Par Albert (Albert) le lundi 10 octobre 2005 - 20h42:

Mon petit grain de poivre. Klakt mel melh.


Le Qââlouss dieudonnè et sa clique cala miteuse, antisémite, véreuse etc… ont envahi le plateau de la chaîne de France 3 perturbant gravement l’émission de Fogiel.

Expulsés par qui de droit, la justice étant aveugle, pour leur éclat de voix indigent, invectivant au passage par la même occasion, un ministre et des journalistes juifs, le nain au teint
belliqueux et boutonneux a eu, au sortir de l’immeuble, cette belle expression..

‘On tient le bon bout… !’ Qu’il se fasse plaisir, il doit avoir l’habitude.

Avocat tardif de la cause noire, notre petit homme devrait jeter un regard compatissant vers ses frères africains qui errent dans le désert, expulsés comme des malpropres par la monarchie marocaine du 37 ième descendant du prophète Mohamed, que la paix soit sur lui.

Algériens et marocains, moi je t’aime toi non plus, se rejettent les baluchons abandonnés.
Plus DUNE que moi tu meurs.

On compte déjà quelques morts.
A Ceuta, chut, les autorités espagnoles vont relever les barbelés et les marocains vont construire une muraille de 16 mètres de haut. On n’est jamais assez prudents, dés fois que ces sénégalais font du saut à la perche. A cette hauteur, il tombera sur le pic du javelot. Embrochés.

En réalité, les européens ne sont pas si innocents que cela. Ils tirent les ficelles d’en dessous, enjoignant au Maroc d’endiguer ce flot migratoire qui passe par leur pays pour regagner les cotes espagnoles. Bref, la réaction marocaine ne se fit pas attendre, on tire et on jette dans le désert.

Conclusion c’est pas nous, c’est eux…

Aux pays du BABOUCHE, il vaut mieux être BACCOUCHE.

Albert grain de poivre.

Par Braham (Braham) le lundi 10 octobre 2005 - 20h02:

Par Suggest1 (Suggest1) le lundi 10 octobre 2005 - 18h51:

Un nouveau film avec Agnès JAOUI à aller voir d’urgence !
Il traite d’un sujet inspiré du livre de Kay Hazan jamais abordé jusqu'à ce jour au cinéma ;

http://suggest1.free.fr/nina.pdf


suggest.1

Par A_Soued (A_Soued) le lundi 10 octobre 2005 - 17h50:

UN MESSAGE QUI DONNE FROID DANS LE DOS

Par Scott Atran – chercheur au CNRS à Paris et à l'Université de Michigan, auteur de "In Gods we trust, the evolutionary landscape of religion" – (en Dieux nous croyons, le paysage changeant de la religion)-

Texte paru sur www.Thefirstpost.co.uk le 6 octobre 2005

Traduit par Artus pour www.nuitdorient.com

Juste 2 semaines avant l'attentat de Bali samedi dernier, j'ai interviewé le présumé guide spirituel de Jamaa' Islamyah, Abou Baqr Bashir, dans sa cellule de prison à Jakarta. Ce groupe est le principal allié d'Al Qaeda, dans cette région, et il est soupçonné d'être le principal suspect par l'Occident.

Bashir était en train de célébrer la nouvelle: la Cour de justice Indonésienne venait d'accepter de commuer sa peine de 30 mois pour complot dans les attentats de Bali de 2002 à 4 mois, ce qui signifiait qu'il était bientôt libre. Depuis ces premiers attentats où 202 personnes sont mortes, les autorités Indonésiennes ont mollement réagi aux menaces du terrorisme, craignant de s'aliéner une opinion très anti-américaine. Et rien n'illustre mieux cet esprit d'apaisement que ce raccourcissement de peine de Bashir par la cour d'appel. Et cette décision a été prise malgré qu'il fut impliqué dans un complot du groupe Jamaa' Islamyah pour renverser l'ex-gouvernement d'Indonésie, et malgré le fait que des membres éminents de Jamaa' Islamyah aient témoigné que Bashir avait lui-même approuvé les attentats de 2002.

À 66 ans, Bashir est grand et maigre, portant lunettes et, comme Osama Ben Laden, il prétend descendre d'une famille du Sud Yémen, le Hadramout. Il est entouré de comparses, des assaillants connus, qui lui servent des dates et il répond aux questions, avec une voix forte et un rire facile.

