Par Douda (Douda) le mercredi 14 septembre 2005 - 01h30:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Vivianne,,,

Djlachem a très justement rappelé le souvenir de ton PaPa Félix, à côté du Novelty, de Chez Georges et sa bassine de friture, de la colonne Maurice, de chez Madame Colini (Salumeria), du Bus pour le Djebel Ahmar, de la boutique à flippers où éclataient des bagarres.

Aussi de ta frangine qui parfois tenait la boutique, et qui nous chassait, quand on s’attardait trop, sur les corps dénudés de Paris-Hollywood, et autres revues un peu osées pour l’époque, ainsi que ton frangin avec qui on avait fait les quatre cent coups, au meeting aérien d’El Aouina en 1954, d’où on s’était fait chassé des hangars parce qu’on manipulait trop les hélices des avions, et qu’on se fouttait des militaires français qui les gardaient, en leur racontant que leurs mitraillettes c’était de la foutaise car elles n’étaient même pas chargées.

Et ton souvenir de grande soeur, quand parfois tu passais par la boutique,

Une bise pour Toi et les Tiens,,,


Wnessou El Douda

Par Douda (Douda) le mercredi 14 septembre 2005 - 00h46:

La Douda : ( Hak El Ouet International Tracking Station )

Le Ftileur : Érudition,,,

Salut Sarel.

C’est ça la bonne question !

Au Moyen Age dans les nations européennes, les Juifs vivaient en petites communautés, et certains métiers comme celui des armes, et celui de la terre, leur étaient interdits, il leur était également interdit de parler avec des gens de confession chrétienne, car il était considéré que les Juifs étaient d’une éruditions, qui dépassait de loin celle du commun des mortels, tant sur le plan de l’écriture que des connaissances bibliques.

De ce fait le clergé comme la noblesse ont promulgué cet interdit, en arguant que les Juifs seraient bien capables d’user de leur connaissances, pour détourner le peuple des Chrétiens vers le Judaïsme, et engendrer des conversions.

Pour ce qui est des apports scientifiques des Arabes, tu as raison, les chiffres du système décimal qu’ils ont propagés, sont ceux que nous utilisons dans la vie courante, sans cela le moindre calcul serait une affaire d’initiés, le mot chiffre d’ailleurs découle du mot arabe “Sfeïr” qui signifie ZÉRO. De même que la pharmacie, la médecine, l’algèbre, la chimie, l’astronomie, d’ailleurs Bagdad au quatorzième siècle était une sorte de capital mondiale des sciences,,, mais ça se passait à une autre époque.

A bientôt, Sarel,

Wnessou El Douda

Par Djlachem (Djlachem) le mardi 13 septembre 2005 - 22h39:

Chère Viviane,

Et comment, si je me souviens de votre papa! Il fait partie de mon enfance: tous ces illustrés que j'achetais chez lui: Spirou, Mickey, Tex-Tone, Buck John, Kit Carson, etc. Je rêvais de devenir marchand de journaux à l'âge adulte!
Je me souviens qu'on l'appelait, entre nous, "Le Chinois" à cause de ses yeux bridés.

Merci d'avoir réveillé en moi tous ces souvenirs!

Par Claudia (Claudia) le mardi 13 septembre 2005 - 21h50:

Pourquoi le dieu des musulmans n'est pas le même dieu que celui du judéo-christianisme

La question à poser à celui ou celle qui se veut musulman n’est pas tant de lui reprocher de croire ce qu’il veut, mais de penser qu’il prie, comme ses ancêtres, le même Dieu que les Juifs et les Chrétiens.

Or, il n’y a pas de soumission chez ces deux formes de croyance.

Donnons trois exemples, Adam, Moïse, Jésus.

Adam :

Voilà comment le présente le Coran : Sourate II, verset 31 (traduction Masson, Folio/Gallimard ) :

« Il apprit à Adam le nom de tous les êtres, (…) ».

Dieu apprend à Adam qui tient donc là un rôle passif.

