Par Mena (Mena) le dimanche 09 octobre 2005 - 06h55: |
Erratum : Dans la 1ère partie de cet article, Guy Millière a attribué l’instauration du pont aérien USA-Israël, lors de la guerre de Kippour (1973), à l’administration Ford alors qu’il fut le fait de Richard Nixon, puisque celui-ci ne démissionna qu'en août 1974. Cet anachronisme a été relevé par plus d’une vingtaine de lecteurs, ce qui dénote d’une mémoire et d’une attention particulièrement remarquables de leur part.
Etats-Unis – Israël : inventaire d’une relation intense (suite et fin) (info # 010710/5) [analyse]
Par Guy Millière © Metula News Agency
Ronald Reagan, successeur de Carter, était en effet, il est bon de le rappeler, un homme d’idéaux et d’éthique. Sa conception des choses était de la trempe d’un Woodrow Wilson, qui l’avait précédé à la Maison Blanche durant le premier quart du XXème siècle. Reagan fut un révolutionnaire en ce qu’il se donna pour tâche l’abolition de l’empire soviétique et parvint à ses fins, et en ce qu’il sut insuffler à nouveau au le peuple américain l’esprit des pères fondateurs et de la révolution américaine. Il fut le Président américain le plus favorable à Israël depuis sa fondation, cela faisait partie de ses idéaux et de son éthique. Et cela transparaît à chaque page de ses Ecrits personnels, que j’ai tenu à traduire en français pour lui rendre justice.
Reagan a cependant parfois pris des décisions diplomatiques mineures aux dépends d’Israël, en particulier quelques sanctions lors de l’annexion du Golan. Quand on a une grande part du poids du monde sur ses épaules, il faut parfois prendre des décisions mineures de ce type, aux fins qu’en parallèle, on puisse aménager la voie des avancées majeures.
Toutefois, comme ses écrits l’indiquent, il aurait été inconcevable pour lui d’agir à l’encontre des intérêts vitaux d’Israël. Il n’y a absolument aucun doute que si Israël avait été attaqué pendant les années Reagan, les Etats-Unis se seraient portés sans état d’âme aux côtés de l’Etat hébreu. C’était l’époque où la France était intervenue pour sauver Arafat et l’OLP ; sauvetage ayant abouti à l’exil en Tunisie de l’ancien chef de l’OLP et de ses cadres.
Dans le même temps, la chute de l’empire soviétique a permis l’émancipation des juifs russes, dont un million s’est rendu en Israël. La plupart de ces nouveaux Israéliens sont parfaitement conscients de ce qu’ils doivent à Reagan.
George Bush père s’est présenté comme le successeur et l’hériter de Reagan. Il a effectivement succédé à Reagan, mais il a dilapidé son héritage. Avec son avènement, ce fut le retour de la « realpolitik » à la Maison Blanche. Cela s’est vu dans la façon dont a été gérée la première guerre du Golfe, et, particulièrement, dans la décision finale de laisser au pouvoir un Saddam Hussein qui, quoique affaibli, continua de massacrer les populations kurdes et shiites. Cela s’est vu aussi dans l’infléchissement des relations entre les Etats-Unis et Israël. Il fallait, selon Bush père, instaurer un nouvel ordre mondial ; il fallait que la principale source de tensions entre l’Occident et le monde arabe (et entre l’Europe et les Etats-Unis) s’estompe. Les pressions en provenance de Washington se sont donc multipliées afin qu’Israël contribue à la résolution du conflit israélo-palestinien avec davantage de bonne volonté. Elles aboutirent aux accords de Madrid, précurseurs du processus d’Oslo.
C’est cependant sous Bill Clinton que les erreurs les plus graves ont été commises. Non pas tant pour cause de « realpolitik », à la façon de Bush père, que par la résurgence d’un idéalisme néo-cartérien. Bill Clinton a cru au « processus de paix » jusqu’au terme de sa présidence. Il n’a visiblement jamais compris la nature réelle de l’OLP ni qui était vraiment Yasser Arafat. Il a, tout l’indique, cru que le conflit israélo-arabe pouvait se résoudre par des concessions mutuelles et qu’il suffisait de faire preuve de bonne volonté de part et d’autre pour que tous les problèmes se règlent. C’est avec sa bénédiction que les accords d’Oslo ont été effectivement passés, et nul à la Maison Blanche ni au Département d’Etat n’a, à l’époque, voulu prêter attention au discours parallèle des dirigeants palestiniens, qui, lorsqu’ils s’exprimaient en arabe, parlaient d’un Etat palestinien en Cisjordanie et à Gaza comme d’une simple première étape.
