Par Email (Email) le dimanche 21 août 2005 - 09h21: |
bonjour
je suis une musulman
je suis heureux tu retrait de gaza
je souhaite que nos musulman de faire le pelerinage a jerusalem que vos l'avait interdit depuis 1948
pour quoi ?????????????????
je souhaite que vos comprenait que nos les musulmans en de detest pas les juifs mais en n'est pas que vos nos enlever le droit de priere faire notre pelerinage dans les lieux saint .
je neront faux de rage
voila n'autre soussi
avois la possibilite de prier et notre souhait
j'espere que vous nous comprenais
la guerre ne regle aucun probleme
a biento
salma
Par Mena (Mena) le dimanche 21 août 2005 - 08h33: |
Bonne image de la solide démocratie d’Israël (info # 011908/5) [analyse]
Par Stéphane Juffa © Metula News Agency
Avec Ilan Tsadik dans le Goush Katif et Sami El Soudi à Gaza City
Certains observateurs considèrent avec inquiétude le jour d’après le désengagement. Ce n’est pas mon cas, du moins pour tout ce qui concerne l’avenir de l’Etat d’Israël et de sa population. Pour ce qui est de la Carte Routière et des Palestiniens, leur avenir dépend surtout, comme l’a fait remarquer Kofi Annan cette nuit, de la capacité de leur gouvernement à prendre en mains ses responsabilités et à démanteler les réseaux terroristes. Israël a entre autres prouvé cette semaine qu’elle est maîtresse de son destin et qu’elle est capable de réaliser toutes les décisions prises par ses gouvernements, même les plus difficiles. Le retrait de Gaza donne à l’exécutif palestinien une occasion exceptionnelle de se positionner sur les rails menant vers la coexistence pacifique et la proclamation d’un Etat pour son peuple, et ceux qui favorisent ces deux avènements espèrent qu’il saura la saisir.
Mais en ce vendredi matin, de nombreux Israéliens sont surtout concernés par les affaires intérieures d’Israël et, comme moi, ils se sentent bien dans leur identité. Ce qui nous assure cette rare satisfaction c’est d’avoir pu vérifier la veille l’état de notre démocratie. Elle fonctionne, merci !
Cette possibilité d’inspecter la condition de notre système politique, nous la devons à nos policiers, à nos soldats et à leurs officiers. Ils ont fait la démonstration, en direct life devant les caméras du monde entier, de ce que les forces de l’ordre d’une authentique démocratie pouvaient se montrer aussi efficaces et résolues que sensibles et humaines. Car pour déplacer en deux jours 5'000 personnes de leurs maisons et 3'000 militants extrémistes, barricadés dans des synagogues ou retranchés sur des toits derrière des fils de fer barbelés, il faut déjà être le bras séculier d’un système particulièrement solide et sûr de ses valeurs. Et lorsque l’on réalise semblable exploit sans armes, les mains nues, sans même un bâton et sans qu’aucun des 17'000 hommes engagés dans l’opération ne lève la main sur ses concitoyens, on se trouve pleinement rassuré quant à l’avenir de notre société.
Pourtant, l’éviction des habitants des implantations de la bande de Gaza et des activistes venus leur prêter main forte avait été précédée d’une vaste campagne de l’extrême droite religieuse visant à déstabiliser les soldats et les gendarmes ; une campagne qui les appelait à la désobéissance et à refuser d’exécuter les ordres. Cela n’a pas pris. Les exécutants de l’opération, quelle que fut leur orientation politique ou religieuse, ont su mettre de côté leurs préférences personnelles pour mener à bien leur mission. Il ne s’agissait pas pour eux d’évaluer la conformité des décisions prises par le gouvernement en fonction de leur sensibilité individuelle mais de mener à bien, avec un sens humain remarquable, la tâche que l’Etat leur avait impartie. Encore eurent-ils à subir cinq jours durant – et ce n’est pas fini, ce matin, ils évacuent l’implantation de Kadim, ses vingt familles et ses deux cents militants infiltrés – les quolibets, les insultes et les appels à la damnation proférés par les personnes qu’ils venaient transférer.
