Archive jusqu'au 23/mai/2007

Discus: ADRA : LES COMMENTAIRES D'HARISSA: Commentaires 2007: Commentaires Mai 2007: Archive jusqu'au 23/mai/2007
Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mercredi 23 mai 2007 - 11h07:

http://www.actuabd.com/spip.php?article4328

Richard Malka : "Nicolas Sarkozy est réellement un personnage de BD !"
4 novembre 2006


L’avocat (de Charlie Hebdo, de Clearstream...) et scénariste (L’ordre de Cicéron, Section financière) est le coauteur de La face karchée de Sarkozy, une coédition Fayard - Vents d’Ouest en librairie le 7 novembre. A partir d’une enquête de Philippe Cohen, il a élaboré un scénario que Riss a ensuite mis en dessins. Un ouvrage politique et atypique.


Qui est à l’origine de ce projet ?

C’est Philippe Cohen, que je connaissais bien puisque je l’avais défendu sur La face cachée du Monde. Il connaissait ma deuxième vie de scénariste de bande dessinée, il avait le souhait de faire une enquête sur Nicolas Sarkozy, et sa démarche est venue du fait qu’il y avait déjà eu beaucoup d’ouvrages sur Sarkozy, mais que ceux-ci n’avaient pas touché un large public : par le média BD, le public touché pourrait être plus large. Même les gens pas franchement politisés pourront être séduits par ce support, d’un abord plus facile. Et par ailleurs Nicolas Sarkozy était réellement un personnage de BD ! Philippe Cohen m’a demandé si ça m’intéresserait, j’ai dit banco ; et puis j’ai contacté Riss de Charlie Hebdo, j’ai contacté Glénat qui était partant... Ensuite Fayard, qui est l’éditeur habituel de Philippe Cohen, était également partant. Ça sécurisait d’ailleurs Glénat d’être à deux éditeurs sur un ouvrage pareil : c’est la première fois que ça se fait, et ça n’est pas vraiment leur domaine, au niveau éditorial et en terme de gestion d’auteurs, mais aussi de presse, de commercialisation... Les compétences et les savoir-faire de chacun s’additionnaient.

Par la suite, vous avez travaillé en lien constant avec les deux éditeurs ?

Non, c’est Glénat qui a été opérateur, parce que c’est eux qui savent faire des BD. Avec, du côté Fayard, une présence quand même très active de Claude Durand, qui corrigeait mes découpages à la virgule près, qui a trouvé le titre, et qui nous apportait aussi ses excellentes idées, et Dieu sait s’il en a !

Comment avez-vous procédé pour construire un scénario à partir d’une enquête journalistique ?

Ça a été très compliqué, parce qu’il fallait concilier des logiques différentes. J’ai trouvé cette astuce du récit par un étudiant en 2098, ce qui me permet d’avoir une voix off, avec des éléments plus réels parfois que ce qui est dans les bulles, ce qui amène le lecteur à différencier deux modes de narration. Ensuite, effectivement, Philippe était attaché aux faits et à sa crédibilité journalistique, mais moi mon souci c’était d’abord de raconter une histoire compréhensible par tous, intéressante pour le public... et marrante ! Du coup, après que j’ai réalisé mon découpage à partir de son enquête, il y avait des allers-retours constants, des batailles sur chaque mot, chaque virgule, mais tout ça de manière très amicale, cordiale et enrichissante ! C’est ce qui fait qu’on est arrivé, je crois, à un équilibre intéressant.

Qu’est-ce que Philippe Cohen vous fournissait comme matière de travail ?

Lui me donnait six ou sept feuillets par chapitre, après on en discutait, et puis je faisais mon choix : d’une anecdote je faisais plusieurs pages, de plusieurs pages je faisais une seule case, avec le souci constant de la narration. C’était compliqué aussi pour moi, parce que j’ai vite compris qu’il fallait que je bride ma créativité, mon imaginaire, sinon on partait dans quelque chose qui n’était plus tout à fait une enquête.


S’agit-il pour vous d’abord d’une expérience d’écriture, ou surtout d’un acte militant ?