C’est sous l’égide de Clinton qu’a eu lieu la célèbre poignée de main entre Rabin et Arafat. C’est sous l’influence du président US que Rabin a affirmé qu’il poursuivrait les négociations sur le statut final comme s’il n’y avait pas de terrorisme, alors que les attentats terroristes, instrumentalisés par Arafat, se multipliaient. C’est avec son soutien qu’Ehud Barak a été élu, et sous son impulsion que Barak est allé jusqu’aux concessions quasi suicidaires de Camp David à l’été 2000.
Bill Clinton n’a pas, volontairement, été l’ennemi d’Israël, mais le cumul de ses erreurs a fait qu’il peut aujourd’hui apparaître comme ayant été l’un des pires présidents pour Israël. Avant Clinton, même si Bush père avait enclenché l’engrenage, l’OLP et Arafat se trouvaient exilés en Tunisie, le terrorisme était résiduel, les gouvernements israéliens n’accordaient aucune légitimité à l’OLP et ne parlaient ni de peuple palestinien ni d’Etat palestinien. A la fin des années Clinton, l’OLP et Arafat disposaient d’une mini dictature totalitaire à leur botte en Cisjordanie et à Gaza, le terrorisme anti-israélien avait trouvé un élan meurtrier, nouveau et abominable, et la reconnaissance d’un peuple palestinien et de la nécessité d’un Etat palestinien était devenue, pour le gouvernement israélien, un fait accompli.
George Walker Bush est arrivé au pouvoir dans un contexte où la seconde Intifada faisait rage depuis plusieurs mois. Dans un contexte où il lui fallait, de surcroît, gérer l’héritage de son prédécesseur : non seulement une situation très détériorée au Proche-Orient mais un statu quo intenable en Irak, le terrorisme islamique, qui ne cessait de gagner en puissance et en audace, ayant établi ses bases logistiques en Afghanistan. Pour ne rien arranger, le nouveau président avait à faire face à une désorganisation profonde des services de renseignement américains.
C’est alors que Bush avait à peine entamé la réorganisation des services de renseignements que sont survenus les attentats du onze septembre qui ont engendré ce qu’on appelle aujourd’hui la doctrine Bush.
Dans le cadre de cette doctrine, le conflit israélo-arabe est considéré dans une perspective plus large. Israël a été redéfini comme un allié essentiel des Etats-Unis, voire peut-être l’Allié essentiel. La paix pour Israël y apparaît comme ne dépendant pas des négociations avec les dirigeants palestiniens, mais d’un assainissement plus général du monde arabo-musulman, d’où l’islamisme et le terrorisme qu’il engendre devaient être extirpés. Pour finaliser cet objectif, l’équipe Bush a formulé l’Initiative pour le grand Moyen-Orient.
L’intervention en Afghanistan, puis celle en Irak, sont à considérer comme les étapes d’une trajectoire plus vaste. Alors que, jusqu’au moment de ces interventions, on parlait de la centralité du conflit « israélo-palestinien » pour la résolution des problèmes de la région, on a commencé à réaliser que ce conflit était en réalité un conflit israélo-arabe qui ne trouverait de solution que dans le cadre d’une évolution plus vaste du monde arabo-musulman et, au-delà, du monde musulman tout court.
Ce qui s’est passé depuis quatre ans découle de cette nouvelle conception : Bush a défini une « Carte Routière » qui prévoit la cessation du terrorisme palestinien comme un préalable à la négociation du statut final. La politique d’Ariel Sharon est demeurée conforme à la Road Map : pas de cessation du terrorisme, pas de négociations.