Or, dans la Bible, il est dit ceci (traduction d’Ostervald (1890), chapitre II, verset 19 :

« (…) l’Éternel Dieu avait formé de la terre toutes les bêtes des champs et tous les oiseaux des cieux ; puis il les avait fait venir vers Adam, afin qu’il vît comment il les nommerait, et que le nom qu’Adam donnerait à tout animal vivant, fût son nom ».

Ainsi, c’est Adam qui nomme, il donne un nom, il a un rôle actif.

Idem, dans la traduction de la Bible, établie sous la direction de l’École biblique de Jérusalem (Les éditions du Cerf, 1998) il est dit (p. 35), chapitre 2, verset 19 :

« Yahvé Dieu modela encore du sol toutes les bêtes sauvages et tous les oiseaux du ciel, et il les amena à l’homme pour voir comment celui-ci les appellerait : chacun devait porter le nom que l’homme lui aurait donné ».

Le Coran ne parle pas de rôle actif d’Adam. Il fait état plutôt de son instruction et ensuite d’un dialogue entre Dieu et les anges puis celui-ci demande à Adam de dire à ceux-là les noms des êtres qu’il lui avait appris. Adam obtempère :

« Il apprit à Adam le nom de tous les êtres, puis il les présenta aux anges en disant : « faites-moi connaître leurs noms, si vous êtes véridiques ».
(II/32): Ils dirent : « Gloire à toi ! Nous ne avons rien en dehors de ce que tu nous as enseigné ; tu es, en vérité, celui qui sait tout, le Sage ».
(II/33): Il dit « O Adam ! Fais-le leur connaître les noms de ces êtres ! »
Quand Adam en eut instruit les anges, le Seigneur dit : « Ne vous ai-je pas avertis ? Je connais le mystère des cieux et de la terre ; je connais ce que vous montrez et ce que vous tenez secret » » .

Dans le Coran, Adam transmet les noms appris, alors que dans la Bible non seulement Adam les nomme, mais Dieu veille à ce que cela soit avec ses propres termes.
Pourtant Masson, dans sa note 1 au mot «être» du verset coranique (II/31) « Il apprit à Adam le nom de tous les êtres », se méprend totalement en y accolant une interprétation issue du texte biblique ! Ainsi Masson écrit :

« Ceci constitue une nouvelle affirmation du pouvoir de l’homme sur la création. On lit dans la Genèse (II,20) : « L’homme appela…de leurs noms tous les bestiaux, les oiseaux des cieux, tous les animaux des champs » Cf. Jean Chrysostome, Homelia IX in Genesim, II, 19, P. G. LIII, 79 ; Philon, op.cit., N)148, p. 241 ».

Or, le texte du Coran n’affirme en rien le «pouvoir de l’homme sur la création » mais plutôt sa capacité à apprendre le nom de tous les êtres, ce qui est tout à fait différent. Par ailleurs, Masson s’appuie sur le verset 20 (tout en citant, curieusement, sans en donner le contenu, le verset 19 via une référence à Chrysostome), alors que le verset 19 précise bien, lui, le rôle actif d’Adam. On ne comprend pas le verset 20 sans celui qui le précède.

Ainsi dans la traduction d’Ostervald il est dit pour le verset 20 :

« Et Adam donna les noms à tous les animaux domestiques, et aux oiseaux des cieux, et à toutes les bêtes des champs ; (…) »

Adam donne les noms, à lui, et non pas ceux que lui auraient indiqué Dieu. Masson mélange donc tout tant il subit l’influence de ce qu’il traduit, affirmant le pouvoir de l’homme tout en citant un verset qui n’est pas compréhensible sans celui qui le précède puisque l’on pourrait penser que Adam donne des noms que lui auraient enseigné Dieu comme avance le Coran, alors que le verset 19 dit bien que c’est Adam et lui seul qui donne les noms.
La traduction de la Bible, établie sous la direction de l’École biblique de Jérusalem, ne diffère guère de celle d’ Ostervald pour le verset 20.
D’ailleurs, le plus intéressant dans ce verset 20 réside moins dans sa continuation du verset 19 que dans le fait qu’Adam s’aperçoit de sa solitude parmi les animaux . Ainsi dans l’édition du Cerf il est dit :

« L’homme donna des noms à tous les bestiaux, aux oiseaux du ciel et à toutes les bêtes sauvages, mais, pour un homme, il ne trouva pas l’aide qui lui fut assortie ».

