compte que Damas abritait quelques centrales terroristes actives contre l'Etat juif, mais tout à cet affront personnel que Bachar El Assad à infligé au président français en faisant assassiner son grand ami et bienfaiteur Rafic Hariri.
On notera, pour conclure, qu'Ariel Sharon a réalisé avec ce voyage, une impressionnante opération de relations publiques : le Tout-Paris qui le diabolisait hier lui tresse des louanges aussi tardives qu'exagérées. Jean-Marie Colombani, Jean-Pierre Elkabbach accourent à son petit-déjeuner de jeudi matin, séduits par le charme et l'humour de celui qui était traité naguère, sur leurs ondes ou dans leurs journaux, de criminel de guerre passible du TPI. Les trois grandes chaînes de télé lui ont même délégué, jeudi soir, ceux qui, comme l'ineffable Thierry Thuillier de France 2, s'étaient fait naguère une spécialité de s'en servir comme punching-ball. Leur nouvelle onctuosité de cire-pompes en service commandé ne témoignait que d'une chose : il faudra attendre encore un peu avant que nos grands médias deviennent adultes. Ca c'est Paris !
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 31 juillet 2005 - 08h30: |
TUNES CELEBRES D'ISRAEL
Shavua tov
Tu peux rajouter Kobi Shimoni mieux connu sous le nom de Subliminal . C'est la star depuis 3 ans en Israel c'est un rappeur ki cartonne .On a meme joue o Bataclan a Paris .....Moi je suis l'ingenieur du son de Subliminal, Juif tune Francais ki vit en Israel depuis 10 piges....!
Vive la tunisie et rajoute Subliminal a ta liste.....son pere est Tune sa mere Parsite(Iran).....
Martial fils de Georgino le taxi
--
Marsss
Par Email (Email) le dimanche 31 juillet 2005 - 08h24: |
bonsoir,
je vous ecris, pour une aide , j'ai lu vos articles, trés intressants.
en ce moment je fais des recherche sur mes racines, et je retrouve apparement des racine israelienne...
pour info je suis Manuel PEREZ
d'origine espagnol de mon grd pere.
nombreux de mes ami juif, m'ont dit que PEREZ venait du nom de famille PERETZ qui etait d'origine juive.
pouvez vous repondre a cela ... ont-ils raison ?
et une cliente a moi , ( je suis commercant ) ma dit pareil,et ma dit que perec - perek venait de PERETZ
si vous savez ou je peux retrouver des info sur PEREZ PERETZ je serais si heureux .
je vous remercie par avance !
Par Email (Email) le dimanche 31 juillet 2005 - 07h39: |
Bonjour,
Trés épanouissant, clair, quand aux photos a leurs joies, on comprend encore moins pourquoi les juifs et les arabes il y a qu'en Tunisie qu'ils s'aiment!!!
Je suis fière d'être Tunisienne rien que pour cette fraternité, juifs et Tunisiens. Merçi pour toutes vos explications, je vous avoue avoir étais enchantée par cette vague de fraicheur, je regrette pas d'avoir surfez ce soir,
merçie et bonne nuit .
Saoussen
Par Nao (Nao) le dimanche 31 juillet 2005 - 05h31: |
Pour anglophones (le texte m'a trop enervee pr que j'ai la force de le traduire..):
La merde ds les yeux vous connaissez? Voila un tissu de mensonges publie par le NY Times (qui est de la meme espece que le Monde.)
Op-Ed Columnist
French Family Values
By PAUL KRUGMAN
Published: July 29, 2005
Americans tend to believe that we do everything better than anyone else. That belief makes it hard for us to learn from others. For example, I've found that many people refuse to believe that Europe has anything to teach us about health care policy. After all, they say, how can Europeans be good at health care when their economies are such failures?
Now, there's no reason a country can't have both an excellent health care system and a troubled economy (or vice versa). But are European economies really doing that badly?
The answer is no. Americans are doing a lot of strutting these days, but a head-to-head comparison between the economies of the United States and Europe - France, in particular - shows that the big difference is in priorities, not performance. We're talking about two highly productive societies that have made a different tradeoff between work and family time. And there's a lot to be said for the French choice.
First things first: given all the bad-mouthing the French receive, you may be surprised that I describe their society as "productive." Yet according to the Organization for Economic Cooperation and Development, productivity in France - G.D.P. per hour worked - is actually a bit higher than in the United States.
It's true that France's G.D.P. per person is well below that of the United States. But that's because French workers spend more time with their families.
O.K., I'm oversimplifying a bit. There are several reasons why the French put in fewer hours of work per capita than we do. One is that some of the French would like to work, but can't: France's unemployment rate, which tends to run about four percentage points higher than the U.S. rate, is a real problem. Another is that many French citizens retire early. But the main story is that full-time French workers work shorter weeks and take more vacations than full-time American workers.
The point is that to the extent that the French have less income than we do, it's mainly a matter of choice. And to see the consequences of that choice, let's ask how the situation of a typical middle-class family in France compares with that of its American counterpart.