Bush s’est occupé de combattre l’islamisme en déposant les talibans, puis Saddam Hussein, et en agissant pour qu’émergent des démocraties musulmanes susceptibles de faire tache d’huile. Il savait qu’il allait affronter violemment l’islamisme et il n’a pas hésité, car il savait aussi que, sauf à le heurter frontalement, celui-ci allait continuer à se propager. Le combat de Bush contre l’islamisme se poursuit aujourd’hui et c’est un combat à mort : si l’islamisme est vaincu en Irak, il le sera peu à peu partout …
Bush a soutenu la politique de Sharon. La construction de la barrière de sécurité a pu s’effectuer et elle a mis en place une séparation physique entre Israël et les Palestiniens ; aux conditions d’Israël, et en accord avec les impératifs de sa sécurité. Le retrait israélien de Gaza a vu l’émergence d’un territoire où les dirigeants palestiniens doivent assumer pleinement leurs responsabilités.
Les scenarii à venir sont ouverts. Aucun d’eux n’est porteur des pressions anciennes exercées à l’encontre d’Israël, ni de dangers accrus pour sa survie.
- Soit Gaza devient un territoire exemplaire en termes de démocratie, de respect des droits de l’homme et de gestion économique saine, et les terres de Cisjordanie situées « côté palestinien » de la barrière de sécurité peuvent être laissées aux Palestiniens sans danger pour le futur d’Israël, glissant alors vers une indépendance de qualité similaire, permettant l’élargissement du « territoire exemplaire » de base.
- Soit Gaza sombre dans le chaos et la violence, les dirigeants palestiniens se révélant incapables d’assumer leurs responsabilités. Israël achève alors le divorce d’avec les Palestiniens et, à l’abri de ses frontières, attend que l’islamisme s’effondre, sans avoir à négocier, puisqu’il n’y a personne de crédible avec qui négocier, tout en répliquant fermement en cas d’attaque terroriste.
Au sein de l’administration Bush, on ne croit guère, je puis en témoigner, au premier scénario, mais on soulignera aux yeux du monde qu’on fait, très honnêtement, tout pour qu’il se réalise.
On y pense plutôt que c’est le second scénario qui est en train de se réaliser. Mais on prouvera au monde, qu’on a fait tout ce qu’on a pu.
On pense, au sein de l’administration Bush, que la bataille décisive est celle contre le totalitarisme islamique, la bataille pour le cœur de l’islam, comme l’écrit Daniel Pipes.
Si la bataille est gagnée, la paix deviendra envisageable, le monde sera plus sûr pour la démocratie, la région plus sûre pour Israël. Le divorce d’avec les Palestiniens aura permis à Israël de survivre en attendant.
Difficile d’imaginer que la bataille contre le totalitarisme islamique puisse être perdue. En ce cas ce serait non seulement Israël, mais tout ce que nous appelons Civilisation qui s’en trouveraient menacés.
Reagan a été, avant George Walker Bush, le Président le plus favorable à Israël ; grâce à ses idéaux et son sens éthique, disais-je. Il était confronté au danger principal qu’était alors l’Union Soviétique. George Walker Bush a lui aussi des idéaux et une éthique et il est en cela l’authentique successeur de Reagan. Il est en même temps confronté à une situation dans laquelle, avec l’émergence de l’islamisme, les nouvelles forces du mal menacent à la fois Israël et les Etats-Unis.
Comme Reagan en son temps, Bush renoue avec l’esprit des pères fondateurs et de la révolution américaine, mais, plus encore que Reagan, il est à même de percevoir en quoi et pourquoi les destins d’Israël et des Etats-Unis sont indissolublement liés.
Les pères fondateurs des Etats-Unis se référaient sans cesse à l’Ancien Testament, la Bible juive, et à la Loi ; le peuple américain leur paraissait ne pouvoir exister que comme peuple élu au sens que le judaïsme procure à ce terme. L’Amérique de George Walker Bush ne peut, en ce sens, que se sentir indissolublement liée à ce qui est au cœur de l’idée sioniste, au cœur de la refondation d’Israël.
Les Etats-Unis n’ont pas toujours été favorables à Israël, quand bien même ils l’ont souvent protégé. Ils ont parfois défendu et appuyé Israël par « réalisme ». Avec la révolution conservatrice au temps de Reagan, et, plus encore, avec la révolution néo-conservatrice aujourd’hui, ils comprennent qu’une part essentielle du futur du monde dépend de la possibilité pour Israël de vivre en paix et de la nécessité de vaincre les forces de l’intolérance et de l’hégémonie islamique.