Dans les versets 21 et 22, il est exaucé, puisque la femme se voit créer. Rien de tel dans le Coran. Rien qui souligne la nécessité de
la femme pour l’homme, chair de sa chair.

Moïse.

Dans l’Exode, le Décalogue, (XX), des paroles fondamentales sont prononcées puisqu’ils s’agit des Commandements. Or, nul trace de ceux-ci dans le Coran puisque le nom de Moïse apparaît pour la première fois dans le verset 51 de la sourate II pour tout autre chose, les quarante nuits (Exode, XXIV, 18) dont l’importance est d’une toute autre nature puisqu’il y est plutôt question de Liturgie et non de Morale pour la direction de l’esprit et du corps.

Et Abraham ? Dans la Bible, il vient avant Moïse (Genèse, 12), rien de tel dans le Coran, puisque Moïse y apparaît le premier et bien après le Décalogue (Ex, XX). La Sourate de La Vache n’est donc pas une chronologie. puisque au verset 62 il est question des chrétiens (également au verset 113) alors qu’ils apparaissent bien après dans l’Histoire.
Abraham vient au verset 124 pour recevoir certains «ordres », ce qui est bien vague alors que dans la Bible (Genèse,12,1) il lui est indiqué précisément qu’il va aller vers «le pays que je t’indiquerai ».

Au verset 125 de la Sourate II, il est question d’Ismaël auquel il serait confié une mission, sans plus de précision. Dans la Genèse, 16, 12, la mission d’Ismaël est très clairement définie :

«Celui-là sera un onagre d’homme, sa main contre tous, la main de tous contre lui, il s’établira à la face de tous ses frères».

Puis en 17,19, alors qu’Abraham pensait que Dieu lui parlait d’Ismaël, Dieu lui annonce la venue d’Isaac, pour lequel il dit:


« et j’établirai mon alliance avec lui, comme une alliance perpétuelle (…) ».

En 20, Dieu ne néglige pas Ismaël puisqu’il promet qu’il engendrera 12 princes et qu’il fera de lui une grande nation, mais Dieu persiste en 21 en disant que c’est avec Isaac qu’il établira l’alliance. Ismaël est circoncis le premier (17,23) parce qu’Isaac n’est pas encore né. Rien de tel dans la Sourate II, le choix d’Isaac par Dieu n’est pas inscrit. Pas plus que la demande de son sacrifice (Genèse, 22, 1). Il faut attendre le verset 133 pour qu’Isaac soit écrit en même temps que les noms d’Abraham, d’Ismaël, et le verset 136 ajoute ceux de Jacob, de Moïse et de Jésus…alors que Jésus vient bien après dans l’Histoire Commune.

Conclusion ? Il ne s’agit pas de la même Histoire. Donc il ne s’agit pas du même Dieu. Ce sont les mêmes noms, certes, mais pas du tout la même trame. La Bible relate un Commencement et l’arrivée de l’Homme capable de nommer les choses. Rien de tel dans le Coran. L’homme n’est que soumis, instrument. Certes Abraham obéit lorsqu’il s’agit de sacrifier Isaac. Mais il ne le dit pas à l’enfant. Pourquoi ? Sans doute parce qu’il avait choisi d’obéir.

Si ce n’est pas la même Histoire, ce n’est pas le même Dieu.

Jésus.

Ainsi, il est dit dans l’islam que Jésus Christ n’est qu’un prophète, (sourate IV, verset 171), or cela n’est pas exact selon les Évangiles.

Observons cette question plus en détail en commençant par une lecture de la parole chrétienne.