Scott Atran: quelles sont les conditions pour que l'Islam soit fort ?

Abou Baqr Bashir: il faut que le pays "infidèle" soit visité et espionné (que les Musulmans y émigrent en masse). Si on n'y va pas, ils persécuteront l'Islam et empêcheront les non Musulmans de se convertir à l'Islam.

SA: que peut faire l'Occident, notamment les Etats-Unis, pour que le monde soit plus pacifique?

ABB: ils doivent cesser de lutter contre l'Islam, car c'est le destin, une loi de la nature inscrite dans le Coran (sunnatoullah), que l'Islam doit gouverner le monde et les Etats-Unis doivent l'accepter, s'ils veulent la paix dans le monde!

SA: qu'arrivera-t-il s'ils persistent?

ABB: nous poursuivrons le combat qu'ils perdront. Celui qui est dans le mensonge (al Batil) perdra tôt ou tard. J'ai d'ailleurs envoyé une lettre à G Bush et je lui ai dit qu'il allait perdre et que ce n'était pas la peine de se battre. Tout cela est écrit dans le Coran.

SA: avez-vous rencontré Osama ben Laden?

ABB: non, non, je le voudrais pourtant; après ma libération, j'espère que je pourrai le rencontrer.

SA: où est-il?

ABB: s'il est vivant, comment pourrais-je vous le dire? J'ai de la sympathie pour son combat, c'est un soldat de Allah. Quand j'ai entendu parler de son histoire, j'ai tiré la conclusion que c'est un combattant d'Allah, un "moujahed".

SA: serez-vous toujours de son côté?

ABB: sa tactique et ses calculs peuvent être parfois erronés, c'est un homme ordinaire après tout. Et je ne suis pas d'accord avec tout ce qu'il fait. Osama croit dans une guerre totale et je ne suis pas d'accord avec cette idée. Si cela arrive dans un pays islamique, la discorde (fitnah) sera sentie par les Musulmans. Mais c'est bien d'attaquer les Américains dans leur pays.

SA: alors la lutte ne cessera jamais?

ABB: jamais, car c'est une lutte obligatoire (jihad). Et les Musulmans qui ne haïssent pas l'Amérique sont dans le péché. Ce que j'appelle l'Amérique, c'est le régime de G Bush. Celui qui ne hait pas l'Amérique n'est pas un croyant.

SA: comment ce régime et sa politique peuvent-ils changer?

ABB: Nous verrons; du moment que leur intention n'est pas de nous combattre et que l'Islam continue à progresser, alors une paix est possible. C'est cela la doctrine de l'Islam. L'Islam ne peut pas être gouverné par d'autres. La loi d'Allah est au dessus de la loi humaine. Il n'y pas d'exemple où le juste et le faux, l'Islam et les Infidèles, règnent en paix ensemble.

Nota

Bashir Abou Baqr vient de condamner les nouveaux attentats de Bali "ces tristes événements sont dans leur essence un avertissement d'Allah qui se fâche contre nous tous, car nous ne respectons pas la "sharia'h" (loi coutumière religieuse de l'Islam)

A chilling message for the infidels

www.Thefirstpost.co.uk

Just six weeks before last Saturday's terrorist atrocity in Bali, in a jail cell in Jakarta, I interviewed Abu Bakar Bashir, the alleged spiritual leader of Jemaah Islamiyah (JI), al-Qa'eda's main ally in the region, and the group on which western attention is focused in the hunt for culprits.

Bashir was celebrating the news that an Indonesian court had agreed to reduce his 30-month sentence for conspiracy in the 2002 Bali bombings by more than four months, meaning that he will soon walk free.

Ever since the first bombings, in which 202 people died, Indonesian authorities have been woolly in their response to terrorism for fear of alienating a largely anti-American population. Nothing illustrates this better than the appeal court's judgment on Bashir's early release - they took the decision even though he was implicated in a JI plot to

overthrow Indonesia's previous government, and despite independent testimony from senior JI operatives in custody that he had approved the 2002 bombings.

At 66, Bashir is a lanky, bespectacled Hadrami, who, like Osama Bin Laden, traces his family back to the Hadramawt region of Yemen. Surrounded by acolytes - including known JI bombers - serving him dates, he answered questions with a strong voice and easy laugh.