Comme on commence à rendre justice à Reagan, viendra le jour où on rendra justice à George Walker Bush qui est un grand président, un homme de bien, un homme de foi, un Juste. Je l’affirme, et je le développerai dans ces colonnes et dans mon prochain livre : Le futur selon Bush.
Par Mailroom (Mailroom) le dimanche 09 octobre 2005 - 06h38: |
Bonjour,
Je n'ai pas l'adresse de la syna de Deauville je ne suis encore jamais y alle, j'avais l'habitude d'aller avant à Vincennes, mais maintenant je suis divorcé et je voudrais passer Kippour à Deauville avec mes 2 enfants.
Pouvez vous m'envoyer l'adresse et y a t-il une communauté séfarade que je puisse faire la Prière des COHANIM avec mes enfants?
Pierre
Par Primo (Primo) le dimanche 09 octobre 2005 - 05h48: |
Ce Nobel, c'est de la dynamite!
Des rumeurs circulaient depuis 2 jours. C'est maintenant officiel. Le prix Nobel de la paix 2005 a été attribué à l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et à son directeur général, Mohamed El Baradeï, pour leurs efforts en faveur de la non-prolifération des armes nucléaires dans le monde.
A Oslo, on aime la liturgie
1.999 candidats se pressaient aux portes de ce prix prestigieux. L'histoire ne dit pas si Jacques Chirac était du nombre, comme le souhaitaient nombre de pays arabes.
Quoiqu'il en soit, les jeux étaient faits. En 1985 et 1995, à l'occasion des 40e et 50e anniversaires de la bombe d'Hiroshima, le Comité avait déjà récompensé des organisations respectivement russe et britannique militant contre la guerre nucléaire.
1985, 1995, 2005 ? En 2015, le descendant de Kim Jong aura-t-il quelque chance d'obtenir à son tour le prix tant respecté ? Pour 2025, il est trop tôt pour se prononcer.
AIEA et son "bras de fer"
"A un moment où les efforts de désarmement paraissent dans l'impasse, et alors qu'il y a danger que les armes nucléaires se propagent à la fois à des États et à des groupes terroristes, et que la puissance nucléaire semble revêtir de nouveau un rôle croissant, le travail de l'AIEA est d'une importance incalculable", souligne le Comité.
Cap 21 note avec à propos que l’AIEA est aussi particulièrement impliquée dans la diffusion technologique du nucléaire civil dans le monde. Au moment du soixantième anniversaire des tragédies d’Hiroshima et Nagasaki et à l’approche du vingtième anniversaire de la catastrophe de Tchernobyl, CAP 21 juge la décision du Comité Nobel pour le moins déconcertante et inappropriée.
El Baradeï s'est illustré tout particulièrement avant l'invasion américaine de l'Irak en contredisant les États-Unis à propos de la présence d'armes de destruction massive dans ce pays, et Washington s'était opposé récemment à sa reconduction à la tête de l'AIEA.
Certains analystes ont pu voir dans l'attribution de ce prix un pied de nez aux américains.
Soyons sérieux. L'indépendance du jury reste toute relative, les chancelleries n'ignorant aucunement que les USA se sont opposés du bout des lèvres à la reconduction d'El Baradeï à la tête de l'AIEA.
L'Iran doit apprécier à sa juste mesure.
2 prix Nobel en 2 ans pour ceux qui ont osé affronter le pouvoir des Mollahs.
En 2003, Le prix Nobel de la paix a été attribué à Oslo à la militante iranienne des droits de l'Homme Shirin Ebadi. La distinction a été attribuée "pour ses efforts en faveur de la démocratie et des droits de l'Homme", a fait valoir le comité Nobel.
Un prix Nobel sera respecté, a naïvement pensé le comité d'Oslo. La fermeté d'El Baradeï vis à vis de l'Iran trouve là son aboutissement.
Raison de plus pour penser qu'il y a, hormis la conjonction de date en 2005, une réelle inquiétude de la communauté internationale sur le dossier nucléaire iranien.
Reste cependant que les choix de jury Nobel demeurent très sélectifs :
2003: une avocate Iranienne qui, certes, s'oppose aux Mollahs mais qui considère Israël comme le plus grand danger de la planète.