Dans les Évangiles, il semble bien que Jésus soit Fils de Dieu (Matthieu. Chapitre III, Verset 17), non pas comme étant autre chose que Dieu mais moment singulier (Mt. IV, 7) : lorsque celui-ci devient la Direction (Mt. XXIII, 10).
Car Dieu vient apporter la Bonne Nouvelle (Mt. IV, 23) de manière visible, terrestre. Il se fait donc Fils, c’est-à-dire Homme, mais pas n’importe lequel, car il s’agit de vivre grâce à l'action du Saint-Esprit (Mt. I, 18). C’est-à-dire de vivre dans la Vérité, celle du Souffle de Vie qui a permis que Dieu devienne aussi Chair.

Quelle est cette Bonne Nouvelle ? Le Royaume des Cieux est accessible dès maintenant pour celui qui sait voir (Mt.V, 8).
Le péché Originel est pardonné : Dieu veut oublier la désobéissance d'Adam et Ève. Et Dieu ne veut pas que l'on fasse semblant de croire en Lui si cela ne se voit pas au plus profond des pensées, dans leur intimité même (MT. V, 28). Il ne suffit pas de respecter les Lois pour être l’Élu. Il faut se développer dans l'horizon de sa Grâce, c’est-à-dire en son sein même : c'est l'action du Saint-Esprit ce souffle de vie.
Voilà pourquoi Dieu est à la fois Un et se subdivise en Trois. Comment est-ce possible ? C’est ce que nous allons voir.

Lorsque Dieu est Commencement (et Fin) c'est le Père.
Lorsque Dieu est Direction fait Chair pour apporter la Bonne Nouvelle, et aussi comment vivre avec elle, c'est le Fils, c’est l’Homme, c’est Jésus.
Lorsque Dieu est Souffle de Vie, Providence, Grâce, afin que l'Humain (se) développe dans la Vérité, et en bonne intelligence avec la Nature, c’est l'Esprit Saint.

Dieu est certes unique, mais comme il est tout puissant, il peut se subdiviser selon ce qu’il faut faire lorsqu’il s’agit d’intervenir sur Terre de façon visible.

Augustin dit par exemple dans La Trinité en commentant Jean: de lui (le Père ), par lui ( le Fils ) en lui ( le Saint Esprit) :

"Je vous demande de qui parle l’Apôtre dans cet autre passage: "De lui, par lui et en lui sont toutes choses. A lui la gloire dans les siècles. Amen" (Rom., XI, 36) ? S’il parle du Père, du Fils, du Saint-Esprit, en désignant chacune des Personnes par chacun des mots : "de lui" du Père ; "par lui" par le Fils ; "en lui" en l’Esprit Saint, il est évident pourtant que le Père, le Fils, le Saint-Esprit sont un seul Dieu, puisqu’il conclut : "A lui la gloire dans les siècles des siècles".

Au début de ce passage il ne dit pas : "O profondeur de la sagesse et de la science du Père" ni "du Fils" ni "du Saint-esprit", mais "ô profondeur de la sagesse et de la science de Dieu! Que ses jugements sont insondables et ses voies impénétrables, car qui donc a connu la pensée du Seigneur ou a été son conseiller ? ou qui lui a donné le premier pour qu’il ait à recevoir en retour ? De lui, par lui, en lui sont toutes choses…A lui la gloire dans les siècles des siècles. Amen" (Rom., XI, 33-36)".