Clairement, c’est d’abord un défi scénaristique : faire quelque chose d’inédit, adapter une enquête journalistique extrêmement sérieuse et documentée en bande dessinée, avec tout un tas de problématiques : comment intéresser le lecteur sur 112 planches, comment trouver des modes de narration différents à chaque page, comment rester grand public malgré le caractère très documenté et parfois lointain des histoires racontées... Et puis faire une BD d’humour aussi, ce qui n’est pas du tout ma culture : je ne pensais pas en être capable ! Ce sera au public de dire si j’ai réussi ou pas... Surtout, avec toutes ces contraintes, parvenir à raconter une histoire, construire un récit fluide et intéressant.

Le livre a tout de même un côté pamphlétaire assez net...

Je n’aime pas ce mot-là... Vraiment, ce n’est pas ma nature d’être cruel : j’ai essayé de ne pas être dans l’excès total, la méchanceté gratuite, et c’était notre volonté commune de ne pas faire les Guignols. Jamais il n’est traité de fasciste, jamais il n’est mis en cause pour sa conception des droits de l’homme... On est vraiment sorti de ces images un peu caricaturales, parce qu’on n’en a pas besoin : le personnage se suffit à lui-même, et puis je pense qu’on aurait perdu en crédibilité. C’est-à-dire qu’en restant au plus proche des faits, quitte parfois à les exagérer un peu, on est plus crédible, et au final peut-être plus dur.

Ne craignez-vous pas une sorte d’effet tourbillon qui fait que, plus on parle de Sarkozy (même si c’est pour en dire du mal), plus il gagne en visibilité ?

Ça, contrairement à mes coauteurs et aux deux éditeurs, j’en étais conscient dès le départ ! Quand vous consacrez un ouvrage entier à un personnage, et en plus que ce personnage fait rire, même si c’est à ses dépens, il y a forcément un effet d’identification : il ne peut pas être complètement antipathique, parce que c’est quand même le héros. Et puis c’est vrai que c’est aussi une espèce d’hommage de l’avoir choisi, lui et pas d’autres, comme héros d’une bande dessinée ! Mais bon, après, ça voudrait dire qu’il ne faut pas en parler, ce qui n’est pas possible : c’est quand même un candidat à l’élection présidentielle. Au-delà de ça, l’ouvrage est assez dur. De toute façon, moi, encore une fois, ce n’est pas vraiment ma problématique, parce que je ne l’ai pas fait dans un but militant, même si ce n’est pas vers lui que se portera mon vote a priori... Je ne me suis pas posé ces questions-là. Mon souci, c’était que l’histoire soit réussie.

Les éditeurs souhaiteraient apparemment rééditer l’expérience avec d’autres personnages, d’autres sujets : est-ce que vous serez de la partie ?

C’était vraiment une belle aventure, difficile, lourde, et j’en sors sur les genoux, donc je ne la rééditerai pas tout de suite. Pourquoi pas, bien sûr ! Mais là, je vais d’abord me reposer un peu. Parce que ça, plus Cicéron, plus Section financière, plus mon boulot d’avocat, ça commence à faire un peu beaucoup...

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mercredi 23 mai 2007 - 08h12:

ô Jérusalem par David Bar-Hen - Shavei Hévron - 18 mai 2007 -

"Je suis rentré en Israël le 27 Yiar, après une visite d’une semaine à Paris. Ce soir là, Jérusalem fêtait les 40 ans de sa libération, lors de la Guerre des six jours.

Je ne me rappelle ni de la guerre, ni de la libération, je n’avais qu’un an à cette époque! Mais tes souvenirs, ô Jérusalem, ont accompagné mon enfance. J’aimais jouer dans les tranchées de Guivat Hatahmoshet (la colline des Munitions), en m’imaginant les courageux soldats, qui avaient été prêts à sacrifier leur vie pour toi, pour enfin te retrouver. J’ai grandi avec l’histoire de ce soldat qui avait versé des larmes au Kotel, avec l’image du Rav Goren, qui, un Séfer Torah dans les bras, avait sonné du shofar et avec l’annonce de Motta Gour sur son émetteur : «Le Mont du Temple est entre nos mains ! Je répète, le Mont du Temple est entre nos mains !»

Et tout cela s’était produit alors que quelques jours avant, Israël était en danger de destruction. Ceux qui se souvenaient du début de la guerre m’avaient raconté qu’on se demandait déjà qui éteindrait la lumière. Ils m’avaient parlé de ces jardins publics qu’on avait déjà préparés à servir de cimetières. Et voilà que, contre toute attente, la situation s’était retournée : la délivrance et la joie avaient remplacé la peur.