Scott Atran: What are the conditions for Islam to be strong?

Abu Bakar Bashir: The infidel country must be visited and spied upon. If we don't come to them, they will persecute Islam. They will prevent non-Muslims converting.

SA: What can the West, especially the US, do to make the world more peaceful?
ABB: They have to stop fighting Islam. That's impossible because it is sunnatullah [destiny, a law of nature], as Allah has said in the Koran. If they want to have peace, they have to accept to be governed by Islam.
SA: What if they persist?
ABB: We'll keep fighting them and they'll lose. The batil [falsehood] will lose sooner or later. I sent a letter to Bush. I said that you'll lose and there is no point for you [to fight us]. This [concept] is found in the Koran.
SA: Have you met Osama Bin Laden?
ABB: No, no. I want to though. After my release, I hope I can meet him.
SA: Where will you find him?
ABB: If he still exists - but how could I? I have sympathy for his struggle. Osama is Allah's soldier. When I heard his story, I came to the conclusion that he's mujahid, a soldier of Allah.

SA: You will always be on his side?
ABB: His tactics and calculations may sometimes be wrong, he's an

ordinary human being after all. I don't agree with all of his actions. Osama believes in total war. This concept I don't agree with. If this occurs in an Islamic country, the fitnah [discord] will be felt by Muslims. But to attack them in their country [America] is fine.
SA: So this fight will never end?
ABB: Never. This fight is compulsory. Muslims who don't hate America sin. What I mean by America is George Bush's regime. There is no iman [belief] if one doesn't hate America.
SA: How can the American regime and its policies change?
ABB: We'll see. As long as there is no intention to fight us and Islam continues to grow there can be peace. This is the doctrine of Islam. Islam can't be ruled by others. Allah's law must stand above human law. There is no [example] of Islam and infidels, the right and the wrong, living together in peace

HARDLINE Indonesian Muslim cleric Abu Bakar Bashir, who is imprisoned for his role in the 2002 Bali bombings, today condemned the weekend blasts on the resort island.

“I really disapprove of bombings in non-conflict areas for whatever reason, including in Bali, because it can be almost certain that innocent and unknowing victims would fall,” Bashir said.

In the written comments released by his lawyer after he visited the cleric in jail, Bashir said he was particularly saddened if such attacks claimed the lives of “people whose religion is Islam”.

He advised the injured victims and the families of those who died in Saturday’s triple suicide attacks, “to accept this fate from Allah”.

He also advised the Indonesian Government to “approach closer to Allah” by practising God’s law as best as it can.

“These saddening incidents, in essence, are warnings, scolding from Allah to us all who are not respecting his sharia (Islamic religious laws),” he said.

The Guardian - Oct 1st,2005

Par Meyer (Meyer) le lundi 10 octobre 2005 - 16h59:

Le Nobel d'économie revient à deux chercheurs récompensés pour leur travail sur la théorie des jeux
LEMONDE.FR | 10.10.05

Le prix Nobel d'économie 2005 a été attribué, lundi 10 octobre, à l'Américain Thomas Schelling et à l'Israélo-Américain Robert Aumann pour leur théorie de "décision interactive", une amélioration et extension de la "théorie des jeux", a annoncé l'Académie royale suédoise des sciences.

Les deux économistes ont ainsi aidé "à expliquer les conflits économiques tels que les guerres des prix et les guerres commerciales, ainsi que les raisons pour lesquelles certaines communautés ont plus de succès que d'autres dans la gestion de ressources communes", a précisé l'académie. "Leur travail a transformé les sciences sociales bien au-delà des frontières de l'économie", a indiqué le jury du Nobel dans un communiqué.

Leurs recherches continuent de "modeler le débat sur la formation des institutions sociales", a-t-il ajouté. Au cours de la guerre froide, Thomas Schelling, 84 ans, a utilisé les méthodes de la théorie des jeux pour expliquer des questions vitales comme la sécurité mondiale ou la course aux armements, selon le communiqué.

Travaillant sur les idées de Schelling, Robert Aumann, 75 ans, né à Francfort, en Allemagne, de nationalité américaine et israélienne, a utilisé l'analyse mathématique pour souligner les différentes options dont disposait un pays contre un ennemi pendant les périodes de conflit.