The French family, without question, has lower disposable income. This translates into lower personal consumption: a smaller car, a smaller house, less eating out.
But there are compensations for this lower level of consumption. Because French schools are good across the country, the French family doesn't have to worry as much about getting its children into a good school district. Nor does the French family, with guaranteed access to excellent health care, have to worry about losing health insurance or being driven into bankruptcy by medical bills.
Perhaps even more important, however, the members of that French family are compensated for their lower income with much more time together. Fully employed French workers average about seven weeks of paid vacation a year. In America, that figure is less than four.
So which society has made the better choice?
I've been looking at a new study of international differences in working hours by Alberto Alesina and Edward Glaeser, at Harvard, and Bruce Sacerdote, at Dartmouth. The study's main point is that differences in government regulations, rather than culture (or taxes), explain why Europeans work less than Americans.
But the study also suggests that in this case, government regulations actually allow people to make a desirable tradeoff - to modestly lower income in return for more time with friends and family - the kind of deal an individual would find hard to negotiate. The authors write: "It is hard to obtain more vacation for yourself from your employer and even harder, if you do, to coordinate with all your friends to get the same deal and go on vacation together."
And they even offer some statistical evidence that working fewer hours makes Europeans happier, despite the loss of potential income.
It's not a definitive result, and as they note, the whole subject is "politically charged." But let me make an observation: some of that political charge seems to have the wrong sign.
American conservatives despise European welfare states like France. Yet many of them stress the importance of "family values." And whatever else you may say about French economic policies, they seem extremely supportive of the family as an institution. Senator Rick Santorum, are you reading this?
Par Slim (Slim) le samedi 30 juillet 2005 - 19h13: |
Denfir = Dauphin
Par Francois (Francois) le samedi 30 juillet 2005 - 01h56: |
Ce que le monde doit aux palestiniens et à la gauche
Dennis Prager
Ces dernières semaines, des hommes, des femmes et des enfants innocent ont été déchiquetés, sont devenus paralysés, ont eut leur cerveau endommagé ou encore ont vu leur vies détruites par des terroristes suicidaires musulmans en Grande-Bretagne, en Egypte et en Irak.
Qui doit-on remercier pour cette peste créée par l'homme? Les palestiniens et la gauche.
Nous devons remercier les palestiniens pour leur contribution majeure à l'humanité - la sanction religieuse du meurtre de masse d'innocents par le suicide. Avant les palestiniens, cela n'existait pas.
Il est exact que les terroristes suicide du Sri Lanka ont assassiné des milliers de personnes sans être musulmans. Mais la justification des tamouls pour le terrorisme suicidaire - qui n'est en pas moins atrocement immoral - est limitée à un mouvement nationaliste et laïc au Sri Lanka.
Les palestiniens musulmans - aucun palestinien chrétien n'a commis d'attentat suicide - ont créé un fondement religieux et moral pour le meurtre de masse et l'ont fait dans le cadre d'une religion mondiale comptant un milliard d'adeptes. Quand les palestiniens envoient des jeunes gens au cerveau lessivé se faire exploser dans des bus, des cafés et des discothèques israéliennes, ils fournissent des justifications qui donnent à beaucoup d'autres les bases pour faire la même chose.
Ils disaient que déchiqueter des juifs en Israël - quelque soit leur âge et dans n'importe quel lieu - était un acte glorifié par Allah et que celui qui s'engageait dans de telles atrocité était l'équivalent musulman d'un saint et serait récompensé au paradis par beaucoup de magnifiques vierges. A ma connaissance, aucun leader musulman ou aucune organisation religieuse musulmane n'a condamné cette terreur palestinienne musulmane comme anti-islamique.
Judea Pearl, le père de Daniel Pearl, le journaliste du Wall Street Journal assassiné, consacre sa vie depuis le meurtre de son fils par des musulmans au Pakistan à construire des passerelles avec le monde musulman. Il m'a dit dans mon émission de radio qu'il était triste de constater que "99,99 pourcent" des musulmans de par le monde ne reconnaissent pas à Israël le droit d'exister en tant qu'état juif. Il n'est donc pas étonnant que si peu de musulmans condamnent religieusement ou moralement le terrorisme palestinien contre les juifs d'Israël. Au mieux, quelques palestiniens condamnent le terrorisme palestinien car contreproductif pour la cause palestinienne. Point. C'est peut-être inapproprié mais ni immoral, ni contraire à l'islam.
Ce qui est donc arrivé est que la légitimation religieuse du meurtre d'innocents s'est enracinée dans le monde musulman. Il n'est visiblement pas venu à l'esprit des leaders musulmans qu'une fois que le mal est légitimé, ce mal finit aussi par se retourner contre vous.
S'il est normal de déchiqueter des enfants juifs, il en va de même des enfants égyptiens, marocains, irakiens, anglais, espagnols et russes.
C'est à ce point que la gauche est entrée dans le jeu. Ils ont fourni la légitimation laïque et universelle du terrorisme palestinien contre les juifs.