2004: Wangari Maathai, élue écologiste au Parlement Kenyan, obscurantiste et adepte des théories du complot mondial. Elle considère que le "sida n'est pas une malédiction de Dieu contre les Africains ou le peuple noir" mais "un outil destiné à les contrôler conçu par certains scientifiques à l'esprit malfaisant, même s'il est possible que nous ne sachions pas qui... le SIDA aurait, selon elle, été importé sciemment en Afrique par les occidentaux, Israël n'étant pas étranger à cette entreprise.... Al Manar avait repris ses propos avec délectation.
2005: l'AIEA et El Baradeï qui parlemente avec l'Iran, l'Irak et autres dictatures mais qui veut, dans le même temps, priver Israël de ces seules capacités de riposte et de dissuasion.
Le Nobel de la Paix n'est plus attribué qu'à des personnes ou des organisations ayant des haines et des indignations sélectives.
Le Nobel devient ainsi l'obséquieux serviteur de causes idéologiques.
La Libye a bien été nommée à la tête de la Commission des Droits de l'Homme, ceci bien avant son aggiornamento.
© Primo, le 7 octobre 2005
Par Toufiq (Toufiq) le dimanche 09 octobre 2005 - 01h46: |
d'accord avec maxiton
Par Labima (Labima) le samedi 08 octobre 2005 - 22h08: |
Dans la rubrique "forum" je suis tombée sur Habiba Messika. Seules quelques lignes évoquent sa fin tragique.Mon ouvrage "Le Passage de la hara au Belvédère" a comme fil conducteur la vie de cette grande artiste et tragédienne.
Je rappelle ici l'aide précieuse que m'a apportée la Bibliothèque Nationale de Tunisie, située souk el attarine à Tunis, avec l'envoi de photocopies des quotidiens de l'époque qui relatait, au jour le jour, sa vie et sa longue agonie.
Pour plus de renseignements adressez-moi un E-mail:
vivianelesselbaum@yahoo.fr
ou répondez-moi sur la rubrique: commentaires.
Chavouah-Tov, Viviane Scemama Lesselbaum
Par Bekhor (Bekhor) le samedi 08 octobre 2005 - 22h01: |
SHAVOUA TOV.
UN SITE INEGALABLE EN HEBREU OU PRESQUE TOUS LES PIYOUTIM SONT REPERTORIES SONT ECRITS DONNENT LES AUTEURS MAIS SURTOUT SONR INTERPRETES PAR DIVERS CHANTRES SUIVANTS LEURS PAYS D'ORIGINE.
UN SEUL HIC! LE SITE EST EN HEBREU MAIS J4AI CHOISI QUELQUES PIYOUTIM TUNISIENS DONT LE FAMEUX ET INEGALABLE "BAR YOHAI" ET D'AUTRES.
http://www.piyut.org.il/tradition/358.html?section=morePerformances
ADONE ASELIKHOT
http://www.piyut.org.il/tradition/459.html?section=morePerformances
AKHOTE KETANA (Marocain interprété par Samy El Magribi)
http://www.piyut.org.il/tradition/46.html?section=morePerformances
Le meme PIYUT interprétés par la communauté syrienne. une merveille.
http://www.piyut.org.il/tradition/21.html?currPerformance=15
YGDAL ELOIM HAI (Suivant les marocains)
http://www.piyut.org.il/tradition/493.html?currPerformance=599
BONNE ECOUTE BONNE FETE ET BON JEUNE POUR YOM KIPOUR.
Pour ceux qui savent l'hebreu vous avez bien compris que ce site est: WWW.piyut.org.il
Je voudrais remercier du fond du coeur mon ami d'enfance yossef Mazouz qui m'a fait decouvrir ce site exceptionnel et que j'ai retrouvé grace au site "HARISSA" aprés 43 ans de séparation; merci aussi à Jaco notre webmaster.
Victor Cohen
Par Maxiton (Maxiton) le samedi 08 octobre 2005 - 16h04: |
Compagnies faisant de la publicité sur Al-Manar
Nissan, LG, Tefal qui dépend de SEB; Jovial un fabricant
suisse de montres, et enfin une filiale de Deutsche Telekom
Par contre : Coca-Cola, Pepsi, Procter et Gamble,
Western Union ont cessé de diffuser des spots
sur la Chaine du hesbollah
Par Maxiton (Maxiton) le samedi 08 octobre 2005 - 15h05: |
Pas d'accord avec " email "
Aucune histoire raciste sur Harissa !
