Par Bazooka (Bazooka) le lundi 21 mai 2007 - 01h40: |
Communique de l'Institut d'Etudes Levinasiennes:
Cher amis,
Nous vous rappelons que la 5e seance du seminaire de Gilles Hanus intitule
« Lecture de L'espoir maintenant de J.-P. Sartre et Benny Levy » se tiendra ce lundi 21 mai a 20h30, dans les locaux des Editions Verdier,
234, rue du Faubourg-Saint-Antoine, 75012 Paris.
Nous vous invitons a surtout bien reserver votre entree, par le biais du site Internet, a l'adresse indiquee ci-apres, car le nombre de places est considerablement plus limite que dans notre salle habituelle de la Maison de l'Architecture. Les personnes ayant reserve seront prioritaires si nous devons refuser des entrees faute de place.
Reservez des maintenant par l'un des moyens suivants :
1) Sur le site www.levinas.fr a l'adresse suivante ou vous trouverez un lien e-mail pour envoyer une reservation :
http://www.levinas.fr/institut/intervenants/detail_intervention.asp?id=90
Ou
2) En appelant Mirjam Van Den Berg au 01 44 24 87 83 : laissez votre nom et vos coordonnées (indiquez egalement le nombre et le nom de chacune des personnes pour qui vous reservez).
Le tarif de la seance est de 10 euros par personne et 4 euros pour les adherents de l'Institut d'Etudes levinassiennes.
Voici la presentation complete du seminaire :
« La cinquieme seance portera sur les sections 8 et 9 de L'Espoir maintenant, dans lesquelles Sartre et Benny Levy reviennent sur le sens de la democratie a partir de la critique qu'ils viennent de faire de la radicalite politique et en viennent, de la, a poser la question de l'universel, impliquee par la fraternite, mais escamotee en realite dans l'espace politique (8. « Plus fondamental que la politique »). Cette
interrogation sur l'universel et la fraternite conduit Sartre a des formulations inhabituelles, a la lisiere du mythe, sur le rapport initial liant les hommes les uns avec les autres (9. « Fils de la mere ») qui constituent une premiere tentative en vue de penser le « tous » en dehors de l'espace politique. »
Par Bazooka (Bazooka) le lundi 21 mai 2007 - 01h29: |
Braham,
Merci pour cette magnifique gravure, savez-vous de quand elle date, et concernant le commentaire, pourriez-vous nous dire si le terme de "moissonneurs" est bien le terme qui convient, il me semble que "glaneurs" eut ete plus approprie dans la mesure ou Ruth, si mes souvenirs sont exacts, venait glaner dans les champs apres que la moisson fut accomplie.
Mais je joue mon "Joker" ...
(Lelaket, en Hebreu)
Par Bazooka (Bazooka) le lundi 21 mai 2007 - 01h22: |
Merci Cacouboulou, j'ai du lire avec bien trop d'empressement ...
Souhaitons que la tactique de Sarko soit porteuse, la choix d'Azouz Begag n'avait pas vraiment ete un succes, la nous avons affaire a une dame, qui est peut-etre "une main de fer dans un gant de velours".
Par Lapid (Lapid) le dimanche 20 mai 2007 - 21h47: |
Dernieres nouvelles de Sderot
http://www.guysen.tv/?vida=1484
Le journal de la nuit du 20 au 21 Mai 2007
http://www.guysen.tv/?vida=1483
Operation sourires pour les enfants de Sderot
Kol Akavod a Guysen, l'ABSI Keren Or et Sauveteurs Sans Frontières pour avoir pris l'initiative d'offrir des cadeaux aux enfants de Sdérot.
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http://infolive.tv/fr/infolive.tv-5605-israelnews-journal-du-20-mai-2007
journal du 20 Mai 2007
Cette diffusion des nouvelles de Sderot est uniquement faite dans le but de lutter contre la Desinformation pratiquee par les medias en France, en Europe et dans le Monde.
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le dimanche 20 mai 2007 - 21h23: |
Bazooka, c'est Gisèle Halimi, qui est l'ardente avocate d’origine tunisienne.
Et une bonne soirée à vous.
Par Braham (Braham) le dimanche 20 mai 2007 - 19h43: |
Shavouoth
Une gravure de G. Dore basee sur la Meguila de Ruth la Moabite.
