Par Email (Email) le vendredi 05 août 2005 - 05h09: |
Habib BOURGUIBA
http://www.bourguiba.com/
Bienvenue sur le site officiel du feu Président Habib Bourguiba. Ce site web a été développé par sa famille directe en l'honneur et reconnaissance à l’oeuvre monumentale entreprise pour l’édification d’une Tunisie libre et moderne.
Ce site web est conçu comme une bibliotheque virtuelle qui tachera de rassembler un maximum de donnees et documents concernant la vie de Habib Bourguiba, sa lutte pour l’indépendance de la Tunisie ainsi que sa présidence à la tête de l’état tunisien.
Toutes les informations recueillies à ce sujet seront mises à la disposition du grand public pour consultation, information et recherche, pour que son leg soit toujours présent.
Pour que sa flamme ne s’éteigne jamais
Par Albert (Albert) le jeudi 04 août 2005 - 21h53: |
Bazouka,
Au salon des dattes, nous avons une GLIBETTE comme pseudo, mais au vue de sa belle STATURE, je ne pense pas la CRACHER bien loin...!
Par Claudia (Claudia) le jeudi 04 août 2005 - 18h33: |
L’éditorial de Jean Daniel
Penser le terrorisme
1. Des ennemis de l’intérieur
La lutte contre le terrorisme pose de nouveaux problèmes à partir du moment où il est prouvé que les terroristes se réclament de l’islam et que beaucoup d’entre eux sont formés dans les écoles publiques sinon dans les universités les plus modernes de l’Occident. Ils appartiennent donc à des milieux en apparence parfaitement intégrés dans leurs pays d’accueil. Ces nouveaux ennemis ne sont nullement des étrangers. Ils déclarent la guerre à une société, la leur, dont ils désavouent «l’impureté» foncière et l’américanisation forcenée. En France et en Grande-Bretagne, ce sont donc des citoyens français et des sujets britanniques. Mais on éprouve désormais le besoin, lorsqu’ils sont délinquants, d’accompagner leur nom d’une mention: un Français d’origine maghrébine, un Britannique d’origine pakistanaise, etc. Tournant le dos aux avantages et aux séductions de la démocratie, ils se sentent solidaires de tous les révoltés de l’islam. C’est parfaitement leur droit. Nous avons eu nos Brigades internationales. Mais les militants combattaient alors leurs ennemis chez eux. Eux les traquent partout, et leurs victimes sont presque toujours innocentes.
2. L’échec du modèle britannique
D’un point de vue strictement sécuritaire, on s’interroge enfin et de plus en plus en France sur les échecs d’une politique visant à l’intégration dans notre société de communautés massives de musulmans. On en est même venu à se demander s’il n’était pas imprudent d’accueillir trop vite et en si grand nombre des immigrés solidement réunis par une même culture religieuse. Et cela sans avoir reconstitué des structures d’accueil (l’école et l’armée notamment) qui avaient si bien réussi jadis à la France. On dresse alors le constat inquiétant de la ghettoïsation des cités, du chômage des jeunes, de la dislocation de la famille et de la disparition de l’autorité du père. Mais ces explications tardives se révèlent insuffisantes.
Les Britanniques, se comparant avantageusement aux Français, se sont flattés d’avoir réussi une politique communautariste où toutes les cultures étaient parfaitement respectées ainsi que le droit, pour leurs représentants, à s’exprimer avec une liberté sans retenue. Ils sont obligés aujourd’hui – et le maire de Londres vient de le faire mieux que quiconque – de constater que si l’Etat respectait toutes les cultures, il en est qui ne respectent pas l’Etat. Ils observent par ailleurs que leurs terroristes sont issus de familles unies, aisées et qu’ils ont souvent fréquenté les universités les plus prestigieuses. L’une des choses qui a le plus frappé les Britanniques a été qu’avant de devenir terroriste un jeune Pakistanais de Leeds était devenu le meilleur joueur de cricket de son université. Or voici des siècles que le cricket constitue le sport le plus British que l’on puisse rêver. Quant à la liberté octroyée aux communautés islamiques, elle a surtout servi aux prédicateurs fondamentalistes à appeler à la guerre sainte et à faire le procès de l’Occident. Ils sont même parvenus à créer des écoles religieuses de fondamentalistes. C’est par la Grande-Bretagne, autant que par le Pakistan et l’Afghanistan, qu’il convenait de passer désormais pour obtenir un brevet d’islamisme. Le leader marocain Yassine a raconté cela avec précision lorsqu’il a recommandé le pèlerinage à Londres et l’usage de la langue anglaise au détriment de la langue française, qui selon lui véhicule tous les poisons de la laïcité.
