Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 11 octobre 2005 - 19h57:

Les Kaparoth et les sacrifices sont a l'encontre de la religion et de la croyance juives, ce sont des pratiques païennes comme le dit Jacques KOHN Helas certains juifs ont herite deja ces pratiques depuis l'existence du temple de Jerusalem, lorsqu'ils apportaient des sacrifice au MIZBEAH.

A mon avis ils ne peuvent etre consideres comme charite ou comme moyen d'aider la personne qui les donne.

Par A_Soued (A_Soued) le mardi 11 octobre 2005 - 17h47:

Réagissons et vite!

Je me trouvais hier soir sur le plateau de l’émission « On ne peut pas plaire à tout le monde » lorsque une centaine de militants de la cause noire ont envahi le studio et empêché l’émission de démarrer.

Cette opération commando avait été organisée par le comité de soutien à Dieudonné qui, via son site Internet, avait appelé à venir manifester devant les studios pour exiger la démission de Marc Olivier Fogiel. Le présentateur a en effet – et c’est une surprise - été condamné pour « injure raciale ».

Eh oui, curieuse époque. La justice française condamne Fogiel et France 3 pour un SMS certes maladroit diffusé à l’antenne en réponse au sketch scandaleux de Dieudonné, mais relaxe le même Dieudonné pour ce sketch, le relaxe pour ses déclarations, ses outrances, ses délires antisémites, le relaxe une fois, dix fois, dix huit fois au total. Loin de moi l’idée de jeter le discrédit sur la justice. Mais si l’on met en balance la sévérité de la décision rendue à l’encontre de Fogiel et la bien curieuse mansuétude dont bénéficie depuis des années Dieudonné il n’est pas étonnant que ce dernier se sente comme encouragé, protégé par une sorte d’impunité.

Hier soir, l’humoriste a d’ailleurs participé au coup de force en rejoignant triomphalement ses troupes sur le plateau de «On ne peut pas plaire à tout le monde ». Mais que l’on ne s’y trompe pas, le cas Fogiel n’est qu’un prétexte. Les amis de Dieudonné le reconnaissent eux-mêmes : « La condamnation de Fogiel est un élément clé pour rassembler la communauté noire et continuer à marquer des points », voilà ce que l’on peut lire dans l’appel à venir envahir les studios de France 3 diffusé sur le site de soutien à Dieudonné.

Sur le même site, on trouve de nombreux textes où l’obsession du lobby juif, du complot juif, revient sans cesse. Où les intellectuels et journalistes juifs – pudiquement qualifiés de « sionistes » - sont constamment attaqués : Finkielkraut, BHL, Bénichou, Elisabeth Lévy, DSK, Jack Lang, « Y’en a marre des ces gens là » écrit un internaute dans un message. Un autre écrit encore : « les juifs s’entraident et leur réseau s’est encore plus renforcé depuis la seconde guerre mondiale ».

Ce ne sont là que quelques extraits. Depuis plusieurs mois, les amis de Dieudonné diffusent sur Internet cette prose nauséabonde auprès de la communauté noire sans susciter la moindre réaction des pouvoirs publics.

Hier, en quittant les studios de France 3, Dieudonné confiait en aparté : « On tient le bon bout, on va continuer ».

Clément Weill-Raynal

Par Henri (Henri) le mardi 11 octobre 2005 - 11h33:

La djaja en bikini qui a perdu sa tete!!!!!!!!

Par Nao (Nao) le mardi 11 octobre 2005 - 17h26:

Allez voir cet extrait de l'emission d'Ardisson avec Murielle Robin et Guy Bedos qui font dans le politiquement correct nauseabond...

Ces gens la ont vraiment rien compris et n'ont aps encore evolue depuis leur petite crise d'adolescence;
Tous ces artistes "droit de l'hommiste", altermondialistes et bien pensants (auxquels je rajoute le couple marxiste Jaoui-Bacri) resteront tjrs des gauchistes attardes mentaux et des has been...

http://www.france-echos.com/actualite.php?cle=7139

Par Axelle (Axelle) le mardi 11 octobre 2005 - 11h14:

Chers amis.

Mon mari vous pose la question suivante :

A quelle heure faut-il manger la veille de kippour sachant que nous habitons dans le nord de la France. Il veut dire, bien entendu, en fin de journée ? Il vous remercie de vos ou votre réponse.

Bien à vous. Axelle

Par Braham (Braham) le mardi 11 octobre 2005 - 09h47:

Par Nonette (Nonette) le mardi 11 octobre 2005 - 09h28:

je n'ai pas entendu,dans les média, un seul mot de compassion pour ces malheureux qui pensent trouver dans la vieille Europe rabougrie et egoiste une vie meilleure ...mais quel tollé soulèvent les "bien-pensants"dès qu'il s'agit de la barrière de séparation qui protège les citoyens israeliens..çà leur donne sans doute bonne conscience!

Par Bazooka (Bazooka) le mardi 11 octobre 2005 - 09h36:

...et encore par la...

Par Bazooka (Bazooka) le mardi 11 octobre 2005 - 09h28:

Les Kaparot sont passees par la ...