Par Roger_Chemouni (Roger_Chemouni) le dimanche 20 mai 2007 - 19h37: |
"Bon anniversaire !" dit le cinéma mondial au Festival de Cannes
La crème des cinéastes du monde entier a dit dimanche "bon anniversaire" au festival de Cannes, qui fête sa 60e édition, en envoyant de savoureux petits films, souvent débordants de créativité et d'humour, regroupés dans l'oeuvre collective "Chacun son cinéma".
Un budget de 25.000 euros, un thème - la salle de cinéma - et une durée - trois minutes - uniques : 35 cinéastes ont relevé le défi lancé par le président Gilles Jacob pour célébrer cette édition particulière.
Il est bien plus difficile de faire un film court qu'un long, a jugé l'un des auteurs, le Russe Andréi Konchalovsky, qui a ajouté : "le grand écrivain russe Pouchkine a écrit, dans une longue lettre à un ami: +Excuse-moi, je n'ai pas le temps de t'écrire une lettre courte".
Dédié au cinéaste Federico Fellini, "Chacun son cinéma", qui dure deux heures et sera bientôt distribué en DVD, est émaillé de petits bijoux d'émotion, de nostalgie et souvent, d'humour noir.
Certains y posent un regard tendrement nostalgique sur les salles de quartier aujourd'hui en déclin. Le Français Claude Lelouch montre la rencontre de ses parents, dans un cinéma en 1936 et, au fil d'un monologue hilarant, l'Italien Nanni Moretti promet, à son corps défendant, d'aller voir "Matrix 2" à son fils de sept ans.
D'autres, tels les frères Dardenne, célèbrent le pouvoir hypnotique des images animées et le rituel social de la projection publique.
Le Grec Theo Angelopoulos rend hommage à Marcello Mastroianni dans son court-métrage où Jeanne Moreau dit son amour à l'image de l'acteur.
De son côté, le Chinois Zhang Yimou montre une projection en plein air dans une campagne chinoise reculée, où un garçonnet, fasciné par les préparatifs, s'endort, épuisé quand le film commence.
Très applaudi, le film de Walter Salles met en scène deux campagnards brésiliens qui vivent "à 8.944 km de Cannes", et chantent a cappella leur vision du Festival. "C'est un petit port de pêche abandonné, et le chef du village s'appelle Gil !", lance l'un des deux en jouant du tambourin, dans un clin d'oeil à Gilles Jacob.
Les frères Coen montrent le cow-boy de "No country for old men", joué par Josh Brolin, s'intéresser à un film de Nuri Bilge Ceylan, "Les Climats", pour draguer l'ouvreur du cinéma.
Misanthrope, Lars von Trier défoule sa hargne sur un spectateur parasite, auquel il fracasse le crâne à coups de marteau, tandis que David Cronenberg imagine un monde apocalyptique où règne la télévision : "le dernier Juif du monde" s'y suicide en direct dans "le dernier cinéma du monde".
Enfin, l'Allemand Wim Wenders alerte sur l'état de l'Afrique en montrant, pendant une projection avec une caméra à infra-rouge, la détresse de petits enfants congolais, probables orphelins de guerre, devant des images de fusillade.
Dimanche, le festival découvrait aussi, "Les Psaumes", signé par le Français Raphael Nadjari, seul film de la compétition présenté au 5e jour du festival.
"Tehilim" - titre original de cette co-production franco-israélienne, scrute les effets de la disparition d'un père sur une famille juive, de nos jours à Jérusalem, au fil d'un récit épuré, d'une tension constante.
Alma (Limor Goldstein), son mari Eli Frankel (Shmuel Vilojni) et leurs deux enfants, l'adolescent Menahem (Michael Moshonov) et le petit David (Yonathan Alster), huit ans, forment une famille ordinaire.
Un matin sur le chemin de l'école, la voiture du père quitte la route, et c'est l'accident. Le petit David est blessé, Menahem va chercher les secours, et à son retour, le père a mystérieusement disparu. Chacun, à sa façon, tente de surmonter cette absence.
Par Lapid (Lapid) le dimanche 20 mai 2007 - 19h32: |
Neuf roquettes lancées sur Sderot dimanche
Quatre roquettes Kassam ont été tirées en direction de Sderot dimanche après-midi 20 mai, selon la radio. Cinq roquettes ont déjà frappé Sderot et les alentours dimanche matin, l'une d'entre elles touchant une habitation. Selon une équipe du Magen David Adom présente sur les lieux, la maison était vide au moment des faits. Cependant, Aroutz 10 a fait état de plusieurs personnes en état de choc.