3. Le piège de l’islamophobie
La question qui se pose désormais non seulement en Grande-Bretagne mais dans tous les pays – France comprise – qui peuvent être victimes du terrorisme, c’est de savoir quels moyens employer pour traquer les poseurs de bombes et désarmer les réseaux dans lesquels ils évoluent comme des poissons dans l’eau. Les attentats supposent une logistique: dans quel milieu la chercher? Une infrastructure: comment la démanteler? Un nouveau danger apparaît encore, celui d’une montée irréversible de l’islamophobie. Si les terroristes se mettent à ressembler à tout le monde, comment empêcher que ne se développe chez les non-musulmans un sentiment de méfiance devant le plus innocent de ceux qui se réclament du Prophète – à plus forte raison s’il porte une barbe ou un couvre-chef dénonciateurs. Les Néerlandais n’ont pas pu empêcher de graves débordements racistes après l’assassinat par un fanatique islamiste de Theo Van Gogh, apparenté au grand peintre. A Londres, lord Ahmed, baron de Rotherham, premier pair du royaume à se réclamer de l’islam, déclare qu’il y a déjà eu un millier d’actes néoracistes contre les musulmans de Grande-Bretagne. Il a mille fois raison de s’en alarmer, d’autant que l’islamophobie est l’objectif des islamistes. Mais au lieu de nous dire ce qu’il faudrait faire pour endiguer la dérive fanatique de certains de ses coreligionnaires, il fait l’éloge d’un islam britannique aux dépens de la France, à laquelle il reproche une loi sur le voile dont il évite de préciser que l’interdiction concerne l’école et non la rue. Bref, ce grand seigneur se conduit, lui aussi, en victime.
4. Si l’islam ne se réforme pas...
Naturellement, les premières méthodes de dépistage et de répression auxquelles on a recours, avec raison, sont celles de la coopération de tous les services de renseignements et de toutes les polices des pays considérés comme des cibles. Elles ont permis d’obtenir d’importants résultats. Mais on a souvent observé que la répression était aussi incitative que dissuasive et qu’elle suscitait des vocations. Comme en convenait l’un des chefs de la police de Londres, on ne voit pas pourquoi, à un terroriste arrêté, ne succèderaient pas plusieurs jeunes gens qui rêvent d’en découdre et de se sacrifier. Chaque acte de répression est d’ailleurs accompagné de prédications dans les mosquées exprimant une compassion pour les suspects interceptés ou pour les imams expulsés.
C’est pourquoi certains, dont nous sommes, pensent depuis très longtemps que la solution véritable et durable ne peut venir que des musulmans eux-mêmes, par une transformation radicale de leurs références religieuses et d’un comportement souvent indulgent pour le phénomène du terrorisme, qu’ils prétendent pourtant condamner. L’empressement que l’on met, dans certains milieux de l’islam, à rechercher les causes psychologiques et historiques de ce phénomène équivaut en fait à une justification. Jamais cependant plus qu’aujourd’hui ne s’est imposée à l’islam l’urgence de l’adoption d’un réformisme conquérant et non passif. La fameuse «maladie» de l’islam décrite par un écrivain musulman (1) nécessite un traitement de choc. A trop jouer les victimes de l’Occident, on finit par excuser les «excès» des stratèges de la terreur. Ce devrait être d’autant plus évident que les premières et les principales victimes du terrorisme ont été et sont des musulmans. Il y a eu tout de même en Algérie, dans les années 1990, 200000 morts (200000!) et cela, donc, avant la guerre d’Irak, avant la guerre d’Afghanistan, avant le 11 septembre 2001.
5. L’indispensable légitimité
Sans doute de nombreux musulmans, et pas des moindres, ont-ils réagi avec solennité contre le terrorisme dans nos sociétés et ailleurs. Mais il est temps d’aller plus loin, bien plus loin. Il faut que leurs représentants, laïcs ou religieux, adoptent un comportement qui sépare radicalement la religion de la politique. Mais il leur faut montrer autant de conviction et d’esprit de sacrifice que leurs adversaires. Il ne suffit pas pour eux de proclamer que le Coran est amour et que la violence aveugle est un péché. Quand ils disent cela, ils pensent en même temps que, dans un passé lointain ou récent, et bien que la Bible et les Evangiles soient aussi des livres d’amour, la violence a sévi de manière générale entre les religions, sans épargner les musulmans. Au moment où ils condamnent la violence, ils savent que leurs jeunes gens peuvent les soupçonner de lâcheté devant le colonialisme, l’impérialisme, l’américanisme et le sionisme.