C’est pourquoi je suis venu vers toi, ô Jérusalem, pour me réjouir de ta joie, contempler ta splendeur et fêter ta libération. Nous sommes de retour! Ô Jérusalem! Nous t’étreignons, après des milliers d’années de supplications et de nostalgie, ville sainte, ville royale.

J’étais si heureux de te voir resplendir dans ta robe de fête, au milieu de tous ces drapeaux, qui t’ornaient de toute part, parmi ces jeunes venus danser pour toi, des drapeaux à la main. (Chaque année, des milliers de jeunes se réunissent en centre ville et défilent en dansant et en chantant, passant entre les portes de la vieille ville, pour se joindre à la prière de fête, qui a lieu au Kotel.)

Mais quelque chose me manquait… Quelque chose était incomplet, comme si cette fête n’appartenait qu’aux jeunes, et pas à tous encore. Etait-elle la propriété de ceux qui portent une kippa crochetée ?? Ceux qui ont choisi la kippa noire et ceux qui n’en ont pas, le Juif d’ici et celui de là-bas, le soldat et le civil, où étaient-ils ???

Aujourd’hui, quarante ans après, que reste-t-il de ce sentiment extraordinaire, de cette élévation que tous avaient éprouvé à l’égard du miracle, de la victoire et de la bravoure de ces jours, qui nous avaient vus retourner dans tes rues et dans celles d’Hébron, de Jéricho et de Shechem, ces villes saintes et millénaires pour lesquelles nous avions prié plus de deux mille ans ?

Pourquoi, si soudainement, de courageux soldats, ayant libéré Israël, sommes-nous devenus des conquérants ? Pourquoi de patrimoine, notre pays s’était-il transformé en territoires occupés ? Où se sont envolées la joie et l’honnêteté naturelle ? Comment avons-nous subitement oublié ce pour quoi nous avons prié deux mille ans ???

Je dois avouer qu’à ma joie se mêle une certaine tristesse. ‘‘Ce sont mes frères que je cherche.’’ Tous mes frères ! Jérusalem, tu n’appartiens pas qu’à moi. Tu es à nous tous !

Tu es revenue, tu es ‘‘entre nos mains’’. Mais peut-être que nous, nous ne sommes pas suffisamment revenus vers toi. Nous ne nous sommes pas assez efforcés de fusionner avec toi, de comprendre ta valeur et tout ce que tu représentais. Nous avons cru que c’était clair comme le jour. Et voilà, justement maintenant que nous sommes de retour, nous commençons à t’oublier. Certains d’entre nous sont même prêts à te donner à nos ennemis en échange de la ‘‘paix.’’

Je ne désespère pas, à D.ieu ne plaise. Je dis même le Hallel à Yom Yéroushalayim, car je vois comme tu te développes, je vois qu’aujourd’hui vivent en ton sein des milliers de fois plus de gens qu’il y a cinquante ans et je vois les constructions qui fleurissent dans tous tes quartiers. Je remercie le Saint béni soit il pour toutes tes yéshivoth, tes communautés, tes usines, tes magasins, tes bâtiments, tes rues et tes quartiers, les anciens comme les nouveaux.

Mais je veux te renforcer. Jérusalem de mon cœur, je ne saurais laisser aucun vent de faiblesse séparer la mère de la fille. Je veux te garder unie pour l’éternité.

C’est pourquoi, à travers ces lignes, je souhaite éveiller l’attention et avertir que si nous ne réfléchissons pas à la signification de Jérusalem, si nous ne la considérons qu’avec notre instinct, comme un folklore, alors, à D.ieu ne plaise, des vents de faiblesse risquent de nous séparer de la Jérusalem unie de nos rêves. Ces vents pourraient bien mettre un frein au merveilleux processus historique et à la réalisation des visions de nos prophètes, phénomènes qui se déroulent devant nos yeux.

Je pense qu’il est important d’apprendre Jérusalem, de la connaître et non pas seulement de l’aimer. Il faut comprendre le pourquoi Jérusalem, pour éviter que les sentiments ne s’évanouissent et que les pensées de faiblesse ne nous coupent de la ville de l’éternité, à D.ieu ne plaise. Nous ne connaîtrons pas Jérusalem, si nous ne nous retrouvons pas nous-mêmes d’abord, si nous ne reconnaissons pas les racines de notre nation, si nous ne savons pas qui nous sommes et quelle signification a notre vie.