Selon la gauche mondiale, il est normal que les palestiniens placent des bombes dans les cafeterias universitaires israéliennes car:
1. Israël occupe des territoires palestiniens (même si un gouvernement israélien de gauche en a offert 97% à Yasser Arafat)
2. Donc, les palestiniens sont engagés dans une résistance légitime
3. Puisque les palestiniens n'ont pas d'armement sophistiqué, ils utilisent leur arme, l'islamikaze
4. Les israéliens assassinent des civils palestiniens donc il y a une équivalence morale entre Israël et les palestiniens (même si les palestiniens s'en prennent aux juifs innocents alors que les israéliens ne s'en prennent pas aux palestiniens innocents)
Mais, malheureusement, la gauche anti-israélienne (un qualificatif presque redondant), elle aussi, n'a pas compris qu'elle avait contribuée à lâcher un démon sur le monde. Pourquoi est-il légitime que les musulmans massacrent des enfants israéliens mais pas des enfants russes? Des bus israéliens mais pas des bus anglais? Des juifs en Israël mais pas des musulmans en Irak?
A l'heure actuelle, pour beaucoup à gauche, cela reste normal. Le maire socialiste de Londres a fait porter la responsabilité du terrorisme dans sa ville au soutien britannique à l'Amérique et à Israël mais pas à la théologie terroriste islamique.
A l'image du maire de Londres, dans le monde entier, la gauche rend Israël responsable des attentats-suicide palestiniens et rend l'Amérique responsable de ceux d'Irak. Sans la gauche mondiale, le meurtre de masse palestinien par le suicide basé sur la religion serait resté un phénomène isolé, condamné universellement comme le mal qu'il est.
Qui porte la responsabilité du terrorisme musulman dans les pays musulmans comme le Maroc et l'Egypte? Sur ce point, les apologistes de gauche et musulmans du terrorisme palestiniens sont en pleine dissonance cognitive.
La prochaine fois que vous lirez que des hommes, des femmes et des enfants ont été déchiquetés par un jeune musulman louant Allah, vous pourrez remercier les palestiniens et la gauche.
Source: http://www.realclearpolitics.com/Commentary/com-7_26_05_DP.html
Traduction Balagan
Par Albert (Albert) le vendredi 29 juillet 2005 - 21h28: |
Nao..
Pourquoi les algèriens et les autres ne font t'il pas leur ALYA dans leur pays réciproques..???
Par Davideden (Davideden) le vendredi 29 juillet 2005 - 20h49: |
Continuation des mesures ant-islamistes a Londres.
22989-1713498%2C00.html,http://www.timesonline.co.uk/article/0,,22989-1713498,00.html
On peut y lire:
"Mohammed," shouted the police. "Take your clothes off! Come out with your hands on your head and you will be all right!"
"I have rights!" came the reply. "I have rights."
En quelques mots la charade de la democratie et l'Islam se revele. Ceux qui ont nettoyes leur pays de toute presence minoritaire, ceux qui ne tolereraient pas 1 presence Juive dans un etat palestinien, ceux qui voudrait se tuer en tuant le plus possible de victimes innocentes RECLAMENT LEUR DROIT!!!!!
On combat le feu avec le feu. Pour l'Islamisme la democratie n'a aucune importance. Elle est un outil pour detruire et conquerir les infidels.
1 serie d'explosions a Londres, et Blair se reveille. Il ya quelques mois sa femme dans 1 visite en Israel accusait Israel ne pusser les Arabes a des actes de desespoir.
Aujourd'hui son mari ordonne de tirer sur tout ce qui bouge de facon suspecte.
Comme quoi je decouvre les attaques suicidaires chez autrui sont plus pardonables et explicables.
Il y a un peu plus d'1 an, une attaque suicide en Israel etait l'object d'1 exposition artistique en Suede devenu celebre apres l'acte heroique de l'ambassadeur Israelien.
Ma conclusion, l'Europe est un continent qui sent continue a me surprendre toujours pour le pire.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 29 juillet 2005 - 20h25: |
Apparu sur Haaretz du 29 juillet courant
Since the beginning of the State of Israel, I have never seen such a beautiful march by Jews from all the corners of the state, from all walks of life, a real cross section of Am Israel.
For the first time I saw the people of Israel, united, on the move. Those who saw this with disdain do not understand what freedom of expression means. 40,000 people singing together, making music together, sharing food and drinks among them and with the IDF soldiers. The inhabitants of Kfar Maimon should be commended for their generous hospitality and mutual help. They opened their doors to mothers and young children to share necessities. I don't see this March as a challenge for the Police or the IDF. From the beginning, the motto of the leaders of this March was: "non-violence".
In my view, this March is an expression of Democracy, which unfortunately was constantly harassed by the police and the army, which were confused, whether the participants were enemies or brothers.
I saw many marches in the United States, in New York, in Washington. The police was there to protect them and not to harass them. I qualify this March as a success for Brotherhood and the Non-Violent Freedom of Expression
Emile Tubiana, Lehigh Valley, United States of America