On pourrait leur répondre que les lâchetés sont partagées, et que celle qui concerne l’étrange indifférence devant les conflits interarabes et interreligieux n’est pas plus honorable. Mais il est vrai cependant que dans leur lutte contre le terrorisme les musulmans ont plus que les autres besoin d’être investis d’une véritable légitimité: ils doivent être en mesure de montrer que s’ils sont solidaires des valeurs occidentales, ils se refusent à être complices de leur dévoiement. Reste que, tout de même, cette légitimité, ils ne peuvent la recevoir que de nous-mêmes. Il y a des causes qui ne sont pas à l’origine de l’islamisme mais qui ne cessent de le nourrir, surtout depuis la désastreuse guerre d’Irak et l’absurde plan pour la démocratie au Proche-Orient. Même ces deux initiatives, cependant, auraient pu bénéficier de circonstances atténuantes si par exemple, au Proche-Orient, les Américains avaient disposé d’une manière spectaculaire et incontestable d’une certaine forme de légitimité.
Il n’est pas seulement question ici de l’anachronique évidence selon laquelle il aurait fallu, bien sûr, pour les Etats-Unis, obtenir l’aval du Conseil de Sécurité et l’approbation des Nations unies avant d’intervenir où que ce soit. Après tout, il y a eu des causes justes – en Somalie, en Bosnie – auxquelles l’ONU s’est tardivement ralliée bien plus qu’elle ne les a inspirées ou préconisées. Mais songeons par exemple à ce que serait devenue l’image des Etats-Unis si, aussitôt après avoir procédé à la juste expédition en Afghanistan, ils s’étaient consacrés tout entiers à la paix au Proche-Orient, quitte à remettre à plus tard le cas de Saddam Hussein. Aux yeux du monde arabe et du monde islamique – et cela Bill Clinton et George Bush père l’avaient bien compris –, les Etats-Unis auraient fait la démonstration d’une autorité au service de la justice. Comment veut-on aujourd’hui, par exemple, que Mahmoud Abbas, en Palestine, se sente dans une pleine légitimité pour lutter contre le Hamas et le Djihad islamique lorsque la courageuse décision d’évacuer des colons de Gaza s’accompagne de la poursuite de la construction d’un mur qui compromet l’intégrité du futur Etat palestinien et les négociations pour y parvenir?
6. L’alibi de la guerre d’Irak
Il arrive souvent que des esprits justement soucieux de la sécurité d’Israël voient dans une telle analyse une manifestation d’antisionisme sinon d’antisémitisme. Pourquoi, disent-ils, le conflit israélo-palestinien serait-il responsable des autres drames du monde? Comment ignorer que les terroristes qui ont détruit les tours de Manhattan le 11 septembre 2001 se souciaient des Palestiniens comme d’une guigne? Ces observations, en apparence de bon sens, révèlent soit une ignorance soit une cécité protectrices. Oui, si étrange que cela puisse paraître, ce qui se passe dans cette région du Proche-Orient concerne une grande partie de la planète. Et d’abord les Européens et tous les Occidentaux sans exception. D’une part, ces derniers portent le poids de leur responsabilité dans un colonialisme arrogant et cynique, dont le monde arabe a souffert plus que les autres et dont Israël apparaît, à tort ou à raison, comme une dernière survivance. D’autre part, ce sont les Européens qui sont à l’origine de la Shoah, c’est-à-dire de l’une des entreprises d’anéantissement les plus monstrueuses de notre histoire commune. Chacun sent bien que le conflit israélo-palestinien met en branle des enjeux qui dépassent mille fois ses protagonistes.
Si l’on ajoute que ce conflit se déroule sur une terre promise à quelques millions de juifs mais que 1 milliard de musulmans et 1 milliard de chrétiens considèrent comme sainte; si l’on précise encore que les Etats-Unis, sous la pression croissante des évangéliques chrétiens – plus forte désormais que celle des lobbies juifs –, se comportent à l’égard d’Israël comme s’il était le 51e Etat de leur fédération, alors on n’est pas étonné de voir tous les regards dirigés vers ces lieux. Sans doute le terrorisme qui se veut islamiste est-il né bien avant la guerre d’Irak et avant l’exaspération du conflit au Proche-Orient. Mais la guerre d’Irak a multiplié les agents du terrorisme en lui fournissant des alibis de guerre contre les Etats-Unis et Israël ainsi que contre les «Croisés» de la vieille Europe. On dit que si les forces américaines évacuaient l’Irak et si les Palestiniens disposaient d’un Etat, cela ne supprimerait même pas un seul acte de terrorisme. Sans doute. Mais, ce qui est plus important, c’est que cela enlèverait aux terroristes les milieux de complicité où ils puisent leurs revenus et leur logistique.