Par Pauline (Pauline) le mardi 11 octobre 2005 - 07h43:

Les Kaparoth, un rite ou une superstition ?




Quelle est l’origine des Kaparoth que certains pratiquent la veille de Yom Kippour ? S’agit-il d’un rite ou d’une superstition ?

Certaines personnes ont pour habitude, la veille de Yom Kippour, de faire tournoyer autour de leur tête un coq (pour les hommes) ou une poule (pour les femmes). La formule qu’elles récitent à cette occasion traduit l’idée que ce volatile recueillera nos péchés et que sa mort procurera leur absolution.

L’animal est ensuite égorgé par un cho‘het, puis consommé en famille, laquelle doit en verser la contre-valeur aux pauvres.

Dans certaines familles, les Kaparoth en volailles sont remplacées par de l’argent, consacré ensuite à la tsedaqa.

La raison du choix de cette volaille, de préférence à un autre animal, tient à l’homographie du mot hébreu guévèr (« homme », comme dans Devarim 22, 5) et du même mot en araméen, qui signifie « coq » (voir notamment Yoma 20a).

Il n’est fait état nulle part, dans le Talmud et dans Rambam, de la pratique des Kaparoth.

Les Gueonim et les Richonim la rapportent, certains pour l’approuver, et d’autres pour la proscrire.

Dans son commentaire sur la Guemara Chabbath 81b (s.v. Haï parpissa), Rachi rapporte une habitude qui était en honneur chez les Gueonim : Dans les semaines qui précédaient Roch hachana, on semait dans des récipients un « haricot d’Egypte » ou un autre légume que l’on appelait un pourpissa. La veille de la fête, chacun prenait sa plante et la faisait tournoyer sept fois autour de sa tête en déclarant : « Ceci au lieu de cela, ceci est mon remplacement, ceci est mon échange ! », puis il jetait la plante dans une rivière.

Nombreux ont été les décisionnaires du Moyen Age qui se sont opposés à l’usage des Kaparoth. On peut citer Rachba, qui l’apparente aux darkhei émori (« activités ressortissant à la magie »), ou Ramban, qui lui reproche de ressembler aux pratiques païennes.

Le Me‘habèr (Choul‘han ‘aroukh Ora‘h ‘hayim 605) signale la pratique des Kaparoth tout en recommandant de ne pas l’adopter, tandis que Rema la préconise.

Le Michna beroura (ad loc. N° 2) la rapporte lui aussi, mais l’assortit de réserves. Lorsqu’on pratique les Kaparoth dans un lieu où se réunissent beaucoup de fidèles, il existe en effet, selon ce décisionnaire, un risque sérieux que les cho‘hatim s’épuisent à la tâche et ne surveillent pas attentivement l’état de leurs couteaux. Ils exposent ainsi les pénitents au danger d’une consommation de viande non cachère. Ces réticences du Michna beroura sont partagées par de nombreux posqim des dix-neuvième et vingtième siècles, comme le ‘Hayyei Adam, le Kaf ha-‘hayyim ou le ‘Aroukh ha-choul‘han.

Peut-être est-ce pour cette raison que l’on a parfois suggéré (Peri megaddim, rav ‘Ovadia Yossef), pour alléger la tâche des cho‘hatim, de disperser les Kaparoth sur l’ensemble des ‘asséreth yemei techouva (« Dix jours de pénitence »).

Certaines personnes ont encore pour habitude de rechercher tout particulièrement des volailles de couleur blanche, et ce par référence au verset : « Si vos péchés sont comme l’écarlate, ils deviendront blancs comme la neige… » (Isaïe 1, 18).

Le Kitsour Choul‘han ‘aroukh (131, 1) condamne vigoureusement cette pratique.

Peut-être ce rite des Kaparoth prend-il son origine dans un désir inexprimé de voir rétablir le culte des sacrifices. On sait en effet que, lorsqu’un animal était présenté et consumé sur l’autel, il recueillait en quelque sorte dans sa propre chair, pour en débarrasser celui qui l’offrait, les péchés de celui-ci. Sans doute est-ce pour cette raison que de nombreux décisionnaires s’y sont opposés : Ils n’ont pas accepté qu’un culte sacrificiel soit réintroduit furtivement avant que soit reconstruit le Temple.

Jacques KOHN
chiourim.com

Par Albert (Albert) le lundi 10 octobre 2005 - 20h51:

La vieille presse, Le Figaro fait peut neuve ; elle a mué et moi je ne suis pas muet.
Belle impression, clichés polychromes, technicolors easte te te amencolor et peppermint,
J’en ai compté plus de 30 aujourd’hui sans les encarts publicitaires.
Dans 20 ans, nous aurons droit à un album de gravures plus deux lignes de politique et 30 ans plus tard un grand journal publicitaire gratuit. Ce sera du BEAU MARCHE.


‘…Sans la liberté de blâmer, point d’éloges.. !’
‘…Sans la publicité, point de fric prometteur.. :’


- Nous pensons à vous Axelle.


Albert grain de grenade.