Qu’en conclure ? Déjà que Jésus n’est pas musulman, contrairement à ce qui est répandu par certains arabo-islamistes, tentant de créer un Évangile musulman (Khalidi Tarif, Un musulman nommé Jésus, 2001,Traduction, Albin Michel, 2003), qui serait en définitive le seul habilité à parler de Jésus…
Ensuite ceci : si islam veut dire entière soumission à Dieu (ou le devenir musulman) alors l’humain n’est pas libre comme étant distinct de Dieu.
Car être soumis veut dire obéir, et à la lettre, celle du Coran, dit incréé et inamovible, or, dès la Genèse, lorsque Ève tend le Fruit de la Connaissance du Bien et du Mal, à Adam, et que celui-ci décide de l’accepter, et que Dieu ne les tue pas mais les chasse, il les rend libre, y compris jusqu’à désobéir.
Par la suite, Dieu, sous la forme de Christ (pour les chrétiens) vient pardonner ce geste en affirmant une nouvelle alliance entre les Humains et Dieu. Ce qui implique la possibilité de faire évoluer la Lettre, tout en se maintenant dans l’Esprit.
Il y a bien là une différence, et de taille.
Ce qui implique de se demander une chose sans avoir besoin de se demander pourquoi le Coran réécrit, systématiquement, la Bible et le Nouveau Testament, tout en prétendant que ce sont les Juifs et les Chrétiens qui auraient falsifiés leur propre livre !!!

S’agit-il du même Dieu ?

Ne serait-il pas possible, qu’en fait, les musulmans, prient un autre Dieu ? Ils pensent, certes, être celui d’Adam, par exemple, alors que ce n’est pas vrai, nous venons de le voir avec la Genèse.
Certes, les musulmans peuvent expliquer que tout ce qui est inscrit dans le Coran est Dieu, sauf que, en réalité, ce n’est pas le même Dieu.

Cet exemple montre bien qu’il ne suffit pas de dire que les Juifs, les Chrétiens, auraient"falsifié" puisque le problème n’est pas là, mais bien dans la suppression de la liberté offert par Dieu à l’homme.

Si ce qui importe consiste à respecter la Tradition alors celle-ci explique bien qu'il ne s'agit pas, en retour, de se soumettre, mais de s'offrir, ce qui implique qu'il existe la Loi de Dieu. Mais aussi, depuis Adam, la Loi de l'Homme. Libre.

LSA Oulahbib

Par Davideden (Davideden) le mardi 13 septembre 2005 - 20h30:

Pauline,


Tu as raison un Juif a le droit de prier dans une mosque. Je lui consille de prier tres bien car il en aura besoin.
Je propose qu'il prie et puis qu'il court le plus rapidement possible...aide toi Dieu t'aidera en d'autres mots.

Par Mailroom (Mailroom) le mardi 13 septembre 2005 - 21h36:

Emotion de bonheur apporte a une personne agee par votre travail

monsieur ,madame

je vous remercie d'avoir valide mon inscripition sur votre site ,d'autant plus que grace à vous j'ai trouve une photo de mon pere a l'age de 20 ans quand il faisait parti de l'equipe de foot U S T.de tunis ,photo inconnue jusqu'à ce jour.
Il nous parlait de la periode ou, il etait dans l'equipe de foot et aussi il nous parlait des debordements de joie que toute l'equipe manifestait au cafe de Paris chaque fois qu'ils remportaient un match .Je l'entend encore evoquer ces moments de joie et de jeunesse, mais a l'epoque les photos etaient rares et quelle ne fut pas ma surprise quand voyant ce monsieur dont le visage me parlait,je ne pouvais ne pas me poser des questions.
En fin de compte pour lever tout doute je montrais la photo à ma mere agee de 87 ans qui ne put cacher sa surprise son emotion et une larme en voyant la photo de celui qui 10 ans apres cette photo et durant 40 ans allait devenir (et etait ) l'homme de sa vie.Pour elle sa voix est devenue video.
MERCI D'AVOIR APPORTE UNE TELLE JOIE A MA MERE.
Sa joie a ete telle que pour la premiere fois elle me conduisit dans sa cachete secrete et tirant une liasse de documents elle m'avoua que durant toute notre jeunesse -( mon frere Hubert dentiste a Epinal et moi dentiste à la retraite) elle avait garde toutes les photos de classe faites au lycee Carnot de Tunis entre les annees 1947 aux annees 1960 et vous imaginez mon bonheur en voyant pour la premiere fois les photos de ma scolarite.Ces photos sont parfaitement conservees et je me ferrais un immense plaisir à vous les faire parvenir par email en remerciment si vous le desirez et peut etre à faire decouvrir à toute une generation de tunes leur jeunesse.
Restant à vote disposition , je vous prie de croire en l'expression de mon plus cordial chalom.