Comment les Etats-Unis ont-ils cru pouvoir garder une autorité quelconque auprès des opinions publiques arabes et musulmanes lorsqu’ils ont maintenu leurs liens privilégiés avec les gouvernements les plus corrompus et les plus despotiques? Pour arrêter les voleurs, il est plutôt recommandé aux gendarmes d’être intègres. Avant d’imposer la démocratie, il vaudrait mieux s’inquiéter de savoir ce qu’un peuple entend et souhaite voir réaliser par ce mot. Sans légitimité, les musulmans qui luttent contres les terroristes risquent de se sentir toujours, à tort ou à raison, des traîtres.
(1) «La Maladie de l’islam», par Abdelwahab Meddeb (Seuil).
Jean Daniel
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 04 août 2005 - 10h58: |
A quand le championnat du monde de cracher de glibettes ?!
Je "lance" l'idee d'un championnat inter- Harissiens pour commencer, qui dit mieux ?
Le champion du monde du cracher de bigorneau vers un 4ème titre
AFP 04.08.05 | 08h47
Le champion du monde du cracher de bigorneau, Alain Jourden, 44 ans, tentera dimanche de conquérir un 4ème titre à Moguériec, près de Roscoff (Finistère), où plus d'une centaine de participants sont attendus, a-t-on appris auprès des organisateurs.
M. Jourden, 1,78 m pour un poids de 80 kg, avait remporté le concours l'année dernière avec un jet de 9,38 mètres par vent défavorable, alors que son record personnel se situe à 10,40 mètres.
Une catégorie spéciale est prévue pour les personnes de nationalité étrangère dont la plupart effectueront leur premier apprentissage lors de leur séjour sur la côte bretonne. Des compétiteurs de 14 nationalités, dont des Belges, des Italiens, des Allemands, des Espagnols, des Américains et des Britanniques, ont déjà participé à l'épreuve.
Les petits coquillages gris-noirs sont ramassés le matin même de l'épreuve dans les cailloux du bord de mer. Ils sont remis dans leur milieu naturel dès la fin de la compétition, insistent les organisateurs.
Le secret de M. Jourden, goémonier, réside essentiellement dans la technique respiratoire mais aussi dans le choix du gastéropode des mers qui doit être "ni trop lourd ni trop léger". La prise en bouche constitue également un élément essentiel, l'ouverture de la coquille devant, selon lui, "être orientée vers l'intérieur de la bouche".
La compétition se déroule en début d'après-midi sur une piste sablée de 20 mètres de long sur 3 de large, avec prise d'élan autorisée et trois essais au maximum.
Par Denfir (Denfir) le jeudi 04 août 2005 - 08h47: |
Merci bazooka! Réponse (tardive pardon) à Braham!
Vous me parlez "Cher Compatriote" de nos "leaders intellectuels et politiques" Lesquels? si la Tunisie éfface une partie de son passé c'est parcequ'elle à mis sa cervelle dans un caisson! vous m'envier? mais je suis Tunisien comme vous!qu'ai je de plus que vous? m'a t'on appris que la culture bérbére compte pour beaucoup chez nous? non! mais je le sais et l'idée que je me fais de mon pays dépasse de loin la vision étriquée de nos sois disant "leader". La Tunisie c'est plus qu'un Pays, c'est une idée, un Etat d'esprit unique, c'est une terre qui aime ses enfants pour toujours.
La bétise Humaine ne durera pas inch'Allah!
Enfin braham avant de conclure, j'utilise le vous par respect car j'ai été dressé comme ça (à coup de çepta et de shléka pour les connaisseur) et j'avoue que votre "vous" (séparatiste) m'a un peu brisé le coeur.... enfin c'est peut-être mon côté Bizertin! sensible et suceptible.
Bien à vous tous et croyez en notre TUNISIE!
Par Bazooka (Bazooka) le jeudi 04 août 2005 - 10h55: |
Notre Israelo-Tune de service en Mauritanie va bien:
Calm in Mauritania despite coup
www.jta.org
Israel’s ambassador to Mauritania said all was well despite a military coup there.