Pourtant, soldats et policiers n’ont frappé personne. Ils n’ont traîné personne au sol, escortant ou soulevant, avec une patience que je n’aurais pas eue, un à un, les individus qui s’étaient barricadés dans leurs habitations et ceux, entrelacés en grappes humaines, qui se serraient dans les synagogues. Huit blessés légers en observation pour une opération de cette ampleur, la plupart faisant partie des forces de l’ordre, voici qui constitue la meilleure illustration de la situation que j’expose. Ilan Tsadik rapporte à ce propos que les soldates et les soldats ont tous été appelés nazis, pire que nazis et animaux sur deux pattes par les personnes qu’ils venaient déloger. Qu’icelles, selon les leçons qu’elles avaient apprises par cœur de leurs maîtres, leur promettaient systématiquement, qu’à l’heure du jugement dernier, leur âme brûlerait en enfer pour l’éternité.
Et même, lorsqu’à Kfar Darom, ils durent prendre d’assaut le toit de la synagogue, comme jadis on s’emparait d’un château fort, et même lorsque les hooligans, qui attendent désormais en prison, pour ces raisons, d’être déférés devant un juge leur déversèrent au visage huiles, peintures, œufs pourris, légumes rassis et diluants chimiques, les policiers surent se retenir et laisser à la justice le soin exclusif de choisir les punitions.
Encore que ce genre de péripétie fut rare et même exceptionnel. Car du côté des habitants des implantations aussi, on a fait preuve de retenue, sachant, à tout le moins, ne pas aller au-delà des agressions verbales et de la résistance passive. Malgré les enjeux de la confrontation, les années de vie et d’efforts qui s’arrêtaient brusquement, malgré les morts et les infirmes dus aux actes des terroristes palestiniens, cette population a fait montre de sens civique. C’est remarquable et c’est rassurant dans la perspective de notre existence commune au sein de la même entité politique.
Il y eut tout de même l’usage qui était fait des enfants et qui a révolté la plupart des observateurs politiques en Israël. S’il est naturel, dans une certaine mesure, qu’on les ait trouvés chez eux pour ceux qui habitaient là (il aurait néanmoins fallu leur épargner ces traumatismes, c’est l’une des divergences d’approche entre la société laïque et les Edennistes), il est déplorable que les infiltrés aient amené leur progéniture et l’ait utilisée comme un argument dans la mêlée.
Show devant…
Ce que je viens de décrire, des centaines de millions de téléspectateurs, édifiés, l’ont suivi en direct. Enfin sur les chaînes comme CNN, Sky, BBC, Fox News etc. qui n’avaient pas de raison de cacher à leur public les images non filtrées de ces évènements exceptionnels. Ces télévisions ont bouleversé leurs programmes afin de montrer en direct les péripéties de notre désengagement. L’image d’Israël est sortie grandie de ces heures de retransmissions sans intermédiaires et sans agencement des images.
Des images qui se passaient en fait de tout commentaire, qui devenaient l’évènement, davantage même que l’évènement lui-même. Des images, surtout, qui ont surpris un grand très grand nombre de téléspectateurs et même de politiciens et de journalistes à l’étranger, leur permettant soudain de saisir que des soldats qui se comportent de la sorte sont évidemment incapables de consacrer leur temps à mener des incursions à caractère génocidaire, à tirer sur des enfants innocents ou à perpétrer les autres atrocités que certains médias n’hésitent pas à leur imputer. Jusqu’aux publics arabes, selon les témoignages parvenus à la rédaction de nos correspondants au Liban, en Palestine, en Jordanie, et de nos amis en Egypte et dans les pays du Maghreb, qui étaient fort surpris en découvrant l’extrême retenue du personnel de Tsahal.
Seule la BBC tentait de modifier l’impression forte laissée par les images, les accompagnant d’un commentaire résolument hostile à Israël et malhonnête. Les envoyés spéciaux de la chaîne publique britannique s’évertuaient à présenter l’évacuation des implantations telle un exercice militaire interne entre les verts et les oranges, avertissant, lourdement et à mauvais escient, que le retrait israélien ne serait pas complet et que l’occupation de Gaza se poursuivrait après le désengagement. Le commentaire le plus frelaté de l’après-midi sur la BBC fut le fait de son correspondant à Gaza City. Celui-ci, prétendant se faire le témoin de l’humeur de la rue palestinienne, affirmait que Tsahal s’était montrée largement moins patiente et précautionneuse envers les Palestiniens de Rafah, lorsqu’elle les avait chassés de leurs maisons pour aménager un couloir de sécurité le long de la frontière égyptienne. La BBC se dispensa seulement de mentionner, qu’à partir de ces maisons, des miliciens avaient préalablement abattu des dizaines de soldats et qu’elles abritaient les tunnels de contrebande dont le produit sert aux assassinats-collectifs de civils israéliens. Chocking lack of frankness (manque choquant de correction), Messieurs les Anglais ! Ce d’autant qu’Ilan Tsadik, qui a fréquemment servi sur la route de Philadelphie atteste en plus que, contrairement aux affirmations mensongères de la BBC, l’armée israélienne avait mis en garde les habitants de Rafah en de très multiples occasions et plusieurs années durant contre la poursuite des activités meurtrières à partir de leurs maisons avant de les raser.