Jérusalem nous réconcilie avec les racines les plus profondes de la conscience nationale et spirituelle de notre peuple. Ce n’est pas un hasard, si nous sommes revenus entre Pessah et Shavouoth, entre la fête de la liberté et celle du don de la Torah. Jérusalem fait en effet la liaison entre nos aspirations spirituelles et nationales. Il semble qu’il ne puisse y avoir de patriotisme juif sans judaïsme, ni de judaïsme sans patriotisme.

Je me sens profondément obligé de renforcer l’Etat, le gouvernement et toute la nation, pour que ce merveilleux rêve, qui se réalise devant nos yeux, se poursuive et avance. Ce rêve incarne tout ce que nos prophètes avaient prédit, il y a des milliers d’années. Je veux, moi aussi, prendre part à ce processus. Je souhaite, plus que tout, que vous vous y associez et qu’ensemble nous remarquions comment, chaque jour, une nouvelle page de l’incroyable histoire du peuple éternel s’inscrit devant nos yeux émerveillés, juste comme nos sages rapportent que les prophètes avaient promis.

Je vous invite à prendre part à l’histoire de Jérusalem, à fusionner avec la ville de l’éternité, pas seulement ici-bas mais surtout avec la Jérusalem d’en haut. Je souhaite vous voir fusionner avec l’identité juive originale, avec les anciennes aspirations qui nous avaient soutenus toutes ces longues et difficiles années d’exil. Il ne s’agit pas d’un simple folklore, d’une simple culture, mais du mode de vie, non seulement de l’individu, mais aussi du peuple. Ces aspirations doivent aujourd’hui guider l’Etat d’Israël, dont le cœur est Jérusalem et le temple.

Certes, tout n’est pas encore parfait, la plupart des enfants d’Israël sont encore dispersés et tout le monde n’a pas encore la joie de monter à pied à Jérusalem trois fois par an. Le temple est encore remplacé par un sanctuaire étranger.

Je suis si reconnaissant pour tout ce que nous possédons et je m’étonne que nous n’ayons toujours pas de temple, où renouveler le service des Cohanim, dans la ville de la paix, Jérusalem qui est bâtie avec une harmonieuse unité. Jérusalem de la présence divine, Jérusalem du pèlerinage fait à pied par tous les Juifs !!

Jérusalem, tu es si belle, comme l’a écrit le roi David, ce merveilleux psalmiste, ‘‘comme elle se dresse magnifique, joie de toute la terre, la montagne de Sion, aux flancs dirigés vers le nord, la cité du roi puissant.’’ Tu me manques, Jérusalem royale tant ici-bas, qu’aux cieux, Jérusalem de tout le peuple.

Si D.ieu le veut, l’année prochaine, nous nous réunirons tous ensemble, heureux au cœur de Jérusalem construite."

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mercredi 23 mai 2007 - 00h14:

Position de Nicolas Sarkozy sur le conflit israelo-palestinien

Q - Quelle est votre position sur le conflit israélo-palestinien ?

R - Sur le conflit israélo-palestinien, ma conviction est que la seule solution durable passe par une paix juste, donc négociée, avec l'établissement de deux Etats viables, démocratiques, vivant côte à côte dans la sécurité et dans des frontières sûres et reconnues. Personne ne saurait perdre de vue cette réalité fondamentale : un peuple occupé ne renoncera jamais, quoi qu'il endure. C'est pourquoi il importe d'adopter une position équilibrée envers les deux parties. La sécurité d'Israël ne se discute pas et rien ne justifie l'utilisation de la violence par les Palestiniens ; mais la poursuite d'une politique de faits accomplis sur le terrain par Israël hypothèque lourdement l'avenir. La France, avec ses partenaires, notamment au sein du Quartet, doit tout faire pour aboutir à une solution négociée.

Q - La France peut-elle jouer un rôle dans la crise libanaise ?