“The embassy is open and operating, but we are staying inside the embassy. We are avoiding going out,” Boaz Bismuth told Israel’s Yediot/Ynet news site in an interview from Nouakchott, where troops staged a coup Wednesday while the president, Maaouya Ould Sid’Ahmed Taya, was attending the funeral of Saudi King Fahd. Taya has been heavily criticized in Mauritania for opening diplomatic relations with Israel six years ago. Television footage showed cheering Islamists in the streets of Mauritania, many of them bearing portraits of the slain Hamas founder Sheik Ahmed Yassin.
But Bismuth played down the possibility that the instability could threaten him and his staff.
“Radical Islam wants to destabilize the moderate Muslim regime that is in power here, but as of now there is nothing that points to Islamic involvement of that sort in the attempted coup.”
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 03 août 2005 - 21h03: |
According to Yedioth of Aug 3, 2005 Peres considers Anti-pullout rally waste of time. He said:
"The anti-pullout rally scheduled for Wednesday evening in the southern town of Ofakim serves no purpose, as a democratic decision cannot be overturned by force " I will say: Mr Shimon Peres, you are wrong. You know why you are wrong, because in a democracy any rally is intended to create awareness, especially in such a situation. Furthermore you were not elected by the Israeli people. You have ploted to enter in Sharon's governement without election. You and Sharon are using force to enforce you program. I am not against the disengagement but I am against the dictatorial way you are prepared to handle the pullout. You all lack humanitarian compassion and consideration for the opposition. My father used to say: "Nothing is lost in this world, wait until the end to understand." Affiche dans the day after Haaretz et Yedioth du 3/August /2005
Par Emma (Emma) le mercredi 03 août 2005 - 20h53: |
« Pour vivre notre religion, tout est simple »
Le Parisien présente une famille de juifs français venus s’installer à Natanya en Israël en juillet 2004. Martine Chelly, mère de famille de quatre enfants, « ne regrette rien » même si en France elle n’était pas malheureuse. Elle explique cette décision par une envie de « changer de vie » et ajoute que « pour vivre notre religion, tout est simple ». Les conditions d’adaptation ne sont pas évidentes : « Les Israéliens sont différents des Français. Il faut s’habituer, mais c’est une ouverture sur d’autres cultures. Le plus dur, c’est la langue. »
En Israël, tout est fait pour que les nouveaux olim (immigrants) soient bien intégrés. Des locaux et des associations sont mis à leur disposition. Les familles reçoivent également une somme pour les aider à démarrer leur nouvelle vie.
« Pour vivre notre religion, tout est simple » (Le Parisien)
Par Francois (Francois) le mercredi 03 août 2005 - 18h31: |
Baisse de l'antisémitisme: questions en suspens
En dépit d'une baisse relative des actes antisémites recensés, le Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme déplore la recrudescence d'un certain nombre d'actes violents commis depuis près de deux mois et que nous attribuons à la propagande scandaleuse, via un affichage intensif, provocateur et incitatif à la haine, dans certains arrondissements de Paris, des communes d'Ile de France et des villes de province, par un collectif "RESISTANCE PALESTINE" au prétexte de la visite en France du Premier Ministre israélien.
C'est ainsi que le 4 juillet à BAGNEUX (92) un couple de juifs a été insulté, menacé par un groupe de jeunes gens dans le hall de leur immeuble. L'un des agresseurs a lancé vers eux, sans les atteindre un pavé. Les victimes par crainte de représailles refusent de déposer plainte.
A SARCELLES où ont été déjà commises plusieurs agressions signalées dans des communiqués précédents, 2 jeunes juifs de 15 ans Dan et Rafael sont pris à partie dans le hall de leur immeuble, rue Paul Valery, par deux jeunes maghrébins qui les provoquent, les insultent, les menacent et les frappent au corps et à la tête les renversent dans l'escalier. Les faits se sont produits le 4 juillet vers 22H. Nous les avons convaincus de déposer plainte, ce qu'ils rechignaient à faire par peur de représailles.
Le 19 juillet à 16 h. le jeune D.Anthony est agressé, frappé au visage et insulté entre la gare de Sarcelles et son domicile. Refusant de déposer plainte, il a fini par faire une déclaration de Main Courante à la Police.
Dans la nuit du 13 au 14 juillet une bombe incendiaire est lancée contre le mur de la synagogue de STAINS;
Le 19 juin les clients d'une pizzeria rue Manin à Paris 19° sont agressés par une bande dont certains sont interpellés par la police.