Les téléspectateurs de FR2, vraisemblablement pour la même raison de l’insoutenable message véhiculé par lesdites images, n’ont eu droit ni au direct ni même au moindre grand titre lors du JT du soir. Surprenant contraste entre les priorités de FR2 et celles des grandes télévisions du globe !
Les medias français qui, par ailleurs, à l’occasion du désengagement, se gargarisent de colons, de colonisation, de colonies et de colonisés, comme dans cet ancien jeu de société, dans lequel il fallait placer dans un commentaire le plus de fois possible un mot imposé. C’est histoire, pour les confrères tricolores, de bien montrer qu’ils ont lu sur ce sujet la série d’articles de la Ména "Une explication" [accès à la 1ère partie], qui met à nu l’ineptie historico-sémantique volontaire antijuive qu’il y a à employer le vocable de colon pour décrire l’habitant israélite d’une implantation en Palestine. C’est aussi l’occasion qu’ils ont de consacrer et de claironner leur choix morino-schattnérien et d’affirmer, par la vulgarisation répétitive de cette imposture, que les "journalistes français sont plus forts et plus importants que la vérité elle-même", mais cela, confidence pour confidence, depuis la "transparence" dont ils ont fait preuve dans le traitement de la Controverse de Nétzarim, on s’en était déjà persuadé…
Montrer LES monstres COLONS juifs sous un jour humain, c’est aujourd’hui une impossibilité dans l’espace politiquement correct de l’Hexagone. Montrer leurs réalisations, leur capacité à faire littéralement fleurir le désert de Gaza, que les Arabes considéraient comme hanté et à jamais inculte, aurait contribué à relativiser l’image de cette population ; leur authentique souffrance, à les victimiser. Or, il n’en était pas question, le simplisme français actuel ne peut avoir, au Moyen-Orient, qu’un seul peuple-victime et c’est le peuple palestinien. Montrer les COLONS comme les femmes et les hommes qu’ils sont – quelqu’un de sensé avait-il un doute ??? –, aurait mis à terre tout le processus de justification français du terrorisme palestinien, c’était donc inconcevable, comme montrer aux téléspectateurs du service public la meilleure armée du monde dans ses œuvres. Comment expliquer ensuite au téléspectateur français désorienté que l’officier Imad Farès, qui a organisé et mené avec une phénoménale patience certaines des opérations les plus humainement délicates d’hier, est également l’officier qui commandait les soldats de la position de Magen 3, le 30 septembre 2000 ; ceux que (presque) toute la France médiatique française accuse – tout en sachant éperdument qu’elle ment – d’avoir visé Mohamed A-Dura durant 45 minutes avec l’intention consommée de l’assassiner ?
Viens-je d’écrire : "la meilleure armée du monde" ?
C’est ce qu’elle a démontré hier encore, établissant, pour notre plus grand bonheur, que ce titre ne lui vient pas des armes super sophistiquées qu’elle développe et qu’elle détient mais de la qualité, de la réserve, de l’humanité et de la résolution dans sa subordination intelligente aux décisions du pouvoir civil, de son composant le plus précieux : les filles et les fils d’Israël.
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 20 août 2005 - 21h23: |
Dans Haaretz en anglais du 20 aout 2005
Did the Results of the Disengagement Sanctify the Means?
In less than a week, most of the Gaza settlements were emptied of their inhabitants. The struggle seemed easier than the government and the media had predicted and prepared the people of Israel for. No blood was shed, neither in the armed forces, nor by the inhabitants of these settlements.
Compliments and bravos are flowing from all over the world, starting with the United States President, the UN Chief Kofi Anan, to the Secretary-General of the Council of the European Union, Javier Solana, to the President of France, Jacques Chirac, etc, etc with the exception of the Palestinian leaders and the unanimity of the Jewish people all over the world.