R - Le rôle de la France et de la communauté internationale, c'est d'aider les Libanais à défendre la souveraineté et l'intégrité de leur pays. L'été dernier, le Liban, comme trop souvent dans son histoire, a été martyrisé et des innocents ont payé de leur vie un conflit qui n'était pas le leur. Mais à qui les Libanais doivent-ils en premier lieu demander des comptes pour avoir tant souffert ? Ma réponse est claire : d'abord au Hezbollah. Parce que je crois que l'amitié se renforce dans la franchise, j'ai tenu à dire à nos amis libanais qu'à l'origine de ce conflit il y avait un agresseur qui était le Hezbollah, et un agressé : Israël. Au nom de cette même franchise, j'ai dit aux Israéliens que leur riposte avait été excessive et inadaptée. Je défendrai toujours avec la même force la sécurité d'Israël et la souveraineté et l'indépendance du Liban. Aujourd'hui, il est essentiel que la commission d'enquête sur l'assassinat de Rafic Hariri puisse achever son travail et que le Hezbollah démontre qu'il est une organisation politique en déposant les armes.

Extrait de l'ENTRETIEN DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, M. NICOLAS SARKOZY, AVEC LA REVUE TRIMESTRIELLE "POLITIQUE INTERNATIONALE" (Paris, mai 2007)

Voir l'entretien complet dans le site suivant :

url : http://www.diplomatie.gouv.fr/actu/bulletin.asp?liste=20070516.html#Chapitre4

ENTRETIEN DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, M. NICOLAS SARKOZY, AVEC LA REVUE TRIMESTRIELLE "POLITIQUE INTERNATIONALE"

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mercredi 23 mai 2007 - 00h00:

LE QUAI D'ORSAY. IL SEMBLE QUE RIEN N'A CHANGE ?

Proche Orient (21 mai 2007)

La France condamne fermement la poursuite des tirs de roquettes à partir de Gaza et appelle les différents groupes palestiniens à respecter le cessez-le-feu conclu le 26 novembre avec les autorités israéliennes.

Alors que la situation est très volatile dans les Territoires palestiniens et face à l’accroissement préoccupant du nombre de victimes civiles, nous appelons les autorités israéliennes à la plus grande retenue pour ne pas entrer à nouveau dans le cycle stérile de la violence. Nous les encourageons à reprendre la voie du dialogue.

- Réponses du porte-parole du Quai d’Orsay à des questions posées lors du point de presse du 21 mai 2007 :

(Quelle est la réaction de la France face aux menaces d’un ministre israélien de ’’liquider à la première occasion’’ Khaled Meshal, un des signataires des accords de La Mecque qui ont permis la création du gouvernement d’union nationale entre le Hamas et le Fatah ?)

Nous avons pris note de ces déclarations.

Je vous rappelle que la France condamne de façon constante la pratique des exécutions extra-judiciaires, contraire au droit international. Ce type de pratique ne fait que renforcer les éléments les plus radicaux à un moment où il faut, au contraire, renforcer la position des partisans d’une solution négociée.

(M. Kouchner s’est manifesté hier à propos des événements à Tripoli, qui ont provoqué quarante morts. Est-ce qu’il compte s’exprimer au sujet de la situation en Palestine, où nous comptons plusieurs morts par jours et quelle politique compte-il mener pour alléger la souffrance de la population palestinienne qui est au bord d’une catastrophe humanitaire, selon les responsables humanitaires ?)

Je vous renvoie à la déclaration que je viens de faire sur la situation au Proche-Orient. Vous connaissez l’attachement de la France à la recherche d’une solution juste et durable pour la création d’un Etat palestinien.

Cette question a été évoquée par M. Kouchner avec M. Solana ce matin, avant la visite que ce dernier entreprend dans la région.

(Selon l’ONU neuf Palestiniens sur dix vivent sous le seuil de pauvreté et le directeur de l’UNRWA, M. Ging, a appelé à une aide d’urgence aux Palestiniens. Que peut faire la France pour convaincre ses partenaires européens de reprendre l’aide directe ? Cet appel pourrait-il inciter les pays favorables à la reprise de l’aide directe à verser une aide d’urgence, même à titre d’effort groupé ou bilatéral ?)

Nous continuons de plaider auprès de nos partenaires européens en faveur d’une reprise de l’aide directe et nous le ferons notamment lors du prochain Conseil Affaires générales et Relations extérieures, qui se tiendra le 18 juin. Les éléments que vous mentionnez militent en ce sens.

(Quel a été le message de M. Kouchner à M. Solana qui entame une tournée au Proche-Orient ?)