LICHA GERARD

Par Pauline (Pauline) le mardi 13 septembre 2005 - 19h14:

Oui Sarel a raison.
Un Juif religieux a le droit de prier dans une mosquee mais pas dans une eglise.
La raison est la suivante : dans les mosquees, il n'y a aucune statue ou representation iconographique alors que dans les eglises, il y a les croix, les statues de Marie et bien d'autres representations qui sont absolument interdites par le choulhan aroukh.

Par Labima (Labima) le mardi 13 septembre 2005 - 18h33:

Qui ne connait pas Viviane la fille de Félix? le marchand de journaux du "Passage".

Eh bien c'est moi surnommée(spécialité tunisienne) "la bima". Merci, vous avez traduit.

Après la réedition de l'ouvrage "Le passage de la Hara au Belvédère", je commets un troisième ouvrage intitulé: "L'avant-dernier marrane" ouvrage composé de nouvelles et chroniques israéliennes. Il n'est disponible que par correspondance chez votre serviteur ou servitrice...

J'habite Natanya depuis trois ans et cet ouvrage, pour plus de commodité, a été publié en français a Jérusalem.

Pour plus de renseignement, vous pouvez me contacter par e-mail:
vivianelesselbaum@yahoo.fr.

A bientôt de vous lire, amical chalom!

Par Mena (Mena) le mardi 13 septembre 2005 - 18h32:

L’offensive oubliée (info # 011309/5) [analyse]

Par Stéphane Juffa © Metula News Agency

Déclanchée le 26 août dernier, Restoring Rights – "Restauration des Droits", c’est le nom de l’offensive – réunit 10'000 fantassins, dont 6'000 Irakiens et 4'000 Yankees. Ces troupes au sol bénéficient du soutien opérationnel et logistique de centaines d’avions et d’hélicoptères, dans ce qui constitue la plus grande campagne militaire depuis l’invasion de l’Irak.

Objectif de cette armada : Tall Afar (Colline de remblai), dans le nord-ouest de l’Irak. Une cité peuplée de 300'000 habitants, des Arabes sunnites et chiites ainsi que des Turcomans, mais qui était solidement tenue par les terroristes – hommes armés s’attaquant systématiquement à des civils – islamistes et panarabistes opérant en Babylonie. Et surtout, Tall Afar, la ville-Q.G des rebelles, située à une soixantaine de kilomètres de la frontière syrienne, dans cet entonnoir figuré entre deux traits bordeaux sur la carte ci-dessous, par lequel transitent de Syrie les armes, les munitions et les hommes qui déciment la population mésopotamienne et harcèlent sa démocratie naissante qu’ils abhorrent et les ministres qui la servent.

Outre le fait de s’emparer de Tall Afar, des armes qu’elle dissimule dans ses entrailles, d’éliminer ou d’appréhender les terroristes qui s’y trouvent, de détruire leurs infrastructures et, enfin, d’y établir l’ordre légitime de Bagdad, "Restauration des droits" a aussi pour but d’isoler les autres cités rebelles de l’entonnoir pour préparer leur chute. C’est dans ces agglomérations, ayant pour noms Al Ramadi, Haditha, Samarra, Al-Qaïm et Rawa, à proximité de leur support d’approvisionnement logistique intouchable chez leur allié Béchar Al Assad, que s’étaient installées les émulations de la nébuleuse islamiste que l’on a pris l’habitude à l’Ouest de nommer Al-Quaëda. Ces bourgeonnements terroristes aux structures multiples et élastiques, qui les rendent difficiles à cerner mais qu’on appelle ici, parmi tant d’autres noms, Jaïch al-taïfa al-mansoura (L’Armée de ceux qui vont vaincre) ou Kataëb al-Iman al-Hussein (les Brigades de l’Imam Hussein).