Le 16 juillet à 21 H, M. Gilles domicilié à Paris 11° est agressé, insulté, frappé et blessé, par deux jeunes individus dans l'escalier de son immeuble. Nous saluons dans ce cas aussi, l'action de la police qui a interpellé les auteurs qui étaient armés d'un objet contondant.
Le 20 juillet vers 22H3O mr.T. Daniel et ses trois fils sont agresses boulevard de Ménilmontant à Paris 20°; insultés et blessés, l'un des auteurs arrête par la police
Le 23 juillet vers 15h3O des adolescents pénètrent dans la cour de l'Ecole Sinaï à PARIS 18° et lancent trois bombes artisanales; ils sont confondus par la police.
Le 24 Juillet à 11H madame Fitoussi qui demeure au 7ième étage d'un immeuble à PARIS 11° découvre que la MEZOUZA de sa porte a été arrachée et détruite. Une croix gammée gravée sur sa boite à lettre. Une plainte est déposée.
Notre service qui répond au 0145088855 est à l'écoute des victimes pour les conseiller, les rassurer et les accompagner. Nous maintenons notre vigilance pour mieux appréhender le phénomène au plus près de la réalité du terrain, dans le but de permettre aux autorités de prendre le cas échéant des mesures préventives.
Nous considérons que la recherche et poursuite judiciaire des organisateurs de cette propagande incitative à la haine participe de cette prévention
Dans tous les cas où des individus sont interpellés par la police et déférés devant la justice, nous demandons que les délinquants confondus soient sévèrement punis. Leur remise en liberté, même assortie d'un contrôle judiciaire, comme dans l'affaire des auteurs des faits graves commis par des mineurs à l'Ecole SINAÏ le 23 juillet, n'est de nature ni à rassurer les victimes, ni à dissuader les agresseurs.
Source: http://www.a7fr.com/article.php?id=4118
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Comme il est douteux que la baisse des actions antisémitites soit significativement due à l'action gouvernementale de Chirak, on peut essayer de chercher les causes ailleurs.
On constate que depuis la défaite arabe dans la xème intifada, la propagande arabe est nettement moins virulente et que dans le même temps, le niveau d'incitation à la haine anti-israélienne de l'establishment politico-médiatique français a fortement diminué.
Les causes de cette baisse sont probablement plus à rechercher dans cette direction que dans l'accroissemment probablement réel de l'efficacité des institutions françaises. D'ailleurs, les autorités n'ont fait valoir que le chiffre "magique" de la baisse. Par contre, elles n'ont pas donné les chiffres d'évolution du nombre d'affaires élucidées, du nombre de coupables arrêtés et condamnés et surtout du nombre de plaintes refusées ou requalifiées en acte d'incivilité.
Par Mena (Mena) le mercredi 03 août 2005 - 18h18: |
Meurtres et surprises des Jihadistes (info # 010308/5) [analyse]
Par Sami El Soudi © Metula News Agency
Mercredi 3 août 2005, midi à Gaza
Pendant que les préparatifs du retrait israélien dans la bande de Gaza se font de plus en plus visibles, ce qui accapare la scène palestinienne ce sont les retombées du tir de Qassam raté d'hier soir. Le missile tiré par les terroristes du Jihad Islamique Palestinien était censé exploser parmi la foule de manifestants juifs anti-désengagement réunis dans la ville israélienne de Sdérot. Mais de fait, le Qassam est tombé à quelques centaines de mètres de sa cible, sur une maison arabe de Bet Hanoun.
Un enfant de six ans a été tué sur le coup, alors que huit Palestiniens supplémentaires, d'autres enfants en majorité, ont été blessés par la même salve. L'un d'entre eux se trouve ce matin dans un état critique.
Plusieurs éléments viennent augmenter la portée de ce meurtre et, parmi ceux-ci, le fait que la plupart des victimes appartiennent à la famille de l'ex-ministre de l'Autorité Palestinienne pour les Affaires des Prisonniers détenus en Israël, Monsieur Hisham Abdel Razek.
Dans un récent communiqué à l'Associated Press, le Jihad a fait savoir qu'il s'agissait d'un "incident malheureux" mais quelques minutes plus tard, la même organisation affirmait étrangement n'être pour rien dans le tir de cette roquette.