Nous avons assez souffert des histoires " juives "
pour nous y mettre à notre tour
Par Lalla (Lalla) le samedi 08 octobre 2005 - 15h05: |
Mr Victor Cohen
merci pour ce chef d'oeuvre;un veritable delice;ma maman y ajoutait des capres.j'en ai eu l'eau a la bouche.
chana tova et gmar hatima tova;
Par Email (Email) le samedi 08 octobre 2005 - 01h23: |
Epreuve de Mathématique de fin d'études. Ville d'Evry
Nom:___________________________ Gang:_________________________
1. Pierre possède un AK-47 avec un chargeur de 80 balles. Il tire 13 balles a chaque fois qu'il presse la détente, combien de fois pourra-t-il tirer avant d'avoir a recharger?
2. Carlos a 10 grammes de colombienne pure. Il l'a coupée avec du bicarbonate a raison de 4 parties de cocaïne pour 6 parties de bicarbonate. Il a revendu 6 grammes du mélange a Miguel pour la somme de 25000,- FF et 15 grammes a Ramon pour 3500,- FF le gramme. Qui de Miguel ou de Ramon s'est fait rouler? Combien de grammes de cocaïne mélangée au bicarbonate reste-t-il a Carlos?
Quel est le taux de dilution de la colombienne de Carlos?
4. Irina veut couper les 100 grammes d'heroine qu'elle vient d'acheter pour se faire un bénéfice de 20%. Quelle masse du produit qu'elle utilisera comme diluant devra-t-elle utiliser?
5. Roger est paye 7500,- FF lorsqu'il vole une BMW, 1500,- FF si c'est une japonaise et 3000 si c'est un 4X4. Si il a déjà vole deux BMW et trois 4X4, combien de japonaises lui reste-t-il a voler pour obtenir 30.000 F?
6. Yvan est en prison depuis 6 ans pour hold-up avec meurtre. Il a dévalisé et planque 9.000.000,- FF pour son forfait. Si sa copine dépense cet argent a raison de 45.000 par mois, combien d'argent lui restera-t-il lorsqu'il sortira de prison dans 4 ans?
Question subsidiaire: Combien d'années prendra-t-il au tribunal pour avoir tue " cette chienne qui a claque tout son argent "?
7. Une bombe de peinture couvre en moyenne une surface de 3 mètres carres. Une lettre tagguée représente une surface moyenne de 0,4 mètres carres.
Combien de lettres entières un tagger pourra-t-il faire avec 3 bombes de peinture?
9. Lors de la dernière rixe avec le gang de Corbeil, Martin a consomme 76 balles de pistolet automatique, et n'a touche que 3 personnes. Quel est son rendement? Mérite-t-il encore de rester dans le gang, le seuil critique maximum imposé par Bernard étant de 23 balles par personne abattue?
10. Michel a été arrête pour vente de crack et ses frais provisoires de justice ont été portes a 500 000,- FF S'il les paie ainsi que son avocat (qui réclame 12% du montant de ses frais) avant de s'enfuir en Italie, quel montant va-t-il perdre effectivement?
Question pour départager les ex æquo: Énumérez 3 configurations possibles qui satisfont la question suivante:
A combien de dealers et de drogués faut-il être au minimum pour retourner une Renault 21 d'intervention de la gendarmerie sachant que :
- le modèle standard a vide pèse 1160 kg.
- le poids moyen d'un gendarme français est de 110kg
- A Evry, une patrouille est constituée de 4 gendarmes.
- un jeune toxico soulève a l'effort 65 kg, un dealer peut aller jusqu'a 100 kg.
- le véhicule conserve toujours deux roues en contact avec le sol.
- on néglige l'effet du bras de levier, fixant a 3/5 du poids total au sol le poids qui est effectivement soulève pour décoller la voiture.
- La France est un marche a risques ou il y a plus de dealers que de toxicos.
- La probabilité qu'un gendarme quitte le véhicule est nulle.
Par Bekhor (Bekhor) le vendredi 07 octobre 2005 - 21h01: |
JE SOUHAITE A BRUNO ET VANESSA ATTALI UN GRAND MAZAL TOV POUR LA NAISSANCE DE LEUR PREMIER FILS CHARLES QUI EST NE CE JOUR, LE 7 OCTOBRE 2005 A 19H20.
Victor Cohen