Or ces organisations ont bien saisi le danger représenté par l’offensive en cours, qui, les coinçant contre la frontière syrienne qui leur servit de refuge, les oblige à affronter l’armée irakienne et ses alliés américains à visage découvert, comme des miliciens et non plus des terroristes. Dans ces conditions et comme on l’imagine, le rapport de forces est inégal et les quelques deux cents terroristes tués lors des combats et deux cent cinquante tombés aux mains des troupes démocrates, témoignent de l’efficacité du piège qui les étrangle.

Le dos au mur, les islamistes encerclés brandissent des menaces, telle celle de frapper leurs adversaires au moyen "d’armes non conventionnelles et d’armes chimiques, qui ont été développées par les moudjahiddines, si l’offensive armée contre la ville de Tall Afar ne prenait pas fin pas d’ici vingt-quatre heures". Cet ultimatum avait été proféré dimanche et l’assaut n’a fait que redoubler d’intensité afin de réaliser ses objectifs jusqu’à jeudi, pour remettre la ville, nettoyée, au pouvoir civil, qui entend y "construire rapidement des postes de police et des hôpitaux".

Dimanche soir, le terroriste-égorgeur palestinien Abou Moussab Al-Zarqaoui, considéré par beaucoup comme le chef officieux des islamistes d’Irak, a accusé lors d’un message audio largement diffusé "les forces américaines d’utiliser des gaz mortels contre les habitants de Tall Afar".

Derrière ces fariboles, proférées par des criminels aux abois, se dessine une victoire importante pour la nouvelle démocratie dirigée par le premier ministre Ibrahim Jaafari. D’ailleurs, l’ampleur des activités terroristes, leur cortège de victimes, ont nettement diminué depuis le déclenchement de Restoring Rights. Depuis que l’entonnoir de la mort reliant Bagdad à la Syrie se trouve sous le feu des alliés, la pression se desserre un peu sur la capitale.

Non loin de là, les islamistes viennent d’essuyer un autre revers, en perdant leur chef pour la région de Mossoul, Abou Zayed, tué lors d’une opération de l’armée américaine.

Et pendant que les hommes de l’armée iraquienne débusquent les rebelles maison par maison à Tall Afar, leurs dirigeants politiques pointent un doigt accusateur déterminé en direction du régime népotique de Damas. Le ministre irakien de la Défense, Al-Doulaïmi, un sunnite, tout comme ses adversaires de Tall Afar, a exhorté Al-Assad "à cesser d’exporter la destruction en Irak". Citant les villes situées dans l’entonnoir, le ministre a déclaré qu’elles "étaient devenues des otages aux mains des terroristes venant de tous les pays et qui n’ont trouvé d’autre porte d’entrée que la Syrie".

La Syrie, parlons-en pour conclure, dont les élites baathistes, enfermées dans les conceptions nombrilistes qui les caractérisent, ne saisissent pas le caractère extra syrien et extra régional du soutien qu’ils apportent aux terroristes (irakiens en l’occurrence). Comme lorsqu’ils ont décidé d’assassiner Rafik Hariri, les stratèges syriens paraissent ne pas réaliser la portée internationale de leurs plans et les effets en cascade qu’ils entraînent parfois. Ces erreurs stratégiques leur coûtent le prix fort ; s’ils n’avaient pas décidé d’exécuter l’ex-premier ministre libanais, ils seraient encore à Beyrouth. Des suites d’un très mauvais calcul, la classe politique libanaise qui les soutenait, et qu’ils tenaient à leur botte, est devenue leur pire contradicteur. Leurs ennemis, Aoun et Geagea, qu’ils étaient parvenus à maintenir en marge de la légalité libanaise, ont fait leur retour par la grande porte, et le premier cité se présentera comme un candidat papable aux élections présidentielles, contre Lahoud, leur marionnette. Les Libanais sont en train d’obtenir le départ des auxiliaires islamistes Hezbollah des Al-Assad de la frontière israélienne. Eux dont le harcèlement était censé faire pression sur Jérusalem afin que nous quittions le Golan. De cette évacuation, qui n’est plus d’actualité…