L’entretien a été l’occasion de faire le point avant la tournée de M. Solana, en particulier sur la situation dans les Territoires palestiniens et au Liban.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mardi 22 mai 2007 - 23h41:

Est-ce le commencement de la fin de "l'ImMonde" ou
Un vent de renouveau et d'honnêteté journalistique va-t-il enfin souffler à la rédaction du "Monde" ?


Colombani désavoué par la rédaction du "Monde"
lefigaro.fr (avec AFP). - 22 mai 2007 -


Jean-Marie Colombani était le seul candidat à sa succession.

Unique candidat à sa succession, il a recueilli seulement 48,49% de votes favorables.

Coup de tonnerre au journal "Le Monde". La rédaction s'est opposée mardi soir à la candidature de Jean-Marie Colombani à la présidence du directoire du groupe, lors d'un vote à bulletins secrets. C'est ce qu'a annoncé le président de la société des rédacteurs du "Monde" (SRM), Jean-Michel Dumay. La direction du "Monde" n'a pas souhaité commenter le vote de la rédaction. Celle-ci dispose d'un droit de veto sur la nomination du président du directoire.

Lors du scrutin organisé dans l'aprés-midi, Jean-Marie Colombani, unique candidat, qui briguait un troisième mandat de six ans, a recueilli seulement 48,49% de votes favorables. 46,68% des votants se sont prononcés contre sa candidature. 3,01% ont choisi un bulletin "abstention".

Droit de veto

Pour l'emporter, Jean-Marie Colombani devait recueillir au moins 60% des suffrages. Le personnel des Publications de la vie catholique (PVC, autre entité du groupe), qui votait simultanément, a également rejeté sa candidature à 61,4%. Le "oui" a recueilli 30,12% des voix, l'abstention 6,82% des voix.

La SRM exercera donc son droit de veto sur la nomination de Jean-Marie Colombani, lors du conseil de surveillance qui doit élire le nouveau président du directoire. Avec les deux votes négatifs de ce mardi et celui, également négatif, des journalistes du "Midi Libre" lundi, Jean-Marie Colombani ne devrait recueillir que 14 voix au conseil de surveillance. Pour être élu à la présidence du groupe, un candidat doit recueillir au moins 16 voix sur 20, dont les deux voix de la SRM.

Une partie de la rédaction s'était ouvertement inquiétée des conséquences financières de sa politique. Bien que réduites de moitié par rapport à 2005, les pertes du "Monde" s'élèvent en 2006 à 14,3 millions d'euros. Certains avaient également critiqué la concentration des pouvoirs dans les mains de Colombani, qui cumule les fonctions de président du directoire du groupe et de directeur de la publication du quotidien.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mardi 22 mai 2007 - 23h31:

Dernieres nouvelles de SDEROT et du Neguev occidental

http://www.guysen.tv/?vida=1487

journal de la nuit du 21 au 22 mai 2007

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url : http://www.guysen.tv/?vida=1489

journal de la mi-journee 22 mai 2007

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url : http://www.infolive.tv/fr/home

journal du 22 Mai 2007

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Autres informations diverses relayees a partir d'Infolive.tv

Découvrez le nouvel avion sans pilote de Tsahal. Fruit des dernières avancées en matière de technologies aéronautiques de l'industrie militaire, le Shoval défie l'ensemble de ses concurrents par des performances remarquables dont notamment une capacité de vol sur de longes distances. Retour en images sur le nouveau joyau de l'armée de l'air israélienne.
url : http://www.infolive.tv/fr/infolive.tv-2760-israelnews-shoval-le-nouveau-drone-de-tsahal

Shoval - Le nouveau drone de Tsahal

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Elbit Systems présentera un soldat robot portable en mesure de pénétrer seul en zone ennemie, de jeter une grenade et de tirer sur l'ennemi.
Le VIPER, c’est son nom, d'une dimension semblable à celle d'un petit téléviseur, a été pensé pour réduire le risque de combats au corps à corps entre Tsahal et ses ennemis.
Equipé d'une caméra vidéo, le soldat robot tout terrain, équipé d'un système de détection et de désamorçage des explosifs, peut éviter les obstacles du terrain, tels des escaliers.
Elbit a précisé que Tsahal équiperait ses forces terrestres du VIPER après avoir réaliser des tests préliminaires.
Le groupe israélien entend également équiper les services de sécurité étrangers ainsi que les forces américaines postées en Irak et en Afghanistan.
La rédaction d'Infolive TV