Face à la poursuite des attaques de roquettes Kassam sur Sderot, le ministre de la Défense, Amir Peretz, a décidé dimanche matin 20 mai de déclarer l'état d'urgence dans les communautés situées autour de Gaza.
Sur le terrain, la déclaration faite par Peretz signifie que celui-ci a transféré le pouvoir de l'autorité civile au commandement de Tsahal, qui se trouve donc en position, entre autres, de fermer des usines ou des écoles.
D'apres un reportage de la deuxieme chaine de Television en Israel, la grande majorite des habitants de SDEROT ne veulent pas abandonner leur ville. Mais cela ne les empeche pas de manifester leur colere en protestant contre l'absence de mesures qui devraient assurer leur securite ( generalisation de la construction de chambres securisees dans leurs appartements et dans les etablissements publics), l'indemnisation des commercants pour leur manque a gagner a cause de la situation actuelle. D'autre part, beaucoup s'en prennennt au gouvernement auquel ils reprochent de ne pas avoir de plan capable d'eradiquer la menace des kassam qui pleuvent sur eux depuis plus d'une semaine. Le fait qu'il n'y ait pas de morts jusqu'aujourd'hui est un miracle de tous les jours comme on peut le constater en regardant les reportages video de la Television ou les clips video des agences de presse par l'intermediaire d'internet. La plupart des habitants interrogent le gouvernement : Faut-il qu'il y ait des morts pour que vous vous decidiez a prendre des mesures necessaires pour faire cesser l'envoi des kassam sur Sderot et le Neguev occidental ? Allez-vous faire les memes erreurs que lors de la deuxieme guerre du Liban en laissant pourrir la situation ? Telles sont les questions que se posent, avec angoisse, les habitants de SDEROT et de la region.
Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 20 mai 2007 - 19h19: |
Shalom,
A propos de votre post sur les Francais de Netanya, je voulais juste vous dire a quel point "une hirondelle ne fait pas le printemps" c.a.d a quel point les Francais de Netanya ne sont pas, contrairement a ce qu'ils pourraient laisser croire, representatifs de la communaute francophone israelienne.
Comme vous l'avez evoque vous-meme, ils sont pour la plupart bien plus au fait de l'actualite francaise que de l'israelienne (ils vous parleront en ce moment bien plus volontiers de Sarko que d'Olmert), probablement du fait qu'ils se sont pour la plupart installes ici au moment de prendre une retraite bien meritee, qu'ils ne font (et pour beaucoup n'ont jamais fait) partie des "actifs" et parce qu'ils ne sont pas reellement en "prise directe" avec la societe israelienne.
On peut dire qu'ils "vivent heureux dans leur meilleur des monde a eux".
Que les Francais retraites de Netanya n'en prennent pas ombrage, j'ai vecu toute mon enfance avec des parents, grands-parents et oncles qui "vivaient dans leur tete" en Tunisie, en plein coeur de Paris ou de Nice ...
Un "travers" qui n'est pas l'apanage d'Israel mais commun a tous les pays d'emmigration ...
Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 20 mai 2007 - 18h55: |
Euh Cacouboulou,
Y'a kekchose ki m'echappe: comment avec un pere Marocain et une mere Algerienne, Rachida Dati peut-elle etre Tunisienne ?
......?!
Par Bazooka (Bazooka) le dimanche 20 mai 2007 - 18h54: |
Euh Cacouboulou,
Y'a kekchose ki m'echappe: comment avec un pere Marocain et une mere Algerienne, Rachida Dati peut-elle etre Tunisienne ?
......?!
Par Girelle (Girelle) le dimanche 20 mai 2007 - 18h34: |
Cacouboulou,
Sont fous ces suisses: quand, comme Rachida Dati, on s'installe dans le plus convoité parce que le plus beau des bureaux qu'offre la république, on n'est pas la beurette alibi de service.
Place Vendôme, elle pourra travailler, je l'espère avec l'intelligence et la compétence que cette magistrate a su montrer pendant la campagne.
Gageons qu'elle saura se faire respecter, et comme la paix des banlieues dépend aussi de la justice, je crois que le choix du Président et de son premier ministre est judicieux.
Mais je suis sûre que certains sont morts de rage.