Can Sharon make peace with Israel's neighbors while his house is in turmoil and the scars inflicted on the settlers are so deep that the healing will take a long time, if ever? Peace that seemed to be within reach for Sharon, Peres, and the world leaders has now become more elusive
Sharon has succeeded by abusing the government and by using overwelming power, but it is a personal failure and a failure for the country he leads. More than 50% of the people of Israel were not for the disengagement, but he thwarted them by making a pact with members of the opposition parties, which in fact were not elected by the people during the general election. In fact Sharon betrayed his elected party.
Even the left which gave him the back-up for his majority, has already, through its chairman Shimon Peres, declared that as soon as the disengagement would be over, his party would no longer back Sharon. His party, the Likud has already called for a primary election. Abbas joined the band waggon by calling on Israel to stop building settlements and evacuate the settlements in the West Bank, and Condoleezza Rice has reenforced Abbas by adding that this is only the first step in the right direction, and that Israel must continue the disengagement process further.
In my view peace cannot be won before the Palestinians master their own forces, before the healing process has succeeded in Israel among the disengagement opponents, and without the concensus of the various major players in Israel.
Par Sarel (Sarel) le samedi 20 août 2005 - 21h04: |
caceouboulou
je suis flatte de votre avis sur moi
Le but des questions est de permettre a chacun d'y reflechir
Nul n'est sense d'y repondre
Cela n'aurait mene a rien
Les messages par la suite s'ils sont donnes
pouront definir la personne
Quand on ne parle pas cela ne veut pas dire
qu'on a pas de reponse
Merci et shalom sarel
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le samedi 20 août 2005 - 17h52: |
Cacouboulou :
Cher Richard S.
Ok, sortons un peu des questions que pose Sarel, auxquelles il semble lui meme incapable de repondre, par contre ta question, porte en elle meme sa propre reponse.
La legitimite au sens commun, depend du camp dans lequel on se trouve, cela rappelle les temps des monarchies absolues, ou les rois disaient : “C’est legitime parce que je le veux !”, et ainsi se font les guerres, qui durent des siecles, voire des millenaires, jusqu’a ce que l’equilibre des forces etablisse des frontieres, pour qu’enfin cesse l’etat de beligerance, dans lequel tout le monde se retrouve finalement perdant, et que la force des armes laisse alors la place a la force du droit.
Cela a pris plus de mille ans, pour que les nations europeennes y arrivent, et il est probable que lorseque cela se produira au Proche Orient, nous ne serons plus la pour le voir.
Gageons seulement que ceux qui tirent les ficelles, et manipulent les citoyens ou les sujets, fassent preuve d’un peu plus de clairvoyance, que ceux qui sevirent en Europe au cours du dernier millenaire.
Est ce que cette reponse te convient, Richard ?
Mahraba a mon Matmata internet café, d'ou je t'envoies le message.
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le samedi 20 août 2005 - 13h39: |
Nous venons d avoir cet appel sur Le Boukha Bar que je vous invite a visiter .
http://harissa.com/forums/index.php?4
Il me semble important qu il soit lu par la plupart d entre vous ... Peut etre quelqu un pourrait donner un peu d espoir a cette jeune femme ...
Auteur: Eyal O.
Date: 20 aot 2005, 12:33
Helene Attal est venue au monde en novembre 1962 en Tunisie. Son pere s appelle George Meir Attal. Il a divorce et quitte le domicile conjugal lorsqu' Helene avait deux ans. Depuis elle ne l' a jamais revu. Aujourd'hui, Helene est mariee et a deux enfants. Elle cherche son pere sur le site d'Amit
[www.amit4u.net]
Vous pouvez voir ses photos et la photo de son pere. apparament, il aurait quitte la Tunisie et vivrait en France.
Qui peut aider Helene a retrouver son pere?
amit@amit4u.net
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le samedi 20 août 2005 - 00h23: |
Slim ce sont nos rêves que tu viens d'étaler ici. A mon avis ça mettra encore quelque centaines d'années à ce que ces rêves deviendront réalité, j'espere que je me trompe. Pendant cette absence à nous de rester clairvoyants et vigilants.
Quant à ton admiration pour les soldats israeliens, ils la mérite certainement et je ne m'attendais pas autrement d'eux. Hélas on ne devait pas les user pour de telles tâches inhumaines. Encore moins entre frères. Aux Etats Unis il n'aurait pas êté possible d'user l'armée pour une telle mission.
Bref j'ai assez écrit sur ce sujet toutes ces deux semaines turbulentes pour les pionniers israeliens commes pour les forces israeliennes de Gaza.