En tous cas, ce meurtre amène de l'eau au moulin de l'Autorité Palestinienne, qui est engagée depuis plusieurs semaines dans une large campagne médiatique pour faire cesser les tirs de Qassam et de mortiers. Des spots à la télévision démontrent, noms et chiffres à l'appui, que la majeure partie des victimes des terroristes n'est pas constituée d'Israéliens mais de civils palestiniens. Creusant dans la même veine, le ministre Mohammed Dahlan affirmait ce matin, sur tous les medias de Gaza et de Cisjordanie, que "ceux qui ont tiré ces roquettes prennent la place de l'occupant israélien et blessent des civils palestiniens".
Les réunions d'urgence se multiplient ce matin à Gaza. Ainsi, les cadres de la sécurité de l'AP sont enfermés depuis l'aube et discutent des mesures répressives à prendre. Des ministres participent à un autre meeting, tandis qu'une rencontre "entre toutes les composantes palestiniennes", selon l'expression consacrée, se tient en parallèle.
A l'ordre du jour : l'apaisement et la discussion des mesures devant permettre que le retrait israélien se déroule dans le calme. En fond de toile, les mises en garde très précises de Shaoul Mofaz, le ministre de la défense de Jérusalem, qui a informé par toutes les voies possibles – bureaux de coordination militaires, AP et medias – que tout acte hostile de la part des organisations terroristes durant le désengagement serait réprimé par l'IDF avec une fermeté inconnue jusqu'à maintenant. En fond de toile également, les arrestations massives, elles se comptent par dizaines d'individus, de membres des réseaux terroristes du Jihad Islamique. Ces captures, effectuées chaque nuit dans les villages de Cisjordanie depuis l'assassinat collectif de Netanya, ont pratiquement décapité toutes les cellules opérationnelles de l'organisation islamiste dans la région concernée.
Ces mesures aux effets concordants ont donné lieu à une série de réactions surprenantes de la branche politique du Jihad. Tout d'abord par la voie d'un communiqué passé à l'agence de presse française, sympathisante des thèses islamistes, l'AFP, dans lequel le Jihad annonce avoir donné l'ordre de cesser de tirer sur des objectifs israéliens durant les opérations de désengagement.
Dans le même message, l'organisation islamique et islamiste tient à préciser que "sa direction a ordonné il y a trois jours à tous ses groupes de cesser de tirer des roquettes afin de préserver le projet national palestinien durant cette conjoncture critique et historique".
Les observateurs auront remarqué que cet "ordre antidaté", avisé a posteriori, a pour mission principale de tenter de dégager la responsabilité du Jihad du meurtre d'hier soir. Dans les milieux dirigeants palestiniens c'est cependant peine perdue, tout le monde restant convaincu que le Qassam tueur est sorti des tubes de cette organisation. Dans les mêmes cercles, on n'accorde qu'une très faible fiabilité aux déclarations du Jihad, rappelant qu'il était signataire de la Hudna avec l'AP, la trêve, il y a un an, ce qui ne l'a pas empêché de commettre et de tenter de perpétrer des dizaines d'actes terroristes, dont l'assassinat-collectif-suicide de Netanya il y a un mois.
Désormais, craignant une réaction musclée des forces de sécurité officielles, le Jihad fait acte d'allégeance à Mahmoud Abbas au pas cadencé, déclarant notamment au bureau de l'AFP de Marius Schattner que l'organisation "désirait que le désengagement se déroule de façon pacifique".
Plus surprenante encore est l'interview concédée par l'un des chefs de la branche politique du Jihad Islamique, Abdel Khalim Izzedine, surnommé Abou Qassam, à un journaliste du quotidien israélien Haaretz. Lors de cet entretien, cet individu, dont le pseudonyme signifie littéralement "le père des Qassam", affirme que son organisation "pourrait reconnaître Israël".
Encore faudrait-il, selon Izzedine, qu'Israël cesse ses "assassinats ciblés" (terme utilisé par les officiels palestiniens, l'AFP et la quasi globalité des medias français afin de désigner les éliminations chirurgicales de terroristes avérés. Ndlr.) et les arrestations de ses membres.
Mais à ces conditions, si le Jihad participait à l'AP et que l'AP concluait un accord avec Israël, alors le Jihad pourrait reconnaître l'Etat d'Israël. Il ne s'agirait certes pas d'une reconnaissance officielle mais d'une reconnaissance de facto.
Se lançant dans une digression théorique non dénuée d'intérêt, Abou Qassam déclare que si les idéologies sioniste et celle du Jihad sont assurément inconciliables, lorsqu'Israël commence à se séparer de secteurs des territoires, le Jihad pourrait abandonner sa revendication fondamentale consistant en l'établissement d'un Etat islamique" de la rivière à la mer".