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PS : je continuerai de donner des nouvelles fiables (a partir d'Israel) de Sderot et du Neguev Occidental tant que certains medias francais (et internationaux) continueront a presenter leur version des faits tout en etant guides par un desir de Desinformation comme cela a ete pratique courante dans le passe.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le mardi 22 mai 2007 - 23h14:

Shavouoth
Je m'axcuse, mais encore une photo..
Hier j'ai "marche" avec les enfants et leurs amis de l'ecole. Ils avaient parade sur une des collines du Carmel avec leurs Corbeilles pleines de Premices. Ils ont chante et danse.

Chants des Premices

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Girelle (Girelle) le mardi 22 mai 2007 - 20h34:

Braham,

Ces gateaux, c'est ravissant, délicat, tendre...et instructif.

Heureux enfants!

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Breitou (Breitou) le mardi 22 mai 2007 - 21h10:

Bouse moi Tawfiq pour que mes plaies guérissent.

Le lait m'a toujours accompagne. Encore aujourd'hui je ne peux m'empêcher de le boire tous les matins.

Ma grand-mére Meiha z'al, me disait tout petit

'...Ochrob kess ah'lib ye ouldi ou te'oue tchouch Kuifféch teq'ber...Ye Biber !' Bois un verre de lait mon fils et tu verras comme tu grandiras..!'

Ici, certains devraient élever des vaches dans leur appartement pour se nourrir de lait tellement leur cervelet est atrophiè et mesquin.

HAG SAMEAH QUAND MEME. Laiteux que vous êtes.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Braham (Braham) le mardi 22 mai 2007 - 16h14:

Shavouoth, la derniere image.

Nos parents avaient des methodes tres douces de nous inculquer nos traditions.
Ma mere faisait, pour chaque enfant, une serie de petits gateaux qui representaient des elements de la Reception des Tables de la Loi, du Mont Sinai et de Moshe.
Ce soir, mes petits enfants en recevront chacun une serie, comme sur cette photo.

Gateaux Shavouoth

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Toufiq (Toufiq) le mardi 22 mai 2007 - 16h12:

le lait:
personellement je ne bois pas de lait.
pour les enfants j'achete du lait provemamt de vaches "non traitees" (pas question non plus d'etre traite de vache".
l'etre humain est le seul mamifere qui consomme du lait au dela de la petite enfance.certains recommandent le lait maternel jusqu'a l'age de trois ans.et ensuite basta.
le lait et ses derives ont une tres grande importance dans la culture vedique indouiste, tout comme tout ce qui provient de la vache,un animal beaucoup plus utile vivant que mort.
la bouse de cet animal herbivore ainsi que son urine ont des vertue antiseptiques connues et reconnues.

Haut de la pageMessage précédentMessage suivantBas de la pageLien vers ce message   Par Lapid (Lapid) le mardi 22 mai 2007 - 15h22:

Hajkloufette,

on est bien d accord que ces deux Djamel n'ont rien a voir ... l'un est le celebre judoka qui est lui investi par Bayrou ... l'autre est Djamel Debouze ... l'acteur du film "" les indigenes "".

Bien entendu ils n'ont de commun que leurs prenoms.

Pour Djamel Bouras ses positions sont claires.

http://www.dailymotion.com/video/x1bn3_djamel-bouras-vs-max-gallo

Djamel Bouras vs Max Gallo

Quant a Djamel Debbouze, il sait utiliser sa popularite et son humour (qu'on peut aimer ou non !) pour avancer ses idees d'une maniere plus subtile tout en defendant les banlieues ce qui est des plus honorable; mais a plusieurs reprises il a utilise son humour pour defendre et justifier la violence des jeunes de banlieue (et parfois de certains islamistes) ce qui est beaucoup moins honorable. En me souvenant de cette polemique autour de son passe, et en decidant de la republier, je pose la question de savoir si ce passe (s'il s'avere vrai) explique une telle position de sa part. Il est vrai que cette polemique n'a pas ete reporte dans les medias dont il est en quelque sorte le chouchou. A mon avis, if faut faire la verite sur cette affaire et ainsi soit le disculper soit confirmer ces accusations.

Girelle, a ma connaissance, Djamel Debbouze n'a jamais pris publiquement position pour Francois Bayrou.