Nous étions des spectateurs et des lecteurs de loin sans savoir ce qui est désinformation et réalité. Nos opinions sont juste pour calmer nos consciences et ne peuvent pas être prises en considération. C'est normal, nous ne vivons pas dans ce Moyen Orient qui bout constamment depuis des siècles en attendant que les rois du pétrole décident d'aider leurs frères malheureux dans tous les pays Arabes dans le chemin de la coexistence et de la prospérité et cessent d'aider le mal.
Israel vient de démontrer un geste très courageux, humain et paisible. J'espère que les Palestiniens finiront peut-être par apprécier ce grand exploit que Sharon et ses amis viennent de d'accomplir même à contre vent.
Par Braham (Braham) le vendredi 19 août 2005 - 21h04: |
Par Francois (Francois) le vendredi 19 août 2005 - 20h27: |
L'ONU encore et toujours
La partialité totale dont fait preuve l'ONU vis à vis d'Israël n'est plus à démontrer.
Cette fois-ci, l'ONU va un peu plus loin puisqu'elle a financée une partie de la propagande anti-israélienne que les arabes font autour du désengagement.
En effet, l'ONU a fourni les fonds pour fabriquer der milliers d'objets: tasses, auto-collants, drapeaux portant le slogan "Aujourd'hui Gaza, demain la Cisjordanie et Jérusalem".
Cette propagande n'a pas été financée par n'importe quelle branche de l'ONU mais par le PNUD, Programme des Nations Unies pour le développement. Le développement de quoi, de la haine? De l'irrédentisme arabe? On rappelle au passage que d'après la résolution 242, les territoires en question sont disputés, que l'ONU n'a pas à en préjuger le propriétaire réel et que son rôle tel que défini dans sa charte est de promouvoir la vraie paix et pas le jihad.
Si Silvan Shalom était un ministre des Affaires Etrangères digne de ce nom, il exigerait que l'ONU enquête sur ce scandale. Il est en tout cas grand temps que John Bolton, le nouvel ambassadeur américain à l'ONU entre en fonction pour faire le ménage dans cette ménagerie et la diplomatie israélienne serait bien avisée de lui prêter la main.
Source: http://www.nysun.com/article/18710
Par Richard_S (Richard_S) le vendredi 19 août 2005 - 19h48: |
Cacouboulou s'esquive sans repondre ???
Serait-il a court d'arguments ???
Je repete ma question :
D'ou vient d'apres toi la legitimite Arabe sur la terre d'Israel ???
Et d'ailleurs pendant que tu y es, reponds moi aussi sur une question corollaire : d'ou vient d'apres toi la legitimite Arabe sur la terre de Tunisie ??? Ou d'Algerie ??? Ou du Maroc ???
A Michka : Non Michka, Israel n'a pas "ete donne" par l'ONU par culpabilite de la Shoah. Israel a TOUJOURS ete la patrie des Juifs.
Richard
Par Kinor (Kinor) le vendredi 19 août 2005 - 19h28: |
Pas d’acide, mais simplement du diluant pour peinture, white spirite ou essence de térébenthine, cela peut éventuellement piquer légèrement les yeux, mais rien de plus.
A qui profite ces fausses infos ?
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le vendredi 19 août 2005 - 19h16: |
Les medias s'empressent de divulguer des fausses informations comme si les pionnniers de Kfar Darom avaient jeté des acides sur les soldats. Tout le monde comdamne ces nouvelles, moi aussi, mais a-t-on vérifié la véracité de ces informations ? Debka Net vient de nous faire savoir qu'un membre de la Knesset avait vérifé ces informations à l'hopital où les policiers et soldats s'étaient présentés. Celui-ci contestait ces nouvelles et disait même qu'il ne comprenait pas pourquoi ces soit-disant blessés étaient amenés à l'hôpital, alors qu'ils n'y avait pas de trace d'acides? La propagante a bien marche, c'etait dans la stategie du gouvermnement.
Michka ce que tu viens d'affiche est exact. Du reste jusqu'a present ni la ci-jordanie ni Gaza n'ont des traces de proprietaires.
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le vendredi 19 août 2005 - 16h41: |
Cacouboulou :
Mr. Richard S., si tu relies attentivement le commentaire de Sarel qui a precede, tu trouveras que c’est son commentaire qui lui est retourne.
Quant à Mr. Bachibouzouk, c’est pas son point bare qui va clouer le bec, a un Cacouboulou qui a la langue bien pendue !, il ferait mieux d’inventer le bazooka qui flingue dans les coins.
Signe : Cacouboulou Premier.