"Chacun conservera son idéologie dans son cœur" philosophe l'islamiste, tout en n'excluant ni des contacts directs avec les Israéliens ni la menace de continuer à user de l'arme terroriste. Izzedine, qui a passé 12 ans, pour activités terroristes justement, dans les prisons israéliennes, exprime maintenant le désir "de découvrir leur côté humain…", arguant, avec un sens subit des réalités, que "chaque camp voit uniquement ce qui est négatif chez l'autre".
Tant nos représentants officiels que les Israéliens auraient tort de négliger l'ouverture constituée par les propos du chef jihadiste. Ils interviennent certes à un moment délicat pour l'organisation islamiste, alors qu'elle risque autant les foudres de nos services de sécurité que ceux de l'armée israélienne et qu'elle craint pour sa survie. D'autre part, Izzedine exprime l'une des voix existant dans le Jihad politique de Gaza et de Cisjordanie, avec laquelle la direction en exil à Damas s'oppose totalement sur l'hypothèse d'une coexistence avec l'entité des Hébreux.
Et puis, notre problème n'est pas celui des différends intellectuels exprimés par les représentants de ces mouvements mais celui de l'exercice quotidien des attaques armées contre les civils et du refus de cette organisation d'accepter l'autorité du pouvoir sorti des urnes palestiniennes. Et encore, des islamistes "modérés" tels Abdel Khalim Izzedine ont été abondamment courtisés par des envoyés plus ou moins secrets des gouvernements français et espagnols, précisément pour qu'ils délivrent ce genre de commentaire.
Mais après avoir replacé ces déclarations dans leur contexte limitatif, il reste à constater que LE grand problème, tant de l'AP que des Israéliens, consiste à concevoir un type de coexistence non violente et durable avec les islamistes. Que l'un d'entre eux, qui n'est pas le premier venu et qui n'exprimait pas son point de vue individuel, entrevoie un schéma logique de coexistence paisible, devrait retenir notre attention ! Et peut-être faudrait-il amorcer un dialogue avec ces courants : mon ami Mahmoud Abbas n'est pas l'ennemi de la préservation d'Israël, tout le monde l'a remarqué ; et la paix se fait avec ses ennemis, pas avec ceux qui sont déjà des partenaires. Pour nous, le dialogue avec ces gens est une condition de l'accomplissement du projet national palestinien. Abbas l'a compris, qui parlemente avec eux malgré ses réticences naturelles. Pour Sharon, ce pourrait être la condition de la sécurité de son pays à terme, vu que les islamistes au Moyen-Orient sont légions et qu'ils ne sont pas près de s'évaporer dans les nimbes, là où disparaissent les cauchemars éphémères.
Par Shira (Shira) le mercredi 03 août 2005 - 12h30: |
Villepin au regime harissien:
Avant de partir, Villepin délaisse le buffet VIP, au grand dam des serveurs, pour rejoindre le barbecue géant des enfants sur la pelouse. Là, il se saisit d'un quart de baguette fourré de deux merguez qu'il arrose copieusement d'harissa en tube, – celle dont on conseille d'ordinaire d'user à dose homéopathique. «T'as vu ce qu'il a mis ? Il va pleurer sa mère !», s'inquiète un jeune beur. Villepin, stoïque, ira jusqu'au bout du sandwich, à la surprise générale.
http://www.lefigaro.fr/politique/20050723.FIG0127.html?072652
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 03 août 2005 - 00h48: |
In my view the disengagement will be stopped; those who cooperated with the idea are wrong and they are confusing the rules of democracy and the rules of the army. Even President Bush does not have that kind of latitude to make such a decision in the United States. .
If a law can not be enforced by the juges and by the police, that means that the law was not constitutional and that the lawmakers did not think it through deep enough. If Sharon wants to enforce the disengagemnt with the help of the IDF he is damn wrong. The IDF is the people's army and not Sharon's army. I can not imagine the IDF shooting any Israeli citizen because he disagrees with Sharon. If that happens, Israel will have its own revolution like the French one or the American one, where thousands of citizens died. One single difference though: the ones who are for the disengagement and the ones who are against it, they are all former IDF soldiers.
Neither will Hamas move against the demonstrators, nor will Hezballah open a new front in the North, because they know very well that this is precisely what Sharon is waiting for to calm his frustration and to discharge himself from his decision.
Par Breitou (Breitou) le mardi 02 août 2005 - 21h24: |
C'est Amnistie Internationale..CHEF...???? Celle là...?