La théorie des jeux est considéré comme ayant été amorcée dans des textes datant de la fin des années 1940. Le prix Nobel d'économie 2004 avait été attribué à Finn E. Kydland (Norvège) et à Edward C. Prescott (Etats-Unis) pour leur contribution à la théorie de la macroéconomie dynamique.

Ils avaient souligné l'importance des anticipations des ménages, des entreprises et des marchés pour les politiques économiques. Le prix Nobel d'économie est le seul des six prix qui n'ait pas été prévu par l'inventeur et industriel suédois Alfred Nobel dans son testament de 1895. Il a été créé en 1968 par la banque centrale de Suède, pour lui rendre hommage. Comme les autres prix (paix, littérature, médecine, chimie, physique) il est doté de 10 millions de couronnes suédoises (1,1 million d'euros).

Avec AFP

Par Hajkloufette (Hajkloufette) le lundi 10 octobre 2005 - 16h14:

L'Israelien Israel (Robert J.Aumann), professeur d'economie a l'Universite de Jerusalem s'est vu decerne le prix Nobel d'economie conjointement avec l'Americain Thomas C.Schelling


Son prix Nobel lui a ete accorde pour "" L avancee de la comprehension des processus de conflit ou de l association a l aide de la theorie du jeu ( Game theorie ) ... j ai pas tout compris mais ca doit valoir un prix Nobel

Voici une image :

Par Axelle (Axelle) le lundi 10 octobre 2005 - 11h50:

Douda, Albert, Mr Emile, Toufiq, Latitesse et vous tous et toutes.

Mon mari, mes enfants et moi-même, avons été profondément touchés de la sympathie dont vous avez fait preuve à la suite du deuil qui vient de nous affecter. Toute notre famille vous remercie très très chaleureusement.

C'est dans ces moments si douloureux que nous prenons conscience que nous n'avons pas eu le temps de montrer à ces êtres chers qui nous quittent tout l'amour que nous avions pour eux. Le temps est si court ...

Mais, leur souvenir reste à jamais au fond de notre mémoire.


Très cordialement. Axelle.

Par Henri (Henri) le lundi 10 octobre 2005 - 11h30:

Detective marocain,
Le probleme est si je comprends bien qu'on ne peut plus feter tranquilement le ramadan au Maroc, et consommer librement, meme ...... du vin cacher?
C'est pas comme en Israel, ou au nom de la sainte democratie, il est interdit d'interdire d'ouvrir des magasins vendant du ..... porc le ........ shabbat.
Heureusement qu'on se raproche de Kippour

Par Mailroom (Mailroom) le lundi 10 octobre 2005 - 07h25:

Le détective marocain

Une Roch Hachana au goût amer

Si de plus en plus de Juifs quittent le Maroc c’est parce qu’ils s’y sentent souvent à l’étroit. La totale cette année : le Ramadan a forcé certains membres de la communauté israélite à fêter un Roch Hachana 2005 sans alcool ! Comme quoi « Marocain » devient de plus en plus synonyme de « Musulman ». Le diktat.

Dans les grandes surfaces comme dans les superettes du quartier ou les épiceries de Casablanca vendant de l’alcool, le sevrage forcé a officiellement commencé le samedi dernier. Sauf à se la procurer au marché noir, chez les guerrabas, impossible d’acheter une bouteille ou canette de boisson alcoolisée.
Cette année les fêtes de Roch Hachana (fin d’année juive) ayant coïncidé avec le début du Ramadan, certains membres de la communauté israélite ont galéré pour mettre la main légalement sur une bouteille de vin. Dans les grandes surfaces où d’habitude l’alcool était accessible aux non musulmans, c’est l’éclipse totale. Niet, nada, walou. Un drame, une injustice, un diktat pour les quelques milliers de Juifs marocains qui sont restés dans ce pays. Un piège de cristal. En effet, un Roch Hachana sans alcool, c’est comme un Fatih Moharram (nouvelle année musulmane) sans tagine de poulet ou encore un Aïd El Fitr sans gâteaux. « Fêter Rocha Hachana avec des canettes de sodas », voilà ce que veut imposer la majorité musulmane à la minorité juive.
Quand un Juif a expliqué au chef du rayon d’un hypermarché qu’il n’était pas de confession musulmane et qu’il a besoin d’une bouteille de vin casher pour célébrer en famille la nouvelle année hébraïque (fêtée ce mardi), ce dernier n’a rien voulu savoir. Les ordres sont les ordres. Une caissière a alors tenté de débiter une explication qui tient la route : « on a essayé mais à chaque fois tout le monde se présente comme non musulman même les Musulmans pour avoir droit à sa provision », a-t-elle lâché. C’est grave comme constat. Dans ce bled, il y aurait donc beaucoup de Musulmans qui le sont par la contrainte. A boire ! et Fissa !
Seule consolation : pour cette Roch Hachana de l'an 5766, le marché marocain regorge, heureusement, de grenade, fruit béni.