Le père de Béchar était un génie du mal, mais un génie tout de même ; il savait obtenir beaucoup avec rien. Avec Béchar, le charme est tombé, il n’est pas un grand joueur d’échecs mais un collectionneur. Il a rendu la Syrie alaouite à ses dimensions naturelles : un petit pays pauvre, arrogant et fragile. Faute de saisir à quel point le rôle qu’il joue en Irak menace directement son régime, Béchar va sans doute le perdre. Car ce n’est plus qu’une question de moment opportun et de mesure des avantages du détrônement des baathistes – nécessaire au rêve de Bush de démocratiser le Moyen-Orient et qui priverait d’oxygène de nombreuses organisations terroristes – contre ses inconvénients : avoir, un peu comme en Irak, à gérer une mosaïque de peuples, d’obédiences et de sectes hostiles les unes aux autres et dont toute l’éducation démocratique est encore à faire.

Mais à considérer les dizaines de caches d’armes en provenance de Damas découvertes durant Restoring Rights, et à interroger les centaines de prisonniers, le plateau de la balance en faveur du détrônement du fils de Hafez Al-Assad et de sa clique violente et anachronique prend du poids. Et d’ici à ce que dans sa descente, il croise l’autre plateau…

Par Latitesse (Latitesse) le mardi 13 septembre 2005 - 15h15:

C'était dimanche à Saint Martin Vésubie, petite ville de l'arrière pays niçois, le 11 septembre, date oh combien symbolique que Son Excellence Nissim Zvili, ambassadeur d'Israel en France et le Dr Richard Prasquier, Président du Comité Français pour Yad Vashem et son Vice-Président Louis Grobart sont venus dire à la population les remerciements du peuple d'Israel.
Ils ont remis à Fanny Vassalo, Paul et Henriette Saïssi, Joseph et Victorine Raibaut et leur fille Marguerite Raibaut-Franco la Médaille des Justes parmi les Nations en présence du Préfet, du Ministre Christian Estrosi (ce Président du Conseil Général des Alpes Maritimes qui a envoyé 3500 enfants de toutes origines voir ce qu'était Auschwitz), du Vice-Président de l'assemblée Nationale Rudy Salles, Président du Groupe France Israel à l'Assemblée (105 députés), qui a été mon magnifique chauffeur, de Serge Klarsfeld et du baron Georges Sneck, Président du Musée Juif de Belgique, de Monseigneur Sankalé, Eveque de Nice, de notre nouveau Grand Rabbin, mais aussi d'une représentation importante de scouts juifs catholiques et musulmans.
Un millier de juifs, aidés par les organisations jjuives, protégés par l'armée italienne d'occupation ont connu un répit à Saint Martin Vésubie jusqu'au 9 septembre 1943, jour ou s'est déchainée la haine raciale de l'occupant allemand, malgré le courage de la population qui tenta par tous les moyens de les sauver 330 d'entres eux furent repris alors qu'ils essayaient de franchir la montagne, ils furent déportés à Auschwitz-Birkenau.
Nombre de survivants étaient présents, venant des Etats Unis, du Canada, d'Israel ...etc
L'émotion était grande et les larmes partagées entre ceux qui avaient montré courage et humanité et ceux qui sont venu leur dire merci, merci pour nous, merci pour nos frères, merci pour l'humanité.
Nous sommes un peuple à la mémoire longue et nous sommes venus vous dire merci.

Par Sarel (Sarel) le mardi 13 septembre 2005 - 05h21:

Mr Douda Shalom
Vous dites que les dirigeants chretiens au moyen age avaient peur que les juifs enseignent lew judaisme a la communaute chretienne ?
C'est etonnant !!
Dans quel etat vivaient les juifs dans ce temps la ??/
Shalom sarel