AUTEUR : Abdelkarim Chankou

Par Bekhor (Bekhor) le dimanche 09 octobre 2005 - 23h51:

DESCRIPTION DU JOUR DE KIPPOUR

J’ai trouvé cet article décrivant bien l’explication du jour de KIPPOUR, le nom de l’auteur n’est pas mentionné dans l’article, je le remercie d’avance de me permettre de l’editer sur notre site.
La veille de Yom Kippour, nous effectuons un repas de fête pour montrer notre foi et notre confiance dans la miséricorde Divine. Une autre belle coutume de ce jour consiste pour les parents a bénir leurs enfants.
Yom Kippour nous rachète des péchés commis a l’encontre de Dieu mais non de ceux commis a l’encontre de son prochain.

C’est pourquoi il importe, Ia veille de Yom Kippour, de rechercher le pardon de ceux que nous avons pu offenser pour effacer les ressentiments que nous aurions fait naître.

Bien que les 'jours de crainte', comme on les nomme souvent, soient solennels, ils ne sont pas tristes. En fait, Yom Kippour, le jour le plus saint de l’année, est, d’une certaine manière, l’un des plus heureux. C’est qu’a Yom Kippour nous recevons ce qui est peut être le don le plus sublime de Dieu, Son pardon.

Lorsqu’un homme accorde son pardon, il exprime un sentiment profond d’amitié, d’amour, qui efface dans sa relation a l’autre les effets du mal
subi. Le pardon que Dieu nous accorde est l’expression de son amour éternel et inconditionnel.

Bien que nous ayons transgressé Sa volonté, notre essence, notre âme, demeure Divine et pure. Yom Kippour est ce jour unique de l’année ou Dieu
révèle plus clairement l’unité de Son Essence avec notre âme; Cette âme par laquelle les Juifs se trouvent véritablement dans une position d’égalité et d’individualité: plus nous saurons montrer cette unité essentielle en agissant avec amour et fraternité, plus Dieu Lui-même nous révélera, dans Sa plénitude, Son amour.

Outre les activités interdites le Chabbat, cinq activités spécifiques sont prohibées a Yom Kippour :

Boire et Manger, se Parfumer ou s’Oindre de lotions, avoir des Relations conjugales, se Baigner, Porter des chaussures en cuir.

A Yom Kippour, nous sommes libérés de toute préoccupation matérielle: nous pouvons donc consacrer tout le jour à la prière. Nous commençons le service du soir pare chant de qui nous absout des voeux que nous pourrions faire durant toute l’année a venir.

Dans chacune des grandes prières de Yom Kippour, nous récitons le <<Vidouy~, Ia confession qui énumère les péchés que nous pouvons avoir commis et demandons le pardon Divin. La dernière prière de ce grand jour, alors que le jugement est sur le point d’être scellé, est appelée "Neilah".

La Neilah est, de toute l’année, le seul office que nous accomplissons devant l’Arche ouverte comme sont grandes ouvertes, a ce moment-là, les portes du ciel.

La Neilah culmine avec la proclamation par la communauté du "Chema Israel" et d’autres versets, a l‘unisson, et, enfin, par la dernière sonnerie du Chofar qui scelle la fin du jeune et de kippour.

Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le dimanche 09 octobre 2005 - 22h52:

Fabien FELLOUS, je viens de prendre connaissance de ton ecrit lequel critique Tubiana et Nahum, je trouve qu'a part quelques remarques desagreables le reste est acceptable venant de toi.
J'apprecie la franchise et la liberte d'expression. Chana Tova